Nouvelle famille

c'est un retour en force... super

vivement la suite

Waou trop bien j'espere qu'on attendra pas trop longtemps pour avoir une suite!!

Bonjour





Sara regardait son époux discuter un peu plus loin avec l'inspecteur Chase près de la cage aux lions. Pour distraire leur fille, le lieu de promenade avait paru évident : le zoo. Concours de grimaces et de sifflements, caresses de fourrures pelucheuses... sa vitalité s'épanouissait. Sara la surveillait anxieusement du coin de l'oeil, veillant à ce qu'elle ne s'éloignât pas trop mais elle ne pouvait s'empêcher d'observer Michael dont elle ne discernait maintenant que le profil altier. Il semblait agité, ses mains fourrageaient ses tempes qui grisonnaient. Cela lui donnait un charme supplémentaire comme les petites étoiles au coin de ses paupières, vestiges des longs jours d'angoisse. Il se tourna, la cherchant du regard puis lui sourit, faisant chavirer son coeur comme au premier jour. S'apprêtant à le rejoindre elle enjoignit Sonia de lui donner la main. N'obtenant pas de réponse, Sara se retourna et commença à paniquer : sa fille avait disparu.
" Sonia. Sonia. Darling, c'est Maman. Réponds, s'il-te-plaît.
- Sara, que se passe-t-il ? s'enquit Michael qui avait accouru.
- Je n'arrive pas à mettre la main sur Sonia, elle était là y a un instant.
- Calme-toi, elle ne doit pas être bien loin, la raisonna-t-il.
En effet, la petite marchait devant et à l'appel de son nom elle se retourna pour dire avec candeur :
- A tout à l'heure Maman, je vais jouer avec Mr. Patapouf.
Elle s'agrippait joyeusement à la main d'un homme de taille moyenne. Sara ne voyait pas son visage mais son sang se glaça à l'image qu'ils montraient : elle sentait qu'elle allait perdre son deuxième enfant. Elle, Michael et l'inspecteur Chase les suivirent en courant mais la foule des visiteurs freinaient leur progression. Au moment où l'homme de loi contacta enfin des renforts, la petite et son ravisseur avaient disparu de leur champ de vision.
De son côté, Sonia ne comprenait pas l'insistance de sa mère. Après tout, ne souhaitait-elle pas qu'elle s'amuse, qu'elle oublie que son frère ne reviendrait pas malgré ce qu'il prétendait au travers de menues nouvelles ? Confiante, elle se laissa entraîner vers une vieille Corvette volée.
- Alors, Triple S, contente de me revoir, demanda Théodore avec un sourire fat.
- Oh oui, mais pourquoi tu voulais pas rester plus longtemps ? Y avait les pandas tout doux.
- Une autre fois peut-être. En route. "
Et le criminel roula au son de sa voix claire et mutine, un vrai bonheur !







- Bonjour jeunes gens, je suis le lieutenant Cole. Ma femme m'a dit que votre présence pourrait être salutaire. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour vous aider par la suite. La brigade dans laquelle je travaille essaie de coincer Theodore depuis un certain moment. Depuis qu'il s'est évadé, nous le soupçonnons d'avoir commis plusieurs dizaines d'autres meurtres. Il avait certaienement l'intention de prendre l'identité de ses victimes et subsister en toute impunité. J'ai appris que vous étiez vous-même en cavale, ajouta-t-il en les sondant amicalement du regard. C'est un acte héroîque étant donné votre jeune âge. Je suppose qu'il y avait une raison particulière ?
Sam et Ignacio laissèrent sa question en suspens puis l'adolescent se décida à répondre :
- Nous avons été kidnappés puis séquestrés il y a quelques mois. Notre geôlier connaissait mon père. Il avait de lourds griefs contre lui à cause de ce qui s'était passé durant son incarcération et son évasion de Fox River. Malheureusement pour lui et sa fille, il y a eu une explosion et nous avons réussi à nous enfuir. Mais nous savons que nous ne sommes pas à l'abri du danger. Pour dissuader ces gens de recommencer leur chantage, nous avons décidé de partir de chez nous.
- D'accord, murmura Douglas Cole. Vous avez dû faire l'objet d'une enquête spéciale. Je vais contacter le commissariat de votre district. Nous travaillerons en collaboration. Vous, vous resterez sous surveillance policière, le temps d'élaborer un plan. Je ne pense pas qu'il soit bénéfique d'avertir vos parents pour l'instant que nous savons où vous êtes, trop d'émotions en si peu de temps. Allez vous reposer, vous changer, que sais-je encore, vous restaurer. Tout le monde doit être opérationnel.







- C'est où, ici ?
- C'est chez moi. Tu aimes ?
Sonia fit un panorama rapide de la clairière defraîchie et de la cabane en bois qu'ils squattaient. Ce n'était pas vraiment le grand luxe :
- Tu n'as pas peur que le toit tombe sur ta tête ?
- Non, je suis fort. J'ai juste besoin d'amour et d'argent.
- J'en ai moi, je peux te le donner.
Elle sortit de la poche de sa salopette un billet d'un dollar que la petite souris lui avait donné. T-Bag, l'observa d'un air mielleux en réfléchissant à la manière la plus pratique de formuler sa demande de rançon.
- J'ai faim.
Cette assertion courte eut le mérite de le sortir de ses pensées. Les gosses d'aujourd'hui étaient-ils tous aussi exigents ? Le ton sans appel qu'elle avait utilisé lui déplut.
- Ecoute, gamine. Si tu as faim, il va falloir le mériter.
Il vit avec satisfaction la peur emplir ses yeux de biche. C'est comme s'il voyait le beau gosse craintif, son visage se superposait à celui de sa fille. Avec bravache, elle dégagea son bras mince de la poigne de sa main valide et courut à travers les bois. Il ne fallut à Théodore que quelques secondes pour la rattraper. Elle envoyait des coups dans tous les sens :
- Lâche-moi, t'es pas gentil en vérité.
- Mais si. Je suis désolé, je n'aurais pas dû m'énerver comme ça. C'est ma main qui me fait mal, tenta-t-il pour l'amadouer.
Aussitôt, elle se calma et déposa un bisou sur son moignon comme pour le soulager. Il ferma les yeux de joie puis la prit sur ses genoux, la câla dans son giron et la serra contre lui en observant le torrent ruisseler. Il l'entendit rire puis dire :
- Hé Mr. Patapouf, j'arrive pas à respirer.
- Désolé petite.
Il ne l'était pas. Reconnaissant plutôt de la confiance qu'on lui témoignait depuis un certain bout de temps.

Pauvre Sonia elle sait pas ou elle a mis les pied
La suitee

Ra et merde encore un malheur qui arrive a cette pauvre famille ça ne m'étonnerais pas si Sara devient folle!
La suite!

superbe suite

sonia ne sait pas a qui elle a faire la pauvre, un tarée de premier
ordre, un fou dangereux

je demande de toute urgence d'autre suite, rassure toi!! je les attend avec impatience et hate de lire, de savoir ce qui va se passer ensuite

met la suite viteeeeeeee s t p

s t p , s t p la suiteeeeeeeee vite

la pauvre petite

vivement la suite

Suite :




L'inspecteur Chase avait dû rentrer précipitamment au commissariat contacter ses supérieurs hiérarchiques. En attendant Sara et Michael rongeaient leur frein dans leur salon main dans la main. La vie semblait les avoir désertés. Le temps sécoulait lentement, très lentement. L'angoisse était insupportable, elle formait une boule dans leur gorge. Enfin, on sonna. c'était l'inspecteur.
- Désolé pour l'attente. Il y a du nouveau.
Michael serra Sara contre lui.
- Tout d'abord, sachez que les mesures de base ont été prises : quartier quadrillé avec barrages routiers, renforcement des surveillances aéroportuaires, plan d'urgence enlèvement Amber... Ensuite, l'unité 14 d'Arizona nous a informé d'une recrudescence de crimes sur la personne, essentiellement des femmes seules dans le dénuement matériel le plus total. Quelques rares cas de pères de familles.
Sara étouffa de sa main un cri d'horreur. Comprenant son émoi, l'inspecteur poursuivit néanmoins :
- Malgré ces exceptions, le profil a pu être rapidement tracé. La brigade est formelle quant à l'individu : Théodore Bagwell.
A ces mots, les yeux de Sara se révulsèrent, elle s'évanouit. Les deux hommes se penchèrent, prirent son pouls. Ils l'aspèrgèrent d'eau et la couvrirent. Ses joues reprirent des couleurs et lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle tomba sur deux regards inquiets. Sara sourit faiblement, tentant de les rassurer :
- Désolée. C'est trop pour moi. Le fait que j'ai contribué à l'évasion de cette ordure m'insupporte. N'y avait-il pas eu une acalmie ? Nous n'avons pas entendu parler de lui ces derniers temps. Pourquoi refaire surface maintenant ? demanda Sara.
- C'est là que ça devient intéressant. Tout porte à croire que les enlèvements successifs de votre fils puis de votre fille soient liés.







Ignacio avait encore du mal à réaliser qu'ils se trouvaient - Sam et lui - dans un hôtel quatre étoiles. Ils étaient considérés comme des témoins et en tant que tels bénéficiaient d'une protection renforcée. Cela impliquait beaucoup d'avantages dont celui de dormir dans un lieu décent, se vêtir correctement et manger à satiété. Sam se trouvait dans la chambre adjacente ; ils avaient un salon commun si bien qu'ils avaient un peu abusé des films en soirée, pelotonnés sur un canapé de molleton. Ignacio sortait à l'instant de la douche. Il entra sur la pointe des pieds dans la chambre de Sam qui lui avait emprunté son sweat fétiche. Il demanderait au service de chambre s'il était possible de le faire nettoyer. Il se sentit alors observé : Sam le regardait fixement depuis le seuil de sa salle de bains, en peignoir tout comme lui. Sans un mot elle s'approcha de lui et saisit sa main. Il sentit qu'elle tremblait. Rassemblant son courage, elle dit :
- Je suis prête.
Ignacio fronça les sourcils. Puis quand il saisit ce dont elle voulait parler, il cacha sa nervosité en se grattant le crâne, un tic qu'il avait pris de son vrai père d'après sa mère Sara.
- Tu sais, rien ne nous y oblige. Ce n'est pas vraiment le moment avec les recherches qui s'amplifient. Je ne crois pas que ce soit une bonne idée.
Samantha lui lâcha la main puis lui tourna le dos :
- Si je ne te plais pas, aies au moins le courage de l'admettre au lieu de sortir des arguments pas valables pour un sou. Qu'est-ce que je croyais de toute façon ? je ne suis que Sam, l'éternel garçon manqué.
Ignacio ne put continuer à la laisser délirer ainsi :
- Hé. Je veux seulement que tu sois sûre de ta décision. Et d'une certaine manière, je suis stressé. C'est la première fois pour moi aussi.
Sam lui sourit et dit :
- On va le faire ensemble alors.
Forte des sentiments qu'elle lisait dans les yeux de son petit-ami, Sam l'embrassa. Ils se dirigèrent vers le lit. Ils eurent un moment d'hésitation avec les protections trouvées dans le tiroir du chevet. Tout se passa dans la découverte et la joie.







Sonia se tortilla.
- Tu sais Mr. Patapouf, j'ai vraiment faim.
- Oui. Moi aussi. Ecoute, ce qu'on va faire c'est que toi tu vas rester pour surveiller la maison pendant que moi j'irai nous acheter quelque chose. Je ne serai pas long, promis.
- D'accord, répondit Sonia à Theodore.
Il partit donc le long du sentier, abandonna la voiture et poursuivit à pied en masquant son visage sous sa capuche à l'orée du bois.
Sonia s'ennuyait ferme mais sa maman lui avait appris à éviter les caprices. Aussi se tint-elle calme et observa les rouge-gorge. Mais le temps s'écoulait lentement pour une fille de sept ans bavarde en temps ordinaire. Lasse d'attendre Mr. Patatouf, elle se décida à constituer un bouquet de fleurs sauvages pour Sara, ça lui ferait plaisir. Un de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Sonia partit à la recherche des plus belles fleurs, se rapprochant dangereusement de la berge du torrent. Le bleuet était décidément trop tentant. Elle se pencha, se rapprocha, se pencha un peu plus et bascula dans l'eau glaciale. Le courant l'emporta.

pauvre sonia dans le torrent

Ignacio et sam ,et leur premiere fois , mimi

LA SUITE VITEEEEEEEEEEEE S T P

La pauvre petite, j'espère qu'elle sera sauvée???
Vivement la suite!!!!

faut la sauvée hein? tu promets??

vivement la suite

OMG
Qu'est ce qui va sse passer?
Pauvre Sonia
La suitee

je sais plus quoi dire à part que j'adore
et que je veux vite une suite

mais qu'est ce que tu nous fait là???? comment as tu osé faire ça a la petite Sonia la pauvre!! t'as pas honte c'est de pire en pire ... quoique... non en fait merci c'est bien qu'elle soit tombé dans le torrent comme ça elle n'est plus avec T-bag en tout cas j'attend la suite avec impatience!

Suite



- Regarde ce que je t'ai apporté, un vrai festin. Humm, qu'est-ce que ça sent bon...
Theodore s'interrompit : il n'y avait plus aucune trace de Triple S. Il l'appela à tue-tête, passant de l'énervement à l'inquiétude. Bientôt il dut se résigner : la gamine s'était fait la belle. Pourtant elle n'avait émis aucune velléité de fuite hormis lorsqu'il avait légèrement haussé le ton. Il pourrait même affirmer qu'elle l'aimait bien. T-Bag se mit donc à poursuivre ses recherches. Il s'enfonça dans le sous-bois en aval du cours d'eau, son instinct lui criait qu'il touchait au but. Puis il distingua une tâche bleue qui remuait. Il s'approcha et réalisa qu'il s'agissait de la fille Scofield. Elle était échouée sur la berge et convulsait, transie de froid. Theodore gagna du terrain et la prit dans ses bras, il ne savait quoi faire. Ses lèvres avaient pris une teinte violacée, la chaleur semblait l'avoir désertée. Resserrant son étreinte autour de son corps frêle, il repartit à leur campement en la frictionnant et en lui prodiguant des paroles réconfortantes. Depuis combien de temps gisait-elle sur la terre humide ? Pour la première fois de sa vie d'adulte, Theodore Bagwell, terreur de tout un peuple, ressentit de la culpabilité. La petite mourrait d'hypothermie s'il ne faisait rien. Avec précaution, il retira ses vêtements mouillés. En enlevant sa salopette, il repensa à l'expression fière de Sonia quand elle lui avait montré le logo qui y figurait sur la poche ventrale. Lorsqu'elle fut totalement déshabillée, il la couvrit de son blouson et tenta de lui faire avaler quelques bouchées de hot dog. Mais elle n'avait pas assez de forces. T-Bag sut qu'Il ne lui restait plus qu'une chose à faire.







- Inspecteur Chase, ravi de vous rencontrer.
- De même Cole. Je vous présente les époux Scofield. Leur cas est à traiter d'urgence car comme vous le savez, la vie d'enfants est en jeu. Une petite mise au point s'impose pour que tout le monde soit en phase au moment d'agir. Expliquez-nous les raisons qui vous ont amené à considérer Theodore Bagwell dans l'enlèvement de Sonia Scofield.
- Plusieurs officiers de mon unité ont pisté Bagwell sans jamais réussir à lui mettre la main dessus. Il était assez fier de cette prouesse et ne se gênait pas pour s'en vanter. Dernièrement nous avons réussi à capter une bribe de conversation. Son interlocuteur et lui parlaient d'un magot de 500000$. C'est là que j'ai fait le lien avec les deux enlèvements des enfants. Comme si T-Bag devait achever ce que l'autre n'avait pas eu la possibilité de faire.
- Que comptez- vous faire ? demanda Michael qui commençait à perdre patience.
- Nous avons plusieurs équipes qui travaillent dans un premier temps à des recherches plus approfondies. Bagwell n'a pas pu sortir de la ville. Ensuite nous attendrons son appel, le matériel dont nous disposons est sophistiqué, avec un peu de chance nous le localiserons. Enfin, l'inspecteur Chase et moi serons en première ligne sur les sites à risque : cabanes isolées, terrains vagues... Notre expert-psychologue a relu son dossier et a fait remarqué qu'il s'agit d'un homme désordonné qui a laissé son intelligence loin derrière lui. Il n'agit plus que par instinct. Voilà, des questions ? Rien ? Bien. Encore une chose Mr. Scofield, mon épouse sera ravie de discuter avec vous quand tout cela sera terminé, ajouta le lieutenant Cole avec un sourire énigmatique.







Ignacio et Sam avaient pris une autre douche. Ils se rhabillaient, se jetant des regards en coin. Rougissant lorsque leurs yeux se croisaient. Ils ne savaient pas quelle attitude adopter, c'était si nouveau pour eux.
- J'espère que tu ne regrettes pas, finit par dire Ignacio.
- Non. Pourquoi c'est ce que tu ressens ? rétorqua Sam, vivement.
- Pas du tout. Mais comme tu ne dis rien, ça m'inquiétait un peu.
- C'est pas parce que je ne dis rien que j'en pense rien.
Ignacio s'approcha :
- Et qu'est-ce que tu en penses ?
Il voulait l'inciter à parler, qu'elle se livre, qu'elle lui dise que c'était le jour le plus beau de sa vie, tout comme lui. Prenait-il ses désirs pour la réalité ?
- C'est une sensation bizarre. Ca fourmille dans mon ventre. Je suis heureuse et incrédule en même temps. C'est indescriptible. Je crois que je me sens bien.
Elle osa un sourire puis se retrouva dans ses bras la seconde qui suivit. Pensant qu'il ne serait pas entendu, Ignacio murmura : " Je t'aime Sam ". Elle lui répondit sur le même ton : " Moi aussi, je t'aime, el Gaucho ". Trop bien.







1, 2, 3, 4, 5. Insufflation. 1, 2, 3, 4, 5. Insufflation. 1, 2, 3, 4, 5... Theodore répétait ces gestes depuis quelques secondes seulement. il commençait à désespérer. Allez Triple S, on ira voir tous les pandas du monde si tu recraches l'eau se disait-il intérieurement. A croire qu'il suffit de le vouloir très fort pour que les voeux se réalisent : Sonia hoqueta, se cramponna à lui alors que l'air pénétrait dans ses poumons. Il avait réussi, exulta T-Bag. Soudain elle se mit à pleurer. Des sanglots terribles qui lui secouaient le corps. " Je veux ma maman ". Rien ne semblait pouvoir endiguer le flots de larmes. " D'accord, tu as gagné. Tu vas la revoir. " Le sourire qu'elle arbora le rasséréna du sacrifice à faire.

Cette suite est genial
Pauvre Sonia
J'espere qu'elle va s'en sortir
Ils sont trop mignons Sam et Ignacio
La suiteeee

magnifique , j'adore

bravo a toi , superbe suite



elle a eu chaud , la petite sonia , !!! bravo t-bag , tu lui a sauver la vie,!!! c'est bien !!!

j'espere qu'il va la ramener chez elle !!! dit !!!

met vite la suite:crazyy: s t p

Haaaaaaaaaa c'est trop bien pour une fois je félicite T-bag de son geste heureusement qu'elle n'est pas morte la petite Sonia!

Notre chèr T-Bag aurait-il plus qu'un vulgaire coeur de pierre??????
Superbe suite! !
A kan la prochaine????

Suite et fin :



- Commissariat central de Chicago.
- Je suis recherché par la police. Je m'appelle Theodore Bagwell. Soyez présents dans cinq minutes au Stand des Découvertes du centre-ville avec une ambulance. Passé ce délai, la vie de la petite en patira. Clic.
La nouvelle recrue n'en crut pas ses oreilles. Il signala l'appel à son supérieur qui était au domicile Scofield par l'intermédiaire de son talkie-walkie à longue portée :
- Chef. Chef ! Ici Palmer. Nous avons reçu un appel du fugitif. Il se rend. Nous disposons de cinq minutes pour arriver avec une ambulance au kiosque où se déroulent les expositions en ville. Je vous retrouve sur place, Percy contacte en ce moment même les secours.
- Très bien, répondit Chase. Contactez toutes les unités déjà postées au barrage, qu'elles redoublent de vigilance. Envoyez les unités 5 et 9 en renforts. Faites vite et ne me décevez pas recrue.
Chase monta à bort de son véhicule avec Douglas Cole, Sara et Michael. Il leur résuma brièvement la situation en conduisant. Il constata avec satisfaction que ses hommes avaient fait évacuer la zone en un temps record même si quelques curieux pointaient leur nez. Une corvette cabossée siégeait au milieu de la place.






- Dépêchez-vous, dit Dede Franklin. Vous allez bientôt retrouver vos familles et je suis chargée de superviser le bon déroulement des retrouvailles. Mon mari intervient en ce moment même avec les agents de votre secteur sur ... sur une affaire en cours. Nous attendrons à bonne distance qu'ils règlent la situation. Suivez-moi.
Ignacio garda la main fine de Sam dans sa main et entra dans la fourgonnette métalisée. Il s'interrogeait sur l'hésitation de la psychologue. Que cachait-elle ? La paume de Sam se fit moite. Il la connaissait assez pour savoir que l'adolescente craignait les retrouvailles avec sa famille. Ce qui était tout à fait légitime après sa fuite "injustifiée". Ses parents lui reprocheraient sans doute son absence prolongée. Lui attendait ce moment avec impatience. Il espérait seulement que sa relation naissante avec Sam se poursuivrait. Inquiet, il se pencha pour l'embrasser. Son engouement s'enflamma vite. Ce fut Sam qui régula sa fougue sous l'oeil goguenard de Dede. Il ne leur restait plus qu'à patienter.






Theodore descendit de la voiture. Il avait Sonia dans les bras. Les autorités lui crièrent de lâcher l'enfant et de poser ses mains sur la tête. Il tenta d'obéir mais Triple S s'agrippa à son cou avec la force du désespoir.
- Viens avec moi.
- Je ne peux pas. Tu te rappelles ce que tu m'avais dit ? Je suis méchant, dit-il alors que sa voix tremblait.
- C'est pas vrai. Je veux que tu viennes, répondit Sonia.
Malgré les armes braquées sur lui, Théodore réfléchit un moment.
- Ecoutez. Heu... la petite ne veut pas me lâcher. Je vais avancer doucement jusqu'à la civière, cria T-Bag. Les messages radio grésillaient. Les policiers échangeaient des signes de tête à distance.
- Je suis l'inspecteur Chase. Amenez Sonia aux ambulanciers et reculez sans faire de gestes brusques. Vous êtes cerné de tireurs d'élite. Un geste et vous êtes fait Bagwell.
Celui-ci se crispa en entendant la perspective. Il arriva, se défit de son étreinte difficilement puis laissa les menottes entraver sa liberté. Il fut plaqué au sol. Balotté sans ménagement dans le véhicule de police. Il tourna la tête au dernier moment pour voir que la petite avait un masque à oxygène sur la bouche. Il sourit, apaisé. Les journalistes, alertés par une fuite, interprêtaient déjà la raison de ce sourire. Vengeance assouvie. Indifférence des lois...






- Maman ?
Sara se redressa même s'il lui était difficile de quitter son bébé. Elle devait rêver. Ignacio matérialisé en face d'elle ? Il accourait pour se jeter dans ses bras. Que de joie, de bonheur ineffable. Les bras musclés de Michael les entourèrent. Sara sentait qu'il pleurait. A moins que ce ne soit elle. Elle ne savait plus. Elle couvrit le visage chéri de son fils de baisers. Sara sourit : pour une fois qu'il n'esquivait pas ses marques d'affection. Elle ressentit une pointe de regret car il avait grandi et muri sans qu'elle en profite. Michael avait pris Sam contre son coeur. La pauvre chérie pleurait comme délivrée d'un poids énorme.
- Pourquoi autant de policiers ? C'était si compliqué de vous retrouver en lieu sûr ? demanda Ignacio, plus lucide.
- Oh, mon chéri. Si tu savais. Sonia a été enlevée par Theodore Bagwell. C'est un peu compliqué. Viens, on va accompagner Darling à l'hôpital, nous raccompagnerons Sam d'abord.
- Non, ça va. Je préfère vous accompagner, murmura-t-elle.
Tous partirent voir le rétablissement de la puce.
Dans la salle d'attente, Michael s'entretint avec l'inspecteur Chase et le lieutenant Cole. Ils lui firent un compte rendu et le mirent en garde pour les jours à venir :
- Préparez-vous à un long procès. Vos enfants devront témoigner malheureusement. L'histoire n'est pas finie. Mais le plus dur est passé. Nous sommes ravis des résultats des médecins à savoir que Sonia n'a subi aucun sévice corporel, ce qui relève pratiquement de l'exploit connaissant Bagwell.
Chase les salua puis partit taper son rapport. Cole resta plus longtemps car il avait une rencontre à orchestrer comme promis. Dede se présenta devant Michael, émue. Celui-ci se tint coi un moment. Puis à force de fouiller dans sa mémoire, il se souvint d'une certaine photo dans les murs de Fox River.
- Bonjour Dede, votre père m'a beaucoup parlé de vous. Je n'ai jamais vu un père aussi fier de son enfant. Nous n'avons pas eu de contact depuis l'évasion, comment va-t-il ?
Michael vit le regard de son interlocutrice s'assombrir, son époux l'épaula.
- Il n'est plus de ce monde. Sa disparition remonte à trois ans maintenant depuis cette horrible fusillade qui a éclaté. Un vandale a ouvert le feu sans raison particulière. Les caméras montrent le visage de Théodore Bagwell. Mon père a voulu protéger une dame âgée et a pris une balle perdue. Il n'a presque pas souffert heureusement. Quant à savoir la raison de leur présence à tous les deux en un même lieu, personne ne le saura jamais.
Michael serra ses mains en un signe de réconfort :
- Nous avons tous perdu beaucoup dans cette histoire. Je vous aiderai à lui faire prendre le maximum. Comptez sur moi.
Cette journée contentait un maximum de personne.






Des mois plus tard
Au terme d'un procès houleux, la condamnation de Theodore Bagwell ne se solda pas par la peine capitale mais par l'internement psychiatrique. En effet, se voyant refuser les visites de son amie temporaire Sonia Scofield, T-Bag sombra dans la folie. Il était dans un état catatonique, hors d'état de nuire. Parfois il passait un court séjour dans la salle capitonnée muni d'une camisole. Le reste du temps, il dessinait des bleuets entremêlés de trois S. Certains pensaient qu'il s'agissait d'armoiries d'ancêtres lointains. D'autres penchaient pour l'illusion de dollars. Lui, préférait se cloitrer dans son univers fleuri où personne ne pénétrait. Sonia regardait souvent par la fenêtre, mélancolique de son ami perdu.

magnifique fin




bravo , je suis soulager que ca se finisse bien

merci pour cette fic , superbe

Génial surper fic

dommage que ça soit la fin

HOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU trop bien comme fin T-bag me fait même de la peine mais tout est bien qui finit bien superbe fic j'espere qu'on en aura une autre de toi

Dommage que se soit deja la fin
Mais ta fic était vraiment Géniale!!!
Félicitation a toi!!!!!!!!

dommage que ce soit déjà la Fin, mais elle est super bien.

du suspense et de l'émotion juqu'au bout.