Jeunesse
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Jeunesse
...c'est gentil mdrrr...je la sentais bien cette suiteT'es très intuitive miss.
sinon je n'ai que deux mots à dire: TROP BIEN ou LA SUITE ou VRAIEMENT SUPER.... ( finalement j'avais beaucoup de chose à dire...en deux mots!!)
linda025- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Jeunesse
je viens de decouvrir ta fic est bien j'adore
ca chancge de les voir plus jeune
la suite stp
ca chancge de les voir plus jeune
la suite stp
Re: Jeunesse
Ma chère Magalie, je viens de rentrer du lycée et pour mon plus grand plaisir, je viens de lire ta fic d'une traite. Et je n'ai que un truc à dire: C'est Parfait.
Sérieusement, j'adore ta façon d'écrire, tu utilise toujours les bons mots, ton vocabulaire est super...(je ne suis pas une experte mais être en L ça aide^^)
Et c'est un plaisir de voir Michael et Sara à l'université, Michael prennat (déjà^^) soin de Sara...Bref, un véritable plaisr pour mon âme de romantique et de L!!!
Merciiiii!!!!!!!!
Sérieusement, j'adore ta façon d'écrire, tu utilise toujours les bons mots, ton vocabulaire est super...(je ne suis pas une experte mais être en L ça aide^^)
Et c'est un plaisir de voir Michael et Sara à l'université, Michael prennat (déjà^^) soin de Sara...Bref, un véritable plaisr pour mon âme de romantique et de L!!!
Merciiiii!!!!!!!!
Nickki- Retrouve Steadman
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Re: Jeunesse
Nickki a écrit:Ma chère Magalie, je viens de rentrer du lycée et pour mon plus grand plaisir, je viens de lire ta fic d'une traite. Et je n'ai que un truc à dire: C'est Parfait.
Sérieusement, j'adore ta façon d'écrire, tu utilise toujours les bons mots, ton vocabulaire est super...(je ne suis pas une experte mais être en L ça aide^^)
Et c'est un plaisir de voir Michael et Sara à l'université, Michael prennat (déjà^^) soin de Sara...Bref, un véritable plaisr pour mon âme de romantique et de L!!!
Merciiiii!!!!!!!!
T'es trop marrante. Tu fais option théâtre ? Sinon songes-y sérieusement.
La suite :
Sara s’éveilla péniblement le lendemain au chant des oiseaux. Hmm, elle pressentait qu’il faudrait du temps avant que sa migraine ne reflue. C’était la dernière fois qu’elle s’adonnait aux joies de l’alcool, se dit-elle. Un instant de bien-être ne valait pas tant de souffrance. Puis elle s’interrompit. Depuis quand les murs de sa chambre au campus étaient-ils vert bouteille ? Et cette courtepointe ? Ne portait-elle pas habituellement des félins craintifs au lieu de ces motifs géométriques ? Le retour sur terre était un peu brutal. Elle devait sans doute faire un mauvais rêve. Sara esquissa une moue de crispation : la douleur qui pulsait à ses tempes était bien trop présente pour ne figurer qu’en songe et une grimace : sa robe avait souffert de cette nuit. Sara se dirigea machinalement, tentant désespérément de se remémorer un fragment de sa soirée mais sa mémoire semblait la titiller. Elle tomba sur Michael profondément endormi, à première vue en habit de naissance. Mais ce drap entortillé autour de son corps d’adonis l’empêchait de l’affirmer avec certitude. Sara ne prit véritablement conscience de la tournure dangereuse que prenaient ses pensées qu’à l’instant où elle rencontra ses prunelles limpides. Il venait de se réveiller et la narguait du regard mais la jeune femme en soutint l’intensité même si elle ne doutait plus une seconde que ses joues devaient avoir pris une teinte cramoisie.
- Tu apprécies la vue ?
- Peut-être bien.
- Je suis sûr que tu aimeras encore plus te délasser sous une bonne douche chaude. Je te prêterai des habits, il faut faire avec les moyens du bord. Fais vite, nous devons parler ajouta-t-il le plus sérieusement du monde.
Elle retint son souffle puis expira un soupir de soulagement à la vue du boxer qu’il portait. Le jet brûlant lui fit effectivement du bien, effaçant les dernières limbes de sa nuit douteuse. Avait-elle abusé de l’hospitalité de son hôte ? Elle sortit de la salle d’eau, revigorée et remarqua qu’il avait revêtu un peignoir et servait du café dans deux mugs.
- Alors Sara, vas-tu me dire qui tu es vraiment ?
- Je ne saisis pas l’allusion. Il me semble avoir joué franc jeu avec toi.
- Ce n’est pas franchement l’impression que tu donnes : lors de notre première rencontre tu paraissais apeurée, puis rayonnante au bras de ton musicien et je te retrouve à la limite de l’inconscience gisant sur le sol, seule. Tu avoueras que tout ça manque de cohérence.
- J’étais donc seule, murmura-t-elle, dégoûtée de la lâcheté de ses « amis ».
Non seulement ils l’avaient entraînée sur la pente descendante, en territoire inconnu mais ils l’abandonnaient à son sort alors qu’elle était novice.
- Je peux faire quelque chose ? demanda Michael doucement, tentant de la ménager le plus possible. Elle paraissait choquée, brisée.
- Non, pas vraiment.
- Sinon, tu as des projets particuliers en général le samedi ? Sans attendre sa réponse il dit : « Allez, c’est parti pour une journée de folie ».
Dernière édition par magalie le Ven 22 Déc - 17:36, édité 1 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
Rien a dire j'adore toujours!
C'est un reél plaisir de te lire!
C'est un reél plaisir de te lire!
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Jeunesse
Je ne fais pas option théatre mais une chose est sûre: Je veux la suite!!
Nickki- Retrouve Steadman
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Re: Jeunesse
je suis comme toi nickki la suite la suite
lizevans- A la recherche de Bolshoi Booze
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Re: Jeunesse
la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
linda025- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Jeunesse
- Non, je n’y arriverai pas.
- Tu te révèles enfin sous ton vrai jour, espèce de poule mouillée ! dit Michael taquin.
- Je te signale que le patinage est une discipline défiant toutes les lois de l’équilibre asséna Sara rageusement.
Comme elle enviait son aisance. Il progressait de manière fluide parmi les gens sur la patinoire publique extérieure en plein centre ville. Il avait fait un tour complet et elle quelques misérables pas si bien qu’il la rattrapa. Le voyant arriver à toute allure Sara paniqua, faillit tomber mais retrouva miraculeusement ses appuis : Michael la tenait fermement L’instant paraissait comme surgi hors du temps. Sara rompit l’étreinte, ressentant un malaise à l’idée de s’attacher aussi rapidement à cet inconnu.
- Je suis un peu fatiguée. Viens, j’t’invite sur le bateau mouche. Je crois que la prochaine navette est dans une vingtaine de minute.
Michael sourit devant ce manque d’audace et la suivit. A bord, le silence entre eux n’était pas gênant. Ils savouraient ces minutes de calme n’éprouvant pas le besoin de parler. Puis Michael commença :
- Tu sais Sara, je trouve que tu es une chic fille. En te découvrant hier dans la loge je me suis fait une petite idée de la tournure qu’avaient pu prendre les évènements ? T’as pas le droit de gâcher ton potentiel. Tu es généreuse, intelligente, vive d’esprit, mystérieuse à la fois.
- On peut dire que toi au moins tu ne mâches pas tes mots, dit Sara surprise et touchée.
- Je ne parle jamais pour ne rien dire, exact. Ce n’était pas une critique. Seulement si tu as des problèmes, tu ne les résoudras pas ainsi. Je peux t’aider si tu en éprouves le besoin.
- Merci Michael.
Le jeune homme essuya la larme furtive du visage de Sara. Celle-ci se confia. Elle raconta la tendre complicité qui la liait jadis avec sa mère puis les doutes pendant la période de solitude qui avait succédé à l’enfance. Elle s’était mal remise de son décès brutal causé par la rupture d’un anévrisme. Les multiples déménagements dus à la popularité grandissante de son père avaient contraint l’adolescente réservée qu’elle était à s’épanouir sans amis précieux, sans confident. Elle évoqua également sa timidité maladive face aux hommes ainsi que sa relation tumultueuse avec Andrew. A aucun moment Michael ne l’interrompit. Manifestement, Sara avait accumulé beaucoup de souffrance et de sentiments contradictoires. Ils se ressemblaient sur ce point. Le jour commençait à décliner. Michael jugea plus prudent de la raccompagner. Ils flânèrent le long des sentiers fleuris en bord de route, dégustant une glace. Ce fut au tour de Michael de se confier. Mais il n’était pas très exhaustif. Sara apprit seulement qu’il avait perdu sa mère encore plus tôt qu’elle, que son père avait disparu, il ne l’avait jamais vu, et que son frère trempait dans des affaires louches. Elle ressentit un brusque élan de compassion mais se retint de manifester ses sentiments de peur qu’il ne se méprenne et ne se sente insulté. Ils arrivèrent enfin devant sa porte et se turent un moment, sentant que cette journée marquait un tournant dans leur vie. En vérité la jeune femme désirait plus que tout qu’il l’embrasse, mais il se contenta de ranger une mèche derrière son oreille et lui sourit. Au revoir. A bien y réfléchir c’était encore plus distingué. Sara appréciait le respect qu’il lui manifestait. Un soupir de béatitude sortit de ses lèvres et elle pénétra dans son enceinte, sur son nuage.
Dernière édition par magalie le Jeu 29 Mar - 14:34, édité 4 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
c'est super mignon, j'adore. dis moi qu'ils vont sortir ensemble.... elle va les quitter ses copains naze sara... hein ????
Galath- Déchiffre l'origami
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Re: Jeunesse
c'est trop mignon ta fic je veux la suite.
dolphie- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Jeunesse
Jsuis a fond dans ta fiiiic
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Jeunesse
Suite :
- Mais t’étais où ? Dit la voix pleurnicharde de Stacy.
- Sara, tu n’as rien j’espère ? On s’est fait tellement de souci à ton sujet, confirma Brenda lui ouvrant ses bras afin qu’elle s’y blottît.
- Vraiment ? Soyez honnêtes avec moi pour une fois les filles. Si vous étiez vraiment inquiètes, comment se fait-il qu’on m’ait retrouvé inconsciente, sur un sol froid et SEULE. Et mon téléphone, je ne l’ai jamais entendu sonner. Personne pour prendre de mes nouvelles.
- Oh, si tu le prends comme ça ! se vexa Stacy. C’était ton premier trip, tu risquais rien. Et puis tu n’étais pas livrée complètement à ton propre sort, chérie. Daddy Frankie a essayé plusieurs fois de te joindre sur notre ligne. J’ai fini par décrocher. Il paraissait sincèrement inquiet et furieux de ton absence.
Il ne manquait plus que ça, se dit Sara. Elle penserait à son père plus tard. Elle avait mieux à faire. Sara se rendit dans sa chambre dont elle referma la chambre en signe de désir de tranquillité. Elle se plongea dans ses révisions mais son esprit dériva. Elle griffonnait des mots sans suite. Sara soupira, elle ne s’était pas sentie aussi heureuse depuis un bon moment. Elle aurait voulu que cette quiétude durât pour toujours.
Michael sifflotait joyeusement sur le chemin vers son studio. Sara avait le don de révéler sa facette joyeuse la plupart du temps enfouie. C’était sa fraîcheur, sa façon de rougir comme une jouvencelle qui l’avait le plus intriguées. Sara avait tout pour plaire et pourtant elle souffrait. Ses confidences le laissaient perplexe. Il lui semblait qu’elle avait fait allusion à l’ascension fulgurante de son père. Mais impossible de se rappeler dans quel domaine. Elle avait certainement oublié de le lui dire. Plus tard.
- Bonjour, Monsieur Scofield.
Michael retomba sur terre. Il n’avait pas réalisé qu’une Berline s’était arrêté à son niveau. Quoi de plus normal au demeurant puisqu’il passait devant le parking.
- Que puis-je faire pour vous ? demanda-t-il, sur ses gardes car son interlocuteur connaissait son identité et lui pas.
Il se rapprocha et distingua mieux à qui il avait affaire : il s’agissait de l’adjoint au maire de Chicago : Frank Tancredi.
- Laissez ma fille tranquille.
- Je vous demande pardon ?
- Je ne vous le répèterai pas. Eloignez vous de ma fille. Sara n’a besoin d’aucun élément perturbateur. Une brillante carrière l’attend.
- Sauf votre respect, Sara est adulte, vous pourriez vous adressez à elle directement. Et pour votre information, je ne lui ferai aucun mal.
- Cette conversation dure inutilement. Je me suis renseigné sur vous. Cessez de la voir, ou vous le regretterez.
Et la voiture s’en fut. Michael avançait, distrait. Sara avait menti par omission. Elle lui avait délibérément caché le statut de son père. Pourquoi ? Il en aurait le cœur net prochainement.
- Mais t’étais où ? Dit la voix pleurnicharde de Stacy.
- Sara, tu n’as rien j’espère ? On s’est fait tellement de souci à ton sujet, confirma Brenda lui ouvrant ses bras afin qu’elle s’y blottît.
- Vraiment ? Soyez honnêtes avec moi pour une fois les filles. Si vous étiez vraiment inquiètes, comment se fait-il qu’on m’ait retrouvé inconsciente, sur un sol froid et SEULE. Et mon téléphone, je ne l’ai jamais entendu sonner. Personne pour prendre de mes nouvelles.
- Oh, si tu le prends comme ça ! se vexa Stacy. C’était ton premier trip, tu risquais rien. Et puis tu n’étais pas livrée complètement à ton propre sort, chérie. Daddy Frankie a essayé plusieurs fois de te joindre sur notre ligne. J’ai fini par décrocher. Il paraissait sincèrement inquiet et furieux de ton absence.
Il ne manquait plus que ça, se dit Sara. Elle penserait à son père plus tard. Elle avait mieux à faire. Sara se rendit dans sa chambre dont elle referma la chambre en signe de désir de tranquillité. Elle se plongea dans ses révisions mais son esprit dériva. Elle griffonnait des mots sans suite. Sara soupira, elle ne s’était pas sentie aussi heureuse depuis un bon moment. Elle aurait voulu que cette quiétude durât pour toujours.
Michael sifflotait joyeusement sur le chemin vers son studio. Sara avait le don de révéler sa facette joyeuse la plupart du temps enfouie. C’était sa fraîcheur, sa façon de rougir comme une jouvencelle qui l’avait le plus intriguées. Sara avait tout pour plaire et pourtant elle souffrait. Ses confidences le laissaient perplexe. Il lui semblait qu’elle avait fait allusion à l’ascension fulgurante de son père. Mais impossible de se rappeler dans quel domaine. Elle avait certainement oublié de le lui dire. Plus tard.
- Bonjour, Monsieur Scofield.
Michael retomba sur terre. Il n’avait pas réalisé qu’une Berline s’était arrêté à son niveau. Quoi de plus normal au demeurant puisqu’il passait devant le parking.
- Que puis-je faire pour vous ? demanda-t-il, sur ses gardes car son interlocuteur connaissait son identité et lui pas.
Il se rapprocha et distingua mieux à qui il avait affaire : il s’agissait de l’adjoint au maire de Chicago : Frank Tancredi.
- Laissez ma fille tranquille.
- Je vous demande pardon ?
- Je ne vous le répèterai pas. Eloignez vous de ma fille. Sara n’a besoin d’aucun élément perturbateur. Une brillante carrière l’attend.
- Sauf votre respect, Sara est adulte, vous pourriez vous adressez à elle directement. Et pour votre information, je ne lui ferai aucun mal.
- Cette conversation dure inutilement. Je me suis renseigné sur vous. Cessez de la voir, ou vous le regretterez.
Et la voiture s’en fut. Michael avançait, distrait. Sara avait menti par omission. Elle lui avait délibérément caché le statut de son père. Pourquoi ? Il en aurait le cœur net prochainement.
Dernière édition par magalie le Ven 22 Déc - 17:41, édité 1 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
Vous êtes gentilles les filles, merci
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
j'adore
Vivement la suite
Il est méchant papa Tancredi
Il est tout gentil tout mignon Mickey il ferait pas de mal à une mouche.
Vivement la suite
Il est méchant papa Tancredi
Il est tout gentil tout mignon Mickey il ferait pas de mal à une mouche.
Re: Jeunesse
Génial
J'ai hate de voir la suite
J'ai hate de voir la suite
Lydwine- Membre de la thérapie avec Sara
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Date d'inscription : 13/11/2006
Re: Jeunesse
suite :
Ils passèrent beaucoup de temps ensemble. Visites au musée, promenades près du lac, séances ciné… occupaient leurs week-ends. La semaine, ils se consacraient à leurs études et attendaient patiemment leurs retrouvailles ils étaient inséparables.
- Noms des membres des Beatles ?
- Facile : John Lennon, Paul McCartney, George Harrisson, Ringo Starr. A toi, dans quel fleuve se jette l’Orénoque ?
- C’est quoi cette question difficile ? Pas étonnant que tu gagnes à chaque fois à ce quiz
- Ne sois pas mauvaise perdante.
Au côté opposé du campus, les deux colocataires de Sara déliaient leurs langues :
- Sara vit carrément sur une autre planète. On la voit à peine. Après tout ce qu’on a fait pour elle. Quelle ingrate. Pas besoin d’être grand clerc pour savoir ce qui la distrait.
Et elles partirent d’un grand rire méchant, occultant la traîtresse de leurs pensées.
- Sara, j’aimerais savoir un truc, dit Michael.
Ils étaient tous deux en train de se préparer un dîner pour leur soirée habituelle du samedi. Ils avaient prévu de regarder un film loué au vidéoclub dans le studio de Michael
- Hmm ?
- Pourquoi ne m’as-tu pas dit que tu étais la fille de Frank Tancredi ?
Sara cessa de s’activer et pris du temps pour répondre. Se doutant que tôt ou tard elle devrait en dire plus sur son père.
- Tu vois Michael, à chaque fois que je disais que j’étais sa fille, le comportement des gens change du tout au tout. J’ai pu voir leurs yeux briller de concupiscence, de mépris puisqu’il a des idées bien arrêtées et catégoriques en matière de sécurité. Donc je me méfie à présent. Tu comprends ?
- Oui, désolé que tu aies eu à subir cela mais je ne suis pas comme ça.
- Au fait comment l’as-tu appris ?
- Aucune importance. Viens là.
Et Sara se lova dans ses bras puis suivit l’intrigue du film. A la fin, Michael esquissa un geste pour se lever mais Sara s’enorgueillit et resserra l’étau de ses bras puis sachant que si elle n’agissait pas rapidement sous le coup de son impulsion elle n’aurait pas le courage nécessaire pour poursuivre son action, elle s’approcha et l’embrassa. Ils semblaient coupés du monde, savourant cet instant de bonheur indicible. La jeune femme s’accrochait à la nuque de Michael sous le coup d’une émotion grandissante. Michael faisait aller et venir ses mains sur sa peau satinée. Enthousiasmé, il approfondit leur baiser se sentant devenir fébrile. Il n’avait jamais rencontré de fille aussi fascinante, aussi vraie. Ses réactions étonnées sous-entendaient son inexpérience. Cette pensée mit fin à leur étreinte, Michael se dégagea. Tous deux se regardèrent, effarés, haletants.
- Pourquoi t’es-tu arrêté ? reprocha Sara vexée.
- Tu franchis les étapes un peu trop vite, tu ne crois pas ?
- Non. Tu me plais. Avec toi je me sens bien. Nous sommes deux adultes consentants, vaccinés, enfin je crois. Et à vingt-et-un ans il serait temps que j’en sache un peu plus sur le sujet.
- Sara, ma tendre et belle Sara. Je ne vais pas gâcher ce qu’il y a entre nous parce que nous sommes trop impatients.
- Mouais, répondit Sara, peu convaincue. Bon je rentre, je vais travailler un peu.
Un léger baiser d’adieu et elle s’en fut.
Ils passèrent beaucoup de temps ensemble. Visites au musée, promenades près du lac, séances ciné… occupaient leurs week-ends. La semaine, ils se consacraient à leurs études et attendaient patiemment leurs retrouvailles ils étaient inséparables.
- Noms des membres des Beatles ?
- Facile : John Lennon, Paul McCartney, George Harrisson, Ringo Starr. A toi, dans quel fleuve se jette l’Orénoque ?
- C’est quoi cette question difficile ? Pas étonnant que tu gagnes à chaque fois à ce quiz
- Ne sois pas mauvaise perdante.
Au côté opposé du campus, les deux colocataires de Sara déliaient leurs langues :
- Sara vit carrément sur une autre planète. On la voit à peine. Après tout ce qu’on a fait pour elle. Quelle ingrate. Pas besoin d’être grand clerc pour savoir ce qui la distrait.
Et elles partirent d’un grand rire méchant, occultant la traîtresse de leurs pensées.
- Sara, j’aimerais savoir un truc, dit Michael.
Ils étaient tous deux en train de se préparer un dîner pour leur soirée habituelle du samedi. Ils avaient prévu de regarder un film loué au vidéoclub dans le studio de Michael
- Hmm ?
- Pourquoi ne m’as-tu pas dit que tu étais la fille de Frank Tancredi ?
Sara cessa de s’activer et pris du temps pour répondre. Se doutant que tôt ou tard elle devrait en dire plus sur son père.
- Tu vois Michael, à chaque fois que je disais que j’étais sa fille, le comportement des gens change du tout au tout. J’ai pu voir leurs yeux briller de concupiscence, de mépris puisqu’il a des idées bien arrêtées et catégoriques en matière de sécurité. Donc je me méfie à présent. Tu comprends ?
- Oui, désolé que tu aies eu à subir cela mais je ne suis pas comme ça.
- Au fait comment l’as-tu appris ?
- Aucune importance. Viens là.
Et Sara se lova dans ses bras puis suivit l’intrigue du film. A la fin, Michael esquissa un geste pour se lever mais Sara s’enorgueillit et resserra l’étau de ses bras puis sachant que si elle n’agissait pas rapidement sous le coup de son impulsion elle n’aurait pas le courage nécessaire pour poursuivre son action, elle s’approcha et l’embrassa. Ils semblaient coupés du monde, savourant cet instant de bonheur indicible. La jeune femme s’accrochait à la nuque de Michael sous le coup d’une émotion grandissante. Michael faisait aller et venir ses mains sur sa peau satinée. Enthousiasmé, il approfondit leur baiser se sentant devenir fébrile. Il n’avait jamais rencontré de fille aussi fascinante, aussi vraie. Ses réactions étonnées sous-entendaient son inexpérience. Cette pensée mit fin à leur étreinte, Michael se dégagea. Tous deux se regardèrent, effarés, haletants.
- Pourquoi t’es-tu arrêté ? reprocha Sara vexée.
- Tu franchis les étapes un peu trop vite, tu ne crois pas ?
- Non. Tu me plais. Avec toi je me sens bien. Nous sommes deux adultes consentants, vaccinés, enfin je crois. Et à vingt-et-un ans il serait temps que j’en sache un peu plus sur le sujet.
- Sara, ma tendre et belle Sara. Je ne vais pas gâcher ce qu’il y a entre nous parce que nous sommes trop impatients.
- Mouais, répondit Sara, peu convaincue. Bon je rentre, je vais travailler un peu.
Un léger baiser d’adieu et elle s’en fut.
Dernière édition par magalie le Jeu 29 Mar - 14:41, édité 3 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
Magnifique ta fic !
Mais....mais....mais... pourquoi tu t'en vas Sara ? C'est vraiment un amour ce Mike.
J'attend la suite VITE
Mais....mais....mais... pourquoi tu t'en vas Sara ? C'est vraiment un amour ce Mike.
J'attend la suite VITE
AcTerre- Rendez vous avec le Coyote...
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Re: Jeunesse
j'écris la fic au fur et à mesure, ce qui prend du temps.
Sara débutait son stage à l’hôpital. Elle aimait tout particulièrement être sur le terrain, au contact des gens. Aujourd’hui elle s’occuperait du service pédiatrie. Elle passait de chambre en chambre, écoutait les confidences de ces enfants apeurés, vérifiait leurs perfusions, pansements, traitements. Midi arriva et elle sortit, elle avait rendez-vous avec Michael.
Sara approcha de l’orme, un sourire aux lèvres. Sourire qui s’éteignit à la vue des hématomes qui couvraient les parcelles de peau visibles de Michael
- Oh mon dieu, que s’est-il passé ? s’écria Sara, horrifiée.
- Rien, je…
- Viens, je vais désinfecter tes plaies et nous en discuterons.
- Sara, écoute. Les choses se sont passées un peu précipitamment depuis notre rencontre. Je pense qu’il serait préférable de mettre un peu de distance, de réfléchir.
- A quoi penses-tu exactement ? dit Sara d’une voix blanche.
- L’université de l’Illinois est intéressée par mon profil et je me suis vu accordé une place. C’est une offre qui ne se renouvellera pas.
- Ca y est, tu t’es bien amusé avec moi et maintenant c’est fini ? Je trouvais bizarre que tu t’intéresses à moi alors que je n’ai rien à t’apporter.
- Sara, tu te trompes…
- Epargnes moi le numéro du mec sensible à qui il arrive les pires malheurs. A partir de maintenant, tu ne fais plus partie de ma vie.
Sur cette tirade tragique assénée avec violence, Sara partit en direction de l’hôpital, bouleversée. Michael resta un long moment immobile, les bras ballants, souffrant en silence, le cœur brisé. Les sbires de Frank Tancredi s’étaient emparés de lui, dans une tentative dissuasive afin qu’il cesse tout contact avec la jeune femme. Michael s’était regimbé, refusant d’abandonner leur amour naissant. S’en était suivit une série de coups ajustés jusqu’à ce qu’il cède. En effet le père de Sara l’avait menacé de faire jouer ses relations et ruiner son avenir dans l’architecture. Le problème de Michael se révélait donc insoluble. Hormis l’option qui l’anéantissait à savoir quitter Sara.
- Mlle Tancredi, j’aimerais m’entretenir avec vous quelques instants, l’interpella le médecin titulaire de son service.
- Oui bien sûr. Et elle le suivit dans son bureau.
- J’ai cru comprendre que vous vous étiez particulièrement attachée à l’un de nos jeunes patients, le petit Tommy Silva.
- C’est exact.
- J’ai malheureusement le regret de vous apprendre son décès en début d’après-midi. Il semblerait qu’il ait arraché ses cathéters durant son sommeil. Je suis désolé.
Le choc tétanisa Sara, le sol semblait comme s’être ouvert à ses pieds pour l’engloutir. Elle eut du mal à terminer sa journée de travail, épuisée émotionnellement. Arrivée devant sa porte, la tension accumulée la submergea et elle s’effondra. Sandy la trouva recroquevillée, la fit entrer et attendit qu’elle reprît ses esprits. C’était la première fois qu’elle voyait son amie dans un tel état de désespoir. Sara se demandait comment elle pourrait survivre à cette épreuve, l’homme qu’elle aimait l’avait rejetée comme une malpropre. Il devait préférer les femmes plus extraverties, plus expérimentées. Tout ce qu’elle n’était pas. Elle avait pourtant cru qu’il se passait quelque chose d’intense entre eux. Il fallait croire que non. Sara fit part de ses sombres pensées à ses colocataires qui lui proposèrent un second trip. Après tout, pourquoi pas, au point où elle en était…
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
J'adore toujours autant ta fic, elle est vraiment géniale.
J'attend avec impatience la suite
J'attend avec impatience la suite
kanako- Rendez vous avec le Coyote...
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Re: Jeunesse
kanako a écrit:J'adore toujours autant ta fic, elle est vraiment géniale.
J'attend avec impatience la suite
Merci, c'est très gentil, en cours d'écriture.
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
Avis à tous, la fic' se termine bientôt, dans deux ou trois messages maximum, environ.
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
J'ai trouvé l'énergie nécessaire pour achever la fic'. Donc voilà :
Michael partit le lendemain, inconscient des ravages laissés dans la vie de sa dulcinée. Il se consacrait à ses études, s’intégrait peu aux étudiants qui partageaient les mêmes cours que lui. Il s’épuisait à la tâche pour ne pas penser à elle. Mais un jour, sa résistance craqua. Michael apprit que son père avait découvert sa fille les yeux révulsés, le pouls ralenti sous l’effet de la drogue et envoyé en cure de désintoxication. Elle n’en ressortirait pas avant un bon bout de temps. Abattu Michael s’en alla, tirant un trait sur cette parenthèse exceptionnelle, hors du temps. Cette autre expérience de la vie dont il était ressorti brisé.
8ans plus tard :
Sara travaillait depuis peu au pénitencier d’Etat de Fox River, les épreuves de la vie l’ayant amené à tendre la main à son prochain. Lors de ses études à la fac de médecine, elle avait fait la rencontre d’individus prétendant être ses amis. Elle avait agi de manière inconsidérée en leur présence, mettant sa propre vie en péril. Sara avait également fait la connaissance de son premier amour. Elle fronça les sourcils, assise devant un tas de dossiers. La thérapie qu’elle avait suivie l’avait profondément marquée dans le sens où le psychologue qui la suivait avait diagnostiqué chez elle des troubles post-traumatiques aggravés. Selon lui, elle avait créé Michael de toute pièce afin de combler le vide affectif causé par la disparition de sa mère. On l’avait convaincu que cet homme à qui elle avait voué un profond amour n’était pas réel, que sa thérapie dépendait de l’acceptation de cet élément. Sara s’y était donc faite sans toutefois comprendre comment une telle chose avait bien pu lui arriver. Elle se ressaisit. Un nouveau prisonnier faisait son entrée en ces murs et devait arriver d’une minute à l’autre. Quand il entra, le cœur de Sara manqua un battement. Michael se tenait en chair et en os devant ses yeux.
- Bonjour Monsieur Scofield, dit-elle consultant sa fiche. Nous sommes nous déjà rencontrés quelque part ? A moins que vous ne me rappeliez quelqu’un.
- Malheureusement non. Si j’avais eu le plaisir de vous rencontrer, sachez que je ne vous aurais plus quittée depuis, rétorqua insolemment le nouveau détenu.
L’examen se déroula dans une ambiance électrique. La jeune femme le dévisageait à la dérobée.
Michael partit le lendemain, inconscient des ravages laissés dans la vie de sa dulcinée. Il se consacrait à ses études, s’intégrait peu aux étudiants qui partageaient les mêmes cours que lui. Il s’épuisait à la tâche pour ne pas penser à elle. Mais un jour, sa résistance craqua. Michael apprit que son père avait découvert sa fille les yeux révulsés, le pouls ralenti sous l’effet de la drogue et envoyé en cure de désintoxication. Elle n’en ressortirait pas avant un bon bout de temps. Abattu Michael s’en alla, tirant un trait sur cette parenthèse exceptionnelle, hors du temps. Cette autre expérience de la vie dont il était ressorti brisé.
8ans plus tard :
Sara travaillait depuis peu au pénitencier d’Etat de Fox River, les épreuves de la vie l’ayant amené à tendre la main à son prochain. Lors de ses études à la fac de médecine, elle avait fait la rencontre d’individus prétendant être ses amis. Elle avait agi de manière inconsidérée en leur présence, mettant sa propre vie en péril. Sara avait également fait la connaissance de son premier amour. Elle fronça les sourcils, assise devant un tas de dossiers. La thérapie qu’elle avait suivie l’avait profondément marquée dans le sens où le psychologue qui la suivait avait diagnostiqué chez elle des troubles post-traumatiques aggravés. Selon lui, elle avait créé Michael de toute pièce afin de combler le vide affectif causé par la disparition de sa mère. On l’avait convaincu que cet homme à qui elle avait voué un profond amour n’était pas réel, que sa thérapie dépendait de l’acceptation de cet élément. Sara s’y était donc faite sans toutefois comprendre comment une telle chose avait bien pu lui arriver. Elle se ressaisit. Un nouveau prisonnier faisait son entrée en ces murs et devait arriver d’une minute à l’autre. Quand il entra, le cœur de Sara manqua un battement. Michael se tenait en chair et en os devant ses yeux.
- Bonjour Monsieur Scofield, dit-elle consultant sa fiche. Nous sommes nous déjà rencontrés quelque part ? A moins que vous ne me rappeliez quelqu’un.
- Malheureusement non. Si j’avais eu le plaisir de vous rencontrer, sachez que je ne vous aurais plus quittée depuis, rétorqua insolemment le nouveau détenu.
L’examen se déroula dans une ambiance électrique. La jeune femme le dévisageait à la dérobée.
Dernière édition par magalie le Mer 5 Sep - 23:49, édité 4 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
et enfin :
De retour dans sa cellule, alors que Sucre écrivait à Maricruz, Michael tentait de calmer sa respiration saccadée. Il avait subi une véritable torture lors de son entrevue avec le Dr.Tancredi. Sa chère Sara, qu’il n’avait revue depuis ce jour funeste. A quoi bon raviver les mauvais souvenirs. Elle s’était apparemment épanouie sans lui. Il avait donc décidé en son âme et conscience de saisir la perche qu’elle lui tendait et de nier leur relation. Sara avait tiré un trait sur leur relation. Le bouche-à-oreille prétendait qu’elle était à moitié aliénée et inventait des personnages pendant qu’elle suivait son cursus à l’université. Michael regretta qu’elle ne gardât aucun souvenir de lui mais ce qu’il regrettait par-dessus tout, c’était l’entêtement de Frank Tancredi devenu gouverneur entre temps. Celui-ci avait le pouvoir d’arrêter toute la machination dont son frère Lincoln était victime. Mais les agents du Cartel (Compagnie) avaient dû l’informer qu’il était son frère et désirant protéger Sara par-dessus tout, le gouverneur s’obstinait dans sa démarche en prônant la peine de mort.
Les semaines passaient à Fox River au rythme des préparatifs de l’évasion orchestrée par Michael. Il devait trouver une solution pour se procurer la clé de l’infirmerie, et vite : le départ était prévu pour le soir même. A l’extérieur, Lincoln était escorté par un fourgon jusqu’à la prison où se trouvait son fils. Arrivé à l’infirmerie, Michael méditait ; la clé dépassait de la poche de Sara, tentatrice. Lorsque la jeune femme lui fit face, il cessa de penser et l’embrassa, heureux de retrouver des sensations presque oubliées. De son côté, Sara n’eut plus aucun doute. Elle savait qu’elle n’avait pas imaginé Michael. Tous ces gens autour d’elle lui avaient menti. A présent Michael lui demandait de l’attendre. La situation serait différente, hors de cette pièce, de ce lieu disait-il. Mais on n’y reprendrait plus Sara. Elle ne pouvait pas. Tous deux tentaient de surmonter la tristesse à cet aveu. Sara avait fait son choix. Il était irrévocable.
Voilà. Fini. Pas trop déçus pour la fin ? C’était cool d’écrire cette fic’. Là je vais arrêter d’en faire parce que les partiels approchent. Mais je serai aux rendez-vous pour les vôtres. Semper fi.
De retour dans sa cellule, alors que Sucre écrivait à Maricruz, Michael tentait de calmer sa respiration saccadée. Il avait subi une véritable torture lors de son entrevue avec le Dr.Tancredi. Sa chère Sara, qu’il n’avait revue depuis ce jour funeste. A quoi bon raviver les mauvais souvenirs. Elle s’était apparemment épanouie sans lui. Il avait donc décidé en son âme et conscience de saisir la perche qu’elle lui tendait et de nier leur relation. Sara avait tiré un trait sur leur relation. Le bouche-à-oreille prétendait qu’elle était à moitié aliénée et inventait des personnages pendant qu’elle suivait son cursus à l’université. Michael regretta qu’elle ne gardât aucun souvenir de lui mais ce qu’il regrettait par-dessus tout, c’était l’entêtement de Frank Tancredi devenu gouverneur entre temps. Celui-ci avait le pouvoir d’arrêter toute la machination dont son frère Lincoln était victime. Mais les agents du Cartel (Compagnie) avaient dû l’informer qu’il était son frère et désirant protéger Sara par-dessus tout, le gouverneur s’obstinait dans sa démarche en prônant la peine de mort.
Les semaines passaient à Fox River au rythme des préparatifs de l’évasion orchestrée par Michael. Il devait trouver une solution pour se procurer la clé de l’infirmerie, et vite : le départ était prévu pour le soir même. A l’extérieur, Lincoln était escorté par un fourgon jusqu’à la prison où se trouvait son fils. Arrivé à l’infirmerie, Michael méditait ; la clé dépassait de la poche de Sara, tentatrice. Lorsque la jeune femme lui fit face, il cessa de penser et l’embrassa, heureux de retrouver des sensations presque oubliées. De son côté, Sara n’eut plus aucun doute. Elle savait qu’elle n’avait pas imaginé Michael. Tous ces gens autour d’elle lui avaient menti. A présent Michael lui demandait de l’attendre. La situation serait différente, hors de cette pièce, de ce lieu disait-il. Mais on n’y reprendrait plus Sara. Elle ne pouvait pas. Tous deux tentaient de surmonter la tristesse à cet aveu. Sara avait fait son choix. Il était irrévocable.
Voilà. Fini. Pas trop déçus pour la fin ? C’était cool d’écrire cette fic’. Là je vais arrêter d’en faire parce que les partiels approchent. Mais je serai aux rendez-vous pour les vôtres. Semper fi.
FIN
Dernière édition par magalie le Ven 22 Déc - 11:43, édité 2 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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