ma première fiction^^
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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ma première fiction^^
voilà, je me suis lancé dans cette première fiction, et j'espère que vous aimerez^^
Prologue : Michael sort de prison. Enfin libre, il retrouve la lueur du jour, qu'il n'avait pas vu depuis ces cinq dernières années...
- Tiens, voilà tes affaires, Scofield, lui dit le gardien en lui donnant un sac minuscule en plastique.
Michael le prit et partit en direction de la sortie, accompagné de deux gardes armés. Il poussa un soupir de soulagement dés qu'il fût dehors et regarda autours de lui, espérant qu'au moins, son frère sera là. Mais il ne vit personne et s'installa sur le banc, mis à la disposition du public devant les énormes grilles qui venaient de se refermer derrière lui. Il repensa alors à cette vie brisée, depuis l'incarcération de son frère à Fox River. Mais il était au moins heureux qu'il avait réussi à le sauver d'une mort proche malgrè qu'il a payé bien plus qu'il ne devait.
- Cinq ans, murmura-t-il, avec une souffrance profonde au fond des yeux.
Le plus pénible pour Michael était l'absence de Sara, surtout après ce qu'il s'était passé entre eux, juste avant son arrestation. Seul, assis sur ce banc devant la prison, d'où il venait, il sourit et repensa à ces quelques instants de bonheur...
Michael et Lincoln avaient réussi à se débarrasser de Mahonne et quand ils étaient sur le bateau, près à lever l'ancre vers une île paissible et l'argent, elle était apparut, au loin.
- Mon dieu...dit Michael, lachant la corde qu'il avait dans les mains.
Lincoln releva immédiatement la tête et vit son frère immobile, les membres tremblant légérement.
- Linc ? appela Michael, les yeux remplit d'émotions.
Son frère regarda dans la direction que Michael ne quittait plus des yeux et comprit qu'il s'agissait de Sara.
- Qu'est-ce que tu attends mon pote ? fit Linc en souriant.
Michael sourit à son tour et sauta rapidement sur le ponton et alla la retrouver à grandes enjambées.
Ils se jetèrent dans les bras et restèrent un moment sans parler. Leurs corps se retrouvaient et la chaleur qui émanait des mains de Sara fit trésailler Michael. Soudain, le jeune homme se recula doucement et prit le visage de Sara dans ses mains avec une infinie tendresse.
- Sara..., dit-il d'une voix douce avant de lui donner un baiser timide qui, s'est plus approfondit mais au moment ou il la serra un peu plus fort dans ses bras, ils entendirent Lincoln hélait au loin.
- Michael ! Il faut partir frèrot !!!
Michael se retourna vers Sara avec une expression inexplicite sur le visage. Elle comprit très vite de quoi il avait peur. elle lui prit la main et lui dit d'une voix douce:
- Tu comptes passé le restant de ta vie sur un ponton avec moi ou tu préféres fuir au couché du soleil ?
Soulagé, Michael éclata de rire et la prie dans ses bras.
- Dépêchons-nous gueule d'ange, ton frère nous attend...
- Monsieur Scofield ?
Michael releva la tête vers l'homme qui venait de se tenir devant lui. Un homme en costume noir et d'une cinquantaine d'années se rapprocha un peu plus de lui et lui tendit une carte.
- Je m'appelle Nathan Greast, je suis du FBI, lui annonça l'homme en lui mettant son insigne sous le nez.
Surpris, le jeune homme se dit aussitôt que tout n'était pas finis et qu'il ne serait jamais libre malgrè le peine qu'il a fait. Il continuera toujours à se retrouver dans l'enfer et verra toujours les démons de son passé.
- Venez, je vous emmène.
Michael le regarda avec des yeux furieux qui assombrirent aussitôt la couleur de ses pupilles.
- Je n'irai nul part Agent Greast...
- Ne vous en faites pas Michael, le coupa-t-il aussitôt. Je nes suis pas votre ennemis, c'est votre frère qui m'envoie...
- Lincoln ? répéta Michael d'un air hébété.
- Oui, il travaille pour nos bureaux de Chicago et m'a chargé de venir vous chercher au Panama.
Nathan vit le visage de Michael blèmir et titubant, le jeune homme se retena au dossier du banc.
- Ca ne va pas ? demanda Nathan en lui attrapant le bras afin de l'aider a rester sur ses jambes.
Michael se surprit lui-même d'avoir eu cet instant de faiblesse devant cet agent du FBI. Il respira profondément et se redressa pour se donner une contenance, mais un mal de crâne affreux le faisait souffrir.
- Oui ca va aller, informa Michael, dégageant le bras de Nathan.
- Dans ce cas, allons-y.
Au même instant, un véhicule noir arriva à leur hauteur et s'arrêta.
- Allez Michael, montez, lui dit Nathan en aidant le jeune homme à s'installer dans la voiture...
Lincoln regarda par la fenêtre de son bureau. Pensif, il lui tardait de revoir son frère après cette si longue absence qui le pesait. Oh, il avait tenté à maintes reprises de lui rendre visite mais les services Pénitentiers d'où son frère se trouvait avait des lois et des règles incontournables. Toujours à réffléchir quant à la réaction de Michael quand il apprendra la vérité. Lincoln ferma les yeux et pria quand soudain des coups frappaient à la porte, il se retourna vivement, pensant qu'ils étaient arrivés de Panama, mais une jeune femme entra dans le bureau et regarda lincoln avec tendresse.
- Ecoute, chéri, ne t'en fait pas, ton frère comprendra... tu la protégé de cet homme, ce que ton père t'avais demandé, dit-elle en se rapprochant de lui.
- Mais comment veux-tu qu'il comprenne Jane ? je l'ai trahit...j'ai trahit mon propre frère...
- Non, tu ne l'as pas trahit Lincoln!!! Tu as fait ce que Michael aurait fait à ta place. Ils allaient tous nous tuer, ton fils, Michael et moi, si tu n'aurais pas accépté la proposition de Mahonne au Panama, Michael serait déjà mort...
Lincoln se laissa tomber dans son fauteuil de cuir noir et prit sa tête entre ses mains et se maudissait de l'intérieur.Repensant aux dernières paroles de Mahonne, il ferma à nouveau les yeux.
"Ecoutez Lincoln, il faut que vous vous sépariez de Michael, sinon, il mourra. Kim veut vous abattre mais si Michael reste avec vous, c'est vous qui signerait son arrêt de mort, car quand il l'auront capturer, ils s'en serviront et le liquiderons, et il ne faut surtout pas que cela se produise. Et connaissant votre frère, je ne vois pas d'autre solution que de le mettre dans une prison haute sécurité".
Mahonne avait raison bien sur, Linc en était conscient. Il ne fallait surtout pas qu'ils mettent la main sur son frère et ceux pour le bien de milliers de personnes...
- Lincoln ?
La voix de son épouse le fit revenir à la réalité et la fixa un long moment avant d'ajouter :
- Trés bien mon amour, je ne lui dirai rien pour l'instant, mais il se posera des questions et je ne suis pas certain que j'arriverai à lui mentir encore une fois.
- Dis lui simplement que tu as repris les affaires de ton père et qu'il faut que tu retrouves Pakman et Kim ainsi que leurs hommes de confiance, suggéra Jane afin de soulager Lincoln.
Le jeune homme hocha la tête en signe d'acquiéscement et dit d'une voix faible et emplit d'émotions :
- Oui, j'espère qu'il me pardonnera quand il sera que c'est moi le responsable de son enfermement depuis ces cinq dernières années, mais je doute qu'il me pardonne quand il sera pour Sara. Je suis tout aussi responsable de l'avoir privé de ce qu'il y a de plus important au monde pour un homme...
Michael et Nathan venaient de sortir de la voiture quand le malaise reprit le jeune homme.
- Attendez, je vais vous aider, dit Nathan, en le soutenant.
Il fit signe de la tête pour accepter son aide. Michael se sentait si mal, il se doutait tout de même sur les raisons de son état. Un séjour en prison pendant cinq longues années sans voir la lueur du jour, car il n'était pas autorisé à sortir pour les promenades et psychologiquement, il était détruit...
Il avait de plus en plus de mal à se tenir sur ses jambes et sa tête lui martelait des coups si fort qu'il pensait qu'elle allait exploser.
- On y est presque Michael, lui informa Nathan en le serrant un peu plus fort contre lui, remarquant qu'il pouvait s'éffondrer d'un moment à l'autre.
Les deux hommes pénétrèrent dans un grand immeuble, mais Michael ferma les yeux et se laissa guidait par l'homme tellement la douleur était forte. Un instant plus tard, il comprit qu'il avait cessé de marcher et ouvrit lentement les paupières. Lincoln se tenait devant lui avec une expréssion qu'il n'avait jamais vu sur le visage de son frère. Il eu à peine la force de sourire avant de s'éffondrer de tout son long sur le sol, malgrè l'aide de Nathan qui essayait de le retenir.
- Michael ! cria Linc en s'agenouillant près de lui.
Lincoln regarda Nathan, étonné de voir son petit frère dans cet état.
- Il est épuisé Lincoln, lui dit-il avnt d'ajouter : pas seulement physiquement.
Lincoln releva la tête de Michael et la posa délicatement sur ses genoux. Il ne reconnaissait plus Michael, il avait perdu plus d'une dizaine de kilos et n'avait plus la même expression tellement son visage était meurtrit de peine et de souffrance.
- Sa..Sara, chuchotta Michael, toujours inconscient.
Lui caressant affectueusement sa tête afin de le faire réagir, Lincoln sentit les larmes lui brulaient les yeux, et n'y tenant plus, il s'écroula sur le corps inerte de Michael et pleura...
Prologue : Michael sort de prison. Enfin libre, il retrouve la lueur du jour, qu'il n'avait pas vu depuis ces cinq dernières années...
-CHAPITRE 1-
- Tiens, voilà tes affaires, Scofield, lui dit le gardien en lui donnant un sac minuscule en plastique.
Michael le prit et partit en direction de la sortie, accompagné de deux gardes armés. Il poussa un soupir de soulagement dés qu'il fût dehors et regarda autours de lui, espérant qu'au moins, son frère sera là. Mais il ne vit personne et s'installa sur le banc, mis à la disposition du public devant les énormes grilles qui venaient de se refermer derrière lui. Il repensa alors à cette vie brisée, depuis l'incarcération de son frère à Fox River. Mais il était au moins heureux qu'il avait réussi à le sauver d'une mort proche malgrè qu'il a payé bien plus qu'il ne devait.
- Cinq ans, murmura-t-il, avec une souffrance profonde au fond des yeux.
Le plus pénible pour Michael était l'absence de Sara, surtout après ce qu'il s'était passé entre eux, juste avant son arrestation. Seul, assis sur ce banc devant la prison, d'où il venait, il sourit et repensa à ces quelques instants de bonheur...
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Michael et Lincoln avaient réussi à se débarrasser de Mahonne et quand ils étaient sur le bateau, près à lever l'ancre vers une île paissible et l'argent, elle était apparut, au loin.
- Mon dieu...dit Michael, lachant la corde qu'il avait dans les mains.
Lincoln releva immédiatement la tête et vit son frère immobile, les membres tremblant légérement.
- Linc ? appela Michael, les yeux remplit d'émotions.
Son frère regarda dans la direction que Michael ne quittait plus des yeux et comprit qu'il s'agissait de Sara.
- Qu'est-ce que tu attends mon pote ? fit Linc en souriant.
Michael sourit à son tour et sauta rapidement sur le ponton et alla la retrouver à grandes enjambées.
Ils se jetèrent dans les bras et restèrent un moment sans parler. Leurs corps se retrouvaient et la chaleur qui émanait des mains de Sara fit trésailler Michael. Soudain, le jeune homme se recula doucement et prit le visage de Sara dans ses mains avec une infinie tendresse.
- Sara..., dit-il d'une voix douce avant de lui donner un baiser timide qui, s'est plus approfondit mais au moment ou il la serra un peu plus fort dans ses bras, ils entendirent Lincoln hélait au loin.
- Michael ! Il faut partir frèrot !!!
Michael se retourna vers Sara avec une expression inexplicite sur le visage. Elle comprit très vite de quoi il avait peur. elle lui prit la main et lui dit d'une voix douce:
- Tu comptes passé le restant de ta vie sur un ponton avec moi ou tu préféres fuir au couché du soleil ?
Soulagé, Michael éclata de rire et la prie dans ses bras.
- Dépêchons-nous gueule d'ange, ton frère nous attend...
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- Monsieur Scofield ?
Michael releva la tête vers l'homme qui venait de se tenir devant lui. Un homme en costume noir et d'une cinquantaine d'années se rapprocha un peu plus de lui et lui tendit une carte.
- Je m'appelle Nathan Greast, je suis du FBI, lui annonça l'homme en lui mettant son insigne sous le nez.
Surpris, le jeune homme se dit aussitôt que tout n'était pas finis et qu'il ne serait jamais libre malgrè le peine qu'il a fait. Il continuera toujours à se retrouver dans l'enfer et verra toujours les démons de son passé.
- Venez, je vous emmène.
Michael le regarda avec des yeux furieux qui assombrirent aussitôt la couleur de ses pupilles.
- Je n'irai nul part Agent Greast...
- Ne vous en faites pas Michael, le coupa-t-il aussitôt. Je nes suis pas votre ennemis, c'est votre frère qui m'envoie...
- Lincoln ? répéta Michael d'un air hébété.
- Oui, il travaille pour nos bureaux de Chicago et m'a chargé de venir vous chercher au Panama.
Nathan vit le visage de Michael blèmir et titubant, le jeune homme se retena au dossier du banc.
- Ca ne va pas ? demanda Nathan en lui attrapant le bras afin de l'aider a rester sur ses jambes.
Michael se surprit lui-même d'avoir eu cet instant de faiblesse devant cet agent du FBI. Il respira profondément et se redressa pour se donner une contenance, mais un mal de crâne affreux le faisait souffrir.
- Oui ca va aller, informa Michael, dégageant le bras de Nathan.
- Dans ce cas, allons-y.
Au même instant, un véhicule noir arriva à leur hauteur et s'arrêta.
- Allez Michael, montez, lui dit Nathan en aidant le jeune homme à s'installer dans la voiture...
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CHICAGO
Lincoln regarda par la fenêtre de son bureau. Pensif, il lui tardait de revoir son frère après cette si longue absence qui le pesait. Oh, il avait tenté à maintes reprises de lui rendre visite mais les services Pénitentiers d'où son frère se trouvait avait des lois et des règles incontournables. Toujours à réffléchir quant à la réaction de Michael quand il apprendra la vérité. Lincoln ferma les yeux et pria quand soudain des coups frappaient à la porte, il se retourna vivement, pensant qu'ils étaient arrivés de Panama, mais une jeune femme entra dans le bureau et regarda lincoln avec tendresse.
- Ecoute, chéri, ne t'en fait pas, ton frère comprendra... tu la protégé de cet homme, ce que ton père t'avais demandé, dit-elle en se rapprochant de lui.
- Mais comment veux-tu qu'il comprenne Jane ? je l'ai trahit...j'ai trahit mon propre frère...
- Non, tu ne l'as pas trahit Lincoln!!! Tu as fait ce que Michael aurait fait à ta place. Ils allaient tous nous tuer, ton fils, Michael et moi, si tu n'aurais pas accépté la proposition de Mahonne au Panama, Michael serait déjà mort...
Lincoln se laissa tomber dans son fauteuil de cuir noir et prit sa tête entre ses mains et se maudissait de l'intérieur.Repensant aux dernières paroles de Mahonne, il ferma à nouveau les yeux.
"Ecoutez Lincoln, il faut que vous vous sépariez de Michael, sinon, il mourra. Kim veut vous abattre mais si Michael reste avec vous, c'est vous qui signerait son arrêt de mort, car quand il l'auront capturer, ils s'en serviront et le liquiderons, et il ne faut surtout pas que cela se produise. Et connaissant votre frère, je ne vois pas d'autre solution que de le mettre dans une prison haute sécurité".
Mahonne avait raison bien sur, Linc en était conscient. Il ne fallait surtout pas qu'ils mettent la main sur son frère et ceux pour le bien de milliers de personnes...
- Lincoln ?
La voix de son épouse le fit revenir à la réalité et la fixa un long moment avant d'ajouter :
- Trés bien mon amour, je ne lui dirai rien pour l'instant, mais il se posera des questions et je ne suis pas certain que j'arriverai à lui mentir encore une fois.
- Dis lui simplement que tu as repris les affaires de ton père et qu'il faut que tu retrouves Pakman et Kim ainsi que leurs hommes de confiance, suggéra Jane afin de soulager Lincoln.
Le jeune homme hocha la tête en signe d'acquiéscement et dit d'une voix faible et emplit d'émotions :
- Oui, j'espère qu'il me pardonnera quand il sera que c'est moi le responsable de son enfermement depuis ces cinq dernières années, mais je doute qu'il me pardonne quand il sera pour Sara. Je suis tout aussi responsable de l'avoir privé de ce qu'il y a de plus important au monde pour un homme...
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
-CHAPITRE 2-
-CHAPITRE 2-
Michael et Nathan venaient de sortir de la voiture quand le malaise reprit le jeune homme.
- Attendez, je vais vous aider, dit Nathan, en le soutenant.
Il fit signe de la tête pour accepter son aide. Michael se sentait si mal, il se doutait tout de même sur les raisons de son état. Un séjour en prison pendant cinq longues années sans voir la lueur du jour, car il n'était pas autorisé à sortir pour les promenades et psychologiquement, il était détruit...
Il avait de plus en plus de mal à se tenir sur ses jambes et sa tête lui martelait des coups si fort qu'il pensait qu'elle allait exploser.
- On y est presque Michael, lui informa Nathan en le serrant un peu plus fort contre lui, remarquant qu'il pouvait s'éffondrer d'un moment à l'autre.
Les deux hommes pénétrèrent dans un grand immeuble, mais Michael ferma les yeux et se laissa guidait par l'homme tellement la douleur était forte. Un instant plus tard, il comprit qu'il avait cessé de marcher et ouvrit lentement les paupières. Lincoln se tenait devant lui avec une expréssion qu'il n'avait jamais vu sur le visage de son frère. Il eu à peine la force de sourire avant de s'éffondrer de tout son long sur le sol, malgrè l'aide de Nathan qui essayait de le retenir.
- Michael ! cria Linc en s'agenouillant près de lui.
Lincoln regarda Nathan, étonné de voir son petit frère dans cet état.
- Il est épuisé Lincoln, lui dit-il avnt d'ajouter : pas seulement physiquement.
Lincoln releva la tête de Michael et la posa délicatement sur ses genoux. Il ne reconnaissait plus Michael, il avait perdu plus d'une dizaine de kilos et n'avait plus la même expression tellement son visage était meurtrit de peine et de souffrance.
- Sa..Sara, chuchotta Michael, toujours inconscient.
Lui caressant affectueusement sa tête afin de le faire réagir, Lincoln sentit les larmes lui brulaient les yeux, et n'y tenant plus, il s'écroula sur le corps inerte de Michael et pleura...
nol59- Déchiffre l'origami
- Nombre de messages : 285
Age : 46
Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: ma première fiction^^
Ouai je te lis aussi sur ce forum!!!
Ben tu sais déjà que je trouve sa super et que je veux la suite!!!
Ben tu sais déjà que je trouve sa super et que je veux la suite!!!
Re: ma première fiction^^
Je veux aussi la suite et tu le sais deja
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 451
Age : 37
Date d'inscription : 04/11/2006
Re: ma première fiction^^
merci les filles, ca me fait très plaisir que vous aimez mais avec la suite que je vais faire aujourd'hui, il ne faudra pas pleurer bisous je vais la faire des que possible
nol59- Déchiffre l'origami
- Nombre de messages : 285
Age : 46
Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: ma première fiction^^
la suite !! mais qu'est t'il arriver a sara ???
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
- Nombre de messages : 6508
Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: ma première fiction^^
Voici la suite les miss :
Lincoln avait prit les commandes tandis que Michael emmenait Sara dans la cabine. Il savait que son frère avait besoin de rester seul avec elle. Il voulait leur laisser au moins le privilège de leur laisser une nuit entière ensemble.
Michael avait regardé Sara comme si s'était la première fois, qu'il se retrouvait seul avec une femme. Elle lui souriait en le voyant d'un air hébété, et intimidé à la fois.
- Michael...murmura-t-elle avant de se jeter dans ses bras.
Le jeune homme lui prit le visage délicatement entre ses mains et la fixa avec tendresse.
- Que s'est-il passé, Sara, lui demanda-t-il.
- Je...je suis libre Michael...Grace à Paul Kellerman..., il est arrivé à mon procès, quand je pensais que tout était fini. Et il est venu témoigné...
- Oh, Sara, fit Michael, enfin soulagé.
C'est alors que la jeune femme tourna la tête et vit le soleil se couchait au loin, le paysage était magnifique et le ciel brillait de milles couleurs qu'elle n'avait encore jamais vu. D'une voix fébrile, emplit d'émotion, elle ajouta :
- Je te l'avais dit...
- Quoi donc ? demanda Michael, surpris.
- Je te l'avais dit que je fuirai avec toi au couché du soleil...
Soudain, pour toute réponse, Michael s'était écarté de la jeune femme et avança lentement vers la porte. Sara eu un rictus d'étonnement sur le visage, qui se dissipa très vite, le voyant tourner la clè.
Elle éclata de rire devant l'air sérieux du jeune homme et ne put s'empêcher de se jeter enfin dans ses bras. Elle ne s’était pas attendue à la violence de leur passion. Toute la soirée, elle avait désiré cet instant. Tandis qu’ils s'étaient enfin retrouvé, elle ne vivait plus que pour le moment où ils seraient enfin dans les bras de l’un et de l’autre. Et à la façon dont Michael la tenait à présent, elle comprenait qu’il en avait été de même pour lui. Elle entrouvrit les lèvres, offrant sa bouche au baiser enivrant du jeune homme. Ses mains la parcouraient. Sans relever la tête, il défit l’élastique de sa queue de cheval et enroula ses mèches autours de ses doigts. Puis, il l’entraina sur la minuscule couchette, près de lui.
Après une nuit dont Michael et Sara se souviendraient à jamais, Lincoln tambourinaient à la porte. Sara dormait toujours, blotit contre son épaule et se leva délicatement afin de ne pas la reveiller. Michael ouvrit la porte après avoir enfilé son pantalon et un tee-shirt. Il vit son frère d'un visage blème et il comprit... Une horne de policiers armés étaient à bord, près à faire feu sur lui.
- Non! hurla Sara qui s'était précipité près de Michael afin d'empêcher deux policiers lui mettre les menotes.
Michael regarda Saraa tristement mais lui fit tout de même un sourire.
- Sara... ne m'attend pas, promets le moi, fit-il d'une voix empreint d'émotions.
Il vit les larmes de Sara coulaient abandamment sur ses joues si délicates et elle ferma les yeux. Soulagé du moins, que Sara ferai ce qu'il lui a demandé, il se tourna vers son frère et lui dit cette fois d'une voix triste et désepérée :
- Prends soin d'elle Lincoln.
Il hocha la tête en signe d'acquiéscement et Michael comprit que son frère était désolé que cela se terminé ainsi. Le jeune homme se tourna de nouveau vers la femme qu'il avait aimé au plus profond de son âme, cette nuit là.
- Je t'aime Sara...
Michael se reveilla brutalement à cet instant. Il avait encore fait ce rêve... Il essaya de se rémémorer ce qu'il lui était arrivé depuis qu'il était sortit enfin de cette prison. Il regarda autour de lui, et vit qu'il se trouvait dans une chambre assez luxieuse de succroit. Soudain, il entendit des pas résonnaient faiblement derrière la porte, et quelques instants plus tard, Lincoln apparût, vêtu d'un costume sombre. Il avait un peu de mal à reconnaître son frère. Il ne l'avait jamais vu habillé et si bien rasé de la sorte.
- Lincoln, fit Michael, en voyant que son frère restait figé devant le lit.
- Bonjour Michael, content de te revoir mon pote ! Comment te sens-tu ?
- Ca va...que...où sommes nous ? bredouilla le jeune homme, afin d'éssayer de se ressaisir.
- Tu es ici chez toi Michael, ne t'inquiète pas tout va bien, lui dit-il en s'asseyant au bord du lit.
- Ta maison ? Mais où est Sara ?
Lincoln ne fut pas surprit par cette question, mais il n'avait pas la moindre envie de lui dire maintenant.
Remarquant le silence lourd de son frère, le jeune homme se redressa brusquement et sauta hors du lit.
- Tu va tout de suite me dire ce qu'il se passe ici !!! Je ne n'y comprends rien, Linc. Nathan m'a dit que tu travaillais pour le FBI ! Pourquoi ?
Devant le défilement des questions que Michael lui prodiguait, il se leva a son tour et lui fit face.
- Ecoute Michael...je t'expliquerai tout ce qui s'est passé mais plus tard, le medecin t'a prescrit du repose et aucun stress...
- Le medecin ! Mais je me fiche de ce qu'à dit le medecin ! coupa Michael, en hurlant. Je me suis retrouvé cinq ans dans cette prison sans voir l'air du dehors, je n'ai jamais pu avoir un seul appel téléphonique...je suis resté silencieux pendant cinq années Lincoln !!! Alors, tu va me dire tout de suite ce qu'il s'est produit depuis tout ce temps sinon..., Michael s'arrêta de parler un instant et serra les poings, près à bondir sur son frère, tellement il était fou de rage.
- Très bien Michael, fit enfin Linc en soupirant.
Pendant près d'une heure, Michael écouta son frère avec intéret, il avait bien sur du mal a accepter et surtout à comprendre pourquoi son propre frère lui avait mentit sur cette conspiration après tout ce qu'il avait fait pour lui. La promesse de son père, l'accord qu'il avait passé avec Mahonne, Lincoln lui avait enfin dit la vérité mais bien sur, il ne lui avait pas dévoilé que Michael faisait partit de l'étape principal de ce complot. Il l'avait enfermé dans cette prison pour le protéger oui mais il ne lui dira pas pour l'instant la raison. Peu être que Michael se contentera de cette explication, pensa Lincoln. Il n'a pas besoin de savoir pourquoi Packman et Kim veulent retrouver son frère, mort ou vif.
- Tu me pardonnes ? demanda Lincoln.
- Je pense que j'aurai fait la même chose si ils avaient enlevé Sara. Mais il y a des choses que tu dois m'éclaircir Linc... Comment a fait Mahonne pour sauver Jane et L.J ? Et pourquoi m'enfermé dans cette prison ? tu imagines ce que j'ai vécu...et Sara, tu ne m'en as pas parler...
- Sara va bien Michael...pour Mahonne, il a réussi à éliminer toutes les preuves contre moi et en fait, il ne travaillait pas que pour le FBI, il faisait partit du Cartel en tant qu'espion. Il s'était infiltré dans leurs services pour déjouer le plan de Kim...mais bon, ne t'inquiète plus pour tout cela, tu vas bientôt quitter le pays et tu pourra commencer une nouvelle vie, ajouta Lincoln, d'une voix enjouée, cette fois.
- Mais Kim et ce Packman sont toujours en liberté ! fit Michael.
- Oui mais cela n'est pas ton problème Michael, j'y travaille justement. Et je ne veux pas que tu t'en mêles, tu as assez souffert par ma faute, dit Lincoln.
- Pourquoi tu veux que je quitte le pays ? Je suis libre non ? dit Michael avec cette fois de la colère dans sa voix.
Lincoln le regarda droit dans les yeux et s'approcha vers son frère.
- Michael, je te demande qu'une seule chose s'il te plait, refais ta vie...J'ai placé tout l'argent sur un compte sous un faux nom et tes papiers sont prêts...
- Je ne partirais nul part sans Sara Lincoln, fit Michael d'une voix sûre.
Lincoln souffla, résolu il prit les épaules de son frère entre ses mains.
- Assied toi Michael.
Une fois les deux frères installés à la table qui tronait au milieu de la chambre, Lincoln commença à lui parler de Sara.
- Quand tu as été arrêter, nous avons été jusque une île et nous avons rester plus d'un mois là-bas. Elle était très malheureuse, je n'avais jamais vu quelqu'un d'aussi désespérée. Quand j'ai contacté Jane pour savoir ou tout cela en était. Je l'ai emmené avec moi à Chicago, ici, lui dit-il en faisant signe de tête. Nous étions tous hors de danger. Au fil du temps, elle commençait à reprendre le dessus, grâce à Jane et L.J. Elle avait retrouvé un travail et commençait une nouvelle vie...
- Où est-elle ? elle a rencontré quelqu'un, si c'est ca tu peux me le dire Lincoln, coupa Michael, impatient de savoir ou Sara était.
- Trois mois après ton incarcération, elle est tombé sur un coup de fil que j'avais avec un membre du FBI et elle a tout comprit.Je n'oublierai jamais le ton de sa voix quand elle m'a insulté de traitre...
Michael sentit son sang se glacer dans ses veines, en imaginant le pire pour Sara.
- Elle va bien, ne t'en fait pas Michael, informa Lincoln, remarquant la peur qu'il lisait dans les yeux de son frère. J'ai eu des nouvelles d'elle par un agent qui l'a recherché sosu mes ordres. Il a retrouvé sa trace il y a de cela trois ans...mais....
- Quoi ?
- L'agent qui était responsable de surveillance m'a envoyé son rapport sur Sara. Il m'a demandé si il devait la ramener ici, à Chicago...j'ai refusé.
- Pourquoi ? demanda Michael, d'une voix faible.
Lincoln ouvrit sa veste et attrapa une enveloppe dans sa poche intérieur qui lui tendit.
Le regard brulant d'angoisse, Michael attrapa l'enveloppe et regarda son frère.
- C'est le rapport qu'il m'a envoyé et tu verras pourquoi j'ai refusé de la faire ramener... désolé vieux, ajouta Lincoln en quittant la pièce...
* *
*
*
Lincoln avait prit les commandes tandis que Michael emmenait Sara dans la cabine. Il savait que son frère avait besoin de rester seul avec elle. Il voulait leur laisser au moins le privilège de leur laisser une nuit entière ensemble.
Michael avait regardé Sara comme si s'était la première fois, qu'il se retrouvait seul avec une femme. Elle lui souriait en le voyant d'un air hébété, et intimidé à la fois.
- Michael...murmura-t-elle avant de se jeter dans ses bras.
Le jeune homme lui prit le visage délicatement entre ses mains et la fixa avec tendresse.
- Que s'est-il passé, Sara, lui demanda-t-il.
- Je...je suis libre Michael...Grace à Paul Kellerman..., il est arrivé à mon procès, quand je pensais que tout était fini. Et il est venu témoigné...
- Oh, Sara, fit Michael, enfin soulagé.
C'est alors que la jeune femme tourna la tête et vit le soleil se couchait au loin, le paysage était magnifique et le ciel brillait de milles couleurs qu'elle n'avait encore jamais vu. D'une voix fébrile, emplit d'émotion, elle ajouta :
- Je te l'avais dit...
- Quoi donc ? demanda Michael, surpris.
- Je te l'avais dit que je fuirai avec toi au couché du soleil...
Soudain, pour toute réponse, Michael s'était écarté de la jeune femme et avança lentement vers la porte. Sara eu un rictus d'étonnement sur le visage, qui se dissipa très vite, le voyant tourner la clè.
Elle éclata de rire devant l'air sérieux du jeune homme et ne put s'empêcher de se jeter enfin dans ses bras. Elle ne s’était pas attendue à la violence de leur passion. Toute la soirée, elle avait désiré cet instant. Tandis qu’ils s'étaient enfin retrouvé, elle ne vivait plus que pour le moment où ils seraient enfin dans les bras de l’un et de l’autre. Et à la façon dont Michael la tenait à présent, elle comprenait qu’il en avait été de même pour lui. Elle entrouvrit les lèvres, offrant sa bouche au baiser enivrant du jeune homme. Ses mains la parcouraient. Sans relever la tête, il défit l’élastique de sa queue de cheval et enroula ses mèches autours de ses doigts. Puis, il l’entraina sur la minuscule couchette, près de lui.
Après une nuit dont Michael et Sara se souviendraient à jamais, Lincoln tambourinaient à la porte. Sara dormait toujours, blotit contre son épaule et se leva délicatement afin de ne pas la reveiller. Michael ouvrit la porte après avoir enfilé son pantalon et un tee-shirt. Il vit son frère d'un visage blème et il comprit... Une horne de policiers armés étaient à bord, près à faire feu sur lui.
- Non! hurla Sara qui s'était précipité près de Michael afin d'empêcher deux policiers lui mettre les menotes.
Michael regarda Saraa tristement mais lui fit tout de même un sourire.
- Sara... ne m'attend pas, promets le moi, fit-il d'une voix empreint d'émotions.
Il vit les larmes de Sara coulaient abandamment sur ses joues si délicates et elle ferma les yeux. Soulagé du moins, que Sara ferai ce qu'il lui a demandé, il se tourna vers son frère et lui dit cette fois d'une voix triste et désepérée :
- Prends soin d'elle Lincoln.
Il hocha la tête en signe d'acquiéscement et Michael comprit que son frère était désolé que cela se terminé ainsi. Le jeune homme se tourna de nouveau vers la femme qu'il avait aimé au plus profond de son âme, cette nuit là.
- Je t'aime Sara...
* *
*
*
Michael se reveilla brutalement à cet instant. Il avait encore fait ce rêve... Il essaya de se rémémorer ce qu'il lui était arrivé depuis qu'il était sortit enfin de cette prison. Il regarda autour de lui, et vit qu'il se trouvait dans une chambre assez luxieuse de succroit. Soudain, il entendit des pas résonnaient faiblement derrière la porte, et quelques instants plus tard, Lincoln apparût, vêtu d'un costume sombre. Il avait un peu de mal à reconnaître son frère. Il ne l'avait jamais vu habillé et si bien rasé de la sorte.
- Lincoln, fit Michael, en voyant que son frère restait figé devant le lit.
- Bonjour Michael, content de te revoir mon pote ! Comment te sens-tu ?
- Ca va...que...où sommes nous ? bredouilla le jeune homme, afin d'éssayer de se ressaisir.
- Tu es ici chez toi Michael, ne t'inquiète pas tout va bien, lui dit-il en s'asseyant au bord du lit.
- Ta maison ? Mais où est Sara ?
Lincoln ne fut pas surprit par cette question, mais il n'avait pas la moindre envie de lui dire maintenant.
Remarquant le silence lourd de son frère, le jeune homme se redressa brusquement et sauta hors du lit.
- Tu va tout de suite me dire ce qu'il se passe ici !!! Je ne n'y comprends rien, Linc. Nathan m'a dit que tu travaillais pour le FBI ! Pourquoi ?
Devant le défilement des questions que Michael lui prodiguait, il se leva a son tour et lui fit face.
- Ecoute Michael...je t'expliquerai tout ce qui s'est passé mais plus tard, le medecin t'a prescrit du repose et aucun stress...
- Le medecin ! Mais je me fiche de ce qu'à dit le medecin ! coupa Michael, en hurlant. Je me suis retrouvé cinq ans dans cette prison sans voir l'air du dehors, je n'ai jamais pu avoir un seul appel téléphonique...je suis resté silencieux pendant cinq années Lincoln !!! Alors, tu va me dire tout de suite ce qu'il s'est produit depuis tout ce temps sinon..., Michael s'arrêta de parler un instant et serra les poings, près à bondir sur son frère, tellement il était fou de rage.
- Très bien Michael, fit enfin Linc en soupirant.
* *
*
*
Pendant près d'une heure, Michael écouta son frère avec intéret, il avait bien sur du mal a accepter et surtout à comprendre pourquoi son propre frère lui avait mentit sur cette conspiration après tout ce qu'il avait fait pour lui. La promesse de son père, l'accord qu'il avait passé avec Mahonne, Lincoln lui avait enfin dit la vérité mais bien sur, il ne lui avait pas dévoilé que Michael faisait partit de l'étape principal de ce complot. Il l'avait enfermé dans cette prison pour le protéger oui mais il ne lui dira pas pour l'instant la raison. Peu être que Michael se contentera de cette explication, pensa Lincoln. Il n'a pas besoin de savoir pourquoi Packman et Kim veulent retrouver son frère, mort ou vif.
- Tu me pardonnes ? demanda Lincoln.
- Je pense que j'aurai fait la même chose si ils avaient enlevé Sara. Mais il y a des choses que tu dois m'éclaircir Linc... Comment a fait Mahonne pour sauver Jane et L.J ? Et pourquoi m'enfermé dans cette prison ? tu imagines ce que j'ai vécu...et Sara, tu ne m'en as pas parler...
- Sara va bien Michael...pour Mahonne, il a réussi à éliminer toutes les preuves contre moi et en fait, il ne travaillait pas que pour le FBI, il faisait partit du Cartel en tant qu'espion. Il s'était infiltré dans leurs services pour déjouer le plan de Kim...mais bon, ne t'inquiète plus pour tout cela, tu vas bientôt quitter le pays et tu pourra commencer une nouvelle vie, ajouta Lincoln, d'une voix enjouée, cette fois.
- Mais Kim et ce Packman sont toujours en liberté ! fit Michael.
- Oui mais cela n'est pas ton problème Michael, j'y travaille justement. Et je ne veux pas que tu t'en mêles, tu as assez souffert par ma faute, dit Lincoln.
- Pourquoi tu veux que je quitte le pays ? Je suis libre non ? dit Michael avec cette fois de la colère dans sa voix.
Lincoln le regarda droit dans les yeux et s'approcha vers son frère.
- Michael, je te demande qu'une seule chose s'il te plait, refais ta vie...J'ai placé tout l'argent sur un compte sous un faux nom et tes papiers sont prêts...
- Je ne partirais nul part sans Sara Lincoln, fit Michael d'une voix sûre.
Lincoln souffla, résolu il prit les épaules de son frère entre ses mains.
- Assied toi Michael.
Une fois les deux frères installés à la table qui tronait au milieu de la chambre, Lincoln commença à lui parler de Sara.
- Quand tu as été arrêter, nous avons été jusque une île et nous avons rester plus d'un mois là-bas. Elle était très malheureuse, je n'avais jamais vu quelqu'un d'aussi désespérée. Quand j'ai contacté Jane pour savoir ou tout cela en était. Je l'ai emmené avec moi à Chicago, ici, lui dit-il en faisant signe de tête. Nous étions tous hors de danger. Au fil du temps, elle commençait à reprendre le dessus, grâce à Jane et L.J. Elle avait retrouvé un travail et commençait une nouvelle vie...
- Où est-elle ? elle a rencontré quelqu'un, si c'est ca tu peux me le dire Lincoln, coupa Michael, impatient de savoir ou Sara était.
- Trois mois après ton incarcération, elle est tombé sur un coup de fil que j'avais avec un membre du FBI et elle a tout comprit.Je n'oublierai jamais le ton de sa voix quand elle m'a insulté de traitre...
Michael sentit son sang se glacer dans ses veines, en imaginant le pire pour Sara.
- Elle va bien, ne t'en fait pas Michael, informa Lincoln, remarquant la peur qu'il lisait dans les yeux de son frère. J'ai eu des nouvelles d'elle par un agent qui l'a recherché sosu mes ordres. Il a retrouvé sa trace il y a de cela trois ans...mais....
- Quoi ?
- L'agent qui était responsable de surveillance m'a envoyé son rapport sur Sara. Il m'a demandé si il devait la ramener ici, à Chicago...j'ai refusé.
- Pourquoi ? demanda Michael, d'une voix faible.
Lincoln ouvrit sa veste et attrapa une enveloppe dans sa poche intérieur qui lui tendit.
Le regard brulant d'angoisse, Michael attrapa l'enveloppe et regarda son frère.
- C'est le rapport qu'il m'a envoyé et tu verras pourquoi j'ai refusé de la faire ramener... désolé vieux, ajouta Lincoln en quittant la pièce...
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: ma première fiction^^
t'es une méchante !! pourquoi tu t'arrete là !!!!! qu'est t'il arrivé a Sara ? j'espère qu'elle est pas morte ou qu'elle a refait sa vie par ce que je veux que Mick et sara se retrouve et soit ensemble !!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: ma première fiction^^
Mais non je ne suis pas méchante il faut bien un peu de suspense sinon quel intérêt ??? mais ne t'inquiète pas
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: ma première fiction^^
Pourquoi désolé vieux???
Je veux la suite moi!!!
Qu'est-ce qui est arrivé à Sara????
Je veux la suite moi!!!
Qu'est-ce qui est arrivé à Sara????
Re: ma première fiction^^
tu pense mettre la suite quand ?? stp le plus vite possible je suis au bord de la crise cardiaque !!!!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: ma première fiction^^
Je suis en train de l'écrire, donc si j'y arrive je vous mettrais le début du troisiéme chapitre ce soir, mais pas évident avec les gamins dans les jambes, mais promis, j'essayerai...
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: ma première fiction^^
Ta suite ai superbe et vraimen angoissante!!!!
G ate de savoir se ki ai ariver a sara!!
El ai pa morte kan mm ou als el ai de nouvo drogué!!
Le suspence ai insoutenable!!
Vivemen ta suite et felicitation pr ta fic
G ate de savoir se ki ai ariver a sara!!
El ai pa morte kan mm ou als el ai de nouvo drogué!!
Le suspence ai insoutenable!!
Vivemen ta suite et felicitation pr ta fic
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: ma première fiction^^
j'adore ta fic elle est trop bien j'attends la suite avec impatience et je me fais plein de film sur ce qui a pu arriver a sara alors stp met vite la suite sinon je vais devenir dingue lol bonne chance
mach- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: ma première fiction^^
voila une petite suite comme promis, j'espère que vous aimerez tout autant que les précédentes
Michael resta immobile un instant avant d'ouvrir l'enveloppe que Lincoln lui avait remis. Délicatement, il sortit la feuille et sans la lire, il la posa sur la table avant de se mettre devant la fenêtre. Il regarda, pensif. La vue était magnifique, un jardin fleuri de plusieurs espèces de fleurs et de plantes embelissait le paysage. Il aperçut une jeune couple qui se relaxaient au bord d'une piscine immense d'un bleu presque transparant. Il comprit qu'il s'agissait de L.J et de sa petite amie, sans doute, se dit-il. Mais il ne se tarda pas à rester immobile, devant cette fenêtre. Il attrapa la feuille et s'installa sur le bord du lit.Avec des gestes tremblant, il déplia la lettre et commença à la lire. Il passa plusieurs fois sa main sur son visage afin de décomprésser ses traits durcis par l'angoisse.
La lecture de ce rapport ne prit pas plus de deux minutes mais lui parût qu'il se déchirait le coeur pendant bien plus de temps. Il fut malgré tout soulagé qu'elle se portait bien. De ses yeux humides de tristesse, il baissa la tête et relis une fois de plus le passage ou il comprit qu'elle avait refait sa vie.
" Lundi 3 avril, Sara Tancredi est sortit de son logement avec un homme et un enfant d'âge de 2 ans approximativement, il est 8 heures du matin quand ils ont pris la route pour se rendre dans un parc d'attraction à plusieurs kilomètres de là. Je l'ai est suivit toute la journée, et d'après ce que j'ai pu voir de mes propres yeux, Sara est heureuse et vit pleinement sa vie. C'est une famille heureuse et épanouie. Le lendemain matin, Madame Tancredi s'est rendu à sa boutique de création de masque qu'elle a ouvert depuis plus de six mois..."
- Oh Sara, murmura Michael, retenant les larmes qui malgrè ses efforts s'échappèrent de ses yeux.
Soudain, on frappa à la porte et le jeune homme balaya d'un geste rapide les chaudes larmes de ses joues.
Il se retourna et une jeune femme se tenait là, devant la porte, un sourire pragmatique sur les lèvres. Blondes aux yeux clairs, Jane avait une posture et un air autoritaire mais elle était très élégante à la fois.
- Bonjour Michael.
- Bonjour, vous devez être Jane, fit-il d'une voix encore fèbrile de souffrance.
- Oui, dit-elle en s'approchant du jeune homme. Enchanté de faire votre connaissance, ajouta Jane, lui tendant une main de salutation.
Michael lui prit la main et l'enleva très vite avant de se retourner vers la fenêtre.
- L.J a changé, souffla-t-il.
- Oui, Jenny est sa fiancée, ils se marient dans deux mois, son père en est très fier...
Michael eu un sourire sur les lèvres. Bien sur que Linc était fier de son fils, se dit-il. Michael était ravi que son neveu avait trouvé le bonheur. Il se retourna vers la jeune femme :
- Où est mon frère ?
- Il ne devrait pas tarder, il avait oublié un dossier à son bureau...
- Quel jour nous sommes ? demanda-t-il, perplexe de savoir que Lincoln travaillait un dimanche.
- Nous somme jeudi, fit-elle, étonné des grands yeux que Michael faisait. Vous avez dormis pendant deux jours. Ne vous inquiètez pas Michael, vous vous sentirez mieux d'ici deux à trois jours. En attendant, il faut que vous avaliez quelques choses, je vous ai préparé...
- Je ne pas faim ! coupa Michael, d'une voix sèche.
- Vous devez vous nourrir Michael Scofield ! Je ne plaisante pas, je ne sortirais pas d'ici avant que vous me suiviez à la salle à manger prendre votre repas !
Ahuri de recevoir tant d'autorité et de surccroit par une femme, il la regarda, un sourire moqueur sur les lèvres.
- Que Sara va-t-elle pensait en vous voyant comme cela !
Michael resta les lèvres entrouvertes sur les paroles de Jane. Avait-il bien entendu ?
- Comment savez vous que je vais partir la bas ?
- Hum, souffla-t-elle avant d'ajouter, si je serai à votre place et que je détiendrai l'adresse de la personne que j'aime, je n'hésiterai pas Michael même si je savais le mal que cela me ferait...
- Chérie ?
La voix de Linc retentit dans la pièce et elle s'intérrompit aussitôt.
- Allons remplir votre estomac Michael, lui dit-elle, lui serrant la main. Michael comprit que par ce geste, la femme de son frère le soutiendrait quoi que Lincoln dira...
Quelques jours plus tard, à la Nouvelle Orléans, dans le quartier français du sud, de gros nuages gris gonflés de pluie estompaient les contours irréguliers des immeubles de verre et béton. Quant au Marché aux puces, d'ordinnaire si animé et grouillant d'une foule bigarrée, il paraissait dépourvue de son exubérance coutumière. Sous la verrière du Marché couvert, deux taches de couleurs étincelaient. Une jeune femme brune arborait une magnifique coiffure de plumes d'autruche, d'un rose fluorescent. Elle était en train de préparer son stand de masques en tous genres. Acses côtés, une petite fille au regard vif portait un somptueux turban vert émeraude bordé de plumes de paon et sautillait d'impatience.
- Laisse moi faire, maman ! disait-elle. Je suis assez grande !
Alors que la plupart des enfants de son âge se trouvaient à cette heure-ci devant la télévision et regardaient les dessins animés du samedi matin, Jenny Emma aidait de son mieux sa maman à disposer l'assortissement de masques en plumes et autres coiffures. Sara considérait, attendrie, sa petite fille qui déballait avec précaution un masque sophistiqué de Lady Amheast en plume de faisan. La jeune enfant le posa ensuite délicatement sur le velour noir, à côté des autres articles.
- Voilà, maman ! fit Emma, satisfaite.
- Merci ma chérie, c'est très joli ce que tu viens de faire, fit Sara en lui donnant un baiser sur sa joue.
D'habitude, le samedi, Sara restait à sa boutique pour la réalisation de la nouvelle collection de masque qu'elle avait entreprit, mais depuis six semaines déjà, elle préférait vendre elle-même ses créations au Marché aux puces afin de s'attirer la clientèle potentielle pour le carnaval de la ville qui approchait.
Sa petite fille, âgée seulement de quatre ans, était encore trop jeune pour aller en classe et, d'autre part, Sara n'était pas mariée. Aussi, s'arrangeaient-elles toutes les deux pour s'octroyer de temps en temps quelques moments de détente, pendant ces week-ends consacrés pourtant au travail. A présent, la jeune femme ajustait la glace qui servirait aux éventuels clients, afin qu'ils puissent s'admirer, coiffés des différents masques qu'elle avait confectionnés.
- Voilà qui est fait ! déclara-t-elle, satisfaite de la disposition du miroir.
- J'ai faim, maman, fit-elle impatiente.
Sara sortit alors une chaise de sous la table et, tout en s'asseyant, offrit ses bras à la petite. Emma sur ses genoux, elle ouvrit un sac en papier duquel elle sortit des patisseries soupoudrées de sucre glace.
- J'ai acheté des beignets, annonça-t-elle. Je t'ai également préparé du chocolat. Quand à moi, je vais juste me prendre un bon café.
La jeune femme essayait de toujours récompenser sa fille pour la gentillesse dont elle faisait preuve.
- Emma, tu as bien pris cinq cent grammes! fit Sara en la reposant à terre.
- Tu sais, maman! J'aime bien ce Marché aux puces, je voudrais y venir tous les jours !
- Je crains pourtant que ce ne soit pas possible ma puce, surtout avec l'arrivée du carnaval, j'aurai beaucoup de travail dès lundi...
Ecoutant sa mère d'une oreille distraite, la fillette s'éloigna et alla contempler les jouets en bois peint sur un comptoir voisin.
- Votre petite grandit et embellit de jour en jour, ma chére!
La vieille dame Hastings s'exprimait avec le doux accent du Sud auquel Sara était à présent habituée.
- Elle brisera le coeur des hommes, avant même que vous ne l'ayiez vue devenir une jeune fille, reprit la marchande de poupée de chiffon, installé à côté de la jeune femme.
- Parfois, je ne peux me résoudre qu'elle a déjà quatre ans, avoua Sara, tout en observant Emma qui vagabondait parmi les autres stands.
A présent, la petite s'amusait avec un marchand qui lui faisait essayer des bracelets en métaux.
- C'est incroyable ! observa Sara, stupéfaite, si je vous disait que ce brave homme ne supporte pas de voir les clients déplacer le moindre de ses articles !...
- Tout le monde adore votre enfant, fit remarquer Mme Hastings, nullement choquée. Votre mari doit être fier !
Elle venait involontairement de commettre une erreur pourtant bien naturelle et son interlocutrice, habituée à cela, ne s'en offusqua pas.
- je ne suis pas mariée, déclara Sara, d'une voix qui trahissait une émotion. Je vis seule avec ma fille et je n'ai pas honte de subvenir seule à ses besoins.
- Cela n'a pas dû être des plus aisés pour vous, reprit la dame, d'un air compatisant. Mais cette petite doit être un véritable rayon de soleil dans ce monde tourmenté !
Ces paroles de sympathie firent sourire Sara.
- Emma est ma seule raison de vivre, en effet, avoua-t-elle en voyant sa fille virevolter gaiement d'un étalage à l'autre.
L'enfant lui parût si heureuse que la jeune femme en oubliait presque ces sinistres années, où elle avait eu la certitude que sa vie ne valait plus la peine d'être vécue.
Soudain, perdue dans ses pensées, elle releva la tête car elle sentait que quelqu'un la fixait. Comme sous l'effet d'une hallucination, elle écarquilla les yeux, abasourdie de reconnaître les traits d'un visage qui lui était familier. Pétrifier, elle ferma les yeux pour espérait que quand elle rouvrirait il serait toujours là. Deux secondes passèrent et elle sentit une main lui aggrippait le bras, elle rouvrit les yeux et s'apperçut qu'il s'agisait de sa fille qui tirait sur sa manche. Elle regarda une fois de plus, un peu plus loin, à la terasse du café où elle avait crue le voir, mais personne n'était assis à cette place, seule, une tasse tronait sur la table...
-CHAPITRE 3-
Michael resta immobile un instant avant d'ouvrir l'enveloppe que Lincoln lui avait remis. Délicatement, il sortit la feuille et sans la lire, il la posa sur la table avant de se mettre devant la fenêtre. Il regarda, pensif. La vue était magnifique, un jardin fleuri de plusieurs espèces de fleurs et de plantes embelissait le paysage. Il aperçut une jeune couple qui se relaxaient au bord d'une piscine immense d'un bleu presque transparant. Il comprit qu'il s'agissait de L.J et de sa petite amie, sans doute, se dit-il. Mais il ne se tarda pas à rester immobile, devant cette fenêtre. Il attrapa la feuille et s'installa sur le bord du lit.Avec des gestes tremblant, il déplia la lettre et commença à la lire. Il passa plusieurs fois sa main sur son visage afin de décomprésser ses traits durcis par l'angoisse.
La lecture de ce rapport ne prit pas plus de deux minutes mais lui parût qu'il se déchirait le coeur pendant bien plus de temps. Il fut malgré tout soulagé qu'elle se portait bien. De ses yeux humides de tristesse, il baissa la tête et relis une fois de plus le passage ou il comprit qu'elle avait refait sa vie.
" Lundi 3 avril, Sara Tancredi est sortit de son logement avec un homme et un enfant d'âge de 2 ans approximativement, il est 8 heures du matin quand ils ont pris la route pour se rendre dans un parc d'attraction à plusieurs kilomètres de là. Je l'ai est suivit toute la journée, et d'après ce que j'ai pu voir de mes propres yeux, Sara est heureuse et vit pleinement sa vie. C'est une famille heureuse et épanouie. Le lendemain matin, Madame Tancredi s'est rendu à sa boutique de création de masque qu'elle a ouvert depuis plus de six mois..."
- Oh Sara, murmura Michael, retenant les larmes qui malgrè ses efforts s'échappèrent de ses yeux.
Soudain, on frappa à la porte et le jeune homme balaya d'un geste rapide les chaudes larmes de ses joues.
Il se retourna et une jeune femme se tenait là, devant la porte, un sourire pragmatique sur les lèvres. Blondes aux yeux clairs, Jane avait une posture et un air autoritaire mais elle était très élégante à la fois.
- Bonjour Michael.
- Bonjour, vous devez être Jane, fit-il d'une voix encore fèbrile de souffrance.
- Oui, dit-elle en s'approchant du jeune homme. Enchanté de faire votre connaissance, ajouta Jane, lui tendant une main de salutation.
Michael lui prit la main et l'enleva très vite avant de se retourner vers la fenêtre.
- L.J a changé, souffla-t-il.
- Oui, Jenny est sa fiancée, ils se marient dans deux mois, son père en est très fier...
Michael eu un sourire sur les lèvres. Bien sur que Linc était fier de son fils, se dit-il. Michael était ravi que son neveu avait trouvé le bonheur. Il se retourna vers la jeune femme :
- Où est mon frère ?
- Il ne devrait pas tarder, il avait oublié un dossier à son bureau...
- Quel jour nous sommes ? demanda-t-il, perplexe de savoir que Lincoln travaillait un dimanche.
- Nous somme jeudi, fit-elle, étonné des grands yeux que Michael faisait. Vous avez dormis pendant deux jours. Ne vous inquiètez pas Michael, vous vous sentirez mieux d'ici deux à trois jours. En attendant, il faut que vous avaliez quelques choses, je vous ai préparé...
- Je ne pas faim ! coupa Michael, d'une voix sèche.
- Vous devez vous nourrir Michael Scofield ! Je ne plaisante pas, je ne sortirais pas d'ici avant que vous me suiviez à la salle à manger prendre votre repas !
Ahuri de recevoir tant d'autorité et de surccroit par une femme, il la regarda, un sourire moqueur sur les lèvres.
- Que Sara va-t-elle pensait en vous voyant comme cela !
Michael resta les lèvres entrouvertes sur les paroles de Jane. Avait-il bien entendu ?
- Comment savez vous que je vais partir la bas ?
- Hum, souffla-t-elle avant d'ajouter, si je serai à votre place et que je détiendrai l'adresse de la personne que j'aime, je n'hésiterai pas Michael même si je savais le mal que cela me ferait...
- Chérie ?
La voix de Linc retentit dans la pièce et elle s'intérrompit aussitôt.
- Allons remplir votre estomac Michael, lui dit-elle, lui serrant la main. Michael comprit que par ce geste, la femme de son frère le soutiendrait quoi que Lincoln dira...
Quelques jours plus tard, à la Nouvelle Orléans, dans le quartier français du sud, de gros nuages gris gonflés de pluie estompaient les contours irréguliers des immeubles de verre et béton. Quant au Marché aux puces, d'ordinnaire si animé et grouillant d'une foule bigarrée, il paraissait dépourvue de son exubérance coutumière. Sous la verrière du Marché couvert, deux taches de couleurs étincelaient. Une jeune femme brune arborait une magnifique coiffure de plumes d'autruche, d'un rose fluorescent. Elle était en train de préparer son stand de masques en tous genres. Acses côtés, une petite fille au regard vif portait un somptueux turban vert émeraude bordé de plumes de paon et sautillait d'impatience.
- Laisse moi faire, maman ! disait-elle. Je suis assez grande !
Alors que la plupart des enfants de son âge se trouvaient à cette heure-ci devant la télévision et regardaient les dessins animés du samedi matin, Jenny Emma aidait de son mieux sa maman à disposer l'assortissement de masques en plumes et autres coiffures. Sara considérait, attendrie, sa petite fille qui déballait avec précaution un masque sophistiqué de Lady Amheast en plume de faisan. La jeune enfant le posa ensuite délicatement sur le velour noir, à côté des autres articles.
- Voilà, maman ! fit Emma, satisfaite.
- Merci ma chérie, c'est très joli ce que tu viens de faire, fit Sara en lui donnant un baiser sur sa joue.
D'habitude, le samedi, Sara restait à sa boutique pour la réalisation de la nouvelle collection de masque qu'elle avait entreprit, mais depuis six semaines déjà, elle préférait vendre elle-même ses créations au Marché aux puces afin de s'attirer la clientèle potentielle pour le carnaval de la ville qui approchait.
Sa petite fille, âgée seulement de quatre ans, était encore trop jeune pour aller en classe et, d'autre part, Sara n'était pas mariée. Aussi, s'arrangeaient-elles toutes les deux pour s'octroyer de temps en temps quelques moments de détente, pendant ces week-ends consacrés pourtant au travail. A présent, la jeune femme ajustait la glace qui servirait aux éventuels clients, afin qu'ils puissent s'admirer, coiffés des différents masques qu'elle avait confectionnés.
- Voilà qui est fait ! déclara-t-elle, satisfaite de la disposition du miroir.
- J'ai faim, maman, fit-elle impatiente.
Sara sortit alors une chaise de sous la table et, tout en s'asseyant, offrit ses bras à la petite. Emma sur ses genoux, elle ouvrit un sac en papier duquel elle sortit des patisseries soupoudrées de sucre glace.
- J'ai acheté des beignets, annonça-t-elle. Je t'ai également préparé du chocolat. Quand à moi, je vais juste me prendre un bon café.
La jeune femme essayait de toujours récompenser sa fille pour la gentillesse dont elle faisait preuve.
- Emma, tu as bien pris cinq cent grammes! fit Sara en la reposant à terre.
- Tu sais, maman! J'aime bien ce Marché aux puces, je voudrais y venir tous les jours !
- Je crains pourtant que ce ne soit pas possible ma puce, surtout avec l'arrivée du carnaval, j'aurai beaucoup de travail dès lundi...
Ecoutant sa mère d'une oreille distraite, la fillette s'éloigna et alla contempler les jouets en bois peint sur un comptoir voisin.
- Votre petite grandit et embellit de jour en jour, ma chére!
La vieille dame Hastings s'exprimait avec le doux accent du Sud auquel Sara était à présent habituée.
- Elle brisera le coeur des hommes, avant même que vous ne l'ayiez vue devenir une jeune fille, reprit la marchande de poupée de chiffon, installé à côté de la jeune femme.
- Parfois, je ne peux me résoudre qu'elle a déjà quatre ans, avoua Sara, tout en observant Emma qui vagabondait parmi les autres stands.
A présent, la petite s'amusait avec un marchand qui lui faisait essayer des bracelets en métaux.
- C'est incroyable ! observa Sara, stupéfaite, si je vous disait que ce brave homme ne supporte pas de voir les clients déplacer le moindre de ses articles !...
- Tout le monde adore votre enfant, fit remarquer Mme Hastings, nullement choquée. Votre mari doit être fier !
Elle venait involontairement de commettre une erreur pourtant bien naturelle et son interlocutrice, habituée à cela, ne s'en offusqua pas.
- je ne suis pas mariée, déclara Sara, d'une voix qui trahissait une émotion. Je vis seule avec ma fille et je n'ai pas honte de subvenir seule à ses besoins.
- Cela n'a pas dû être des plus aisés pour vous, reprit la dame, d'un air compatisant. Mais cette petite doit être un véritable rayon de soleil dans ce monde tourmenté !
Ces paroles de sympathie firent sourire Sara.
- Emma est ma seule raison de vivre, en effet, avoua-t-elle en voyant sa fille virevolter gaiement d'un étalage à l'autre.
L'enfant lui parût si heureuse que la jeune femme en oubliait presque ces sinistres années, où elle avait eu la certitude que sa vie ne valait plus la peine d'être vécue.
Soudain, perdue dans ses pensées, elle releva la tête car elle sentait que quelqu'un la fixait. Comme sous l'effet d'une hallucination, elle écarquilla les yeux, abasourdie de reconnaître les traits d'un visage qui lui était familier. Pétrifier, elle ferma les yeux pour espérait que quand elle rouvrirait il serait toujours là. Deux secondes passèrent et elle sentit une main lui aggrippait le bras, elle rouvrit les yeux et s'apperçut qu'il s'agisait de sa fille qui tirait sur sa manche. Elle regarda une fois de plus, un peu plus loin, à la terasse du café où elle avait crue le voir, mais personne n'était assis à cette place, seule, une tasse tronait sur la table...
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: ma première fiction^^
Génial
c'est Michael c'est Michael!!
je crois avoir deviné qui est le père d'Emma!!!!
vivement la suite
c'est Michael c'est Michael!!
je crois avoir deviné qui est le père d'Emma!!!!
vivement la suite
Re: ma première fiction^^
WentSarah a écrit:Génial
c'est Michael c'est Michael!!
je crois avoir deviné qui est le père d'Emma!!!!
vivement la suite
demain, je promets que je mets une suite
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: ma première fiction^^
j'adore vivement la suite je pense osi que emma est le fille de michael alors a qd les retrouvailles??
mach- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: ma première fiction^^
génial !! j'adore !! !! j'espère que c'est Michael le père !! et j'espère aussi que Sara et Mick vont se retrouver ... vivement la suite !! et encore
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: ma première fiction^^
c'est lui c'est sûr!!!!!!
ne nous laisse pas languir plus longemps, j'ai hâte de voir leur retrouvaille...;
BRAVO!
ne nous laisse pas languir plus longemps, j'ai hâte de voir leur retrouvaille...;
BRAVO!
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: ma première fiction^^
j'adore c'est vaiment super bien écrit
et je suis fan de romantisme!!!
par cotnre sur un autre forum il y a exactement la même hsitoire mais sous un autre pseudo "angel"
j'espère que c'est toi
bon courage et met nous vite une suite
et je suis fan de romantisme!!!
par cotnre sur un autre forum il y a exactement la même hsitoire mais sous un autre pseudo "angel"
j'espère que c'est toi
bon courage et met nous vite une suite
del1109- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: ma première fiction^^
la suite de ta fic ai grandiose!!!
Jsp ke mick ai le père, nn jen ss mm sur c obliger de tte facon!!!!!
C totalemen impossible ke sara ai remplacer mick, el laime tro!!!!!
Vivemen la suite et des belles retrouvailles entre eux jsp!!!!!!
Jsp ke mick ai le père, nn jen ss mm sur c obliger de tte facon!!!!!
C totalemen impossible ke sara ai remplacer mick, el laime tro!!!!!
Vivemen la suite et des belles retrouvailles entre eux jsp!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: ma première fiction^^
del1109 a écrit:j'adore c'est vaiment super bien écrit
et je suis fan de romantisme!!!
par cotnre sur un autre forum il y a exactement la même hsitoire mais sous un autre pseudo "angel"
j'espère que c'est toi
bon courage et met nous vite une suite
oui miss^^ je suis angel sur un autre forum et encore sur un autre sous le pseudo de mon vrai prénm angélique
la suite sera poster vers 10 à 11 h désolé, j'ai du retard
bisous
nol59- Déchiffre l'origami
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Date d'inscription : 21/03/2007
Re: ma première fiction^^
comme promis voici la suite :
- Maman, je m'ennuie !
Sara reprit ses esprits peu à peu. Ce n'était pas possible qu'il s'agissait de Michael, se disait-elle...
- Je sais ma puce. J'aimerai bien me promener avec toi dans le parc, mais je doit attendre le dîner pour que Béa vienne me remplacer.
Tandis que sa mère parlait, Emma s'amusait à faire d'horribles grimaces. D'ailleurs, Sara imagina un instant de fixer les mimiques éphémères de sa filles sur du papier mâché. Elles auraient ainsi constitués de magnifiques masques pour la fête d'halloween.
- Tu travailles tout le temps !
Le jugement était sans appel, songea Sara. La petite disait vrai... Cependant, il fallait faire face aux dépenses, la nourriture, les traites des fournisseurs... ainsi qu'aux fraix hospitalisation d'Emma lorsqu'elle avait contracté une pneumonie, l'an dernier.
- Je sais ma chérie, avoua-t-elle d'une voix douce. Mais tu sais bien que j'ai choisie de faire ce métier pour que nous nous voyons le plus possible. Rapelle toi Emma comment tu n'étais pas contente quand j'étais absente de la maison et que je restais des jours entiers à l'hopital auprès de mes patients. Béa était plus souvent avec toi que moi même et...
- Bonjour ! Voulez-vous me vendre un masque ?
L'homme qui se tenait devant elle mesurait plus d'un mètre quatre-vingt dix et possédait une corpulence fort imposante. Sa physionomie était avenante et il arborait un large sourire sous sa barbe rebelle.
- Comment vas-tu le porter, Roberto ? demanda-t-elle, taquine. C'est à peine si l'on devine ton visage.
- Tu n'as qu'un seul mot à me dire, ma chérie, et je la rase tout de suite !
Faisant mine de joindre le geste à la parole, il tira sur sa barbe avec énergie.
- Non maman ! J'aime bien Roberto comme ça ! répliqua Emma, en se précipitant dans les bras de son grand ami. Je ne veux pas qu'il la coupe !
Comme pour le protéger, la fillette enfouit son visage d'enfant au creux de l'épaule vigoureuse de Roberto et le serra fort par le cou.
- C'est une admiratrice des plus fidèles ! plaisanta Sara. Ne t'inquiète pas, pour le carnaval, je parsemerai ta barbe avec quelques paillettes et le tour sera jouer !
Lorsqu'il entendit cela, Roberto arbora une mine horifiée. Ce qui fit rire la jeune femme aux éclats.
Natif des bayous du Sud, Roberto avait immigré dans le pays depuis quelques années. Sara l'avait rencontré grâce à Béa, la vendeuse de sa boutique qui venait leur donné des coups de mains quand il fallait déplacer les grands étagères ou quand il y avait des petits travaux qui demandaient des bras masculins. Emma l'avait adopté comme ami des le premier jour, il lui jouait du violon et la faisait rire aux éclats en lui racontant ses anecdotes dans le passé avec son groupe musical embulant.
Tous les soirs, il jouait dans les bars du quartier et faisait sensation dès la première note jouée. Cette homme avait une personalité attachante et souffrait lui aussi de n'avoir aucune famille.
- Quelle est la véritable raison de ta visite Roberto ? s'enquit Sara.
- Et bien, je dois rejoindre Caroline et je voulais emmener Emma au parc, elle pourra faire des tours de manège et mangeait ses patisseries préférées.
- Tu ne lui as toujours avouer tes sentiments ?
Roberto aimait une jeune femme qui venait emménager dans le quartier, cela faisait des semaines qu'ils se voyaient et rien n'était concluant pour lui.
- Très bien, emmène là mais si je suis...
- Oui, je te la ramènerai à la boutique, ne t'inquiète pas Sara...
Roberto saisit Emma d'une main et la fit pivoter de sorte qu'elle se retrouva assise sur ses épaules.
Sara leur fit signe et ils disparurent dans la foule...
Marchant à grandes enjambées, la casquette baissé sur les yeux, Michael allait rejoindre Nathan Greast qui l'attendait près du parc, un peu plus loin. Lincoln lui avait demandé d'accepter à ce que son agent l'accompagne pour le protéger si besoin il y avait. Mais que pouvait-il lui arriver de pire ! Il avait trouvé Sara et l'avait vu si souriante à la vie, qu'il s'était contenté de la regarder pendant une bonne dizaines de minutes sans bouger. Il avait prit sur lui pour ne pas se ruer vers elle et la prendre dans ses bras. Mais quand leurs regards s'étaient croisés, ses forces l'avaient lachés. Il avait eu l'intention de ser levait et d'allait la rejoindre quand cet homme était apparut... Kamais, il n'avait ressenti ce sentiment si horrible et d'impuissance malgrè toutes les souffrances qu'il connaissait, malheureusement.
Beaucoup de badeaux arrivèrent en direction de Marché aux puces que Michael venait de quitter. Il tourna au coin d'une ruelle et retrouva Nathan qui l'attendait patiemment installé à une tablen sur une terasse de café. L'homme leva la tête vers Michael qui se tenait devant et comprit que le jeune homme était une fois prit par la peine.
- Tu bois quelque chose ? proposa Nathan gentiment.
- Non, il faut partir, dit-il d'une voix sèche.
L'homme fronça les sourcils et lui demanda :
- Tu l'as vu ?
Michael souffla à cette question, et s'installa en face de lui. Les deux hommes étaient devenu assez proche pendant le trajet qu'ils les avait ammené à la Nouvelle Orléans. Une confiance s'était établie entre eux, même si le jeune homme restait assez prudent.
- Oui, je l'ai vu Nathan, fit-il d'une voix faible.
Remarquant le silence qui suivit, Nathan lui donna une tape amicale sur l'épaule avant d'ajouter :
- Et alors, elle t'a vu ? Que t'a-t-elle dit ?
- Non...elle n'était pas seule, répondit-il dans un long soupir, qui dévoiler son désarois.
- Michael...je suis désolé...
- Il n'y a pas de quoi, elle est heureuse...c'est tout ce que je lui souhaitais...elle a tant souffert à cause de moi.
- Et cet homme ? es-tu certain qu'il est son mari ?
Michael eut un sourire sur les lèvres en revoyant le visage de Sara, riant aux éclats et de leur fille, qui l'embrassait.
- Oui... la petite me la prouvait par la complicité qu'ils avaient...
Michael s'interrompit brusquement. Il releva sa casquette et cligna des yeux de sorte a comprendre si ce qu'il voyait était bien réel. Un peu plus loin, il reconnut la fillette qu'il avait tant admirer par sa beauté de petite fille et son père, la tenant par la main. Mais il y avait une troisième personnes avec eux...une jeune femme venait de les rejoindre et pendant qu'ils discutaient tous les deux, la petite sautillait sur ses pieds impatiemment.
- Michael ?
Nathan n'eut pas de réponse, il regarda alors dans la direction où Michael, l'air préoccupé, ne quittait plus du regard.
- Michael ? répéta son ami en lui tirant amicalement sur la manche de sa veste.
- Oui ! répondit-il sans détourner son regard.
- C'est cet homme n'est-ce pas ? demanda Nathan, soucieux.
- Oui, dit-il , en poussant un soupir. C'est étrange...
Il s'interrompit soudainement quand il vit l'homme et la femme se prendre amoureusement par la main, et partir de sorte à ce qu'il ne les voyait plus.
Les deux hommes se tournèrent l'un vers l'autre au même instant et Michael, les yeux écarquillés d'incompréhension, tout d'abord. Puis, peu à peu, ses prunelles si claires commençaient à s'illuminer de multiples couleurs brillantes. Nathan quand à lui, éclata de rire devant le visage emplit à nouveau d'espoir de Michael.
- Qu'est-ce que tu attends Scofield ? demanda-t-il d'un ton enjoueur.
Pour toute réponse, le jeune homme se leva, lui fit un signe de tête en souriant et partit à pas vifs...
- Maman, je m'ennuie !
Sara reprit ses esprits peu à peu. Ce n'était pas possible qu'il s'agissait de Michael, se disait-elle...
- Je sais ma puce. J'aimerai bien me promener avec toi dans le parc, mais je doit attendre le dîner pour que Béa vienne me remplacer.
Tandis que sa mère parlait, Emma s'amusait à faire d'horribles grimaces. D'ailleurs, Sara imagina un instant de fixer les mimiques éphémères de sa filles sur du papier mâché. Elles auraient ainsi constitués de magnifiques masques pour la fête d'halloween.
- Tu travailles tout le temps !
Le jugement était sans appel, songea Sara. La petite disait vrai... Cependant, il fallait faire face aux dépenses, la nourriture, les traites des fournisseurs... ainsi qu'aux fraix hospitalisation d'Emma lorsqu'elle avait contracté une pneumonie, l'an dernier.
- Je sais ma chérie, avoua-t-elle d'une voix douce. Mais tu sais bien que j'ai choisie de faire ce métier pour que nous nous voyons le plus possible. Rapelle toi Emma comment tu n'étais pas contente quand j'étais absente de la maison et que je restais des jours entiers à l'hopital auprès de mes patients. Béa était plus souvent avec toi que moi même et...
- Bonjour ! Voulez-vous me vendre un masque ?
L'homme qui se tenait devant elle mesurait plus d'un mètre quatre-vingt dix et possédait une corpulence fort imposante. Sa physionomie était avenante et il arborait un large sourire sous sa barbe rebelle.
- Comment vas-tu le porter, Roberto ? demanda-t-elle, taquine. C'est à peine si l'on devine ton visage.
- Tu n'as qu'un seul mot à me dire, ma chérie, et je la rase tout de suite !
Faisant mine de joindre le geste à la parole, il tira sur sa barbe avec énergie.
- Non maman ! J'aime bien Roberto comme ça ! répliqua Emma, en se précipitant dans les bras de son grand ami. Je ne veux pas qu'il la coupe !
Comme pour le protéger, la fillette enfouit son visage d'enfant au creux de l'épaule vigoureuse de Roberto et le serra fort par le cou.
- C'est une admiratrice des plus fidèles ! plaisanta Sara. Ne t'inquiète pas, pour le carnaval, je parsemerai ta barbe avec quelques paillettes et le tour sera jouer !
Lorsqu'il entendit cela, Roberto arbora une mine horifiée. Ce qui fit rire la jeune femme aux éclats.
Natif des bayous du Sud, Roberto avait immigré dans le pays depuis quelques années. Sara l'avait rencontré grâce à Béa, la vendeuse de sa boutique qui venait leur donné des coups de mains quand il fallait déplacer les grands étagères ou quand il y avait des petits travaux qui demandaient des bras masculins. Emma l'avait adopté comme ami des le premier jour, il lui jouait du violon et la faisait rire aux éclats en lui racontant ses anecdotes dans le passé avec son groupe musical embulant.
Tous les soirs, il jouait dans les bars du quartier et faisait sensation dès la première note jouée. Cette homme avait une personalité attachante et souffrait lui aussi de n'avoir aucune famille.
- Quelle est la véritable raison de ta visite Roberto ? s'enquit Sara.
- Et bien, je dois rejoindre Caroline et je voulais emmener Emma au parc, elle pourra faire des tours de manège et mangeait ses patisseries préférées.
- Tu ne lui as toujours avouer tes sentiments ?
Roberto aimait une jeune femme qui venait emménager dans le quartier, cela faisait des semaines qu'ils se voyaient et rien n'était concluant pour lui.
- Très bien, emmène là mais si je suis...
- Oui, je te la ramènerai à la boutique, ne t'inquiète pas Sara...
Roberto saisit Emma d'une main et la fit pivoter de sorte qu'elle se retrouva assise sur ses épaules.
Sara leur fit signe et ils disparurent dans la foule...
Marchant à grandes enjambées, la casquette baissé sur les yeux, Michael allait rejoindre Nathan Greast qui l'attendait près du parc, un peu plus loin. Lincoln lui avait demandé d'accepter à ce que son agent l'accompagne pour le protéger si besoin il y avait. Mais que pouvait-il lui arriver de pire ! Il avait trouvé Sara et l'avait vu si souriante à la vie, qu'il s'était contenté de la regarder pendant une bonne dizaines de minutes sans bouger. Il avait prit sur lui pour ne pas se ruer vers elle et la prendre dans ses bras. Mais quand leurs regards s'étaient croisés, ses forces l'avaient lachés. Il avait eu l'intention de ser levait et d'allait la rejoindre quand cet homme était apparut... Kamais, il n'avait ressenti ce sentiment si horrible et d'impuissance malgrè toutes les souffrances qu'il connaissait, malheureusement.
Beaucoup de badeaux arrivèrent en direction de Marché aux puces que Michael venait de quitter. Il tourna au coin d'une ruelle et retrouva Nathan qui l'attendait patiemment installé à une tablen sur une terasse de café. L'homme leva la tête vers Michael qui se tenait devant et comprit que le jeune homme était une fois prit par la peine.
- Tu bois quelque chose ? proposa Nathan gentiment.
- Non, il faut partir, dit-il d'une voix sèche.
L'homme fronça les sourcils et lui demanda :
- Tu l'as vu ?
Michael souffla à cette question, et s'installa en face de lui. Les deux hommes étaient devenu assez proche pendant le trajet qu'ils les avait ammené à la Nouvelle Orléans. Une confiance s'était établie entre eux, même si le jeune homme restait assez prudent.
- Oui, je l'ai vu Nathan, fit-il d'une voix faible.
Remarquant le silence qui suivit, Nathan lui donna une tape amicale sur l'épaule avant d'ajouter :
- Et alors, elle t'a vu ? Que t'a-t-elle dit ?
- Non...elle n'était pas seule, répondit-il dans un long soupir, qui dévoiler son désarois.
- Michael...je suis désolé...
- Il n'y a pas de quoi, elle est heureuse...c'est tout ce que je lui souhaitais...elle a tant souffert à cause de moi.
- Et cet homme ? es-tu certain qu'il est son mari ?
Michael eut un sourire sur les lèvres en revoyant le visage de Sara, riant aux éclats et de leur fille, qui l'embrassait.
- Oui... la petite me la prouvait par la complicité qu'ils avaient...
Michael s'interrompit brusquement. Il releva sa casquette et cligna des yeux de sorte a comprendre si ce qu'il voyait était bien réel. Un peu plus loin, il reconnut la fillette qu'il avait tant admirer par sa beauté de petite fille et son père, la tenant par la main. Mais il y avait une troisième personnes avec eux...une jeune femme venait de les rejoindre et pendant qu'ils discutaient tous les deux, la petite sautillait sur ses pieds impatiemment.
- Michael ?
Nathan n'eut pas de réponse, il regarda alors dans la direction où Michael, l'air préoccupé, ne quittait plus du regard.
- Michael ? répéta son ami en lui tirant amicalement sur la manche de sa veste.
- Oui ! répondit-il sans détourner son regard.
- C'est cet homme n'est-ce pas ? demanda Nathan, soucieux.
- Oui, dit-il , en poussant un soupir. C'est étrange...
Il s'interrompit soudainement quand il vit l'homme et la femme se prendre amoureusement par la main, et partir de sorte à ce qu'il ne les voyait plus.
Les deux hommes se tournèrent l'un vers l'autre au même instant et Michael, les yeux écarquillés d'incompréhension, tout d'abord. Puis, peu à peu, ses prunelles si claires commençaient à s'illuminer de multiples couleurs brillantes. Nathan quand à lui, éclata de rire devant le visage emplit à nouveau d'espoir de Michael.
- Qu'est-ce que tu attends Scofield ? demanda-t-il d'un ton enjoueur.
Pour toute réponse, le jeune homme se leva, lui fit un signe de tête en souriant et partit à pas vifs...
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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