Jamais sans toi 1

Salut ! Je suis une petite nouvelle qui débarque, petit squat en règle. Obligé avec un aussi beau forum. Bref, on fera les présentations ultérieurement. Quoi de mieux pour connaître une personne que de la lire. Donc voici un aperçu de mes tentatives de fics pour le fun. C'est mon 1er essai, indulgence svp ! allez, bonne lecture, la suite prochainement si vous êtes sages

Cette courte fiction en 3 volets commence à partir du moment où Sara et Michael se retrouvent enfin dans la plaine Nouveau Mexique _ non loin de l’hôtel qui offre une vue imprenable sur le coucher de soleil pour quelques malheureux dollars de l’heure _ après toutes ces péripéties, ces contretemps consécutifs à l'évasion.
(Ceci n'est que fiction, je ne souhaite en aucun cas porter préjudice aux acteurs ni à leur famille)

- Bonjour Sara. Ca fait longtemps.
Profond soupir expulsé pour cet homme conscient d’avoir irrémédiablement chamboulé le cours leur existence. L’existence de deux êtres embarqués dans une machination ayant hélas trop fait de victimes.

- … ?
- Désolé Sara, comme tu peux le constater, j’étais perdu dans mes pensées. Tu disais ?
- Michael, finis, tous ces faux-semblants, ces jeux de cache-cache, qu’allons-nous faire à présent ?
- Eh bien…
Eh bien, Sara devra attendre car progressivement se rapproche un vrombissement. Une voiture ? Il n’en faut pas plus pour Michael qui dans un élan de survie, agrippe la jeune femme. Direction : ailleurs. Pourquoi ? : Parce qu’un individu ingénieux le pourchasse depuis plusieurs jours, parce que Sara ne doit pas être impliquée plus qu’elle ne l’est déjà. Mais n’est-ce pas trop tard ?
- Michael, que fais-tu ? Il n’y a pas d’autre issue.
- Accroche-toi !
S’ensuit une course poursuite à travers les ruelles de Gila (Nouveau Mexique). Michael sait que le moment de la séparation est inévitable, encore. Mais il sait aussi que la situation sera différente, un jour.
- Ecoute-moi, tu vas te rendre en Oregon. Je te retrouverai dans 5 jours devant la maison de mon ami Salef Doulse, tu ne peux pas te tromper, c’est dans un coin reculé.
- Mais…
- Pas le temps de discuter, fais moi confiance, tout ira bien.
Et pour mettre plus de force à ses paroles désespérantes, Michael a un geste de tendre réconfort envers Sara qu’il admire chaque jour de plus en plus pour son courage. Sara lui rend son clin d’œil complice et sort de l’habitacle de la voiture sans savoir de quoi demain sera fait.


5 jours plus tard…

Michael contient mal sa joie. Revoir Sara lui parait presque irréel. Le sourire qui étire ses lèvres se fige néanmoins. Sara lui fait face mais quelque chose a changé. Il jurerait que ses yeux, reflets de son âme généreuse, brillent d’un éclat maléfique. Oh oui, Sara lui a été usurpé, mais par qui ? Pourquoi ? La situation du côté de Lincoln s’est stabilisée ; son frère et son neveu sont en sécurité. Temporairement certes, mais tout de même en sécurité. Il peut donc entièrement se consacrer à cette nouvelle énigme. Il découvrira ce qu’il était advenu de Sara, ou il ne s’appelle pas Michael Scofield...

Génial ton 1° essaye!

J'espere qu'il y as une suite

la suite stp

C'est super!! Mets nous vite une suite stp!!

j'adore ta facon d'écrit franchement bravo j'ai hate delire la suite!

très bien ce partiel

en tout cas tu nous met le suspens

j'ai hâte de lire la suite

bravo

Salef Doulse, Salef Doulse, Salef Doulse. Qui peut bien porter un nom pareil ? Michael tu as vraiment des fréquentations bizarres !
Puis Sara se stoppe tant physiquement qu’en pensées. Si elle est encore en vie, c’est grâce à l’intuition et l’intelligence de Michael. Il a toujours réussi à déjouer les tours de leurs assaillants. Aucune raison de ne pas continuer. Salef Doulse. Réfléchis Sara. Salef Doulse. C’est alors qu’elle sent une douleur fulgurante l’assaillir au niveau de la base du crâne puis l’obscurité l’enveloppe.


Hum, pas mal le p’tit chéri ! Vivre avec lui ne devrait pas me demander beaucoup d’efforts, se dit Sandy. Elle s’admoneste immédiatement. Elle s’appelle Sara désormais. L’angoisse augmente au fur et à mesure qu’elle se rend compte que les détails si durement appris pas cœur lui échappent. Avant tout, essayer de convaincre le somptueux apollon qui l’attend.
- Bonjour Mickey chéri, content de me voir ?
- Heu… viens partons d’ici.
Michael dirige son véhicule de location le long de la voie déserte, les yeux dans le vide, cogitation oblige. J’ai la preuve irréfutable à présent que Sara n’est pas Sara. Qui est cette personne ? Ne surtout pas l’effrayer, elle représente le seul moyen de la retrouver.


Le voyage ne risque pas d’être marrant. Sans rire, les gens d’aujourd’hui sont-ils toujours aussi sérieux ? Je me demande si j’ai bien fait d’accepter le deal de… mince, comment s’appelle-t-il déjà ? Lance machin chose, nouveau psychologue de l’établissement. Mais l’occasion était trop belle pour commencer une nouvelle vie après la tragique erreur judiciaire qui l’avait frappée.


Du blanc, encore et toujours du blanc. Pourquoi le sol est-il si instable ? Des flashes incohérents lui envahissent l’esprit. Oh lala, qu’est-ce qui m’arrive ? Où suis-je ? Sara se concentre mais se perd de plus belle dans cet imbroglio.
- Allez Sandy, c’est l’heure des travaux manuels
- Keskevoudite ?
- C’est qu’elle se serait soûlée dans son rêve la mignonne. J’ai pas de temps à perdre, plus vite que ça !
- Mais…
Sans bien comprendre ce qui se passe, Sara se retrouva empoignée de chaque côté par des molosses tout de blanc vêtus eux aussi. Sa tête se met à dodeliner sur ses épaules, elle est tellement fatiguée.
Les brumes de l’état semi comateux dans lequel elle se trouve s’estompent peu à peu. Sara considére la situation avec calme. Autour d’elle errent des âmes en peine, des individus qui selon toute vraisemblance n’ont plus toutes leurs facultés mentales. Y aurait-il un lien avec l’ami de Michael ? Salef Doulse. Bien sûr. Les pièces du puzzle se remettent lentement mais sûrement en place. Elle se trouve à l’heure actuelle dans un hôpital psychiatrique, celui de Jordon Valley au sud ouest de l’état. Michael devait avoir trouvé une forme de réconfort durant son suivi, alors que tout le monde l’abandonne autour de lui. Il devait penser qu’elle serait en sécurité à cet endroit, y dérober de la nourriture, survivre en attendant son retour. D’où l’anagramme Salef Doulse : Salle de fous. Qu’est-ce qui avait bien pu capoter dans leur plan ? Sara se souvient alors du coup qu’elle a reçu…


- Mahone, beau travail, la doctoresse est prise à son propre piège.
- Agent Kellerman. Les infos que je vous ai fournies se sont donc révélées exactes, ravi d’avoir pu vous servir. Heureusement qu’elle délirait durant son inconscience et qu’elle a pu murmurer ce nom stupide. Mon intelligence a fait le reste.
- Contentez-vous de surveiller Sandy. Un seul faux pas de sa part et je n’hésiterai pas à la supprimer.
- Ce ne sera pas la peine, c’est une fille paumée qui vendrait son âme au diable pour éviter des soucis supplémentaires. Elle fera ce qu’il faut.
- Nous verrons…

Voilà la suite. Merci pour vos encouragements. kiss

j'avoue que lire ca le soir j'ia pas tout capter! non je plaisante ! c'est super!!! la suite!!!!!!!!!!!

Super ta suite

Suite et fin. Merci, bonne lecture

Impuissant, Michael assiste au spectacle désolant de la jeune femme en pleurs. A force de persuasion et d’étourderie de sa part il a fini par découvrir la vérité en partie.
- Sandy, je suis vraiment désolé de ce qui t’arrive. Tu n’y es vraiment pour rien et ces hommes n’ont fait que profiter de ta vulnérabilité.
- J’avais vraiment pas l’choix. Tu sais, mon copain me battait, il s’en prenait même parfois à la gosse. Un jour j’ai pas pu supporter ses cris de douleurs et j’ai poignardé Warren. Cette maudite juge au cœur de pierre a placé mon bébé dans un foyer, genre orphelinat temporaire jusqu’à ce qu’une gentille petite famille bourgeoise la garde et moi j’suis cloîtrée dans un asile. Alors quand ce soi-disant nouveau psy m’a dit qu’il pourrait me faire sortir d’ici, qu’il m’a menacé d’faire du mal à la petite, j’ai pas hésité une seconde. Paraît qu’je lui ressemble à ta copine.
- Chut, Sandy, calme toi. Tu m’as déjà raconté tout ça. Je ne t’en veux pas, pas du tout. Dis moi simplement si tu te rappelles certains détails, même insignifiants.
- J’crois m’souv’nir que tous les gardes baissaient la tête comme s’ils évitaient de me regarder pendant qu’on me traînait à l’extérieur du bâtiment. Et, ouais, j’trouvais bizarre qu’les autres se baladent pas dans les couloirs, c’était l’heure de récré pourtant.
- Tu aimes les voyages Sandy ?
- Pour sûr !
- Que dirais-tu d’un nouveau départ, loin d’ici, en Europe par exemple ?
Elle le regarde avec circonspection. C’est la première fois qu’une personne ne lui tient pas rigueur pour ses mensonges.
- Ecoute mon mignon, t’es cool mais j’avais dans l’idée d’aller récupérer ma gosse et de partir loin d’ici.
- C’est exactement ce que je te propose, mais il va falloir coopérer. Allez, en route, nous avons déjà perdu suffisamment de temps.
A une distance respectable derrière eux, la voiture d’un certain agent les suit. Le danger est loin d’être écarté.



- Salut Sandy, tu m’évites en ce moment. On doit terminer la poterie ensemble, t’as oublié ?
Sara sourit amicalement à l’homme fluet qui lui adresse la parole. Ce doit être un ami de ladite Sandy dont Sara doit toujours élucider le mystère.
- Tu m’excuseras, mais j’ai passé une très mauvaise nuit, je ne suis pas très en forme. On s’est déjà vus quelque part ? Dit Sara sur le ton de la plaisanterie, bien que très sérieuse car cet univers lui est totalement étranger de l’intérieur.
- Tu ne changeras jamais ma p’tite Sandy, toujours le mot pour rire. Moi c’est James, répond son interlocuteur, se prenant à ce qui croit être une taquinerie de plus.
- Dis moi James, me trouves-tu différente aujourd’hui ?
- Pas spécialement, tu es peut-être encore plus belle que les autres fois. Plus calme. Plus fatiguée aussi peut-être. Tu te fais du souci pour ta fille, pas vrai ?
- Exact. Je…je dois prendre un nouveau traitement, peut être à tout à l’heure.
Et Sara s’éclipse le long du corridor. Apparemment, personne ne s’étonne de sa présence ici. Sara se doute qu’il doit y avoir une ressemblance frappante avec cette inconnue, Sandy. Ce qui signifie que cette femme se trouve à l’extérieur avec Michael. Elle a pris sa place dans sa vie constate-t-elle avec effroi. Sa fuite avec Michael ne prendrait-elle jamais fin ? Comment échapper à ses gens prêts à tout pour les réduire au silence. Sara ne doutait plus des responsables de son internement en ce lui.




- Très bien Sandy, nous y sommes. Surtout, pas de précipitation. Pendant que je distrais l’hôtesse d’accueil, tu te glisses dans la chambre de ta fille et vous sortirez par la fenêtre coulissante. Compris ?
- Oui.
- Allons-y.
Et Michael use de son charme, feint de s’intéresser aux infrastructures développées de la région, à la répartition équitable des fonds sociaux… La secrétaire glousse, rougit, minaude, stupidement ravie qu’un aussi bel homme s’intéresse à elle, la complimente sur son travail ô combien harassant. Jugeant avoir plus que nécessaire tenu la chandelle. Michael lui fait faux bond, et ressort de l’établissement, laissant derrière lui une femme interloquée qui se demande pourquoi décidemment elle ne plaît à aucun homme.
Michael est ému ; le tableau que lui offre Sandy serrant, cajolant sa fille frénétiquement, le bouleverse. Hélas, les touchantes retrouvailles devront attendre. En effet Michael a l’impression que la scène se répète. La voiture maintes fois rencontrée s’approche à une vitesse affolante.
- Montez, vite !
- Mais c’est l’ami du psy ! Il l’attendait à l’entrée du parking et…
Pan ! Le coup de feu tiré par l’agent Mahone les glace d’horreur.
- Mamaaaaaaaaaaaaaaan ! sanglote la fille de Sandy.
- Ne t’en fais pas mon cœur, tout va bien se passer, répond la jeune femme, essayant elle-même de se rassurer.
Michael démarre sur les chapeaux de roue, passant in extremis sous la barrière de sortie du parking qui se rabat devant Mahone, dépité. Celui-ci sort et frappe le toit de sa voiture du plat de la main. Si près du but.
- Monsieur, vous êtes dans une résidence privée. Le moniteur de contrôle nous a signalé la présence de deux véhicules suspects. Votre acolyte a pu s’échapper, mais vous allez passer un sale quart d’heure avec la police.
- Eh moi je dis … Richard, rétorque Mahone en lisant le nom du gardien sur son badge, que si vous ne relevez pas cette barrière immédiatement, vous pouvez dès a présent chercher un avocat, un nouveau travail pour interférence dans une affaire judiciaire en cours.
- Euh, oui oui bien sûr. Tout de suite.



- Sandy, désolé pour ce qui s’est passé. Tu te rends compte maintenant de la gravité de la situation dans laquelle nous sommes. Allongez-vous sur les sièges de manière à ne pas être vues de l’extérieur, je reviens très vite avec de la compagnie.
Michael sort, élégamment vêtu, après un arrêt rapide sur le bas-côté de la route afin de troquer ses vêtements contre un complet veston à la coupe irréprochable.
- Bonjour messieurs.
- Qu’est-ce que c’est ?
- Le nouvel agent de probation de Sandy Edwards. La juge m’envoie car il semblerait qu’il y ait vice de procédure dans l’affaire qui la concerne.
- J’suis au courant d’aucune visite.
- Les décisions de justice sont parfois plus rapides qu’on ne le pense. Laisse moi voir ma cliente, je vous prie.
- Très bien, très bien. Marty, escorte le visiteur jusqu’à Sandy.
Michael jubile. Première étape réussie. Lorsqu’il pénètre de la chambre de Sara-Sandy, sa respiration se débloque. L’instant d’après, tous deux se jettent dans les bras l’un de l’autre, s’étreignent se demandant s’ils ne sont pas en plein rêve.
- Tu vas bien ? On ne t’a pas fait de mal j’espère, demande Michael après leurs effusions.
- Non, ne t’inquiète pas. Je suis tellement heureuse de te voir.



- Dr Lance Hoggins ? c’est Marty de Jordon Valley. Voilà, je me permets de vous contacter parce que Sandy à de la visite en ce moment même et comme personne n’était prévenu, je me disais que vous feriez mieux d’en être informé. A quoi ressemble son visiteur ? Je dirais la trentaine, assez beau gosse, athlétique. Allo, allo ?
Ben ça alors il a raccroché ! J’espère qu’il nous refilera quelques billets comme lors de sa dernière visite. Y a ptet quelque chose de louche là-dessous, mais si je peux arrondir mes fins de mois, je veux bien fermer les yeux sur ce qui se trame autour de la belle Sandy.



- Il est temps de partir.
- D’accord Michael, je te suis.
- Sandy ? Sandy, tu t’en vas ?
Sara se retourne et rencontre le regard triste de James. Elle s’approche de lui et le sert dans ses bras. Grâce à lui, elle avait passé un agréable séjour.
- A bientôt, peut-être.
- J’en doute, James, au revoir.
Mais James n’est pas prêt à voir partir la femme qu’il aime s’en aller même s’il ne peut lui en vouloir de préférer un homme de cette allure à lui-même. Il la suit donc incognito. Et parvient à l’extérieur. Puis s’enchaînent une série de coups de feux provenant de la voiture d’un homme qu’il n’avait jamais vu auparavant. Sandy est en danger. Ces mots résonnent dans la tête de James qui s’intercale devant la voiture qui parcourt les mètres vive allure. Le choc est brutal, décisif. James meurt, le sourire aux lèvres, il a protégé sandy.

A l’intérieur de la voiture, le silence règne. Les deux jeunes femmes se remettent mal du choc causé par la mort de James devant leurs yeux. Mais l’ennemi est derrière, heureusement ralenti par son intervention héroïque. Elles se remettent encore moins de la ressemblance inouïe sui les lie. La petite Lilly est elle-même confuse. Pourquoi a-t-elle deux mamans pareilles ?
La route semble s’étirer, sans fin. Enfin, l’aéroport apparaît sous leurs yeux.
- Sandy, nos chemins se séparent ici. Une nouvelle vie s’ouvre pour ta fille et toi. Merci pour ton aide. Tout se passera bien. D’ici deux jours, je t’enverrai les papiers de votre nouvelle identité. Bonne chance.
- Merci beaucoup Michael. Elle fait un signe de tête à son sosie et s’engouffre dans la population qui afflue.
Michael reprend la route. Il réalise que malgré les dangers, les risques qu’il encourt et fait prendre à Sara, il ne peut rester loin d’elle. Les pensées de Sara font échos aux siennes. Le regard qu’ils échangent est doux, plein de promesses. Ils savent que l’instant présent doit être pleinement vécu, l’avenir est tellement incertain.

la suite stp

troooooooooooooooooop bien!!!!!!!!!!!!!

kalomni a écrit:

la suite stp

Chère kalomni, ça m efait chaud au coeur que tu apprécies ma 1ère fic. Mais comme je l'avais prévu dans l'intro, c'est une courte, très courte fic en 3 volets, donc j'ai bel et bien fini l'histoire.
Je vous l'accorde à tous, je l'ai baclée vers la fin, mille excuses pours les fautes d'orthoographe et d'inattention, ça ne devrais pas porter trop préjudice à la compréhension du texte.
Gros kiss à tous, et n'arrêtez pas d'écrire, c'est passionnant.

en tout cas excellente fic tu devrais continuer a en faire

lizevans a écrit:en tout cas excellente fic tu devrais continuer a en faire

Merci, pas vraiment le temps de m'y consacrer.
A quand la tienne ?