Douleur intérieure
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Douleur intérieure
Cette fic est la suite de Sara on the Boat et se déroule deux ans plus tard.
Cimetière de Chicago – 30 novembre, 2 ans après la révélation de la conspiration.
- Ca y est, je suis devant ta tombe. Il fait terriblement froid ici, mais il m’a incité à venir te voir, hier soir. Il est a peine sept heures, il fait encore noir, mais j’avais besoin d’être en tête à tête avec toi pour te dire tout ce que je n’ai pas pût te dire avant que tu partes, et j’ai pensé que venir très tôt m’éviterai de passer pour une folle qui parle à une pierre tombale. Ca me fait bizarre de venir déposer des fleurs ici, puisque je ne suis venue que deux fois en deux ans. Je n’aime pas venir au cimetière. Ca me fait mal de savoir que je ne pourrais plus jamais t’adresser la parole, même si juste avant ta mort, on ne s’entendait vraiment plus. Tu sais, ma vie a beaucoup changé depuis que tu es parti. Parfois je me dis que ma vie est meilleure sans toi, mais il me manque toujours quelque chose, c’est indéniable. Oh non, ça y est je pleure. Je m’étais pourtant juré que je ne serais pas émotive devant toi, ou ce qui te sert de dernière demeure. Je veux que tu saches si tu m’entends, que tu me manques, même si tu m’as fait du mal. Beaucoup de mal. On n’a jamais pût être une famille comme je le voulais. Tu as toujours fais ce que tu pensais le mieux pour moi, m’éloigner de tout ça. Mais crois-moi, c’était une erreur monumentale. Pourquoi as-tu fais ça, merde ? Je suis accroupie devant ta tombe, frappant le marbre de ta tombe avec mon poing, brisant ainsi les petites plaques en verre « Tu vas nous manquer » surplombant la pierre, un peu partout autour de moi, et pleurant comme jamais. Je ne m’étais jamais dévoilée ainsi devant toi. Je ne t’avais jamais montré à quel point tu m’avais manqué. Je ne suis plus seule maintenant, et tu le sais. Tu m’avais même complètement désapprouvé comme beaucoup de monde ici. Il est chez moi, dans une maison basique de Chicago, comme mes amies avaient. Avec toi, c’était pas pareil. Je crois que tu t’en souviens. Au mon dieu, j’ai l’air vraiment d’une idiote à parler à une tombe. Tu es sorti de ma vie définitivement. Mais quand j’essaye de ne plus penser à toi, il y a toujours quelque chose qui me ramène à toi, que ce soit un souvenir qui me traverse l’esprit ou même une photo. Et bien sûr, les médias qui vont se précipiter à l’entrée du cimetière pour me prendre en photo. Et oui, depuis que la conspiration a été dévoilée, je suis devenue une véritable célébrité. J’ai dû donner plusieurs conférences de presse pour expliquer tes gestes le mieux que j’ai pût, même si je n’avais jamais été vraiment au courant de ce que tu allais faire. Ils m’appellent souvent « La fiancée en cavale » ou encore « La prisonnière de Scofield ». Ces noms sont vraiment très idiots et je sais que tu aurais tout fait pour que l’on cesse de m’appeler ainsi. Mais pardonnes moi de ne pas avoir été une personne parfaite à tes yeux, mais tu n’as pas été parfait non plus. Je dois te laisser maintenant. Mais crois-moi, tu me manques, même si j’affirme que je ne t’aime plus depuis longtemps...
Scène 1 :
Cimetière de Chicago – 30 novembre, 2 ans après la révélation de la conspiration.
- Ca y est, je suis devant ta tombe. Il fait terriblement froid ici, mais il m’a incité à venir te voir, hier soir. Il est a peine sept heures, il fait encore noir, mais j’avais besoin d’être en tête à tête avec toi pour te dire tout ce que je n’ai pas pût te dire avant que tu partes, et j’ai pensé que venir très tôt m’éviterai de passer pour une folle qui parle à une pierre tombale. Ca me fait bizarre de venir déposer des fleurs ici, puisque je ne suis venue que deux fois en deux ans. Je n’aime pas venir au cimetière. Ca me fait mal de savoir que je ne pourrais plus jamais t’adresser la parole, même si juste avant ta mort, on ne s’entendait vraiment plus. Tu sais, ma vie a beaucoup changé depuis que tu es parti. Parfois je me dis que ma vie est meilleure sans toi, mais il me manque toujours quelque chose, c’est indéniable. Oh non, ça y est je pleure. Je m’étais pourtant juré que je ne serais pas émotive devant toi, ou ce qui te sert de dernière demeure. Je veux que tu saches si tu m’entends, que tu me manques, même si tu m’as fait du mal. Beaucoup de mal. On n’a jamais pût être une famille comme je le voulais. Tu as toujours fais ce que tu pensais le mieux pour moi, m’éloigner de tout ça. Mais crois-moi, c’était une erreur monumentale. Pourquoi as-tu fais ça, merde ? Je suis accroupie devant ta tombe, frappant le marbre de ta tombe avec mon poing, brisant ainsi les petites plaques en verre « Tu vas nous manquer » surplombant la pierre, un peu partout autour de moi, et pleurant comme jamais. Je ne m’étais jamais dévoilée ainsi devant toi. Je ne t’avais jamais montré à quel point tu m’avais manqué. Je ne suis plus seule maintenant, et tu le sais. Tu m’avais même complètement désapprouvé comme beaucoup de monde ici. Il est chez moi, dans une maison basique de Chicago, comme mes amies avaient. Avec toi, c’était pas pareil. Je crois que tu t’en souviens. Au mon dieu, j’ai l’air vraiment d’une idiote à parler à une tombe. Tu es sorti de ma vie définitivement. Mais quand j’essaye de ne plus penser à toi, il y a toujours quelque chose qui me ramène à toi, que ce soit un souvenir qui me traverse l’esprit ou même une photo. Et bien sûr, les médias qui vont se précipiter à l’entrée du cimetière pour me prendre en photo. Et oui, depuis que la conspiration a été dévoilée, je suis devenue une véritable célébrité. J’ai dû donner plusieurs conférences de presse pour expliquer tes gestes le mieux que j’ai pût, même si je n’avais jamais été vraiment au courant de ce que tu allais faire. Ils m’appellent souvent « La fiancée en cavale » ou encore « La prisonnière de Scofield ». Ces noms sont vraiment très idiots et je sais que tu aurais tout fait pour que l’on cesse de m’appeler ainsi. Mais pardonnes moi de ne pas avoir été une personne parfaite à tes yeux, mais tu n’as pas été parfait non plus. Je dois te laisser maintenant. Mais crois-moi, tu me manques, même si j’affirme que je ne t’aime plus depuis longtemps...
Re: Douleur intérieure
Il est mort????????????
Je redemande VITE VITE une suite!!!!!!!!!!!!
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nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: Douleur intérieure
Ben c'est la tombe de son père, non?
Astrid- En route pour la frontière
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Re: Douleur intérieure
ben! oui vu que c'est la suite de Sara on the boat!!!
continue Charline ça me plais bien moi tout ça!!
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: Douleur intérieure
j'aime beaucoup ! ton début de fic est très émouvant !
continu !!
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sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: Douleur intérieure
j ' aime beaucoup le debut
c 'est triste , emouvant !!!!!!!
je demande une suite
met la vite !!!!! please
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virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Douleur intérieure
Désolée si la suite a un peu tardé, mais j'ai passé quelques jours chez de la famille.
Je sors du cimetière, gelée, mais soulagée. J’ai peut-être passée une demi-heure à pleurer devant une pierre, mais je lui ai dit ce que j’avais sur le cœur. Le soleil n’est pas encore levé et le vent glacial vient se claquer sur ma peau. J’ère dans les rues de Chicago, ne voulant pas rentrer tout de suite. Je veux être un peu seule pour faire le point, pour me mettre à jour. Les voitures commencent à circuler, les personnes partent travailler. Je suis bousculée par les personnes courant à droite, à gauche pour ne pas se faire viré pour avoir été en retard et finalement, arrivants à l’heure, s’assoient à un bureau pour la journée sans qu’on leur prête la moindre attention. Le brouhaha est de plus en plus grandissant, mais j’ai l’habitude. Etant adolescente je traînais souvent la nuit avec des amis, ne revenant à la maison qu’au petit matin pour entendre le sermon de la gouvernante. Je ne l’entendais à peine étant donné qu’à l’époque j’étais junkie. Je montais dans ma chambre en titubant et m’écroulait sur mon lit pour m’endormir jusqu’à l’après-midi. Mon père se foutait bien de moi et voilà que je vais le voir au cimetière pour m’excuser, sans savoir s’il m’a entendue. J’aurais aimé me faire passer un savon par mon père étant adolescente, juste pour savoir qu’il faisait attention à moi.
Je m’arrêtes sur le trottoir et fait signe à un taxi de s’arrêter. Deux taxis passent devant moi avant qu’un troisième ne s’arrête enfin. J’entre et m’assois sur le siège arrière où trois boîtes de pizzas vides s’entassent. Ca sent horriblement mauvais à l’intérieur, on dirait qu’on a laissé un cadavre pourrir dans le coffre. La voiture démarre si brutalement que je me cogne la tête dans le siège avant. Je pousse un grognement de protestation que le chauffeur n’entend même pas. La voiture finit enfin par s’arrêter dans la rue où je vis maintenant. Le trajet est assez court mais m’a paru incroyablement long. Je descends de la voiture et m’empresse de payer le chauffeur. Je marche un peu pour arriver devant chez moi et je le vois, assis sur les petites marches devant la maison, la tête entre les mains. Je m’approche et il relève la tête. Il pousse un soupir de soulagement et me prend dans ses bras.
- Quand pourrais-je arrêter de m’inquiéter ? dit-il en me regardant dans les yeux.
- Je… Je suis désolée, je voulais pas partir comme ça… dit-je en évitant son regard.
- C’est pas grave, viens, on rentre.
Scène 2 :
Je sors du cimetière, gelée, mais soulagée. J’ai peut-être passée une demi-heure à pleurer devant une pierre, mais je lui ai dit ce que j’avais sur le cœur. Le soleil n’est pas encore levé et le vent glacial vient se claquer sur ma peau. J’ère dans les rues de Chicago, ne voulant pas rentrer tout de suite. Je veux être un peu seule pour faire le point, pour me mettre à jour. Les voitures commencent à circuler, les personnes partent travailler. Je suis bousculée par les personnes courant à droite, à gauche pour ne pas se faire viré pour avoir été en retard et finalement, arrivants à l’heure, s’assoient à un bureau pour la journée sans qu’on leur prête la moindre attention. Le brouhaha est de plus en plus grandissant, mais j’ai l’habitude. Etant adolescente je traînais souvent la nuit avec des amis, ne revenant à la maison qu’au petit matin pour entendre le sermon de la gouvernante. Je ne l’entendais à peine étant donné qu’à l’époque j’étais junkie. Je montais dans ma chambre en titubant et m’écroulait sur mon lit pour m’endormir jusqu’à l’après-midi. Mon père se foutait bien de moi et voilà que je vais le voir au cimetière pour m’excuser, sans savoir s’il m’a entendue. J’aurais aimé me faire passer un savon par mon père étant adolescente, juste pour savoir qu’il faisait attention à moi.
Je m’arrêtes sur le trottoir et fait signe à un taxi de s’arrêter. Deux taxis passent devant moi avant qu’un troisième ne s’arrête enfin. J’entre et m’assois sur le siège arrière où trois boîtes de pizzas vides s’entassent. Ca sent horriblement mauvais à l’intérieur, on dirait qu’on a laissé un cadavre pourrir dans le coffre. La voiture démarre si brutalement que je me cogne la tête dans le siège avant. Je pousse un grognement de protestation que le chauffeur n’entend même pas. La voiture finit enfin par s’arrêter dans la rue où je vis maintenant. Le trajet est assez court mais m’a paru incroyablement long. Je descends de la voiture et m’empresse de payer le chauffeur. Je marche un peu pour arriver devant chez moi et je le vois, assis sur les petites marches devant la maison, la tête entre les mains. Je m’approche et il relève la tête. Il pousse un soupir de soulagement et me prend dans ses bras.
- Quand pourrais-je arrêter de m’inquiéter ? dit-il en me regardant dans les yeux.
- Je… Je suis désolée, je voulais pas partir comme ça… dit-je en évitant son regard.
- C’est pas grave, viens, on rentre.
Re: Douleur intérieure
Ta suite est génial donc je te pardonne!!
C'est Michael hein hein
vivement la prochaine
C'est Michael hein hein
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Re: Douleur intérieure
trop bien cet suite !!
bien sur que c'est michael ! obliger !!!!
la suite stp
bien sur que c'est michael ! obliger !!!!
la suite stp
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: Douleur intérieure
magnifique , trop bien
je suis sur que c 'est michael !!!!! je vois que lui
met vite la suite
je suis sur que c 'est michael !!!!! je vois que lui
met vite la suite
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Douleur intérieure
Merci pour cette suite!!!!!!!!!!!!!!!
C'est Mick qui l'attendait sur les escaliers c'est obliger!!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
C'est Mick qui l'attendait sur les escaliers c'est obliger!!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: Douleur intérieure
obligé que se soit lui!!!
par contre pourquoi elle, fuit son regard
trop hate d'avoir une suite!!
par contre pourquoi elle, fuit son regard
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
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Re: Douleur intérieure
Waaaaaaaaaaaaaa comment tu m'a bien eu avec son pere, j'ai cru que c'était Michael qui était mouru,moi j'ai eu peur mais OUF c'est pas lui, et le mec qui attend Sara c'est Mike allez dit nous tous Charline met la suite
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: Douleur intérieure
j ai vraiment cru que mike etzit mort est en faite c est a son pere qu elle parlait
bravo on est tous tombé dans le panneau
bravo on est tous tombé dans le panneau
caly- Origami de Michael
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Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Age : 36
Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: Douleur intérieure
Scène 3 :
J’entra dans le salon et vit ma fille arriver. Ella était l’une des deux choses qui me rappelait que ma vie était parfaite, telle que je l’avais toujours désirée au plus profond de moi. L’adolescente qui jouait de la guitare dans les bars après les cours, qui, après sa sortie de scène, filait voir ses « amis » pour se droguer, avait considérablement grandie. Avec Michael, on avait décidé de rentrer à Chicago avec notre fille. Nos petites vies d’américains nous avaient trop manqué ! Lincoln et Jane vivaient tranquillement à deux pas de chez nous. Ils se sont fiancés peu de temps après le mariage de L.J et Maggy. Leur mariage avait fait la une de tous les journaux à scandales : « Le fils de l’ex-condamné à mort le plus célèbre des Etats-Unis et la fille d’un ex-agent du Cartel se marient ! ». Lincoln n’avait pas du tout apprécié que ces journalistes considéraient le mariage de son fils, comme un mariage « people », comme nous tous. La cérémonie s’était quand même très bien déroulée et je l’ai trouvé vraiment magnifique. Ca fait maintenant un an qu’ils sont mariés et aucuns problèmes à l’horizon. Ils faisaient tous deux des études de droit à l’université de Chicago, pour devenir avocat.
Je m’agenouilla devant ma fille et la serrer dans mes bras. Elle s’empressa de me montrer le dessin qu’elle venait de faire. Elle dessine vraiment bien pour quelqu’un de son âge. Je la regarde en souriant. C’est le portrait craché de Michael. Mais ses cheveux sont roux, comme les miens. Elle couru vers son père, qui la prit sur ses genoux. En les voyant comme ça, des fois je me dis que je ne me rends pas compte de la chance que j’ai. J’ai peut-être perdu mes parents, et j’ai peut-être un passé chargé, mais je ne peux pas être plus comblé que je ne le suis, aujourd’hui.
Je m’apprêtais à aller me chercher quelque chose à manger, quand on sonna à la porte. Ella descendit du canapé et couru à la porte avant même que je n’arrive. Elle voulut ouvrir la porte en sautant, mais elle était trop petite. Je la pris dans mes bras et ouvrit la porte. C’était Maggy.
- Salut Sara, il faut vraiment que je te parle, dit-elle, un peu perturbée.
- Euh, d’accord. Hum, Ella, va voir papa, je dois parler avec Maggy.
- D’accord ! dit Ella en retournant auprès de Michael.
- Viens, on va discuter dans la cuisine, lui dis-je.
On entra dans la cuisine et à peine ai-je eut le temps de m’asseoir, que j’eut un choc.
- Je suis enceinte.
- Mon dieu, Maggy, c'est merveilleux !
- Oui.
- Et L.J…
- N’est pas encore au courant.
- Je vois.
Elle était vraiment perturbée. Ne pas l’annoncer à L.J n’était apparemment pas son seul problème.
- Mais il n’y a pas que ça, je me trompe ?
- Ouais. Tu sais, ce bébé, je le veux vraiment ! C’est un rêve de gamine qui se réalise ! Le prince charmant, un mariage de princesse, et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Mais le problème c’est qu’on a pas du tout les moyens… Si on a ce bébé, on est fauché...
Re: Douleur intérieure
Les pauvres comment ils vont faire
ça fait plaisir de te relire
vivement la suite
ça fait plaisir de te relire
vivement la suite
Douleur intérieure
J'adore ta suite, pauvre Maggy, elle veut avoir un enfant avec L.j, mais si elle le fait ils vont se ruiner.
je suppose qu'ils vont vite trouver une solution c'est sûr.
Mets vite une autre suite
je suppose qu'ils vont vite trouver une solution c'est sûr.
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angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : Ailleurs
Date d'inscription : 07/07/2007
Re: Douleur intérieure
superbe suite !!!!!!!
c 'est super , je suis contente pour maggy et Lj qui ai cette enfant
le probleme est qu 'ils vont etre fauché avec un bébé a charge !!!!!
je suis sur qu 'il vont trouver une solution au probleme
et sara et michael vont les aider !!!!!! dit !!!!!!!
maggy va garder son bébé !!!!!!! n ' est ce pas
met vite la suite
je veux savoir !!!!!!!
c 'est super , je suis contente pour maggy et Lj qui ai cette enfant
le probleme est qu 'ils vont etre fauché avec un bébé a charge !!!!!
je suis sur qu 'il vont trouver une solution au probleme
et sara et michael vont les aider !!!!!! dit !!!!!!!
maggy va garder son bébé !!!!!!! n ' est ce pas
met vite la suite
je veux savoir !!!!!!!
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Douleur intérieure
c'est triste pour eux il faut trouver une solution
vivement la suite
vivement la suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Localisation : dans les nuages...
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Re: Douleur intérieure
oh oui moi aussi j'espère qu'il vont trouver une solution !!!!!
la suiite stp !!!!
la suiite stp !!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
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