I don't want you to leave me alone!!

coucou les minettes!!!
me revoila ,j'ai commencer a ecrire une fic toute seule cette fois ci!!!
je n'abandonne pas l'autre fic avec ma sister pour autant je vais jongler avec les deux!!!!!

je vous poste le premier chapitre.donnez moi votre avis .

voila bonne lecture



chapitre 1



L’histoire commence après le départ de Sara à Gila.


Il fait chaud, le soleil brûle. Devant un hôtel, on peut apercevoir une jeune femme sortir d’une des chambres. Elle a l’air de se poser beaucoup trop de questions et regarde derrière elle, pour voir si personne ne la suit.

Alors qu’on l’aperçoit entrer dans sa voiture, un homme en costume, qui semble attendre depuis un long moment, sort de la sienne et part en direction de celle de Sara.

J’entre dans ma voiture, commence à mettre le contact, puis j’aperçois mon reflet dans mon rétroviseur, que suis-je en train de faire ?? Je devrai laisser à Michael une dernière chance, c’est vrai que je ne veux pas me retrouver seule, ceux qui ont tué mon père et celui qui m’attendait dans mon appartement doivent me chercher, je sais que Michael me protègera même si ma confiance en lui n’est plus la, je veux rester avec lui, mon cœur me le dit.
Je repense à ce qui c’est passé tout a l’heure…

Flash-back

Michael vient de fermer la porte de la salle de bain, je souffle un bon coup, je réfléchis, trop de questions se bousculent dans ma tête, je pars ou je reste ?? Se sert-il encore de moi ? Joue t'il encore avec moi ?
Si je reste, je devrai dormir ici, dans la même pièce que lui, je sais qu’en un seul regard, je pourrai lui pardonner, mais je ne peux pas succomber à son charme comme si rien ne s’était passé…Je ne veux pas, on irait rejoindre son frère demain et on quitterait cette ville pour toujours.
Si je pars, je me retrouverai à nouveau seule, probablement en danger, mais je ne serai plus en contact avec cet homme qui m’a trahie, utilisée. Je me sens mal, je ne lui fais plus confiance et je ne le veux plus, mais quelque chose en moi me dit de tenter ma chance et de rester, cette même chose qui m’a dit de lui laisser la porte de cette infirmerie ouverte, mais ma raison me dit de fuir, fuir à toute jambe, fuir pour ne plus souffrir de l’homme que j’aime, que j’aimais, mon coeur lui, me dit de rester…Mes sentiments sont tellement contradictoires, que je ne peux plus me fier à eux. Je suis perdue, je ne sais plus où j’en suis.
Je cherche dans mon sac cet origami, une fois la main dessus, je le déplie et prends mon stylo, ça y est ma décision est prise.... je lui marque un mot et quitte précipitamment la chambre, de peur qu’il ne sorte et me voit en train de fuir.

Fin du Flash-back

Pendant ce temps dans la chambre 40, Michael est encore sous la douche et ne se doute de rien du départ de Sara.

L’eau chaude qui coule le long de mon corps me fait un bien fou, mes muscles se décontractent au fur et à mesure.
Je prends le temps d’apprécier cette bonne douche brûlante, ça fait tellement longtemps que je n’en ai pas prise, c’est clair que ça me change des douches collectives de Fox River.
Je ne sais comment mon esprit se dirige vers Sara…Sara qui est seulement à quelques mètres de moi.
Le fait de la revoir après cette évasion, cette cavale, m’a fait comprendre à quel point je tiens à elle. Mais hélas, en ce moment, elle doit surtout me détester, après tout ce qu’elle a enduré à cause de moi, elle est aussi recherchée, et le pire, son père est mort.
En faite je porte le mal, dès que je m’attache à une personne tout le malheur s’abat sur celle-ci.
Comme toujours, c’est elle qui m’a soignée, sentir ses doigts fins sur ma peau,…rien que d’y penser, j’en frissonne encore.
J’espère avoir réussi à la convaincre de rester avec moi, jusqu'à demain afin que l’on retrouve Linc et que l’on quitte enfin ce pays.
Au bout de je ne sais combien de temps, je sors de cette douche, me sèche et enfile un caleçon et un t-shirt, je ne sais pourquoi, mais j’ai un mauvais pressentiment, j’ai peur…peur d’ouvrir cette porte, peur de voir dans le regard de Sara : « je te déteste, tu m’as utilisée ». Ma main tremble légèrement, j’approche ma main de cette poignée et me résous à ouvrir cette porte.

M : Sara ???

Je me dirige vers le centre de la chambre, lorsqu’un bout de papier m’interpelle, c’est la grue que je lui ai envoyée pour qu’elle puisse me retrouver, maintenant cette grue est complètement dépliée, j’ai peur de lire ce qu’il y a d’écrit, je prend mon courage à deux mains, je sais avant de le lire qu’elle est partie, mais je sais aussi, qu’il n’y a pas écrit : « je suis partie chercher quelque chose à manger, je reviens »
Je prend délicatement ce papier, lit ce qu’il y a d’écrit et là, mon cœur saigne, je le sais et surtout je le ressens comme un coup de couteau dans ma poitrine.
Je m’assois sur le lit et lâche le papier sur lequel on peut y lire distinctement : « je suis désolée, on ne m’y reprendra plus ». Je prends ma tête entre mes mains et là, je craque, mes larmes se déversent sur mes joues, je ne peux pas et ne veux pas les arrêter. Mon cœur se serre, je revois tous nos moments passés dans cette infirmerie.
Au bout de quelques minutes, je me dis que je devrai plutôt dormir, car demain, je dois retrouver Linc pour quitter définitivement cette vie.
J’aurai tellement voulu qu’elle vienne avec moi, qu’elle partage ma vie, pourquoi elle est partie ?
Me voilà allongé sur ce lit, je scrute le plafond, je cherche de quoi me vider l’esprit, enfin je cherche plutôt à détourner mes pensées de Sara, je compte le nombre de fissures, de tâches que peut contenir ce vieux plafond.
Mes yeux se ferment, je revois Sara, avec ou sans sa blouse blanche, je la vois avec ce jean et ce petit haut, qui la mettait tellement en valeur, il n’y a pas encore longtemps.
Aller, Mike reprends toi, elle est partie, c’est fini, elle n’a plus confiance en toi, d’un coté, c’est normal après ce que je lui ai fait endurer, comment j’ai pu être aussi stupide de penser qu’elle voudrait de cette vie …avec moi, elle a préféré fuir, je ne lui en veux pas, j’ai juste peur de la laisser seule.
Je sens mes paupières lourdes, je m’endors et pense à la vie que je voudrai auprès de Sara, au Panama. Mais hélas, je sais que ce n’est qu’un rêve et que le réveil sera le plus dur, car ça ne sera pas réel.


Je coupe alors le contact de ma voiture et sors, lorsque… Lance me pointe avec son arme.

K : bonjour Sara

alors

tu m'as abandonnée

super début mais c'est très effrayant cette fin

LA SUITE LA SUITE LA SUITE

tu connais la chanson, hein ma sister harcèleuse

Où ils sont les comms , les fans se sont faits enlever par des OVNIS ou pire la Compagnie
Vous savez pas ce que vous allez râter, d'ailleurs moi non plus car je sais pas ce qui va se passer
et toi ma juju tu vas pas t'en tirer comme ça....................

JE VEUX LA SUITE ET TRES VITE

Magnifique, j'aime vraiment les descriptions détaillée que tu fais sur ce qu'ils ressentent l'un et l'autre de leur actes. J'aime bien aussi l'idée de lire cela à travers leurs pensées respectives.

ton début est trés bien écrit, j'ai prit un grand plaisir à te lire et entre nous j'attends la suite avec impatience

merci les miss pour vos coms!!!!!
je vois que ma fic ne fait pas trop sensation juste 2coms!!!

merci a vous deux !!!
je vous poste quand meme la suite !!!!
bonne lecture!!!
chapitre 2

K : bonjour Sara

Je le laisse entrer dans ma voiture, je n’ai pas vraiment le choix. Je ne sais pas ce qu’il attend, mais il fixe cet hôtel depuis un bon moment.

Je me réveille, enfin je n’ai pas vraiment dormi.
Sara hante toujours mes pensées, je me demande où elle est à ce moment là ? Si elle est heureuse de m’avoir quittée?

Au bout d’une heure, je comprends enfin ce qu’il attendait.

Je sors de cette chambre et m’approche de ma voiture, je jette un dernier coup d’œil à l’hôtel, où ma vie aurait pu prendre un autre tournant et part en direction de la cabane de Bolshoi Booze.

J’aperçois alors Michael sortir de cette chambre, monter dans sa voiture et quitter l’hôtel.

Je me sens mal, il est parti, s’il savait que j’étais à quelques mètres de lui avec ce Lance.

Une fois Michael partit, je suis Lance sans broncher, il entre dans l’ancienne chambre où je me trouvais il y a encore quelques heures. Je regrette tellement de l’avoir quittée.
Lance m’attache les chevilles et les poignets avec du scotch.

K : J’imagine que vous vous sentez légèrement trahie en ce moment et je comprends

Ensuite il me dit avec un grand sourire.

K : Mon nom n’est pas Lance, mais Paul et je ne suis pas un drogué.
Il y a une chose à mon sujet qui peut vous êtres utile en ce moment…Je suis raisonnable, donc si vous me dites ce que vous savez, je vous laisserai partir.
Et quand tout sera fini, on pourra manger de la tarte, en souvenir du bon vieux temps. OK

Il détache alors le bâillon, qu’il y avait dans ma bouche. Mes lèvres me brûlent.
J’ai de plus en plus peur, et dire que je lui ai accordé ma confiance, je l’ai invitée chez moi.
Michael, s’il te plait, ne croit pas que je suis partie, essaie de me retrouver. Il veut sûrement savoir où il est parti, mais je ne dirai rien, je garderai ce que je sais pour moi, je ne veux pas qu’il lui arrive quoi que ce soit.

S : Je ne sais pas où est parti Michael.
K : Ce n’est pas au sujet de Michael, mais de votre père.

Mon père, que vient-il faire dans cette histoire, il est mort à cause des gens comme lui et cet agent veut parler de lui.

K : Il a quitté Washington avec quelque chose qui n’était pas à lui. Et nous voulons le récupérer.
S : Vous l’avez tué pour ça !
K : Je ne l’ai pas tué, non…pour ce que ça valait. Mais j’espère que sa mort illustre l’importance de la situation dans laquelle nous nous trouvons.
Alors où est ce que c’est ?

Serait ce la clé que j’ai trouvée sur le corps de mon père, que cet homme recherche ??
S’ils l’ont tué pour ça, c’est qu’elle doit vraiment être importante et je ferai tout pour, qu’il ne sache pas de quoi il veut parler.

S : Je ne sais pas de quoi vous parlez.
K : Où est ce que c’est ?
S : Je ne sais pas de quoi vous parlez.
K : Sara, il y a une autre façon pour résoudre ça, et vous ne voulez pas l’expérimenter.
S : Je jure devant Dieu, que je ne sais pas de quoi vous parlez. Mon père ne m’a rien donné.

Il est énervé, je le vois, ses mains tremblent par la colère, j’ai beau lui répéter que je ne sais pas de quoi il me parle, il me répète sans cesse cette question afin que je cède. Mais cela ne prendra pas et je me tairai jusqu’au bout.
Il se lève et va dans la salle de bain, j’ai peur, mon cœur s’emballe, mais que va-t-il me faire ??
J’entends l’eau couler, pourquoi ?

Pendant ce temps

Au bout de deux longues heures, je sors enfin de cette voiture, je suis tout ankylosé.

Je marche un long moment et je trouve enfin cette cabane, aménagée avant mon incarcération, il me reste juste à attendre Linc. Je m’assoie donc sur une chaise et met ma tête dans mes bras, et j’attends, j’attends inlassablement.

J’entends du bruit à l’extérieur, je sors discrètement et j’aperçois Sucre. Il me voit à son tour et me serre dans ses bras.

Su : hey papi !! Ça va ??
M : Oui et toi ? Tu as réussi à trouver.
Su : Oui, mais la prochaine fois, essaie de ne pas trop faire compliquer, j’ai mis du temps à trouver (rire)
M : La prochaine fois, je préviens la police pour te dire comment me retrouver d’accord ?
Su : haha !! Papi, tu n’as pas perdu ton sens de l’humour. Au fait, Linc arrive quand ?
M : Il ne devrait pas tarder. Attends, chut …

J’entends un bruit près de la cabane, depuis que je suis sorti de Fox River, je suis de plus en plus parano, heureusement d’ailleurs. Je m’avance à pas feutrés et là….


alors??

Et la quoi ????????, Aldo ? Linc ? Mahone ? c'est le stresse à gogo là, et c'est pas bien...

de toute évidence tu as zappé le moment de la rencontre avec les hispanique, j'apprécie.

Du coup j'attends la suite...

à ma sister adorée

très belle suite et l'autre nul


LA SUITE LA SUITE LA SUITE

coucou les minettes!!!
merci pour vos coms ils me font vraiment plaisir!!
je continue de vous posté la suite malgre le peu de coms!!!
pour celle qui sont interessée je suis plus avancer sur un autre fofo si vous le voulez demander le moi par MP!!!!
bonne lecture


chapitre 3

J’entends un bruit près de la cabane, depuis que je suis sorti de Fox River, je suis de plus en plus parano, heureusement d’ailleurs. Je m’avance à pas feutrés et là….

Je vois Linc se diriger vers moi, mais il n’est pas seul, cet homme l’accompagne, mon « père ». Je sens alors les larmes me monter aux yeux, pourquoi l’avoir ramené avec lui ?

M : Que fait il ici Linc ?
L : Tu le connais ?
M : Bien sur, on s’est déjà rencontré.

Aldo se rapproche de Michael, mais il recule.

M : Ne t’approche pas de moi.
L : Qu’est ce qui se passe ? Et comment ça, tu le connais, c’est impossible ?
M : Je le connais, je connais cet homme.
L : Qu’est ce qu’il se passe, papa ?

Je vais devoir tout revivre, tout raconter, pour que Linc comprenne ma rancœur envers cet homme.

M : Après la mort de maman, tu étais au centre pour délinquants…Ils m’ont mit avec ce gars…il me punissait, m’enfermait et me frappait.

Je me revois enfermé, dans le noir, avec cet homme qui me tabassait. Puis, je revois mon « père » qui me sort de cette salle obscure et vois cet homme baignant dans son sang.

M : Comment t’as pu faire ça à un autre être humain ? De tes propres mains ?
A : Michael…ça va aller. Il faut juste retrouver cette cassette qui prouve l’innocence de ton frère.
M : Quelle cassette, de quoi tu parles ?
A : Il existe une cassette sur laquelle il y a une conversation de la présidente et son frère, après que Linc l’ait soit disant tué.
L : Tu ne vas pas croire qui l’a d’après lui ?
M : Qui ?



Revenons à notre chère Sara

Il revient me chercher et met la chaise au bord de la baignoire remplie d’eau et vide mon sac, mon cœur bat de plus en plus vite. Michael, s’il te plait viens me chercher.

K : Votre père a passé 3 coups de fils, dont un à vous. Que vous a-t-il dit ?
S : Il m’a juste dit qu’il retournait à Chicago.
K : Bien. Vous vous montrez honnête.
K : Vous êtes passée voir votre père à son retour, vous a-t-il donné quelque chose ?
S : Non, la dernière fois que je l’ai vu, il était mort, dans son bureau.
K : Est-ce qu’il vous a fait remettre quelque chose ?
S : Vous pensez que je cache des infos, juste pour rester avec vous ? Si je savais quelque chose, je vous le dirais. Mais je ne sais rien.
K : Vraiment. Alors pourquoi avoir donné le dossier de Lincoln Burrows à votre père ? Pourquoi avoir ouvert la porte à Scofield ? Pourquoi Scofield vous a-t-il envoyé des codes ? Pourquoi avoir été le retrouver au Nouveau Mexique ?

Il voit que je ne réponds pas et que je ne lui dirai rien, même si je le savais.
Il m’attrape la tête et la plonge dans l’eau froide, j’essaie de me débattre comme je peux, mais je préfère le laisser faire, sinon les conséquences seront pires. Il me ressort au bout de quelques instants, ce qui m'a paru une éternité.
L’air entre de nouveau dans mes poumons, il m’essuie le visage, je ne veux pas qu’il me touche, j'essaie de me reculer. Je vois qu’il est près à tout pour avoir cette clé. Mon dieu où suis-je tombée !

K : Ecoutez Sara, nous allons devoir nous entendre, vous le savez ?

J’acquiesce de la tête pour lui faire comprendre que je vais coopérer.
Au bout d’un moment, il me repose cette éternelle question, je lui réponds toujours la même chose, mais, cette fois, au lieu de me plonger uniquement la tête dans l’eau, il y glisse subtilement un fer à repasser.
Mon corps est vrillé par le courant, mes muscles se crispent.
Il me ressort de l’eau, je suis toute tremblante.
Soudain, mon téléphone sonne, ça ne peut être que toi, Michael.





Retour sur Michael

M : Qui ?
L : Sara
M : Tu crois que Sara a cette cassette ?
A : Le gouvernement le croit

C’est pas possible, pourquoi toi Sara, pourquoi, je voulais tellement ne pas te mêler à tout ça et maintenant tu y finis directement impliquée.

M : Je l’ai vu hier. Si elle avait quelque chose. Elle ne le sait pas.
A : Où est-elle maintenant ?
M (en baissant la tête) : Je ne sais pas
L : Tu as un moyen de la contacter ?
M : On avait des portables, je pourrai l’appeler.
A : Tu peux l’appeler maintenant.
M : Ok, je vais le faire.

Je m’éloigne d’eux, je ne veux pas qu’ils écoutent notre conversation, même si je n’ai rien à cacher, ça reste personnel.
Je prends mon téléphone et compose le seul numéro y figurant.
J’attends, au bout de trois tonalités, ça décroche...... mais…


voila alors vous aimez toujours????

voila alors vous aimez toujours????

OUI, YES ,SI, DA blabla

comment tu oses être aussi sadique

la dernière phrase......"mais ".......mais QUOI


SUPER ma juju

salut ma sister
je ne vois aucunes raisons que tu y échappes


LA SUITE LA SUITE LA SUITE LA SUITE ET AVEC DU MISA

du misa

pleins de gros

tinkerbel a écrit:salut ma sister
je ne vois aucunes raisons que tu y échappes


LA SUITE LA SUITE LA SUITE LA SUITE ET AVEC DU MISA

du misa

pleins de gros

je trouve enfin le tps de passer de mettre un com miss
dsl pas l'avoir fait avt

mais tu sais que jdr jdr jdr jdr jdr jdr jdr jdr
je suis fan

alors comme ta sister je demande la suite

mais... que va-t-il se passer??

coucou les miss desolé pour mon absence mais le bac approche et je ne peut pas tout faire a la fois!!!

je vous poste la suite j'espere que sa vous plait toujours dites le moi sinon!!!

bonne lecture


chapitre 4

J’attends, au bout de trois tonalités, ça décroche...... mais…


Je vois Paul décrocher avec un sourire, sadique, sur les lèvres.

P : Allo… (Mettant le haut parleur)

Lorsque je le vois répondre, mon sang ne fait qu’un tour, il va savoir que c’est Michael. Oh mon Dieu, faite que ce soit un faux numéro, d’un autre coté si c’est bien lui, peut être qu’il viendra me chercher.
Arrêtes de rêver Sara, t’as le cerveau à l’envers à cause de ta séance de torture.

… ce n’est pas la voix de Sara, je tremble, pourquoi ce n’est pas elle ? Je pousse un long soupir et demande :

M : Qui est à l’appareil ? Où est Sara ?
P : Du calme Mr Scofield, je suis l’agent Paul Kellerman et votre chère Sara est à mes cotés, et elle ne rate aucune miette de notre conversation.

J’écoute attentivement ce que dit cet agent. C’est bien Michael, mon cœur bat la chamade, j’ai envie qu’il vienne et qu’il me sert dans ses bras, je sais que j’y serai en sécurité, je ne me suis jamais sentie en danger en sa présence. Il est inquiet, je le sens au son de sa voix, j’espère qui ne va pas faire de bêtises, qui risqueraient de lui coûter la vie.

Cette ordure détient Sara. Oh mon Dieu, qu'est ce qu'il a pu lui faire ? Je sais ce dont sont capables ces hommes. Je ne peux m’empêcher de me poser toutes ces questions qui se bousculent dans ma tête :

M : Vous travaillez pour la Compagnie, n’est ce pas ? Pourquoi Sara est avec vous ? J’espère que vous ne lui avez pas fait de mal !
P : Oui je travaille en effet pour elle, Mr Scofield et en ce qui concerne Sara, je ne peux rien vous dire sur ce point (rires).

Je commence à m’énerver et j’hurle dans ce satané téléphone.

M : Si vous l’avez touchée, je vous jure que je vous retrouve et vous tue de mes propres mains.
P : Calmez-vous Michael, sinon les conséquences pour elle, pourraient être pire.

Michael s’inquiète pour moi, s’il savait ce que cet agent m'a déjà fait subir, il serait capable de le tuer. Paul essaie de le calmer en me menaçant du pire, je crois que ce n’est pas la meilleure solution.

Je panique, je lui demande alors :

M (se ressaisissant) : où êtes vous ?
P : vous me croyez si stupide Michael pour vous dire où je retiens votre dulcinée (rires).

Sa dulcinée, ça sonne bien. Oh arrêtes Sara, ce n’est pas le moment de penser à ça.

Cet enfoiré me ri encore au nez. Je ne sais plus quoi faire. Je tourne en rond et je vois Linc me fixer, il doit savoir que quelque chose ne va pas. Rien ne va.

Je ne sais quelle bête m’a piquée, mais au moment où Paul ne parle plus, je me mets à hurler le nom de l’hôtel où nous nous trouvons. Chose que je n’aurai pas du faire…

Au moment où Paul ne parle plus, j’allais lui dire le fond de ma pensée, lorsque j’entends la voix de Sara, sa douce voix, elle cris le nom de l'hôtel (qu’est ce qu’elle est intelligente). Je retiens le nom, en me disant que c’est le même hôtel où nous étions la dernière fois. Je m’en veux à présent, ça se trouve elle ne voulait plus partir, mais cet homme la retenue. J’aurai du partir à sa recherche en trouvant son mot.

(Un claquement se fait entendre)

Je récolte une belle claque de la part de mon bourreau. Ma joue me brûle, je sens que je vais le regretter encore plus par la suite.

P : Tu vas la fermer oui

Le son d'une claque se fait entendre et me fait froid dans le dos. J’ai les larmes aux yeux en imaginant cet homme lever la main sur elle. Je ne peux m’empêcher de crier :

M : Ne la touchez plus, sinon je vous jure que vous allez le regretter.

A présent Linc et Sucre me dévisagent, je les vois prêt à s’approcher, je leur fais signe de rester là où ils sont, mais ils voient mes yeux embués.

P (dans un rire) : très bien. Vous avez le nom de l’hôtel, mais il serait dommage que lorsque vous vous pointez ici, Sara soit morte !!!! Comme je vous l’ai dit, elle suit notre conversation depuis le début, comme c’est mignon, le détenu qui s’inquiète pour son médecin.
M (avalant difficilement sa salive) : S’il vous plait …ne lui faites plus de mal…je veux lui parler… s’il vous plait ?
P : Je ne sais pas, à votre avis Sara, vous voulez parler à l’homme qui vous a trahie et utilisée ? (Voyant Sara baisser la tête) C’est bien ce qu’il me semblait, elle ne veut pas vous parler.

J'ai demandé à lui parler, mais cet agent lui rappelle mes immondes erreurs. Mon cœur se serre, je sais que je l’aime, et je veux la retrouver et lui prouver que j’ai toujours été sincère avec elle.

M (dans un murmure) :S’il te plait Sara …

Je relève alors la tête et mes yeux se gorgent de larmes, elles ne vont pas tarder à dévaler le long de mes joues. Le simple fait d’entendre sa voix pleine d'émotions, me rassure, je sais maintenant que je lui ai pardonnée.

P : désolé Michael, mais je vais devoir raccrocher... et je vais sûrement m’amuser avec votre chère docteur. Je comprends tout à fait pourquoi vous êtes tombé sous son charme, elle est très jolie, même très attirante.

Il me nargue en me disant cela, j’espère pouvoir arriver à temps, avant qu’il n’ose poser une des ses sales pattes sur son corps.

M : Ne la touchez pas espèce d’ordure.
P : Oh oh, on se calme, c’est quoi ce vocabulaire, votre mère doit se retourner dans sa tombe en entendant ces mots.
M : Sara, si tu m’entends, saches que je vais venir te chercher, je t’en fais la promesse.

Je lui fais alors cette promesse et je la tiendrais. Je ne partirai pas au Panama sans elle à mes cotés.

P : des promesses toujours des promesses. Sur ce... au revoir.

Il a raccroché. Mes jambes ne me soutiennent plus, je m’effondre à terre, mes genoux cognent sur le sol.
Je les vois se précipiter dans ma direction. Mon cœur saigne, je veux la voir, la sentir près de moi, la prendre dans mes bras pour la protéger, respirer son parfum et enfin pouvoir poser de nouveau mes lèvres sur les siennes.
Ca y est, mes larmes si longtemps retenues, se déversent sur mes joues.


alors???

OMG comment j'ai fait pour rater cette fic bon en tout cas je viens de rattraper toutes les suites et je dois te dire que j'adoooooore ! l'histoire est sensationelle et comme toujours j'adore ta façon d'écrire

Sa dulcinée, ça sonne bien. Oh arrêtes Sara, ce n’est pas le moment de penser à ça.

j'ai adoré cette phrase, elle est prisonnière de Kellerman et elle arrive à penser à sa trop fort !!

en tout cas bravo et continue ainsi !!

J'avais pas vu que tu poster ici, c'est cool je vais pouvoir relire ta fic!!!!!

Met nous vivement la suite!!!!