Divers OS
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Divers OS
J'ai déjà poster cet OS sur un autre forum et maintenant je le poste ici...
Je ne sais pas si tout ce que j'ai voulu faire transparaitre apparaira mais voilà! Tant pis comme on dit les dès sont jetés!
-Cours!!
La peur dans son regard, la détermination que je sens dans sa voix et l'amour que je ressens pour cet homme, ont raison de mes réticences. Je cours, comme jamais encore, avec l'énergie du désespoir pour fuir les agents du FBI qui ont décidé de signer notre arrêt de mort.
Alors que, déterminée à en finir pour leur rendre la vie sauve, je sors de ma voiture, mes larmes refoulées comme un dernier geste pour montrer que je ne suis pas la femme faible dépeinte dans les journaux; je le vois, arme au poing prêt à ma sauver. Je sens ma vie basculer dans le domaine du songe.
Seul le rêve peut être l'exécutoire d'un tel acte d'héroïsme. Après m'avoir jeté, malgrè lui, en pature au lion, le voilà tel un preux chevalier venir à mon secours.
Alors je cours, sa main dans la mienne, pour m'entraîner dans son sillage. A perdre haleine, mon cerveau ne répond plus, seules mes jambes agissent comme par automatisme. Cet automatisme qu'on appelle instinct de survie.
Je ne peux plus la lâcher, cela signifierait mourir. Je ne m'explique pas le fait, qu'en si peu de temps, elle me soit devenue indispensable.
On court, encore une fois pour fuir. Voilà à quoi nous sommes réduit: une vie de peur à toujours regarder par dessus notre épaule. Les rues défilent devant nous, sans qu'aucune puisse nous servir de refuge. J'entend sa respiration essoufflée, saccadée et je sais qu'elle ne tiendra pas longtemps à ce rythme là. Moi non plus du reste.
La distance qui nous sépare de nos assaillants s'accroît de secondes en secondes et alors qu'un vieil opéra abandonné jaillit devant nos yeux, je sais qu'on a réussit à les semer.
Je pousse la porte et la laisse passer devant moi dans ce décor digne des films les plus romantiques.
Dans les antres d'un décor d'antan, je reprends mon sonffle contre une colonne sculptée. Je le vois regarder autour de nous et s'émerveiller de la beauté du lieu qui vient de nous accueillir en son sein. Les lourds rideaux de velours rouge encadrent une scène en bois qui a du être le lieu de superbes spectacles jadis. Je peux presque imaginer une cantatrice laisser sa voix envoûter son public.
Michael effleure de la main chaque courbe des sculturales colonnes qui soutiennent l'opéra. Pour un ingénieur comme lui, chaque détail a son importance et je sens l'émerveillement qui émane de lui.
-Viens, me dit-il.
Il me prend à nouveau la main qui se mourrait loin de son homonyme masculin et les battements de mon coeur reprennent le rythme désordonné qu'ils avaient adopté lors de notre fuite. Les sensations sont les mêmes, seul le motif change.
Il m'entraîne dans les coulisses qui semblent figées dans le temps. De multiples costumes sont encore suspendus aux portants et donnent un aspect cosmopolite au lieu. Des jupons de toutes les couleurs, un miroir abandonné sur une coiffeuse, une fleur en tissus oubliée dans la précipitation et une boîte à musique complètent l'ensemble. Un voile de poussière recouvre le tout et altère le reflet du miroir cassé en son angle. Tout semble abandonné et hors du temps. Hors du temps comme notre escapade dans ce lieu si magique.
Je vois le regard de Sara épouser le moindre recoin de ce long couloir chargé de souvenirs. Je me sens bien, en paix avec moi même.
Même si je sais que la réalité va nous rattraper d'ici quelques heures, même si j'ai laissé Lincoln seul sur ce bateau, même si je ne peux pas tout faire oublier à Sara; je veux, l'espace de quelques instants, me laisser envahir par l'ambiance si particulière qui émane de l'opéra, pour pouvoir affronter les prochains jours.
Je vois une véritable robe de conte de fée accrochée à un clou, à côté d'un costume noir. Ils m'attirents inexorablement et je vais les décrocher.
Puis je m'approche de Sara et en lui tendant l'habit, lui dit:
-Danses avec moi.
Je me rend compte de l'absurdité de mes mots au moment même où ceux-ci ont traversé la barrière de mes lèvres. Comment celle dont je viens à nouveau de risquer la vie, pourra t-elle accepter de se laisser aller dans mes bras?
Son regard est surpris et abasourdi mais je vois un sourire se profiler sur ces lèvres pleines.
- Avec plaisir Scofield, chuchote t-elle en réponse.
Mes doutes s'évanouissent et un bien être comme je n'en ai jamais connu m'envahit.
Danser avec lui dans un lieu si romantique est une regrettable erreur dont nous paierons tout les deux les conséquences. Mais à cet instant précis plus rien ne compte si ce n'est c'est quelques mots.
Je prends la robe de ses mains comme on soulève un présent inestimable et me précipite l'enfiler dans une des innombrables loges. Lui a fait de même et les papillons qui habitent mon estomac ne font qu'accroître.
La robe est une véritable merveille. Toute blanche avec des perles qui bordent un décolleté carré. Elle s'ouvre sur un jupon en plume, si léger qu'il ne parait pas exister. Elle m'arrive au genou et de superbes sandales blanches à hauts talons parfairent la tenue.
Je le rejoins et suis frappée par son élégance. Ce costume lui donne l'âme d'un gentleman prêt à enlever sa belle dans un voyage hors de temps.
Je ramasse la fleur qui gisait par terre et la lui met à la boutonnière. Il me sourit de son sourire qui me fait tout oublier. Plus rien n'existe excepté lui et moi.
Je me détache de ses yeux et ouvre la petite boîte à musique. Un son mélodieux s'en échappe et nous envoûte.
Je rêve, c'est la seule pensée cohérente qui m' habite. Seul un rêve peut me permettre de serrer la femme que j'aime dans mes bras, dans ce décor digne des plus grandes tragédies grecques.
On tourne au rythme de la musique et je peux avouer en toute honnêteté que Sara est une danseuse née. Sa présence redonne vie à la salle baignée de lumière par le lustre de chandeliers passé d'âge.
Je me sens l'âme d'un grand acteur livrant ma prestation devant une salle comble. Cela à quelque chose de grisant.
Sa peau est si soyeuse sous mes doigts. Sa robe lui va divinement bien et laisse deviner des courbes sublimes que sa blouse me cachait. J'approche mes lèvres de son oreilles et lui murmure ces mots qui n'appartiennent qu'à nous. Ses frissonnements en réponse me rapproche un peu plus de l'ataraxie. Là au coeur de ce théâtre abandonné, j'ai subitement envie d'elle, de manière irraisonnée.
Nous tournons depuis quelques minutes déjà et j'ai l'impression d'être étrangère à mon corps, de regarder le spectacle de nos deux corps se mouvant ensemble.
Je me sens bien et alors qu'il replace une de mes mèches derrière mon oreille, son geste devient caresse et je sais que ce qui va suivre est inéluctable. Vais-je le regretter?
Nous sommes arriver près d'une masse informe de draps blancs et il m'y dépose doucement comme on dépose une poupée en porcelaine qu'on aurait peur de casser?
Et alors, après nous avoir dévêtu mutuellement, arrive ce moment tant attendu. Des myriades de couleurs m'apparaissent et mon corps ne m'appartient plus. Plus je vole haut et plus j'ai peur de la chute qui va s'en suivre. La peur de le perdre est peut être irraisonnée à ce moment précis mais nous savons tout deux que ce moment n'est qu'éphémère et que bientôt nous devrons reprendre le cours de notre vie. Refaire surface dans la réalité.
Il me chuchote qu'il m'aime et je ne peux que répondre à ce que me dicte mon coeur. Ma raison me dit que cette barrière franchie aura de lourdes séquelles sur chacun de nous. Comment pourrons-nous être séparés après ça?
Je viens de vivre un instant magique, de ceux qu'on oublie pas et qui se rappellent à la mémoire alors qu'il faudrait tout oublier, sentiments compris. Mais jamais je ne pourrais me résoudre à qualifier Sara d'erreur. Jamais.
Nous revêtons nos habits, les vrais cette fois et décidons d'un commun accord de partir et de faire face à la réalité. La lourde porte en chêne se referme sur nous et sur le lieu ayant abrité notre amour. Un observateur invisible aurait pu y voir des paillettes voltiger pour donner son caractère d'immortalité à cet instant d'oubli.
Je ne sais pas si tout ce que j'ai voulu faire transparaitre apparaira mais voilà! Tant pis comme on dit les dès sont jetés!
FORGET YOUT LIFE FOR A FEW TIME
-Cours!!
La peur dans son regard, la détermination que je sens dans sa voix et l'amour que je ressens pour cet homme, ont raison de mes réticences. Je cours, comme jamais encore, avec l'énergie du désespoir pour fuir les agents du FBI qui ont décidé de signer notre arrêt de mort.
Alors que, déterminée à en finir pour leur rendre la vie sauve, je sors de ma voiture, mes larmes refoulées comme un dernier geste pour montrer que je ne suis pas la femme faible dépeinte dans les journaux; je le vois, arme au poing prêt à ma sauver. Je sens ma vie basculer dans le domaine du songe.
Seul le rêve peut être l'exécutoire d'un tel acte d'héroïsme. Après m'avoir jeté, malgrè lui, en pature au lion, le voilà tel un preux chevalier venir à mon secours.
Alors je cours, sa main dans la mienne, pour m'entraîner dans son sillage. A perdre haleine, mon cerveau ne répond plus, seules mes jambes agissent comme par automatisme. Cet automatisme qu'on appelle instinct de survie.
Je ne peux plus la lâcher, cela signifierait mourir. Je ne m'explique pas le fait, qu'en si peu de temps, elle me soit devenue indispensable.
On court, encore une fois pour fuir. Voilà à quoi nous sommes réduit: une vie de peur à toujours regarder par dessus notre épaule. Les rues défilent devant nous, sans qu'aucune puisse nous servir de refuge. J'entend sa respiration essoufflée, saccadée et je sais qu'elle ne tiendra pas longtemps à ce rythme là. Moi non plus du reste.
La distance qui nous sépare de nos assaillants s'accroît de secondes en secondes et alors qu'un vieil opéra abandonné jaillit devant nos yeux, je sais qu'on a réussit à les semer.
Je pousse la porte et la laisse passer devant moi dans ce décor digne des films les plus romantiques.
Dans les antres d'un décor d'antan, je reprends mon sonffle contre une colonne sculptée. Je le vois regarder autour de nous et s'émerveiller de la beauté du lieu qui vient de nous accueillir en son sein. Les lourds rideaux de velours rouge encadrent une scène en bois qui a du être le lieu de superbes spectacles jadis. Je peux presque imaginer une cantatrice laisser sa voix envoûter son public.
Michael effleure de la main chaque courbe des sculturales colonnes qui soutiennent l'opéra. Pour un ingénieur comme lui, chaque détail a son importance et je sens l'émerveillement qui émane de lui.
-Viens, me dit-il.
Il me prend à nouveau la main qui se mourrait loin de son homonyme masculin et les battements de mon coeur reprennent le rythme désordonné qu'ils avaient adopté lors de notre fuite. Les sensations sont les mêmes, seul le motif change.
Il m'entraîne dans les coulisses qui semblent figées dans le temps. De multiples costumes sont encore suspendus aux portants et donnent un aspect cosmopolite au lieu. Des jupons de toutes les couleurs, un miroir abandonné sur une coiffeuse, une fleur en tissus oubliée dans la précipitation et une boîte à musique complètent l'ensemble. Un voile de poussière recouvre le tout et altère le reflet du miroir cassé en son angle. Tout semble abandonné et hors du temps. Hors du temps comme notre escapade dans ce lieu si magique.
Je vois le regard de Sara épouser le moindre recoin de ce long couloir chargé de souvenirs. Je me sens bien, en paix avec moi même.
Même si je sais que la réalité va nous rattraper d'ici quelques heures, même si j'ai laissé Lincoln seul sur ce bateau, même si je ne peux pas tout faire oublier à Sara; je veux, l'espace de quelques instants, me laisser envahir par l'ambiance si particulière qui émane de l'opéra, pour pouvoir affronter les prochains jours.
Je vois une véritable robe de conte de fée accrochée à un clou, à côté d'un costume noir. Ils m'attirents inexorablement et je vais les décrocher.
Puis je m'approche de Sara et en lui tendant l'habit, lui dit:
-Danses avec moi.
Je me rend compte de l'absurdité de mes mots au moment même où ceux-ci ont traversé la barrière de mes lèvres. Comment celle dont je viens à nouveau de risquer la vie, pourra t-elle accepter de se laisser aller dans mes bras?
Son regard est surpris et abasourdi mais je vois un sourire se profiler sur ces lèvres pleines.
- Avec plaisir Scofield, chuchote t-elle en réponse.
Mes doutes s'évanouissent et un bien être comme je n'en ai jamais connu m'envahit.
Danser avec lui dans un lieu si romantique est une regrettable erreur dont nous paierons tout les deux les conséquences. Mais à cet instant précis plus rien ne compte si ce n'est c'est quelques mots.
Je prends la robe de ses mains comme on soulève un présent inestimable et me précipite l'enfiler dans une des innombrables loges. Lui a fait de même et les papillons qui habitent mon estomac ne font qu'accroître.
La robe est une véritable merveille. Toute blanche avec des perles qui bordent un décolleté carré. Elle s'ouvre sur un jupon en plume, si léger qu'il ne parait pas exister. Elle m'arrive au genou et de superbes sandales blanches à hauts talons parfairent la tenue.
Je le rejoins et suis frappée par son élégance. Ce costume lui donne l'âme d'un gentleman prêt à enlever sa belle dans un voyage hors de temps.
Je ramasse la fleur qui gisait par terre et la lui met à la boutonnière. Il me sourit de son sourire qui me fait tout oublier. Plus rien n'existe excepté lui et moi.
Je me détache de ses yeux et ouvre la petite boîte à musique. Un son mélodieux s'en échappe et nous envoûte.
Je rêve, c'est la seule pensée cohérente qui m' habite. Seul un rêve peut me permettre de serrer la femme que j'aime dans mes bras, dans ce décor digne des plus grandes tragédies grecques.
On tourne au rythme de la musique et je peux avouer en toute honnêteté que Sara est une danseuse née. Sa présence redonne vie à la salle baignée de lumière par le lustre de chandeliers passé d'âge.
Je me sens l'âme d'un grand acteur livrant ma prestation devant une salle comble. Cela à quelque chose de grisant.
Sa peau est si soyeuse sous mes doigts. Sa robe lui va divinement bien et laisse deviner des courbes sublimes que sa blouse me cachait. J'approche mes lèvres de son oreilles et lui murmure ces mots qui n'appartiennent qu'à nous. Ses frissonnements en réponse me rapproche un peu plus de l'ataraxie. Là au coeur de ce théâtre abandonné, j'ai subitement envie d'elle, de manière irraisonnée.
Nous tournons depuis quelques minutes déjà et j'ai l'impression d'être étrangère à mon corps, de regarder le spectacle de nos deux corps se mouvant ensemble.
Je me sens bien et alors qu'il replace une de mes mèches derrière mon oreille, son geste devient caresse et je sais que ce qui va suivre est inéluctable. Vais-je le regretter?
Nous sommes arriver près d'une masse informe de draps blancs et il m'y dépose doucement comme on dépose une poupée en porcelaine qu'on aurait peur de casser?
Et alors, après nous avoir dévêtu mutuellement, arrive ce moment tant attendu. Des myriades de couleurs m'apparaissent et mon corps ne m'appartient plus. Plus je vole haut et plus j'ai peur de la chute qui va s'en suivre. La peur de le perdre est peut être irraisonnée à ce moment précis mais nous savons tout deux que ce moment n'est qu'éphémère et que bientôt nous devrons reprendre le cours de notre vie. Refaire surface dans la réalité.
Il me chuchote qu'il m'aime et je ne peux que répondre à ce que me dicte mon coeur. Ma raison me dit que cette barrière franchie aura de lourdes séquelles sur chacun de nous. Comment pourrons-nous être séparés après ça?
Je viens de vivre un instant magique, de ceux qu'on oublie pas et qui se rappellent à la mémoire alors qu'il faudrait tout oublier, sentiments compris. Mais jamais je ne pourrais me résoudre à qualifier Sara d'erreur. Jamais.
Nous revêtons nos habits, les vrais cette fois et décidons d'un commun accord de partir et de faire face à la réalité. La lourde porte en chêne se referme sur nous et sur le lieu ayant abrité notre amour. Un observateur invisible aurait pu y voir des paillettes voltiger pour donner son caractère d'immortalité à cet instant d'oubli.
THE END
aventurine- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Divers OS
je l'ai déjà lu mais c'est avec un grand plaisir que je le relis
un bref instant, il n'existe plus qu'eux et leur amour, plus de problèmes, plus de course, juste eux dans cet endroit "magique"
ta façon d'écrire et de décrire
bref UN AUTRE OS STP
un bref instant, il n'existe plus qu'eux et leur amour, plus de problèmes, plus de course, juste eux dans cet endroit "magique"
ta façon d'écrire et de décrire
bref UN AUTRE OS STP
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Divers OS
wo
super mais alors super bien écrit cet OS
tu es m'y met tant d'emotions, et tu retranscris vraiment bien se qu'ils ressentent l'un et l'autre, en découvrant ce lieu magique
c vrai que c'est p-e bizarre qu'ils s'habillent et dansent ainsi alors qu'ils sont en fuite, mais c'est un moment qui ne leur appartient qu'à eux, et ils avaient besoin de se retrouver, de s'aimer
enfin bref j'ai adoré ton OS
j'ai hate d'en lire de nouveau
super mais alors super bien écrit cet OS
tu es m'y met tant d'emotions, et tu retranscris vraiment bien se qu'ils ressentent l'un et l'autre, en découvrant ce lieu magique
c vrai que c'est p-e bizarre qu'ils s'habillent et dansent ainsi alors qu'ils sont en fuite, mais c'est un moment qui ne leur appartient qu'à eux, et ils avaient besoin de se retrouver, de s'aimer
enfin bref j'ai adoré ton OS
j'ai hate d'en lire de nouveau
Re: Divers OS
je viens de lire ton OS comme promis (je sais plus où je te l'avais promis mais je te l'avais promis) et comme dacbd je dirai whooooo
l'univers dans lequel tu nous transporte dans cet OS est tout simplement magique et féerique... je vois tellement bien le décors... un décors magistral et somptueux avec une touche de caractère du à l'ancienneté du bâtiment... puis les costumes (ça me fait penser à ton très bel avatar), j'imagine les flots de couleurs qui illuminent le tout.... bref un moment magique ça je l'ai déjà dit mais aussi magnifique !!!
en plus de ça, c'est un OS très original puisqu'il ne se rapporte à aucun autre....
Je serai incapable de citer mes passges préférés tellement il y en a... mais la dernière phrase est tout simplement magnifique... je suis très visuelle et là je vois michael et sara repartir main dans la main affronter la durr réalité du monde après cet instant hors du temps comme tu l'as dit, et je les vois comme si j'étais perchée du haut d'un balcon de cet opéra... ils courent presque au ralenti sous un flot de paillettes qui scintillent....
bre flà on me prends pour une folle mais j'ai tellement était transporté dans cette univers que j'avais besoin de retranscrir la vision qui me venait à l'esprit de kleurs derniers moments...
vraiment magique et magnifique!! j'espère que tu a encore beaucoup d'autres OS comme ça que je me ferai un plaisir de lire !!!
l'univers dans lequel tu nous transporte dans cet OS est tout simplement magique et féerique... je vois tellement bien le décors... un décors magistral et somptueux avec une touche de caractère du à l'ancienneté du bâtiment... puis les costumes (ça me fait penser à ton très bel avatar), j'imagine les flots de couleurs qui illuminent le tout.... bref un moment magique ça je l'ai déjà dit mais aussi magnifique !!!
en plus de ça, c'est un OS très original puisqu'il ne se rapporte à aucun autre....
Je serai incapable de citer mes passges préférés tellement il y en a... mais la dernière phrase est tout simplement magnifique... je suis très visuelle et là je vois michael et sara repartir main dans la main affronter la durr réalité du monde après cet instant hors du temps comme tu l'as dit, et je les vois comme si j'étais perchée du haut d'un balcon de cet opéra... ils courent presque au ralenti sous un flot de paillettes qui scintillent....
bre flà on me prends pour une folle mais j'ai tellement était transporté dans cette univers que j'avais besoin de retranscrir la vision qui me venait à l'esprit de kleurs derniers moments...
vraiment magique et magnifique!! j'espère que tu a encore beaucoup d'autres OS comme ça que je me ferai un plaisir de lire !!!
Re: Divers OS
Titre : Toi et moi c'est et cela restera à jamais réel
Auteur : Aventurine
Estimations : G
Catégorie : Drame/Romance/Angoisse
Contenu : POV Sara, allusion à Mickael
Résumé : Retenue prisonnière par la Compagnie, Sara essaye de trouver la force de résister...
Spoilers : saison 3 surtout.
Dénégations : Tous les personnages appartiennent à Paul Scheuring, à la Fox. Je les emprunte les temps d'une pensée mais je les rend juste après.
Notes : Voilà le premier OS sur Prison Break que j'ai écrit un peu avant Noël si je me rappelle bien. C'est différent de celui posté précedemment et il ne me plait pas trop. Je ne sais pas du tout ce que ça vaut je vous laisse juger par vous même. Je voulais montrer la détresse de Sara, ses peurs...
Je sais que c'est très court...une sorte de mini mini OS!
Feedbacks : Ca fait toujours plaisir même si c'est pour dire que c'est nul!
J'essaye péniblement d'ouvrir un oeil, puis l'autre. j'ai l'impression d'être dans la peau d'un aveugle qui revoit pour la première fois. La lumière du jour m'éblouit et je ne distingue plus ce qui m'entoure. Je perçois enfin un bruit, calme... Une respiration. les évenements des derniers jours me reviennent en mémoire avec une force qui me fait vaciller. Cette pièce, ce corps, comment, pourquoi... Les réponses défilent dans ma tête à une telle vitesse que j'en ai le tournis.
Je porte la main à mon front et sens le sang qui a séché là où les coups de mon agresseur ont porté. Je suis groggy, pour la première fois depuis longtemps je sens que j'ai des muscles qui me font horriblement mal et qui commencent à peine à relacher la tension des derniers jours. La respiration à coté de moi est saccadée et le medecin, qui est toujours là dans un recoin de mon cerveau, ressugit. Je me lève difficilement et m'approche du corps étendu, endormit. Puis me penche vers le jeune homme qui est lui aussi assez amoché. Il dort d'un sommeil lourd que seul le fait d'être à bout de force, à bout de nerf, peut procurer.
Je me rassois, rassurée pour le moment, et essaye d'analyser la situation dans laquelle je suis. Non, dans laquelle nous sommes... Il va ma falloir un peu de temps pour le reconnaitre mais je suis responsable de ce corps endormit dont l'esprit est loin, si loin d'ici. Avec son père, père qu'il n'a pas pu encore serrer dans ses bras en pensant: c'est finit. A qui il n'a pas dit tout ce qu'il ressent. Avec sa mère qui est morte en le protégeant. Avec son oncle...Mickael...non je ne dois pas encore y penser. L'ancienne droguée refait surface réclamant sa dose. La drogue n'est plus la même mais le manque toujours cette même sensation. C'est trop tôt...la seule personne qui me comprend, qui m'aime peut être... me croit morte. Plus qu'un souvenir, voilà ce que je suis pour lui. Je me lève d'un coup, fais le tour de la pièce, essayant de me calmer. Je l'aime à en crever et je sens que c'est mon destin de mourrir pour lui... pour son frère, pour cette Compagnie qui m'a tout pris y compris l'homme que j'aime. La morphine m'aiderait...elle me ferait oublier l'horreur de ces derniers jours, me ferait oublier que je vais mourrir, peut étre décapitée comme la copie que cette femme leur a envoyé.
Elle m'a tuée. Pas physiquement mais la Sara que j'étais n'est plus. Depuis l'évasion, ce changement avait commencé à s'opérer mais elle, avec quelques mots, des coups... et surtout ma mort déguisée, elle a réussit à détruire le peu que j'avais essayé de sauver. Plus rien ne subsite et je hais la femme que je suis devenue.
Les larmes coulent le long de mes joues et s'écrasent sur le sol en ciment. Il y a quelques jours, LJ m'a dit que j'avais le droit de pleurer, que c'était normal... Je lui ai répondu que non je n'en avait pas le droit alors qu'il est avec moi. C'est à moi de le protéger, de le consoler, je dois me montrer forte même si je ne sais où puiser cette force. Mais là, alors qu'il dort et que seuls les murs sont témoins de mes états d'âme, je pleure encore et encore. Parce qu'il faut que ça sorte et que je n'ai plus la force de retenir mes larmes qui perlent toujours au coin de mes yeux.
Quelques minutes passent seulement rythmées par mes pleurs et mes reniflements. Ils se tarissent enfin et je me recouche, épuisée et angoissée de ce que me réserve, nous réserve le lendemain. Ma dernière pensée cohérente avant que je ne sombre dans le sommeil est la dernière conversation avec Mickael. Je lui avais demandé de me dire une chose qui serait sûre, évidente et que la Compagnie de controlerait pas. Il m'avait répondu: "Toi et moi c'est et cela restera à jamais réel mon amour..."
Auteur : Aventurine
Estimations : G
Catégorie : Drame/Romance/Angoisse
Contenu : POV Sara, allusion à Mickael
Résumé : Retenue prisonnière par la Compagnie, Sara essaye de trouver la force de résister...
Spoilers : saison 3 surtout.
Dénégations : Tous les personnages appartiennent à Paul Scheuring, à la Fox. Je les emprunte les temps d'une pensée mais je les rend juste après.
Notes : Voilà le premier OS sur Prison Break que j'ai écrit un peu avant Noël si je me rappelle bien. C'est différent de celui posté précedemment et il ne me plait pas trop. Je ne sais pas du tout ce que ça vaut je vous laisse juger par vous même. Je voulais montrer la détresse de Sara, ses peurs...
Je sais que c'est très court...une sorte de mini mini OS!
Feedbacks : Ca fait toujours plaisir même si c'est pour dire que c'est nul!
Toi et moi c'est et cela restera à jamais réel
J'essaye péniblement d'ouvrir un oeil, puis l'autre. j'ai l'impression d'être dans la peau d'un aveugle qui revoit pour la première fois. La lumière du jour m'éblouit et je ne distingue plus ce qui m'entoure. Je perçois enfin un bruit, calme... Une respiration. les évenements des derniers jours me reviennent en mémoire avec une force qui me fait vaciller. Cette pièce, ce corps, comment, pourquoi... Les réponses défilent dans ma tête à une telle vitesse que j'en ai le tournis.
Je porte la main à mon front et sens le sang qui a séché là où les coups de mon agresseur ont porté. Je suis groggy, pour la première fois depuis longtemps je sens que j'ai des muscles qui me font horriblement mal et qui commencent à peine à relacher la tension des derniers jours. La respiration à coté de moi est saccadée et le medecin, qui est toujours là dans un recoin de mon cerveau, ressugit. Je me lève difficilement et m'approche du corps étendu, endormit. Puis me penche vers le jeune homme qui est lui aussi assez amoché. Il dort d'un sommeil lourd que seul le fait d'être à bout de force, à bout de nerf, peut procurer.
Je me rassois, rassurée pour le moment, et essaye d'analyser la situation dans laquelle je suis. Non, dans laquelle nous sommes... Il va ma falloir un peu de temps pour le reconnaitre mais je suis responsable de ce corps endormit dont l'esprit est loin, si loin d'ici. Avec son père, père qu'il n'a pas pu encore serrer dans ses bras en pensant: c'est finit. A qui il n'a pas dit tout ce qu'il ressent. Avec sa mère qui est morte en le protégeant. Avec son oncle...Mickael...non je ne dois pas encore y penser. L'ancienne droguée refait surface réclamant sa dose. La drogue n'est plus la même mais le manque toujours cette même sensation. C'est trop tôt...la seule personne qui me comprend, qui m'aime peut être... me croit morte. Plus qu'un souvenir, voilà ce que je suis pour lui. Je me lève d'un coup, fais le tour de la pièce, essayant de me calmer. Je l'aime à en crever et je sens que c'est mon destin de mourrir pour lui... pour son frère, pour cette Compagnie qui m'a tout pris y compris l'homme que j'aime. La morphine m'aiderait...elle me ferait oublier l'horreur de ces derniers jours, me ferait oublier que je vais mourrir, peut étre décapitée comme la copie que cette femme leur a envoyé.
Elle m'a tuée. Pas physiquement mais la Sara que j'étais n'est plus. Depuis l'évasion, ce changement avait commencé à s'opérer mais elle, avec quelques mots, des coups... et surtout ma mort déguisée, elle a réussit à détruire le peu que j'avais essayé de sauver. Plus rien ne subsite et je hais la femme que je suis devenue.
Les larmes coulent le long de mes joues et s'écrasent sur le sol en ciment. Il y a quelques jours, LJ m'a dit que j'avais le droit de pleurer, que c'était normal... Je lui ai répondu que non je n'en avait pas le droit alors qu'il est avec moi. C'est à moi de le protéger, de le consoler, je dois me montrer forte même si je ne sais où puiser cette force. Mais là, alors qu'il dort et que seuls les murs sont témoins de mes états d'âme, je pleure encore et encore. Parce qu'il faut que ça sorte et que je n'ai plus la force de retenir mes larmes qui perlent toujours au coin de mes yeux.
Quelques minutes passent seulement rythmées par mes pleurs et mes reniflements. Ils se tarissent enfin et je me recouche, épuisée et angoissée de ce que me réserve, nous réserve le lendemain. Ma dernière pensée cohérente avant que je ne sombre dans le sommeil est la dernière conversation avec Mickael. Je lui avais demandé de me dire une chose qui serait sûre, évidente et que la Compagnie de controlerait pas. Il m'avait répondu: "Toi et moi c'est et cela restera à jamais réel mon amour..."
aventurine- Compagnon de Cellule de Michael
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Localisation : Campe sur un nuage, au dessus d'une plage du Panama
Date d'inscription : 13/02/2008
Re: Divers OS
triste mais beau
pauvre Sara tout ce qu'elle a subit physiquement mais surtout mentalement, la dernière phrase (le titre aussi), c'est vraiment la seule chose sur laquelle, elle peut encore "compter", ça l'aide à tenir, pour leur amour
superbe os
pauvre Sara tout ce qu'elle a subit physiquement mais surtout mentalement, la dernière phrase (le titre aussi), c'est vraiment la seule chose sur laquelle, elle peut encore "compter", ça l'aide à tenir, pour leur amour
superbe os
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Divers OS
c'est vrai que l'univers est différent de ton dernier OS mais tu n'as pas à rougir de celui ci il est vraiment très bien, et même encore mieux en sacahnt que c'était ton premier !!!!
j'ai vraiment aimé la façon dont tu décris sara et ce qu'elle pense et tu retranscris parfaitement la sara qu'on a pu voir à l'écran. j'ai beaucoup aimé aussi qu'elle se rende compte que toute cette histoire dans laquelle elle a ^été entrainée sans vraiment le vouloir, l'a changé et pour toujours. elle ne sera plus la même femme, elle sera blesser à vie. il y auara à jamais quelque chose en elle de meurti par cette expérience!!! c'est vraiment très bien décrit !!! et je pense aussi que c'est un peu ce qu'on va voir dans la saison 4 de PB... une sara meurtie et changée !!!*
autre point que j'ai aimé c'est sa façon de vouloir protéger LJ, elle se sent responsable de lui et ne veux pas pleurer en sa présence, ou du moins quand il est éveillé !!
encore une chose, j'aime aussi toutes les références que tu as faites à son passé de droguée et à michael...
vraiment très bel OS, très maîtrisé, avec une sara qui correspond parfaitement à celle de la série !!!
j'ai vraiment aimé la façon dont tu décris sara et ce qu'elle pense et tu retranscris parfaitement la sara qu'on a pu voir à l'écran. j'ai beaucoup aimé aussi qu'elle se rende compte que toute cette histoire dans laquelle elle a ^été entrainée sans vraiment le vouloir, l'a changé et pour toujours. elle ne sera plus la même femme, elle sera blesser à vie. il y auara à jamais quelque chose en elle de meurti par cette expérience!!! c'est vraiment très bien décrit !!! et je pense aussi que c'est un peu ce qu'on va voir dans la saison 4 de PB... une sara meurtie et changée !!!*
autre point que j'ai aimé c'est sa façon de vouloir protéger LJ, elle se sent responsable de lui et ne veux pas pleurer en sa présence, ou du moins quand il est éveillé !!
encore une chose, j'aime aussi toutes les références que tu as faites à son passé de droguée et à michael...
vraiment très bel OS, très maîtrisé, avec une sara qui correspond parfaitement à celle de la série !!!
Re: Divers OS
moi aussi aventurine j'ai déju lu tes OS et c'est avec grand plaisir que je l'ai ais relus parce qu'ils sont tout simplement magique, je vais pas te faire un com de 40 ligne je vais juste te dire que tu as un talent fou !
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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