Jusqu'à la mort... T2 chapitre 49

Merci beaucoup mes chéries, contente que ça vous ait plut
voici la suite
bonne lecture :kis :kis

Chapitre 26.

[Doux réveil]

Sara s’éveilla en sentant quelque chose sur ses lèvres. Avec lenteur, elle ouvrit les yeux et découvrit le visage de Michael juste à quelques centimètres du sien, alors qu’il se penchait de nouveau pour l’embrasser.

Étant donné l’obscurité et son esprit encore embrumé de sommeil, elle demeura sans bouger. Peu à peu, toutes les images de la nuit refit apparition dans son cerveau.

- Michael : Bonjour, ma chérie. Fit-il dans un murmure en nichant son visage dans le creux de son cou.
- Sara : Hum… quelle heure est-il ? Demanda Sara en le serrant contre elle.
- Michael : Un peu plus de neuf heures, répondit-il en lui donnant une pluie de baisers.
- Sara : Michael ! Arrête ! Il faut que je me lève, Chrysie..


Michael l’interrompit d’un long et langoureux baiser. Il s’écarta en souriant tandis que Sara avait le souffle court.

- Michael : Chrysie est déjà levée. Elle a mangé et elle est prête pour partir au centre.
- Sara : Où est-elle ?
- Michael : Devant la télé. Elle adore vraiment ces dessins animés…
- Sara : Je vais prendre une douche…
- Michael : Sara, murmura-t-il en la retenant par les épaules.

Elle ferma les yeux afin de se reprendre et plongea ensuite son regard dans le sien. Elle s’en voulut aussitôt de sa propre réaction à le fuir. Cette nuit, ils s’étaient retrouvés, deux fois. Michael et elle avaient retrouvés leurs sensations et la plénitude de leurs corps unis.

Elle l’aimait toujours avec la même intensité d’autrefois, elle en était consciente. Mais elle savait également qu’il lui faudrait du temps pour retrouver toute la confiance qu’elle lui avait donné… il fallait qu’elle lui pardonne.

Michael comprit le combat que la jeune femme faisait à l’intérieur d’elle-même, mais il ne voulait pas s’avouer vaincu. Il savait au plus profond de lui que leur amour sortirait vainqueur de cette souffrance et de ses doutes qu’elle ressentait.

Lentement, il releva son visage qu’il prit entre ses mains.

- Michael : Tu regrettes ce qui s’est passé cette nuit ? Demanda-t-il après un long moment de silence.
- Sara : Non…, je ne regrette rien, Michael.
Elle regarda le soulagement passer à travers ses pupilles et lui sourit avant d’ajouter :
- Sara : Je t’aime, Michael…
- Michael : Moi aussi, ma puce, murmura-t-il avant de l’attirer dans ses bras et de l’embrasser.

La jeune femme frissonna et répondit à son baiser avec une fougue non contenue. Michael se mit à rire alors que Sara venait de le faire basculer sur le lit. Elle passa ses mains sous sa chemise et caressa son torse puissant avec douceur. Il poussa un gémissement de plaisir et reprit sa bouche avant d’allonger la jeune femme sous lui. Il la retint prisonnière de son corps pendant un instant et se mit à la caresser avec une lenteur suffocante avant de poser ses lèvres sur le passage de ses doigts…

- Sara : Michael ! Murmura-t-elle de protestation alors que sa main glisser dangereusement plus bas.
- Michael : Je n’ai jamais cesser de te désirer, mon amour… tu m’as manqué, fit-il en continuant de l’embrasser.

Ses mots lui serra le cœur. Pourquoi fallait-il qu’il lui rappelle toutes ses années de solitude ? Se demanda la jeune femme, embrumée par l’amertume qui la submergea.

- Michael : Excuse moi, Sara. Murmura-t-il, prenant conscience de ce qu’il venait de dire.

Sara lui sourit tendrement et nicha son visage dans sa chemise pour cacher les larmes qui inondaient ses pupilles. Il la serra contre lui et lui murmura des paroles apaisantes dans le creux de son oreille.

- Sara : Il faudrait que j’aille prendre ma douche, fit-elle en souriant quelques instants plus tard.

Michael hocha la tête et l’aida à enfiler son peignoir avant de la reprendre dans ses bras.

- Sara : Chrysie… elle…
- Michael : Elle me la demandait, oui, répondit-il en riant.
- Sara : Si tu avais dormi ici ?
- Michael : Oui. Elle avait l’air contente.
- Sara : Je n’en doute pas, elle t’adore, répondit-elle avec un large sourire.
- Michael : Sara ?
- Sara : Oui, Michael…

Il la regarda d’un air interrogateur. La jeune femme sourit en constant qu’il retenait son souffle. Lentement, elle passa ses bras autour de son cou tandis qu’il colla son front au sien, serrant ses bras autour de sa taille.

- Sara : Je ne veux plus te perdre, Michael. Si tu restes ici, avec nous, promets moi que plus jamais tu ne partiras ?
- Michael : Non, mon amour… je te le promets. Je ne vous quitterais plus, Chrysie et toi..

La jeune femme ouvrit les yeux et plongea son regard embué de larmes dans celui de son mari. Ils se sourirent tous les deux après un instant de silence et Michael l’embrassa avec passion avant de la soulever dans ses bras.

- Sara : Repose moi, Michael ! On va finir par être en retard !
- Michael : D’accord, accepta le jeune homme, l’air déçu.

La jeune femme éclata de rire et lui déposa un rapide baiser avant de sortir de la chambre….

- Sara : Bonjour mon cœur ! S’exclama joyeusement la jeune femme en voyant sa fille, confortablement installée dans le canapé.
- Chrysie : Bonjour, maman ! Papa m’a dit qu’il viendra avec nous au centre !
- Sara : Oui, ma puce. Et alors, j’ai pas droit à mon câlin, ce matin ?
- Chrysie : Tu as beaucoup dormi aujourd’hui, constata la fillette en entourant les bras autour du cou de sa mère.
- Sara : Oui, ma puce. J’ai très bien dormis, et toi ?

La fillette hocha la tête et sourit en voyant son père sortir de la cuisine, un café à la main.

- Chrysie : Papa m’a fait mon petit déjeuner ce matin, fit-elle d’un air ravi.
- Sara : C’est gentil. Merci, fit-elle en prenant la tasse que Michael lui tendait. Dis moi Chrysie ? Est-ce que papa a mangé quelque chose ce matin ?


Michael et sa fille s’échangèrent un regard mais Sara détourna le visage de sa fille afin qu’il ne l’encourage pas à mentir.

- Michael : J’ai déjeuné vite fait.
- Chrysie : Non, je l’ai pas vu mangé. Il a seulement bu du café, fit-elle en souriant devant la mine dépitée de Michael. Tout comme toi, maman !

Michael éclata de rire et s’installa à côté de Sara. Penchant le visage vers elle, il lui murmura :

- Michael : Elle a toujours réponse à tout.
- Sara : Oui. Bon, il est temps que j’aille me préparer.
- Chrysie : Dis, on pourra prendre mon vélo ?


Michael échangea un regard avec Sara et accepta. Il suivit, précédé de la fillette, Sara à la cuisine.

- Michael : On pourrait aller voir Linc le temps que tu prennes ta douche.
- Sara : D’accord.
- Chrysie : Super ! Fit la fillette d’un ton joyeux en serrant la jambe de Michael contre elle.

Sara sourit devant cette vision et s’avança pour sortir de la cuisine mais Michael la retint par le bras. Il l’attira dans ses bras avec douceur et posa ses lèvres contre les siennes en un doux et tendre baiser, sous les pouffements de rire joyeux de la fillette qui posa une main sur ses yeux, comme son père le lui avait apprit à faire, la veille quand ils avaient surprit Lincoln et Valéria….

J'adore ! Enfin, là on voit bien une famille unie La suite

malgré que ce soit encore très fragile comme relation, je me doute que tu vas bientôt recommencer ton
par contre fait tous ce que tu veux, mais faut pas qu'il les abandonne encore une fois ça été trop cruelle pour Sara mais aussi^pour moi et maintenant Chrysie est assez grande pour en souffrir
j'adore ces petits moments misa


allez encore une autre stpppppppppp


gros

Coucou les filles
merci pour vos coms
j'espère que vous aimerez cette suite^^
bonne lecture mes chéries

Chapitre 27.

[Tensions…1]

Pendant que la famille Scofield était en chemin vers le centre de l’espérance, Lincoln et Valéria s’activaient déjà dans les premiers préparatifs. Relisant la liste des bénévoles qui venaient dans la journée pour les aider, à préparer le barbecue géant où pratiquement tout Chicago venait le lendemain, Lincoln fronça les sourcils.

- Lincoln : Ne me dis pas que Jensen passe la journée ici ?!
- Valéria : Bien sur que si, pourquoi ? L’année passée il était là, fit la jeune femme en remarquant son soupir exaspéré.
- Lincoln : Oui, mais mon frère sera là !


Valéria se mordit la lèvre avant de s’avancer vers lui. Elle entoura sa taille et l’embrassa sur les lèvres d’un tendre baiser.

- Valéria : On trouvera bien une solution, mon chéri.
- Lincoln : La meilleure solution serait qu’il est en empêchement, répondit Lincoln, irrité
- Valéria : Il est si jaloux que ça ?

Lincoln leva les yeux au plafond.

- Lincoln : Il vient juste de retrouver sa femme, et je doute qu’il sera ravi si il voit ce vautour tourner autour d’elle ! Crois-moi, mon frère n’est pas mauvais, mais je crains le pire… il a changé depuis…
- Valéria : Arrête ! Je suis sure que tout se passera bien.

Lincoln l’espérait plus que personne, se dit il en la fixant avant de se pencher vers elle et de l’embrasser.

- Valéria : Tu lui as parlé ? A Sara ? Demanda-t-elle en s’écartant de ses lèvres.
- Lincoln : J’avais l’intention de le faire pendant qu’on prépare…
- Chrysie : Oncle Linc ? !!!

Le jeune couple se détachèrent aux appels de la nièce de Lincoln qui sourit.

- Lincoln : Ils sont arrivés.
- Valéria : Vas-y, je vous rejoins dans quelques minutes, l’informa la jeune femme avant de répondre à son baiser langoureux.

Lui souriant amoureusement, il sortit accueillir Michael, Sara et la petite Chrysie qui se précipita d’un air joyeux vers lui.

- Chrysie : Hey, Oncle Lincoln ! Tu n’étais pas là, on était venu te dire bonjour papa et moi, fit-elle d’une voix déçue.
- Lincoln : Je suis arrivé très tôt ici, mon ange, l’informa-t-il en l’embrassant sur la joue avant de regarder sa belle sœur, en souriant d’un air complice.
- Sara : Ça va ?
- Lincoln : Oui, et toi ? Tu me parais bien… éblouissante ce matin, ma belle, fit-il avant de l’enlacer dans ses bras pour l’embrasser. Tout va bien avec Mich ? Demanda-t-il en murmurant.

Les joues rosies, Sara acquiesça avant de baisser la tête tandis qu’il se mit à rire. A cet instant, Michael s’approcha d’eux et déposa le vélo de sa fille sur le sol, à côté d’elle.

- Chrysie : Je peux aller voir les chevaux ? Demanda-t-elle en regardant ses parents.
- Michael : Si Conrad est là-bas oui.
- Lincoln : Oui il y est, ne t’inquiète pas.

Michael embrassa sa fille sur le front, puis tous la regardèrent partir en direction de l’enclos où les chevaux broutaient l’herbe encore fraîche par la rosée du matin.

- Lincoln : Bien dormis, p’tit frère ? Demanda Lincoln d’un air gai.
- Michael : Ouais. Mais on est pas venu pour parler la nuit qu’on a passé, fit-il avant d’entourer la taille de sa femme qui écarquiller les yeux, face aux paroles crues de Michael. Par quoi on commence ?
- Lincoln : Faudra attendre que tous les autres sont ici. Tiens, voilà, Mari Cruz !

Ils se tournèrent vers le véhicule de la jeune femme qu’elle rangea près du 4x4 de Michael. A peine eut-elle coupé le contact, que Sara ouvrit la portière et aida Junior à descendre, tout joyeux de passer la journée avec Chrysie. La jeune femme sourit et indiqua au jeune garçon où il pourrait trouver sa fille, puis, elle prit la petite Rosa qui gesticuler dans son cosy.

- Sara : Elle est toujours aussi souriante, ma petite filleule. Bonjour ma chérie, chuchota-t-elle au bébé en l’embrassant sur le front.
- Mari Cruz : Oui, mais elle est épuisante, fit-elle en sortant de sa voiture et enlaçant son amie dans ses bras. Tu es bien rayonnante toi ce matin ! Tu as passé une bonne nuit ?
- Sara : C’est pas vrai ! Tu t’es donné le mot avec Linc ?

La jeune femme éclata de rire devant la mine renfrognée de Sara.

- Mari Cruz : Arrête de rougir alors. On remarquera moins ce que tu as bien pu….
- Sara : Mari ! La coupa-t-elle d’une voix de protestation. Tu devrais faire attention, tu déteins de plus en plus sur Fernando !

La jeune portoricaine s’esclaffa et partit rejoindre Lincoln et Michael qui les regardaient depuis un moment, ne loupant rien l’embarras de Sara sur son visage.

Cinq minutes plus tard, Katy arriva également.

- Katie : Salut ma belle, fit-elle en enlaçant Sara dans ses bras.
- Sara : Tu ne devais pas venir que dans l’après-midi ? Demanda-t-elle alors qu’elle lançait des regards vers Michael. Ne lui botte pas les fesses ici, murmura Sara dans l’oreille de son amie qui éclata d’un rire faussement joyeux.

Michael fixa les deux jeunes femmes et hésita à s’avancer vers elles. Le regard de Katie ne présageant rien de bon, il enfonça ses mains dans ses poches et attendit un soutient quelconque de son épouse qui paraissait se réjouir de la situation. Souriant timidement, Sara s’approcha de Lincoln et de Michael et passa un bras autour de la taille de son mari tandis que Katie s’approcha vers lui, le foudroyant du regard.

- Michael : Katie…, murmura-t-il dans un souffle.
- Katie : Bonjour, Scofield ! Répondit-elle avant de sourire et de l’embrasser.

Sara les regarda, émue. C’est à cet instant qu’elle vit Jensen arrivait vers eux. Une appréhension l’envahit littéralement. Lincoln s’aperçut de son trouble, il se pencha vers elle et lui murmura :

- Lincoln : Toi aussi, tu avais oublié ? Ne t’inquiète pas, je ferais en sorte de les mettre loin de l’un l’autre.
- Sara : Il vaudrait mieux, répondit-elle dans un souffle alors qu’elle vit que Michael venait de l’apercevoir.

Il se tourna vers Lincoln et Sara, le regard furieux. C’est pas vrai ! Pesta la jeune femme en proie à une appréhension grandissante.

- Jensen : Salut tout le monde ! S’exclama-t-il d’un sourire ravi.

Il serra la main de Lincoln et enlaça Sara qui trembla aussitôt. Elle s’écarta légèrement et se força à répondre à son sourire.

- Jensen : Comment tu vas ma belle ?
- Sara : Ça va… Comment va Jason ? Il y a eu du changement ?
- Jensen : Je ne suis pas ici pour parler boulot, fit-il dans un souffle avant de lui sourire et d’ajouter que Jason allait bien.

Jensen surprit le soulagement passait dans le regard de sa collègue. Il la scruta un instant avec tendresse.

- Jensen : Tu sais que tu nous manques…
- Sara : Heu…
- Lincoln : Bon, il est temps de se mettre au boulot !

Merci Lincoln, se dit-elle en le regardant d’un air complice.

- Jensen : Tiens ! Scofield, le retour ! Fit-il d’une voix sarcastique en tendant la main à Michael pour le saluer.

Michael regarda la main de l’homme tendue vers lui. Il resta immobile et laissa son regard assombri par la colère dans celui du cardiologue. Sara assista à la scène paniquée par la situation. Lincoln lança un regard à Katie, tout aussi inquiet de voir les deux hommes s’affronter du regard, face à l’autre.

C’est au moment où Jensen laissa retomber son bras, un large sourire aux lèvres que Chrysie accourut vers son père. Michael se baissa vers sa fille et la prit dans ses bras.

- Michael : Qu’est-ce que tu as, ma puce ?
- Chrysie : Viens, je veux te montrer Stinky, il est sortit de son box.
- Michael : Qui est Stinky ? Demanda Michael en fixant le visage souriant de son enfant.
- Chrysie : Ben, c’est mon poney, répondit la fillette en passant ses petites mains sur le visage de son père.
- Michael : D’accord, allons-y.

Michael s’éloigna du petit groupe avec Chrysie dans ses bras, foudroyant Sara du regard quand il passa à côté d’elle…

Sara tressaillit mais tenta désespérément de cacher son trouble qui l’envahit devant les regards tournés vers elle. S’apercevant de la gêne qui avait accaparé sa belle sœur, Lincoln demanda à Jensen de le suivre à l’intérieur afin que Valéria lui donne les premières instructions.

- Katie : Tu vas bien ? Demanda-t-elle une fois qu’elles se retrouvèrent seules.
- Sara : Oui, ça ira, répondit Sara dans un soupir d’inquiétude.
- Katie : Il a changé…
- Sara : Pas tant que ça.
- Katie : Son regard n’est plus le même, Sara…
- Sara : Je sais. Il est… je ne sais pas, je n’ai pas très envie d’en parler. Tu m’en veux ?

Katie la fixa un instant et l’attira dans ses bras, remarquant les larmes perlaient aux coins des paupières de son amie. Un instant plus tard, elles se détachèrent l’une de l’autre en souriant.

- Sara : Merci, murmura Sara avant d’entrer à l’intérieur du bâtiment.

La jeune femme s’approcha de Lincoln et Valéria qu’elle embrassa chaleureusement et demanda ce qu’elle avait à faire pour aider. Lincoln lui donna des instructions après quelques secondes d’hésitations, sous le regard amusé de Jensen qui se tenait à la porte, un large sourire provocateur sur les lèvres….

j'adore j'adore et j'adore
même si c'est un peu en ce moment, dans le sens où Michael, j'ai du mal à le cerner car il a changé, jamais il aurait regardé Sara avec un regard furieux
sinon pour le reste c'est super


une suite demain ou deux ???

Merci les miss
voici la suite




Chapitre 28.

[Tensions…2]


A l’heure du déjeuner, Sara, Katie et Mari Cruz finissaient de passer commande à la boucherie de la ville tandis que les hommes étaient restés au centre. La décoration de la cour principale et des jardins était déjà installé. Ils leur restaient qu’à placer les tables et les chaises sous les chapiteaux que les deux frères venaient de monter.

- Lincoln : On finira dans l’après-midi, informa-t-il aux autres qui se tenaient à une table avant de les rejoindre.
- Fernando : Elles sont bien parties longtemps !
- Jensen : Elles ne devraient plus tarder, fit-il en jetant un coup d’œil à sa montre avant de lancer un regard dédaigneux vers Michael.

A cet instant, le père David arriva avec les adolescents de leur sortie pédagogique. Il les confia à Lincoln et prit le temps de féliciter tous le monde pour le travail fournit.

- Père David : Enchanté de faire votre connaissance, Michael. Puis-je vous appeler ainsi ? Demanda le père David d’une voix chaleureuse.
- Michael : Bien sur, répondit Michael en lui emboîtant le pas en direction de l’enclos des chevaux.
- Père David : Sara m’a beaucoup parlé de vous ainsi que votre frère. Je pense que je dois vous remercier, car c’est grâce à vous que Lincoln a prit conscience d’aider les autres. Il accomplit un travail formidable avec ces enfants, et je dois vous dire que j’aimerais beaucoup si vous acceptiez de faire partit de notre équipe….
- Michael : Je ne sais pas…. Ça ne me dérange pas de passer quelques temps ici, mais en faire un travail à temps plein, je…
- Père David : C’est peut-être trop tôt, effectivement, fit l’homme en se frottant le menton. Vous étiez ingénieur si mes souvenirs sont exacts ?
- Michael : Oui, c’est exact…
- Père David : C’est vrai que ce n’est pas du tout la même chose.
- Michael : Vous n’avez pas assez de personnel ? Demanda-t-il soudain soucieux.
- Père David : Ho si, mais un de plus ne serait pas de trop, je vous l’avoue. Brad et Conrad vivent ici ainsi que les deux sœurs, Valéria et Alicia. Ils sont quatre la nuit à surveiller quinze adolescents, fit-il en riant. Mais Lincoln les a bien remit à leurs places. Quand à Fernando, les gamins adorent ses blagues.

Michael éclata de rire à cette remarque. Chrysie arriva vers son père et lui tendit les bras.

- Michael : Tu es là ma princesse.
- Père David : Bonjour Chrysie ! Comment tu vas ma puce ?
- Chrysie : Je vais très bien, mon papa est revenue et maman ne pleure plus comme avant, fit la fillette en serrant le cou de Michael autour de ses bras.
- Père David : J’en suis très heureux. Bon, il faut que je me sauve. Plus tard, fit-il à Michael en lui faisant un dernier signe de la main.

Michael fixa l’homme s’éloigner pendant un instant.

- Chrysie : Papa ?
- Michael : Oui, ma chérie ?
- Chrysie : Je peux continuer à jouer avec Fernando ?
- Junior : Ho oui, s’il te plait Oncle Michael ? Intervint le jeune garçon en sautillant sur ses pieds.

Michael sourit et déposer Chrysie sur le sol.

- Michael : Très bien, je vous appellerais pour déjeuner, d’accord ?
- Chrysie : D’accord, s’exclama la fillette en entraînant Junior vers l’enclos.

Michael alla rejoindre alors le groupe dans la cour. Les adolescents le saluèrent avec engouement, à l’exception de Kylian qui partit en direction de Chrysie et Junior qui s’amusaient gaiement. Il le suivit du regard quelques instants, quand une main vint se poser sur son bras nu, le tirant de ses réflexions.

- Carla : Ne vous en faites pas, il est très poli d’habitude….
- Michael : De qui…
- Carla : De Kylian, ajouta la jeune fille en affichant un large sourire.

Michael sourit, constatant que la jeune adolescente était amoureuse de Kylian, par le regard étincelant qu’elle fixait au loin.

- Carla : Dis dont ! Vous avez de sacrés tatouages, s’exclama la jeune fille après un moment de silence.

Michael se mit à rire à la contemplation émerveillée dont il faisait l’objet. Heureusement que son neveu qui n’était pas loin d’eux vint à son secours, du moins, c’Est-ce qu’il pensait.
- Lj : Il a souffert le martyr pour se faire tatouer tous le haut du corps !

- Michael : Lj !
- Carla : Quoi ? Tous le haut ? Demanda-t-elle en écarquillant les yeux. Vous pouvez me montrer, s’il vous plait ?

Michael manqua de s’étouffer alors que Lj éclatait de rire.

- Jensen : Allez y, Scofield ! Tous ses gamins seraient ravis de contempler votre chef d’œuvre !
- Sara : Et tu crois peut être que je laisserais mon mari se déshabiller devant toutes ces jeunes filles ? Demanda Sara d’une voix furieuse en arrivant vers lui.
- Carla : Salut Sara… tu ne vas pas me dire que tu vas être jalouse ?
- Sara : Et alors ?
- Carla : Allez Michael !
- Johnny : Allez ! On veut tous le voir ! S’écria un autre adolescent.

Tandis que Michael foudroyait Jensen du regard, Sara l’enlaça par la taille et s’adressa aux adolescents.

- Sara : Il n’en est pas question ! Maintenant, filez tous d’ici !
- Carla : D’accord, fit la jeune fille, déçue en rejoignant le groupe qui s’éclipsa aussitôt.

Lincoln fixa sa belle sœur et lui fit un clin d’œil complice. Elle leva les yeux vers Michael, blessée qu’il n’avait pas répondu à son étreinte. Il avait toujours le regard rivé sur Jensen. Elle ferma les paupières et inspira profondément avant de reculer de son époux qui bouillait de rage intérieurement.

La tension était palpable. Lincoln murmura à Valéria de ramener les sandwichs et les boissons. Lj la suivit à l’intérieur, suite au signe que son père venait de lui faire. Bientôt, Katie et Mari Cruz entrèrent également à l’intérieur.

Fernando et Lincoln les regarda. Michael avança vers Jensen qui gardait son large sourire sur ses lèvres, satisfait d’être le responsable de la colère qu’éprouvait Michael.

- Michael : Si vous avez un problème avec moi, autant en finir maintenant, lâcha-t-il d’une voix emplit de colère.
- Jensen : Comment pouvez-vous croire que j’ai un problème avec vous ? C’est vous le problème, Michael !

Sara s’interposa entre eux avant de voir que Michael serrait ses poings. Furieuse, elle les dévisagea à tour de rôle mais fut incrédule de constater que sa présence entre eux ne changeait en rien la façon dont-ils avaient de s’affronter du regard.

- Sara : Si vous voulez assouvir votre besoin primitif en vous frappant dessus tous les deux, faites ça ailleurs ! Il y a des gamins ici ! C’est compris ?
- Jensen : Très bien, répondit-il en levant les deux mains en signe de coopération. Où veux-tu qu’on aille, Michael ? Ajouta Jensen à l’adresse de Michael d’un air provocant….

en jetant un coup d’œil à sa montre avant de lancer un regard dédaigneux vers Michael.

c'est bon il continue enfin commence dans ce chapitre

Je pense que je dois vous remercier, car c’est grâce à vous que Lincoln a prit conscience d’aider les autres. Il accomplit un travail formidable avec ces enfants, et je dois vous dire que j’aimerais beaucoup si vous acceptiez de faire partit de notre équipe….

le père David reconnait les qualités de Michael et veut qu'il les aide au centre

Michael sourit, constatant que la jeune adolescente était amoureuse de Kylian, par le regard étincelant qu’elle fixait au loin.

oui mais lui il lance des regards pas très gentils à sa femme et pourtant il en est fou amoureux

- Jensen : Allez y, Scofield ! Tous ses gamins seraient ravis de contempler votre chef d’œuvre !

de quoi il se mêle ce co*****

Elle leva les yeux vers Michael, blessée qu’il n’avait pas répondu à son étreinte. Il avait toujours le regard rivé sur Jensen. Elle ferma les paupières et inspira profondément avant de reculer de son époux qui bouillait de rage intérieurement.

si il ne change pas de comportement, Sara va en avoir marre et en ce moment elle souffre beaucoup de ça

Jensen : Comment pouvez-vous croire que j’ai un problème avec vous ? C’est vous le problème, Michael !

sauf que la l'intrus c'est toi
alors CASSE TOI

- Sara : Si vous voulez assouvir votre besoin primitif en vous frappant dessus tous les deux, faites ça ailleurs !

je voudrais que Michael lui mette une raclée et oust il s'en va et fout la paix à Sara
mais si il le fait il risque de perdre Sara, car elle ne le connait pas comme ça et n'aprouve pas cette réaction

DILEMNE

alors la suite

oh mais je le hais, il n'a pas interet de frapper Michael sinon il risque d'avoir affaire à son grand frere aussi. la suite s'il te plait. mais pas de bagarre

Coucou tous le monde
milles merci pour vos coms^^
bon ben je vois que c'est partagé vos avis sur la réaction de Michael
allez, je ne vous fais pas attendre plus longtemps^^
Bonne lecture mes chéries

Chapitre 29.

[Affrontement]



Sara n’en croyait pas ses yeux. Quel toupet, pesta-t-elle silencieusement tandis que Michael s’avança d’un pas vers Jensen, l’air menaçant. Sara le retint par le bras.

- Sara : Si tu le suis, ce n’est plus la peine…, murmura-t-elle d’une voix brisée.

Michael daigna enfin poser son regard sur elle. Les larmes allaient s’échappé de ses pupilles mais il comprit quelle résistait. Elle était furieuse, paniquée. La culpabilité l’envahit et se reprit en jetant un dernier coup d’œil en direction de son adversaire.

- Michael : Ne pose plus jamais tes sales pattes sur ma femme ou sur ma fille, lâcha Michael, les mâchoires serrées.

Tandis que Sara ferma les yeux un bref instant, Jensen éclata d’un rire sardonique.

- Jensen : Ta femme ! Et ta fille ! Elle est bien bonne de la part d’un homme qui les a lâchement abandonné.
- Sara : Ça suffit ! S’écria-t-elle en s’avançant vers Jensen, furieuse. Qu’est-ce que tu cherches au juste ? De quel droit oses-tu lui faire des reproches ?
- Lincoln : Elle a raison ! Tu ne sais rien au sujet de mon frère où de ce qui s’est passé. Il vaudrais mieux…
- Jensen : Quoi maintenant, Linc ? Tu étais au courant de mes sentiments pour elle et tu m’y as encouragé !
- Sara : Quoi ? Qu’est-ce que tu racontes ?

Déboussolée, elle jeta un regard vers son beau frère qui haussa les épaules d’un air dépité. Michael la regarda, désorienté par les sentiments qui le submergé.

- Sara : Jensen… je ne t’ai jamais laisser pensé que toi et moi…
- Jensen : Ça aurait pu, Sara, fit-il en s’approchant d’elle, accrochant son regard au sien. Tu es une femme merveilleuse, on travaille ensemble et…
- Sara : Non, Jensen. Même si Michael n’étais plus là, jamais je n’aurais reconstruit quelque chose avec toi ou qui que ce soit ! Je suis désolé, mais Michael est le seul que j’aimerais…
- Jensen : Même après tout ce qu’il t’a fait endurer ? Lui demanda-t-il, élevant la voix en la prenant par les épaules.
- Michael : Lâche là tout de suite, s’écria Michael d’une voix menaçante.
- Jensen : Toi, ferme ta gueule ! Sara….

L’accès de fureur à son comble, Michael se jeta sur lui, l’empoignant par la chemise. Il lui assena un coup de poing puissant en pleine face. Jensen tomba lourdement sur le sol avec une extrême violence. L’idée que cet homme puisse éprouver des sentiments pour Sara lui fit l’effet d’une bombe. Les démons du passé qu’il pensait avoir réussi à éloigner de son esprit, ressurgir. Il se pencha vers l’homme au visage ensanglanté et le releva violement avant de le frapper une deuxième fois, une troisième…

Le cri horrifié de Sara fit réagir Lincoln et Fernando, complètement hypnotisés par la violence de Michael. Ils s’élancèrent vivement sur lui et le jeta au sol afin de le maîtriser.

- Lincoln : Arrête, Michael !
- Fernando : Calme toi, bon sang !

Les deux hommes tentaient de le maintenir. Jamais Lincoln ne l’avait vu dans cet état. Son corps était parcourus de spasmes nerveux, son visage était blême de rage, la couleur de ses yeux virait au noir. Lincoln prit fermement le visage de son frère d’une main et l’amena proche du sien afin qu’il le regarde.

- Lincoln : Maintenant tu arrêtes où je serais obligé de te foutre une raclée ! Fit-il en le fixant, l’air furieux.

Katie, Mari Cruz et Valéria sortirent en s’exclamant d’horreur devant la scène qui se déroulait sous leurs yeux. Katie se précipita vers le cardiologue qui tentait de se relever, maintenant son visage ensanglanté dans ses mains.

- Katie : Appelle une ambulance, fit-elle à l’adresse de Valéria qui couru immédiatement à l’intérieur du bâtiment.

Horrifiée, Sara s’approcha de Michael tandis que Lincoln relâcha la pression de son emprise. Fernando se releva et regarda la jeune femme d’un regard compatissant.

Une fois debout, Michael sentit ses muscles toujours aussi tendus, mais il savait que ça passerait. Il retrouva peu à peu une respiration normale et constata les dégâts qu’il venait de faire malgré qu’il n’éprouvait aucun remords.

Son regard se baissa vers Sara qui le foudroyer froidement de ses prunelles assombris par la colère.

- Michael : Sara…
- Sara : Te rends-tu comptes de ce que tu viens de faire ? Chrysie est là ! Comment as-tu pu faire ça ?
- Michael : Tu es ma femme ! Hurla-t-il en lui faisant face.

La main de Sara s’abattit contre sa joue dans un claquement assourdissant, réduisant tous les murmures de leurs proches au silence. Il la regarda, hébété par son geste tandis qu’il sentit des picotements douloureux influer dans son visage.

Pendant un instant, un silence pesant régna autour d’eux. Ils s’affrontèrent du regard, le souffle court. Comme si elle venait de lui expliquer les conséquences de son erreur, Sara se détourna de lui, aveugle à la main qu’il venait de tendre vers elle. Michael la fixa un moment et il finit par s’éloigner vers les jardins….

- Katie : Il a de la chance, il n’a qu’une cassure du nez, fit-elle en observant Sara qui balaya ses larmes du revers de sa manche.
- Sara : Je suis désolée, Jensen…
- Jensen : Ne sois pas désolée, Sara. Tu n’y es pour rien. Je n’aurais pas du le pousser…
- Sara : Il n’aurait pas du réagir ainsi….
- Jensen : Il t’aime, lâcha-t-il dans un demi sourire. C’est tout ce qu’un homme ferait pour protéger la femme qu’il aime….

Fronçant les sourcils, soucieuse qu’il change de comportement vis-à-vis de celui qu’il l’avait battu si violement, elle regarda Katie.


- Sara : Il faudra lui faire un scan.
- Jensen : Je n’ai aucun traumatisme crânien, Sara, fit-il en éclatant de rire. Je voulais simplement m’assurer que tu ne faisais pas une erreur à l’accepter de nouveau dans ta vie…
- Katie : Voilà l’ambulance !
- Jensen : Je suis vraiment désolé, Lincoln, fit-il en se tournant vers lui. Sara… j’espère qu’on restera amis, toi et moi.
- Sara : Bien sur.
- Jensen : Tu…
- Sara : Oui, je lui dirais, fit-elle en serrant la main qu’il avait prise dans la sienne avant de le laisser partir avec Katie dans l’ambulance.

Un quart d’heure plus tard, Lincoln vint vers elle et la prit dans ses bras. Sara ferma les yeux, se laissant aller à l’étreinte de son beau frère.

- Lincoln : Tu m’en veux ? Pour ce que Jensen a dit tout à l’heure ? Demanda Lincoln d’une voix inquiète.
- Sara : Non, mais je te l’avais déjà dis que jamais je ne referais ma vie avec un autre homme…
- Lincoln : Sauf moi, siffla-t-il entre ses dents avant de rire avec la jeune femme qu’il serra contre lui.
- Sara : Tu seras toujours le deuxième homme de ma vie, Lincoln. Tu as toujours été là, pour moi et pour Chrysie….


Lincoln sourit, ému par les paroles de Sara. Il s’écarta légèrement de son étreinte et riva son regard au sien.

- Lincoln : Tu penses qu’il arrivera à se calmer ? Demanda-t-il d’une voix inquiète.
- Sara : J’espère…. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé au juste pendant ces quatre années, mais je pense qu’il a beaucoup souffert. Autant physiquement que psychologiquement. Il faut que j’arrive à le faire parler, Linc…
- Lincoln : Il t’écoutera, Sara. Si tu as besoin que je lui fous sa raclée pour qu’il retrouve ses esprits, fais moi signe, d’accord ?
- Sara : Si je t’appelle ce ne sera pas pour le battre, Linc. Je l’aime mais par moment, je me dis que je ne le connais plus, et que je devrais le haïr….
- Lincoln : Je te comprend Sara, c’est tout à fait normal ce que tu ressens pour lui. Je pense que le fait que vous vous retrouvez un peu et qu’il te parle, vous feras le plus grand bien à tous les deux.

Sara acquiesça de la tête et lui sourit avant de l’embrasser sur la joue.

- Lincoln : Il est derrière l’écurie, près du plan d’eau. Je m’occupe de la petite, ne t’en fais pas.

D’abord surprise, elle le considéra un instant et lui sourit avant de se relever, prête à affronter son mari…

ça résume ce que je veux



superbe suite mon Angie

Coucou les miss
merci pour vos coms
voici la suite :kis :kis

Chapitre 30.

[Approche…]

Sara s’approcha d’un pas lent vers Michael, le cœur serré. Il était là, assis sur l’herbe, le dos contre le grand chêne où elle venait elle-même réfléchir ou penser à lui, il y a encore deux semaines de cela. Elle le contempla pendant de longues minutes, tandis qu’elle souffrait de le voir ainsi… silencieux, le regard perdu dans le vide.

Perdu dans ses pensées, Michael soupira silencieusement et regarda sa femme s’installer à ses côtés. Il sourit intérieurement, soulagé qu’elle était venue à lui. Il la remercia d’un faible sourire en prenant le sandwich qu’elle lui tendait.

- Michael : Je suis désolé, Sara.
- Sara : Tu es désolé pour quoi ? De t’avoir comporté comme le parfait imbécile ? Ou de me montrer que tu n’as aucune confiance en moi ? Comment as-tu pu faire ça ? Ta réaction était….
- Michael : Je sais.
- Sara : De quoi as-tu peur, Michael ? Faut-il vraiment que je te prouve sans cesse que je t’aime ? Que personne ne pourrait te remplacer ? Imagine un seul instant, Michael ! Ajouta-t-elle d’une voix plus forte et irritée. Qu’aurais-tu fais si j’avais refais ma vie ?


Il ferma les yeux, incapable de lui admettre qu’il avait cette idée dans la tête depuis le jour qu’il les avait quitté. Cette pensée le torturait au fin fond de son âme. lui-même n’aurait su dire ce qu’il aurait fait si cela avait été le cas.

- Michael : J’en sais rien, Sara. Mais ce n’est pas le cas…, fit-il en levant une main afin de caresser sa joue. Je suis sincèrement désolé Sara. Je ne veux pas que tu souffres plus que je ne t’ai déjà fais souffrir. Tu es ma femme, je t’aime… j’aime notre enfant… Sara…

Il s’interrompit et se pencha vers ses lèvres qu’il captura dans un baiser de désespoir.

- Sara : Il faut que tu me parles, Michael, murmura Sara en s’écartant de ses lèvres.
- Michael : D’accord….
- Sara : Si tu ne te pardonnes pas de tout ce que tu as fais ces dernières années, je n’y parviendrais pas, Michael. Nous avons Chrysie… je ne veux pas qu’elle souffre en vivant près de son père. Je n’ai aucune envie de lui infliger la vision d’un père qui se détruit ainsi…

La voix brisée de la jeune femme l’atteignit au plus profond de son être. Il l’attira dans ses bras, la serrant contre lui en lui murmurant de tout faire pour la rendre heureuse et d’oublier.

Elle ferma les yeux et s’écarta légèrement pour prendre son visage entre ses mains. Lentement, elle caressa sa joue où elle avait laissé la trace de toute sa colère quelques minutes auparavant. Du bout des doigts, elle vient effacer les larmes qui menaçaient de rouler le long de ses joues. Elle prit effectivement conscience que le Michael dont elle était tombée éperdument amoureuse n’était pas mort. Il suffisait à présent qu’elle l’aide à évacuer la partie sombre de l’homme qui le cohabiter.

- Michael : Je t’aime…

Incapable de répondre, elle l’embrassa d’un doux baiser. Pendant de longues minutes, ils s’embrassèrent doucement, prenant le temps de savourer leur étreinte. Mais très vite, Michael l’attira sur lui, la serrant contre son torse et leur baiser s’intensifia.

A bout de souffle, Sara s’écarta de ses lèvres brûlantes et colla son front au sien. Leurs regards brillants de désir se soudèrent tandis que la jeune femme lui sourit, le souffle encore éreinté.

- Sara : Je t’aime aussi, Scofield.
- Michael : Pas autant que moi, madame Scofield ! Je suis désolé pour Jensen.
- Sara : Lui aussi, figure toi. Il s’excuse de ce qu’il a fait…
- Michael : Non, reste près de moi, fit-il alors que Sara allait se redresser.

La jeune femme le fixa un moment et décida de lui dire ce qu’elle avait sur le cœur, il le fallait. Poussant un soupir d’appréhension, elle s’installa entre les jambes de son époux qu’il écarta afin de l’amener vers lui. Amoureusement, il attira son dos contre son torse et nicha son visage dans son cou où il se mit à l’embrasser doucement.

- Sara : Michael !
- Michael : Reste contre moi, mon cœur… j’ai besoin de sentir ton corps contre le mien…
- Sara : On devrait plutôt manger, tu ne crois pas ?

Michael tourna le visage de Sara sur le côté et emprisonna ses lèvres des siennes. Elle frémit de toutes les parcelles de son corps qu’il serra dans ses bras puissants. Sa langue se fit possessive, convaincante à abattre toute résistance mais Sara le repoussa gentiment, le souffle saccadé, elle riva son regard au sien.

- Sara : Nous y sommes… Michael, tu sais comment me…
- Michael : Te faire chavirer ? Ajouta-t-il dans un sourire ravageur.
- Sara : Oui, affirma la jeun femme, les joues rougissantes. C’est pourquoi que si tu veux plus d’un baiser, tu devras me parler avant.


Michael écarquillait les yeux, stupéfait par ce qu’elle venait de dire.

- Michael : Tu me fais du chantage ? Demanda-t-il d’une voix emplit de surprise.


Sara éclata de rire et lui donna un doux et léger baiser sur les lèvres.


- Sara : Oui, tu en vois un problème ? Demanda-t-elle, une lueur malicieuse dans les yeux.


Michael la fixa avant de reprendre ses lèvres tendrement.

- Michael : D’accord, Sara. Disons que ce soir, on parlera tout en nous embrassant…
- Sara : Michael ! Protesta la jeune femme en se callant plus étroitement conte lui.

Dans un geste précis, Michael la retourna contre lui de façon à ce qu’elle soit face à lui. Alors qu’elle éclatait de rire, elle le repoussa, l’allongeant sur le dos. Pensant l’emprisonner de son corps, Sara s’installa à califourchon sur lui et prit ses mains qu’elle plaça au dessus de sa tête. Il la laissa faire, la fixant silencieusement les yeux brillants de désir. Le sourire de malice qu’elle affichait ne tromper pas ce que penser Michael.

- Sara : Si tu ne me parles pas ce soir, je pourrais, commença-t-elle par dire avant de se pencher vers son oreille… te torturer… jusqu’à ce que tu capitules….
- Michael : Sara…, fit-il dans un murmure saccadé, alors que la main de la jeune femme s’aventurer dans son pantalon.

N’y pouvant plus, il la bascula sur le côté et roula sur elle, lui capturant ses lèvres à nouveau en un baiser fougueux….

Une demi heure plus tard, ils revinrent vers les autres, main dans la main, se dévorant du regard tandis que Chrysie courut vers eux en riant, devant le regard ému de Lincoln et de Valéria qui se tenaient près de l’un et l’autre.

- Valéria : Tu as intérêt de lui dire maintenant, murmura la jeune femme.
- Lincoln : Tu crois que je devrais lui dire ? J’ai l’impression qu’elle préfère rester occuper à dévorer son mari du regard, fit-il en riant.
- Valéria : Lincoln….

Lincoln la fit taire en l’attirant contre lui. Lentement, il captura ses lèvres sous les applaudissements des adolescents qui gonflèrent l’atmosphère de joie du centre de l’espérance…



Pas décue mon HarcelTink ?
MDR

Pas décue mon HarcelTink ?
MDR

comment voudrais tu que je sois déçue
je t'ai mis la photo et en gros c'est ça que tu as écrits

ils souffrent chacun de leur côté de ce qu'il s'est passé mais Sara fait le premier pas
ensuite Michael qui s'excuse et Sara qui lui dit

De quoi as-tu peur, Michael ? Faut-il vraiment que je te prouve sans cesse que je t’aime ? Que personne ne pourrait te remplacer ? Imagine un seul instant, Michael ! Ajouta-t-elle d’une voix plus forte et irritée. Qu’aurais-tu fais si j’avais refais ma vie ?

heureusement que NON
après échange de baisers
et le chantage au sexe très bonne idée Sara

- Sara : Si tu ne me parles pas ce soir, je pourrais, commença-t-elle par dire avant de se pencher vers son oreille… te torturer… jusqu’à ce que tu capitules….
- Michael : Sara…, fit-il dans un murmure saccadé, alors que la main de la jeune femme s’aventurer dans son pantalon.

si avec ça il ne parle pas et bah je sais plus ce qu'elle devra faire
et Linc va annoncer quoi

allez Angie, ce soir je vais avoir besoin de 2 suites

Coucou miss
merci pour ton com


Chapitre 31.

[Les liens du coeur…]

Dans le milieu de l’après-midi, une fois qu’elle avait terminé de vérifier la liste des invités, Sara sortit du bureau de Lincoln. Perdue dans ses pensées, elle se heurta à Kylian.

- Sara : Hey, mon grand ! S’exclama-t-elle en l’enlaçant dans ses bras. Tu étais où ? Je t’ai cherché partout tout à l’heure.
- Kylian : Ben j’étais là, répondit-il en haussant les épaules.

Sara le considéra un instant et elle constata, le cœur serré la lueur triste dans son regard. Elle sourit, se doutant de se qu’il pouvait ressentir et passa son bras autour de ses épaules.

- Sara : Allez vient, on marche un peu ?
- Kylian : Si tu veux.

Michael les regardait, attendrit au loin. Il constata sans grande surprise la complicité qui les lier tous les deux. Kylian lui faisait penser à un gamin qui n’avait guerre plus d’une dizaine d’années, à la petite taille dont il était pourvu. Ce qui était son plus grand complexe, d’ailleurs. Et Sara était la seule personne qui arrivait à lui faire oublier son air de petit garçon.

Il mesurait dix centimètres de moins que ces camarades du même âge. Son visage possédait des traits fins et délicats. Seuls, les piercings qui ornaient son oreille et son arcade sourcilière, laissait penser qu’il était dans l’âge de l’adolescence. Sara le trouvait très beau, ses cheveux coupé court de couleur de jais contrastait avec ses yeux légèrement bridés d’un bleu profond.

Tout en marchant vers l’enclos des chevaux, Sara lui lançait des regards furtifs en toute discrétion. Elle sourit légèrement en détournant son regard, constatant qu’il ne parlerait pas le premier.

- Sara : Alors ? Comment c’est passé cette sortie ? Demanda-t-elle afin d’engager la conversation.
- Kylian : Bof… tu sais bien que les musés et moi, on est pas trop en osmose.
- Sara : Hum… ça devrait pourtant, rétorqua-t-elle en riant, sachant pertinemment qu’il était très intelligent.
- Kylian : Peut-être…. Sara ?
- Sara : Oui ?


La jeune femme s’arrêta et s’accouda à la barrière, fixant les chevaux dans leur enclos. Kylian poussa un soupir et l’imita.

- Kylian : Tu continueras à t’occuper de moi ? Finit-il par lui demander d’une voix brisée par l’hésitation et l’appréhension.
- Sara : Pourquoi cette question ? Demanda-t-elle en le regardant, les sourcils froncés.
- Kylian : Ben…
- Sara : Michael ?


L’adolescent hocha tristement la tête.

- Sara : Tu sais, ce n’est pas parce que Michael est revenu que je ne…
- Kylian : Tu lui as pardonné ? Demanda-t-il d’une voix sèche où Sara perçut la colère qu’il ressentait.
- Sara : Non… je ne lui ai pas encore pardonné, Kylian. Mais je l’aime. C’est compliqué de t’expliquer les raisons qu’il soit partit, il y a quatre ans…
- Kylian : Tu veux dire mort !
- Sara : Oui, acquiesça-t-elle en baissant les yeux. Il avait ses raisons, Kylian.
- Kylian : Oui, je sais mais je ne comprend pas comment tu peux faire semblant de rien. Il t’a abandonné Chrysie et toi !
- Sara : Kylian ! Protesta-t-elle en soupirant. Écoutes, tu sais ce qu’il s’est passé… quand je l’ai rencontré…
- Kylian : Oui, tous le monde le sait mais ne compte pas sur moi pour lui adresser la parole, siffla-t-il d’un air furieux.

Sara le retint par le bras vivement alors qu’il s’apprêtait à fuir.

- Sara : Si il est partit c’était pour nous protéger, Kylian.

L’adolescent baissa la tête et resta un moment silencieux. La jeune femme relâcha son emprise et continua d’une voix emplit d’émotion.

- Sara : Il a souffert lui aussi. Peut-être même plus que moi j’ai souffert de son absence. Je n’étais pas seule, Kylian… comme lui l’était. Il a du se battre pour recouvrer sa liberté. Chrysie et moi étions entourés de nos amis, notre famille, toi, tu m’as aidé… Je ne te demande pas de l’aimer, mais Michael est un homme bien et je suis certaine que vous vous entendriez bien tous les deux.

Kylian leva les yeux vers la cour principale où se trouvait tous les autres. Il se heurta au regard de Michael qui les observait. Pendant un instant, l’adolescent ne cilla pas. Il resta les yeux rivés aux siens. Sara s’en aperçut et sourit, espérant que Kylian changerait d’avis concernant son mari. Elle pouvait comprendre sa réaction, évidement… ils avaient beaucoup parlé tous les deux, se confiant l’un à l’autre du destin qui ne les avaient pas épargné.

Elle regarda Michael qui avait le regard toujours posé sur eux. Soulagée de voir un léger sourire sur les lèvres de son époux, elle s’avança vers Kylian et passa ses deux bras autour de son cou. Elle ne voyait pas l’expression de son visage mais la main qu’il leva vers la sienne, lui gonfla le cœur d’espoir.

- Sara : Tu viens avec moi, mon chéri ? Demanda-t-elle en l’embrassant sur la tempe.

Kylian se tourna vers elle et planta son regard dans le sien. Il se mit à lui sourire et l’enlaça, ému de voir le bonheur pétillait dans les yeux de celle qui l’aimer et qu’il considérait comme sa propre mère….

la suite

la suite

la suite

la suite

Merci pour vos coms les filles,
voici une très longue suite^^
bonne lecture

Chapitre 32.

[Appréhension…]



Michael se tourna vers Lincoln et lui sourit.

- Lincoln : On dirait qu’elle a convaincue Kylian, fit-il dans un murmure, fixant sa belle sœur arrivait vers eux avec l’adolescent.

Michael ne répondit pas mais souris légèrement, plongeant son regard dans celui de Sara qui se tenait à présent devant lui.

- Sara : Michael… je voudrais te présenter quelqu’un qui me tient beaucoup à cœur. Il…, s’interrompit-elle, émue en passant son bras autour des épaules de Kylian qui fixait le sol. Il m’a beaucoup aidé moralement… Kylian ?


Le jeune adolescent releva son visage rougit par les paroles de la jeune femme. Il la regarda et sourit timidement devant Michael qui commençait à éprouver une grande affection pour le gamin. Un silence chargé d’électricité et d’appréhension flottait autour d’eux, attendant celui qui ferait le premier pas vers l’autre.

Contre toute attente, Kylian redressa la tête d’un air volontaire et fit face à Michael sous le regard de tous les autres qui se tenaient, silencieusement derrière Michael.


- Kylian : Salut.
- Michael : Content de te connaître, Kylian. Sara m’a beaucoup parlé de toi…
- Kylian : A moi aussi, elle m’a beaucoup parlé de toi… de nous, se rattrapa l’adolescent.
- Michael : Non c’est bon, tu peux me tutoyer, fit-il en souriant tandis qu’il vit Sara s’éloigner doucement.
- Kylian : Merci, murmura-t-il en baissant les yeux.
- Michael : Tu peux venir me donner un coup de main, si tu veux ? Demandant le jeune homme en s’apercevant du silence qui allait s’installer entre eux.
- Kylian : Pour quoi faire ? Demanda-t-il d’une voix curieuse.
- Michael : Il faut aller vérifier si tous les boulons des pieds des chapiteaux sont bien serrés.
- Kylian : D’accord, accepta-t-il avant de chercher le regard de Sara.

L’adolescent lui sourit et s’éloigna de la cour avec Michael. Sara avait les larmes aux yeux en les observant marcher côte à côte tout en discutant.

- Chrysie : Maman ? Appela la fillette en tirant sur son bras.
- Sara : Oui, ma puce ? Demanda-t-elle en la prenant sur ses genoux.
- Chrysie : Kylian ne fait plus la tête ?
- Sara : Non, mon cœur, répondit-elle en souriant.
- Lincoln : Bon ! Qui voudrait une tasse de café ?


Tous le monde accepta d’une exclamation à l’unisson. Junior demanda à Chrysie de le suivre une minute plus tard tandis que Valéria posa une main sur le bras de Sara. La jeune femme se tourna vers elle et la considéra un instant avant de lui sourire.

- Valéria : Linc pense que tu lui en veux que…
- Sara : Non, je ne lui en veux pas. En fait, je me doutais qu’il se passait quelque chose entre vous.
- Valéria : C’est vrai ? Demanda-t-elle, soulagée.
- Sara : Oui. Les regards ne trompent pas.
- Valéria : Peut-être, mais…

Sara comprit son trouble et lui sourit.

- Sara : Je lui parlerais, mais je suis vraiment contente que vous soyez ensemble, tous les deux.

Émue, Valéria la remercia et regarda Lincoln et Lj arrivaient avec le café. Les deux jeunes femmes éclatèrent de rire alors que Lincoln avait un air interrogateur sur le visage, remarquant la complicité des deux jeune femmes.

Une demie heure plus tard, Michael venait de les rejoindre, juste à temps pour saluer Fernando et sa famille ainsi que Katie qui étaient sur le point de partir. Il était déjà plus de dix huit heures quand il proposa à Sara de rentrer.

Alors qu’il attendait avec Chrysie dans sa voiture, Sara serra Lincoln dans ses bras et embrassa Lj qui avaient décidé de dormir au centre pour être sur les lieux demain matin. Kylian arriva à cet instant et sourit à Michael avant de prendre Sara dans ses bras.

- Sara : A demain, mon grand.
- Kylian : Merci Sara, fit-il en se détachant de son étreinte.
Elle le regarda, émue tandis qu’il s’avança vers le 4x4. Il parla un instant avec Michael qui éclata de rire. Surprise, elle se demanda qu’est-ce que Kylian avait bien pût lui dire.

- Sara : Allons-y. a demain tous le monde ! S’exclama la jeune femme en leur faisant un signe de la main.

Aussitôt qu’elle fut installée dans la voiture, Michael se tourna vers elle et lui prit la mains. Pendant un court instant, ils restèrent les yeux plongés dans l’un de l’autre.

- Chrysie : On y va papa ? J’ai faim !

Sara se mit à rire ainsi que Michael. Il se tourna vers sa fille.

- Michael : On y va ma chérie…

Dix minutes plus tard, Michael coupa le moteur du véhicule et se tourna vers Sara en souriant.

- Michael : Et elle avait faim ?

La jeune femme fronça les sourcils et comprit la parole de Michael en se tournant vers sa fille. Chrysie était endormie à l’arrière de la voiture, elle ronflait…

- Sara : Elle est épuisée. Elle n’a pas arrêter de courir dans tous les sens aujourd’hui.
- Michael : Sara, murmura-t-il d’une voix rauque en caressant sa joue.
- Sara : Hum ?

Lentement, il approcha son visage du sien et effleura ses lèvres des siennes. Elle ferma les yeux, savourant ce doux contact mais se rappela rapidement qu’il lui avait promis de lui parler. Elle se recula légèrement et lui souffla d’une voix faible.

- Sara : On devrait rentré…
- Michael : D’accord, fit-il en souriant avant de descendre de la voiture.

Dix minutes plus tard, il étaient dans l’appartement de Sara. Chrysie s’était réveillée malgré les précautions de Michael qu’il avait employé pour la porter.

- Chrysie : J’ai faim, murmura-t-elle d’une voix endormie en frottant ses yeux de ses deux petits poings.
- Michael : Je vais aller préparer le repas, d’accord ?
- Sara : Ce n’est pas la peine, il reste de la lasagne dans le frigo, lança Sara en embrassant sa fille.
- Michael : Ok, je vais aller mettre la table.
- Sara : Je vais aller prendre son bain. Allez ma puce.


Michael les observa s’éloigner vers la salle de bain puis, il finit par se rendre dans la cuisine. Mettant les lasagnes au four, il repensa à la promesse qu’il avait faite à Sara. Son cœur se serra aussitôt. Comment avait-il pu lui faire cette promesse alors qu’il n’était pas certain d’y parvenir ? Il avait peur… peur de ce qu’elle pouvait penser de lui après qu’elle sera tout….

Perdu dans ses sombres pensées, il ne vit pas Sara l’observait quelques minutes plus tard. La jeune femme se tenait à l’embrassure de la porte et elle ressentit une douleur égale à la sienne. Elle s’avança et sans réfléchir passa ses bras autour de sa taille avant de poser son visage dans son dos. Michael ferma mes yeux et inspira une longue bouffée d’air avant de se tourner vers elle. Il la prit dans ses bras et la tint enlacé quelques minutes.

- Michael : Où est Chrysie ?
- Sara : Dans le salon.

En train de regarder ses dessins animés, pensa-t-il en souriant.

- Sara : Michael ?
- Michael : Hum ?
- Sara : Je te remercie pour Kylian.
- Michael : C’est un bon gamin.
- Sara : Oui…. Je ne veux pas te brusque, Michael…
- Michael : Je tiendrais ma promesse, Sara, murmura-t-il d’une voix douloureuse en replaçant la mèche de ses cheveux derrière son oreille, qui le narguer depuis qu’elle était arrivée dans la cuisine.
- Sara : Si… je ne veux pas te faire de mal mais j’ai besoin de savoir et tu as besoin de te confier….
- Michael : Je sais… tu as raison mais malheureusement, ça ne changera rien au fait que j’ai fais souffrir beaucoup de monde autour de moi.
- Sara : Je suis là, Michael. Tu as ton frère, Lj, et notre fille, sans compter toutes les personnes qui t’aiment….
- Michael : Je sais, Sara, répondit-il en collant son front au sien. Je sais que je dois aller de l’avant mais…
- Sara : Non, l’interrompit-elle en posant son doigt sur ses lèvres. Penses seulement à l’avenir, Michael…

Il sourit légèrement et prit la main de sa femme dans la sienne avant d’embrasser son doigt qu’elle avait posé sur ses lèvres. Il savait qu’il pouvait y arriver, pour elle… pour Chrysie. Et bien que cette journée avait été remplit d’émotion en tous genre, il avait réussi à espérer à une meilleure vie.

- Michael : On parlera ce soir, Sara. Je répondrais à toutes tes questions.
- Sara : Toutes ? Demanda-t-elle en prenant un air malicieux, qui fit sourire Michael.
- Michael : Si toi, tu réponds aux miennes, oui.

La jeune femme fronça les sourcils et fit mine de réfléchir quelques secondes.

- Sara : Hum… très bien, monsieur Scofield ! Disons qu’on aura dix questions chacun à se poser ! Pour ce soir, du moins… fit-elle en lui souriant d’un air satisfait.

Michael leva les yeux au plafond puis la regarda avant d’éclater de rire. Il l’attira dans ses bras et voulu l’embrasser mais Sara tourna son visage tandis que ses lèvres embrassèrent sa joue.

- Sara : Monsieur Scofield aurait-il oublié qu’il n’aura rien jusqu’à ce que j’ai obtenu mes réponses ?


Redoublant de rire, Michael relâcha son étreinte et arrêta le four derrière lui.

- Michael : Très bien, Madame Scofield tu peux aller chercher notre fille ? Elle doit mourir de faim, fit-il en sortant les lasagnes fumantes du four.

Sara s’approcha de la porte et se tourna vers lui. Soulagée de voir la lueur qui brillait dans son regard, et le sourire qui flottait sur ses lèvres, elle se remercia d’avoir fait preuve de patience.

- Sara : Je t’aime, Michael, murmura-t-elle avant de sortir de la pièce.
- Michael : Moi aussi, Sara…

Le questionnaire ! le questionnaire ! le questionnaire ! mdr
Enfin la suite quoi lol
Ils sont trop mimi ...

Hello les miss
merci pour vos coms
voici la suite

ne me tapez pas hein

Chapitre 33.


[Jeu dangereux. 1ère partie…]


Une heure après qu’ils avaient rit ensemble pendant le repas, Michael et Sara allèrent coucher Chrysie qui s’endormait dans son assiette à plusieurs reprises.

- Michael : Bonne nuit, mon ange, murmura-t-il en embrassant le front de sa fille sous le regard attendrit de Sara.
- Chrysie : Papa ?
- Michael : Oui, ma puce ?
- Chrysie : Tu restes ici, hein ?


Michael lança un regard vers Sara et lui sourit.

- Michael : Oui, je reste ici, ma chérie.

Chrysie s’endormit aussitôt, un sourire flottant sur ses lèvres. Michael prit Sara par la taille et quittèrent tous les deux la chambre de la fillette.

- Michael : Tu n’es pas trop fatiguée ? Demanda-t-il tandis qu’il la regarda tendrement.
- Sara : Un peu, répondit-elle, continuant de s’avancer vers le salon.
- Michael : Viens là…

Sara lui sourit et s’approcha de lui. Il s’installa dans le canapé et l’attira dans ses bras. Doucement, il effleura sa joue du bout des doigts, et traça le contour de ses lèvres d’une douceur infinie.

- Michael : Tu..
- Sara : Tu…

Ils se mirent à rire ensemble, puis, poussé par un élan passionné, Michael captura ses lèvres en un baiser tendre.

- Sara : Michael…, murmura-t-elle dans un souffle protestataire, sachant pertinemment qu’elle n’arriverait plus à le repousser si elle le laissait continuer.
- Michael : Je sais… j’attends juste que tu commences à me poser tes questions, fit-il d’une voix tendre en enroulant ses doigts dans les mèches auburn de la jeune femme.

Sara sourit et fut satisfaite de ne pas trouver une lueur d’appréhension dans son regard.

- Sara : Je ne veux pas te brusquer, Michael…
- Michael : Je le sais, ma puce, mais il faut que je te réponde… je crains seulement que tu ne me regardes plus comme maintenant, une fois que tu seras…
- Sara : Je…, l’interrompit-elle en posant son doigt sur ses lèvres. Je te regarderais toujours pareil, Michael. Je t’aime, et je ne pourrais jamais cesser de t’aimer.

Ému, elle fut incapable de supporter le regard brillant d’émotion de son mari. Il finit par lui sourire et la serra dans ses bras.

- Michael : Je m’en veux tellement, Sara…
- Sara : Je sais… je t’aime.

Ils restèrent enlacés quelques minutes dans les bras de l’un de l’autre. Sara poussa un long soupir avant de déposer ses lèvres dans le cou de Michael qui frissonna à son baiser.

- Sara : Vingt questions ? Demanda-t-elle en souriant.
- Michael : Dix chacune.
- Sara : Commence.

Il la fixa une seconde et sourit avant de pousser un soupir résigné.

- Michael : D’accord, accepta Michael en faisant mine de réfléchir une facile pour commencer. A quel âge Chrysie a marché seule ?
- Sara : Dix mois, répondit-elle, soulagée. A mon tour. Est-ce que… avec qui étais-tu pendant ces quatre années ?
- Michael : Kellerman, Catherine et une quinzaine d’hommes.
- Sara : Qui est Catherine ?
- Michael : Hé ! C’était mon tour ! Rétorqua-t-il d’une voix amusée en apercevant le soupçon de jalousie dans le timbre de sa voix.
- Sara : D’accord ! Vas-y.
- Michael : Est-ce que tu as déjà pensé à refaire ta vie… je veux dire, avec un homme ?
- Sara : Non ! Alors ? Qui est cette Catherine ?


Michael la fixa et se mit à rire légèrement.

- Michael : Juste une femme qui était avec Paul.
- Sara : Ce n’est pas une question, mais j’aimerais qu’on aille dans la chambre.

Écarquillant les yeux, Michael la considéra, étonné un court instant.

- Sara : Ce n’est pas ce que tu penses, Scofield ! Fit-elle en secouant la tête et levant les yeux au plafond.
- Michael : Tu es fatiguée ?


Sara éclata de rire.


- Sara : Je viens de t’avoir, tu as grillé ta troisième question !
- Michael : Tu triches ! Protesta-t-il en se relevant rapidement alors qu’elle disparaissait dans la chambre.

Arrivé dans la chambre, il l’observa, interdit par le désir qui s’insinuer en lui tandis que la jeune femme se faufiler sous les draps frais.

- Sara : Viens te coucher.

Il s’approcha silencieusement et sans s’y attendre, Sara se releva sur ses genoux et s’avança vers lui. Paralysé par l’émotion qui le gagner, il laissa les mains de la jeune femme glisser sous son tee-shirt.

- Sara : Déshabille toi, Michael et vient te coucher, murmura-t-elle, en souriant.


Michael secoua légèrement la tête et enleva son haut avant de s’asseoir sur le bord du lit. Le regard tendre, Sara l’observa pendant qu’il se dévêtit. Une fois qu’il l’ai rejoins sous les draps, la jeune femme se redressa sur un coude et se perdit dans son regard brillant de désir. Elle sourit, puis avec une extrême douceur, elle glissa son doigt sur son visage avant de descendre lentement le long de son torse.

Michael frémit sous cette douce torture et comprit là où elle voulait en venir quand elle immobilisa sa caresse sur la cicatrice qu’il avait près de sa côte.

- Sara : Ma troisième question. Comment est-ce arrivé ?
- Michael : Celle-ci ? C’est juste une entaille que je me suis faite en pénétrant dans une propriété privée.
- Sara : Et tu as eut besoin de point de suture pour une petite entaille ?
- Michael : Oui, je t’assure ! Et tu viens de griller ta quatrième question ! Fit-il en éclatant de rire tandis qu’il l’attira contre lui, évitant le coup de Sara qu’elle allait lui mettre sur le bras, vexée. C’est à mon tour ! Alors…. Est-ce qu’un jour tu penses que ce sera possible que tu me pardonnes ?
- Sara : Oui…, répondit-elle après un instant de silence. Je pense qu’on ai tous les deux sur le bon chemin, non ?
- Michael : Tu viens encore une fois de me poser une question, ma chérie ! Rétorqua-t-il en éclatant de rire à la mine boudeuse qu’elle faisait.
- Sara : Je n’aurais jamais du proposer ce jeu, rétorqua-t-elle dans un souffle avant de capturer les lèvres de Michael en un baiser passionné.

Elle l’embrassa tendrement puis peu à peu, son baiser se fit plus fougueux, les faisant frémir tous les deux. Elle s’écarta soudain, vivement sous le gémissement de protestation de Michael.

- Sara : On… on a pas terminé…, fit-elle d’un murmure saccadé.
- Michael : A ton tour, mon ange, fit Michael en l’attirant dans ses bras.
- Sara : Heu…. Je ne sais pas…. C’est quoi de cette autre cicatrice ? Demanda-t-elle en posant son doigt sur sa poitrine. C’est une blessure par balle…
- Michael : Oui…

Sara comprit qu’il souffrait de cette question. Elle était sur le point de lui dire qu’il n’était pas obligé de lui parler maintenant, comprenant que cette cicatrice était un sujet douloureux mais Michael se redressa et s’adossa sur le panneau du lit et plongea son regard dans celui de la jeune femme.

- Michael : Je devais tuer un homme qui détenait encore des preuves de l’existence de cette compagnie. Quand on est arrivé chez lui, il donnait une réception…, il s’interrompit un instant puis sourit à la main de Sara qu’elle venait de poser sur son torse, pour l’encourager.

Sara déglutit péniblement à la vue de son regard brouillé par les larmes.

- Sara : Michael…
- Michael : Ça va…, le rassura-t-il en prenant sa main dans la sienne. Il y avait trop de monde… Kellerman et moi avons attendu que les invités partent. Une fois qu’il était seul, nous sommes entrés par l’arrière de la maison. On venait de pénétrer dans la cuisine quand on l’a entendu parler… Paul a prit une direction opposée à la mienne pendant que je filais vers le salon. Je n’ai trouvé personne…

Michael s’interrompit un instant pour reprendre son souffle et continua d’une voix brisée.

- Michael : J’ai entendu des coups de feux. Je me suis précipité dans son bureau et j’ai trouvé deux corps au sol. Paul et l’homme qu’on avait pour cible venaient de s’abattre…. Je me suis penché vers Kellerman pour voir si je pouvais le sauver quand… on m’a tiré dessus. Sans regarder celui qui venait de me mettre une balle, j’ai tiré à mon tour…

Les larmes de Michael roulaient à présent le long de ses joues. Le cœur serré, Sara l’attira contre elle et le berça doucement dans ses bras, pleurant silencieusement à la douleur que Michael éprouvait. Pendant de longues minutes, Michael resta blottit dans les bras de sa femme, le temps que ses joues sèchent. Bien qu’il était très difficile pour lui d’en parler, il en ressentit un faible soulagement à cette scène qui l’avait tué intérieurement.

- Sara : Tu n’as fais que te défendre, Michael…., fit-elle d’une voix réconfortante.

A ces mots, Michael se figea un instant et s’écarta de son étreinte d’un geste vif. Il se leva et se dirigea vers la fenêtre, les mâchoires serrées par la colère qu’il ressentait au fond de lui. Sans se retourner vers Sara, il ferma les yeux et lança d’une voix brisée par les remords :

- Michael : C’était un gosse de dix ans….

je me suis doutée au titre et à ton comm que quelque chose allait me
le jeu a commencé de façon amusante mais la dernière question est très douloureuse
le petit garçon était le fils du proprio et a tiré par peur
sinon c'est une belle suite mais j'en suis toute retournée
alors la suivante vers quelle heure

gros

Coucou les miss
merci encore pour vos coms
allez voilà la suite mais toute petite^^
et je file au lit


Chapitre 34.


[Jeu dangereux. 2ème partie…]

Sara ferma les yeux, bouleversée par ce que venait d’avouer Michael. Elle rouvrit les yeux et le cœur serré, elle se leva pour s’approcher silencieusement de lui.

Il resta le dos tourné, le regard perdu dans la contemplation de l’extérieur. Le soleil commençait à décliner derrière les sombres nuages, réveillant la splendeur de la nuit. Il déglutit péniblement alors que la main de Sara se posa dans le creux de ses reins.

Michael ne fit pas un geste. Il essayait de chasser les images qui le hanter chaque nuits depuis ce fameux soir. Il revivait comme si il se trouvait toujours dans cette pièce. Le sang coulait…, maculant la chemise qu’il portait. Il avait appuyé sur la gâchette instinctivement mais pendant une fraction de seconde, un cri d’horreur s’était échappé de sa gorge, comprenant qu’il était trop tard…. Le corps fin de l’enfant s’écroulait déjà sur le sol, inerte…

Jamais, Michael n’oublierait son regard. Il le posséderait jour et nuit et ce, jusqu’à ce qu’il le retrouve, un jour…. Il laissa couler les larmes le long de ses joues meurtries par les remords qu’il éprouvait.

Sara se sentit impuissante face à la douleur qu’il ressentait. Néanmoins, elle prit sur elle, une fois de plus... Elle mit son trouble de côté, l’enfouissant profondément en elle et prit le bras de son époux afin qu’il se retourne vers elle.

- Sara : Michael, murmura-t-elle d’une voix hésitante.

Il se tourna lentement et ferma les yeux comme si il redoutait son regard. Sara leva les mains vers lui et vint encadrer son visage, balayant les larmes de ses pouces.

Il ouvrit enfin les paupières et planta son regard hagard dans celui de la jeune femme.

- Sara : Ce n’est pas ta faute, Michael…
- Michael : Bien sur que si, rétorqua-t-il d’une voix brisée et inconsolable avant de s’écarter d’elle.
- Sara : Il t’aurai tué, Michael ! S’écria-t-elle, laissant son chagrin s’écouler le long de son visage. C’est horrible que cet enfant soit mort, certes… c’est triste…. Mais comment a-t-il pu trouver cette arme ? Il n’avait que dix ans et n’a pas hésiter à te tirer dessus ! Michael…

Restant immobile, il entendit un sanglot s’échapper de la gorge de Sara. Si il pouvait bien ne pas supporter, c’était qu’il fasse encore souffrir les gens autour de lui…Sara. Il se retourna vers elle et lui fit face pendant un instant avant de l’attirer dans ses bras.

- Michael : Je suis désolé…
- Sara : Non… ce n’était pas ta faute, Michael, fit-elle en s’écartant légèrement de lui pour planter ses yeux humides dans les siens. Je ne veux plus que tu y penses… c’est du passé maintenant… Michael, je t’aime…
- Michael : Sara…, murmura-t-il, le cœur serré avant de la reprendre dans ses bras.

La jeune femme se laissa blottir contre lui tandis qu’il resserra son étreinte avant de murmurer…

- Michael : Je vais essayer de ne plus y penser, fit-il d’un murmure désespéré.
- Sara : Merci… de m’avoir raconté, Michael… je sais que cela doit être pénible mais il faut que tu comprennes que si tu n’avais pas tiré, tu serais mort… et… je te regarde toujours pareil, Michael. Tu es toujours l’homme que je suis tombée follement amoureuse. Tu es toujours celui qui est prêt à tout sacrifier pour venir en aide à ceux que tu aimes…
- Michael : Je ne te quitterais plus jamais, Chrysie et toi…. Je te le promets, Sara…

La jeune femme ferma les yeux, émue et resserra ses bras autour de sa taille. Michael sentit une larme sur son torse. Lentement, il releva le visage de Sara et se pencha vers elle.

Sara sentit le sol se dérober sous ses pieds au doux effleurement de ses lèvres contre les siennes. Ses doigts s’enlacèrent aux siens et il l’attira vers le lit où ils se couchèrent tous les deux, dans un silence indescriptible. La jeune femme croisa son regard un court un instant et vint se blottir contre lui. Tendrement, Michael caressa ses cheveux et déposa un baiser tendre sur son front.

- Michael : Je t’aime, Sara, murmura-t-il d’une voix rauque.
- Sara : Moi aussi, lui répondit-elle avant de l’embrasser légèrement dans le cou.


Malgré la situation délicate de l’instant, elle laissa une main hésitante glisser sur le torse nu de Michael. Du bout des doigts, elle caressa sa peau, traça les dédalles de son tatouage sur ses muscles durcis à son passage. Elle sourit légèrement.

Quand à Michael, il ferma les paupières un bref instant, savourant la main de celle qui n’aurait jamais du quitter son corps.

Pendant un moment, ils restèrent ainsi, attendant l’instant propice que chacun attendait désespérément. Michael finit par tourner lentement son visage vers le sien… leurs regards s’accrochèrent aussitôt et sans prononcer un mot… un son, leurs lèvres s’unirent dans un gémissement étouffé par la délivrance….

Coucou, he oui c'est moi de retourd, je suis qu Portugal donc il y a deux heures de differences Waaaaaa j'adore toujours autant ta fic, les deux derniers chapitres ont ete trop emouvant, c'est reparti tu m'as fait pleurer, c'est pas beau ca Bref j'adore toujours autant j'suis pas sur de revenir mais je ferai de mon mieu bref gros

Sara a su le reconforter face à cette situation plus que délicate même si Michael ne pourra jamais oublier
moment rempli de tendresse

vite la suite c'est pas l'heure du dodo


gros

Ben dis donc...c'est tout beau, tout émouvant,...
La suite, stp lol

Merci les filles pour vos coms
allez, voici la suite (une) mdr.
gros bisous les miss :kis :kis

Chapitre 35.

[A armes égales…]

Découvrez Whitney Houston!

Sara se détacha de l’étreinte de Michael et le fixa. Ils étaient tous les deux allongés sur le lit, dans un silence électrisant. Sara pouvait lire les regrets et l’amertume dans le fond de ses yeux. Sa gorge se contracta, imaginant la situation atroce qu’il avait du vivre.

En sentant son corps palpiter contre le sien, les souvenirs de leurs étreintes passées le submergèrent tel un torrent impétueux. Il se souvenait de tout. De la douceur de sa peau, de la façon dont elle se donnait à lui lorsqu’il lui faisait l’amour. Comment aurait-il pu oublier ? Nulle femme depuis avait attiré son regard ou son attention.

D’un geste impulsif, il prit le visage de Sara entre ses mains et plongea son regard au fond du sien.

- Michael : Je suis désolé de tout ce que je t’ai fais subir, mon amour.

Elle frémit de tout son être. Elle ne savait plus ! Les quatre années passées n’existaient plus. Sara retrouvait intactes les émotions d’alors, si puissantes qu’elles occultaient toute pensée raisonnable.

La force primitive qui la poussait vers Michael existait toujours, avec la même puissance dévastatrice. Quand il l’attira contre lui, toute pensée s’évanouirent.

Lorsque ses lèvres s’emparèrent des siennes, elle gémit. ses baisers avaient été sa drogue, et elle avait connue depuis une longue privation, un supplice.


Ils ne dirent rien, les mots auraient été inutiles. Le besoin de se toucher, de se caresser les submergeait, irrésistiblement. En ce jour où planait l’ombre de la mort, la vie réaffirmait ses droits….

Les bras passés autour de Michael, Sara se laissa aller sans résistance. Il l’embrassa avec une telle frénésie qu’elle frissonna de tout son corps. Lentement, ses mains parcoururent la peau délicate de sa femme. Ses doigts se glissèrent sous les bretelles de sa nuisette et sans comprendre comment il venait de l’en débarrasser elle se pressa contre lui.

- Michael : Sara…

Sa voix rauque témoignait de l’intensité de ses émotions. Le temps semblait s’être arrêté. Hier, devenait aujourd’hui. Ils se retrouvaient comme si jamais ils ne s’étaient quittés.

Le cœur de Sara cognait tel un forcené, des étincelles crépitaient sur sa peau. Ravi de son abandon, Michael s’enhardit et pinça les pointes roses qui se dressaient sous ses caresses. Se sentant défaillir, Sara enfonça ses ongles dans ses avant-bras.

- Sara : Je t’en prie, Michael…

Sans cesser sa divine torture, il reprit possession de ses lèvres. Puis, il passa un bras autour de sa taille, et de sa main libre, fit glisser son slip sur ses jambes satinées. Lorsqu’elle fut entièrement nue, il interrompit la joute sensuelle de leurs langues pour la contempler avec émerveillement et émotion.

Impatiente, Sara se redressa légèrement et fit glisser son boxer, seul tissu qui séparer encore leurs deux corps. Une fois nu, Michael se pencha au dessus d’elle et l’embrassa avec une sensualité languissante…

Les lèvres de Michael commencèrent son lent périple en suivant le renflement de son épaule jusqu’aux collines jumelles de ses seins, puis, il erra sur son ventre plat pour butiner le galbe d’une hanche, dévalant une cuisse fuselée, jusqu’à la fine cheville.

Sara se tordait de plaisir sous les assauts de sa bouche savante, il repartit en sens inverse, mordillant impitoyablement sa peau.

- Michael : Tu es magnifique, murmura-t-il d’une voix rauque.

Ce doux mot décupla son plaisir. Dans un geste précis, elle le fit s’allonger sur le dos et lui rendit ses baisers et caresses. Le souffle court et saccadé, il gémit sous les caresses de sa langue sur son corps. Il l’attira sur lui et l’embrassa passionnément. Pendant de longues minutes, ils s’embrassèrent, se caressèrent avec une tendresse inouïe..

Alors que la jeune femme était proche de l’orgasme aux caresses expertes de Michael, elle se redressa mais il l’a ramena contre lui afin de capturer ses lèvres avec fougue.

- Michael : Je t’aime…
- Sara : Michael, murmura-t-elle dans un doux supplice.

Michael sourit et la fit descendre sur lui encore un peu plus. Elle se haussa sur les genoux et se préparait à se laisser glisser sur lui quand il lui empoigna les hanches afin de la pénétrer plus vite, plus durement et l’intensité de cette pénétration la fit hoqueter….

Aussi imposant qu’il fut, il l’emplissait à la perfection alors qu’il se poussait en elle. Sara eut tôt fait d’adopter le rythme rapide de ses coups de reins, gémissant, laissant monter en elle les vagues de plaisir qui menaçaient de la dévaster.

Alors qu’une fois encore elle était à l’extrême bord du point de non retour, il la fit rouler sur le dos et revint sur elle. Calant ses coudes, il la regarda avec intensité et lui murmura :

- Michael : Regarde moi, Sarah…

Et ces seuls mots eurent un effet ravageur en elle.

Tout ce qui se déroula ensuite ne fut que plaisirs, sensations et délices. Elle referma la main en coupe sous la tête de Michael alors qu’il se poussait fort et profond en elle.

Avec de longs spasmes, il vient en elle avant de s’affaler sur Sara, trempée de sueur à l’étreinte forte et puissante qu’ils venaient de partager.

La brise venue de la fenêtre ouverte les rafraîchit rapidement. Il se redressa et se retira avec l’impression de perdre quelque chose d’essentiel. Sara se redressa en même temps que lui et il l’attira dans ses bras, les refermant sur son dos jusqu’à ce qu’elle ne puisse être plus près de lui.

- Michael : Tu as encore des questions ? Demanda-t-il dans un souffle court en souriant.

Sara releva la tête et planta son regard dans le sien. Elle lui répondit d’un sourire avant de pouffer de rire et de le serrer tout contre elle.

- Sara : Non, j’abandonne ce jeu…
- Michael : Je t’aime, Sara.., répondit-il, ému.
- Sara : Moi aussi, Michael, répondit-elle à son tour avec de l’embrasser passionnément….

tu vas finir pas me dévergonder Angie, si ils continuent comme ça finalement ils faut qu'ils continuent c'est mieux pour le petit frère
splendide suite

Euh ben dsl mais moi j'ai encore une question lol je peux ?
C'est quand la suite ?