Collaboration Niccki et Elidria
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Collaboration Niccki et Elidria
Voilà voici le début d'une fic à deux mains avec moi et Niccki en auteurs. Un coup moi, Un coup elle. J'espère que vous apprécierez. La fic commence après l'épisode 213. La première partie c'est moi. J'ai utilisé la chanson originale de Casino Royale et le dernier refrain est absent de la fic. Je vous souhaite une bonne lecture et Niccki, j'espère que tu vas réussir à te dépatouiller pour la suite!
Chapitre 1 : You Know My Name
Près d’Albuquerque. Nouveau Mexique.
Inhaler. Exhaler. Pour le commun des mortels, c’était une habitude, un lieu commun. La respiration était quelque chose d’affreusement banale. Michael aimerait que ce soit la même chose pour lui.
Inhaler. Exhaler. Alors qu’il continuait à fuir à travers les sous-sol, suivant de près Lincoln et l’homme qui leur avait sauver la vie, il se demandait comment quelque chose d’aussi simple était devenu aussi dur à faire pour lui.
Inhaler. Exhaler. Il l’avait fait de si nombreuses fois dans sa vie d’avant sans en comprendre son importance. En se levant le matin. En respirant. En marchant. En travaillant. Lorsque sa mère était morte aussi.
Inhaler. Exhaler. Puis il avait commencé à saisir la valeur d’un souffle. Lorsque le juge avait annoncé que son frère, sa seule famille allait mourir. Lorsque Sara lui avait demandé de respirer pour elle et qu’il avait appris qu’elle avait cessé de respirer lors de son overdose. Lorsque son père était mort dans ses bras.
Inhaler. Exhaler. Les pieds de Michael frappaient le sol dans un bruit mat à une vitesse impressionnante. Pourquoi respirait-il encore ? Et combien de temps avant que les gens auquel il tient, ne cessent de respirer ?
If you take a life do you know what you'll give? (si tu prends une vie, sais-tu ce que tu devras donner?)
Peut-être était-ce cela le prix à payer pour avoir sauver la vie de son frère ? Quelques uns devaient cesser de respirer. Mais c’était foutrement injuste. Et Michael avait compris une chose. Respirer n’était rien si l’on ne pouvait pas le faire en étant libre.
L’homme qui leur avait sauvé la vie, poussa une porte qui déboucha sur l’extérieur. Michael eut juste le temps d’apercevoir une voiture garée à une dizaine de mètres de là, avant d’observer Lincoln projetant le gars contre le mur et le désarmant à une vitesse impressionnante. Trop rapidement d’ailleurs. Ce n’était jamais aussi facile de désarmer un agent du gouvernement à moins qu’il ne le veuille volontairement.
Apparemment son frère n’était pas très reconnaissant d’être toujours en vie.
L :QUI ETES VOUS ?
Il le ceinturait à la gorge appuyant sur le cou de l’inconnu, s’il ne lâchait pas un peu de lest, il ne risquait pas de lui répondre.
M : Lincoln...Desserre ta prise...Il ne respire pas...
Linc s’exécuta de mauvaise grâce. Certes ils avaient pu s’en tirer encore une fois. Mais ce n’était pas une raison pour faire confiance à un de ces salopards de la pire espèce.
Odds are, you won't like what it is (La chance est présente, tu n’apprécies pas ce qui es)
L’homme retrouva son souffle et la parole pour le plus grand malheur de Linc.
K : Apparemment votre frère a oublié les bonnes manières…Un simple merci aurait suffi…
Il savait bien que son frère était un impulsif mais de là à balancer son poing dans la figure d’un parfait inconnu qui venait de leur sauver la vie. Ce n’était pas la chose la plus diplomatique à faire. Il ne pouvait pas lui en vouloir. Après tout, c’était une bonne occasion de se défouler. Sauf que Michael n’avait jamais été quelqu’un de violent, il aurait préféré savoir pourquoi le destin leur avait laisser une chance de s’en tirer encore une fois.
When the storm arrives, would you be seen with me? (Quand la tempête arrive, seras-tu vu avec moi?)
By the merciless eyes of deceit? (par les yeux impitoyables de la duperie?)
M : Qu’est ce que vous voulez ?
K : La même chose que vous…Avoir la peau de la présidente…
M : Cela semble trop facile…Qu’est ce qui me dit qu’on peut vous faire confiance ?
K : Rien à part le fait que je sais où se trouve Terrence Steadman…
L : Il ment, Michael ! On ne peut pas lui faire confiance ! Je l’assomme et on file avec la voiture !
K : Terrence Steadman est en vie ! Et si vous croyez que vous iriez loin sans moi, vous vous trompez largement…
M : Apportez-moi une preuve que ce que vous dites est vrai ?
K : Si j’avais voulu vous tuer, je l’aurai déjà fait !
M : Juste…Mais vous y gagnez quoi en échange ?
K : Je veux que la présidente tombe…Et le seul moyen pour cela est l’exonération de votre frère ! Il faut qu’on bouge…Les renforts ne vont pas tarder à arriver !
M : Ok…
L : Michael ! On ne peut pas lui faire confiance !
M : On a pas le choix, Linc ! Il faut qu’on retrouve Sara et qu’on te sorte de là ! Et le meilleur moyen pour que vous soyez en sécurité tous les deux, c’est qu’on prouve qu’ils aient menti dès le départ ! Il a les moyens, Linc ! Nous, on a plus rien !
***************************************************************************
Gila. Nouveau Mexique.
I've seen angels fall from blinding heights (J’ai vu des anges tombés des hauteurs cachés)
But you yourself are nothing so divine (mais toi tu n’as rien de si divine)
Just next in line ( juste après la ligne)
Protection. Sécurité. Amour. Pour la plupart des gens, ces notions sont associées à la famille. Au père qui protège au péril de sa vie, sa famille. A la mère, qui soigne et fait partir vos peurs d’enfants. Pour Sara Tancredi, ces notions là avaient toujours été des ennemies à combattre. Sa famille ne ressemblait pas à cela. Ils ne se protégeaient pas les uns et les autres. Dans l’enfance de Sara Tancredi, la peur était une de ses meilleures amies, elle vivait avec. Elle avait peur de décevoir, peur de déplaire, peur pour sa mère, peur des hommes en noir qui assuraient sa protection selon son père.
Dans l’adolescence de Sara Tancredi, la peur se conjuguait à la haine, ennemie de l’amour. Elle se haïssait, haïssait son père, haïssait sa mère, haïssait cette solitude qui l’accompagnait chaque jour. Plus tard, lorsqu’elle avait grandie : protéger, secourir, aimer avait été le but principal de son existence ; puisqu’elle n’y avait pas le droit, les autres devaient l’avoir selon elle.
Sa rencontre avec Michael Scofield avait été l’apothéose de tout cela. Elle avait compris qu’on pouvait protéger, aimer, secourir au péril de sa vie.
Michael avait cette façon particulière de la regarder comme si elle pouvait avoir tout cela. Mais sa meilleure amie la peur veillait au grain, les doutes et la haine avaient refait surface. Et voilà maintenant où elle en était : à renier ce qu’elle était pour pouvoir survivre. Adieu au médecin Sara Tancredi qui voulait protéger, secourir et aimer son prochain, elle n’avait plus de prochain, plus personne à aimer, plus personne à protéger.
La nouvelle Sara attendait le bus 181 en direction de Chicago à Gila près du Nouveau Mexique.
Arm yourself because no-one else here will save you (Armes-toi toi même parce que personne d’autre ne sera là pour te sauver)
La nouvelle Sara savait que la peur était une ennemie à combattre pour survivre. La nouvelle Sara ne se faisait plus d’illusion. Tous ces idéaux et ces principes étaient à jeter aux orties. Elle était seule maintenant pour s’occuper d’elle. Elle se passa la main dans les cheveux en songeant qu’à une époque, lorsqu’elle avait été petite fille, elle s’était sentie aimer et protéger pendant un bref instant. Son père avait trouvé le temps un soir de lui raconter une histoire. Pour chaque petite fille, c’était un rituel, pour Sara c’était une exception. Calfeutrée sous les couettes, émerveillée par le fait que son père lui accorde un peu de son temps. Il avait donc entamé Les Voyages de Sir John Mandeville. Elle ne souvenait pas de l’histoire exactement, juste d’un passage sur la légende du phénix.
Cette légende voulait que le phénix transforme son nid en bûcher, puis s'immole. Après trois jours, un nouveau phénix apparaissait d'entre les cendres. Petite fille, elle avait voulu avoir un phénix en animal de compagnie. A présent, elle se rendait compte qu’elle était le phénix, qu’elle rayait son ancien moi et que la nouvelle Sara resterait en vie quoiqu’il lui en coûte.
C’était bien pour cela qu’elle avait survécu, que le médecin avait blessé consciemment un autre humain sans savoir si elle n’avait pas tuée. Elle s’en fichait complètement que l’homme qui possédait maintenant une marque de fer à repasser sur la poitrine puisse avoir des problèmes de santé.
Tout ce qu’elle voulait, c’était Michael. Retrouver Michael et venger son père. Voilà ce que la nouvelle Sara voulait. Et comme Michael s’était fait arrêter, il ne fallait qu’elle se débrouille pour coincer les sales types qui l’avait mit dans ce merdier. La seule façon d’y arriver était de trouver ce que la clé de son père ouvrait. Elle ne le ferait qu’à Chicago.
Sara devait juste poursuivre son but en essayant de ne pas se faire tuer et de survivre.
Seulement ces chances de survie diminuaient de secondes en secondes. Un homme la fixait depuis quelques minutes.
The odds will betray you (la chance te trahira)
Sara ne devait pas compter sur la chance pour survivre. C’était un facteur beaucoup trop aléatoire. Le bus venait d’arriver. Monter dedans était une de ces options mais le type la suivrait et trouverai un moyen de la tuer.
And I will replace you ( et je te remplacerai)
Sara était capable de le faire. Elle avait bien sauter d’une fenêtre pour échapper à un de ces tarés.
Elle songea avec ironie que la nouvelle Sara avait quand même gardé quelques résidus de l’ancienne Sara. Courir. Fuir. La même adrénaline courrait dans ses veines que lorsque l’ancienne Sara se faisait un shoot.
Elle n’avait jamais fait cela. Elle n’avait jamais blessé consciemment quelqu’un. C’était contre-nature, contre la déontologie de son métier et pourtant elle s’apprêtait à le faire.
You can't deny the prize it may never fulfill you ( tu ne peux pas nier le prix que tu n’as jamais accompli)
Sara plongea la main dans son sac. Elle n’avait jamais songé à cet usage pour une lime à ongles et lorsqu’elle la saisit dans la paume de sa main tremblante, elle se rendit compte qu’elle ne pourrait pas encore faire cela. Pas tout de suite. Il ne restait plus qu’un mètre entre l’homme et elle. Elle ne le tuerait pas. Toutefois elle pouvait se servir des connaissances de l’ancienne Sara en anatomie pour taper là où il ne mourrait pas.
It longs to kill you (c’est trop long de te tuer)
Elle avança d’un pas plus rapide et l’homme plongea sa main dans son pardessus. Une bonne dose de volonté et l’adrénaline faisant le reste, elle le frappa d’un coup sec. Il ne poussa même pas un cri.
Are you willing to die? (es-tu disposé à mourir?)
Du sang dégoulina un tout petit peu sur ses doigts… Rapidement, Sara se retourna, se dirigea et monta dans le bus sans voir l’homme s’effondrer dans son dos.
The coldest blood runs through my veins (le sang froid courant à travers mes veines)
Assise dans le bus, elle songea qu’elle n’avait aucun remord à ce qu’elle venait de faire. Il le méritait. Ils le méritaient tous.
You know my name (tu sais mon nom)
La nouvelle Sara poursuivait un unique but : survivre et se venger.
Chapitre 1 : You Know My Name
Près d’Albuquerque. Nouveau Mexique.
Inhaler. Exhaler. Pour le commun des mortels, c’était une habitude, un lieu commun. La respiration était quelque chose d’affreusement banale. Michael aimerait que ce soit la même chose pour lui.
Inhaler. Exhaler. Alors qu’il continuait à fuir à travers les sous-sol, suivant de près Lincoln et l’homme qui leur avait sauver la vie, il se demandait comment quelque chose d’aussi simple était devenu aussi dur à faire pour lui.
Inhaler. Exhaler. Il l’avait fait de si nombreuses fois dans sa vie d’avant sans en comprendre son importance. En se levant le matin. En respirant. En marchant. En travaillant. Lorsque sa mère était morte aussi.
Inhaler. Exhaler. Puis il avait commencé à saisir la valeur d’un souffle. Lorsque le juge avait annoncé que son frère, sa seule famille allait mourir. Lorsque Sara lui avait demandé de respirer pour elle et qu’il avait appris qu’elle avait cessé de respirer lors de son overdose. Lorsque son père était mort dans ses bras.
Inhaler. Exhaler. Les pieds de Michael frappaient le sol dans un bruit mat à une vitesse impressionnante. Pourquoi respirait-il encore ? Et combien de temps avant que les gens auquel il tient, ne cessent de respirer ?
If you take a life do you know what you'll give? (si tu prends une vie, sais-tu ce que tu devras donner?)
Peut-être était-ce cela le prix à payer pour avoir sauver la vie de son frère ? Quelques uns devaient cesser de respirer. Mais c’était foutrement injuste. Et Michael avait compris une chose. Respirer n’était rien si l’on ne pouvait pas le faire en étant libre.
L’homme qui leur avait sauvé la vie, poussa une porte qui déboucha sur l’extérieur. Michael eut juste le temps d’apercevoir une voiture garée à une dizaine de mètres de là, avant d’observer Lincoln projetant le gars contre le mur et le désarmant à une vitesse impressionnante. Trop rapidement d’ailleurs. Ce n’était jamais aussi facile de désarmer un agent du gouvernement à moins qu’il ne le veuille volontairement.
Apparemment son frère n’était pas très reconnaissant d’être toujours en vie.
L :QUI ETES VOUS ?
Il le ceinturait à la gorge appuyant sur le cou de l’inconnu, s’il ne lâchait pas un peu de lest, il ne risquait pas de lui répondre.
M : Lincoln...Desserre ta prise...Il ne respire pas...
Linc s’exécuta de mauvaise grâce. Certes ils avaient pu s’en tirer encore une fois. Mais ce n’était pas une raison pour faire confiance à un de ces salopards de la pire espèce.
Odds are, you won't like what it is (La chance est présente, tu n’apprécies pas ce qui es)
L’homme retrouva son souffle et la parole pour le plus grand malheur de Linc.
K : Apparemment votre frère a oublié les bonnes manières…Un simple merci aurait suffi…
Il savait bien que son frère était un impulsif mais de là à balancer son poing dans la figure d’un parfait inconnu qui venait de leur sauver la vie. Ce n’était pas la chose la plus diplomatique à faire. Il ne pouvait pas lui en vouloir. Après tout, c’était une bonne occasion de se défouler. Sauf que Michael n’avait jamais été quelqu’un de violent, il aurait préféré savoir pourquoi le destin leur avait laisser une chance de s’en tirer encore une fois.
When the storm arrives, would you be seen with me? (Quand la tempête arrive, seras-tu vu avec moi?)
By the merciless eyes of deceit? (par les yeux impitoyables de la duperie?)
M : Qu’est ce que vous voulez ?
K : La même chose que vous…Avoir la peau de la présidente…
M : Cela semble trop facile…Qu’est ce qui me dit qu’on peut vous faire confiance ?
K : Rien à part le fait que je sais où se trouve Terrence Steadman…
L : Il ment, Michael ! On ne peut pas lui faire confiance ! Je l’assomme et on file avec la voiture !
K : Terrence Steadman est en vie ! Et si vous croyez que vous iriez loin sans moi, vous vous trompez largement…
M : Apportez-moi une preuve que ce que vous dites est vrai ?
K : Si j’avais voulu vous tuer, je l’aurai déjà fait !
M : Juste…Mais vous y gagnez quoi en échange ?
K : Je veux que la présidente tombe…Et le seul moyen pour cela est l’exonération de votre frère ! Il faut qu’on bouge…Les renforts ne vont pas tarder à arriver !
M : Ok…
L : Michael ! On ne peut pas lui faire confiance !
M : On a pas le choix, Linc ! Il faut qu’on retrouve Sara et qu’on te sorte de là ! Et le meilleur moyen pour que vous soyez en sécurité tous les deux, c’est qu’on prouve qu’ils aient menti dès le départ ! Il a les moyens, Linc ! Nous, on a plus rien !
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Gila. Nouveau Mexique.
I've seen angels fall from blinding heights (J’ai vu des anges tombés des hauteurs cachés)
But you yourself are nothing so divine (mais toi tu n’as rien de si divine)
Just next in line ( juste après la ligne)
Protection. Sécurité. Amour. Pour la plupart des gens, ces notions sont associées à la famille. Au père qui protège au péril de sa vie, sa famille. A la mère, qui soigne et fait partir vos peurs d’enfants. Pour Sara Tancredi, ces notions là avaient toujours été des ennemies à combattre. Sa famille ne ressemblait pas à cela. Ils ne se protégeaient pas les uns et les autres. Dans l’enfance de Sara Tancredi, la peur était une de ses meilleures amies, elle vivait avec. Elle avait peur de décevoir, peur de déplaire, peur pour sa mère, peur des hommes en noir qui assuraient sa protection selon son père.
Dans l’adolescence de Sara Tancredi, la peur se conjuguait à la haine, ennemie de l’amour. Elle se haïssait, haïssait son père, haïssait sa mère, haïssait cette solitude qui l’accompagnait chaque jour. Plus tard, lorsqu’elle avait grandie : protéger, secourir, aimer avait été le but principal de son existence ; puisqu’elle n’y avait pas le droit, les autres devaient l’avoir selon elle.
Sa rencontre avec Michael Scofield avait été l’apothéose de tout cela. Elle avait compris qu’on pouvait protéger, aimer, secourir au péril de sa vie.
Michael avait cette façon particulière de la regarder comme si elle pouvait avoir tout cela. Mais sa meilleure amie la peur veillait au grain, les doutes et la haine avaient refait surface. Et voilà maintenant où elle en était : à renier ce qu’elle était pour pouvoir survivre. Adieu au médecin Sara Tancredi qui voulait protéger, secourir et aimer son prochain, elle n’avait plus de prochain, plus personne à aimer, plus personne à protéger.
La nouvelle Sara attendait le bus 181 en direction de Chicago à Gila près du Nouveau Mexique.
Arm yourself because no-one else here will save you (Armes-toi toi même parce que personne d’autre ne sera là pour te sauver)
La nouvelle Sara savait que la peur était une ennemie à combattre pour survivre. La nouvelle Sara ne se faisait plus d’illusion. Tous ces idéaux et ces principes étaient à jeter aux orties. Elle était seule maintenant pour s’occuper d’elle. Elle se passa la main dans les cheveux en songeant qu’à une époque, lorsqu’elle avait été petite fille, elle s’était sentie aimer et protéger pendant un bref instant. Son père avait trouvé le temps un soir de lui raconter une histoire. Pour chaque petite fille, c’était un rituel, pour Sara c’était une exception. Calfeutrée sous les couettes, émerveillée par le fait que son père lui accorde un peu de son temps. Il avait donc entamé Les Voyages de Sir John Mandeville. Elle ne souvenait pas de l’histoire exactement, juste d’un passage sur la légende du phénix.
Cette légende voulait que le phénix transforme son nid en bûcher, puis s'immole. Après trois jours, un nouveau phénix apparaissait d'entre les cendres. Petite fille, elle avait voulu avoir un phénix en animal de compagnie. A présent, elle se rendait compte qu’elle était le phénix, qu’elle rayait son ancien moi et que la nouvelle Sara resterait en vie quoiqu’il lui en coûte.
C’était bien pour cela qu’elle avait survécu, que le médecin avait blessé consciemment un autre humain sans savoir si elle n’avait pas tuée. Elle s’en fichait complètement que l’homme qui possédait maintenant une marque de fer à repasser sur la poitrine puisse avoir des problèmes de santé.
Tout ce qu’elle voulait, c’était Michael. Retrouver Michael et venger son père. Voilà ce que la nouvelle Sara voulait. Et comme Michael s’était fait arrêter, il ne fallait qu’elle se débrouille pour coincer les sales types qui l’avait mit dans ce merdier. La seule façon d’y arriver était de trouver ce que la clé de son père ouvrait. Elle ne le ferait qu’à Chicago.
Sara devait juste poursuivre son but en essayant de ne pas se faire tuer et de survivre.
Seulement ces chances de survie diminuaient de secondes en secondes. Un homme la fixait depuis quelques minutes.
The odds will betray you (la chance te trahira)
Sara ne devait pas compter sur la chance pour survivre. C’était un facteur beaucoup trop aléatoire. Le bus venait d’arriver. Monter dedans était une de ces options mais le type la suivrait et trouverai un moyen de la tuer.
And I will replace you ( et je te remplacerai)
Sara était capable de le faire. Elle avait bien sauter d’une fenêtre pour échapper à un de ces tarés.
Elle songea avec ironie que la nouvelle Sara avait quand même gardé quelques résidus de l’ancienne Sara. Courir. Fuir. La même adrénaline courrait dans ses veines que lorsque l’ancienne Sara se faisait un shoot.
Elle n’avait jamais fait cela. Elle n’avait jamais blessé consciemment quelqu’un. C’était contre-nature, contre la déontologie de son métier et pourtant elle s’apprêtait à le faire.
You can't deny the prize it may never fulfill you ( tu ne peux pas nier le prix que tu n’as jamais accompli)
Sara plongea la main dans son sac. Elle n’avait jamais songé à cet usage pour une lime à ongles et lorsqu’elle la saisit dans la paume de sa main tremblante, elle se rendit compte qu’elle ne pourrait pas encore faire cela. Pas tout de suite. Il ne restait plus qu’un mètre entre l’homme et elle. Elle ne le tuerait pas. Toutefois elle pouvait se servir des connaissances de l’ancienne Sara en anatomie pour taper là où il ne mourrait pas.
It longs to kill you (c’est trop long de te tuer)
Elle avança d’un pas plus rapide et l’homme plongea sa main dans son pardessus. Une bonne dose de volonté et l’adrénaline faisant le reste, elle le frappa d’un coup sec. Il ne poussa même pas un cri.
Are you willing to die? (es-tu disposé à mourir?)
Du sang dégoulina un tout petit peu sur ses doigts… Rapidement, Sara se retourna, se dirigea et monta dans le bus sans voir l’homme s’effondrer dans son dos.
The coldest blood runs through my veins (le sang froid courant à travers mes veines)
Assise dans le bus, elle songea qu’elle n’avait aucun remord à ce qu’elle venait de faire. Il le méritait. Ils le méritaient tous.
You know my name (tu sais mon nom)
La nouvelle Sara poursuivait un unique but : survivre et se venger.
Dernière édition par le Lun 11 Déc - 20:30, édité 1 fois
elidria- Admis à l'infirmerie
- Nombre de messages : 85
Age : 39
Localisation : dans un hamac à Baja...
Date d'inscription : 24/10/2006
Re: Collaboration Niccki et Elidria
suite parce que cela tenait pas tout dans la page...
Près d’Albuquerque. Nouveau Mexique.
Etre allongé sur ce sol, à moitié agonisant ne le dérangeait pas vraiment. La douleur non plus d’ailleurs, cela faisait longtemps qu’il ne la ressentait plus. Il ne ressentait plus rien depuis bien longtemps, c’était quelque chose auquel il s’était habitué. Alexander Mahone savait exactement le moment précis où sa capacité à avoir des émotions avait disparue.
If you come inside things will not be the same (si tu rentres à l’intérieur, les choses ne seront plus les mêmes)
When you return to the night (Quand tu reviens de la nuit)
Il faisait nuit et il venait de tuer Oscar Shales. Il était entrain de creuser dans son jardin pour pouvoir enterrer un mort. Et maintenant à cause de Michael Scofield et de son ancienne capacité à travailler en équipe, il se trouvait sur le sol de ce tunnel avec un trou dans l’épaule.
Pour tout autre être humain, frôler la mort l’ aurait amené à reconsidérer sa vie, à se remettre en question. Alors qu’il sentait s’échapper le sang de sa blessure, Mahone n’avait qu’une seule envie : ne pas laisser Scofield gagner et buter accessoirement Kellerman.
And if you think you've won (et si tu penses que tu as gagné)
Il entendait déjà les pas des autres policiers. Dans quelques heures, il serait près à traquer et poursuivre. Il en finirait avec tout cela et pourrait enfin retourner à sa vie d’avant. C’était un engagement qu’il venait de prendre envers lui-même. Il savait que Michael Scofield ne ressortirait jamais vivant de cette traque, seulement cette fois-ci il jura devant Dieu que l’ancien détenu mourra dans d’atroces souffrances…
You never saw me change (tu ne me verras jamais changé)
The game that we all been playing (ce jeu que nous jouons tous)
***************************************************************************
Près de la frontière Canadienne. Station Service.
I've seen diamonds cut through harder men (j’ai vu des diamans coupés des hommes bien plus durs)
Than you yourself (y compris toi)
La première fois qu’il avait paniqué, il avait 6 ans. Il venait de mettre le feu accidentellement à la poubelle de son père. LJ s’attendait à ce qu’il soit puni. Il avait tellement peur qu’il avait sangloté un long moment. Tout ce que son père avait fait, c’était de l’avoir serrer fort dans ses bras et de lui avoir murmurer qu’il avait eu autant peur que lui.
La deuxième fois qu’il avait paniqué, il avait 11 ans. Sa mère venait juste de lui présenter son nouveau copain. Il ne voulait pas de ce deuxième père. Il voulait que son père Lincoln Burrows vienne habiter chez lui avec lui et sa mère. Il le voulait tellement fort qu’il avait même demander au père Noël de réaliser son souhait alors qu’il n’y croyait plus depuis longtemps.
La troisième fois qu’il avait vraiment paniqué, il avait 13 ans. Il venait juste de dire adieu à sa virginité et avait appris dans la même journée que son père était en prison pour assassinat.
La quatrième fois, la panique s’était transformé en terreur, il avait 16 ans et venait juste de découvrir sa mère morte, baignant dans son sang. Il devait fuir de chez lui parce qu’on voulait le tuer, tout cela à cause de son père.
Quelque jours plus tard, la terreur s’était mutée en une peur irascible de voir tout ce qui l’entourait disparaître, il avait toujours 16 ans. Un homme l’avait enfermé dans un placard sans qu’il puisse sauver Veronica, il avait essayé de tuer l’assassin de sa mère, il était aller en prison pour cela et avait retrouvé son père libre et découvert l’existence de son grand-père.
Pour tout adolescent normalement constituer, vivre de pareils évènements l’aurait brisé. Pas pour LJ Burrows.
But if you must pretend (mais si tu y prétends)
You may meet your end (tu peux rencontrer ta fin)
Cela en était finit de la panique, il n’avait pas le temps pour cela. Son père l’avait encore une fois lâché, et il était en route pour le Canada avec une femme qu’il ne connaissait pas et qui pendant tout le trajet jusque dans cette station service ne lui avait décroché qu’une seule phrase.
Il savait que son père ne l’avait pas vraiment abandonné, il voulait qu’il soit en sécurité. Seulement voilà il ne faisait pas confiance à son chauffeur pour prendre soin de lui, la preuve étant qu’elle n’avait pas remarqué le type louche qui traînait deux rayons plus loin.
Il devait s’occuper lui-même de ce gars. Prévenir Jane ne servait à rien, ils se feraient repérer et probablement tuer. Son père lui avait toujours dit qu’il fallait qu’il fasse face à ses peurs. Il allait s’occuper de ces monstres tout seul.
Arm yourself because no-one else here will save you (Armes-toi toi même parce que personne d’autre ne sera là pour te sauver)
LJ longea le rayon des paquets de chips et le contourna en direction des toilettes tout en regardant par dessus son épaule si le gars le suivait encore. Le type se dirigeait vers lui.
LJ rentra dans les toilettes pour homme et se planqua derrière la porte. Avec un peu de chance, il l’assommerait et se tirerait d’ici sain et sauf.
The odds will betray you (la chance te trahira)
Le gars poussa la porte et LJ lui asséna un coup de poing sur la nuque. Le type vacilla mais ne s’effondra pas. Il se retourna en direction d’LJ.
And I will replace you ( et je te remplacerai)
Tout cela n’avait rien à voir avec la chance. LJ se rendit compte qu’il luttait pour sa survie. Il savait qu’il était capable de se protéger, de mettre une raclée à ce gars, rien qu’en imaginant ce qu’ils avaient fait à sa mère et son beau-père.
You can't deny the prize it may never fulfill you ( tu ne peux pas nier le prix que tu n’as jamais accompli)
Tuer ce type ne ramènera pas sa mère. LJ lui balança un crochet du gauche. Le gars le ceintura à la taille et le plaqua contre le mur.
It longs to kill you (c’est trop long de te tuer)
LJ n’arrivait plus à bouger et le gars sortait un flingue avec un silencieux de la poche de son manteaux. Il ne voulait pas mourir ici dans les toilettes pour homme d’une station d’autoroute pourrie.
Are you willing to die? (es-tu disposé à mourir?)
Du sang coulait un peu au coin de ses lèvres. Il essaya d’attraper le flingue avant que le gars ne le pointe sur lui. Puis le reste devint flou. Il savait juste qu’une seconde plus tard le type était étendu par terre avec une marre de sang qui commençait à s’étendre en dessous de lui.
Un sentiment de panique commença à l’envahir mais il le chassa rapidement. Il fallait qu’il garde la tête froide. Il regarda ses mains empreintes du sang de l’inconnu.
The coldest blood runs through my veins (le sang froid courant à travers mes veines)
L’adrénaline aidant, il réussit à sortir de sa léthargie pour pousser la porte des toilettes en direction de l’intérieur du magasin.
You know my name (tu sais mon nom)
Il était LJ Burrows, fils de Lincoln Burrows, ancien prisonnier du couloir de la mort et tout récemment évadé de Foxriver, prison de haute sécurité.
Try to hide your hand (essayes de cacher ta main)
Il camoufla ses mains dans ses poches et se dirigea rapidement vers Jane qui était à la caisse.
Il ne devait pas agir comme un meurtrier. Parce que c’est qu’il était maintenant un meurtrier…
Forget how to feel (oublie ce que tu ressens)
LJ : Il faut qu’on parte…
J: LJ ?
LJ: Maintenant. Il faut qu’on parte, maintenant...
Un échange de regard suffit à faire comprendre à Jane que quelque chose s’était passé et que ce n’était pas quelque chose de bon pour eux.
J : Ok, on y va…
Forget how to feel (oublie ce que tu ressens)
Alors qu’ils sortaient sur le parking, LJ laissa de nouveau la panique l’envahir. Il avait 16 ans et était un meurtrier. Sa vie ne serait plus jamais pareil, il avait porté le poids des actes de son père et maintenant il fallait qu’il fasse avec les siens.
Il songea ironiquement que la vie n’était rien d’autre qu’un instant fugace. En un instant, on perd ou on gagne.
Life is gone with just a spin of the wheel (la vie s’en va juste avec une rotation de la roue)
Spin of the wheel (une rotation de la roue)
Près d’Albuquerque. Nouveau Mexique.
Etre allongé sur ce sol, à moitié agonisant ne le dérangeait pas vraiment. La douleur non plus d’ailleurs, cela faisait longtemps qu’il ne la ressentait plus. Il ne ressentait plus rien depuis bien longtemps, c’était quelque chose auquel il s’était habitué. Alexander Mahone savait exactement le moment précis où sa capacité à avoir des émotions avait disparue.
If you come inside things will not be the same (si tu rentres à l’intérieur, les choses ne seront plus les mêmes)
When you return to the night (Quand tu reviens de la nuit)
Il faisait nuit et il venait de tuer Oscar Shales. Il était entrain de creuser dans son jardin pour pouvoir enterrer un mort. Et maintenant à cause de Michael Scofield et de son ancienne capacité à travailler en équipe, il se trouvait sur le sol de ce tunnel avec un trou dans l’épaule.
Pour tout autre être humain, frôler la mort l’ aurait amené à reconsidérer sa vie, à se remettre en question. Alors qu’il sentait s’échapper le sang de sa blessure, Mahone n’avait qu’une seule envie : ne pas laisser Scofield gagner et buter accessoirement Kellerman.
And if you think you've won (et si tu penses que tu as gagné)
Il entendait déjà les pas des autres policiers. Dans quelques heures, il serait près à traquer et poursuivre. Il en finirait avec tout cela et pourrait enfin retourner à sa vie d’avant. C’était un engagement qu’il venait de prendre envers lui-même. Il savait que Michael Scofield ne ressortirait jamais vivant de cette traque, seulement cette fois-ci il jura devant Dieu que l’ancien détenu mourra dans d’atroces souffrances…
You never saw me change (tu ne me verras jamais changé)
The game that we all been playing (ce jeu que nous jouons tous)
***************************************************************************
Près de la frontière Canadienne. Station Service.
I've seen diamonds cut through harder men (j’ai vu des diamans coupés des hommes bien plus durs)
Than you yourself (y compris toi)
La première fois qu’il avait paniqué, il avait 6 ans. Il venait de mettre le feu accidentellement à la poubelle de son père. LJ s’attendait à ce qu’il soit puni. Il avait tellement peur qu’il avait sangloté un long moment. Tout ce que son père avait fait, c’était de l’avoir serrer fort dans ses bras et de lui avoir murmurer qu’il avait eu autant peur que lui.
La deuxième fois qu’il avait paniqué, il avait 11 ans. Sa mère venait juste de lui présenter son nouveau copain. Il ne voulait pas de ce deuxième père. Il voulait que son père Lincoln Burrows vienne habiter chez lui avec lui et sa mère. Il le voulait tellement fort qu’il avait même demander au père Noël de réaliser son souhait alors qu’il n’y croyait plus depuis longtemps.
La troisième fois qu’il avait vraiment paniqué, il avait 13 ans. Il venait juste de dire adieu à sa virginité et avait appris dans la même journée que son père était en prison pour assassinat.
La quatrième fois, la panique s’était transformé en terreur, il avait 16 ans et venait juste de découvrir sa mère morte, baignant dans son sang. Il devait fuir de chez lui parce qu’on voulait le tuer, tout cela à cause de son père.
Quelque jours plus tard, la terreur s’était mutée en une peur irascible de voir tout ce qui l’entourait disparaître, il avait toujours 16 ans. Un homme l’avait enfermé dans un placard sans qu’il puisse sauver Veronica, il avait essayé de tuer l’assassin de sa mère, il était aller en prison pour cela et avait retrouvé son père libre et découvert l’existence de son grand-père.
Pour tout adolescent normalement constituer, vivre de pareils évènements l’aurait brisé. Pas pour LJ Burrows.
But if you must pretend (mais si tu y prétends)
You may meet your end (tu peux rencontrer ta fin)
Cela en était finit de la panique, il n’avait pas le temps pour cela. Son père l’avait encore une fois lâché, et il était en route pour le Canada avec une femme qu’il ne connaissait pas et qui pendant tout le trajet jusque dans cette station service ne lui avait décroché qu’une seule phrase.
Il savait que son père ne l’avait pas vraiment abandonné, il voulait qu’il soit en sécurité. Seulement voilà il ne faisait pas confiance à son chauffeur pour prendre soin de lui, la preuve étant qu’elle n’avait pas remarqué le type louche qui traînait deux rayons plus loin.
Il devait s’occuper lui-même de ce gars. Prévenir Jane ne servait à rien, ils se feraient repérer et probablement tuer. Son père lui avait toujours dit qu’il fallait qu’il fasse face à ses peurs. Il allait s’occuper de ces monstres tout seul.
Arm yourself because no-one else here will save you (Armes-toi toi même parce que personne d’autre ne sera là pour te sauver)
LJ longea le rayon des paquets de chips et le contourna en direction des toilettes tout en regardant par dessus son épaule si le gars le suivait encore. Le type se dirigeait vers lui.
LJ rentra dans les toilettes pour homme et se planqua derrière la porte. Avec un peu de chance, il l’assommerait et se tirerait d’ici sain et sauf.
The odds will betray you (la chance te trahira)
Le gars poussa la porte et LJ lui asséna un coup de poing sur la nuque. Le type vacilla mais ne s’effondra pas. Il se retourna en direction d’LJ.
And I will replace you ( et je te remplacerai)
Tout cela n’avait rien à voir avec la chance. LJ se rendit compte qu’il luttait pour sa survie. Il savait qu’il était capable de se protéger, de mettre une raclée à ce gars, rien qu’en imaginant ce qu’ils avaient fait à sa mère et son beau-père.
You can't deny the prize it may never fulfill you ( tu ne peux pas nier le prix que tu n’as jamais accompli)
Tuer ce type ne ramènera pas sa mère. LJ lui balança un crochet du gauche. Le gars le ceintura à la taille et le plaqua contre le mur.
It longs to kill you (c’est trop long de te tuer)
LJ n’arrivait plus à bouger et le gars sortait un flingue avec un silencieux de la poche de son manteaux. Il ne voulait pas mourir ici dans les toilettes pour homme d’une station d’autoroute pourrie.
Are you willing to die? (es-tu disposé à mourir?)
Du sang coulait un peu au coin de ses lèvres. Il essaya d’attraper le flingue avant que le gars ne le pointe sur lui. Puis le reste devint flou. Il savait juste qu’une seconde plus tard le type était étendu par terre avec une marre de sang qui commençait à s’étendre en dessous de lui.
Un sentiment de panique commença à l’envahir mais il le chassa rapidement. Il fallait qu’il garde la tête froide. Il regarda ses mains empreintes du sang de l’inconnu.
The coldest blood runs through my veins (le sang froid courant à travers mes veines)
L’adrénaline aidant, il réussit à sortir de sa léthargie pour pousser la porte des toilettes en direction de l’intérieur du magasin.
You know my name (tu sais mon nom)
Il était LJ Burrows, fils de Lincoln Burrows, ancien prisonnier du couloir de la mort et tout récemment évadé de Foxriver, prison de haute sécurité.
Try to hide your hand (essayes de cacher ta main)
Il camoufla ses mains dans ses poches et se dirigea rapidement vers Jane qui était à la caisse.
Il ne devait pas agir comme un meurtrier. Parce que c’est qu’il était maintenant un meurtrier…
Forget how to feel (oublie ce que tu ressens)
LJ : Il faut qu’on parte…
J: LJ ?
LJ: Maintenant. Il faut qu’on parte, maintenant...
Un échange de regard suffit à faire comprendre à Jane que quelque chose s’était passé et que ce n’était pas quelque chose de bon pour eux.
J : Ok, on y va…
Forget how to feel (oublie ce que tu ressens)
Alors qu’ils sortaient sur le parking, LJ laissa de nouveau la panique l’envahir. Il avait 16 ans et était un meurtrier. Sa vie ne serait plus jamais pareil, il avait porté le poids des actes de son père et maintenant il fallait qu’il fasse avec les siens.
Il songea ironiquement que la vie n’était rien d’autre qu’un instant fugace. En un instant, on perd ou on gagne.
Life is gone with just a spin of the wheel (la vie s’en va juste avec une rotation de la roue)
Spin of the wheel (une rotation de la roue)
Dernière édition par le Lun 11 Déc - 20:35, édité 1 fois
elidria- Admis à l'infirmerie
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Re: Collaboration Niccki et Elidria
Un seul mot , Superbe !
J'adore ,continuez comme sa les filles !!
J'adore ,continuez comme sa les filles !!
juliie- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Collaboration Niccki et Elidria
Tout simplement wwwwwhhhhhaaaaaaaaaaaaaaooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhhhhhh l'écriture est vraiment géniale, un style complètement différent, j'adore
Pauline- Kellerman my friend!
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Re: Collaboration Niccki et Elidria
que dire de ce debut????
je peux plus attendre
c'est tellement bien ecrit
je peux plus attendre
c'est tellement bien ecrit
Re: Collaboration Niccki et Elidria
J'adore. Petit truc qui me gêne, les paroles de musiques qui se fondent avec les dialogues
Re: Collaboration Niccki et Elidria
Oui je sais, il faut que je les mette en italique mais je suis dans ma période feignante....
Elidria qui râle... Suis grognon en plus!
Bon Fish : je les ai mis en italique c'est mieux? Niccki tu vas être à la hauteur et désolé d'avoir mis une pagaille pareille!
Pauline, qu'est ce que t'entend par une écriture différente?
Elidria qui râle... Suis grognon en plus!
Bon Fish : je les ai mis en italique c'est mieux? Niccki tu vas être à la hauteur et désolé d'avoir mis une pagaille pareille!
Pauline, qu'est ce que t'entend par une écriture différente?
Dernière édition par le Lun 11 Déc - 20:44, édité 2 fois
elidria- Admis à l'infirmerie
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Collaboration Nickki et Elidria
WOWWW!!!! Je viens de rentrer du bahut et de lire la suite d'Elidria (elle m'avait fait lire un bout du premier chapitre) et WOOOOWWW!!!! C'est vraiment excellent!!!!!! My God!! Vais-je être à la hauteur???
Il me faudra un peu de temps pour penser et écrire la suite!
Mais je vous promets une suite bientôt^^
Il me faudra un peu de temps pour penser et écrire la suite!
Mais je vous promets une suite bientôt^^
Nickki- Retrouve Steadman
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Localisation : Là où il n'y a aucun problème ...
Date d'inscription : 10/10/2006
Re: Collaboration Niccki et Elidria
elidria a écrit:Pauline, qu'est ce que t'entend par une écriture différente?
C'est lié aux répétitions, aux morceaux de chansons intégrés à la fic; je trouve ça vraiment génial, les répétitions rendent l'écriture plus "forte", en tout cas, c'est magnifique vivement la suite de Nickki
Pauline- Kellerman my friend!
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Re: Collaboration Niccki et Elidria
Non non, inutile d'être désolée!! Cc'est normal, tu as raconté le parcours de chaque personnage...
Il me faudra juste un peu de time pour cogiter sur la suite, genre pas faire un truc à la va-vite juste pour dire que j'ai pondu une suite quoi!! Je veux faire honneur à l'artiste que tu es Elidria^^
Bref, je m'y met très vite, je vais déjà commencer à y penser...
Il me faudra juste un peu de time pour cogiter sur la suite, genre pas faire un truc à la va-vite juste pour dire que j'ai pondu une suite quoi!! Je veux faire honneur à l'artiste que tu es Elidria^^
Bref, je m'y met très vite, je vais déjà commencer à y penser...
Nickki- Retrouve Steadman
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Localisation : Là où il n'y a aucun problème ...
Date d'inscription : 10/10/2006
Re: Collaboration Niccki et Elidria
et ben ca promet vivement la suite
lizevans- A la recherche de Bolshoi Booze
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Re: Collaboration Niccki et Elidria
S'est super les filles, bravo
Vive la suite
Vive la suite
Lydwine- Membre de la thérapie avec Sara
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Re: Collaboration Niccki et Elidria
J'avoue, c'est superbe .
La qualité du texte, de l'écriture est excellent et sûrement meilleur que s'il avait été fait en solo. Bravo les filles !
Sur ce, je m'en vais également continuer ma fic ...
La qualité du texte, de l'écriture est excellent et sûrement meilleur que s'il avait été fait en solo. Bravo les filles !
Sur ce, je m'en vais également continuer ma fic ...
Invité- Invité
Re: Collaboration Niccki et Elidria
Heeeeuuuuuuuuu!!!!!!!!! Désolé Milie 87 mais c'est moi toute seule qui l'es écrite cette partie...La prochaine partie reviendra à Niccki...
Rendons ce qui est à César, à César!
Rendons ce qui est à César, à César!
elidria- Admis à l'infirmerie
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Localisation : dans un hamac à Baja...
Date d'inscription : 24/10/2006
Re: Collaboration Niccki et Elidria
Vraiment superbe!!!!
J'adore ce style d'écriture tu es vraiment une artiste Elidria!
Et Nickki je suis certaine que ta suite sera à la hauteur car tu écris toi aussi trèèèèèès bien!! En tout cas c'est vraiment génial ce projet à deux!! Bravo les filles!!!
J'adore ce style d'écriture tu es vraiment une artiste Elidria!
Et Nickki je suis certaine que ta suite sera à la hauteur car tu écris toi aussi trèèèèèès bien!! En tout cas c'est vraiment génial ce projet à deux!! Bravo les filles!!!
mickara- Parti au secours de Sara
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Date d'inscription : 19/10/2006
Re: Collaboration Niccki et Elidria
Nnnnoooooelidria a écrit:Heeeeuuuuuuuuu!!!!!!!!! Désolé Milie 87 mais c'est moi toute seule qui l'es écrite cette partie...La prochaine partie reviendra à Niccki...
Rendons ce qui est à César, à César!
Mille pardons ! Bo, et bien dans ce cas, félicitations pour ce chapitre écrit en solo^^ *comment tenter vainement de sa rattrapper*
Aie, aie, so sorry ...
Invité- Invité
Re: Collaboration Niccki et Elidria
C'est pas grave! J'étais pas très claire au début avec mes explications...
Milie87 a écrit:
Tu veux m'écrire un drabble misa?
Vais passer pour le dictateur des fanfics misa, si ça continue!
Milie87 a écrit:
*comment tenter vainement de sa rattrapper*
Tu veux m'écrire un drabble misa?
Vais passer pour le dictateur des fanfics misa, si ça continue!
elidria- Admis à l'infirmerie
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Localisation : dans un hamac à Baja...
Date d'inscription : 24/10/2006
Re: Collaboration Niccki et Elidria
Vous me faites trop rire!!! Le premier chapitre d'Elidria est vraiment une pure merveille ( <---- genre j'étais comme ça quand je l'ai lu) et je vais me mettre à écrire la suite after quelques mises au point avec L'Artiste (THE surnom!! ) Genre vous savez pour ne pas que je fasse totalement l'inverse de ce qu'elle pensait... On se consulte mutuellement!)
Sur ce...Merci pour le compliment Mickara!!!
Sur ce...Merci pour le compliment Mickara!!!
Nickki- Retrouve Steadman
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Localisation : Là où il n'y a aucun problème ...
Date d'inscription : 10/10/2006
Re: Collaboration Niccki et Elidria
Bah écoute ça ne me dérange point ^^ I love writing M&S drabbles !elidria a écrit:Tu veux m'écrire un drabble misa?
J'attends avec impatience la partie de Nickki
Invité- Invité
Re: Collaboration Niccki et Elidria
Nickki a écrit:
Sur ce...Merci pour le compliment Mickara!!!
Mais de rien! Je suis impatiente de lire ta suite!
mickara- Parti au secours de Sara
- Nombre de messages : 537
Age : 33
Localisation : En ballade sur l'Ile Mouton...
Date d'inscription : 19/10/2006
Re: Collaboration Niccki et Elidria
Magnifique Elidria. J'adhère du début a la fin. Splendide. J'ai hâte de lire le deuxieme round !
AcTerre- Rendez vous avec le Coyote...
- Nombre de messages : 748
Age : 41
Localisation : Cannes
Date d'inscription : 25/10/2006
Re: Collaboration Niccki et Elidria
j' adore
le debut de la fic
vite
la suite S T P . S T P
le debut de la fic
vite
la suite S T P . S T P
virginie- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1565
Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: Collaboration Niccki et Elidria
fantastique, j'adore!!!!!
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 474
Age : 46
Localisation : Dans les bras de Wentworth
Date d'inscription : 10/11/2006
Re: Collaboration Niccki et Elidria
WHOO !!!!!!!!!!!!! SUPERRRRRR !!!!!!!!!!!!
Je suis impatiente de lire toutes les suites !!!!! A deux en plus c'est plus original !!!! mélange de style super interessant !!!
allez trouver des idées ! lol
Je suis impatiente de lire toutes les suites !!!!! A deux en plus c'est plus original !!!! mélange de style super interessant !!!
allez trouver des idées ! lol
Malika- Compagnon de Cellule de Michael
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Date d'inscription : 25/11/2006
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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