pensées...et si
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scofieldtancredi
Islemmedemars
zaza21
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: pensées...et si
https://www.youtube.com/watch?v=F_bMFVDu9yo
Les erreurs sont les portes de la découverte.
James Joyce
Elle sait. C’est comme un hurlement dans ses entrailles. Elle sait, de cette certitude absolue, inébranlable et terriblement douloureuse.
Elle n’a jamais vraiment cru à ces histoires d’âme sœur, de destinées vouées à se rencontrer à travers les âges et les vies. Mais à cet instant pendant que son regard est noyé dans l’azur des yeux de cet homme, elle a la conviction que c’est LUI. Cette impression légendaire de l’avoir toujours connu, d’être une partie de lui.
Aucune niaiserie dans ses pensées, aucun mélodramatisme à l’eau de rose, juste une certitude quasi mathématique qui s’impose à elle.
Aussi clairement qu’elle le regarde elle sait qu’il n’y aura pas de jeu de séduction, de phase intermédiaire. On n’apprivoise pas une partie de soi.
As times goes by, « comme le temps passe », chantait Sam, le pianiste du Rick's Bar, dans Casablanca.
Oui Casablanca. Ilsa retrouve Rick dans un café de Chicago qui s’habille aujourd’hui du décor somptueux du Rick’s Bar à ses yeux.
Se lever pour le rejoindre lui parait la chose la plus naturelle, mais elle sait qu’il viendra et elle attend qu’il rassemble ses forces en prenant soin de ne pas briser l’enchantement de cette fusion visuelle.
Et…pendant qu’il s’avance vers elle, comme le déploiement d’un éventail, une multitude de sentiments apparaissent. Des éclairs de bonheur, une douleur intense, un sentiment de trahison, la haine, la peur dans toute sa splendeur, celle qui empêche de dormir et cet espoir si faible et si puissant à la fois qu’il nous fait avancer, qu’il nous fait repousser nos limites. Comment ressentir tout cela sans imploser, sans vouloir s’extirper de son propre corps. Non il ne peut s’agir d’elle.
Et pourtant…
Ces images floues qui défilent devant elle, c’est elle. C’est elle qui tient cette seringue, elle encore qui sourit devant cette fleur en papier, elle qui ouvre cette porte, sa tête qui est plongé dans cette baignoire, sa main qui tient cette clé, ses yeux vides qui observent le couteau sur sa gorge cette voix qui murmure avec désespoir : « je t’aime…
-michael…
-bonsoir Sarah
Le décor autour d’eux s’estompe. Il ne reste que ces deux êtres que le destin a tourmenté pour réunir dans un café quelconque.
-j’aurais aimé pouvoir te dire que tu n’aurais jamais du venir.
-j’aurais aimé pouvoir le faire…
Michael s’assoit face à elle. Le silence prend place sur le siège vide. Il est accompagné du poids des souvenirs qui n’ont jamais existé dans cette vie. Il porte le lourd fardeau des non-dits, des remords, des regrets, des erreurs, des trahisons et de ce quelque chose en plus qui rend cet instant sublime et triste à la fois.
-laisse moi tout recommencer. Laisse moi faire comme si ce n’était pas difficile…comme si je ne t’avais jamais fait pleurer.
Elle sourit. Un mélange de rictus amer et d’expression d’attendrissement.
Oui c’était bel et bien lui. L’homme qui l’avait fait mourir mil fois sans qu’elle ne puisse lui en vouloir.
-je me suis souvent demandé comment tu aurais fait…lui dit elle en regardant autour d’elle.
Il sourit…il avait compris.
-vous avez 5 min bel étranger.
Avant de se lever, il se retourne et la regarde dans les yeux avant de murmurer…
-tu es sur Sarah ? Peut être est ce une erreur…
- Les erreurs sont les portes de la découverte….
Les erreurs sont les portes de la découverte.
James Joyce
Elle sait. C’est comme un hurlement dans ses entrailles. Elle sait, de cette certitude absolue, inébranlable et terriblement douloureuse.
Elle n’a jamais vraiment cru à ces histoires d’âme sœur, de destinées vouées à se rencontrer à travers les âges et les vies. Mais à cet instant pendant que son regard est noyé dans l’azur des yeux de cet homme, elle a la conviction que c’est LUI. Cette impression légendaire de l’avoir toujours connu, d’être une partie de lui.
Aucune niaiserie dans ses pensées, aucun mélodramatisme à l’eau de rose, juste une certitude quasi mathématique qui s’impose à elle.
Aussi clairement qu’elle le regarde elle sait qu’il n’y aura pas de jeu de séduction, de phase intermédiaire. On n’apprivoise pas une partie de soi.
As times goes by, « comme le temps passe », chantait Sam, le pianiste du Rick's Bar, dans Casablanca.
Oui Casablanca. Ilsa retrouve Rick dans un café de Chicago qui s’habille aujourd’hui du décor somptueux du Rick’s Bar à ses yeux.
Se lever pour le rejoindre lui parait la chose la plus naturelle, mais elle sait qu’il viendra et elle attend qu’il rassemble ses forces en prenant soin de ne pas briser l’enchantement de cette fusion visuelle.
Et…pendant qu’il s’avance vers elle, comme le déploiement d’un éventail, une multitude de sentiments apparaissent. Des éclairs de bonheur, une douleur intense, un sentiment de trahison, la haine, la peur dans toute sa splendeur, celle qui empêche de dormir et cet espoir si faible et si puissant à la fois qu’il nous fait avancer, qu’il nous fait repousser nos limites. Comment ressentir tout cela sans imploser, sans vouloir s’extirper de son propre corps. Non il ne peut s’agir d’elle.
Et pourtant…
Ces images floues qui défilent devant elle, c’est elle. C’est elle qui tient cette seringue, elle encore qui sourit devant cette fleur en papier, elle qui ouvre cette porte, sa tête qui est plongé dans cette baignoire, sa main qui tient cette clé, ses yeux vides qui observent le couteau sur sa gorge cette voix qui murmure avec désespoir : « je t’aime…
-michael…
-bonsoir Sarah
Le décor autour d’eux s’estompe. Il ne reste que ces deux êtres que le destin a tourmenté pour réunir dans un café quelconque.
-j’aurais aimé pouvoir te dire que tu n’aurais jamais du venir.
-j’aurais aimé pouvoir le faire…
Michael s’assoit face à elle. Le silence prend place sur le siège vide. Il est accompagné du poids des souvenirs qui n’ont jamais existé dans cette vie. Il porte le lourd fardeau des non-dits, des remords, des regrets, des erreurs, des trahisons et de ce quelque chose en plus qui rend cet instant sublime et triste à la fois.
-laisse moi tout recommencer. Laisse moi faire comme si ce n’était pas difficile…comme si je ne t’avais jamais fait pleurer.
Elle sourit. Un mélange de rictus amer et d’expression d’attendrissement.
Oui c’était bel et bien lui. L’homme qui l’avait fait mourir mil fois sans qu’elle ne puisse lui en vouloir.
-je me suis souvent demandé comment tu aurais fait…lui dit elle en regardant autour d’elle.
Il sourit…il avait compris.
-vous avez 5 min bel étranger.
Avant de se lever, il se retourne et la regarde dans les yeux avant de murmurer…
-tu es sur Sarah ? Peut être est ce une erreur…
- Les erreurs sont les portes de la découverte….
zaza21- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 20
Date d'inscription : 21/04/2008
Re: pensées...et si
j'ai tout lu et ben wouahouuuuuu!!!!
je veu la suiiiiiiiiiiiiite!!!
tu cartonnes
je veu la suiiiiiiiiiiiiite!!!
tu cartonnes
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 492
Age : 34
Date d'inscription : 26/12/2007
Re: pensées...et si
choupine a écrit:j'ai tout lu et ben wouahouuuuuu!!!!
je veu la suiiiiiiiiiiiiite!!!
tu cartonnes
La suite!!!!!!
Re: pensées...et si
sublime suite et très bien écrite, je l'ai lu avec tellement de plaisir que je veux LA SUITE
est ce qu'ils vont réussir à tout mettre de côté et recommencer "à zéro"
est ce qu'ils vont réussir à tout mettre de côté et recommencer "à zéro"
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3830
Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
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