Nothing's gonna come between us
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HANANE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Nothing's gonna come between us
Bon j'ai voulu essayer un petit OS MiSa (je vous sers le début) et puis la suite viendra aprés... enfin si ca plait... je pense faire 2 autres parties tout au plus... dans cette partie j'annonce plus le décor qu'autre chose..
bleu = pensées de Mike
rose =pensées de sara
Salle de réception, pendant le discours du Sénateur.
J’ai du mal à le croire mais, ce jour qu’on attendait tant Sara et moi, est enfin arrivé. Un jour que je lui avais promis. Je me souviens encore de l’expression de son visage, de sa main caressant ma tête avant d’y déposer un tendre baiser, après que je lui eu dit qu’un jour on laissera tous ca derrière nous et qu’on disparaitrait pour toujours avec le petit bateau.
Tout ce qu’on a vécu ces derniers mois furent les épreuves les plus difficiles qu’on eu à traverser. Retrouver les 5 autres porteurs de scylla, comprendre leur enjeu, infiltrer la compagnie et la faire tomber. Ma maladie et cette opération que je retardais alors que je me sentais de plus en plus mal. Et dans tout ça, pas facile de construire une relation seine. Sara avait déjà subit beaucoup trop de chose à cause de moi, mais la mort de Bruce et ce qu’on lui a fait, l’avaient totalement anéanti. Et si Cette mission lui avait permis un temps soit peu de dissimuler toute la rage qu’elle cumulait en elle, lui permettant en quelques sortes de penser à autres chose, je savais que ce serait difficile.
Chaque fois qu’elle était sur le point de craquer, je tentais tant bien que mal de la rassurer. Lui dire que tout irait bien. Mais je ressentais ca, comme un mensonge. Un terrible sentiment d’impuissance. Un échec. Je ne pouvais rien faire. Excepté cette même et difficile promesse. Un jour. Et même si je la savais fragile, c’est en elle que je parvenais à puiser ma force pour combattre la compagnie et nous rapprocher un peu plus de ce jour. Je devais juste préserver les apparences. Trompeuses. Juste pour la protéger.
Alors que j’étais plongé dans mes pensées, que les souvenirs de chacune de nos actions se fracassaient dans mon esprit, je fus interrompu et ramenait à la réalité. Sara me pressa la main avec force et douceur en même temps. Je caressais la sienne de mon pouce en guise de réponse tout en lui souriant. Je sentais la hâte qui se manifestait discrètement en elle, pour ce moment tant attendu. Aussi forte que la mienne.
Le discours du sénateur commençait sérieusement à s’éterniser et par la même, retarder notre départ pour le port ou le SS Minow nous y attendait. Il disait combien il était fier de ce que nous avons accompli. De notre courage. Notre bravoure. Mais savait-il vraiment ce que ça nous a coûté, j’en doute. Nous avons perdu des hommes durant cette quête de la vérité. Et pour moi, ça change tout. Je n’avais pas vraiment envie de venir écouter ces chimères, de recevoir une médaille. C’était la dernière chose qui comptait pour moi. J’étais loin de tout ça. Mais je devais être, on devait être la. Alors que je ne voyais plus la fin de cet interminable discours auquel je n’étais absolument pas connecté. Et Sara l’avait remarqué. Elle en riait. Je replongé instantanément dans mais rêveries après avoir sensuellement répondu à son sourire.
Ce matin quand je me suis réveillé, seul dans le bateau, j’ai cru que tout ce qui s’était passé jusque la, n’était qu’un rêve. J’aurais pu dire cauchemar, mais Sara en faisait partie. Et puis je la revoie descendre les marches une à une pour me retrouver.
Flash back
- Eh mais t’es pas encore levé, nous allons être en retard…
Je la regarde et lui sourit, elle comprend immédiatement que je n’ai guerre envie d’y aller, mais ce n’est pas comme ça que je l’aurais. Elle s’approcha de moi, s’assit au bord du lit et me tapota gentiment l’épaule, m’ordonnant de me dépêcher. Le regard plus que sérieux. Mais moi j’interprétais cela autrement. Plus vite on y sera et plus vite on se retrouvera seuls tous les deux dans notre petit bateau.
- Ok, ok, je me dépêche.
- Presse-toi, on est les derniers, les autres sont déjà partis.
Après quelques minutes à l’admirer se pavanant dans ce petit espace, je finis par me lever et me préparer afin de plus perdre une seule minute. Même si j’aurais préféré prendre le large avec elle sur le champ.
Fin du flash back
Cette façon qu’il a de me regarder me fait tressaillir comme quand il me touche. Ce sourire qu’il m’accorde, me fait frémir de plaisir comme quand il scelle ses lèvres aux miennes et m’embrasse fougueusement. J’aimerais qu’il embrasse fougueusement, la tout de suite. Mais je doute que le Sénateur apprécie cela.
J’ai envie de pourvoir me retrouver seule avec lui. J’ai envie de lui dire combien il m’a manqué tout ce temps. Pas de sa présence non. Mais plutôt de ses caresses, ses baisers, ses étreintes. J’aime quand il me prend dans ses bras. Je m’y sens en sécurité. Mais à chaque fois que je sentais le besoin de m’approcher de lui, de le toucher, le sentir ou tout simplement l’aimer comme il le mérite, quelque chose en moi, quelque chose de destructeur, me faisais me rétracter. Comme si ce que je m’apprêtais à faire, ne pouvais que le faire souffrir. Oh ! Combien j’aurais voulu réagir autrement face aux derniers événements parvenus.
Je crois, je crois juste que je n’étais pas prête pour ça. Trop de choses brouillaient mon esprit. Mais à présent je sais que je ne veux qu’une chose, m’éloigner de tout ça avec lui, seulement lui. Je sais qu’il nous reste encore un bon bout de chemin à faire ensemble avant de dire qu’on pourra vivre d’amour et d’eau fraiche. Je n’ai pas oubliais mon passé. N’y le sien. Et je sais que je n’y parviendrais qu’avec lui. Qu’après lui en avoir parlé. Qu’après lui avoir livré tous mes secrets aussi pénibles soient-ils. Mais pas toute suite. Je ne veux pour rien au monde gâcher ce merveilleux moment. Même si la situation ne s’y prête pas vraiment. Mais je suis avec lui, c’est déjà beaucoup.
« …C’est pour cette raison qu’aujourd’hui, je suis là. Pour leur dire merci pour tout ce qu’ils ont fait. Ce qu’ils ont apporté à l’Amérique. »
Voila ce qui me fit sortir de mes pensées, la dernière phrase que le Sénateur prononça et qui déclencha une avalanche d’applaudissements. Encore quelques instants parmi les invités. Quelques salutations et alors nous pourrons partir.
- Eh ca va ?
- Oh oui ca va. J’ai juste envie de…
- Partir ?
- Oui. Dit-elle en riant. Disons que ce genre de rassemblement, ce n’est pas vraiment ce que j’aime, ajouta-t-elle ensuite.
- Je sais. Moi non plus.
Si je n’étais pas en train de vivre ce jour, je n’y croirai pas. Je pouvais être englouti dans un de mes rêves, mais elle était plus réelle que jamais pour que ça soit cela. Et je ne rêvais pas. J’en étais certain. De nombreuse fois, j eus cru qu’elle était qu’une illusion, depuis que Lincoln m’avait dit qu’elle était m… Mais je ne serais pas là, si cela avait été le cas, et puis ce ne serait certainement pas un rêve.
La foule commençait à se dissiper un peu partout dans la salle. Les uns allant au bar pour se désaltérer. D’autres s’approchaient de nous, Lincoln, Mahone, Sucre Sara et moi, pour nous saluer, nous féliciter. D’autres encore restaient s à leur place à discuter de sujets qui n’avaient de rapport avec ce rassemblement.
Alors que mon regard se perdait dans tout la salle, Sara m’attrapa par le bras et fit glisser sa main jusqu’à la mienne. Je l’a serrait un instant avant de la laisser partir.
- Je reviens tout de suite dit-elle.
Quelques minutes plus tard, c’est moi qui quittais mon frère, Sucre et Alex, pour la rejoindre. A cet instant, je ne savais pas si, elle avait besoin d’un petit moment pour nous deux ou si elle voulait partir tout de suite.
Le soleil brille, les oiseaux chantent, la vu d’ici est imprenable. Ce jour est tout bonnement magique. Alors que je me perds dans ce magnifique paysage depuis le balcon, je sens deux mains passer autour de ma taille. Un sourire se dessine sur mes lèvres. Je frisonne. Michael.
- Tu veux qu’on s’en aille maintenant ?
- Ce ne serait pas bien…
- Je sais que tu en envie.
- Oui mais on ne peut p…
- Allons-y.
- On pourrait peut-être aller saluer…
- Non, partons maintenant.
Et nous partîmes tous les deux laissant les autres dans l’ignorance. Nous retrouvâmes notre petit bateau échappant au brouhaha de la fête. C'était vital. Être juste avec elle.
Cinq ans plus tard…
bleu = pensées de Mike
rose =pensées de sara
Salle de réception, pendant le discours du Sénateur.
J’ai du mal à le croire mais, ce jour qu’on attendait tant Sara et moi, est enfin arrivé. Un jour que je lui avais promis. Je me souviens encore de l’expression de son visage, de sa main caressant ma tête avant d’y déposer un tendre baiser, après que je lui eu dit qu’un jour on laissera tous ca derrière nous et qu’on disparaitrait pour toujours avec le petit bateau.
Tout ce qu’on a vécu ces derniers mois furent les épreuves les plus difficiles qu’on eu à traverser. Retrouver les 5 autres porteurs de scylla, comprendre leur enjeu, infiltrer la compagnie et la faire tomber. Ma maladie et cette opération que je retardais alors que je me sentais de plus en plus mal. Et dans tout ça, pas facile de construire une relation seine. Sara avait déjà subit beaucoup trop de chose à cause de moi, mais la mort de Bruce et ce qu’on lui a fait, l’avaient totalement anéanti. Et si Cette mission lui avait permis un temps soit peu de dissimuler toute la rage qu’elle cumulait en elle, lui permettant en quelques sortes de penser à autres chose, je savais que ce serait difficile.
Chaque fois qu’elle était sur le point de craquer, je tentais tant bien que mal de la rassurer. Lui dire que tout irait bien. Mais je ressentais ca, comme un mensonge. Un terrible sentiment d’impuissance. Un échec. Je ne pouvais rien faire. Excepté cette même et difficile promesse. Un jour. Et même si je la savais fragile, c’est en elle que je parvenais à puiser ma force pour combattre la compagnie et nous rapprocher un peu plus de ce jour. Je devais juste préserver les apparences. Trompeuses. Juste pour la protéger.
Alors que j’étais plongé dans mes pensées, que les souvenirs de chacune de nos actions se fracassaient dans mon esprit, je fus interrompu et ramenait à la réalité. Sara me pressa la main avec force et douceur en même temps. Je caressais la sienne de mon pouce en guise de réponse tout en lui souriant. Je sentais la hâte qui se manifestait discrètement en elle, pour ce moment tant attendu. Aussi forte que la mienne.
Le discours du sénateur commençait sérieusement à s’éterniser et par la même, retarder notre départ pour le port ou le SS Minow nous y attendait. Il disait combien il était fier de ce que nous avons accompli. De notre courage. Notre bravoure. Mais savait-il vraiment ce que ça nous a coûté, j’en doute. Nous avons perdu des hommes durant cette quête de la vérité. Et pour moi, ça change tout. Je n’avais pas vraiment envie de venir écouter ces chimères, de recevoir une médaille. C’était la dernière chose qui comptait pour moi. J’étais loin de tout ça. Mais je devais être, on devait être la. Alors que je ne voyais plus la fin de cet interminable discours auquel je n’étais absolument pas connecté. Et Sara l’avait remarqué. Elle en riait. Je replongé instantanément dans mais rêveries après avoir sensuellement répondu à son sourire.
Ce matin quand je me suis réveillé, seul dans le bateau, j’ai cru que tout ce qui s’était passé jusque la, n’était qu’un rêve. J’aurais pu dire cauchemar, mais Sara en faisait partie. Et puis je la revoie descendre les marches une à une pour me retrouver.
Flash back
- Eh mais t’es pas encore levé, nous allons être en retard…
Je la regarde et lui sourit, elle comprend immédiatement que je n’ai guerre envie d’y aller, mais ce n’est pas comme ça que je l’aurais. Elle s’approcha de moi, s’assit au bord du lit et me tapota gentiment l’épaule, m’ordonnant de me dépêcher. Le regard plus que sérieux. Mais moi j’interprétais cela autrement. Plus vite on y sera et plus vite on se retrouvera seuls tous les deux dans notre petit bateau.
- Ok, ok, je me dépêche.
- Presse-toi, on est les derniers, les autres sont déjà partis.
Après quelques minutes à l’admirer se pavanant dans ce petit espace, je finis par me lever et me préparer afin de plus perdre une seule minute. Même si j’aurais préféré prendre le large avec elle sur le champ.
Fin du flash back
Cette façon qu’il a de me regarder me fait tressaillir comme quand il me touche. Ce sourire qu’il m’accorde, me fait frémir de plaisir comme quand il scelle ses lèvres aux miennes et m’embrasse fougueusement. J’aimerais qu’il embrasse fougueusement, la tout de suite. Mais je doute que le Sénateur apprécie cela.
J’ai envie de pourvoir me retrouver seule avec lui. J’ai envie de lui dire combien il m’a manqué tout ce temps. Pas de sa présence non. Mais plutôt de ses caresses, ses baisers, ses étreintes. J’aime quand il me prend dans ses bras. Je m’y sens en sécurité. Mais à chaque fois que je sentais le besoin de m’approcher de lui, de le toucher, le sentir ou tout simplement l’aimer comme il le mérite, quelque chose en moi, quelque chose de destructeur, me faisais me rétracter. Comme si ce que je m’apprêtais à faire, ne pouvais que le faire souffrir. Oh ! Combien j’aurais voulu réagir autrement face aux derniers événements parvenus.
Je crois, je crois juste que je n’étais pas prête pour ça. Trop de choses brouillaient mon esprit. Mais à présent je sais que je ne veux qu’une chose, m’éloigner de tout ça avec lui, seulement lui. Je sais qu’il nous reste encore un bon bout de chemin à faire ensemble avant de dire qu’on pourra vivre d’amour et d’eau fraiche. Je n’ai pas oubliais mon passé. N’y le sien. Et je sais que je n’y parviendrais qu’avec lui. Qu’après lui en avoir parlé. Qu’après lui avoir livré tous mes secrets aussi pénibles soient-ils. Mais pas toute suite. Je ne veux pour rien au monde gâcher ce merveilleux moment. Même si la situation ne s’y prête pas vraiment. Mais je suis avec lui, c’est déjà beaucoup.
« …C’est pour cette raison qu’aujourd’hui, je suis là. Pour leur dire merci pour tout ce qu’ils ont fait. Ce qu’ils ont apporté à l’Amérique. »
Voila ce qui me fit sortir de mes pensées, la dernière phrase que le Sénateur prononça et qui déclencha une avalanche d’applaudissements. Encore quelques instants parmi les invités. Quelques salutations et alors nous pourrons partir.
- Eh ca va ?
- Oh oui ca va. J’ai juste envie de…
- Partir ?
- Oui. Dit-elle en riant. Disons que ce genre de rassemblement, ce n’est pas vraiment ce que j’aime, ajouta-t-elle ensuite.
- Je sais. Moi non plus.
Si je n’étais pas en train de vivre ce jour, je n’y croirai pas. Je pouvais être englouti dans un de mes rêves, mais elle était plus réelle que jamais pour que ça soit cela. Et je ne rêvais pas. J’en étais certain. De nombreuse fois, j eus cru qu’elle était qu’une illusion, depuis que Lincoln m’avait dit qu’elle était m… Mais je ne serais pas là, si cela avait été le cas, et puis ce ne serait certainement pas un rêve.
La foule commençait à se dissiper un peu partout dans la salle. Les uns allant au bar pour se désaltérer. D’autres s’approchaient de nous, Lincoln, Mahone, Sucre Sara et moi, pour nous saluer, nous féliciter. D’autres encore restaient s à leur place à discuter de sujets qui n’avaient de rapport avec ce rassemblement.
Alors que mon regard se perdait dans tout la salle, Sara m’attrapa par le bras et fit glisser sa main jusqu’à la mienne. Je l’a serrait un instant avant de la laisser partir.
- Je reviens tout de suite dit-elle.
Quelques minutes plus tard, c’est moi qui quittais mon frère, Sucre et Alex, pour la rejoindre. A cet instant, je ne savais pas si, elle avait besoin d’un petit moment pour nous deux ou si elle voulait partir tout de suite.
Le soleil brille, les oiseaux chantent, la vu d’ici est imprenable. Ce jour est tout bonnement magique. Alors que je me perds dans ce magnifique paysage depuis le balcon, je sens deux mains passer autour de ma taille. Un sourire se dessine sur mes lèvres. Je frisonne. Michael.
- Tu veux qu’on s’en aille maintenant ?
- Ce ne serait pas bien…
- Je sais que tu en envie.
- Oui mais on ne peut p…
- Allons-y.
- On pourrait peut-être aller saluer…
- Non, partons maintenant.
Et nous partîmes tous les deux laissant les autres dans l’ignorance. Nous retrouvâmes notre petit bateau échappant au brouhaha de la fête. C'était vital. Être juste avec elle.
Cinq ans plus tard…
Dernière édition par Islemmedemars le Jeu 18 Déc - 16:15, édité 7 fois
Re: Nothing's gonna come between us
j adore! michael est presse de prendre le large... on peut le comprendre. j espere que tu ne tardera pas a nous mettre une suite
cricri- Déchiffre l'origami
- Nombre de messages : 260
Age : 34
Date d'inscription : 13/01/2007
Re: Nothing's gonna come between us
Haaaaaaan mais c'est trop J'adore, c'est la version HAPPY END de la saison 4 !! Si seulement ça pouvait se passer comme ça
J'ai adoré, sérieux. Merci de m'avoir dit d'aller lire !!!
Nickki- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1061
Age : 35
Localisation : Là où il n'y a aucun problème ...
Date d'inscription : 10/10/2006
Re: Nothing's gonna come between us
MAGNIFIQUE
LA SUIIIIIIIIIIIIIIITE
LA SUIIIIIIIIIIIIIIITE
HANANE- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 16
Date d'inscription : 21/02/2008
Re: Nothing's gonna come between us
Nickki a écrit:
Haaaaaaan mais c'est trop J'adore, c'est la version HAPPY END de la saison 4 !! Si seulement ça pouvait se passer comme ça
J'ai adoré, sérieux. Merci de m'avoir dit d'aller lire !!!
est ce que je suis la seule à penser que 5 ans après ça va pas être du happy
en tout cas ce premer chapitre l'est à 100%
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3830
Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Nothing's gonna come between us
Ahhhhh J'veux une fin comme ça moua!!!!!
Trop bien ma Islemouuu Tu gère la fougère!!!!
Bravo bravo bravooo
Si tu veux faire une suite c'est pas de refus!!Lol!!
Trop bien ma Islemouuu Tu gère la fougère!!!!
Bravo bravo bravooo
Si tu veux faire une suite c'est pas de refus!!Lol!!
Re: Nothing's gonna come between us
j'ai adoré !
merci merci, très bel os...
j'aime bien leurs échanges silencieux, ça leur correspond vachement !
une suite, une suite !
merci merci, très bel os...
j'aime bien leurs échanges silencieux, ça leur correspond vachement !
une suite, une suite !
cend17- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1196
Date d'inscription : 01/01/2008
Re: Nothing's gonna come between us
Voici une tite suite...
rose : pensées de sara
Cinq ans plus tard…
Il n’y a que dans ses bras que je me sens bien. Que je revis. Il est mon oxygène, ma raison de vivre. Je ne sais vraiment pas ce que je ferais sans lui. C’est bien simple, désormais, je serais dans l’incapacité d’imaginé ma vie sans lui. Et quand je repense à ce que je j’étais quelques années plutôt, je remercie Dieu de l’avoir mis sur mon chemin.
Alors que je suis totalement perdue dans mes pensées, je sens son corps se coller au miens. Il écarte d’une douce caresse mes cheveux, pour y déposer un baiser sur mon cou. Ce qui me ramène à une toute autre rêverie encore plus belle que celle ou je m’étais volontairement égarée.
- C’est à moi que tu penses ?
- C’est si évident que ça ? Dis-je en souriant.
- Oui, me dit-il d’un ton fier et amusé.
- Et toi, est ce que tu penses à moi ?
- Hum ouais, de… temps en temps…
- Oh ! Lui répondis-je, surprise que ce son m’eu échappé aussi fort.
- En faite… le contraire m’est totalement impossible.
Soulagée de cette nouvelle réponse, je me retourne vers lui pour lui faire face. Je plonge mon regard dans le sien sans ne plus pouvoir m’y détacher. Je reste ainsi figée dans ce regard océan comme si je contemplais la plus belle merveille du monde. C’était le cas. Je sentis une de ses mains glisser lentement sur ma taille pour me rapprocher encore plus prés de lui. Je frissonne. A cet instant, je n’ai qu’une seule envie, qu’il m’embrasse. Aussitôt pensée, aussitôt fait. Il posa lentement ses lèvres sur les miennes y déposa plusieurs petits baisers. Il joue. Et j’aime ça. Soumit à la tentation, il finit par m’embrasser fougueusement et je lui répondis. Il mêla sa langue à la mienne et la fit danser passionnément. A bout de souffle, il me relâcha un instant, le temps de reprendre nos respirations devenues haletantes et par la même, mes esprits. Quel baiser ! Enfin, sa bouche retrouva la mienne dans une danse frénétique. Rassasiée de ses baisers, à présent, je voulais plus. Je le lui fis comprendre d’un simple regard.
- Tu es sûre ?
- Hu hum.
Dans un premier temps, il répondit à ma requête par une pluie de baisers et de caresses plus enivrants les uns que les autres. Une chaleur immense s’empara de tout mon être. Je compris alors que le doute n’existait plus, je voulais être sienne pour toujours. Le contact de sa peau brûlante réveilla en moi des sensations que je ne soupçonnais même pas.
A ma demande, il déboutonna lentement chaque bouton de mon chemisier et le fit glisser à terre. A mesure qu’il découvrait mon corps, il parsemait de baisers chaque parcelle de peau qu’il dénudait. Bientôt, je me retrouvais dos au mur, le laissant continuer son exploration charnelle. Il laissa descendre ses mains le long de ma colonne vertébrale jusque sous mes fesses.
Il me transporta, j’encerclais alors mes jambes autour de sa taille, et nous continuâmes ainsi notre danse d’amour. Tout en poursuivant notre ballet, il me conduisit jusqu’au lit ou il m’y déposa délicatement. Il mit un genou sur le matelas et s’approcha de moi pour dégrafer mon jean qu’il me retira sensuellement, le faisant rejoindre rapidement mon chemisier au sol.
A mon tour, je lui enlevais son sweat et son jean. Seuls quelques bouts de tissus séparaient encore nos deux corps enlacés.
Il s’allongea sur moi et me regarda intensément durant quelques minutes. Je savourais. Puis il reprit activement son exploration et me couvrit de baisers partant du visage, passant par mon cou, s’égarant sur une épaule et alla finalement rejoindre ma poitrine après y avoir retiré le tissus de soie qui l’en séparait. Il joue. Encore. Et j’aime. Encore. Dans sa course aux baisers brulants, il encercla la pointe de mon sein qu’il agaça du bout de sa langue.
Tout en caressant un de mes seins, il descendit avec lenteur le long de mon ventre frémissant. Se perdit entre mes cuisse la ou la peau se fait plus tendre, plus douce, vers le cœur de ma féminité. Mes doigts se crispaient autour du drap froissé et je sentis une vague de bonheur me submerger. Lasse de ce petit jeu, j’arquais mon dos, m’offrant totalement à lui. Enfin nous retirâmes les derniers bouts de tissus qui isolaient nos corps de l’autre et je le suppliais de s’unir à moi.
Sa hâte se lisait dans ses yeux. Il répondit alors à mon souhait. Il se glissa doucement en moi. Je me mordis la lèvre pour ne pas hurler toute la jouissance qui m’habitait à cet instant. Dans un ultime mouvement de vas et viens il me fit découvrir la véritable signification du plaisir. J’enlaçais mes mains autour de son cou et l’embrassa avec fougue.
Jamais je n’avais ressentis pareil sensation. Seul Michael Scofield pouvait me faire vivre ça. Après notre petite danse érotique, nous restâmes dans les bras l’un de l’autre à profiter de chaque minute qui nous était offerte. J’enfouis ma tête dans son cou, sentant son corps humide et brulant de désir et m’endormi.
Je me réveil en sursaut. Poussant un petit cri enraillait. Je passe lentement mes mains sur le lit. Je suis seule. A bout de force, le sommeil m’emporta de nouveau. C’est alors que je sentis une main froide presser mon bras. Je dors. Je rêve. Je suis bien. Je ne veux pas me lever. Pas de suite. Mais ce contact froid ne cède pas.
- Maman… maman… maman
Je me relève brutalement.
- Michael ?
rose : pensées de sara
Cinq ans plus tard…
Il n’y a que dans ses bras que je me sens bien. Que je revis. Il est mon oxygène, ma raison de vivre. Je ne sais vraiment pas ce que je ferais sans lui. C’est bien simple, désormais, je serais dans l’incapacité d’imaginé ma vie sans lui. Et quand je repense à ce que je j’étais quelques années plutôt, je remercie Dieu de l’avoir mis sur mon chemin.
Alors que je suis totalement perdue dans mes pensées, je sens son corps se coller au miens. Il écarte d’une douce caresse mes cheveux, pour y déposer un baiser sur mon cou. Ce qui me ramène à une toute autre rêverie encore plus belle que celle ou je m’étais volontairement égarée.
- C’est à moi que tu penses ?
- C’est si évident que ça ? Dis-je en souriant.
- Oui, me dit-il d’un ton fier et amusé.
- Et toi, est ce que tu penses à moi ?
- Hum ouais, de… temps en temps…
- Oh ! Lui répondis-je, surprise que ce son m’eu échappé aussi fort.
- En faite… le contraire m’est totalement impossible.
Soulagée de cette nouvelle réponse, je me retourne vers lui pour lui faire face. Je plonge mon regard dans le sien sans ne plus pouvoir m’y détacher. Je reste ainsi figée dans ce regard océan comme si je contemplais la plus belle merveille du monde. C’était le cas. Je sentis une de ses mains glisser lentement sur ma taille pour me rapprocher encore plus prés de lui. Je frissonne. A cet instant, je n’ai qu’une seule envie, qu’il m’embrasse. Aussitôt pensée, aussitôt fait. Il posa lentement ses lèvres sur les miennes y déposa plusieurs petits baisers. Il joue. Et j’aime ça. Soumit à la tentation, il finit par m’embrasser fougueusement et je lui répondis. Il mêla sa langue à la mienne et la fit danser passionnément. A bout de souffle, il me relâcha un instant, le temps de reprendre nos respirations devenues haletantes et par la même, mes esprits. Quel baiser ! Enfin, sa bouche retrouva la mienne dans une danse frénétique. Rassasiée de ses baisers, à présent, je voulais plus. Je le lui fis comprendre d’un simple regard.
- Tu es sûre ?
- Hu hum.
Dans un premier temps, il répondit à ma requête par une pluie de baisers et de caresses plus enivrants les uns que les autres. Une chaleur immense s’empara de tout mon être. Je compris alors que le doute n’existait plus, je voulais être sienne pour toujours. Le contact de sa peau brûlante réveilla en moi des sensations que je ne soupçonnais même pas.
A ma demande, il déboutonna lentement chaque bouton de mon chemisier et le fit glisser à terre. A mesure qu’il découvrait mon corps, il parsemait de baisers chaque parcelle de peau qu’il dénudait. Bientôt, je me retrouvais dos au mur, le laissant continuer son exploration charnelle. Il laissa descendre ses mains le long de ma colonne vertébrale jusque sous mes fesses.
Il me transporta, j’encerclais alors mes jambes autour de sa taille, et nous continuâmes ainsi notre danse d’amour. Tout en poursuivant notre ballet, il me conduisit jusqu’au lit ou il m’y déposa délicatement. Il mit un genou sur le matelas et s’approcha de moi pour dégrafer mon jean qu’il me retira sensuellement, le faisant rejoindre rapidement mon chemisier au sol.
A mon tour, je lui enlevais son sweat et son jean. Seuls quelques bouts de tissus séparaient encore nos deux corps enlacés.
Il s’allongea sur moi et me regarda intensément durant quelques minutes. Je savourais. Puis il reprit activement son exploration et me couvrit de baisers partant du visage, passant par mon cou, s’égarant sur une épaule et alla finalement rejoindre ma poitrine après y avoir retiré le tissus de soie qui l’en séparait. Il joue. Encore. Et j’aime. Encore. Dans sa course aux baisers brulants, il encercla la pointe de mon sein qu’il agaça du bout de sa langue.
Tout en caressant un de mes seins, il descendit avec lenteur le long de mon ventre frémissant. Se perdit entre mes cuisse la ou la peau se fait plus tendre, plus douce, vers le cœur de ma féminité. Mes doigts se crispaient autour du drap froissé et je sentis une vague de bonheur me submerger. Lasse de ce petit jeu, j’arquais mon dos, m’offrant totalement à lui. Enfin nous retirâmes les derniers bouts de tissus qui isolaient nos corps de l’autre et je le suppliais de s’unir à moi.
Sa hâte se lisait dans ses yeux. Il répondit alors à mon souhait. Il se glissa doucement en moi. Je me mordis la lèvre pour ne pas hurler toute la jouissance qui m’habitait à cet instant. Dans un ultime mouvement de vas et viens il me fit découvrir la véritable signification du plaisir. J’enlaçais mes mains autour de son cou et l’embrassa avec fougue.
Jamais je n’avais ressentis pareil sensation. Seul Michael Scofield pouvait me faire vivre ça. Après notre petite danse érotique, nous restâmes dans les bras l’un de l’autre à profiter de chaque minute qui nous était offerte. J’enfouis ma tête dans son cou, sentant son corps humide et brulant de désir et m’endormi.
Je me réveil en sursaut. Poussant un petit cri enraillait. Je passe lentement mes mains sur le lit. Je suis seule. A bout de force, le sommeil m’emporta de nouveau. C’est alors que je sentis une main froide presser mon bras. Je dors. Je rêve. Je suis bien. Je ne veux pas me lever. Pas de suite. Mais ce contact froid ne cède pas.
- Maman… maman… maman
Je me relève brutalement.
- Michael ?
Re: Nothing's gonna come between us
AAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH OMG!!!!!!!!!!!!!! C'était tellement bon...juska ce maman...LA SUITE LA SUITE LA SUITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! PLZ poste la vite, je veux savoir...plzz, que se soit MJ comme pour LJ, et que Mike soit vivant (mais, javoue que c super pareil...tecris vrmt bien la..) C TROP BON!
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Nothing's gonna come between us
Haaaaaaaaaaaaannn !!!!!!!!
Je suis passée par toutes les émotions possibles là
Ouaaa comment j'ai adoré ta description du moment ! Parce qu'en fait tu as fait en sorte que ça ressemble à une danse, je trouve ça trop beau
Et puis après ... mais qu'est-ce qui s'passe ? My God, j'ai hâte de connaître la suiiite !!! Vraiment super Hafida, j'aime !!
Je suis passée par toutes les émotions possibles là
Ouaaa comment j'ai adoré ta description du moment ! Parce qu'en fait tu as fait en sorte que ça ressemble à une danse, je trouve ça trop beau
Et puis après ... mais qu'est-ce qui s'passe ? My God, j'ai hâte de connaître la suiiite !!! Vraiment super Hafida, j'aime !!
Nickki- Retrouve Steadman
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Re: Nothing's gonna come between us
superbe mais je me doutais bien que 5 ans après c'était pas bon signe
en tout cas quel beau chapitre
en tout cas quel beau chapitre
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Nothing's gonna come between us
Enlala la suite -18 ans ^^^
XD Bravo comme d'hab' J'adooore!!!!
J'veux la suite!!!!!
XD Bravo comme d'hab' J'adooore!!!!
J'veux la suite!!!!!
Re: Nothing's gonna come between us
Bleu = Pensées de Michael.
Rose = pensées de Sara
Vert = Pensées de Lincoln.
Voila cinq ans, cinq ans que je fais le même rêve, et qui se transforme automatiquement en cauchemar des que je me réveil. Tous les matins je prends conscience que je suis seule. Et rien ne vient apaiser la douleur qui s’ancre au font de moi quand son nom m’échappe, « Michael ? » Je sais qu’il ne me répondra pas. Je tente alors de reprendre mes esprits. Soudain je réalise que je ne suis pas seule. Il n’est pas la. Lui. Mais je ne suis pas seule. Adam.
Le contact de sa main froide me lassa encore un instant à mi chemin entre mon rêve et la réalité. Puis la petite voix aiguë qui accompagna son geste, me réveilla complètement. Je le regarde avec insistance. Un sourire se dessina instantanément sur mon visage.
- Bonjour mon cœur.
- Bon - jour ma - man.
Je me lève, le prend dans mes bras et l’embrasse tendrement. Je descends avec lui rejoindre la cuisine préparer rapidement son petit déjeuné afin de ne pas être en retard pour l’emmener à l’école. Adam s’était assit sur sa petite chaise. Je le regarde tout en préparant son chocolat. Je ne pu empêcher une larme de s’échapper, coulant le long de ma joue pour finalement aller s’écraser à mes pieds. Il me fait tellement penser à lui. Les mêmes yeux océan. Soudain je sens mon cœur battre à tout rompre. Je ne serais pas à la hauteur aujourd’hui. Je le sais. J’aime mon fils, plus que tout, mais aujourd’hui est un jour si particulier. C’est son anniversaire, 36. Il aurait eu 36 ans. Je lui donne son verre et une tartine qu’il commence à dévorer sans aucune retenue. Ce qui m’arracha un sourire. Je ris tellement peu, que je me rends compte à quel point cela me fait un bien fou.
On sonne à ma porte. C’est étrange, je n’attends personne. Pas de si bonne heure en tout cas. J’avance d’un pas lent rejoindre l’entrée. C’est Lincoln.
- Salut, ca va ?
- Ca peut aller et toi ?
- Bien merci.
- Entre je t’en prie.
- Merci.
- Qu’est-ce qui t’amène de bonne heure, dis moi ? Lui dis-je en m’arrachant un sourire forcé.
- Eh bien, j’avais envie de te voir.
- Lincoln, je n’ai pas l’intention de faire de conneries, tu sais.
- Non, non ne te méprends pas sur mes intentions, j’avais juste envie de vous voir. Me dit-il gêné. Ecoute c’est l’anniversaire de Michael aujourd’hui. Et… Je me suis dis que voir la famille ca te ferais du bien. Ajouta t-il finalement. Incertain.
- C’est… c’est très gentil Lincoln… mais je préfère rester seule.
Je sais qu’il essai de m’aider, il fait tout ce qu’il peut pour que je me sens bien. Mais aujourd’hui, c’est particulier, je veux réserver toutes mes forces, mes faiblesses, mes joies et mes peines uniquement à Michael. Lincoln est un bon père et certainement le meilleur oncle qu’il m’était donné de connaitre. Adam l’aime tant. Il a toujours était là pour nous. Depuis que Michael est m… Oh ! Il me manque tellement. Je change de sujet.
Tu veux du café ?
Non, non merci je viens juste d’en prendre un.
Pourrais-tu faire quelque chose pour moi ?
Oui bien sûr. Ce que tu veux.
Est-ce que tu pourrais conduire Adam à l’école s’il te plaît ? J’ai... J’ai…
Besoin de te retrouver seule ?
Oui, lui répondis-je en lâchant un sourire involontaire.
Pas de problème… tu m’appelles si tu as besoin de quoique ce soit d’accord ?
Ok. Merci.
Je l’admire vraiment. Elle prétend vouloir être seule. Mais en réalité je sais qu’elle ne veut pas qu’Adam la voit dans tous ses états. Sa souffrance. Elle ne tient pas à lui faire de peine. Et ça, ça dure depuis cinq ans. J’admire le courage dont elle fait preuve depuis tout ce temps. Elle aurait pu abandonner. Et ce ne sont pas les occasions qui ont manqué. Mais elle a choisit de survivre à tout ca pour son fils. Votre fils. Ou que tu sois Michael, tu peux être fier d’elle. Le temps qu’elle prépare Adam, je fis le tour du salon. Je remarque alors qu’ici rien n’a changé. Même la photo de votre mariage à Vegas est toujours la. Une chose est sûre, elle ne t’oubliera jamais. Elle revient.
- Si… si tu veux Sara, je pourrais garder Adam à la maison ce soir, j’irai le prendre à l’école et…
- Euh, non… je préfère aller le chercher moi-même. Je le conduirais chez toi plus tard.
- C’est... c’est comme tu veux.
- Oui, je veux juste l’emmener voir son père.
- Ok. On fait comme ça. (A Adam) On y va petit gars.
- Oui Oncle Linc.
- A tout à l’heure mon chéri, dis-je à mon fils en l’embrassant. Bye Lincoln.
- Bye.
Me voila seule. Je retourne dans la cuisine, me sers un café et m’assoie. Je tombe instantanément dans mes pensées, comme j’en ai prit l’habitude c’est dernières années. Je tourne machinalement la cuillère sans vraiment y prêter attention. Je suis déjà partie. Commence alors dans mon esprit une véritable bataille entre mes bons et mauvais souvenirs se percutant les uns aux autres sans trêve. J’ai mal. Je ne remarque pas de suite mais des larmes s’échappent. Je pense, je pleure. Il me manque. Je sens les larmes déferler plus abondement sur mon visage et je ne peux rien pour arrêter ça.
J’essaie fortement de penser aux meilleurs moments passés avec lui. Je ne parviens qu’à faire l’inverse. Je l’ai perdu. Il n’y a pas une seconde de ma vie ou je ne pense pas à lui. Tout me ramène à lui. Quand je vois un couple dans la rue, j’ai mal. Quand je sens son parfum sur un autre, j’ai mal. Quand j’entends une musique qu’on écoutait, j’ai mal. Même le bonheur des autres me fait mal. Il aurait du être la. Oh mon Dieu ! Je me rends compte que je lui en veux. Pardon.
Lasse de cette souffrance, je balance fortement les bras suivit de ma tête sur la table. La tasse valse. Le café coule. Mais ça m’est égal. Je pleure. Encore. J’ai besoin de ma dose journalière. J’évacue tout la rage, la peine, la souffrance et autres sentiments néfastes qui m’habitent. J’essaie de me raisonner. Je me dis qu’il faut que j’aille travailler comme je le fait tous les jours pour oublier. Mais aujourd’hui je ne peux pas. Il est trop présent en moi. Je ferme les yeux.
Les souvenirs m’assaillent, cette blessure me déchire le cœur. Je sens que je tombe dans la folie. Il faut que je me ressaisisse. Pour Adam. Dans un effort démesurer qui m’arrache une douleur dans mon ventre, Je repense à mon plus beau souvenir de lui.
Flash Back
Vegas. Je sais que ce n’est pas le genre de mariage dont elle rêve, mais je veux l’épouser maintenant. Elle connaît notre destination mais elle n’en connaît rien à mes motivations. Elle voulait savoir, mais je n’en dit rien. Elle me demanda aussi pourquoi nous n’avons pas prit le bateau. Plus tard. Je lui répondis que c’était plus important ce que nous allions faire. J’aime quand elle me regarde ainsi.
Nous sommes arrivés. J’attrape sa main e sans plus attendre la guide vers l’extérieur. Je fis signe à un taxi pour partir. Elle continue de me regarder avec cet air inquiet mélangé à de l’incompréhension. Quelques minutes plus tard, nous arrivâmes à destination.
- Ou m’emmènes-tu Scofield.
- On y est presque.
- Dis le moi, s’il te plaît.
- Regard !
Une chapelle. Je me retourne vers lui. Il me sourit.
Sara Tancredi, J’aimerais t'épouser.
Vegas ? Lâche-je dans un fou rire incontrôlé.
Je sais… je sais que ce n’est pas ce que tu voulais mais… j’ai tell…
Oui. Oui je le veux. Oui, Oui, Oui...
Sa réponse me surprit d’abord, puis me combla de joie. Je la pris dans mes bras et la fit danser. Nous nous dirigeâmes frénétiquement vers la petite église. Quelques minutes plus tard elle était Madame Scofield. Je ne pouvais pas être plus heureux que ça.
Je contemplais l’anneau qu’il avait glissé à mon doigt. Je n’arrive pas à y croire. Je suis Madame Sara Scofield. Je ne peux pas être plus heureuse qu’en cet instant.
Je ne connaissais pas la suite du programme mais je m’étais plus à l’idée qu’il avait tout prévu. Vegas, le mariage, un hôtel ou nous passerions notre première nuit ensemble. Mais j’avais tout faux. Nous retournâmes à l’aéroport pour Los Angeles. Je ne comprenais pas. Mais j’étais trop épuisée pour réfléchir ou poser des questions. J’enfouille ma tête au creux de son cou et m’endormi.
Quand je me suis réveillée, nous étions dans le bateau. Ouah, je ne pensais pas être aussi fatiguée. Je me lève. Je le cherche mais ne le voit pas. « Michael, Michael ? » Je monte sur le ponton et le trouve à la barre. Je me dirige énergiquement vers lui. Passe délicatement mes bras autour de sa taille.
- Bonjour.
- Bonjour, bien dormi ?
- Comme un bébé.
J’aime la voir sourire. J’aime la voir heureuse. Aujourd’hui elle est tout ce qu’il y a plus précieux dans ma vie. « Je t’aime Sara ».
Fin du flash back
Un téléphone sonna. Je me réveil brusquement. Ma cuisine. Je suis dans ma cuisine.
- Je t’aime aussi.
Rose = pensées de Sara
Vert = Pensées de Lincoln.
Voila cinq ans, cinq ans que je fais le même rêve, et qui se transforme automatiquement en cauchemar des que je me réveil. Tous les matins je prends conscience que je suis seule. Et rien ne vient apaiser la douleur qui s’ancre au font de moi quand son nom m’échappe, « Michael ? » Je sais qu’il ne me répondra pas. Je tente alors de reprendre mes esprits. Soudain je réalise que je ne suis pas seule. Il n’est pas la. Lui. Mais je ne suis pas seule. Adam.
Le contact de sa main froide me lassa encore un instant à mi chemin entre mon rêve et la réalité. Puis la petite voix aiguë qui accompagna son geste, me réveilla complètement. Je le regarde avec insistance. Un sourire se dessina instantanément sur mon visage.
- Bonjour mon cœur.
- Bon - jour ma - man.
Je me lève, le prend dans mes bras et l’embrasse tendrement. Je descends avec lui rejoindre la cuisine préparer rapidement son petit déjeuné afin de ne pas être en retard pour l’emmener à l’école. Adam s’était assit sur sa petite chaise. Je le regarde tout en préparant son chocolat. Je ne pu empêcher une larme de s’échapper, coulant le long de ma joue pour finalement aller s’écraser à mes pieds. Il me fait tellement penser à lui. Les mêmes yeux océan. Soudain je sens mon cœur battre à tout rompre. Je ne serais pas à la hauteur aujourd’hui. Je le sais. J’aime mon fils, plus que tout, mais aujourd’hui est un jour si particulier. C’est son anniversaire, 36. Il aurait eu 36 ans. Je lui donne son verre et une tartine qu’il commence à dévorer sans aucune retenue. Ce qui m’arracha un sourire. Je ris tellement peu, que je me rends compte à quel point cela me fait un bien fou.
On sonne à ma porte. C’est étrange, je n’attends personne. Pas de si bonne heure en tout cas. J’avance d’un pas lent rejoindre l’entrée. C’est Lincoln.
- Salut, ca va ?
- Ca peut aller et toi ?
- Bien merci.
- Entre je t’en prie.
- Merci.
- Qu’est-ce qui t’amène de bonne heure, dis moi ? Lui dis-je en m’arrachant un sourire forcé.
- Eh bien, j’avais envie de te voir.
- Lincoln, je n’ai pas l’intention de faire de conneries, tu sais.
- Non, non ne te méprends pas sur mes intentions, j’avais juste envie de vous voir. Me dit-il gêné. Ecoute c’est l’anniversaire de Michael aujourd’hui. Et… Je me suis dis que voir la famille ca te ferais du bien. Ajouta t-il finalement. Incertain.
- C’est… c’est très gentil Lincoln… mais je préfère rester seule.
Je sais qu’il essai de m’aider, il fait tout ce qu’il peut pour que je me sens bien. Mais aujourd’hui, c’est particulier, je veux réserver toutes mes forces, mes faiblesses, mes joies et mes peines uniquement à Michael. Lincoln est un bon père et certainement le meilleur oncle qu’il m’était donné de connaitre. Adam l’aime tant. Il a toujours était là pour nous. Depuis que Michael est m… Oh ! Il me manque tellement. Je change de sujet.
Tu veux du café ?
Non, non merci je viens juste d’en prendre un.
Pourrais-tu faire quelque chose pour moi ?
Oui bien sûr. Ce que tu veux.
Est-ce que tu pourrais conduire Adam à l’école s’il te plaît ? J’ai... J’ai…
Besoin de te retrouver seule ?
Oui, lui répondis-je en lâchant un sourire involontaire.
Pas de problème… tu m’appelles si tu as besoin de quoique ce soit d’accord ?
Ok. Merci.
Je l’admire vraiment. Elle prétend vouloir être seule. Mais en réalité je sais qu’elle ne veut pas qu’Adam la voit dans tous ses états. Sa souffrance. Elle ne tient pas à lui faire de peine. Et ça, ça dure depuis cinq ans. J’admire le courage dont elle fait preuve depuis tout ce temps. Elle aurait pu abandonner. Et ce ne sont pas les occasions qui ont manqué. Mais elle a choisit de survivre à tout ca pour son fils. Votre fils. Ou que tu sois Michael, tu peux être fier d’elle. Le temps qu’elle prépare Adam, je fis le tour du salon. Je remarque alors qu’ici rien n’a changé. Même la photo de votre mariage à Vegas est toujours la. Une chose est sûre, elle ne t’oubliera jamais. Elle revient.
- Si… si tu veux Sara, je pourrais garder Adam à la maison ce soir, j’irai le prendre à l’école et…
- Euh, non… je préfère aller le chercher moi-même. Je le conduirais chez toi plus tard.
- C’est... c’est comme tu veux.
- Oui, je veux juste l’emmener voir son père.
- Ok. On fait comme ça. (A Adam) On y va petit gars.
- Oui Oncle Linc.
- A tout à l’heure mon chéri, dis-je à mon fils en l’embrassant. Bye Lincoln.
- Bye.
Me voila seule. Je retourne dans la cuisine, me sers un café et m’assoie. Je tombe instantanément dans mes pensées, comme j’en ai prit l’habitude c’est dernières années. Je tourne machinalement la cuillère sans vraiment y prêter attention. Je suis déjà partie. Commence alors dans mon esprit une véritable bataille entre mes bons et mauvais souvenirs se percutant les uns aux autres sans trêve. J’ai mal. Je ne remarque pas de suite mais des larmes s’échappent. Je pense, je pleure. Il me manque. Je sens les larmes déferler plus abondement sur mon visage et je ne peux rien pour arrêter ça.
J’essaie fortement de penser aux meilleurs moments passés avec lui. Je ne parviens qu’à faire l’inverse. Je l’ai perdu. Il n’y a pas une seconde de ma vie ou je ne pense pas à lui. Tout me ramène à lui. Quand je vois un couple dans la rue, j’ai mal. Quand je sens son parfum sur un autre, j’ai mal. Quand j’entends une musique qu’on écoutait, j’ai mal. Même le bonheur des autres me fait mal. Il aurait du être la. Oh mon Dieu ! Je me rends compte que je lui en veux. Pardon.
Lasse de cette souffrance, je balance fortement les bras suivit de ma tête sur la table. La tasse valse. Le café coule. Mais ça m’est égal. Je pleure. Encore. J’ai besoin de ma dose journalière. J’évacue tout la rage, la peine, la souffrance et autres sentiments néfastes qui m’habitent. J’essaie de me raisonner. Je me dis qu’il faut que j’aille travailler comme je le fait tous les jours pour oublier. Mais aujourd’hui je ne peux pas. Il est trop présent en moi. Je ferme les yeux.
Les souvenirs m’assaillent, cette blessure me déchire le cœur. Je sens que je tombe dans la folie. Il faut que je me ressaisisse. Pour Adam. Dans un effort démesurer qui m’arrache une douleur dans mon ventre, Je repense à mon plus beau souvenir de lui.
Flash Back
Vegas. Je sais que ce n’est pas le genre de mariage dont elle rêve, mais je veux l’épouser maintenant. Elle connaît notre destination mais elle n’en connaît rien à mes motivations. Elle voulait savoir, mais je n’en dit rien. Elle me demanda aussi pourquoi nous n’avons pas prit le bateau. Plus tard. Je lui répondis que c’était plus important ce que nous allions faire. J’aime quand elle me regarde ainsi.
Nous sommes arrivés. J’attrape sa main e sans plus attendre la guide vers l’extérieur. Je fis signe à un taxi pour partir. Elle continue de me regarder avec cet air inquiet mélangé à de l’incompréhension. Quelques minutes plus tard, nous arrivâmes à destination.
- Ou m’emmènes-tu Scofield.
- On y est presque.
- Dis le moi, s’il te plaît.
- Regard !
Une chapelle. Je me retourne vers lui. Il me sourit.
Sara Tancredi, J’aimerais t'épouser.
Vegas ? Lâche-je dans un fou rire incontrôlé.
Je sais… je sais que ce n’est pas ce que tu voulais mais… j’ai tell…
Oui. Oui je le veux. Oui, Oui, Oui...
Sa réponse me surprit d’abord, puis me combla de joie. Je la pris dans mes bras et la fit danser. Nous nous dirigeâmes frénétiquement vers la petite église. Quelques minutes plus tard elle était Madame Scofield. Je ne pouvais pas être plus heureux que ça.
Je contemplais l’anneau qu’il avait glissé à mon doigt. Je n’arrive pas à y croire. Je suis Madame Sara Scofield. Je ne peux pas être plus heureuse qu’en cet instant.
Je ne connaissais pas la suite du programme mais je m’étais plus à l’idée qu’il avait tout prévu. Vegas, le mariage, un hôtel ou nous passerions notre première nuit ensemble. Mais j’avais tout faux. Nous retournâmes à l’aéroport pour Los Angeles. Je ne comprenais pas. Mais j’étais trop épuisée pour réfléchir ou poser des questions. J’enfouille ma tête au creux de son cou et m’endormi.
Quand je me suis réveillée, nous étions dans le bateau. Ouah, je ne pensais pas être aussi fatiguée. Je me lève. Je le cherche mais ne le voit pas. « Michael, Michael ? » Je monte sur le ponton et le trouve à la barre. Je me dirige énergiquement vers lui. Passe délicatement mes bras autour de sa taille.
- Bonjour.
- Bonjour, bien dormi ?
- Comme un bébé.
J’aime la voir sourire. J’aime la voir heureuse. Aujourd’hui elle est tout ce qu’il y a plus précieux dans ma vie. « Je t’aime Sara ».
Fin du flash back
Un téléphone sonna. Je me réveil brusquement. Ma cuisine. Je suis dans ma cuisine.
- Je t’aime aussi.
Re: Nothing's gonna come between us
Ahhhh mon dieu!!!C'est trop triste Tu m'a foutu en bad là Rooo Islem' pfff t'es pas sympa!!J'ai plus l'morale aller resusite Mike!!Aller alller!!
J'veux une suiiite!!!!
J'veux une suiiite!!!!
Re: Nothing's gonna come between us
euhh ressuscite ressuscite je ne suis pas à fond dans la fuck crédibility comme Prison Break moi lol..$acass a écrit:Ahhhh mon dieu!!!C'est trop triste Tu m'a foutu en bad là Rooo Islem' pfff t'es pas sympa!!J'ai plus l'morale aller resusite Mike!!Aller alller!!
J'veux une suiiite!!!!
Re: Nothing's gonna come between us
t'ecris vraiment super bien c'est prenant emouvant juste parfait pour un petit coup de blues positif c'est exactement le type de fic que j'adore , comme celle de nickki vous avez toutes les deux la meme finesse dans l'ecriture et l'histoir
c'est un vrai plaisir de te lire
bravo
hate de lire la suite
c'est un vrai plaisir de te lire
bravo
hate de lire la suite
HANANE- Compagnon de Cellule de Michael
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Date d'inscription : 21/02/2008
Re: Nothing's gonna come between us
Islemmedemars a écrit:euhh ressuscite ressuscite je ne suis pas à fond dans la fuck crédibility comme Prison Break moi lol..$acass a écrit:Ahhhh mon dieu!!!C'est trop triste Tu m'a foutu en bad là Rooo Islem' pfff t'es pas sympa!!J'ai plus l'morale aller resusite Mike!!Aller alller!!
J'veux une suiiite!!!!
EXACT Si ils ont résussiter sarah, on peu resussiter mike SAVE THE GOOD MICHEAL SAVE THE OS
C TRRROOOOP TRISTE javais les larmes aux yeux...LA SUITE LA SUITE LA SUITE
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Age : 34
Localisation : Montréal
Date d'inscription : 04/06/2008
Re: Nothing's gonna come between us
Haann tout prend forme maintenant ... C'est trop triste, mais j'ai beaucoup aimé ta description de la souffrance de Sara, c'était vraiment très réaliste et punaise, j'en ai encore les larmes aux yeux ...
Nickki- Retrouve Steadman
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Localisation : Là où il n'y a aucun problème ...
Date d'inscription : 10/10/2006
Re: Nothing's gonna come between us
merci à toute.
comme vous voyez, j'ai trouvé un titre.
il me reste encore un chapitre et ca sera terminé.
comme vous voyez, j'ai trouvé un titre.
il me reste encore un chapitre et ca sera terminé.
Re: Nothing's gonna come between us
désolée les filles mais ce soir pas de suite.. je ne me sens pas la lol.. demain. (désolée aussi pour le com foireux)
Re: Nothing's gonna come between us
bon une suite (toute petite) finalement ce n'est pas la dernière... je prefère couper ici...
L’hôpital. Katie vient de me rappeler à l’ordre. Je suis en retard. Mais je ne veux pas y aller. Elle sait. Elle fera tout ce qu’elle peut pour me couvrir. C’est mon amie. La meilleure. La seule. Je remarque que les manches de mon sweat son humide. A cause de mes larmes. J’ai tellement pleuré. Et je sais que je n’en ai pas fini. J’ai envie de me lever, de dire stop. Tourner la page. Penser plus à Adam. Vivre. Mais je n’y arrive pas. Je sais juste que ce jour, je le vivrais comme ses autres anniversaires. En compagnie de ma solitude, ma tristesse et mes larmes. Mes pensées aussi. D’ailleurs je replonge. Mon pire souvenir remonte à la surface. Sa mort.
Flash back
Moi qui pensais qu’on aller partir en douce de la réception, il a fallut tout de même que Michael aille retrouver Lincoln pour lui demander les clefs de sa voiture. Nous n’avons pas besoin de s’inquiéter pour lui. Il partira avec Alex et Sucre.
- Ou est-ce qu’on va ?
- On quitte la ville.
- Maintenant ?
- Tu y vois un inconvénient ?
- Aucun. Tant que je suis avec toi.
- Alors c’est parti.
Je le suis. Sans dire mot. Maintenant que nous sommes réunis, je sais que tout va bien se passer. Je n’en ai rien su jusqu'à notre destination mais ma surprise fut énorme. Avant de partir, je lui avais tout de même demandé quelques minutes pour me changer. Ma robe était jolie, mais un jean et une chemise, c’était beaucoup plus pratique pour voyager. Vegas. Mariage. J’étais tellement heureuse. Notre retour à Chicago ma un peu déconcerté sur le moment. Mais je ne m’en inquiétais pas tant. Je lui accordais toute ma confiance.
Pour moi, le retour fut très rapide. Je dormi tout le temps. A mon réveil, nous avons passé notre première nuit d’amour. A cet instant plus rien de manquait à mon bonheur. J’avais parlé trop vite.
Le lendemain matin, nous nous sommes tous rendu au bureau du sénateur. C’est lui qui devait nous remettre tous les documents en règle. L’assurance de notre liberté. L’entretien ne dura que quelques minutes. Quelques explications. Encore des remerciements et puis surtout la remise des documents. C’est à ce moment précis que Michael s’est sentit libre. Je l’ai lu dans son regard.
- On y va.
- Ok. Dis-je en même temps que Lincoln.
En sortant de la toilette des dames, je me dirige énergiquement vers l’ascenseur pour rapidement retrouver Michael. Une fois en bas, je pousse un hurlement. Je vois Lincoln à genou, au sol. Michael tombé dans ses bras. Le sang maculait sa chemise blanche. Je ne comprends pas. Tout était sensé être terminé. Je me rapproche de lui. Il est encore conscient. Je n’y crois pas mais je lui dis que tout vas bien se passer. J’apprends dans le tas qu’il a reçu deux balles. Une à l’épaule, une dans le ventre. J'ai peur. Quelqu’un a appelé une ambulance. Il est conduit d’urgence à l’hôpital le plus proche.
Quelques heures plus tard, Lincoln et moi apprenons de la bouche du médecin que c’était fini. Terminé. Michael est mort. Mais pourquoi ? Je me jette instantanément sur Lincoln et commence à verser toutes les larmes de mon corps.
- Je veux le voir.
- Je suis désolé madame mais c’est impossi…
Fin du flash back
Je regarde autour de moi. Ma cuisine. Je viens de me réveiller. Encore. Je n’avais pas vu Michael se faire tirer dessus. Je n’ai pas vu son corps non plus. Je ne voulais pas y croire. Mais Lincoln me la certifier. Michael était mort. Il disait que c’était pour mon bien. Que je souffrirais moins. Baliverne. Je me souviens avoir hait Lincoln pour m’avoir persuadé de ne pas aller le voir. Mais maintenant, je me hais encore plus moi-même pour l’avoir écouté. J’avais le choix de le voir une dernière fois et je ne l’ai pas fait. Il me manque.
Je suis à présent dans ma chambre. Allongée sur mon lit. Sa photo dans les mains. Une des rares qu’on a pu prendre ensemble. Je sais que c’est grâce à Adam si j’ai réussit à tenir jusque là. Mais plus les années passent, plus je me sens faible. Et le combat me parait de plus en plus difficile. A penser ça, je me sens une mère indigne. Mais je ne parviens pas à faire autrement. Je suis perdue. Sans lui.
Il est déjà quatorze heures. Je n’ai fait que dormir, pleurer, penser aujourd’hui. Il faut que je me ressaisisse. Je me prépare. Aujourd’hui j’ai décidé d’aller le voir avec Adam. Lui parler. Parfois ca me fait du bien. Adam termine l’école à quatre heures d’habitude, mais je suis sûre que sa maîtresse comprendra.
Voila, je suis prête. Je descends les escaliers, me dirige vers la porte. Je pose ma main sur la poignée et m’apprête à l’ouvrit. Quand la sonnerie retentit. J’ouvre la porte. En voyant la personne, je reste béat.
- Oh mon Dieu !
- Sara…
*************
L’hôpital. Katie vient de me rappeler à l’ordre. Je suis en retard. Mais je ne veux pas y aller. Elle sait. Elle fera tout ce qu’elle peut pour me couvrir. C’est mon amie. La meilleure. La seule. Je remarque que les manches de mon sweat son humide. A cause de mes larmes. J’ai tellement pleuré. Et je sais que je n’en ai pas fini. J’ai envie de me lever, de dire stop. Tourner la page. Penser plus à Adam. Vivre. Mais je n’y arrive pas. Je sais juste que ce jour, je le vivrais comme ses autres anniversaires. En compagnie de ma solitude, ma tristesse et mes larmes. Mes pensées aussi. D’ailleurs je replonge. Mon pire souvenir remonte à la surface. Sa mort.
Flash back
Moi qui pensais qu’on aller partir en douce de la réception, il a fallut tout de même que Michael aille retrouver Lincoln pour lui demander les clefs de sa voiture. Nous n’avons pas besoin de s’inquiéter pour lui. Il partira avec Alex et Sucre.
- Ou est-ce qu’on va ?
- On quitte la ville.
- Maintenant ?
- Tu y vois un inconvénient ?
- Aucun. Tant que je suis avec toi.
- Alors c’est parti.
Je le suis. Sans dire mot. Maintenant que nous sommes réunis, je sais que tout va bien se passer. Je n’en ai rien su jusqu'à notre destination mais ma surprise fut énorme. Avant de partir, je lui avais tout de même demandé quelques minutes pour me changer. Ma robe était jolie, mais un jean et une chemise, c’était beaucoup plus pratique pour voyager. Vegas. Mariage. J’étais tellement heureuse. Notre retour à Chicago ma un peu déconcerté sur le moment. Mais je ne m’en inquiétais pas tant. Je lui accordais toute ma confiance.
Pour moi, le retour fut très rapide. Je dormi tout le temps. A mon réveil, nous avons passé notre première nuit d’amour. A cet instant plus rien de manquait à mon bonheur. J’avais parlé trop vite.
Le lendemain matin, nous nous sommes tous rendu au bureau du sénateur. C’est lui qui devait nous remettre tous les documents en règle. L’assurance de notre liberté. L’entretien ne dura que quelques minutes. Quelques explications. Encore des remerciements et puis surtout la remise des documents. C’est à ce moment précis que Michael s’est sentit libre. Je l’ai lu dans son regard.
- On y va.
- Ok. Dis-je en même temps que Lincoln.
En sortant de la toilette des dames, je me dirige énergiquement vers l’ascenseur pour rapidement retrouver Michael. Une fois en bas, je pousse un hurlement. Je vois Lincoln à genou, au sol. Michael tombé dans ses bras. Le sang maculait sa chemise blanche. Je ne comprends pas. Tout était sensé être terminé. Je me rapproche de lui. Il est encore conscient. Je n’y crois pas mais je lui dis que tout vas bien se passer. J’apprends dans le tas qu’il a reçu deux balles. Une à l’épaule, une dans le ventre. J'ai peur. Quelqu’un a appelé une ambulance. Il est conduit d’urgence à l’hôpital le plus proche.
Quelques heures plus tard, Lincoln et moi apprenons de la bouche du médecin que c’était fini. Terminé. Michael est mort. Mais pourquoi ? Je me jette instantanément sur Lincoln et commence à verser toutes les larmes de mon corps.
- Je veux le voir.
- Je suis désolé madame mais c’est impossi…
Fin du flash back
Je regarde autour de moi. Ma cuisine. Je viens de me réveiller. Encore. Je n’avais pas vu Michael se faire tirer dessus. Je n’ai pas vu son corps non plus. Je ne voulais pas y croire. Mais Lincoln me la certifier. Michael était mort. Il disait que c’était pour mon bien. Que je souffrirais moins. Baliverne. Je me souviens avoir hait Lincoln pour m’avoir persuadé de ne pas aller le voir. Mais maintenant, je me hais encore plus moi-même pour l’avoir écouté. J’avais le choix de le voir une dernière fois et je ne l’ai pas fait. Il me manque.
Je suis à présent dans ma chambre. Allongée sur mon lit. Sa photo dans les mains. Une des rares qu’on a pu prendre ensemble. Je sais que c’est grâce à Adam si j’ai réussit à tenir jusque là. Mais plus les années passent, plus je me sens faible. Et le combat me parait de plus en plus difficile. A penser ça, je me sens une mère indigne. Mais je ne parviens pas à faire autrement. Je suis perdue. Sans lui.
Il est déjà quatorze heures. Je n’ai fait que dormir, pleurer, penser aujourd’hui. Il faut que je me ressaisisse. Je me prépare. Aujourd’hui j’ai décidé d’aller le voir avec Adam. Lui parler. Parfois ca me fait du bien. Adam termine l’école à quatre heures d’habitude, mais je suis sûre que sa maîtresse comprendra.
Voila, je suis prête. Je descends les escaliers, me dirige vers la porte. Je pose ma main sur la poignée et m’apprête à l’ouvrit. Quand la sonnerie retentit. J’ouvre la porte. En voyant la personne, je reste béat.
- Oh mon Dieu !
- Sara…
Dernière édition par Islemmedemars le Ven 12 Déc - 13:12, édité 1 fois
Re: Nothing's gonna come between us
Oh mon dieuuuuuuu
Ta pas l'droit!!!!!!Trop de suspennnnce!!Ahhhhhhhhhhh
La suiteeeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!
Ta pas l'droit!!!!!!Trop de suspennnnce!!Ahhhhhhhhhhh
La suiteeeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!
Re: Nothing's gonna come between us
Si j'ai le droit lool..$acass a écrit:Oh mon dieuuuuuuu
Ta pas l'droit!!!!!!Trop de suspennnnce!!Ahhhhhhhhhhh
La suiteeeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!
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