Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
Salut tout le monde!
C'est ma première journée de vacances, et je me suis levée avec une idée de WESAH FIC dans la tête, je les écrits et je me suis dit qu'il y a que vous pour la lire et me dire si vous l'appreciez. Premièrement, j'espère que vous allez l'aimer. Deuxièmement, j'espère que cette fic sera un sujet de plus qui va entretenir et solidifier notre amitié sur ce fofo (puisque c le sujet actuel, je me doit de glisser un mot la dessus: jadore le forum meme si jy ecrit pas souvent a cause de mes études, mais tous les jours j'y fait un saut...et cette belle ambiance, je ne veux pas que sa sarrete).
Alors, avant de vous laisser lire ma fic, je doit faire qq précisions: je suis une grande fan de Wesah et aussi de Brangelina...et dans ma tete, jaime imaginer que tout ce monde se connaissent...alors jai mi Brad et Angelina Jolie-Pitt dans la fic...Et, d'autres nouveaux personnages que je vous présenterai au fur et a mesur que la fic avance (si vous laimez bien sure!) Aussi, j'ai du modifié certaines réalités pour le besoin de la cause.
Prets? (je me sens nerveuse la..)
Présentation des personnages:
Brad (Pitt): le célèbre acteur, conjoint d’Angelina Jolie, père de Maddox, Pax, Zahara, Shiloh, Knox et Vivienne.
Angelina (Jolie) : la célèbre actrice, grande amie de Sarah, elles ne se voient pas souvent, parce qu’Angie est toujours en voyage.
Silvia (Barteloni) : Meilleur amie de Sarah depuis l’enfance et sa styliste personnelle.
Josh : fiancé de Sarah, ils ne sont pas encore mariés. Il est homme d’affaire et il voyage souvent.
Elle sonne à la porte. Une minute plus tard, la porte s’ouvre sur deux beaux visages très souriants, accompagnés d’un tourbillon d’enfants, sautillants dans le vestibule en criant et en riant.
-Sarah! Sarah! Sarah!
-Ah mon Dieu!
Elle embrasse Brad et Angelina en riant et se précipite vers les enfants pour les embrasser et les chatouiller.
-Ah! Ce que vous me manquez! Maddie! Donne-moi un bisou vite!
-Et moi? Demande Pax en s’approchant d’elle. Les deux frères adorent Sarah et ne cessent de vouloir l’embrasser.
-Toi aussi, tu dois venir me donner un bisou! Tu pensais t’en sortir sans m’en donner?, le taquine-t-elle. De jolis garçons comme ça, je veux en avoir plein de bisous.
-Et, les jolies filles?, s’écrie Zahara, du haut de ces trois ans et demi.
-Bien sûre! Allez, Shi, Zee, venez ici me donner des bisous.
Elle s’accroupit, serre les deux filles dans ses bras, leur donne leur part de bisous et se lève sous le regard amusé de leurs parents.
-Quoi? Tu es jaloux Brad?, le taquine Sarah. Parce que je trouve que tu n’as pas de quoi, le blague-t-elle en désignant Angie du menton.
-Hey! J’espère que t’es pas jaloux!, renchérit Angie, pour poursuivre le jeu de Sarah.
-C’est bien, vous vous amusez maintenant à mes dépens!
Tout le monde se dirige en riant vers le vaste salon de Jolie-Pitt à Los Angeles.
-Sarah : vous me manquez tellement, c’est pas possible! Ça te prend la première de ton film pour venir à Los Angeles, Bradley?
-Brad : tu sais avec les enfants, ça devient dur! Et, puis, j’ai un tournage à Berlin, c’est pour ça.
-Sarah : Bon, au moins je vous ai vu. Je ne pensais pas que ce serait possible pour ce soir, mais, j’ai fini le tournage plutôt que prévu, j’ai mangé vite un morceau et je suis venue ici tout de suite.
-Angelina : Comment va Josh?
-Sarah : Bien.
Angelina et Brad s’échangent un regard discret pour ne pas divulguer à leur amie un doute qui les tenaille.
-Maddox : C’est vrai Sarah, pourquoi Josh ne vient pas nous voir avec toi.
-Sarah : Mais si, ça lui arrive de venir. Mais, il est très occupé ces temps-ci.
-Maddox : Oh! Et vous habitez ensemble, ou pas encore?
-Sarah (en riant) : Petit diable! Non, on n’habite pas encore ensemble.
-Maddox : Qu’est-ce que vous attendez?
-Angelina : Mad…!
-Sarah : Laisse-le, il pose des questions innocentes et je lui réponds. On attend d’être mariés.
-Maddox (faisant allusion à ses parents) : vous n’avez pas besoin d’être mariés pour habiter ensemble!
-Zahara : Quand vous allez avoir des bébés?
-Sarah (en réprimant un sourire) : Pourquoi?
-Zahara : On veut jouer avec!
Tout le monde éclate de rire.
-Sarah : Comme si tu n’avais pas assez de frères et sœurs pour jouer avec!
-Shiloh : Mais, les zumeaux zont acore pitis (les jumeaux sont encore petits!).
-Sarah (à Brad et Angie) : Ah! Je sais maintenant pourquoi vous faîtes autant de bébés! (sur un ton beaucoup plus bas) Non pas, parce que vous ne savez pas que les condoms existent!
Le couple éclate de rire en se regardant.
-Zahara (en chuchotant dans l’oreille de Sarah) : tu n’as pas à être mariée pour avoir des bébés.
-Sarah (bouche-bée) : ah bon?!
-Zahara : Oui! Comme papa et maman…tu ne sais pas?
-Sarah (réprimant son envie de rire) : …
-Zahara (innocemment) : Je les vois.
-Sarah (écarquille les yeux et attend la suite) : euh…
-Zahara : Dans la cuisine, papa colle sa bouche sur celle de maman, longtemps longtemps longtemps, et la serre très fort contre lui.
-Sarah pousse un soupire de soulagement. Elle pensait qu’elle devait expliquer à Zahara la vraie chose que font ses parents pour avoir des bébés.
-Zahara (innocemment) : Josh ne sait pas? Tu veux que je lui dise de faire ça?
-Sarah pense alors à la personne à qui elle voudrait faire ça.
-Sarah : Non, c’est correcte, je vais lui dire, je t’assure.
Une heure plus tard, les enfants couchés, Brad et Angelina se retrouvent enfin seuls avec Sarah.
-Angie : Alors, ça va bien?
-Sarah : Ça va.
-Brad : On te trouve pas mal tracassée, et dis pas le contraire.
-Sarah : …
-Angie : Tu sais que tu peux nous le dire…
-Sarah : Vous dire quoi? Que je vis tout le temps entre deux mondes, entre deux choix, entre deux options, entre deux décisions, entre deux émotions…entre deux…hommes!
-Brad : Tu n’as pas encre réussit à faire le point?
-Sarah (avec de la colère dans les yeux) : NON! Et, je me déteste pour ça… Je ne comprends même pas ce qui m’arrive, pourquoi je fais tout ça. J’ai toujours été très claire avec moi-même…toujours, sauf dans cette histoire, et ça me tue!
-Angie : Mais, ça avait arrêté non?
-Sarah : Oui, mais quand j’ai acceptée de redevenir Sara Tancredi…tout à recommencé! Les doutes, les angoisses, les contradictions…Je suis fatiguée, j’en ai marre, je ne sais plus ce que je veux.
-Brad : T’es la seule à pouvoir faire le point…
-Angie : Observe-toi, comme t’es avec chacun d’eux.
-Sarah : Avec Josh…quand il est là, c’est très bien, je m’amuse beaucoup, je me sens heureuse, je l’aime quoi! Avec…ah! C’est là que je ne sais plus quoi dire…Quand Josh est pas là, quand je ne le vois pas tous les jours…je commence à douter…pas de lui, de moi! J’ai quand même accepté sa demande en mariage, il y a quelques mois!
-Angie : Demande-toi, pourquoi tu l’as fait?
-Sarah : Parce que ça fait quand même cinq ans qu’on est ensemble, et que ça marche bien entre nous…
-Bard : Et…Wentworth?
Sarah baisse la tête. Wentworth…
Alors? (lachez vos comms. svp)
C'est ma première journée de vacances, et je me suis levée avec une idée de WESAH FIC dans la tête, je les écrits et je me suis dit qu'il y a que vous pour la lire et me dire si vous l'appreciez. Premièrement, j'espère que vous allez l'aimer. Deuxièmement, j'espère que cette fic sera un sujet de plus qui va entretenir et solidifier notre amitié sur ce fofo (puisque c le sujet actuel, je me doit de glisser un mot la dessus: jadore le forum meme si jy ecrit pas souvent a cause de mes études, mais tous les jours j'y fait un saut...et cette belle ambiance, je ne veux pas que sa sarrete).
Alors, avant de vous laisser lire ma fic, je doit faire qq précisions: je suis une grande fan de Wesah et aussi de Brangelina...et dans ma tete, jaime imaginer que tout ce monde se connaissent...alors jai mi Brad et Angelina Jolie-Pitt dans la fic...Et, d'autres nouveaux personnages que je vous présenterai au fur et a mesur que la fic avance (si vous laimez bien sure!) Aussi, j'ai du modifié certaines réalités pour le besoin de la cause.
Prets? (je me sens nerveuse la..)
Chapitre 1
Présentation des personnages:
Brad (Pitt): le célèbre acteur, conjoint d’Angelina Jolie, père de Maddox, Pax, Zahara, Shiloh, Knox et Vivienne.
Angelina (Jolie) : la célèbre actrice, grande amie de Sarah, elles ne se voient pas souvent, parce qu’Angie est toujours en voyage.
Silvia (Barteloni) : Meilleur amie de Sarah depuis l’enfance et sa styliste personnelle.
Josh : fiancé de Sarah, ils ne sont pas encore mariés. Il est homme d’affaire et il voyage souvent.
Elle sonne à la porte. Une minute plus tard, la porte s’ouvre sur deux beaux visages très souriants, accompagnés d’un tourbillon d’enfants, sautillants dans le vestibule en criant et en riant.
-Sarah! Sarah! Sarah!
-Ah mon Dieu!
Elle embrasse Brad et Angelina en riant et se précipite vers les enfants pour les embrasser et les chatouiller.
-Ah! Ce que vous me manquez! Maddie! Donne-moi un bisou vite!
-Et moi? Demande Pax en s’approchant d’elle. Les deux frères adorent Sarah et ne cessent de vouloir l’embrasser.
-Toi aussi, tu dois venir me donner un bisou! Tu pensais t’en sortir sans m’en donner?, le taquine-t-elle. De jolis garçons comme ça, je veux en avoir plein de bisous.
-Et, les jolies filles?, s’écrie Zahara, du haut de ces trois ans et demi.
-Bien sûre! Allez, Shi, Zee, venez ici me donner des bisous.
Elle s’accroupit, serre les deux filles dans ses bras, leur donne leur part de bisous et se lève sous le regard amusé de leurs parents.
-Quoi? Tu es jaloux Brad?, le taquine Sarah. Parce que je trouve que tu n’as pas de quoi, le blague-t-elle en désignant Angie du menton.
-Hey! J’espère que t’es pas jaloux!, renchérit Angie, pour poursuivre le jeu de Sarah.
-C’est bien, vous vous amusez maintenant à mes dépens!
Tout le monde se dirige en riant vers le vaste salon de Jolie-Pitt à Los Angeles.
-Sarah : vous me manquez tellement, c’est pas possible! Ça te prend la première de ton film pour venir à Los Angeles, Bradley?
-Brad : tu sais avec les enfants, ça devient dur! Et, puis, j’ai un tournage à Berlin, c’est pour ça.
-Sarah : Bon, au moins je vous ai vu. Je ne pensais pas que ce serait possible pour ce soir, mais, j’ai fini le tournage plutôt que prévu, j’ai mangé vite un morceau et je suis venue ici tout de suite.
-Angelina : Comment va Josh?
-Sarah : Bien.
Angelina et Brad s’échangent un regard discret pour ne pas divulguer à leur amie un doute qui les tenaille.
-Maddox : C’est vrai Sarah, pourquoi Josh ne vient pas nous voir avec toi.
-Sarah : Mais si, ça lui arrive de venir. Mais, il est très occupé ces temps-ci.
-Maddox : Oh! Et vous habitez ensemble, ou pas encore?
-Sarah (en riant) : Petit diable! Non, on n’habite pas encore ensemble.
-Maddox : Qu’est-ce que vous attendez?
-Angelina : Mad…!
-Sarah : Laisse-le, il pose des questions innocentes et je lui réponds. On attend d’être mariés.
-Maddox (faisant allusion à ses parents) : vous n’avez pas besoin d’être mariés pour habiter ensemble!
-Zahara : Quand vous allez avoir des bébés?
-Sarah (en réprimant un sourire) : Pourquoi?
-Zahara : On veut jouer avec!
Tout le monde éclate de rire.
-Sarah : Comme si tu n’avais pas assez de frères et sœurs pour jouer avec!
-Shiloh : Mais, les zumeaux zont acore pitis (les jumeaux sont encore petits!).
-Sarah (à Brad et Angie) : Ah! Je sais maintenant pourquoi vous faîtes autant de bébés! (sur un ton beaucoup plus bas) Non pas, parce que vous ne savez pas que les condoms existent!
Le couple éclate de rire en se regardant.
-Zahara (en chuchotant dans l’oreille de Sarah) : tu n’as pas à être mariée pour avoir des bébés.
-Sarah (bouche-bée) : ah bon?!
-Zahara : Oui! Comme papa et maman…tu ne sais pas?
-Sarah (réprimant son envie de rire) : …
-Zahara (innocemment) : Je les vois.
-Sarah (écarquille les yeux et attend la suite) : euh…
-Zahara : Dans la cuisine, papa colle sa bouche sur celle de maman, longtemps longtemps longtemps, et la serre très fort contre lui.
-Sarah pousse un soupire de soulagement. Elle pensait qu’elle devait expliquer à Zahara la vraie chose que font ses parents pour avoir des bébés.
-Zahara (innocemment) : Josh ne sait pas? Tu veux que je lui dise de faire ça?
-Sarah pense alors à la personne à qui elle voudrait faire ça.
-Sarah : Non, c’est correcte, je vais lui dire, je t’assure.
Une heure plus tard, les enfants couchés, Brad et Angelina se retrouvent enfin seuls avec Sarah.
-Angie : Alors, ça va bien?
-Sarah : Ça va.
-Brad : On te trouve pas mal tracassée, et dis pas le contraire.
-Sarah : …
-Angie : Tu sais que tu peux nous le dire…
-Sarah : Vous dire quoi? Que je vis tout le temps entre deux mondes, entre deux choix, entre deux options, entre deux décisions, entre deux émotions…entre deux…hommes!
-Brad : Tu n’as pas encre réussit à faire le point?
-Sarah (avec de la colère dans les yeux) : NON! Et, je me déteste pour ça… Je ne comprends même pas ce qui m’arrive, pourquoi je fais tout ça. J’ai toujours été très claire avec moi-même…toujours, sauf dans cette histoire, et ça me tue!
-Angie : Mais, ça avait arrêté non?
-Sarah : Oui, mais quand j’ai acceptée de redevenir Sara Tancredi…tout à recommencé! Les doutes, les angoisses, les contradictions…Je suis fatiguée, j’en ai marre, je ne sais plus ce que je veux.
-Brad : T’es la seule à pouvoir faire le point…
-Angie : Observe-toi, comme t’es avec chacun d’eux.
-Sarah : Avec Josh…quand il est là, c’est très bien, je m’amuse beaucoup, je me sens heureuse, je l’aime quoi! Avec…ah! C’est là que je ne sais plus quoi dire…Quand Josh est pas là, quand je ne le vois pas tous les jours…je commence à douter…pas de lui, de moi! J’ai quand même accepté sa demande en mariage, il y a quelques mois!
-Angie : Demande-toi, pourquoi tu l’as fait?
-Sarah : Parce que ça fait quand même cinq ans qu’on est ensemble, et que ça marche bien entre nous…
-Bard : Et…Wentworth?
Sarah baisse la tête. Wentworth…
Alors? (lachez vos comms. svp)
Dernière édition par angie-nina le Mar 6 Jan - 8:25, édité 7 fois
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
J'adore ton idée mais je sais pas pourquoi je ne vois pas Sarah amie avec Brad et Angelina! Je veux bien la suite moi
sosam66- Kellerman my friend!
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
MERCI...je sais que c pas super accrocheur comme début...mais jai plein d'idée pour la suite...
Lol..ta un peu raison...mais j'aime troop Brangelina..alor je me suis di..on fait un essai..mais t'inquiète...ils sont souven pa a La...so on les verra pas trop...je ne savais comment introduire l'histoire sans tout dire tout de suite...et puis les autres fic m'inspiraient bcp trop, alors il fallait que je m'éloigne un peu de leurs idés...
allez, je continue le 2ieme chapitre et je l'envoie...pe que vous allez plus aimer sa (CROISE LES DOIGTS)
Lol..ta un peu raison...mais j'aime troop Brangelina..alor je me suis di..on fait un essai..mais t'inquiète...ils sont souven pa a La...so on les verra pas trop...je ne savais comment introduire l'histoire sans tout dire tout de suite...et puis les autres fic m'inspiraient bcp trop, alors il fallait que je m'éloigne un peu de leurs idés...
allez, je continue le 2ieme chapitre et je l'envoie...pe que vous allez plus aimer sa (CROISE LES DOIGTS)
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
Bon...je me donne une deuxième chance et je poste le chapitre 2...ou on voit PLUS DE WESAH!
Sa me tente de finire cette fic pcq je sais que apres sa va etre mieu alors si vous aimer pas qqch dite le...je le modifierai...jai besoin de votre avis, les filles!
Il jette son texte sur la table basse et se laisse tomber en soupirant sur le sofa. Encore une fois, le silence de son appartement lui fait mal. Parfois le silence est plus sonore que le bruit. Il laisse une marque de vide et l’obligation de se retourner vers son fort intérieur pour faire l’évaluation des dégâts qui ravagent le cœur.
Il allume la télé, zappe d’une chaîne à l’autre sans même remarquer ce qui passe à la télé, tellement il se sent angoissé et seul.
Jusqu’à quand va-t-il rester de même? À attendre, à espérer…des fois…que…peut-être…un jour. One Day…les mots qu’il a tant répétés en étant dans la peau d’un autre homme. Ces mots qu’il n’est pas capable de se dire encore parce que ça fait quatre ans qu’il sait que c’est impossible, mais, qu’il se prend à chaque fois, pendant un instant de faiblesse, à espérer comme un pauvre con.
La plus grande tentation de sa vie, il la côtoie depuis quatre ans. Collé à son cœur, à son corps, elle ne le lâche plus. C’est comme vivre avec le diable tous les jours, mais avec un diable aux allures angéliques, séduisantes, délicieuses, attirantes… Il sait qu’il joue avec le feu et qu’il sera le seul à s’y brûler…mais, il faut s’assumer. Être près du feu est beaucoup mieux que d’en être loin, au moins de même, il peut se réchauffer le cœur.
Son portable sonne, il le prend dans ses mains et lorsque ses yeux se posent sur l’écran, son regard brûle.
-Wentworth?
Il ferme les yeux et se racle la gorge. Ah…cette voix…
-Went : Hey Sarah. Ça va bien?
-Sarah : Oui et toi?
-Went : Ça va. Tu t’es bien amusée?
-Sarah : Oui. Ça faisait longtemps que je ne les ai pas vus. Hum…mais je t’appelle pour dire que je suis désolée, je sais qu’on devait pratiquer le texte ensemble, mais…
-Went : C’est pas grave, je comprends…
-Sarah : Alors, qu’est-ce que tu fais?
-Went : Rien de spécial.
-Sarah : À quelle heure on tourne demain?
-Went : Hum, laisse-moi regarder…à 7h00 on doit être sur le plateau…à 9h00 on tourne une scène ensemble.
-Sarah : Super…oui, c’est…pas trop tôt. Tu as parlé avec ta mère aujourd’hui?
-Went : Oui, elle te passe le bonjour.
-Sarah : Elle est vraiment adorable, Went.
-Went : Elle t’en veut par exemple.
-Sarah : Oh! Pourquoi ça?
-Went : Parce que tu ne viens pas la visiter.
-Sarah : Elle doit t’en vouloir à toi! C’est toi qui ne m’y amène pas!
-Went : Ça te tente d’y aller cette fin de semaine?
-Sarah : Tu es sérieux?
-Went : Oui…on pourra passer le week-end là-bas…pour consoler ma mère!
-Sarah : Ouais, c’est ça. Non, sérieux…j’ai le goût de te dire oui.
-Went : Alors, dis-le.
-Sarah : Oui. Mais, ta maman…
-Went : Sarah, c’est elle qui m’a proposé.
-Sarah : Ça alors…vivement le weekend…Bon bien, je suis mieux d’apprendre bien mon texte si je ne veux pas que Paul nous coupe notre samedi-dimanche.
-Went : Allez, moi aussi. Bonne nuit, Sarah, à demain.
-Sarah : Bonne nuit, Cupcake.
Il reste longtemps, le portable collé à l’oreille, le rire de Sarah dans l’oreille. Ah…À quand le weekend?
Je vous promet qu'il se passera des choses pendant ce weekend...donner moi une chance, c ma première fic et c vous seuls qui decidez...
Sa me tente de finire cette fic pcq je sais que apres sa va etre mieu alors si vous aimer pas qqch dite le...je le modifierai...jai besoin de votre avis, les filles!
Chapitre 2
Il jette son texte sur la table basse et se laisse tomber en soupirant sur le sofa. Encore une fois, le silence de son appartement lui fait mal. Parfois le silence est plus sonore que le bruit. Il laisse une marque de vide et l’obligation de se retourner vers son fort intérieur pour faire l’évaluation des dégâts qui ravagent le cœur.
Il allume la télé, zappe d’une chaîne à l’autre sans même remarquer ce qui passe à la télé, tellement il se sent angoissé et seul.
Jusqu’à quand va-t-il rester de même? À attendre, à espérer…des fois…que…peut-être…un jour. One Day…les mots qu’il a tant répétés en étant dans la peau d’un autre homme. Ces mots qu’il n’est pas capable de se dire encore parce que ça fait quatre ans qu’il sait que c’est impossible, mais, qu’il se prend à chaque fois, pendant un instant de faiblesse, à espérer comme un pauvre con.
La plus grande tentation de sa vie, il la côtoie depuis quatre ans. Collé à son cœur, à son corps, elle ne le lâche plus. C’est comme vivre avec le diable tous les jours, mais avec un diable aux allures angéliques, séduisantes, délicieuses, attirantes… Il sait qu’il joue avec le feu et qu’il sera le seul à s’y brûler…mais, il faut s’assumer. Être près du feu est beaucoup mieux que d’en être loin, au moins de même, il peut se réchauffer le cœur.
Son portable sonne, il le prend dans ses mains et lorsque ses yeux se posent sur l’écran, son regard brûle.
-Wentworth?
Il ferme les yeux et se racle la gorge. Ah…cette voix…
-Went : Hey Sarah. Ça va bien?
-Sarah : Oui et toi?
-Went : Ça va. Tu t’es bien amusée?
-Sarah : Oui. Ça faisait longtemps que je ne les ai pas vus. Hum…mais je t’appelle pour dire que je suis désolée, je sais qu’on devait pratiquer le texte ensemble, mais…
-Went : C’est pas grave, je comprends…
-Sarah : Alors, qu’est-ce que tu fais?
-Went : Rien de spécial.
-Sarah : À quelle heure on tourne demain?
-Went : Hum, laisse-moi regarder…à 7h00 on doit être sur le plateau…à 9h00 on tourne une scène ensemble.
-Sarah : Super…oui, c’est…pas trop tôt. Tu as parlé avec ta mère aujourd’hui?
-Went : Oui, elle te passe le bonjour.
-Sarah : Elle est vraiment adorable, Went.
-Went : Elle t’en veut par exemple.
-Sarah : Oh! Pourquoi ça?
-Went : Parce que tu ne viens pas la visiter.
-Sarah : Elle doit t’en vouloir à toi! C’est toi qui ne m’y amène pas!
-Went : Ça te tente d’y aller cette fin de semaine?
-Sarah : Tu es sérieux?
-Went : Oui…on pourra passer le week-end là-bas…pour consoler ma mère!
-Sarah : Ouais, c’est ça. Non, sérieux…j’ai le goût de te dire oui.
-Went : Alors, dis-le.
-Sarah : Oui. Mais, ta maman…
-Went : Sarah, c’est elle qui m’a proposé.
-Sarah : Ça alors…vivement le weekend…Bon bien, je suis mieux d’apprendre bien mon texte si je ne veux pas que Paul nous coupe notre samedi-dimanche.
-Went : Allez, moi aussi. Bonne nuit, Sarah, à demain.
-Sarah : Bonne nuit, Cupcake.
Il reste longtemps, le portable collé à l’oreille, le rire de Sarah dans l’oreille. Ah…À quand le weekend?
Je vous promet qu'il se passera des choses pendant ce weekend...donner moi une chance, c ma première fic et c vous seuls qui decidez...
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
J'ai hate de voir ce qui va se passer durant ce week end
sosam66- Kellerman my friend!
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
Alors Angie-Nina, d'une tu écris super bien... franchement j'ai trop aimé lire (et j'en veux encore). de deux, la 1ere partie est vraiment trop drole, les enfants de Jolie pitt sont tordant de rire avec leurs questions... sinon moi j'aime bien l'idée que les JPitt soient amis avec Sarah.. et puis la 2eme partie est super aussi, j'aime les voir indécis comme ca... j'ai vraiment hâte de lire la suite...
Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
une fic WESA, le mot magique pour moi
pour le moment, j'accroche sauf (et j'en suis désolée au couple Pitt/Jolie), j'espère que tu vas poster régulièrement
continues comme ça
pour le moment, j'accroche sauf (et j'en suis désolée au couple Pitt/Jolie), j'espère que tu vas poster régulièrement
continues comme ça
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
moi ossi j'accroche grave continue comme ça !
che4eva- Admis à l'infirmerie
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Entre Deux Mondes-Wesah Fic (chapitre 3)
Salut les filles
MERCIIIIIIIIIIIIIIII MERCIIIII MERCIIIII pour vos comms... Alors, je me suis dépechée de faire la suite...puiske je suis inspirée.
Alors, vous voulez savoir ce qui se passe dans ce weekend? ET VOILA!!!!
Habillée d’un short blanc moulant jusqu’au dessus du genou, d’une camisole rouge rayée en blanc, qui épouse parfaitement le contour de sa poitrine et de sa fine taille, et de souliers ballerines blancs au petits pois rouges, elle sort de la 4x4 de son meilleur ami et se dirige vers lui pour l’aider à porter les bagages légers qu’ils ont amener pour leur fin de semaine. Il la voit arriver, les cheveux ondulant dans le vent de la banlieue de Los Angeles et lui sourit.
-Went : Dis, tu es tout en couleur! Rouge en plus?
-Sarah : Je ne veux pas déprimer tes parents. (Feignant d’être vexée) Et, puis Miller, tu viens de le remarquer? Après avoir passé deux grosses heures avec moi dans l’auto!
-Went : Excuse-moi, mais j’étais ébloui par la blancheur de tes jambes.
-Sarah (en le poussant doucement) : AH! Espèce de…comme si tu étais mieux que moi! Tu es aussi blanc que la neige! On a bien vu l’autre fois avec tes shorts rouges (elle lui lance un clin d’œil).
-Went : Okay…c’est pour ça que tu as mis du rouge? Tu es jalouse de moi c’est ça?
-Sarah (jouant de la comédie) : OH WENTY! Comment as-tu pu deviner? Suis-je si superficielle?
-Went (en riant) : T’inquiète. Mais, c’est vrai que ça fait changement le rouge. J’aime ça.
-Sarah : Contente que t’apprécie.
Ils marchent doucement côte à côte vers la maison des parents de Wentworth.
-Sarah : Dis, tu as déjà remarqué qu’à chaque fois que tu es en entrevue avec moi, tu porte soit du gris ou du noir?
-Went : Ah bon?
-Sarah : Oui, tu ne me crois pas?
-Went : Et, t’aime ou pas?
-Sarah : Ben, c’est correcte. Et puis non, le gris ça te va super bien…ça fait ressortir tes yeux.
-Went : Okay, je porterai toujours du gris pour te plaire.
-Sarah : Oh, crois-moi, t’as pas besoin de porter grand-chose pour me plair…
Ce n’est qu’en regardant les yeux de Went remplis de rire et ses lèvres qu’il mordille pour s’empêcher d’éclater que Sarah comprenne ce qu’elle venait de dire.
-Sarah : Euh…
Wentworth éclate alors de rire et n’arrive plus à s’arrêter, comme à chaque fois qu’il rit. Comme son rire lui est souvent contagieux, Sarah rigole elle aussi et se sent soulagée que l’allusion au corps nu de Went ne les ai pas embarrassé.
Madame Miller, alertée par leurs rires, se dépêche de leur ouvrir grand ses bras après leur avoir ouvert la porte de la maison parentale. Sarah cesse alors de rire et se dirige vers madame Miller, un grand sourire dessiné sur les lèvres, pour l’embrasser.
-Sarah : Madame Miller, ça fait longtemps, comment allez-vous?
-Madame Miller : C’est quoi cette histoire, Sarah? À chaque fois que ça fait longtemps que tu ne viens pas chez nous tu m’appelle Madame Miller…tu oublie que je veux que tu m’appelle Roxann?
-Sarah : Oh, d’accord comme vous voulez. Bonjour…euh…Monsieur Miller.
-M. Miller : bonjour Sarah. Moi, c’est correcte tu peux m’appeler monsieur.
-Sarah : D’accord. Vous allez-bien?
Wentworth s’essuie les yeux en se dirigeant vers ses parents pour les embrasser.
-Roxann : Mon Dieu…tu n’as pas arrêté de pleurer toi quand tu ris. Sarah, depuis qu’il est tout petit il fait ça.
-Went : C’est bon maman, j’ai presque quarante ans…
-Sarah : WENT! Tu as trente cinq, et c’est bien…apprécie ton âge…
-Roxann : Elle a raison.
-Went (en chuchotant dans l’oreille de Sarah) : Je sais pas pourquoi quand tu es là, c’est toujours toi qui a raison…je sens de la discrimination dans ma propre famille.
Elle lui pince le bras pour toute réponse.
Quatre heures plus tard, Roxann se lève pour préparer le souper. Sarah la suit pour l’aider.
-Sarah : Comment je peux vous aider, Roxann?
-Roxann : Oh, ma chérie, profite de ton temps ici, tu n’as pas besoin de m’aider. Et, puis, tout est presque prêt. Mais, si tu veux vraiment m’aider…
-Sarah : oui...
-Roxann : Wentworth…
Sarah s’assoie sur une chaise et regarde Roxann s’assoir devant elle.
-Roxann : Il m’inquiète. Il est toujours seul, il me semble triste…ce n’est qu’avec toi que je le sens à l’aise. Peux-tu lui parler, je suis sûre qu’il y a une femme derrière tout ça…
Sarah baisse son regard sur ses mains pendant quelques instants…une femme.
-Sarah : Je vais aller le voir.
Roxann Miller regarde Sarah sortir doucement de la cuisine. Elle soupire et se lève pour retourner à ses chaudrons.
Elle le cherche du regard et le trouve assis sur l’herbe dans un coin assez isolé de l’immense jardin des Miller. Elle s’approche doucement de lui et s’assoit tout près.
-Sarah : Hey. Je te dérange.
-Went (en lui souriant) : Non. Mais, tu vas salir tes jolis shorts blancs.
Il se lève et prend un coussin sur une des chaises longues pour le déposer sous les fesses de Sarah. Il est tellement attentionné.
Elle garde le silence pendant un moment et, lui, ne dit rien. Il attend, il sait qu’elle va parler. Le vent joue avec ses cheveux auburn qui tirent sur le roux quand les rayons du soleil les frappent.
-Sarah : Il faut qu’on parle.
Elle ne le regarde pas dans les yeux. Elle fixe un point devant elle dans le jardin. Lui, il fixe son profil en attendant la suite.
-Sarah : Je…je ne sais pas ce que tu as…pourquoi parfois…je sens que…je sens que tu as beaucoup de peine…je le vois dans tes yeux…Je…je ne sais pas qui est cette…hum, cette femme…mais, est-ce que tu as déjà essayé de l’oublier, de passer à autre chose…de…je ne sais pas…tu comprends? Il y a tellement de femmes dans le monde qui voudraient être avec toi!
-Went : Sarah…ce n’est pas si facile…tu ne peux pas comprendre parce que tu ne le vis pas.
Elle se tait et fixe l’horizon. Bien sûre qu’elle ne le sait pas…mais, lui non plus ne sait pas ce qu’elle vit! Elle continue, toujours le regard devant elle.
-Sarah : Qu’est ce que ça prend pour alléger ta peine…je veux dire, à part d’être avec elle?
Après quelques secondes de réflexion il répond.
-Went : Un baiser…
-Sarah (le regardant enfin): Je suis sérieuse, Went.
-Went (en plongeant son regard d’océan dans le sien) : Moi aussi…Sarah…
Elle baisse les yeux sur ses lèvres qui s’entrouvrent, invitantes. Elle fixe cette cicatrice qu’elle adore. Elle remarque la naissance des poils de la barbe rasée pourtant le matin même, au fur et à mesure qu’il s’approche d’elle. Elle est comme hypnotisée par ces lèvres dans l’attente qu’elles se soudent enfin aux siennes, ces lèvres douces qui forcent la porte de sa bouche et s’insinuent en elle. Ces lèvres qu’elle boit et qui l’abreuvent…ces lèvres qui provoquent des vagues dans son bas ventre, qui la font gémir et qui étouffent le son. Ce baiser n’est plus un simple baiser d’amitié ou de consolation…c’est un vrai baiser…parce que des baisers, il n’y en a pas de faux.
Cachée derrière un arbre, Leigh ferme les yeux tellement elle sent le désir et l’intensité du baiser dont elle vient d’être témoin.
Alors, toujours accro? J'espère en recruter d'autres...surtout en vous disant que...le week-end il est pas encore fini, attendez la 2ieme partie... et surtou lacher vos comms
MERCIIIIIIIIIIIIIIII MERCIIIII MERCIIIII pour vos comms... Alors, je me suis dépechée de faire la suite...puiske je suis inspirée.
Alors, vous voulez savoir ce qui se passe dans ce weekend? ET VOILA!!!!
Chapitre 3
Habillée d’un short blanc moulant jusqu’au dessus du genou, d’une camisole rouge rayée en blanc, qui épouse parfaitement le contour de sa poitrine et de sa fine taille, et de souliers ballerines blancs au petits pois rouges, elle sort de la 4x4 de son meilleur ami et se dirige vers lui pour l’aider à porter les bagages légers qu’ils ont amener pour leur fin de semaine. Il la voit arriver, les cheveux ondulant dans le vent de la banlieue de Los Angeles et lui sourit.
-Went : Dis, tu es tout en couleur! Rouge en plus?
-Sarah : Je ne veux pas déprimer tes parents. (Feignant d’être vexée) Et, puis Miller, tu viens de le remarquer? Après avoir passé deux grosses heures avec moi dans l’auto!
-Went : Excuse-moi, mais j’étais ébloui par la blancheur de tes jambes.
-Sarah (en le poussant doucement) : AH! Espèce de…comme si tu étais mieux que moi! Tu es aussi blanc que la neige! On a bien vu l’autre fois avec tes shorts rouges (elle lui lance un clin d’œil).
-Went : Okay…c’est pour ça que tu as mis du rouge? Tu es jalouse de moi c’est ça?
-Sarah (jouant de la comédie) : OH WENTY! Comment as-tu pu deviner? Suis-je si superficielle?
-Went (en riant) : T’inquiète. Mais, c’est vrai que ça fait changement le rouge. J’aime ça.
-Sarah : Contente que t’apprécie.
Ils marchent doucement côte à côte vers la maison des parents de Wentworth.
-Sarah : Dis, tu as déjà remarqué qu’à chaque fois que tu es en entrevue avec moi, tu porte soit du gris ou du noir?
-Went : Ah bon?
-Sarah : Oui, tu ne me crois pas?
-Went : Et, t’aime ou pas?
-Sarah : Ben, c’est correcte. Et puis non, le gris ça te va super bien…ça fait ressortir tes yeux.
-Went : Okay, je porterai toujours du gris pour te plaire.
-Sarah : Oh, crois-moi, t’as pas besoin de porter grand-chose pour me plair…
Ce n’est qu’en regardant les yeux de Went remplis de rire et ses lèvres qu’il mordille pour s’empêcher d’éclater que Sarah comprenne ce qu’elle venait de dire.
-Sarah : Euh…
Wentworth éclate alors de rire et n’arrive plus à s’arrêter, comme à chaque fois qu’il rit. Comme son rire lui est souvent contagieux, Sarah rigole elle aussi et se sent soulagée que l’allusion au corps nu de Went ne les ai pas embarrassé.
Madame Miller, alertée par leurs rires, se dépêche de leur ouvrir grand ses bras après leur avoir ouvert la porte de la maison parentale. Sarah cesse alors de rire et se dirige vers madame Miller, un grand sourire dessiné sur les lèvres, pour l’embrasser.
-Sarah : Madame Miller, ça fait longtemps, comment allez-vous?
-Madame Miller : C’est quoi cette histoire, Sarah? À chaque fois que ça fait longtemps que tu ne viens pas chez nous tu m’appelle Madame Miller…tu oublie que je veux que tu m’appelle Roxann?
-Sarah : Oh, d’accord comme vous voulez. Bonjour…euh…Monsieur Miller.
-M. Miller : bonjour Sarah. Moi, c’est correcte tu peux m’appeler monsieur.
-Sarah : D’accord. Vous allez-bien?
Wentworth s’essuie les yeux en se dirigeant vers ses parents pour les embrasser.
-Roxann : Mon Dieu…tu n’as pas arrêté de pleurer toi quand tu ris. Sarah, depuis qu’il est tout petit il fait ça.
-Went : C’est bon maman, j’ai presque quarante ans…
-Sarah : WENT! Tu as trente cinq, et c’est bien…apprécie ton âge…
-Roxann : Elle a raison.
-Went (en chuchotant dans l’oreille de Sarah) : Je sais pas pourquoi quand tu es là, c’est toujours toi qui a raison…je sens de la discrimination dans ma propre famille.
Elle lui pince le bras pour toute réponse.
Quatre heures plus tard, Roxann se lève pour préparer le souper. Sarah la suit pour l’aider.
-Sarah : Comment je peux vous aider, Roxann?
-Roxann : Oh, ma chérie, profite de ton temps ici, tu n’as pas besoin de m’aider. Et, puis, tout est presque prêt. Mais, si tu veux vraiment m’aider…
-Sarah : oui...
-Roxann : Wentworth…
Sarah s’assoie sur une chaise et regarde Roxann s’assoir devant elle.
-Roxann : Il m’inquiète. Il est toujours seul, il me semble triste…ce n’est qu’avec toi que je le sens à l’aise. Peux-tu lui parler, je suis sûre qu’il y a une femme derrière tout ça…
Sarah baisse son regard sur ses mains pendant quelques instants…une femme.
-Sarah : Je vais aller le voir.
Roxann Miller regarde Sarah sortir doucement de la cuisine. Elle soupire et se lève pour retourner à ses chaudrons.
Elle le cherche du regard et le trouve assis sur l’herbe dans un coin assez isolé de l’immense jardin des Miller. Elle s’approche doucement de lui et s’assoit tout près.
-Sarah : Hey. Je te dérange.
-Went (en lui souriant) : Non. Mais, tu vas salir tes jolis shorts blancs.
Il se lève et prend un coussin sur une des chaises longues pour le déposer sous les fesses de Sarah. Il est tellement attentionné.
Elle garde le silence pendant un moment et, lui, ne dit rien. Il attend, il sait qu’elle va parler. Le vent joue avec ses cheveux auburn qui tirent sur le roux quand les rayons du soleil les frappent.
-Sarah : Il faut qu’on parle.
Elle ne le regarde pas dans les yeux. Elle fixe un point devant elle dans le jardin. Lui, il fixe son profil en attendant la suite.
-Sarah : Je…je ne sais pas ce que tu as…pourquoi parfois…je sens que…je sens que tu as beaucoup de peine…je le vois dans tes yeux…Je…je ne sais pas qui est cette…hum, cette femme…mais, est-ce que tu as déjà essayé de l’oublier, de passer à autre chose…de…je ne sais pas…tu comprends? Il y a tellement de femmes dans le monde qui voudraient être avec toi!
-Went : Sarah…ce n’est pas si facile…tu ne peux pas comprendre parce que tu ne le vis pas.
Elle se tait et fixe l’horizon. Bien sûre qu’elle ne le sait pas…mais, lui non plus ne sait pas ce qu’elle vit! Elle continue, toujours le regard devant elle.
-Sarah : Qu’est ce que ça prend pour alléger ta peine…je veux dire, à part d’être avec elle?
Après quelques secondes de réflexion il répond.
-Went : Un baiser…
-Sarah (le regardant enfin): Je suis sérieuse, Went.
-Went (en plongeant son regard d’océan dans le sien) : Moi aussi…Sarah…
Elle baisse les yeux sur ses lèvres qui s’entrouvrent, invitantes. Elle fixe cette cicatrice qu’elle adore. Elle remarque la naissance des poils de la barbe rasée pourtant le matin même, au fur et à mesure qu’il s’approche d’elle. Elle est comme hypnotisée par ces lèvres dans l’attente qu’elles se soudent enfin aux siennes, ces lèvres douces qui forcent la porte de sa bouche et s’insinuent en elle. Ces lèvres qu’elle boit et qui l’abreuvent…ces lèvres qui provoquent des vagues dans son bas ventre, qui la font gémir et qui étouffent le son. Ce baiser n’est plus un simple baiser d’amitié ou de consolation…c’est un vrai baiser…parce que des baisers, il n’y en a pas de faux.
Cachée derrière un arbre, Leigh ferme les yeux tellement elle sent le désir et l’intensité du baiser dont elle vient d’être témoin.
Alors, toujours accro? J'espère en recruter d'autres...surtout en vous disant que...le week-end il est pas encore fini, attendez la 2ieme partie... et surtou lacher vos comms
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
la fin est juste woauwwwwww. Y'a de l'humour de l'amour c'est vraiment une super fic WESA, oui moi je veux la suite...
Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
Islemmedemars a écrit:la fin est juste woauwwwwww. Y'a de l'humour de l'amour c'est vraiment une super fic WESA, oui moi je veux la suite...
j'ai les yeux explosés à cause des nouvelles couleurs, mais je suis contente de lire une suite et quelle belle suite
Ce baiser n’est plus un simple baiser d’amitié ou de consolation…c’est un vrai baiser…parce que des baisers, il n’y en a pas de faux.
oui entre eux jamais de faux baisers
Leight les a vu mais j'espère qu'elle est heureuse pour son frère
la suite tu as déjà mon soutien
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
j'adore toujours autant ils sont trop mignons tout les deux ! impatiente de lire la suite !
che4eva- Admis à l'infirmerie
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
Salut les filles...je suis super contente que vous aimer
Alors, voila une lonnngguuue suite...
Jespère que vous aimerai le wentworth que je suis entrain de créer...en2k moi je l'adore...
Merci bcp pour tous vos comms.
ET VOILA................
Présentation des personnages :
Leigh : La plus petite sœur de Wentworth. Elle est avocate.
-Wentworth, Sarah, le souper est près.
Les deux se tournent et essaient de savoir d’où vient la voix de Leigh. Impossible. Ils se lèvent rapidement et se dirigent en silence sans se regarder. Ils entrent dans la maison et voient Leigh attablée à côté de sa mère.
-Sarah : Bonjour, Leigh. Ça va?
Leigh se lève et embrasse Sarah et Wentworth.
-Leigh : Ça va bien et vous?
Elle a le même regard perçant que Went. Sauf que celui du jeune homme est beaucoup plus attirant.
-Went (en essayant de paraître nonchalant) : Ça va. On pratiquait nos scènes.
-Sarah : Euh, oui. On aime…des fois on préfère pratiquer sans texte pour voir à quel point on connaît bien nos répliques.
-Leigh : Right…vous vous êtes bien amusés, j’espère?
Wentworth lève la tête vers sa sœur. Il la tuerait à ce moment même.
-Sarah : Oui, on a eu du fun! (changeant rapidement de sujet) Madame…euh…Roxann, que nous avez-vous concocté?
-Roxann : De la lasagne! Went m’a dit que tu adore la lasagne.
-Sarah : Ah oui, c’est vrai…j’adore! Merci beaucoup, vous êtes gentils.
-Leigh : Went parle toujours de toi, Sarah. Sarah par ci, Sarah par là…
-Went : Exactement de la même manière que tu parle de John…ou je me trompe, Leigh?
Sarah, comprenant l’allusion au copain secret de Leigh, pousse discrètement Wentworth du coude.
-M. Miller : On se croirait il y a une trentaine d’années…quand vous étiez tous petits et que vous vous chicaniez sur le moindre détail.
-Roxann : Ah, ça oui! Leigh et Went s’adorent, mais ils se chicanent tout le temps. Comme on dit, qui aime bien châtie bien.
-Leigh : Comment va ce chère Josh, Sarah? Pourquoi tu ne l’as pas amené avec toi?
Il va l’étriper, pour sûre. Il va la tuer. Il pique son nez dans son assiette pour rien en montrer à sa mère. Sarah, plus calme que lui, dépose sa main sur sa cuisse, en dessous de la table.
-Sarah : Oh, Josh il va très bien. Il te passe le bonjour, d’ailleurs. À vous tous aussi. Mais, il est en voyage…il est très occupé.
-Leigh : Tu ne trouves pas qu’il voyage souvent ces temps-ci? Je veux dire, vous avez quand même un mariage à préparer. Et, toi, tu es occupée à jouer les docteurs avec Micheal Scofield!
Sous sa main, la cuisse de Wentworth se contracte. Elle augmente alors la pression et la relâche. Tout en caressant sa cuisse du bout des doigts pour le calmer, elle répond à l’attaque.
-Sarah : Bon, de un, Josh fait son travail. De deux, je suis très bien comme ça, en tant que fiancée. Le mariage c’est pour après parce qu’on est tous les deux occupés en ce moment.
-Leigh : Oui, tu as raison. En plus, comme ça t’as un peu plus de liberté avant le mariage. Il faut être sûr de son affaire quand on décide de se marier.
-Roxann : Leigh…ta lasagne va refroidir.
Ce qui clos le sujet au grand soulagement de Sarah. Elle retire sa main de la cuisse de Wentworth et se met à manger.
Tout en mangeant, Wentworth se sent de mauvaise fois parce qu’il aurait aimé que sa sœur continue ses attaques pour qu’il sente encore un peu plus la chaleur de la main de Sarah sur sa cuisse.
Il est 11h00 de la nuit et tout est silencieux. La fraîcheur du vent la fait frissonner et il le remarque. Il la serre alors un peu plus contre lui. Elle dépose la tête sur son épaule. Son solide épaule. Elle ferme les yeux. Il penche la tête et dépose son menton sur ses doux cheveux. Un geste qu’il fait assez souvent sans le sentir déplacé. C’est un geste comme tous les autres gestes qu’il pose avec elle. Peut-être pas comme celui de cet après-midi. Ce baiser…il préfère l’accepter, et ne pas trop y penser, surtout après l’attitude de… Les muscles de son corps se contractent. Elle le sent et lève légèrement la tête vers lui, en ouvrant les yeux.
-Tu sais qu’elle te taquine. Calme-toi.
-Elle t’a dérangée?
-Je me fais dire ce qu’elle m’a dit dix fois par jour par ma mère. Alors, t’inquiète, je suis habituée.
Elle est fatiguée, elle baille, elle a sommeil. Elle ferme les yeux et reprend sa position contre son corps solide. Et, ils restent ainsi, l’un contre l’autre, sans ne se soucier de rien…Pour le moment. Ils aiment ce silence confortable qui les unis et calme leur esprit. Ce silence de paix…et, ils profitent de l’instant sans penser à rien qu’à cet instant de sérénité.
Ils restent ainsi pendant une demi-heure. La tête de Sarah se fait plus lourde sur l’épaule de Wentworth. Alors, tendrement et doucement, pour ne pas la réveiller, Wentworth se penche et prend les jambes de Sarah pour la soulever et l’amener au lit. Le sommeil dans la voix, elle lui murmure : « Went…qu’est-ce que tu fais, tu vas avoir mal au dos…je suis capable de march… » Et elle s’endort, comme ça, au milieu de la phrase. Went sourit tendrement et la serre plus fort contre lui. Il sent sa douce main s’ouvrir sur sa nuque et son souffle chaud lui caresser le cou.
Il a tellement envie de la tenir comme ça pendant toute la nuit. Le corps de cette femme est un bonheur, une paix. Il l’amènera dans son lit à lui, il l’y déposera et veillera sur elle toute la nuit, toute la vie. Mais, il faut jouer de la comédie, encore et encore. Paraître détaché, encore et encore. Jouer le rôle du meilleur ami devant tout le monde. Mentir aux autres et se mentir jusqu’à se damner.
Il entre dans la chambre d’amis assignée à Sarah, dépose le joli fardeau sur le lit. Au moins, elle porte déjà son pyjama. Il n’a pas à la déshabiller. Ce n’est pas comme si son sœur ne le désirait pas…mais, il craint que son corps gagne sur sa raison et qu’il n’arrive plus à se contrôler, à contrôler son désir enfouis si loin en lui, mais capable de faire surface à la vue de ce corps sublime.
Il la couvre. Elle murmure quelque chose d’incompréhensible dans son sommeil. Il sourit, la regarde et la laisse dormir à contrecœur. Il remarque alors son pied qui dépasse de la couverture. Son pied nu. Il s’approche lentement, touche du bout des doigts sa fine cheville, là où l’os dessine un léger renflement, se penche tout doucement, y dépose un léger baiser…et, part.
Vous aimez tjrs??? (jespere) Voulez-vous une suite??
Alors, voila une lonnngguuue suite...
Jespère que vous aimerai le wentworth que je suis entrain de créer...en2k moi je l'adore...
Merci bcp pour tous vos comms.
ET VOILA................
Chapitre 4
Présentation des personnages :
Leigh : La plus petite sœur de Wentworth. Elle est avocate.
-Wentworth, Sarah, le souper est près.
Les deux se tournent et essaient de savoir d’où vient la voix de Leigh. Impossible. Ils se lèvent rapidement et se dirigent en silence sans se regarder. Ils entrent dans la maison et voient Leigh attablée à côté de sa mère.
-Sarah : Bonjour, Leigh. Ça va?
Leigh se lève et embrasse Sarah et Wentworth.
-Leigh : Ça va bien et vous?
Elle a le même regard perçant que Went. Sauf que celui du jeune homme est beaucoup plus attirant.
-Went (en essayant de paraître nonchalant) : Ça va. On pratiquait nos scènes.
-Sarah : Euh, oui. On aime…des fois on préfère pratiquer sans texte pour voir à quel point on connaît bien nos répliques.
-Leigh : Right…vous vous êtes bien amusés, j’espère?
Wentworth lève la tête vers sa sœur. Il la tuerait à ce moment même.
-Sarah : Oui, on a eu du fun! (changeant rapidement de sujet) Madame…euh…Roxann, que nous avez-vous concocté?
-Roxann : De la lasagne! Went m’a dit que tu adore la lasagne.
-Sarah : Ah oui, c’est vrai…j’adore! Merci beaucoup, vous êtes gentils.
-Leigh : Went parle toujours de toi, Sarah. Sarah par ci, Sarah par là…
-Went : Exactement de la même manière que tu parle de John…ou je me trompe, Leigh?
Sarah, comprenant l’allusion au copain secret de Leigh, pousse discrètement Wentworth du coude.
-M. Miller : On se croirait il y a une trentaine d’années…quand vous étiez tous petits et que vous vous chicaniez sur le moindre détail.
-Roxann : Ah, ça oui! Leigh et Went s’adorent, mais ils se chicanent tout le temps. Comme on dit, qui aime bien châtie bien.
-Leigh : Comment va ce chère Josh, Sarah? Pourquoi tu ne l’as pas amené avec toi?
Il va l’étriper, pour sûre. Il va la tuer. Il pique son nez dans son assiette pour rien en montrer à sa mère. Sarah, plus calme que lui, dépose sa main sur sa cuisse, en dessous de la table.
-Sarah : Oh, Josh il va très bien. Il te passe le bonjour, d’ailleurs. À vous tous aussi. Mais, il est en voyage…il est très occupé.
-Leigh : Tu ne trouves pas qu’il voyage souvent ces temps-ci? Je veux dire, vous avez quand même un mariage à préparer. Et, toi, tu es occupée à jouer les docteurs avec Micheal Scofield!
Sous sa main, la cuisse de Wentworth se contracte. Elle augmente alors la pression et la relâche. Tout en caressant sa cuisse du bout des doigts pour le calmer, elle répond à l’attaque.
-Sarah : Bon, de un, Josh fait son travail. De deux, je suis très bien comme ça, en tant que fiancée. Le mariage c’est pour après parce qu’on est tous les deux occupés en ce moment.
-Leigh : Oui, tu as raison. En plus, comme ça t’as un peu plus de liberté avant le mariage. Il faut être sûr de son affaire quand on décide de se marier.
-Roxann : Leigh…ta lasagne va refroidir.
Ce qui clos le sujet au grand soulagement de Sarah. Elle retire sa main de la cuisse de Wentworth et se met à manger.
Tout en mangeant, Wentworth se sent de mauvaise fois parce qu’il aurait aimé que sa sœur continue ses attaques pour qu’il sente encore un peu plus la chaleur de la main de Sarah sur sa cuisse.
***
Il est 11h00 de la nuit et tout est silencieux. La fraîcheur du vent la fait frissonner et il le remarque. Il la serre alors un peu plus contre lui. Elle dépose la tête sur son épaule. Son solide épaule. Elle ferme les yeux. Il penche la tête et dépose son menton sur ses doux cheveux. Un geste qu’il fait assez souvent sans le sentir déplacé. C’est un geste comme tous les autres gestes qu’il pose avec elle. Peut-être pas comme celui de cet après-midi. Ce baiser…il préfère l’accepter, et ne pas trop y penser, surtout après l’attitude de… Les muscles de son corps se contractent. Elle le sent et lève légèrement la tête vers lui, en ouvrant les yeux.
-Tu sais qu’elle te taquine. Calme-toi.
-Elle t’a dérangée?
-Je me fais dire ce qu’elle m’a dit dix fois par jour par ma mère. Alors, t’inquiète, je suis habituée.
Elle est fatiguée, elle baille, elle a sommeil. Elle ferme les yeux et reprend sa position contre son corps solide. Et, ils restent ainsi, l’un contre l’autre, sans ne se soucier de rien…Pour le moment. Ils aiment ce silence confortable qui les unis et calme leur esprit. Ce silence de paix…et, ils profitent de l’instant sans penser à rien qu’à cet instant de sérénité.
Ils restent ainsi pendant une demi-heure. La tête de Sarah se fait plus lourde sur l’épaule de Wentworth. Alors, tendrement et doucement, pour ne pas la réveiller, Wentworth se penche et prend les jambes de Sarah pour la soulever et l’amener au lit. Le sommeil dans la voix, elle lui murmure : « Went…qu’est-ce que tu fais, tu vas avoir mal au dos…je suis capable de march… » Et elle s’endort, comme ça, au milieu de la phrase. Went sourit tendrement et la serre plus fort contre lui. Il sent sa douce main s’ouvrir sur sa nuque et son souffle chaud lui caresser le cou.
Il a tellement envie de la tenir comme ça pendant toute la nuit. Le corps de cette femme est un bonheur, une paix. Il l’amènera dans son lit à lui, il l’y déposera et veillera sur elle toute la nuit, toute la vie. Mais, il faut jouer de la comédie, encore et encore. Paraître détaché, encore et encore. Jouer le rôle du meilleur ami devant tout le monde. Mentir aux autres et se mentir jusqu’à se damner.
Il entre dans la chambre d’amis assignée à Sarah, dépose le joli fardeau sur le lit. Au moins, elle porte déjà son pyjama. Il n’a pas à la déshabiller. Ce n’est pas comme si son sœur ne le désirait pas…mais, il craint que son corps gagne sur sa raison et qu’il n’arrive plus à se contrôler, à contrôler son désir enfouis si loin en lui, mais capable de faire surface à la vue de ce corps sublime.
Il la couvre. Elle murmure quelque chose d’incompréhensible dans son sommeil. Il sourit, la regarde et la laisse dormir à contrecœur. Il remarque alors son pied qui dépasse de la couverture. Son pied nu. Il s’approche lentement, touche du bout des doigts sa fine cheville, là où l’os dessine un léger renflement, se penche tout doucement, y dépose un léger baiser…et, part.
Vous aimez tjrs??? (jespere) Voulez-vous une suite??
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
ah oui moi j'aime tjs autant c trop mignon surtout la fin par contre leigh est une sacrée peste ! on veut la suiteeee
che4eva- Admis à l'infirmerie
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
Coucou tout le monde
Alors, je vois que le monde lisent ma fic et je continue a la poster puiske jai déjà ecrit le 5ieme chapitre...en espérant que vous aimerez encore
Le lendemain, elle entre dans sa chambre, s’approche de son lit et s’y assoit. Elle le regarde et sourit. Ce grand homme dort avec l’abandon d’un enfant. C’est bien pour cela que sa mère n’est pas arrivée à le réveiller. Elle dépose sa main sur son bras et exerce une légère pression.
-Sarah : Wenty…Went…lève-toi. Il est dix heures. Ta mère a préparé des crêpes justes pour toi. En plus, ton père est allé tôt à Starbucks pour ton frappuccino double crème double chocolat. Come on, Cupcake, allez espèce de paresseux. Tu fais la grâce matinée, gueule d’ange? Tu veux que je raconte ça à Dom et Amaury. Ils riront de toi jusqu’à la fin de tes jours…Wentworth le SUPER-SEXY-MAN dort le matin comme une NANA…
-Went : Hey, tu es méchante. Je ne dors pas comme une nana.
-Sarah : Oh, ma tactique a marché! Et, puis, quoi, tu n’aimes pas comment les nanas dorment…
-Went : Si elles dorment toutes comme toi, j’adore.
Trop tard, c’est sorti de sa bouche sans qu’il puisse se retenir.
-Sarah : Ah, contente que t’apprécie. Ça t’as tant marqué tant que ça que je me sois endormis dans tes bras? Ah, je sais, t’as du me trouver bien lourde.
-Went : Oui, c’est ça, parce que tu es très grosse tu vois…
-Sarah : Surtout que je ne peux me passer de mon déjeuner frappuccino double chocolat double crème, à double calories, préférablement…de quoi se remplir la bedaine.
-Went : Hey, laisse ma bedaine tranquille…
-Sarah : Quoi! J’ai rien dit. Je l’aime bien ta bedaine…c’est plus confortable pour dormir.
-Went (il lui lance son oreiller, elle éclate de rire) : C’est ça amuse-toi à mes dépens.
-Sarah : Hey, tu as assez ris de moi hier…c’est ma façon de me venger. So, we’re even, and now we’ll arm wrestle.
Elle fait référence à une entrevue qu’ils ont passée ensemble pour promouvoir la saison deux de Prison Break. Il rit.
-Went : Tu vas perdre!
-Sarah : Es-tu certain, Miller?
Il se redresse dans le lit et redevient sérieux.
-Went : Sarah…pour hier…hum…disons que ça me permet de tenir.
Elle regarde ces yeux dont le bleu est devenu plus sombre. Elle sent sa peine vibrante en lui et se trouve impuissante. Non, pas si impuissante. Elle s’approche de lui et plaque ses lèvres contre les siennes. Le baiser n’est pas aussi puissant et bouleversant que celui de la veille, mais il est tendre et…vrai. Elle dépose la main sur sa joue.
-Sarah : Tout pour te faire plaisir, Miller.
Le regard rempli de rire, elle sort de la chambre en lui ordonnant de se dépêcher.
Si seulement elle savait ce qui lui ferait vraiment plaisir.
Elle ferme la porte de son appartement avec le pied et court pour répondre au téléphone qu’elle a entendu sonner depuis le corridor de l’immeuble.
-Sarah : Allo!
-Silvia : Sarah, c’est Silvia, ça va?
-Sarah : Hey, Si. Ça va et toi?
-Silvia : Ça va bien. T’as passé une belle fin de semaine?
-Sarah : Oui. Les parents de Went sont adorables. Et, toi?
-Silvia : Si leur fils est comme eux, je n’en doute pas. Moi…je me suis emmerdé. Mais, mais, mais…j’ai terminé ta robe pour la soirée.
-Sarah : Tu es adorable. Ça te tente de venir chez moi avec la robe? Je te raconte ma fin de semaine, j’essaie la robe et tu me fais répéter mon texte?
-Silvia : D’accord pour la fin de semaine et la robe. Mais, pas question que je répète ton texte avec toi…je ne veux pas de spoilers!
-Sarah : Oh, depuis quand? Anyway, c’est comme tu veux. Allez, amène-toi.
Quarante cinq minutes plus tard, Sarah ouvre la porte à sa meilleure amie et l’embrasse.
-Silvia : On va dans ta chambre, tu essaie la robe et on parle.
-Sarah : Tu veux boire quelque chose?
-Silvia : Plus tard, okay?
Une fois dans la chambre de Sarah, Silvia ouvre le sac qu’elle a amené avec elle et sort la robe.
-Sarah : Wow, Si. Elle est magnifique.
-Silvia : Essaie-la. Il faut que je la voie sur toi pour juger.
Sarah se déshabille sans aucune gêne devant son amie d’enfance. Elle enfile la robe avec l’aide de Silvia. D’une couleur mauve foncée, elle épouse le buste de Sarah et met en valeur sa fine taille et la couleur de sa peau. Lui arrivant jusqu’aux genoux, elle découvre la délicatesse des longues jambes de la jeune femme. Ouverte dans le dos, elle montre assez de peau pour laisser deviner le reste qui se cache en dessous du tissu soyeux.
-Sarah : Elle est sublime!
-Silvia : Ma foi, TU es sublime. J’adore cette couleur sur toi. Je me demande ce qu’en penserai ton amoureux de l’écran…je me suis toujours offensée de fait qu’on ne voit pas souvent Sara en robe. Merde, Michael tomberait complètement sous le charme. Il quitterait tout, même Scylla, et amènerait Sara dans un hôtel et lui ferait l’amour pendant longtemps.
-Sarah : Et, ils virent heureux sur un petit bateau et eurent beaucoup de bébés aux yeux bleus, tatoués, et obsédés de Scylla. Et, ils laissèrent Linclon et Sucre se démerder avec Scylla et The Company.
-Silvia (en riant) : J’adore cette fin. Sérieux, tu devrais la proposer à Paul.
-Sarah : Surement! Tu veux la fin de ma vie, toi? Déjà que ça a été dure de le convaincre de donner à Sara un autre rôle que celui de la stupide nana au décolleté plongeant qui fout rien d’autre que d’être dans l’ombre de Michael et dire deux phrases.
-Silvia : C’est vrai ça. Je préfère la nouvelle Sara. Et, puis cette fin de semaine?
-Sarah : C’était bien.
Silvia observe longuement son amie dans le miroir.
-Silvia : Bien. C’est le seul mot que tu as à dire sur les derniers jours que tu as passé? Et, je pensais que tu m’as dit de venir pour me raconter…
-Sarah : C’était un argument pour t’encourager…
-Silvia : Je suis sérieuse, Sarah. Je te connais depuis que j’ai deux ans. Je sais qu’il y a quelque chose qui s’est passé pendant cette fin de semaine, quelque chose d’assez…important pour te retourner de la sorte.
Elle s’assoit sur le lit. Quoi lui dire? Comment lui expliquer ce qu’elle-même n’arrive pas à déchiffrer? Alors, elle lui raconte tout. Les rires, les souries, les commentaires, les discussions…les baisers.
-Silvia : Sarah, tu parles de cette autre femme comme si tu ne savais pas c’était qui!
-Sarah : Bien sûre que je le sais…et c’est ça le pire dans l’histoire. Je sais qu’il m’aime. Je le vois dans ses yeux, dans ses gestes, dans ses attentions. Je sais qu’il en souffre aussi, qu’il a de la peine et ça me tue, parce que je ne peux rien y faire! Alors, je préfère faire celle qui devant lui ne comprend pas, ne sais pas, c’est plus simple et moins compliqué. Un baiser lui permet de tenir, un baiser apaise sa peine, en voilà, je peux lui en donner autant qu’il le veut.
-Silvia : Excuse-moi, Sarah, mais tu ne penses pas que tu joue avec ses sentiments, que tu joues avec lui?
Abasourdie, Sarah lève les yeux vers son amie.
-Sarah : Quoi?
-Silvia : Oh, s’il te plaît. Tu lui donneras vraiment un baiser sans en avoir vraiment envie au fond de toi?
-Sarah : Silvia, tu ne comprends pas, c’est comme si je jouais une scène, aussi simple que ça.
-Silvia : Non, c’est toi qui ne comprends pas, qui ne comprends plus. C’est quoi ces histoires que tu te racontes Sarah? Écoute-toi parler de ce baiser. Tu racontes toutes les émotions que tu en a ressentit, et tu as l’aire de bien aimer ça, et je sais que tu aime vraiment ça. Des baisers, Sarah, il n’en existe pas de faux…et tu le sais très bien. Un baiser, ça reste un baiser avec tous les sentiments que ça provoque.
-Sarah : Silvia, je suis une femme, un humain avec des sentiments. Il est parfaitement normal que je ressente des choses quand un homme m’embrasse aussi bien que lui.
-Silvia : Et, il est aussi très normal que tu te trouve à douter des sentiments que tu éprouve pour ton fiancé et ton meilleur ami? Il est très normal que tu vis tout le temps dans le doute, déchirée, en attendant que peut-être, éventuellement, le Saint-Esprit intervienne pour te montrer la bonne décision, le bon homme pour toi? Tu sais quoi, il faut que tu t’isoles avec toi-même pour un certain temps, et que tu t’examine et que tu en finisses avec cette histoire. Il faut que tu prennes une décision une fois pour toute, sinon j’ai bien peur que tu perdes Josh ET Wentworth. Et, ne dénie pas l’indéniable, s’il te plaît.
Elle la plante là, au milieu de la chambre à coucher, une robe mauve sur le dos courbé par le poids de l’amour. Celui qui a déjà dit que l’amour rend une personne légère comme un papillon peut aller se faire voir.
Alors?
Alors, je vois que le monde lisent ma fic et je continue a la poster puiske jai déjà ecrit le 5ieme chapitre...en espérant que vous aimerez encore
Chapitre 5
Le lendemain, elle entre dans sa chambre, s’approche de son lit et s’y assoit. Elle le regarde et sourit. Ce grand homme dort avec l’abandon d’un enfant. C’est bien pour cela que sa mère n’est pas arrivée à le réveiller. Elle dépose sa main sur son bras et exerce une légère pression.
-Sarah : Wenty…Went…lève-toi. Il est dix heures. Ta mère a préparé des crêpes justes pour toi. En plus, ton père est allé tôt à Starbucks pour ton frappuccino double crème double chocolat. Come on, Cupcake, allez espèce de paresseux. Tu fais la grâce matinée, gueule d’ange? Tu veux que je raconte ça à Dom et Amaury. Ils riront de toi jusqu’à la fin de tes jours…Wentworth le SUPER-SEXY-MAN dort le matin comme une NANA…
-Went : Hey, tu es méchante. Je ne dors pas comme une nana.
-Sarah : Oh, ma tactique a marché! Et, puis, quoi, tu n’aimes pas comment les nanas dorment…
-Went : Si elles dorment toutes comme toi, j’adore.
Trop tard, c’est sorti de sa bouche sans qu’il puisse se retenir.
-Sarah : Ah, contente que t’apprécie. Ça t’as tant marqué tant que ça que je me sois endormis dans tes bras? Ah, je sais, t’as du me trouver bien lourde.
-Went : Oui, c’est ça, parce que tu es très grosse tu vois…
-Sarah : Surtout que je ne peux me passer de mon déjeuner frappuccino double chocolat double crème, à double calories, préférablement…de quoi se remplir la bedaine.
-Went : Hey, laisse ma bedaine tranquille…
-Sarah : Quoi! J’ai rien dit. Je l’aime bien ta bedaine…c’est plus confortable pour dormir.
-Went (il lui lance son oreiller, elle éclate de rire) : C’est ça amuse-toi à mes dépens.
-Sarah : Hey, tu as assez ris de moi hier…c’est ma façon de me venger. So, we’re even, and now we’ll arm wrestle.
Elle fait référence à une entrevue qu’ils ont passée ensemble pour promouvoir la saison deux de Prison Break. Il rit.
-Went : Tu vas perdre!
-Sarah : Es-tu certain, Miller?
Il se redresse dans le lit et redevient sérieux.
-Went : Sarah…pour hier…hum…disons que ça me permet de tenir.
Elle regarde ces yeux dont le bleu est devenu plus sombre. Elle sent sa peine vibrante en lui et se trouve impuissante. Non, pas si impuissante. Elle s’approche de lui et plaque ses lèvres contre les siennes. Le baiser n’est pas aussi puissant et bouleversant que celui de la veille, mais il est tendre et…vrai. Elle dépose la main sur sa joue.
-Sarah : Tout pour te faire plaisir, Miller.
Le regard rempli de rire, elle sort de la chambre en lui ordonnant de se dépêcher.
Si seulement elle savait ce qui lui ferait vraiment plaisir.
***
Elle ferme la porte de son appartement avec le pied et court pour répondre au téléphone qu’elle a entendu sonner depuis le corridor de l’immeuble.
-Sarah : Allo!
-Silvia : Sarah, c’est Silvia, ça va?
-Sarah : Hey, Si. Ça va et toi?
-Silvia : Ça va bien. T’as passé une belle fin de semaine?
-Sarah : Oui. Les parents de Went sont adorables. Et, toi?
-Silvia : Si leur fils est comme eux, je n’en doute pas. Moi…je me suis emmerdé. Mais, mais, mais…j’ai terminé ta robe pour la soirée.
-Sarah : Tu es adorable. Ça te tente de venir chez moi avec la robe? Je te raconte ma fin de semaine, j’essaie la robe et tu me fais répéter mon texte?
-Silvia : D’accord pour la fin de semaine et la robe. Mais, pas question que je répète ton texte avec toi…je ne veux pas de spoilers!
-Sarah : Oh, depuis quand? Anyway, c’est comme tu veux. Allez, amène-toi.
Quarante cinq minutes plus tard, Sarah ouvre la porte à sa meilleure amie et l’embrasse.
-Silvia : On va dans ta chambre, tu essaie la robe et on parle.
-Sarah : Tu veux boire quelque chose?
-Silvia : Plus tard, okay?
Une fois dans la chambre de Sarah, Silvia ouvre le sac qu’elle a amené avec elle et sort la robe.
-Sarah : Wow, Si. Elle est magnifique.
-Silvia : Essaie-la. Il faut que je la voie sur toi pour juger.
Sarah se déshabille sans aucune gêne devant son amie d’enfance. Elle enfile la robe avec l’aide de Silvia. D’une couleur mauve foncée, elle épouse le buste de Sarah et met en valeur sa fine taille et la couleur de sa peau. Lui arrivant jusqu’aux genoux, elle découvre la délicatesse des longues jambes de la jeune femme. Ouverte dans le dos, elle montre assez de peau pour laisser deviner le reste qui se cache en dessous du tissu soyeux.
-Sarah : Elle est sublime!
-Silvia : Ma foi, TU es sublime. J’adore cette couleur sur toi. Je me demande ce qu’en penserai ton amoureux de l’écran…je me suis toujours offensée de fait qu’on ne voit pas souvent Sara en robe. Merde, Michael tomberait complètement sous le charme. Il quitterait tout, même Scylla, et amènerait Sara dans un hôtel et lui ferait l’amour pendant longtemps.
-Sarah : Et, ils virent heureux sur un petit bateau et eurent beaucoup de bébés aux yeux bleus, tatoués, et obsédés de Scylla. Et, ils laissèrent Linclon et Sucre se démerder avec Scylla et The Company.
-Silvia (en riant) : J’adore cette fin. Sérieux, tu devrais la proposer à Paul.
-Sarah : Surement! Tu veux la fin de ma vie, toi? Déjà que ça a été dure de le convaincre de donner à Sara un autre rôle que celui de la stupide nana au décolleté plongeant qui fout rien d’autre que d’être dans l’ombre de Michael et dire deux phrases.
-Silvia : C’est vrai ça. Je préfère la nouvelle Sara. Et, puis cette fin de semaine?
-Sarah : C’était bien.
Silvia observe longuement son amie dans le miroir.
-Silvia : Bien. C’est le seul mot que tu as à dire sur les derniers jours que tu as passé? Et, je pensais que tu m’as dit de venir pour me raconter…
-Sarah : C’était un argument pour t’encourager…
-Silvia : Je suis sérieuse, Sarah. Je te connais depuis que j’ai deux ans. Je sais qu’il y a quelque chose qui s’est passé pendant cette fin de semaine, quelque chose d’assez…important pour te retourner de la sorte.
Elle s’assoit sur le lit. Quoi lui dire? Comment lui expliquer ce qu’elle-même n’arrive pas à déchiffrer? Alors, elle lui raconte tout. Les rires, les souries, les commentaires, les discussions…les baisers.
-Silvia : Sarah, tu parles de cette autre femme comme si tu ne savais pas c’était qui!
-Sarah : Bien sûre que je le sais…et c’est ça le pire dans l’histoire. Je sais qu’il m’aime. Je le vois dans ses yeux, dans ses gestes, dans ses attentions. Je sais qu’il en souffre aussi, qu’il a de la peine et ça me tue, parce que je ne peux rien y faire! Alors, je préfère faire celle qui devant lui ne comprend pas, ne sais pas, c’est plus simple et moins compliqué. Un baiser lui permet de tenir, un baiser apaise sa peine, en voilà, je peux lui en donner autant qu’il le veut.
-Silvia : Excuse-moi, Sarah, mais tu ne penses pas que tu joue avec ses sentiments, que tu joues avec lui?
Abasourdie, Sarah lève les yeux vers son amie.
-Sarah : Quoi?
-Silvia : Oh, s’il te plaît. Tu lui donneras vraiment un baiser sans en avoir vraiment envie au fond de toi?
-Sarah : Silvia, tu ne comprends pas, c’est comme si je jouais une scène, aussi simple que ça.
-Silvia : Non, c’est toi qui ne comprends pas, qui ne comprends plus. C’est quoi ces histoires que tu te racontes Sarah? Écoute-toi parler de ce baiser. Tu racontes toutes les émotions que tu en a ressentit, et tu as l’aire de bien aimer ça, et je sais que tu aime vraiment ça. Des baisers, Sarah, il n’en existe pas de faux…et tu le sais très bien. Un baiser, ça reste un baiser avec tous les sentiments que ça provoque.
-Sarah : Silvia, je suis une femme, un humain avec des sentiments. Il est parfaitement normal que je ressente des choses quand un homme m’embrasse aussi bien que lui.
-Silvia : Et, il est aussi très normal que tu te trouve à douter des sentiments que tu éprouve pour ton fiancé et ton meilleur ami? Il est très normal que tu vis tout le temps dans le doute, déchirée, en attendant que peut-être, éventuellement, le Saint-Esprit intervienne pour te montrer la bonne décision, le bon homme pour toi? Tu sais quoi, il faut que tu t’isoles avec toi-même pour un certain temps, et que tu t’examine et que tu en finisses avec cette histoire. Il faut que tu prennes une décision une fois pour toute, sinon j’ai bien peur que tu perdes Josh ET Wentworth. Et, ne dénie pas l’indéniable, s’il te plaît.
Elle la plante là, au milieu de la chambre à coucher, une robe mauve sur le dos courbé par le poids de l’amour. Celui qui a déjà dit que l’amour rend une personne légère comme un papillon peut aller se faire voir.
Alors?
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 48
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Localisation : Montréal
Date d'inscription : 04/06/2008
Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
Coucou les filles. Bon, je poste la suite de l'histoire, meme si je ne resoit pas bcp de commentaires...mais je sais qu'il y en a qui la lise à cause du nombre de "vu" qui augmente.
Un peu de sadisme cette fois...excusez... mais aussi quelques bons souvenirs...
-Wentworth: The challenge for Michael and Sara is how do we honour this uh... [regarde Sarah, en baissant sa voix] this chemistry.
-Lisa: I like the new hair-cut by the way. [Wentworth la regarde, en mordant sa lèvre inférieure. Il l’aime aussi!]
-Sarah : It's kind of like a dysfunctional relationship, isn't it? You know what I mean?... [Wentworth hoche la tête. IL SAIT très bien de quoi elle parle.]
-Wentworth : In the best possible way [Il le dit en regardant Sarah qui rit].
-Sarah : I have an affair with Lincoln as a woman. [Went est mort de rire.] But it doesn't take, and he gets pregnant. [Went se tape la cuisse, toujours en riant aux éclats.] And then there's L.J. three... But that's all third season.
-Wentworth (en parlant de la relation Micheal/Sara qui va continuer ou non) : I think it has to. I think it has to [Parce qu’il le désire, hein?]
-Sarah : [en cachant sa bouche de Wentworth avec sa main] He has "I love Sara(h)" on his arm.
-Wentworth : [Met son index sur sa bouche en faisant une petite grimace] She's carrying my baby. [Sarah éclate de rire. Elle met une main dans ses cheveux et une main sur l’épaule de Wentworth.]
-Sarah: I did (miss him)! [Laisse courire ses doigts dans ses cheveux en regardant par terre. Went la regarde tendrement.] No, it's, it's, it's lots of fun to be able to go to work with a friend, and it's, um, we had fun [tourne sa tête et regarde Went dans les yeux], um, [semble distraite par ses yeux] but we.. I don't know.. I mean it was.. there were long, hot, [Went lève ses sourcils] dirty days. [Went rigole pendant que Sarah éclate de rire] And that sounds so awful!
-Wentworth: [amusé au plus haut point] I was waiting for the end of that sentence! [regarde Sarah avec un regard "c'mon, give it to me"] Long, Hot, Dirty!
-Sarah: [cache ses yeux avec ses mains] That sounds so awful! No! I mean, think about the location! You know?
-Wentworth: Yeah... I miss, I miss Sarah second season, because first season, um, you know [Sarah sourit de tous ses dents], Michael's interaction with Sara at the infirmary had a very different tone and vibe and feel to it. And, anything else that was going on for Michael. He wasn't in this staredown [Sarah regarde ses yeux] with someone who wanted him dead. It was a chance to explore something, uh, more vulnerable and emotional.
-Kristin: I personally hope that season 3 is the two of you on a Carribean island. [Sarah rigole].
-Went: [excité, en faisant le geste de pousser une poussette de bébé] With a stroller!
-Sarah : Uh, the character’s name is Michael Scofield [regarde ses mains], the actor’s name is Wentworth Miller, and he is… If every leading man I work with for the rest of my life is as kind and articulate and… and sexy, and everything else…
-Sarah: [choqué par la question du commentateur: « Est-ce qu’il est cute? »] Have you seen him?? [La photo de Wentworth apparaît sur l’écran] Oh my god! Yes, he’s cute! Oh, it’s universal appeal. It’s universal appeal with this guy.
Des heures et des heures à repasser toutes les entrevues qu’ils ont passés ensemble depuis quatre ans et que sa mère a soigneusement enregistrés et étiquetés. Des heures à entendre leurs blagues, leur rires, leur humour si unique à eux deux. Des heures à observer leurs regards, leurs gestes. Des heures à disséquer le moindre mot, le moindre contact, à les analyser. Elle a passé des heures à voir un ensemble d’entrevues qui ne dure qu’une heure, parce qu’elle s’oubliait à contempler, à rire et à sourire de tout ce que faisait ce bel homme sur l’écran, parce qu’elle se surprenait à sourire bêtement comme une adolescente amoureuse, alors qu’elle est une adulte mature et sur le bord de se marier. Des heures d’insomnie à repasser chaque scène dans sa tête, chaque phrase, chaque sous-entendu pour en arriver à la conclusion qu’il faut lui parler demain, honnêtement, sans détour et en finir avec cette histoire. Demain, demain elle lui parlera…demain…demain…
***
Les rayons du soleil du lendemain illuminent les cernes de Sarah. Rageusement, elle s’applique du fond de teint pour les cacher. Par des gestes brusques, elle s’habille. Là voilà fâchée, de mauvaise humeur! Et, pourquoi? À cause des constats de la veille? À cause de Wentworth, de Josh? Ou, d’elle-même? Oui, d’elle-même. Irresponsable, menteuse, elle se traite de tous les noms. Merde! Elle se cogne le genou sur sa table de nuit. Merde et merde. Elle a le goût de pleurer, maintenant! Dieu, ça doit être ses règles! Quoi? Angoissée, elle fait le décompte dans sa tête. Merde. Ça fait deux mois qu’elle n’a pas eu ses menstruations. Merde.
-Robert : Good morning, sunshine.
-Sarah : Bonjour, Robert.
-Robert: Ça va, princesse.
-Sarah: Pas pire, merci.
-Dominic : Mais, qu’est-ce que vous avez aujourd’hui? Vous vous fâchez en commun ou quoi?
-Sarah : Quoi?
-Amaury : Ouais. Geule d’ange aussi nous boude. Je ne sais pas pourquoi.
-Sarah : Mais, je ne vous boude pas. J’ai juste eu une nuit d’insomnie.
-Jodi (en chuchotant) : Elle doit avoir eu ses règles.
-Michael : Peux-tu nous épargner les détails?
-Jodi : Du calme, Self. Je ne suis pas Gretchen. Ils ont pas encore dit « Action ».
-Michael : Très drôle.
Vanessa, l’assistante de Sarah, entre dans le trailer de celle-ci.
-Vanessa : Tu as une idée de ce qu’à Wentworth?
-Sarah : Non, je viens d’arriver. Pourquoi est-ce que tout le monde me parle de lui.
-Vanessa : Parce que tu es toujours la seule à savoir ce qu’il a.
-Sarah : Et, bien aujourd’hui je ne le sais pas.
-Vanessa : Okay, j’ai rien dit.
-Sarah : Désolée. Je vais aller le voir.
Elle se dirige vers le trailer de Wentworth, suivie de tous les regards des techniciens et acteurs. Elle toque à la porte et attend. Elle entend un faible grognement qu’elle prend pour « entrez ». Elle ouvre la porte, entre doucement et la referme.
Il lui tourne le dos. Rien qu’à le voir, elle devine qu’il va mal, qu’il est fâché. La cause, elle ne la connaît pas.
Elle s’approche doucement de lui, met les mets à plat sur son dos, remonte vers ses épaules et les masse doucement.
Il baisse la tête et se laisse aller. Il se laisse guérir par la bonté de ses mains. Il resterait comme ça toute sa vie s’il ne s’était pas juré la nuit dernière de ne plus penser à elle. À ce souvenir, il se redresse et ses muscles se contractent.
Elle comprend et s’éloigne un peu de lui. Il se tourne et lui fait face.
-Sarah : Je ne vais pas te demander comment ça va, parce que je le sais que tu ne vas pas bien. Mais, tu sais que je suis là pour que tu te soulage. Raconte-moi.
-Wentworth : Je ne peux pas, okay?
Il panique. Il doit partir maintenant, s’enfuir, parce que s’il voit encore ses yeux inquiets pour lui, il va l’embrasser et tout lui avouer et probablement perdre son amitié à jamais. Or, ils ont encore des épisodes à tourner ensemble. Il va falloir supporter le supplice encore un peu plus. Il sort alors du trailer, sans un regard vers elle.
Abasourdie par son attitude, Sarah se lance à sa poursuite en criant son nom sous le regard étonné et perplexe de tous le cast. En quelques secondes, elle le rejoint dehors du set.
-Sarah : Wentworth. Wenty, qu’est-ce qui se passe?
Elle s’approche et met sa main sur son bras. Il recule vivement comme s’il s’était brûlé.
-Wentworth : Laisse-moi, Sarah. Laisse-moi.
Elle le regarde blessée. Sans dire un mot, elle retourne au set et est acceuillis par une dizaine de paires d’yeux inquiets. Elle s’adresse aux hommes en disant : « Il a probablement besoin de parler à un homme. »
Dominic se dirige alors vers la porte. Sarah l’interpelle : « Dom, laisse-le. Il a besoin d’un peu de temps tout seul. Laisse-lui quelques minutes et va lui parler. » Sur ces mots, elle les quitte et se réfugie dans son trailer.
Un silence de plomb s’abat sur le lieu. Personne n’ose parler.
Amaury, qui a lu dans les yeux de Sarah la blessure que lui a infligé Went, se lève et se dirige doucement, sous les regards ahuris et compatissants de ses collègues, vers le trailer de Sarah. Il entre après avoir frappé. Il la trouve assise en boule sur son fauteuil. Il s’approche et dépose sa main tendrement sur son épaule. Alors, n’en pouvant plus, elle baisse la tête et éclate en sanglots. Il se dépêche de la prendre dans ses bras et la laisse mouiller sa chemise de ses larmes. Elle lève la tête vers lui pour tenter de lui expliquer. Il la fait alors taire en mettant son index sur ses lèvres.
-Amaury : Je le sais, Sarah. Je le sais.
Dehors, Dominic et Wentworth discutent.
Un peu de sadisme cette fois...excusez... mais aussi quelques bons souvenirs...
Chapitre 6
-Wentworth: The challenge for Michael and Sara is how do we honour this uh... [regarde Sarah, en baissant sa voix] this chemistry.
-Lisa: I like the new hair-cut by the way. [Wentworth la regarde, en mordant sa lèvre inférieure. Il l’aime aussi!]
-Sarah : It's kind of like a dysfunctional relationship, isn't it? You know what I mean?... [Wentworth hoche la tête. IL SAIT très bien de quoi elle parle.]
-Wentworth : In the best possible way [Il le dit en regardant Sarah qui rit].
-Sarah : I have an affair with Lincoln as a woman. [Went est mort de rire.] But it doesn't take, and he gets pregnant. [Went se tape la cuisse, toujours en riant aux éclats.] And then there's L.J. three... But that's all third season.
-Wentworth (en parlant de la relation Micheal/Sara qui va continuer ou non) : I think it has to. I think it has to [Parce qu’il le désire, hein?]
-Sarah : [en cachant sa bouche de Wentworth avec sa main] He has "I love Sara(h)" on his arm.
-Wentworth : [Met son index sur sa bouche en faisant une petite grimace] She's carrying my baby. [Sarah éclate de rire. Elle met une main dans ses cheveux et une main sur l’épaule de Wentworth.]
-Sarah: I did (miss him)! [Laisse courire ses doigts dans ses cheveux en regardant par terre. Went la regarde tendrement.] No, it's, it's, it's lots of fun to be able to go to work with a friend, and it's, um, we had fun [tourne sa tête et regarde Went dans les yeux], um, [semble distraite par ses yeux] but we.. I don't know.. I mean it was.. there were long, hot, [Went lève ses sourcils] dirty days. [Went rigole pendant que Sarah éclate de rire] And that sounds so awful!
-Wentworth: [amusé au plus haut point] I was waiting for the end of that sentence! [regarde Sarah avec un regard "c'mon, give it to me"] Long, Hot, Dirty!
-Sarah: [cache ses yeux avec ses mains] That sounds so awful! No! I mean, think about the location! You know?
-Wentworth: Yeah... I miss, I miss Sarah second season, because first season, um, you know [Sarah sourit de tous ses dents], Michael's interaction with Sara at the infirmary had a very different tone and vibe and feel to it. And, anything else that was going on for Michael. He wasn't in this staredown [Sarah regarde ses yeux] with someone who wanted him dead. It was a chance to explore something, uh, more vulnerable and emotional.
-Kristin: I personally hope that season 3 is the two of you on a Carribean island. [Sarah rigole].
-Went: [excité, en faisant le geste de pousser une poussette de bébé] With a stroller!
-Sarah : Uh, the character’s name is Michael Scofield [regarde ses mains], the actor’s name is Wentworth Miller, and he is… If every leading man I work with for the rest of my life is as kind and articulate and… and sexy, and everything else…
-Sarah: [choqué par la question du commentateur: « Est-ce qu’il est cute? »] Have you seen him?? [La photo de Wentworth apparaît sur l’écran] Oh my god! Yes, he’s cute! Oh, it’s universal appeal. It’s universal appeal with this guy.
Des heures et des heures à repasser toutes les entrevues qu’ils ont passés ensemble depuis quatre ans et que sa mère a soigneusement enregistrés et étiquetés. Des heures à entendre leurs blagues, leur rires, leur humour si unique à eux deux. Des heures à observer leurs regards, leurs gestes. Des heures à disséquer le moindre mot, le moindre contact, à les analyser. Elle a passé des heures à voir un ensemble d’entrevues qui ne dure qu’une heure, parce qu’elle s’oubliait à contempler, à rire et à sourire de tout ce que faisait ce bel homme sur l’écran, parce qu’elle se surprenait à sourire bêtement comme une adolescente amoureuse, alors qu’elle est une adulte mature et sur le bord de se marier. Des heures d’insomnie à repasser chaque scène dans sa tête, chaque phrase, chaque sous-entendu pour en arriver à la conclusion qu’il faut lui parler demain, honnêtement, sans détour et en finir avec cette histoire. Demain, demain elle lui parlera…demain…demain…
***
Les rayons du soleil du lendemain illuminent les cernes de Sarah. Rageusement, elle s’applique du fond de teint pour les cacher. Par des gestes brusques, elle s’habille. Là voilà fâchée, de mauvaise humeur! Et, pourquoi? À cause des constats de la veille? À cause de Wentworth, de Josh? Ou, d’elle-même? Oui, d’elle-même. Irresponsable, menteuse, elle se traite de tous les noms. Merde! Elle se cogne le genou sur sa table de nuit. Merde et merde. Elle a le goût de pleurer, maintenant! Dieu, ça doit être ses règles! Quoi? Angoissée, elle fait le décompte dans sa tête. Merde. Ça fait deux mois qu’elle n’a pas eu ses menstruations. Merde.
-Robert : Good morning, sunshine.
-Sarah : Bonjour, Robert.
-Robert: Ça va, princesse.
-Sarah: Pas pire, merci.
-Dominic : Mais, qu’est-ce que vous avez aujourd’hui? Vous vous fâchez en commun ou quoi?
-Sarah : Quoi?
-Amaury : Ouais. Geule d’ange aussi nous boude. Je ne sais pas pourquoi.
-Sarah : Mais, je ne vous boude pas. J’ai juste eu une nuit d’insomnie.
-Jodi (en chuchotant) : Elle doit avoir eu ses règles.
-Michael : Peux-tu nous épargner les détails?
-Jodi : Du calme, Self. Je ne suis pas Gretchen. Ils ont pas encore dit « Action ».
-Michael : Très drôle.
Vanessa, l’assistante de Sarah, entre dans le trailer de celle-ci.
-Vanessa : Tu as une idée de ce qu’à Wentworth?
-Sarah : Non, je viens d’arriver. Pourquoi est-ce que tout le monde me parle de lui.
-Vanessa : Parce que tu es toujours la seule à savoir ce qu’il a.
-Sarah : Et, bien aujourd’hui je ne le sais pas.
-Vanessa : Okay, j’ai rien dit.
-Sarah : Désolée. Je vais aller le voir.
Elle se dirige vers le trailer de Wentworth, suivie de tous les regards des techniciens et acteurs. Elle toque à la porte et attend. Elle entend un faible grognement qu’elle prend pour « entrez ». Elle ouvre la porte, entre doucement et la referme.
Il lui tourne le dos. Rien qu’à le voir, elle devine qu’il va mal, qu’il est fâché. La cause, elle ne la connaît pas.
Elle s’approche doucement de lui, met les mets à plat sur son dos, remonte vers ses épaules et les masse doucement.
Il baisse la tête et se laisse aller. Il se laisse guérir par la bonté de ses mains. Il resterait comme ça toute sa vie s’il ne s’était pas juré la nuit dernière de ne plus penser à elle. À ce souvenir, il se redresse et ses muscles se contractent.
Elle comprend et s’éloigne un peu de lui. Il se tourne et lui fait face.
-Sarah : Je ne vais pas te demander comment ça va, parce que je le sais que tu ne vas pas bien. Mais, tu sais que je suis là pour que tu te soulage. Raconte-moi.
-Wentworth : Je ne peux pas, okay?
Il panique. Il doit partir maintenant, s’enfuir, parce que s’il voit encore ses yeux inquiets pour lui, il va l’embrasser et tout lui avouer et probablement perdre son amitié à jamais. Or, ils ont encore des épisodes à tourner ensemble. Il va falloir supporter le supplice encore un peu plus. Il sort alors du trailer, sans un regard vers elle.
Abasourdie par son attitude, Sarah se lance à sa poursuite en criant son nom sous le regard étonné et perplexe de tous le cast. En quelques secondes, elle le rejoint dehors du set.
-Sarah : Wentworth. Wenty, qu’est-ce qui se passe?
Elle s’approche et met sa main sur son bras. Il recule vivement comme s’il s’était brûlé.
-Wentworth : Laisse-moi, Sarah. Laisse-moi.
Elle le regarde blessée. Sans dire un mot, elle retourne au set et est acceuillis par une dizaine de paires d’yeux inquiets. Elle s’adresse aux hommes en disant : « Il a probablement besoin de parler à un homme. »
Dominic se dirige alors vers la porte. Sarah l’interpelle : « Dom, laisse-le. Il a besoin d’un peu de temps tout seul. Laisse-lui quelques minutes et va lui parler. » Sur ces mots, elle les quitte et se réfugie dans son trailer.
Un silence de plomb s’abat sur le lieu. Personne n’ose parler.
Amaury, qui a lu dans les yeux de Sarah la blessure que lui a infligé Went, se lève et se dirige doucement, sous les regards ahuris et compatissants de ses collègues, vers le trailer de Sarah. Il entre après avoir frappé. Il la trouve assise en boule sur son fauteuil. Il s’approche et dépose sa main tendrement sur son épaule. Alors, n’en pouvant plus, elle baisse la tête et éclate en sanglots. Il se dépêche de la prendre dans ses bras et la laisse mouiller sa chemise de ses larmes. Elle lève la tête vers lui pour tenter de lui expliquer. Il la fait alors taire en mettant son index sur ses lèvres.
-Amaury : Je le sais, Sarah. Je le sais.
Dehors, Dominic et Wentworth discutent.
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
oh nan elle est trop triste cette suite went me fait trop dla peine . amaury est adorable , il console sarah et en plus lui il a tout compris de ski spasse entre went & sarah !
che4eva- Admis à l'infirmerie
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
je suis tombée amoureuse de cette fic vivement la suite
gro bizous
gro bizous
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
merci pour vos comms les filles...jai ecrit plein de suites que je vous poste...lachez vos comms
La tension est palpable. Depuis trois jours, tout le monde vit sur les nerfs et en silence. Depuis le temps où Sarah est revenue à Prison Break, personne n’a rien vécu de pareil. Encore heureux qu’il n’y ait pas beaucoup de scènes Michael-Sara, parce que les deux acteurs en questions s’évitent et ne se parlent pas depuis le fameux incident de Lundi. Tout le monde en a marre, et surtout Paul. Mais, personne ose rien dire tellement la situation est étrange et…incompréhensible. Went et Sarah en chicane? Il y a trois jours, c’était inimaginable.
Wentworth n’en peut plus. La voir ainsi, blessée, par sa faute. Ne pas s’excuser, l’embrasser, la consoler…Il est là, impuissant. Il ne sait plus quoi faire. Il souffre, mais ça, il commence à s’habituer. Il habite avec sa peine et encore un peu, il commencera à la chérir comme une vieille voisine. Il secoue la tête. Maintenant, qu’il est plus calme, qu’il a pu réfléchir à tout ce que lui a dit Dominic, il pense suivre les conseils de son ami.
Alors qu’il remue tout ça dans sa tête, il passe devant le trailer de Sarah et s’arrête soudainement. Il retient sa respiration et tend l’oreille.
Apeuré, il monte des deux marches à une vitesse d’éclaire et ouvre la porte d’un coup de vent. Sarah sursaute et, une fois qu’elle a su que c’est lui, elle le tourne le dos et mets une main sur sa bouche et l’autre sur son ventre.
Un peu plus calme, Wentworth ferme la porte doucement derrière lui et évalue l’état des lieux. Des mouchoirs partout, le texte de l’épisode par terre, Sarah, assise sur le tapis au milieu de la pièce, en pleurs, la main sur le ventre, l’épaule secouée de sanglots qu’elle empêche de sortir devant lui.
Il ferme les yeux et les serre. Il est monstre! Comment est-ce qu’il a réussit à faire de la peine à la femme qu’il aime le plus au monde? Pour expier ses fautes, il s’approche doucement d’elle, s’assoit sur le tapis, tout près de son corps, et hésitant, met sa main sur son dos, dans une caresse.
La chaleur de la main de Wentworth est si réconfortante que Sarah éclate de nouveau en sanglots. Elle a tellement le goût de s’abandonner à cette main, de la laisser lui réchauffer le corps entier par ses tendres caresses. Mais, la blessure est trop vive dans son cœur.
-Sarah : Qu’est-ce que…tu veux…tu…tu…ne voul…lais plus me voir…non?
-Went : Sarah…Sarah…je suis désolé, j’étais fâché, fatigué…je, je ne sais pas…mais ce que j’ai dit c’est pas vrai…Sarah…
« Arrête, arrête de prononcer mon nom comme ça, tu me tue! », pense-t-elle.
-Went : Sarah…raconte-moi, pourquoi tu pleure…quelqu’un t’as fait de la peine?
-Sarah : TOI.
N’en pouvant plus, il la retourne vers lui et la serre dans ses bras. Il la serre fort contre son cœur et la berce doucement. Parfois, les mots de la langue n’ont pas le pouvoir des mots du cœur. Il la garde ainsi pendant cinq minutes, le temps que ses sanglots ce calment. Il prend alors son visage dans ses grandes mains qu’elle aime secrètement tant et essuie ses larmes avec ses pouces, en réprimant l’envie de se pencher un millimètre de plus pour prendre sa bouche dans la sienne et la laisser l’aspirer en elle à jamais.
À travers ces larmes, elle lui sourit. Elle prend un mouchoir et se mouche. C’est là qu’il remarque la boîte de tampons sur le tapis à côté d’elle. Involontairement, ses sourcils se lèvent. Elle le remarque et devant la perplexité qu’elle voit dans les yeux de Wentworth, elle commence à rire nerveusement. Lorsque le regard du jeune homme se porte sur elle, encore plus étonné et perplexe, elle est prise d’un fou rire sous les yeux amusés de Went. Elle tente d’arrêter, mais sa tentative est vaine et elle rit de plus belle, tellement fort qu’elle bascule sur la tapis, se tient le ventre à deux mains en échappant quelques larmes qui n’ont rien avec ceux de tantôt.
Quelques minutes plus tard, elle se calme enfin et redevient plus sérieuse. Elle regarde Wentworth.
-Sarah : Je croyais que j’étais enceinte. Ça faisait deux mois que je n’ai pas eu…tu sais. Mais, là, aujourd’hui, quand je les ai enfin eues, j’étais tellement soulagée que j’en ai pleuré. Et, après, tu es entré en action…et tu connais la suite.
Soulagée parce qu’elle n’est pas enceinte de son future mari! De quoi se poser mille et une questions.
Sarah comprend ce qui se passe dans la tête de Went.
-Sarah : Went…je sais que tu penses que…
Went la fait taire en posant les lèvres sur les siennes. Le baiser est d’abord doux, mais ensuite, plus profond, plus chaud, plus ravageur. À deux doigts de faire basculer Sarah sur le tapis et lui faire tout ce qu’il a envie de lui faire depuis quatre ans, Wentworth cesse doucement tout contact avec le corps adoré.
-Went : Tu n’as pas de comptes à me rendre, Sarah. Et…pour le baiser…
-Sarah : Tu n’as pas de comptes à me rendre, Went.
Derrière la porte du trailer, n’entendant plus que des murmures, Dominic, Amaury, Robert, Jodi, Michael, William se dispersent rapidement en voyant Paul arriver, comme des enfants pris en faute d’espionnage derrière les portes. Ils se rendent chacun à son trailer en imaginant ce qui aurait pu se passer derrière cette porte pour que les sanglots et les rires se marient aux mêmes instants…et puis, le silence et les murmures.
Chapitre 7
La tension est palpable. Depuis trois jours, tout le monde vit sur les nerfs et en silence. Depuis le temps où Sarah est revenue à Prison Break, personne n’a rien vécu de pareil. Encore heureux qu’il n’y ait pas beaucoup de scènes Michael-Sara, parce que les deux acteurs en questions s’évitent et ne se parlent pas depuis le fameux incident de Lundi. Tout le monde en a marre, et surtout Paul. Mais, personne ose rien dire tellement la situation est étrange et…incompréhensible. Went et Sarah en chicane? Il y a trois jours, c’était inimaginable.
Wentworth n’en peut plus. La voir ainsi, blessée, par sa faute. Ne pas s’excuser, l’embrasser, la consoler…Il est là, impuissant. Il ne sait plus quoi faire. Il souffre, mais ça, il commence à s’habituer. Il habite avec sa peine et encore un peu, il commencera à la chérir comme une vieille voisine. Il secoue la tête. Maintenant, qu’il est plus calme, qu’il a pu réfléchir à tout ce que lui a dit Dominic, il pense suivre les conseils de son ami.
Alors qu’il remue tout ça dans sa tête, il passe devant le trailer de Sarah et s’arrête soudainement. Il retient sa respiration et tend l’oreille.
Apeuré, il monte des deux marches à une vitesse d’éclaire et ouvre la porte d’un coup de vent. Sarah sursaute et, une fois qu’elle a su que c’est lui, elle le tourne le dos et mets une main sur sa bouche et l’autre sur son ventre.
Un peu plus calme, Wentworth ferme la porte doucement derrière lui et évalue l’état des lieux. Des mouchoirs partout, le texte de l’épisode par terre, Sarah, assise sur le tapis au milieu de la pièce, en pleurs, la main sur le ventre, l’épaule secouée de sanglots qu’elle empêche de sortir devant lui.
Il ferme les yeux et les serre. Il est monstre! Comment est-ce qu’il a réussit à faire de la peine à la femme qu’il aime le plus au monde? Pour expier ses fautes, il s’approche doucement d’elle, s’assoit sur le tapis, tout près de son corps, et hésitant, met sa main sur son dos, dans une caresse.
La chaleur de la main de Wentworth est si réconfortante que Sarah éclate de nouveau en sanglots. Elle a tellement le goût de s’abandonner à cette main, de la laisser lui réchauffer le corps entier par ses tendres caresses. Mais, la blessure est trop vive dans son cœur.
-Sarah : Qu’est-ce que…tu veux…tu…tu…ne voul…lais plus me voir…non?
-Went : Sarah…Sarah…je suis désolé, j’étais fâché, fatigué…je, je ne sais pas…mais ce que j’ai dit c’est pas vrai…Sarah…
« Arrête, arrête de prononcer mon nom comme ça, tu me tue! », pense-t-elle.
-Went : Sarah…raconte-moi, pourquoi tu pleure…quelqu’un t’as fait de la peine?
-Sarah : TOI.
N’en pouvant plus, il la retourne vers lui et la serre dans ses bras. Il la serre fort contre son cœur et la berce doucement. Parfois, les mots de la langue n’ont pas le pouvoir des mots du cœur. Il la garde ainsi pendant cinq minutes, le temps que ses sanglots ce calment. Il prend alors son visage dans ses grandes mains qu’elle aime secrètement tant et essuie ses larmes avec ses pouces, en réprimant l’envie de se pencher un millimètre de plus pour prendre sa bouche dans la sienne et la laisser l’aspirer en elle à jamais.
À travers ces larmes, elle lui sourit. Elle prend un mouchoir et se mouche. C’est là qu’il remarque la boîte de tampons sur le tapis à côté d’elle. Involontairement, ses sourcils se lèvent. Elle le remarque et devant la perplexité qu’elle voit dans les yeux de Wentworth, elle commence à rire nerveusement. Lorsque le regard du jeune homme se porte sur elle, encore plus étonné et perplexe, elle est prise d’un fou rire sous les yeux amusés de Went. Elle tente d’arrêter, mais sa tentative est vaine et elle rit de plus belle, tellement fort qu’elle bascule sur la tapis, se tient le ventre à deux mains en échappant quelques larmes qui n’ont rien avec ceux de tantôt.
Quelques minutes plus tard, elle se calme enfin et redevient plus sérieuse. Elle regarde Wentworth.
-Sarah : Je croyais que j’étais enceinte. Ça faisait deux mois que je n’ai pas eu…tu sais. Mais, là, aujourd’hui, quand je les ai enfin eues, j’étais tellement soulagée que j’en ai pleuré. Et, après, tu es entré en action…et tu connais la suite.
Soulagée parce qu’elle n’est pas enceinte de son future mari! De quoi se poser mille et une questions.
Sarah comprend ce qui se passe dans la tête de Went.
-Sarah : Went…je sais que tu penses que…
Went la fait taire en posant les lèvres sur les siennes. Le baiser est d’abord doux, mais ensuite, plus profond, plus chaud, plus ravageur. À deux doigts de faire basculer Sarah sur le tapis et lui faire tout ce qu’il a envie de lui faire depuis quatre ans, Wentworth cesse doucement tout contact avec le corps adoré.
-Went : Tu n’as pas de comptes à me rendre, Sarah. Et…pour le baiser…
-Sarah : Tu n’as pas de comptes à me rendre, Went.
Derrière la porte du trailer, n’entendant plus que des murmures, Dominic, Amaury, Robert, Jodi, Michael, William se dispersent rapidement en voyant Paul arriver, comme des enfants pris en faute d’espionnage derrière les portes. Ils se rendent chacun à son trailer en imaginant ce qui aurait pu se passer derrière cette porte pour que les sanglots et les rires se marient aux mêmes instants…et puis, le silence et les murmures.
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
Chapitre 8
L’aéroport est rempli de gens excités par le temps des fêtes. Il y en a parmi eux qui laissent partir des êtres chers et d’autres qui partent vers des personnes qui leur manquent.
Il y en a aussi parmi eux qui regardent, la bouche ouverte d’ébahissement, un couple qui attend l’appel de son vol. La vue d’un couple n’est jamais étrange lorsqu’on vit dans…le monde. C’est tout à fait normal de voir un homme et une femme se tenir ensemble, rire et sourire et…se regarder dans les yeux sans aucune gêne. Mais, c’est beaucoup moins normal, pour les gens de la vie de tous les jours, de voir leur couple préféré sur l’écran à deux pas d’eux. Ce qui est beaucoup plus normal pour le couple en question.
Wentworth Miller et Sarah Wayne Callies sont habitués, à présent, à voir des gens qui les regardent d’abord avec étonnement et qui se précipitent ensuite vers eux pour leur crier leur admiration et leur demander des autographes. Bon, en fait, l’utilisation du « leur » est un peu exagérée, puisque la plupart du temps, c’est Wentworth qui se fait crier l’admiration des gens (donc, des « Je veux ton enfant ») et c’est à lui qu’on demande le plus d’autographes. Ce que Sarah comprend parfaitement vu le visage et le corps que possède son ami. Bon, elle préfère tout de suite chasser ces images enivrantes de son esprit.
Une quinzaine de minutes plus tard, par il ne sait plus quel miracle, Wentworth réussit à s’extirper de la cohue de filles excitées qui s’était formée autour de lui. Il aime ses fans, mais il aime beaucoup moins laisser Sarah s’emmerder toute seule dans l’aéroport. En vérité, il aime beaucoup moins laisser Sarah, POINT.
Il se dépêche d’aller s’assoir à côté de la femme qui a longtemps nourri ses rêves de nuit et de jour.
-Sarah : Wow, cupcake! Tout un record…quinze minutes pour signer des autographes à une…centaine de filles!
-Went : Elles n’étaient pas cent…tu exagère…
-Sarah : Ok, Miller…elles criaient comme cent filles.
-Went : T’es impossible!
-Sarah : C’est toi la Diva du set, tu oublie?
Il rigole, comme à chaque fois qu’il parle avec elle.
Tous les deux vont chez leurs parents pour Noël. Ils ne prennent pas le même vol, mais leur vol est à la même heure.
-Went : Josh, il va aussi chez tes parents?
-Sarah : Pas cette année. Ses parents vont à Sydney pour visiter sa sœur qui vit là-bas, et puisqu’il est en Australie pour son travail, il va fêter Noël avec eux.
-Went : Ah…okay…
-Sarah : Ouais.
Josh a toujours été un terrain glissant pour les deux amis. À chaque fois qu’ils parlent de lui, ils deviennent mal à l’aise et c’est pour cela que, d’un accord muet, ils ont décidé de ne pas trop parler de lui ensemble. Ils changent alors de sujet et, alors, qu’ils rigolent sur les dernières bouffonneries de Amaury, ils entendent la voix d’une femme crier :
-La femme : Hey, Wenty!
Une grande brunette s’avance et se jette dans les bras de Went qui s’était levé. Sarah se lève aussi, estomaquée par l’apparition de cette femme qu’elle n’a jamais vue et qui appelle Wentworth « Wenty ». « Wenty », Sarah est la seule qui l’appelle comme ça.
Sarah plaque alors un sourire froid sur sa face et essaie de calmer la tempête qui commence à prendre place dans son cœur. La femme daigne enfin se détacher de Wentworth et jeter un coup d’œil sur Sarah.
-Sarah : Bonsoir.
-Went (visiblement très embarrassé) : Euh, oui. Sarah, je te présente Hannah. Hannah, voilà Sarah. Mais, je crois que tu la connais un peu puisque tu regarde la série.
-Hannah : Ben, t’oublie que je suis toute prise par toi quand je regarde la série. Je ne fais pas attention aux autres acteurs…
QUOI!? Mais, qui cette…pétas…mieux vaut se retenir, se dit Sarah. Elle la voit se coller à lui et elle a le goût de lui tirer sa tuque jaune sur les yeux ET de lui donner un coup de pied sur ses grandes fesses ET de l’envoyer promener. Mais, qu’est-ce qui lui arrive. Elle n’a jamais eu d’envies meurtrières avant de voir cette femme.
L’embarras de Wentworth augmente à vue d’œil. Il essaie de se détacher de l’étreinte de Hannah, mais n’y arrive pas.
-Sarah : Bon, alors, je vous laisser…
-Went : Tu peux…
-Voix : Le vol 245 pour…
-Sarah : Voilà, c’est mon vol. Amusez-vous bien. Passe de belles vacances Wentyworth.
Sans aucun regard pour Hannah, elle leur tourne le dos. C’est la première fois en quatre ans que Sarah ne donne pas à Wentworth son bisou « Joyeux Noël ».
***
Deux semaines plus tard, épuisée par son vol, Sarah se jette sur son lit et dort profondément. Tellement profondément qu’elle n’entend pas son cellulaire vibrer à côté d’elle.
Il jette son portable sur le lit et s’y laisse choir, la tête entre les mains.
***
Le lendemain matin, tout le monde se raconte leurs vacances. Amaury jure avoir trouvé la femme de sa vie. Dominic raconte sa journée de ski avec ses enfants. Jodi décrit Paris et son admiration pour cette ville qui l’a accueillie pour le temps des fêtes. Chacun raconte ses histoires. Sarah et Wentworth s’exclament de temps en temps…et écoutent surtout.
Wentworth se penche et chuchote à l’oreille de Sarah.
-Went : Tu me manques. Tu veux venir chez moi ce soir? Popcorn, pizza…chocolat…et cupcakes?
-Sarah : hum…
-Went : Come on, s’il te plaît…je ne te manque pas?
Comment il peut ne pas lui manquer quand il la regarde ainsi?
-Sarah : Okay, arrête de faire ton coquin.
-Went : Tu viens?
-Sarah : OUI.
Il lui fait un immense sourire et lui plaque un bisou bruyant sur la joue avant de se lever, sous les yeux ahuris de tous les autres.
-Sarah : Ne vous inquiétez pas, il s’en remettra. Il a juste oublié de prendre ses médicaments.
Elle leur fait un clin d’œil en espérant qu’ils n’entendent pas les fous battements de son cœur.
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
coeurs sensibles s'abstenir ce chapitres est tres HOT (16+ )
Sept heures trente. Elle sort de la douche, se sèche les cheveux et ouvre sa garde-robes.
Sept heures quarante cinq. Elle est toujours devant sa garde robe parce qu’elle n’arrive pas à décider quoi porter. C’est toujours de même lorsqu’elle rencontre Wentworth. Elle reste une heure comme une idiote à se demander quoi porter pour rencontrer l’homme qui est son meilleur ami et non pas son petit ami. Elle essaie de se voir dans les yeux de Wentworth. Elle s’observe dans le miroir. Mince, toujours dans sa serviette de bain, elle est toute préoccupée. Elle ouvre son tiroir de sous-vêtements. Même les sous-vêtements ont de l’importance quand elle doit rencontrer cette homme…Elle ne sait pas pourquoi, d’ailleurs. Ou plutôt, elle préfère faire semblant de ne pas savoir pourquoi. Lasse, elle examine ses ensembles un à un. Elle opte pour un ensemble de string et soutien-gorge noir en dentelle de Victoria’s Secret (donc, très sexy). Elle les enfile et se regarde à nouveau dans le miroir.
Sept heures cinquante cinq. Rageusement, elle pige un jeans de sa garde robe. Mais, il la voit toujours en jeans. Pour compenser, elle choisi un top noir D&G ultra-sexy qui moule sa poitrine et la met en valeur. Elle porte des souliers noirs Prada talon-haut, enfile son manteau et met des objets en vrac dans son sac à main fourre-tout avant de fermer la porte de son appartement. Une fois dans son auto, elle se souvient qu’elle a oublié son portable à la maison. Tant pis, qui va l’appeler de toute façon?
Huit heures quinze. Elle sonne à la porte de l’appartement 210. La porte s’ouvre et un visage follement beau lui sourit. Sacré Wenty.
Ce n’est pas la première fois qu’elle vient chez lui. Des soirées popcorn, ils en font très souvent. Mais, aujourd’hui, c’est autre chose, ce n’est pas comme d’habitude. Aujourd’hui, il faut mettre les cartes sur table.
-Went (lui criant depuis la cuisine) : Qu’est-ce que tu veux boire?
-Sarah : Tu as du vin rouge?
-Went : Ok, j’ai deviné. Du vin rouge avec du jus de pommes?
-Sarah : Sacré Wentworth, exact.
-Went : Je ne comprends pas comment tu peux boire ça.
-Sarah : Est-ce que tu as déjà essayé? Non. Alors, pourquoi tu me juges? Tu devrais l’essayer, sérieux.
Il lui donne son verre, dépose les bols de popcorn sur la table du salon et apporte la pizza et la boit de…cupcakes. Sarah, préoccupée, ne remarque pas la dernière chose qu’il a déposée.
-Sarah : Tu t’es bien amusé pendant les vacances?
-Went : Oui. Et, toi?
-Sarah : Oui, merci.
-Went : Allez, avoue, il y a quelque chose qui te chipote.
-Sarah : Non…non. C’est juste que…j’ai trouvé ça étrange que…cette fille…comment elle s’appelle…Hannah? Oui. Je trouve ça étrange que tu ne m’en aies pas parlé avant…je vous aviez l’aire…hum…proches…très proches…
-Went : Tu es jalouse?
-Sarah : Pardon? C’est quoi cette histoire? Moi, NON, je NE suis PAS jalouse…voyons…
-Went : Okay, Sarah, ça va, je te taquinais, c’est tout. Ne t’énerve pas de même.
-Sarah : Quoi? Mais, non…je…je ne suis pas énervée… De quoi tu parles?
-Went : Oh, come on. Tu es énervée. Je sais que Hannah a un peu mal agis avec toi…mais, elle a du être…je ne sais pas…
-Sarah : Mais, je m’en fou d’elle. Je…c’est toi, ton attitude…c’est, c’est elle la femme?
-Went : Quelle femme?
-Sarah : La femme, LA femme. Celle que tu attends…que tu espère ou je ne sais quoi…celle qui te fait de la peine…celle pour laquelle tu dois…hum…avoir un baiser pour tenir…c’est elle?
-Went : Non et tu le sais.
-Sarah : Quoi…je non…je…
-Went : Tu n’es pas idiote, Sarah, ne joue pas ce jeu avec moi.
-Sarah : Quel jeu? Je…
-Went : Oh, s’il te plaît, tu sais très bien qui est la femme. Tu sais très bien que c’est toi. Tu veux quoi hein? Tu veux que je te jure un amour éternel, que je reste la toute ma vie à attendre, à attendre tes baisers pour tenir. Comme ça, tu as la liberté de choisir entre deux hommes : un éperdu d’amour, fou de toi, jouant au meilleur ami patient et compréhensif et l’autre, ton fiancé, attendant que tu l’épouse alors que tu donnes des baisers à l’autre pour le consoler? C’est ce que tu veux?
-Sarah : Oh…mon Dieu. Went, arrête ça…on arrête ça tout de suite, on va se dire des choses idiotes qu’on va regretter…
-Went : Au moins on va se parler honnêtement, une fois pour toutes.
-Sarah : Tu es certain de ce que tu veux? Commence par cette Hannah d’abord. Pourquoi tu es avec elle si tu en aime…
-Went : Oui, dis-le, si j’en aime une autre. De quel droit tu me demandes ça alors que l’autre, que toi, tu te fou complètement de moi. Tu es fiancée et tout vas bien…
En disant ces paroles, il s’était approché d’elle et avait saisit ses poignés fermement.
-Sarah : Qu’est-ce que tu en sais, hein? Comment, comment tu oses dire que je me fiche de toi? Toi, si intelligent, tu devrais comprendre que les baisers ça se donne pas à n’importe qui, que je me fiche de plein de monde, mais JAMAIS de TOI. Lâche-moi, tu me fais mal.
Il desserre ses mains sur les poignés de Sarah, mais ne les abandonne pas. Dans leur colère, ils se sont doucement avancés dans le salon. À présent, Sarah est debout à un pas du mur et Wentworth est devant elle. Il s’approche davantage en la regardant dans les yeux, l’obligeant du même coup à reculer, sans complètement toucher le mur. La bouche entrouverte, Sarah voit le danger arriver, s’approcher. Un danger séducteur, très séducteur, aux yeux brillants, teintés d’un certain mélange d’émotions qu’elle n’arrive pas à lire tellement elle est prise par la beauté de ces yeux. Il la plaque contre le mur et colle ses lèvres sur les siennes.
D’abord doucement. Surprise, elle ne réagit pas. Mais, vite, trop vite, elle répond aux lèvres qui ont forcé les siennes, à la langue qui caresse la sienne et lui conte par sa dance le même désir qui lui traverse le corps. Elle passe les bras autour des hanches de ce beau Dieu qui la chavire et colle son corps sur le sien. Elle n’arrive plus à penser et elle adore le vide qui prend place dans son esprit, ce vide prêt à accueillir et à graver les instants à venir.
Ensuite plus violemment. Le souffle court, Wentworth goûte le désir qui traverse la femme adorée. Il entend un gémissement et se dit qu’il provient peut-être de lui avant de se perdre totalement dans la violence du désir qui le happe. Fiévreusement, il reprend les lèvres de Sarah et sombre dans un tourbillon irrésistible qui empêche toute réflexion. Quand il sent les mains follement habiles de Sarah se glisser sous sa chemise, il soulève la jeune femme et la dépose sur le tapis. Elle le regarde, les yeux mi-ouverts. Elle soupire et il comprend. Il soulève son top qu’il a trouvé si sexy, il y a une demi-heure, lorsqu’elle est entrée. Il lui murmure à l’oreille, avec une voix grave et enivrante : « Laisse-moi juste regarder ton corps, ok? Juste regarder… » Et, elle le laisse faire, et il ne fait pas que regarder. Il fait glisser le vêtement par-dessus sa tête et le lance au loin dans le salon. Il lui enlève ses souliers et les lance derrière lui. Les jeans connaissent le même sort que le top.
Sarah frissonne sous le regarde de Wentworth qui observe son corps uniquement habillé de sous-vêtements. Elle laisse ses grandes et chaudes mains, ses mains qu’elle aime tant, courir sur sa peau, effleurer chaque parcelle, explorer chaque pli. Elle se découvre sous ses mains, sous ses doigts. Elle se soulève légèrement, s’agrippe à la chemise de Wentworth et commence à la déboutonner. Dès qu’elle pose sa bouche avide sur son torse, ses mains à lui atteignent les cuisses chaudes, remontent vers les reins et le dos pour enfin dégrafer le soutien-gorge et sentir les seins dressés et chauds de Sarah contre sa peau.
Il l’étend à nouveau sur le tapis. Sa bouche court avec une douceur dangereuse. Sa bouche et ses mains réveillent l’élan, la font trembler. Il y a comme une vénération dans sa façon de la goûter. Elle désire tellement ses caresses, elle n’est plus qu’une avidité implorante.
Wentworth entend le gémissement guttural de Sarah lorsqu’il embrasse fiévreusement ses seins. Il sent la tension qui raidit son corps à elle lorsque ses mains écarte la culotte noire et que sa bouche descend contre le ventre et goûte les cuisses la où la peau se fait plus fine. Elle se soulève avec hâte et le débarrasse de ses pantalons d’un coup de main. Sans aucune pudeur, elle lui retire ses boxers et le caresse avec fougue.
Il reprend le contrôle et son souffle en même temps. Il n’arrive plus à freiner son désir, ses caresses. La vue de Sarah, nue sur le tapis de son salon, qui soulève ses hanches évidente de désir, l’appelle, lui fait perdre la tête, le rend fou, le tue. Il la retourne sur le ventre. « Non, Went, s’il te plait…continue », lui dit-elle dans un souffle. Il n’est pas encore prêt à entrer en elle, il faut qu’il la goûte encore un peu plus. Il remonte ses mains le long de son dos en même temps que sa bouche qui dépose une ultime caresse sur chaque vertèbre avant de lui embrasser la nuque.
Les lèvres de cet homme sur sa peau est une torture vertigineuse. Le baiser qu’il dépose au creux de ses reins la propulse vers l’extase. La tête enfouie dans son bras replié, bouche ouverte, déroutée, elle ne sait que gémir et s’ouvrir au corps qui la découvre.
Il l’entend gronder parce que ses mains à lui font monter sauvagement le plaisir et il entend sa propre plainte à lui, une plainte sourde qui traduit son désir et son plaisir. Il la retourne alors très vite et le seul fait de le voir poser sa bouche sur son désir et l’embrasser aussi avidement l’achève. « Went » Sa voix rauque et lourde de cette tension qui les traverse les trouble tous les deux.
C’est à son tour à elle de le découvrir. Elle embrasse sa gorge, promène ses lèvres le long de son torse, embrasse son ventre, enfuit sa langue dans son nombril et laisse ses lèvres suivre la ligne de duvet foncé qui descend vers son bas ventre. Fou de désir, il l’empêche d’aller plus loin. Il entre en elle et l’embrasse en même temps pour étouffer le son rauque que la jouissance lui arrache, ce son qu’il rêve d’émettre depuis quatre ans.
Chapitre 9
Sept heures trente. Elle sort de la douche, se sèche les cheveux et ouvre sa garde-robes.
Sept heures quarante cinq. Elle est toujours devant sa garde robe parce qu’elle n’arrive pas à décider quoi porter. C’est toujours de même lorsqu’elle rencontre Wentworth. Elle reste une heure comme une idiote à se demander quoi porter pour rencontrer l’homme qui est son meilleur ami et non pas son petit ami. Elle essaie de se voir dans les yeux de Wentworth. Elle s’observe dans le miroir. Mince, toujours dans sa serviette de bain, elle est toute préoccupée. Elle ouvre son tiroir de sous-vêtements. Même les sous-vêtements ont de l’importance quand elle doit rencontrer cette homme…Elle ne sait pas pourquoi, d’ailleurs. Ou plutôt, elle préfère faire semblant de ne pas savoir pourquoi. Lasse, elle examine ses ensembles un à un. Elle opte pour un ensemble de string et soutien-gorge noir en dentelle de Victoria’s Secret (donc, très sexy). Elle les enfile et se regarde à nouveau dans le miroir.
Sept heures cinquante cinq. Rageusement, elle pige un jeans de sa garde robe. Mais, il la voit toujours en jeans. Pour compenser, elle choisi un top noir D&G ultra-sexy qui moule sa poitrine et la met en valeur. Elle porte des souliers noirs Prada talon-haut, enfile son manteau et met des objets en vrac dans son sac à main fourre-tout avant de fermer la porte de son appartement. Une fois dans son auto, elle se souvient qu’elle a oublié son portable à la maison. Tant pis, qui va l’appeler de toute façon?
Huit heures quinze. Elle sonne à la porte de l’appartement 210. La porte s’ouvre et un visage follement beau lui sourit. Sacré Wenty.
Ce n’est pas la première fois qu’elle vient chez lui. Des soirées popcorn, ils en font très souvent. Mais, aujourd’hui, c’est autre chose, ce n’est pas comme d’habitude. Aujourd’hui, il faut mettre les cartes sur table.
-Went (lui criant depuis la cuisine) : Qu’est-ce que tu veux boire?
-Sarah : Tu as du vin rouge?
-Went : Ok, j’ai deviné. Du vin rouge avec du jus de pommes?
-Sarah : Sacré Wentworth, exact.
-Went : Je ne comprends pas comment tu peux boire ça.
-Sarah : Est-ce que tu as déjà essayé? Non. Alors, pourquoi tu me juges? Tu devrais l’essayer, sérieux.
Il lui donne son verre, dépose les bols de popcorn sur la table du salon et apporte la pizza et la boit de…cupcakes. Sarah, préoccupée, ne remarque pas la dernière chose qu’il a déposée.
-Sarah : Tu t’es bien amusé pendant les vacances?
-Went : Oui. Et, toi?
-Sarah : Oui, merci.
-Went : Allez, avoue, il y a quelque chose qui te chipote.
-Sarah : Non…non. C’est juste que…j’ai trouvé ça étrange que…cette fille…comment elle s’appelle…Hannah? Oui. Je trouve ça étrange que tu ne m’en aies pas parlé avant…je vous aviez l’aire…hum…proches…très proches…
-Went : Tu es jalouse?
-Sarah : Pardon? C’est quoi cette histoire? Moi, NON, je NE suis PAS jalouse…voyons…
-Went : Okay, Sarah, ça va, je te taquinais, c’est tout. Ne t’énerve pas de même.
-Sarah : Quoi? Mais, non…je…je ne suis pas énervée… De quoi tu parles?
-Went : Oh, come on. Tu es énervée. Je sais que Hannah a un peu mal agis avec toi…mais, elle a du être…je ne sais pas…
-Sarah : Mais, je m’en fou d’elle. Je…c’est toi, ton attitude…c’est, c’est elle la femme?
-Went : Quelle femme?
-Sarah : La femme, LA femme. Celle que tu attends…que tu espère ou je ne sais quoi…celle qui te fait de la peine…celle pour laquelle tu dois…hum…avoir un baiser pour tenir…c’est elle?
-Went : Non et tu le sais.
-Sarah : Quoi…je non…je…
-Went : Tu n’es pas idiote, Sarah, ne joue pas ce jeu avec moi.
-Sarah : Quel jeu? Je…
-Went : Oh, s’il te plaît, tu sais très bien qui est la femme. Tu sais très bien que c’est toi. Tu veux quoi hein? Tu veux que je te jure un amour éternel, que je reste la toute ma vie à attendre, à attendre tes baisers pour tenir. Comme ça, tu as la liberté de choisir entre deux hommes : un éperdu d’amour, fou de toi, jouant au meilleur ami patient et compréhensif et l’autre, ton fiancé, attendant que tu l’épouse alors que tu donnes des baisers à l’autre pour le consoler? C’est ce que tu veux?
-Sarah : Oh…mon Dieu. Went, arrête ça…on arrête ça tout de suite, on va se dire des choses idiotes qu’on va regretter…
-Went : Au moins on va se parler honnêtement, une fois pour toutes.
-Sarah : Tu es certain de ce que tu veux? Commence par cette Hannah d’abord. Pourquoi tu es avec elle si tu en aime…
-Went : Oui, dis-le, si j’en aime une autre. De quel droit tu me demandes ça alors que l’autre, que toi, tu te fou complètement de moi. Tu es fiancée et tout vas bien…
En disant ces paroles, il s’était approché d’elle et avait saisit ses poignés fermement.
-Sarah : Qu’est-ce que tu en sais, hein? Comment, comment tu oses dire que je me fiche de toi? Toi, si intelligent, tu devrais comprendre que les baisers ça se donne pas à n’importe qui, que je me fiche de plein de monde, mais JAMAIS de TOI. Lâche-moi, tu me fais mal.
Il desserre ses mains sur les poignés de Sarah, mais ne les abandonne pas. Dans leur colère, ils se sont doucement avancés dans le salon. À présent, Sarah est debout à un pas du mur et Wentworth est devant elle. Il s’approche davantage en la regardant dans les yeux, l’obligeant du même coup à reculer, sans complètement toucher le mur. La bouche entrouverte, Sarah voit le danger arriver, s’approcher. Un danger séducteur, très séducteur, aux yeux brillants, teintés d’un certain mélange d’émotions qu’elle n’arrive pas à lire tellement elle est prise par la beauté de ces yeux. Il la plaque contre le mur et colle ses lèvres sur les siennes.
D’abord doucement. Surprise, elle ne réagit pas. Mais, vite, trop vite, elle répond aux lèvres qui ont forcé les siennes, à la langue qui caresse la sienne et lui conte par sa dance le même désir qui lui traverse le corps. Elle passe les bras autour des hanches de ce beau Dieu qui la chavire et colle son corps sur le sien. Elle n’arrive plus à penser et elle adore le vide qui prend place dans son esprit, ce vide prêt à accueillir et à graver les instants à venir.
Ensuite plus violemment. Le souffle court, Wentworth goûte le désir qui traverse la femme adorée. Il entend un gémissement et se dit qu’il provient peut-être de lui avant de se perdre totalement dans la violence du désir qui le happe. Fiévreusement, il reprend les lèvres de Sarah et sombre dans un tourbillon irrésistible qui empêche toute réflexion. Quand il sent les mains follement habiles de Sarah se glisser sous sa chemise, il soulève la jeune femme et la dépose sur le tapis. Elle le regarde, les yeux mi-ouverts. Elle soupire et il comprend. Il soulève son top qu’il a trouvé si sexy, il y a une demi-heure, lorsqu’elle est entrée. Il lui murmure à l’oreille, avec une voix grave et enivrante : « Laisse-moi juste regarder ton corps, ok? Juste regarder… » Et, elle le laisse faire, et il ne fait pas que regarder. Il fait glisser le vêtement par-dessus sa tête et le lance au loin dans le salon. Il lui enlève ses souliers et les lance derrière lui. Les jeans connaissent le même sort que le top.
Sarah frissonne sous le regarde de Wentworth qui observe son corps uniquement habillé de sous-vêtements. Elle laisse ses grandes et chaudes mains, ses mains qu’elle aime tant, courir sur sa peau, effleurer chaque parcelle, explorer chaque pli. Elle se découvre sous ses mains, sous ses doigts. Elle se soulève légèrement, s’agrippe à la chemise de Wentworth et commence à la déboutonner. Dès qu’elle pose sa bouche avide sur son torse, ses mains à lui atteignent les cuisses chaudes, remontent vers les reins et le dos pour enfin dégrafer le soutien-gorge et sentir les seins dressés et chauds de Sarah contre sa peau.
Il l’étend à nouveau sur le tapis. Sa bouche court avec une douceur dangereuse. Sa bouche et ses mains réveillent l’élan, la font trembler. Il y a comme une vénération dans sa façon de la goûter. Elle désire tellement ses caresses, elle n’est plus qu’une avidité implorante.
Wentworth entend le gémissement guttural de Sarah lorsqu’il embrasse fiévreusement ses seins. Il sent la tension qui raidit son corps à elle lorsque ses mains écarte la culotte noire et que sa bouche descend contre le ventre et goûte les cuisses la où la peau se fait plus fine. Elle se soulève avec hâte et le débarrasse de ses pantalons d’un coup de main. Sans aucune pudeur, elle lui retire ses boxers et le caresse avec fougue.
Il reprend le contrôle et son souffle en même temps. Il n’arrive plus à freiner son désir, ses caresses. La vue de Sarah, nue sur le tapis de son salon, qui soulève ses hanches évidente de désir, l’appelle, lui fait perdre la tête, le rend fou, le tue. Il la retourne sur le ventre. « Non, Went, s’il te plait…continue », lui dit-elle dans un souffle. Il n’est pas encore prêt à entrer en elle, il faut qu’il la goûte encore un peu plus. Il remonte ses mains le long de son dos en même temps que sa bouche qui dépose une ultime caresse sur chaque vertèbre avant de lui embrasser la nuque.
Les lèvres de cet homme sur sa peau est une torture vertigineuse. Le baiser qu’il dépose au creux de ses reins la propulse vers l’extase. La tête enfouie dans son bras replié, bouche ouverte, déroutée, elle ne sait que gémir et s’ouvrir au corps qui la découvre.
Il l’entend gronder parce que ses mains à lui font monter sauvagement le plaisir et il entend sa propre plainte à lui, une plainte sourde qui traduit son désir et son plaisir. Il la retourne alors très vite et le seul fait de le voir poser sa bouche sur son désir et l’embrasser aussi avidement l’achève. « Went » Sa voix rauque et lourde de cette tension qui les traverse les trouble tous les deux.
C’est à son tour à elle de le découvrir. Elle embrasse sa gorge, promène ses lèvres le long de son torse, embrasse son ventre, enfuit sa langue dans son nombril et laisse ses lèvres suivre la ligne de duvet foncé qui descend vers son bas ventre. Fou de désir, il l’empêche d’aller plus loin. Il entre en elle et l’embrasse en même temps pour étouffer le son rauque que la jouissance lui arrache, ce son qu’il rêve d’émettre depuis quatre ans.
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Date d'inscription : 04/06/2008
Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
en voila un autre
Ils sont dans sa chambre, couverts par la pénombre. Sarah est couchée sur le dos, le bras replié sur ses yeux. Wentworth cherche à distinguer son expression et effleure son visage.
-Went : Ça va?
-Sarah : Oui.
Il l’embrasse avec une infinie douceur.
-Went : Tu m’as dérouté.
-Sarah (en riant) : J’espère. Je me suis déroutée moi-même.
Il aime savoir qu’il n’est pas le seul à avoir été déstabilisé. Elle se tourne vers lui et caresse son visage du bout des doigts, au hasard. Seuls ses yeux d’océans brillent dans la pénombre.
-Went : Je…pour…Jo…
Sarah le faire taire en posant son doigts sur ses lèvres.
-Sarah : Pas ce soir, pas cette nuit. Cette nuit nous appartient, à nous deux seuls. Demain, demain on en parlera.
Il lui prend les épaules et l’étend sur le lit. Il commence à lui embrasser le cou. Mais, elle le renverse et lui maintient les épaules contre le matelas.
-Sarah : C’est moi qui goûte, Cupcake.
Il la laisse faire…avec plaisir.
À quelques kilomètres, dans un appartement de Los Angeles, seul le silence est témoin de la sonnerie infatigable d’un téléphone portable.
À l’autre bout du monde, un homme, pour la millième fois, raccroche au nez de la sonnerie du téléphone portable de sa fiancée. Il s’inquiète et milles scénarios lui passent par la tête, sauf celui de l’avoir perdu aux bras d’un autre homme.
Elle dort, avec le même abandon dont il avait témoigné au Weekend chez ses parents. Elle dort et il veille. Il ne pourra plus jamais dormir avec cette femme sans veiller, parce que la peur qu’il doit dans un rêve l’achèvera. Les rayons de l’aube entre par les rideaux de la fenêtre et caressent le corps sublime de sa belle. Ses doigts les rejoignent pour se promener sur la douceur de sa peau. Il entend un faible grognement de plaisir et il continue.
Totalement réveillée, elle l’attire vers sa bouche pour étirer encore les heures avant que le matin éclipse la nuit. Il ferme les yeux et la goûte, pour la millième fois, insatiable. Et, à chaque fois, il est frappé par la force du désir qui le submerge et lui coupe le souffle. Les lèvres et le corps de cette femme sont d’une félicité sans nom. Il recommence le pèlerinage de la veille avant d’entrer en elle et d’épouser son corps. Par ses caresses, il lui raconte tout l’amour qu’il ressent, tout le désir qui le tient depuis si longtemps. Elle met ses mains sur son torse, remonte vers son visage et le caresse, comme lorsqu’il a caressé le sien en étant dans la peau de Michael qui vient de retrouver Sara. Ils se sont retrouvés. Après avoir passé quatre ans ensembles, ils se sont retrouvés…enfin.
Elle l’appelle et le touche pour être certaine qu’il est bien là, en elle, que ce n’est pas un autre rêve, qu’elle ne se réveillera pas seule dans ses draps froids par la solitude.
« Went…Wenty… » Elle a le goût de pleurer, et lui aussi.
-Sarah : Je t’aime, Went.
Bouleversé, il arrête son mouvement de va et vient, mais demeure en elle.
-Went : Je t’aime aussi, Sarah.
Cette fois, ce n’est pas Michael Scofield qui le dit, mais bien Wentworth Miller. Il lui embrasse les lèvres avec tout l’amour du monde. Enfin.
Sarah se lève du lit avec un grand sourire et enfile la veste de pyjama de Wentworth qu’elle trouve sur une chaise à côté du lit. Elle se regarde dans le miroir. Super, la chemise lui couvre complètement les fesses, elle n’a juste à ne pas se baisser et tout ira bien. Pieds nus, elle se dirige vers le salon et se tient les yeux écarquillés dans l’embrasure de la porte. Elle promène son regard surpris sur les lieux. Elle voit ses souliers dans un coin, son top et ses jeans dans un autre, son soutien-gorge et ses culottes sur le canapé. Le même sort est celui des vêtements que Wentworth portait la veille. Elle sent une présence derrière elle et rougit. Des joues douces qui sentent le after-shave se frottent contre sa nuque et des lèvres chaudes y déposent un baiser.
Sarah remarque soudain la boîte de cupcakes sur la table du salon.
-Sarah : Tu as vraiment acheté des cupcakes?
-Went : Ben, oui. C’était une des conditions pour que tu viennes non? Mais, tu ne les as même pas goûtés.
-Sarah : Qu’est-ce que j’ai fais alors hier pendant la nuit. Je n’ai pas seulement goûté au meilleur cupcake, j’ai carrément sauté dessus.
Il éclate de rire en se tapant la cuisse, comme à son habitude.
-Sarah : Bon, il faut que je m’habille. Je me sens très…nue…c’est le cas de le dire.
-Went : Quoi, ma chemise ne te plaît pas?
-Sarah : Elle est adorable, mais je la préfère sur toi.
-Went : J’aimerai t’en dire autant.
-Sarah : Coquin.
Attablés devant un café et des croissants fraîchement commandés, ils sont silencieux. Voilà, le matin s’est levé et les a obligés à réfléchir à la partie la plus lourde de leur entente.
-Sarah : La dernière fois qu’on s’est parlé, on a eu une chicane au téléphone.
-Went : Mais, ça ne veut rien dire.
-Sarah : Non…pour moi, toute notre relation ne veut plus rien dire.
-Went (il prend sa main droite et touche sa bague de fiançailles) : Et, ça?
-Sarah : Il rentre après-demain. Je vais la lui remettre et lui raconter la vérité. Il s’en remettra. Tu es capable de tenir jusqu’à après-demain?
-Went : J’ai tenu pendant quatre ans, alors deux jours ce n’est rien…Mais, j’avoue qu’avec un baiser…ça m’aidera plus.
-Sarah : Cupcake…t’as pas juste eu un baiser hier…ça devrait suffire.
-Went (avec un grand sourire) : Maintenant, c’est pire. Je suis devenu accro.
Elle ramasse ses affaires en souriant. Elle se penche sur lui et prend ses lèvres pour un long baiser enflammé.
Wentworth demeure longtemps assis après avoir entendu la porte de son appartement se fermer. Assis, en train de rêver à après demain.
Chapitre 10
Ils sont dans sa chambre, couverts par la pénombre. Sarah est couchée sur le dos, le bras replié sur ses yeux. Wentworth cherche à distinguer son expression et effleure son visage.
-Went : Ça va?
-Sarah : Oui.
Il l’embrasse avec une infinie douceur.
-Went : Tu m’as dérouté.
-Sarah (en riant) : J’espère. Je me suis déroutée moi-même.
Il aime savoir qu’il n’est pas le seul à avoir été déstabilisé. Elle se tourne vers lui et caresse son visage du bout des doigts, au hasard. Seuls ses yeux d’océans brillent dans la pénombre.
-Went : Je…pour…Jo…
Sarah le faire taire en posant son doigts sur ses lèvres.
-Sarah : Pas ce soir, pas cette nuit. Cette nuit nous appartient, à nous deux seuls. Demain, demain on en parlera.
Il lui prend les épaules et l’étend sur le lit. Il commence à lui embrasser le cou. Mais, elle le renverse et lui maintient les épaules contre le matelas.
-Sarah : C’est moi qui goûte, Cupcake.
Il la laisse faire…avec plaisir.
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À quelques kilomètres, dans un appartement de Los Angeles, seul le silence est témoin de la sonnerie infatigable d’un téléphone portable.
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À l’autre bout du monde, un homme, pour la millième fois, raccroche au nez de la sonnerie du téléphone portable de sa fiancée. Il s’inquiète et milles scénarios lui passent par la tête, sauf celui de l’avoir perdu aux bras d’un autre homme.
***
Elle dort, avec le même abandon dont il avait témoigné au Weekend chez ses parents. Elle dort et il veille. Il ne pourra plus jamais dormir avec cette femme sans veiller, parce que la peur qu’il doit dans un rêve l’achèvera. Les rayons de l’aube entre par les rideaux de la fenêtre et caressent le corps sublime de sa belle. Ses doigts les rejoignent pour se promener sur la douceur de sa peau. Il entend un faible grognement de plaisir et il continue.
Totalement réveillée, elle l’attire vers sa bouche pour étirer encore les heures avant que le matin éclipse la nuit. Il ferme les yeux et la goûte, pour la millième fois, insatiable. Et, à chaque fois, il est frappé par la force du désir qui le submerge et lui coupe le souffle. Les lèvres et le corps de cette femme sont d’une félicité sans nom. Il recommence le pèlerinage de la veille avant d’entrer en elle et d’épouser son corps. Par ses caresses, il lui raconte tout l’amour qu’il ressent, tout le désir qui le tient depuis si longtemps. Elle met ses mains sur son torse, remonte vers son visage et le caresse, comme lorsqu’il a caressé le sien en étant dans la peau de Michael qui vient de retrouver Sara. Ils se sont retrouvés. Après avoir passé quatre ans ensembles, ils se sont retrouvés…enfin.
Elle l’appelle et le touche pour être certaine qu’il est bien là, en elle, que ce n’est pas un autre rêve, qu’elle ne se réveillera pas seule dans ses draps froids par la solitude.
« Went…Wenty… » Elle a le goût de pleurer, et lui aussi.
-Sarah : Je t’aime, Went.
Bouleversé, il arrête son mouvement de va et vient, mais demeure en elle.
-Went : Je t’aime aussi, Sarah.
Cette fois, ce n’est pas Michael Scofield qui le dit, mais bien Wentworth Miller. Il lui embrasse les lèvres avec tout l’amour du monde. Enfin.
***
Sarah se lève du lit avec un grand sourire et enfile la veste de pyjama de Wentworth qu’elle trouve sur une chaise à côté du lit. Elle se regarde dans le miroir. Super, la chemise lui couvre complètement les fesses, elle n’a juste à ne pas se baisser et tout ira bien. Pieds nus, elle se dirige vers le salon et se tient les yeux écarquillés dans l’embrasure de la porte. Elle promène son regard surpris sur les lieux. Elle voit ses souliers dans un coin, son top et ses jeans dans un autre, son soutien-gorge et ses culottes sur le canapé. Le même sort est celui des vêtements que Wentworth portait la veille. Elle sent une présence derrière elle et rougit. Des joues douces qui sentent le after-shave se frottent contre sa nuque et des lèvres chaudes y déposent un baiser.
Sarah remarque soudain la boîte de cupcakes sur la table du salon.
-Sarah : Tu as vraiment acheté des cupcakes?
-Went : Ben, oui. C’était une des conditions pour que tu viennes non? Mais, tu ne les as même pas goûtés.
-Sarah : Qu’est-ce que j’ai fais alors hier pendant la nuit. Je n’ai pas seulement goûté au meilleur cupcake, j’ai carrément sauté dessus.
Il éclate de rire en se tapant la cuisse, comme à son habitude.
-Sarah : Bon, il faut que je m’habille. Je me sens très…nue…c’est le cas de le dire.
-Went : Quoi, ma chemise ne te plaît pas?
-Sarah : Elle est adorable, mais je la préfère sur toi.
-Went : J’aimerai t’en dire autant.
-Sarah : Coquin.
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Attablés devant un café et des croissants fraîchement commandés, ils sont silencieux. Voilà, le matin s’est levé et les a obligés à réfléchir à la partie la plus lourde de leur entente.
-Sarah : La dernière fois qu’on s’est parlé, on a eu une chicane au téléphone.
-Went : Mais, ça ne veut rien dire.
-Sarah : Non…pour moi, toute notre relation ne veut plus rien dire.
-Went (il prend sa main droite et touche sa bague de fiançailles) : Et, ça?
-Sarah : Il rentre après-demain. Je vais la lui remettre et lui raconter la vérité. Il s’en remettra. Tu es capable de tenir jusqu’à après-demain?
-Went : J’ai tenu pendant quatre ans, alors deux jours ce n’est rien…Mais, j’avoue qu’avec un baiser…ça m’aidera plus.
-Sarah : Cupcake…t’as pas juste eu un baiser hier…ça devrait suffire.
-Went (avec un grand sourire) : Maintenant, c’est pire. Je suis devenu accro.
Elle ramasse ses affaires en souriant. Elle se penche sur lui et prend ses lèvres pour un long baiser enflammé.
Wentworth demeure longtemps assis après avoir entendu la porte de son appartement se fermer. Assis, en train de rêver à après demain.
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
pardonnez moi...un peu de sadisme vers la fin...
lâchez vos comms surtou
La première chose que Sarah fait en rentrant chez elle, c’est prendre une douche. Une douche froide, pour lui réveiller les esprits. Il faut qu’elle réfléchisse à ce qu’elle va dire à Josh pour ne pas le blesser. Elle l’aime bien, mais seulement pas assez pour devenir sa femme. En tout cas, elle ne l’aime plus assez bien pour ça. Ils ont passé cinq merveilleuses années ensemble, mais, ces derniers temps, ils se sont éloignés l’un de l’autre. Josh a profité du retour de Sarah à Prison Break pour tripler ses heures de travail et ses voyages et leur couple en a payé le prix. Et, puis, il faut regarder la vérité en face. Wentworth et Sarah ont toujours eu une plus grande complicité et alchimie que Josh et Sarah, ce qui n’est pas tout à fait normal.
Sarah se souvient d’avoir oublié son portable à la maison. Elle le prend et constate qu’elle a 20 appels ratés. Surprise par ce nombre inhabituel, elle ouvre le clapet pour connaître les destinateurs, et écarquille les yeux devant le nom de Josh qui apparaît…20 fois. Elle se sent alors coupable. Il se faisait du souci pour elle, et elle s’envoyait en l’air avec son supposé meilleur ami. Bon, elle ne s’envoyait pas exactement en l’air, elle faisait l’amour, il y a une différence entre les deux. Ce qu’il y a eu entre Wentworth et elle n’est pas une aventure d’un soir, loin de l’être. Wentworth…Bon, elle est mieux d’aller prendre une douche froide avant d’appeler Josh.
Son portable est fermé. Étrange, Josh ne ferme jamais son portable. Bon, elle attendra son retour ou son appel, elle ne peut rien faire d’autre.
Le lendemain matin, Sarah sursaute dans son lit lorsqu’elle sent une présence à côté d’elle.
-Sarah : JOSH!
-Josh : Désolé, chérie.
-Sarah : Mon Dieu! Tu m’as fait une de ces peurs. Qu’est-ce que tu fais là? On est Mercredi?
-Josh : Non, on est mardi. Lundi, j’ai pris le premier vol pour ici. Je m’inquiétais pour toi. Je t’ai appelé…
-Sarah : Une vingtaine de fois, j’ai vu.
-Josh : Qu’est-ce qui se passe? Pourquoi tu es de mauvaise humeur?
-Sarah : Josh…il faut qu’on parle.
Il n’a rien dit. Il est demeuré silencieux depuis le début, la tête baissée. Elle essaie de déchiffrer son regard, de voir s’il est triste, en colère, heureux, soulagé, déprimé…n’importe quoi. Mais, rien, elle ne peut même pas voir ses yeux pour lire son âme. Elle se tortille les mains en attendant une réaction. Elle préfère une colère à ce silence. Enfin, il ouvre la bouche.
-Josh : Je serais menteur si je te disais que je n’ai jamais eu peur que ça arrive un jour. Mais, je serais aussi menteur, si je te disais que je me doutais que ça arriverai alors que nous sommes fiancés. Quand tu as accepté de m’épouser, je me suis dit que je suis « safe ». Que, puisque tu veux devenir ma femme, Wentworth ne sera plus un danger sur notre couple. Mais, je me suis fourré un doigt dans l’œil.
C’est à son tour à elle d’être silencieuse et de baisser la tête. Elle ne regrette même pas d’avoir couché avec Wentworth, parce qu’elle sait maintenant que c’est à côté de cet homme qu’elle désire passer sa vie. Mais, elle est quand même triste pour Josh. Elle n’aurait pas voulu que les choses se passent ainsi.
-Josh : J’aurais voulu me fâcher contre toi ou lui. Mais, ça ne me tente pas vraiment. Peut-être que notre couple n’était pas seulement menacé par Wentworth. Peut-être qu’on n’est plus comme avant, qu’on ne ressent plus les même sentiments, peut-être que c’est plus facile ainsi. Ou, peut-être pas. Je pense que je t’aime toujours, Sarah. Donne-nous une chance, une deuxième chance. Les cinq ans que nous avons passés ensemble méritent une deuxième chance.
La détresse et la peine de voit Sarah dans les yeux de Josh l’attendrissent.
-Sarah : D’accord, Josh. Une deuxième chance.
Josh se lève et prend Sarah dans ses bras. Il l’embrasse, la soulève et l’emmène sur le lit.
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Chapitre 11
La première chose que Sarah fait en rentrant chez elle, c’est prendre une douche. Une douche froide, pour lui réveiller les esprits. Il faut qu’elle réfléchisse à ce qu’elle va dire à Josh pour ne pas le blesser. Elle l’aime bien, mais seulement pas assez pour devenir sa femme. En tout cas, elle ne l’aime plus assez bien pour ça. Ils ont passé cinq merveilleuses années ensemble, mais, ces derniers temps, ils se sont éloignés l’un de l’autre. Josh a profité du retour de Sarah à Prison Break pour tripler ses heures de travail et ses voyages et leur couple en a payé le prix. Et, puis, il faut regarder la vérité en face. Wentworth et Sarah ont toujours eu une plus grande complicité et alchimie que Josh et Sarah, ce qui n’est pas tout à fait normal.
Sarah se souvient d’avoir oublié son portable à la maison. Elle le prend et constate qu’elle a 20 appels ratés. Surprise par ce nombre inhabituel, elle ouvre le clapet pour connaître les destinateurs, et écarquille les yeux devant le nom de Josh qui apparaît…20 fois. Elle se sent alors coupable. Il se faisait du souci pour elle, et elle s’envoyait en l’air avec son supposé meilleur ami. Bon, elle ne s’envoyait pas exactement en l’air, elle faisait l’amour, il y a une différence entre les deux. Ce qu’il y a eu entre Wentworth et elle n’est pas une aventure d’un soir, loin de l’être. Wentworth…Bon, elle est mieux d’aller prendre une douche froide avant d’appeler Josh.
Son portable est fermé. Étrange, Josh ne ferme jamais son portable. Bon, elle attendra son retour ou son appel, elle ne peut rien faire d’autre.
***
Le lendemain matin, Sarah sursaute dans son lit lorsqu’elle sent une présence à côté d’elle.
-Sarah : JOSH!
-Josh : Désolé, chérie.
-Sarah : Mon Dieu! Tu m’as fait une de ces peurs. Qu’est-ce que tu fais là? On est Mercredi?
-Josh : Non, on est mardi. Lundi, j’ai pris le premier vol pour ici. Je m’inquiétais pour toi. Je t’ai appelé…
-Sarah : Une vingtaine de fois, j’ai vu.
-Josh : Qu’est-ce qui se passe? Pourquoi tu es de mauvaise humeur?
-Sarah : Josh…il faut qu’on parle.
***
Il n’a rien dit. Il est demeuré silencieux depuis le début, la tête baissée. Elle essaie de déchiffrer son regard, de voir s’il est triste, en colère, heureux, soulagé, déprimé…n’importe quoi. Mais, rien, elle ne peut même pas voir ses yeux pour lire son âme. Elle se tortille les mains en attendant une réaction. Elle préfère une colère à ce silence. Enfin, il ouvre la bouche.
-Josh : Je serais menteur si je te disais que je n’ai jamais eu peur que ça arrive un jour. Mais, je serais aussi menteur, si je te disais que je me doutais que ça arriverai alors que nous sommes fiancés. Quand tu as accepté de m’épouser, je me suis dit que je suis « safe ». Que, puisque tu veux devenir ma femme, Wentworth ne sera plus un danger sur notre couple. Mais, je me suis fourré un doigt dans l’œil.
C’est à son tour à elle d’être silencieuse et de baisser la tête. Elle ne regrette même pas d’avoir couché avec Wentworth, parce qu’elle sait maintenant que c’est à côté de cet homme qu’elle désire passer sa vie. Mais, elle est quand même triste pour Josh. Elle n’aurait pas voulu que les choses se passent ainsi.
-Josh : J’aurais voulu me fâcher contre toi ou lui. Mais, ça ne me tente pas vraiment. Peut-être que notre couple n’était pas seulement menacé par Wentworth. Peut-être qu’on n’est plus comme avant, qu’on ne ressent plus les même sentiments, peut-être que c’est plus facile ainsi. Ou, peut-être pas. Je pense que je t’aime toujours, Sarah. Donne-nous une chance, une deuxième chance. Les cinq ans que nous avons passés ensemble méritent une deuxième chance.
La détresse et la peine de voit Sarah dans les yeux de Josh l’attendrissent.
-Sarah : D’accord, Josh. Une deuxième chance.
Josh se lève et prend Sarah dans ses bras. Il l’embrasse, la soulève et l’emmène sur le lit.
angie-nina- Compagnon de Cellule de Michael
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Date d'inscription : 04/06/2008
Re: Entre Deux Mondes-WeSah Fanfic (Chapitre 14- 06 Jan 2009)
merci pour toutes ces suites elles etaient super & la love scene etait mais n'empeche elle a déconné sara a la fin! voila pour josh
che4eva- Admis à l'infirmerie
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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