Se donner corps et âme ? PARTIE 11 1/3 01/06 19h30

Mais Went est fou ou quoi?????? il veut gaché un moment pareil après avoir attendu aussi longtemps pour l'avoir maintenant il joue le pur !! roh il m'énerve celui là qu'il se laisse faire!! ALLEZ WENT ALLEZ!
la suite pliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiz

j'attend une suite avec impatience !!

Allez à vos suites.... Ca été ultra dur à écrire Donc, ca risque de pas être tip top!!

J'ai tjrs su qu'écrire selon le point de vue de Went était une connerie...

Voila !!


Elle me sourit, amusé, se dégage de moi à regrets et déclare : « Tu as dit qu’il fallait aller doucement ? Moi non… ». Ne comprenant que trop bien ce qu’elle veut dire, je la vois bloquer mes mains et saisir mes lèvres dans un baiser infiniment long et langoureux. Je la laisse faire, tentant de me dégager habilement de son emprise.

Ses mains lâchent enfin les miennes pour se retrouver sous ma chemise, glissant habilement contre mon torse nu. Habilement, je la sens s’attaquer aux boutons de ma chemise, dévoilant mon torse puissant. N’hésitant plus, je la renverse habilement sur le canapé, sans lâcher sa bouche de la mienne. Je regrette d’être avec la fille la plus branchée qui existe. J’ai l’impression qu’elle a superposé une quinzaine de hauts différents.
Tandis qu’elle fait valser ma chemise, je m’attaques à ses hauts. Au bout de quelques difficiles minutes et après de nombreux efforts, j’envoie valser ses vêtements à l’autre bout de la pièce. Admirant son corps ferme, d’un geste ferme je lui dégrafes son soutien gorge. Je me dégages d’elle, observant avec envie ses seins fermes et ronds. Avec force et courage, elle s’attaque à mon pantalon.

Enlevant avec audace ma ceinture, elle fait valser mon pantalon à l’autre bout de la pièce. Je fais de même avec son pantalon. J’admire son corps uniquement vêtu de ses sous vêtements. Submergé par une vague de désir encore plus grande que les précédentes, je lui enlève avec violence ses vêtements restants, admirant son corps. Elle fait de même, nos corps nus l’un près de l’autre se réclament, se désirent.

J’ai comme une peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas pouvoir continuer ce que l’on a entreprit. Il suffit simplement de poser mon regard sur son corps si désirable en cet instant pour enlever tout idée négative de mon esprit. Continuant d’embrasser ses lèvres, je descends peu à peu, embrassant goulûment sa généreuse poitrine, je la sens se cambrer de plaisir. Je continues ma délicieuse torture, je veux qu’elle craque avant moi, quoique je commences peu à peu à craquer. Je la regardes dans les yeux, comme pour lui demander la permission.

L’étincelle que je vois dans ces yeux me donnent ce que j’attends depuis longtemps. Alors, d’un geste brusque je la retournes sur mon canapé. La regardant amoureusement, j’entres doucement en elle. Mon corps parcouru de frissons depuis un quart d’heure, ressent un bien être total. Une sensation que je n’ai jamais éprouvé. Nos hanches commencent alors un long va et vien. Je ne me retiens pas, mes coups de reins deviennent de plus en plus puissants. Et dans un dernier mouvement. J’atteins l’extase en même temps qu’elle, nos gémissements se sont fait de plus en plus puissants jusqu’à atteindre un cri rauque puissant qui fait trembler les murs.

Je n’ai jamais ressenti ça pour personne. Je veux le lui dire, mais aucun mot ne sort de ma bouche. Elle me regarde amoureusement, aucun mot n’ont besoin d’être prononcés, du moins pas pour le moment. Je la sens allonger sur mon torse, j’entends sa respiration saccadée, un sourire à la fois angélique et énigmatique sur le visage. Je souris moi même en pensant au fait que j’ai vécu l’un des moments les plus intenses de ma vie sur un canapé que je voulais absolument changer. Je revis chaque seconde de ce moment, jusqu’au moment où je me rends compte que Charlotte s’est endormie. Je la regardes dormir, si paisiblement, si simplement avant de tomber moi-même dans les bras de Morphée…

Je suis réveillé par une impression de manque, j’ouvres les yeux, m’attendant à trouver la place de Charlotte vide. Je la découvre me regardant, une mimique amusé dans le regard, elle trace le contour de mes pectoraux avec ses doigts dans une infime douceur. Elle ouvre la bouche, s’apprêtant à déclarer quelque chose avant de la refermer. Je me décale légèrement, l’embrasse et déclare d’une voix douce et, encore pleine de désir : « C’était vraiment… »

- Magique

- Je cherchais le mot, tu as faim ?

- Un petit peu…

- Tu veux quelque chose ?

- Avec plaisir…

Elle se lève, je la regarde se balader en tenue d’Eve, chez moi. Je ne peux m’empêcher de rire légèrement à sa vue. Je la vois rougir, prendre ma chemise et l’enfiler, avant de ricaner à son tour face à mon corps nu, délaissé sur le canapé…


C'est court, mais j'ai mis plus de temps à l'écrire que n'importe quoi d'autre.

pas tip top tu plaisante!!!!!!!! plus que tip top kiiifante meme que!!!!!!!!!
troo préssé delire ta suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite!!!!!!!!!!!!!!!!

miss_sa_69 a écrit:pas tip top tu plaisante!!!!!!!! plus que tip top kiiifante meme que!!!!!!!!!
troo préssé delire ta suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite!!!!!!!!!!!!!!!!

Je rajoute que c'était tip tip top top,trop kiffant, c'étais WAOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU!

Alors, malgré moi malade, et malgré moi en pleine période d'exam, j'ai du vous délaisser. Je m'en excuse. Et, je vous promets de nombreuses suites apres mardi. Puisque qu'il me reste un bac blanc de sciences nat' et un bac blanc de physique PUIS le bac fra (evidemment! )

En attendant, savourer. Prochaine suite au plus tard, mercredi prochain. Je vous promets d'essayer d'en mettre une avant :



Je ne peux m’empêcher de l’admirer, sans apparat. Une simple chemise, si rare de la voir comme cela. C’est la première fois que ça arrive, et j’espère que ce sera loin d’être la dernière. Je veux l’admirer encore, et encore : Dans ma cuisine, dans mon appartement, chez moi, chez nous...

Je sens son regard, posé sur moi. Presque inconsciemment, je rougis.
Comme un adolescent pris en faute, comme plein de honte. Hors les seuls sentiments qui me parviennent sont la joie et la fierté, la joie et le bonheur qu’elle me procure, simplement par sa présence. Elle me sort de mes pensées en me demandant ce que je veux manger.

- Went, tu continues de m’admirer ou tu me dis ce que tu veux manger ?

- Je veux manger, ce que tu veux manger

D’un rire léger et apaisé, je la vois s’apprêter à me raconter quelque chose de stupide, avant de reprendre son sérieux : « Bacon & Eggs ? »

- Pourquoi pas ?

- Sinon, je peux te faire un plat végétarien aussi

- Ca me va, je peux m’habiller sans qu’on m’espionne ?

- Non, tu as rigolé devant ma tenue d’Eve, je ne vois pas pourquoi, je ne pourrais pas de regarder en tenue d’Adam.

Pendant que je la vois s’affairer à la préparation de notre fringale post-nuptiale, j’enfile mon caleçon d’un geste sur et assuré. Je ne veux pas réfléchir, c’est par ailleurs ce que je fais malgré moi, demain je serais à Paris. Après tous ce que l’on a enduré malgré nous, notre couple de deux semaines, je sais qu’il faudrait que je sois présent. Mais, je reste célèbre pour mon esprit consciencieux et je ne vais pas changer tout ça.

Je suis comme ça, dans mes pensées, perdu. Une habitude que je ne perdrais jamais, qui fait sans doute tout mon charme. Un charme dont je suis malgré moi, conscient, trop conscient sans doute mais qui me sort de situations difficiles. Cessant de penser un instant, je me lèves afin de me poser derrière Charlotte, enlaçant amoureusement mes bras autour de sa taille.

Parlant de tout et de rien, abordant notre quotidien, nos deux vies, ma célébrité. Elle évite son passé, je ne vais pas la brusquer, chaque chose en son temps. Un dicton de collège qui met toujours aussi utile dans ces moments. Je savoure ce moment à manger des oeufs et du bacon, avec la femme que j’apprécie le plus en ce moment, avec celle qui me rend dingue et qui me hante, mais surtout qui malgré elle, me donne tout ce dont j’ai besoin, un objectif.

Je sais que toute bonne chose a une fin, je sais que celle-ci est proche. Mais brutalement, inattendue, elle me prend par surprise. J’entends à peine ces mots qui me font mal et qui pourtant, me ravissait, il y’a quelques mois.

- Alors, comme ça tu pars ?

- Non, je ne te quitte pas d’une semelle

- Went, soit sérieux pour une fois s’il te plait.

- Non, je ne pars pas. Enfin ,juste demain pendant un petit peu de temps

- Wentworth

Mon prénom prononcé avec son délicieux accent texan me fait planer quelques secondes, avant qu’elle ne réitère, me rappelant trop durement, la réalité. Une réalité que je ne veux pas affronter.

- Trois jours

- A draguer des parisiennes..

- J’aime pas les françaises.

- A d’autre...

Profitant de l’occasion qui vient de se présenter, évinçant les assiettes devenues trop encombrantes, je saisis ses lèvres dans un bref baiser, brusque, passionné. Nos lèvres se goûtent, profitent d’un calice bien trop précieux pour être gaspillé. S’accrochant à l’autre d’avantage, se faisant de plus en puissant. Délicatement, simplement, sans vitesse, le plus langoureusement du monde, tout se fait simplement.

Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa merci pour la suite trop bien heu par contre t'a un peu jeté un froid avec Went qui dit qu'il n'aime pas les Françaises mais évidemment il le pense pas c'est pour calmer Charlotte!!! et j'aimerais bien le voir en tenue d'Adam heu... avec une feuille pour cacher son popole!!!!!!!

Amaria a écrit:Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa merci pour la suite trop bien heu par contre t'a un peu jeté un froid avec Went qui dit qu'il n'aime pas les Françaises mais évidemment il le pense pas c'est pour calmer Charlotte!!! et j'aimerais bien le voir en tenue d'Adam heu... avec une feuille pour cacher son popole!!!!!!!

moi je diiis 900% daccord avec toi !!!!!!!!!! sur tout pour popole

vivement la suiiite celle la était troooooooooo biiieeeeennnnnnnnn:jkgdx:

miss_sa_69 a écrit:

Amaria a écrit:Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa merci pour la suite trop bien heu par contre t'a un peu jeté un froid avec Went qui dit qu'il n'aime pas les Françaises mais évidemment il le pense pas c'est pour calmer Charlotte!!! et j'aimerais bien le voir en tenue d'Adam heu... avec une feuille pour cacher son popole!!!!!!!

moi je diiis 900% daccord avec toi !!!!!!!!!! sur tout pour popole

vivement la suiiite celle la était troooooooooo biiieeeeennnnnnnnn:jkgdx:

oh oui laisse nous voir Went

c génial la suite !!!

A lire avec :
XXXX



Après nos émois amoureux, nous nous retrouvons allongés l’un sur l’autre, savourant la simple présence de l’autre. Aucun mot n’est échangé, un simple regard sur l’autre comble les attentes de l’autre. Nous restons là, un temps qui me paraît à la fois très long et trop court. Peu à peu, je tombe dans un sommeil réparateur, dans lequel elle hante tous mes rêves.

Je suis réveillé par ses caresses sur mon torse, ses longs doigts fins caressent amoureusement mon torse et mes muscles gonflés. Je la regarde à mon tour, et saisit ses lèvres dans un baiser long et langoureux, tout en déclarant d’une voix encore endormie : « Alors, pas trop déçu de ton après midi ? »

- Si, tu viens de dénigrer les françaises ?

- Oui, je vais en France pour travailler, pas pour rencontrer n’importe qui..

- Les françaises ne sont pas n’importe qui…

- D’accord, tes origines reprennent le dessus.

- Exactement

- Dans ce cas là, les françaises sont les plus belles du monde

- Vil flatteur.

Elle se lève, enfile ma chemise et se ballade chez moi, comme s’il était chez elle, chez nous. Chez nous, quelque chose que j’espère bientôt réel. Me voyant dans mes pensées, elle se dirige vers la salle de bains. Me laissant ruminer mes idées noires, je me demande si lui demander de venir visiter Paris est prématuré. Je me lève, enfile mon caleçon, souris face à nos vêtements éparpillés partout dans la pièce.

Mon esprit maniaque reprend le dessus, et je range rapidement nos vêtements, avant de la voir sortir de la douche. Une serviette pour seul apparat. Des gouttes d’eau ruisselant sur son corps parfait, ses boucles blondes tombant en cascades au-dessus de ses épaules.

Je me rappelle avec amusement ce qui vient de se passer et un petit sourire amusé se dessine sur mon visage. Elle s’avance, se penche, dépose un léger baiser sur mes lèvres avant de se dégager de moi, comme si elle avait le pouvoir de décider mes ardeurs, de contrôler mes pulsions. Malgré tout, elle parvient à se dégager : « Je dois y aller, Went ! »

- Quelqu’un t’attend chez toi ?

- Oui, ma maman

- Charlotte !

J’aime la reprendre à l’ordre, lui rappelant avec amusement que je suis plus âgé et qu’elle reste de plusieurs années ma cadette.

- Je dois rentrer, j’ai beaucoup de choses à faire.

- J’en comtes deux

- Ah bon ?

- Oui, la première « m’accompagner à Paris » , et la seconde « m’embrasser comme réponse »

Ma spontanéité m’étonne tellement, que je ne peux m’empêcher de constater le changement dans mon comportement depuis son arrivée dans ma vie. Je la vois sourire, se décomposer, re sourire, à ma plus grande appréhension.



Désolé c'est court, points de vue?

magniifiiiiiiiqueeeeeeeeeeee jadoooore troooo boooooooooooooooooooooooo cest mais olalalalala par contre cest troo court beaucoup troop court

vivement la suiiiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeee

miss_sa_69 a écrit:magniifiiiiiiiqueeeeeeeeeeee jadoooore troooo boooooooooooooooooooooooo cest mais olalalalala par contre cest troo court beaucoup troop court

vivement la suiiiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeee

pareil tu m ' enleve les mots de la bouche

j ' attend avec hyper impatience la suite

met la tres vite !!!!!!!!

virginie a écrit:

miss_sa_69 a écrit:magniifiiiiiiiqueeeeeeeeeeee jadoooore troooo boooooooooooooooooooooooo cest mais olalalalala par contre cest troo court beaucoup troop court

vivement la suiiiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeee

pareil tu m ' enleve les mots de la bouche

j ' attend avec hyper impatience la suite

met la tres vite !!!!!!!!

non mais c'est trop court

moi j'adore cette fic... je veux une suite

ENNEADE a écrit:

virginie a écrit:

miss_sa_69 a écrit:magniifiiiiiiiqueeeeeeeeeeee jadoooore troooo boooooooooooooooooooooooo cest mais olalalalala par contre cest troo court beaucoup troop court

vivement la suiiiiiiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeee

pareil tu m ' enleve les mots de la bouche

j ' attend avec hyper impatience la suite

met la tres vite !!!!!!!!

non mais c'est trop court

moi j'adore cette fic... je veux une suite

j'étais vraiment en retard moi!!! mais je pense comme vous les filles!

Comme un agent de voyages, je vends mon produit,
détaillant amoureusement mon séjour, peut-être bientôt le nôtre. Evitant avec
soin d’aborder mes nombreuses interviews, et le shooting pour cette marque
admiratrice de la littérature : « Voltaire & Zadig » ou
quelque chose comme ça. Je la vois sourire à mon exposé. Je vois ensuite son
visage se décomposer, à ma plus grande horreur.


Elle s’approche et me prend les
mains. Je n’ai jamais considéré ce geste comme une bonne chose. Ses paroles ne
m’étonnent pas, je l’entends m’annoncer d’une voix qu’elle essaie de rendre
douce qu’elle ne pourrait pas venir.




-
Je suis désolé, Went. Mais je suis
désolé, je ne peux pas prendre de congé en ce moment, j’ai beaucoup de choses à
régler ici. J’aurais vraiment aimer visiter Paris, avec toi en plus. Mais je ne
peux vraiment pas.





-
Je comprends, c’est pas grave.
C’était peut être un peu prématuré...





-
Non, Wentworth. Ce n’était pas
prématuré. J’aurais vraiment apprécié venir, mais je dois régler beaucoup de
choses pour le boulot.





-
Charlotte, c’est bon. Arrête de te
répandre en excuse.





-
Oui, oui...





D’un visage gêné, je la vois passer à un visage
angélique, dont le sourire est indescriptible. Comme si elle préparait quelque
chose, qu’elle savait exactement ce qu’elle voulait. Je n’aime pas cette
impression d’être mené en bateau, surtout par elle. Surtout quand la personne
en face de moi est ravissante et qu’elle se révèle être la personne que
j’apprécie le plus en ce moment.




Elle prend rapidement possession de mes lèvres avant
de se dégager, et de déclarer la phrase que je redoutais depuis une quinzaine
de minutes : « Je dois y aller, Went. Je dîne avec mes parents, ils
sont en visite et repartent demain. ». Elle se prépare sous mon regard
amusé, un sourire espiègle sur le visage, toujours la même impression qu’elle a
une idée derrière la tête.


Elle se penche, dépose un baiser sur mes lèvres, et
se sépare de moi, à regrets. Je prononce ces mots qui me font mal dans un
murmure, et déclare simplement : « A dans une semaine ». Elle
me regarde, rigole et quitte mon appartement en plein fou rire.





Veut-elle me laisser un bon souvenir ? Je suis
incapable de le savoir, incapable de savoir aussi ce qu’elle manigance. Son
petit sourire en coin me laisse en pleine réflexion, uniquement troublé par la
sonnerie du téléphone.




-
Allô ?





-
Went, c’est Amaury





-
Ouais, mec ?





-
Dis moi tu vas à Paris avec Dom ou
pas?





-
Oui, pourquoi ?





-
Je vais devoir me retrouver tout seul avec Rockmond la semaine
prochaine ?





-
Ouais, et t’auras même le droit de voir Charlotte !





-
Oula, racontes-moi tes malheurs





Je lui comte l’histoire, évitant soigneusement de rentrer trop dans les
détails. Pendant plus d’une demi heure, il écoute mes histoires, me conseillant
avec amusement. Bien que les idées d’Amaury soient généralement dépourvues
d’intérêt.


Après avoir écouté ses conseils, je me dirige vers ma chambre, prépare
mes affaires, chantonnant dans un murmure les paroles d’une chanson, belle à
pleurer, me rappelant Charlotte.




http://www.megaupload.com/fr/?d=4XU4OCV8




Maybe
I'm amazed at the way you love me all the time

Maybe I'm afraid of the way I love you

Maybe I'm amazed at the way you pulled me out of time

and hung me on a line

Maybe I'm amazed at the way I really need you



Maybe I'm a girl and maybe I'm a lonely girl

who's in the middle of something

that she doesn't really understand



Maybe I'm a girl and maybe you're the only man

who could ever help me

Baby, won't you help me understand



Maybe I'm amazed at the way you're with me all the time

Maybe I'm afraid of the way I leave you

Maybe I'm amazed at the way you help me sing my song

Right me when I'm wrong

Maybe I'm amazed at the way I really need you




Après avoir finit mes bagages, je monte me coucher, sans même avoir
dîner. Les paroles de cette magnifique chanson, me portent simplement dans le
sommeil.

ah je suis trop contente d'avoir la suite

il me fait un peu de peine Went mais je ne s'est pas pourquoi Charlotte sera y remédier et plus qu'il ne le pense

Mais mais troo belle la chanson mais mais mais tu peux pas nus laisser comme ça cest troo court hein dit tu met la suiiiite bientot!!!!!!

Charlotte ptite coquine va dommage qu'elle ne vient pas a Paris avec Went,mais c'est pas grave jsuis là moi

Partie 11 :




Je suis dans l’avion depuis ce qui me semble une éternité. Etrangement,
il n’a pas décollé, et je ne dois pas être dans cet avion depuis plus de 3
minutes. J’ai toujours eu l’impression qu’être inactif nuisait à tout, à la
réussite, à la beauté... Sans doute, une part de mon éducation, mais celle que
je redoute le moins.




Après le départ de Charlotte, j’ai réussi à rejoindre le sommeil
facilement, trop facilement. Je me suis levé tôt, bien trop tôt en réalité pour
attraper un avion, qui m’amène dans un pays que j’ai toujours eu envie de
visiter, bien que ce ne soit pas exactement l’endroit où je désirerais être à ce
moment précis.




Réfléchissant plus précisément, je sais exactement où je voudrais
être : studio Burberry à Chicago. Bien qu’il soit 4 heures du matin, je ne
désirerais qu’être à cet endroit précis, dans les bras d’une charmante blonde
au prénom envoûtant.




Je suis interrompue par l’hôtesse, stéréotype de l’hôtesse de l’air.
Grande, blonde, une queue de cheval en arrière, je la vois me faire son plus
grand sourire avant de déclarer que je dois attacher ma ceinture, comme s’il
venait de m’annoncer que j’avais gagner au loto. Un air hautain et enthousiaste
sur le visage, je la toise, attache ma ceinture, et laisse pencher ma tête sur
le côté dans le but de me reposer.


Je m’endors rapidement, et me fait réveiller par une bande de gamines,
passant devant moi, hurlant pour avoir un autographe dans un anglais déroutant
et stupide




-
May I
have an autographh plizze, Wentworth ?





D’un sourire gêné, je leur réponds positivement, saisit un stylo et signe
les papiers qu’elles me tendent. J’écourte notre entrevue, feint de me
rendormir pour pouvoir mieux me plonger dans ma lecture. La lecture d’un
magazine débile, un magazine français puisque je ne comprends pas un traite mot
de ce que je lis.




Le reste du voyage se déroule sans encombre. Dominic m’attendra tout à
l’heure. Je viens d’arriver et déjà, je commence déjà à regretter l’air
américain. Je déteste l’étranger, entendre les gens parler une langue que je
comprends à peine. Je n’ai pas le temps de regarder dehors que deux grands
escogriffes arrivent, me serrent la main, baragouinent trois mots d’un mauvais
anglais avant de m’emmener à mon premier rendez vous de la journée.




Une femme, me faisant étrangement penser à Charlotte, par sa façon
d’être, par son attitude. Sans évidemment avoir son charme, et son sourire en
coin, me laissant constamment rêveur après l’avoir vu. C’est elle qui va nous
trimballer à droite, à gauche durant tout notre séjour. Le mot
« trimballer » n’est même pas excessif, on nous transporte comme des
fardeaux, simplement beaux à regarder.




-
Bonjour, je suis Christina, vous devez être Wentworth,





-
Oui, c’est moi.





-
Enchanté, Wentworth. Vos affaires vont être déposés à votre
hôtel, on va se rendre à la salle de conférence





-
Oui, d’accord.




Etrangement, je connais presque mon programme par cœur, mais je semble perdu
au milieu de ce monde, de la Fashion Week. De toutes ces manifestations qui me
sont étrangères. Je laisse cette Christina m’emmener partout, me faire les
beaux yeux dans l’espoir que je la remarques, ce qu’elle ne sait pas c’est que
mon cœur est pris depuis une quinzaine de jours. Je n’en suis toujours pas
totalement conscient, mais c’est comme une évidence que cela apparaît
maintenant.

Oui Christina son coeur est déjà pris alors ba les pattes,dégage,ça sert a rien il n'a d'yeux que pour moi...enfin jveux dire Charlotte (jai bien le droit de rêver... )

il est trop choupet à être amoureux comme ça

RADINEUZ DE SUITE

Amaria a écrit:RADINEUZ DE SUITE

Je suis d'acord avec toi!!!!!!!!

Olalalallalalalala jaime troooooo les zamoureux je fond
vivement la suiiite bientot hein dit??????