Nouvelle
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Nouvelle
Bonjour voilà....en fait j'ai écrit une nouvelle policière....je sais aucun rapport avec prison break mais j'aimerais l'avis de quelques personnes...c'est très important pour moi....alors s'il vous plaît ..lisez-là et n'éhsitez pas à me critiquer!!!
WHO IS THE VOICE ?
Je me levais ce jour-là, comme tous les autres matins. Lentement,je me dirigeais vers la salle de bain, puis la cuisine pour boire mon café : plutôt banal. Cependant, depuis mon réveil, un étrange sentiment me tiraillait. Il s’agissait d’un mélange de doute, de peur ... Mon cœur battait à une allure assez rapide, ce qui était assez inhabituelle. Je sentais que quelque chose allai se dérouler. J’attribuais cependant cela au fait que je devais prononcer un discours dans l’après-midi lors de l’anniversaire de mon meilleur ami.
Pendant que je sortais calmement de chez moi, ma voisine, une femme âgée d’une quarantaine d’année possédant une tendance prononcée à colporter des commérages – la pauvre était veuve et ne trouvait rien d’autre à faire que de bavasser à propos des autres- vint me voir :
- Bonjour, Monsieur. Alors vous êtes au courant de ce qui est arrivé hier après-midi, et mardi ?, me demanda-t-elle.
- Non pas du tout, répondis-je en réfléchissant.
- Un jeune étudiant et une vieille femme ont été assassinées dans le quartier, m’expliqua-t-elle sur un ton dramatique un brin surjoué
- Comment !, m’exclamai-je
- Plutôt inquiétant en effet..., me rétorqua-t-elle
- En effet..., susurrai-je plus pour moi-même que pour mon interlocutrice.
Mes mains tremblèrent légèrement , et mon cœur se remit à battre à un rythmé effréné. Je commençais à pâlir. Voyant mon anxiété, la quadragénaire reprit :
- Il ne faut pas vous inquiéter, la police mène l’enquête et je ne doute pas qu’elle aura rapidement trouvé le tueur. Je vous mettrai au courant.
J’acquiesçais. Elle reprit :
- Au fait, mon thé vous a plu ?
- Oui, oui il était très bon merci. Bon et bien au revoir Madame.
Je repartis. Je ressentais malgré tout l’impression que mon angoisse n’était aucunement due ni à l’anxiété que pourrait me procurer le fait de prononcer un discours devant de nombreuses personnes ni à celle de me faire agresser par un dangereux criminel. Et puis toute cette appréhension que je ressentais, ainsi que ces absences : je ne pouvais me rappeler ou je me trouvais justement la veille dans l’après-midi et mardi. Cela ne pouvait être une coïncidence. Je me ressaisis : seul le fait que ma voisine me raconte cette histoire m’avait fait penser que je ne savais ou j’étais ces deux jours-là, et c’était cela qui provoquait cette tension. Je ne devais m’inquiéter.
Je ne pus m’empêcher d’esquisser un sourire. Ma propre audace me surprendrait toujours. Dire qu’ils ne savent toujours pas que c’est moi. Ils ne le découvriront probablement jamais. Je ferais quand même mieux de rester prudent. Qui sera ma prochaine victime ?Et pourquoi pas le facteur ?Il m’insupporte à toujours fouiller dans mes affaires ... Les questions les plus importantes à présent sont quand et comment....
Je poursuivis ma journée tel que je l’avais prévu, oubliant mon attitude du matin. Tout cela n’avait aucun sens. La fatigue me faisait perdre l’esprit. Tandis que je rentrais paisiblement après avoir célébré l’anniversaire de mon ami, j’entendis les sirènes de police près de chez moi. Intrigué, je m’approchais. En questionnant quelques personnes, j’appris que notre facteur avait été, lui aussi assassiné. Et ce, à l’heure du déjeuner. Cette révélation me choqua quelque peu, dire que je lui parlais quelques heures auparavant, lorsqu’il m’avait apporté un paquet. Pauvre homme. Je ne pouvais cependant pas dire que je l’appréciais. Il était détestable, ne cessait de fouiller dans les cartons que je recevais avant de me les délivrer. Il ne se gênait alors pas pour lancer une remarque désobligeante avec un sourire narquois. Il ne méritait pourtant pas de mourir.
Et, un de plus ! Qui sera le prochain... ?
Un policier m’approcha alors :
- Bonjour Monsieur. On m’a informé que vous avez discuté avec la victime aujourd’hui même, expliqua l’agent.
- En effet.
- De quoi, vous a-t-elle parlé , me demanda-t-il
- Des banalités .Il m’avait simplement livré un paquet. Tout cela est bien triste, rajoutai-je.
- Bien...il semblerait que vous soyez la dernière personne à qui elle ait parlé donc, je suis obligé de vous demander où vous vous trouviez à l’heure du déjeuner.
- Je ...je ... je ne sais plus trop.
Le policer m’observa d’un air perplexe, puis reprit.
- Essayez de vous rappeler.
- Je ... ah ...oui ...j’étais chez moi...en train de me préparer pour l’anniversaire de mon ami.
L’inspecteur s’en alla enfin ; je le vit qui partit interroger ma voisine. J’avais vu le doute dans son regard lorsque je lui avais dit ce que je faisais à l’heure du déjeuner. Il est vrai que j’ai un peu bafouillé mais toutes ces interrogations me rendait anxieux. Je retournai chez moi.
Etrange ...vraiment étrange toutes ces questions... Serais-je soupçonnée...Non...de toute façon mon plan semble fonctionner parfaitement.
Quelques heures plus tard, l’inspecteur revint et sonna à ma porte :
- Il apparaît, selon le voisinage, que vous auriez eu une altercation avec votre facteur tout à l’heure. Dispute dont vous ne m’avez pas parlé.
A ces mots, je me rappelai que j’avais un peu haussé la voix en découvrant qu’il avait une foie de plus ouvert mon paquet. Je répondis alors :
- Rien d’important...
- C’est à moi de juger de ce qui l’est ou non.
Il me regardait d’une étrange manière. Il entra chez moi.
Magnifique... tout marche comme je l’avais imaginé ... Bientôt ... tout sera fini ...
Il observa longuement ma maison. Il découvrit alors de minuscules gouttes de sang sur le sol :
- Comment ce sang s’est-il retrouvé sur votre sol ?
- Je...je ..n’en n’ai aucune idée ...., bafouillai-je
- Très bien. Monsieur. Je vais faire analyser ce liquide. Si je découvre qu’il appartient à une des victimes je vous arrête... Vous n’avez rien à me révéler, s’exclama l’agent.
- Je .. n....non..., murmurai-je.
- Tant pis ...
L’agent repart .... il a l’air en colère...bon signe....
Le lendemain, je me faisais arrêter pour meurtre avec préméditation. Je n’avais absolument pas compris ce qu’il m’était arrivé. Mais sans aucun doute quelqu’un m’avait habilement piégé ....
Un large sourire se dessina sur mon visage. Tout avait marché comme prévu. Ce pauvre imbécile ....J’entends encore sa voix... « très bon ce thé »... Il devrait pourtant savoir qu’il ne faut rien accepter d’une vieille veuve « innocente » qui n’a plus rien à perdre....Celle-ci peut très bien glisser un médicament dans votre boisson et vois piéger... Je ne pus réprimer un grand éclat de rire...Machiavélique..
voilà...qu'en pensez-vous??
WHO IS THE VOICE ?
Je me levais ce jour-là, comme tous les autres matins. Lentement,je me dirigeais vers la salle de bain, puis la cuisine pour boire mon café : plutôt banal. Cependant, depuis mon réveil, un étrange sentiment me tiraillait. Il s’agissait d’un mélange de doute, de peur ... Mon cœur battait à une allure assez rapide, ce qui était assez inhabituelle. Je sentais que quelque chose allai se dérouler. J’attribuais cependant cela au fait que je devais prononcer un discours dans l’après-midi lors de l’anniversaire de mon meilleur ami.
Pendant que je sortais calmement de chez moi, ma voisine, une femme âgée d’une quarantaine d’année possédant une tendance prononcée à colporter des commérages – la pauvre était veuve et ne trouvait rien d’autre à faire que de bavasser à propos des autres- vint me voir :
- Bonjour, Monsieur. Alors vous êtes au courant de ce qui est arrivé hier après-midi, et mardi ?, me demanda-t-elle.
- Non pas du tout, répondis-je en réfléchissant.
- Un jeune étudiant et une vieille femme ont été assassinées dans le quartier, m’expliqua-t-elle sur un ton dramatique un brin surjoué
- Comment !, m’exclamai-je
- Plutôt inquiétant en effet..., me rétorqua-t-elle
- En effet..., susurrai-je plus pour moi-même que pour mon interlocutrice.
Mes mains tremblèrent légèrement , et mon cœur se remit à battre à un rythmé effréné. Je commençais à pâlir. Voyant mon anxiété, la quadragénaire reprit :
- Il ne faut pas vous inquiéter, la police mène l’enquête et je ne doute pas qu’elle aura rapidement trouvé le tueur. Je vous mettrai au courant.
J’acquiesçais. Elle reprit :
- Au fait, mon thé vous a plu ?
- Oui, oui il était très bon merci. Bon et bien au revoir Madame.
Je repartis. Je ressentais malgré tout l’impression que mon angoisse n’était aucunement due ni à l’anxiété que pourrait me procurer le fait de prononcer un discours devant de nombreuses personnes ni à celle de me faire agresser par un dangereux criminel. Et puis toute cette appréhension que je ressentais, ainsi que ces absences : je ne pouvais me rappeler ou je me trouvais justement la veille dans l’après-midi et mardi. Cela ne pouvait être une coïncidence. Je me ressaisis : seul le fait que ma voisine me raconte cette histoire m’avait fait penser que je ne savais ou j’étais ces deux jours-là, et c’était cela qui provoquait cette tension. Je ne devais m’inquiéter.
Je ne pus m’empêcher d’esquisser un sourire. Ma propre audace me surprendrait toujours. Dire qu’ils ne savent toujours pas que c’est moi. Ils ne le découvriront probablement jamais. Je ferais quand même mieux de rester prudent. Qui sera ma prochaine victime ?Et pourquoi pas le facteur ?Il m’insupporte à toujours fouiller dans mes affaires ... Les questions les plus importantes à présent sont quand et comment....
Je poursuivis ma journée tel que je l’avais prévu, oubliant mon attitude du matin. Tout cela n’avait aucun sens. La fatigue me faisait perdre l’esprit. Tandis que je rentrais paisiblement après avoir célébré l’anniversaire de mon ami, j’entendis les sirènes de police près de chez moi. Intrigué, je m’approchais. En questionnant quelques personnes, j’appris que notre facteur avait été, lui aussi assassiné. Et ce, à l’heure du déjeuner. Cette révélation me choqua quelque peu, dire que je lui parlais quelques heures auparavant, lorsqu’il m’avait apporté un paquet. Pauvre homme. Je ne pouvais cependant pas dire que je l’appréciais. Il était détestable, ne cessait de fouiller dans les cartons que je recevais avant de me les délivrer. Il ne se gênait alors pas pour lancer une remarque désobligeante avec un sourire narquois. Il ne méritait pourtant pas de mourir.
Et, un de plus ! Qui sera le prochain... ?
Un policier m’approcha alors :
- Bonjour Monsieur. On m’a informé que vous avez discuté avec la victime aujourd’hui même, expliqua l’agent.
- En effet.
- De quoi, vous a-t-elle parlé , me demanda-t-il
- Des banalités .Il m’avait simplement livré un paquet. Tout cela est bien triste, rajoutai-je.
- Bien...il semblerait que vous soyez la dernière personne à qui elle ait parlé donc, je suis obligé de vous demander où vous vous trouviez à l’heure du déjeuner.
- Je ...je ... je ne sais plus trop.
Le policer m’observa d’un air perplexe, puis reprit.
- Essayez de vous rappeler.
- Je ... ah ...oui ...j’étais chez moi...en train de me préparer pour l’anniversaire de mon ami.
L’inspecteur s’en alla enfin ; je le vit qui partit interroger ma voisine. J’avais vu le doute dans son regard lorsque je lui avais dit ce que je faisais à l’heure du déjeuner. Il est vrai que j’ai un peu bafouillé mais toutes ces interrogations me rendait anxieux. Je retournai chez moi.
Etrange ...vraiment étrange toutes ces questions... Serais-je soupçonnée...Non...de toute façon mon plan semble fonctionner parfaitement.
Quelques heures plus tard, l’inspecteur revint et sonna à ma porte :
- Il apparaît, selon le voisinage, que vous auriez eu une altercation avec votre facteur tout à l’heure. Dispute dont vous ne m’avez pas parlé.
A ces mots, je me rappelai que j’avais un peu haussé la voix en découvrant qu’il avait une foie de plus ouvert mon paquet. Je répondis alors :
- Rien d’important...
- C’est à moi de juger de ce qui l’est ou non.
Il me regardait d’une étrange manière. Il entra chez moi.
Magnifique... tout marche comme je l’avais imaginé ... Bientôt ... tout sera fini ...
Il observa longuement ma maison. Il découvrit alors de minuscules gouttes de sang sur le sol :
- Comment ce sang s’est-il retrouvé sur votre sol ?
- Je...je ..n’en n’ai aucune idée ...., bafouillai-je
- Très bien. Monsieur. Je vais faire analyser ce liquide. Si je découvre qu’il appartient à une des victimes je vous arrête... Vous n’avez rien à me révéler, s’exclama l’agent.
- Je .. n....non..., murmurai-je.
- Tant pis ...
L’agent repart .... il a l’air en colère...bon signe....
Le lendemain, je me faisais arrêter pour meurtre avec préméditation. Je n’avais absolument pas compris ce qu’il m’était arrivé. Mais sans aucun doute quelqu’un m’avait habilement piégé ....
Un large sourire se dessina sur mon visage. Tout avait marché comme prévu. Ce pauvre imbécile ....J’entends encore sa voix... « très bon ce thé »... Il devrait pourtant savoir qu’il ne faut rien accepter d’une vieille veuve « innocente » qui n’a plus rien à perdre....Celle-ci peut très bien glisser un médicament dans votre boisson et vois piéger... Je ne pus réprimer un grand éclat de rire...Machiavélique..
voilà...qu'en pensez-vous??
linda025- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 29
Date d'inscription : 28/10/2006
Nouvelle
J'aime beaucoup , tu écris très bien, et c'est très interressant comme nouvelle
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1711
Age : 31
Localisation : Ailleurs
Date d'inscription : 07/07/2007
Re: Nouvelle
merci beaucoup
linda025- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 29
Date d'inscription : 28/10/2006
Re: Nouvelle
j ' aime beaucoup
mais j' ai un peur de la suite de ta fic
mais j ' en redemande encore , encore
met vite la suite
please
mais j' ai un peur de la suite de ta fic
mais j ' en redemande encore , encore
met vite la suite
please
virginie- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1565
Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
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