Fic saison 3 ! En attendant ...
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Fic saison 3 ! En attendant ...
Voici une fic que j'atais censée écrire avec une copine mais elle a plus d'imagination que moi donc elle écrit , je corrige les fautes et je poste
Moi j'adooooooooooooooooooooooooooooooooooooore , voilà les premiers bouts
L’histoire reprend trois jours après la fin de la saison 2
EPISODE 1 : QUELQUE PART EN ENFER partie1
Scène 1 à SONA : Michael
Michael est sur la plage il marche pied nu une coupe de champagne a la main Sarah cour vers lui (avec la bouteille) au ralentit ses cheveux se balancent au rythme de son rire …
_ Allez Mickey réveille toi faut qu’on bouge » un énoorme type (Chad) aide Michael à se lever qui émerge de son super rêve pour se retrouver a Sona. Michael est couvert de bleus et son tee-shirt est déchiré (on se calme tout de suite !) il se lève tant bien que mal et suit Chad dans les couloirs parsemés de junkies et autres charmantes personnes au couteau acéré.
Aussi bien luné qu’un ours bleu en période de chasse ouverte le BOSS tourne le dos à Michael (il revoit la scène ou le Boss l’a séparé de Mahone dans l’arène) « J’ai besoin de toi Mickey » sans se retourner il claque ses doigt et un de ses molosse déplie sous le nez de Michael un plan. Le BOSS claque à nouveaux ses doigts et tous ses hommes sortent de la pièce mais le dernier se ravise :
« Vous êtes sur chef ? Il n’est pas net ce type.
- Laisse Manolo entre hommes tatoués on se comprend » dit le BOSS
(Michael revoit le BOSS soulever son tee-shirt pour dévoiler un tatouage en apparence en forme de dragon.)
Le BOSS se retourne sa chemise est ouverte :
« Tu a beau être un génie ,la merveilleuse idée de cacher des messages dans un tatouage n’est pas de toi, j’ai fait des recherche sur toi Michael Scofield et si en plus d’être un copieur talentueux tu es un passe muraille alors la seule question qui se pose est : pourras tu coopérer avec un type comme moi ?
- Pour sortir de prison je peux coopérer avec n’importe qui .
- Parfait ! il file une méga claque dans le dos de Michael qui a du mal à rester debout .
- Quesque je peux faire pour vous ?
- Quand j’étais à Mexico, je trainais dans des affaires pas toujours très claires ,mon fils, Tyo venait de se faire égorger en prison quand un type bizarre est venu me voir, il m’a fait tout une cour sur les risques encourus en prison et la fréquence des incarcérations. Ce type avait tout l’air d’un vendeur de porte à port banal sauf qu’il ne vendait pas des assurances vies ou des ‘’cartes sortie de prison’’ mais des plans insérés dans des motifs. Les plans parmi d’autre de la riante SONA. Il me les donna à moi contre ma parole de ne m’en servir qu’en cas d’extrême urgence et de n’en dévoiler le secret qu’aux initiés de la technique. Me voila donc ici après avoir fait tatouer sur tout mon torse les plans et avoir été balancé par mon bras droit qui ne doit plus en avoir maintenant (il fait le geste d’une scie découpant un bras Michael recule instinctivement et se cogne) Le BOSS se met à rire, n’ai pas peur gamin tu n’a rien a craindre de moi, regarde ce plan, décrit nous un itinéraire et tout se passera bien
- Nous ?
- Toi, moi, Manolo, Miguel, Chad et le petit Cid (il montre du doigt une gamin d’a peine 20ans fumant adossé au mur il fait un signe a Michael qui le lui rend ) 6 c’est mieux que 8 non ?
- Surement, ça dépend du temps que nous avons .
- Personnellement je ne suis pas pressé mais Cid est malade, ici ils ne veulent même pas savoir ce qu’il a. Donc je te laisse avec ton nouvel ami le plan. Il sort et arrivé a la porte il ajoute : Ah au fait Mickey si il arrive quelque chose à Cid avant qu’on soit dehors tu pourras dire adieu a tes corones .
- Guay ! » (= ‘super ‘ en espagnol)
Générique
Scène 2 à Panama City : Sucre
Sucre reprend connaissance dans une église, une sœur le soigne. Quand elle voit qu’il est réveillé elle se lève et appelle le Padre. Le Padre est très jeune et a une tête de… prêtre. Sucre fait un signe de croix vite fait avant d’être maudit pour toujours.
Le Padre dit :
« Alors mon Fils, ca va mieux ?
- Heu… mfrpfrrd
- Pardon ?
- Mari Cruz.
- Non, moi c’est Paolo …et vous ?
- Sucre
- Heu non on a pas de sucre … (Non, oubliez cette phrase oui on a honte, signé : Les auteurs …)
- Fernando Sucre je… Il faut que je trouve ma copine elle est enceinte et…
Sucre essaie de se lever .
- A votre place je ne me lèverais pas Anna vous a administré un peu de morphine.
Sucre se lève quand même et… BAM il tombe, Le Padre lève les yeux au ciel.
- Santa Madre de Dios !! (=sainte mère de dieu) Il le remet dans son lit .
- Ou je suis là ?
- Dans l’église La Chiesa Del Panama
- Je dois partir retrouver Mari Cruz si vous êtes un homme de dieu vous devez m’aider .
- Il y a surement un moyen de vous aider plutôt que de vous laisser retourner mourir dans la rue.
(Sucre réfléchit) - Alors dite moi mon père ou envoie t’on les meurtriers ici ?
(le père hausse un sourcil il semble hésiter) - … Sona .
Scène 3 Lincoln a Panama
Au téléphone avec Sarah dans la rue
-Alors tu rentres quand ? (Lincoln)
-Le notaire dit qu’il a besoin de ma présence pendant au moins une semaine. Tu as parlé avec l’avocat de Michael ?
-Ce type est le pire crétin que j’ai jamais vu mais c’est une sacrée mine de renseignements, devine qui est sorti de détention provisoire hier ?
-Oh non… Il va falloir que tu le surveilles .
-T’inquiètes, tu t’occupes de ramener l’argent de ton père et moi je garde un œil sur T bag.
-Fait attention à toi Linc .
-Toi aussi Sarah.
Lincoln raccroche et tourne dans une petite ruelle, regarde autour de lui, s’accroupit et pousse une plaque d’égout, il décent et marche en se servant d’un plan ; il s’arrête, il est visiblement perdu, il se gratte la tête et repart, il tourne n’ importe où et essaye de lire le plan à l’envers, jure, râle et commence à désespérer quand un truc lui tombe dessus il regarde en haut deux hommes descendent dans les égouts juste au dessus de lui.
-Désolé, on est en retard. T’a pas eu trop de problème à trouver le point de chute ? (les deux hommes sont des jumeaux d’une vingtaine d’année en costume cravate)
-Oh non au contraire ca fait même un bon quart d’heure que je vous attends. Je sais que vous me faite une fleur en acceptant d’aider mon frère mais j’ai quand même une question . Pourquoi ne pas récupérer votre agent vous-même?
-Catherina Knox n’est pas un agent, c’est un électron libre. (Un des jumeaux ouvre un sac et sort une enveloppe) Pour l’instant elle est détenue par un cartel mexicain, ces hommes connaissent nos visages mais pas le tien de plus vu ton histoire on peut dire que maintenant tu fais parti de la famille. Une famille qui hait la compagnie et qui ne manque pas de s’entraider ; il donne une claque dans le dos de Lincoln et masse sa main douloureuse (aouch !) il lui donne l’enveloppe et l’autre jumeau prend la parole.
-Là dedans il y a un pass pour entrer discrètement dans la zone industrielle, un plan pour trouver le hangar où ils la détiennent et une photo d’elle. Linc il se peut qu’il y ai d’autres filles c’est dans ces hangars qu’ils gardent leurs prisonniers pour les torturer alors je t’en prie ne fait pas de zèle tu n’auras pas le temps d’en sauver plusieurs. Catherina est une pièce de choix pour eux, c’est la belle fille d’un des ennemis du cartel, ils l’ont enlevé en pleine nuit hier elle doit être déshydratée et franchement mal en point, il va falloir que tu t’occupes d’elle. Ah oui, il a aussi les clefs d’une petite maison à l’extérieur de la ville. Il sourit .
(Lincoln les regarde, ils sont tous les deux en train de le regarder de haut en bas en souriant) -Quoi ?
-Non rien … c’est juste que t’est plutôt son genre avec un peu de chance tu auras droit à un sourire.
-Tiens (il lui donne une ceinture enroulée Lincoln la prend par un bout elle se déroule dans un vacarme du diable et dévoile une dizaine de couteau) Ca lui fera plaisir de retrouver ses petits copains les poignards.
-Je croyais que c’était un génie comme mon frère (Lincoln ouvre des yeux comme des billes)
-C’est un génie c’est sur ! Mais comme ton frère… Disons qu’ils ont la même pathologie mais pas le même fonctionnement enfin tu verras.
- On s’est débrouillé pour que tu vois ton frère avant de partir tu n’as qu’à montrer tes papiers a SONA. Pas la peine d’user de ta discrétion légendaire la compagnie a des espions partout ils seront au courant de ta présence avant même que tu n’ai passé la grille. (ils commencent à remonter) Bonne chance à toi et à ton frère et n’oublies pas notre marché une fois qu’il est dehors il est à nous jusqu'à la fin de la compagnie. (ils disparaissent par la bouche d’égout)
-Ca je risque pas d’oublier » Lincoln sort la photo de l’enveloppe elle représente une jolie femme brune typée espagnol, il siffle apparemment conquis et range la photo dans une poche arrière de son pantalon il regarde autour de lui ressort son plan hausse un sourcil et repart vers la droite (la caméra reste fixe 5 secondes) et repasse pour partir vers la gauche (ben oui, imaginez que c'est vraiment la saison 3 .lol).
Voilà ! moi perso j'adore !! Vos impressions ????
Moi j'adooooooooooooooooooooooooooooooooooooore , voilà les premiers bouts
L’histoire reprend trois jours après la fin de la saison 2
EPISODE 1 : QUELQUE PART EN ENFER partie1
Scène 1 à SONA : Michael
Michael est sur la plage il marche pied nu une coupe de champagne a la main Sarah cour vers lui (avec la bouteille) au ralentit ses cheveux se balancent au rythme de son rire …
_ Allez Mickey réveille toi faut qu’on bouge » un énoorme type (Chad) aide Michael à se lever qui émerge de son super rêve pour se retrouver a Sona. Michael est couvert de bleus et son tee-shirt est déchiré (on se calme tout de suite !) il se lève tant bien que mal et suit Chad dans les couloirs parsemés de junkies et autres charmantes personnes au couteau acéré.
Aussi bien luné qu’un ours bleu en période de chasse ouverte le BOSS tourne le dos à Michael (il revoit la scène ou le Boss l’a séparé de Mahone dans l’arène) « J’ai besoin de toi Mickey » sans se retourner il claque ses doigt et un de ses molosse déplie sous le nez de Michael un plan. Le BOSS claque à nouveaux ses doigts et tous ses hommes sortent de la pièce mais le dernier se ravise :
« Vous êtes sur chef ? Il n’est pas net ce type.
- Laisse Manolo entre hommes tatoués on se comprend » dit le BOSS
(Michael revoit le BOSS soulever son tee-shirt pour dévoiler un tatouage en apparence en forme de dragon.)
Le BOSS se retourne sa chemise est ouverte :
« Tu a beau être un génie ,la merveilleuse idée de cacher des messages dans un tatouage n’est pas de toi, j’ai fait des recherche sur toi Michael Scofield et si en plus d’être un copieur talentueux tu es un passe muraille alors la seule question qui se pose est : pourras tu coopérer avec un type comme moi ?
- Pour sortir de prison je peux coopérer avec n’importe qui .
- Parfait ! il file une méga claque dans le dos de Michael qui a du mal à rester debout .
- Quesque je peux faire pour vous ?
- Quand j’étais à Mexico, je trainais dans des affaires pas toujours très claires ,mon fils, Tyo venait de se faire égorger en prison quand un type bizarre est venu me voir, il m’a fait tout une cour sur les risques encourus en prison et la fréquence des incarcérations. Ce type avait tout l’air d’un vendeur de porte à port banal sauf qu’il ne vendait pas des assurances vies ou des ‘’cartes sortie de prison’’ mais des plans insérés dans des motifs. Les plans parmi d’autre de la riante SONA. Il me les donna à moi contre ma parole de ne m’en servir qu’en cas d’extrême urgence et de n’en dévoiler le secret qu’aux initiés de la technique. Me voila donc ici après avoir fait tatouer sur tout mon torse les plans et avoir été balancé par mon bras droit qui ne doit plus en avoir maintenant (il fait le geste d’une scie découpant un bras Michael recule instinctivement et se cogne) Le BOSS se met à rire, n’ai pas peur gamin tu n’a rien a craindre de moi, regarde ce plan, décrit nous un itinéraire et tout se passera bien
- Nous ?
- Toi, moi, Manolo, Miguel, Chad et le petit Cid (il montre du doigt une gamin d’a peine 20ans fumant adossé au mur il fait un signe a Michael qui le lui rend ) 6 c’est mieux que 8 non ?
- Surement, ça dépend du temps que nous avons .
- Personnellement je ne suis pas pressé mais Cid est malade, ici ils ne veulent même pas savoir ce qu’il a. Donc je te laisse avec ton nouvel ami le plan. Il sort et arrivé a la porte il ajoute : Ah au fait Mickey si il arrive quelque chose à Cid avant qu’on soit dehors tu pourras dire adieu a tes corones .
- Guay ! » (= ‘super ‘ en espagnol)
Générique
Scène 2 à Panama City : Sucre
Sucre reprend connaissance dans une église, une sœur le soigne. Quand elle voit qu’il est réveillé elle se lève et appelle le Padre. Le Padre est très jeune et a une tête de… prêtre. Sucre fait un signe de croix vite fait avant d’être maudit pour toujours.
Le Padre dit :
« Alors mon Fils, ca va mieux ?
- Heu… mfrpfrrd
- Pardon ?
- Mari Cruz.
- Non, moi c’est Paolo …et vous ?
- Sucre
- Heu non on a pas de sucre … (Non, oubliez cette phrase oui on a honte, signé : Les auteurs …)
- Fernando Sucre je… Il faut que je trouve ma copine elle est enceinte et…
Sucre essaie de se lever .
- A votre place je ne me lèverais pas Anna vous a administré un peu de morphine.
Sucre se lève quand même et… BAM il tombe, Le Padre lève les yeux au ciel.
- Santa Madre de Dios !! (=sainte mère de dieu) Il le remet dans son lit .
- Ou je suis là ?
- Dans l’église La Chiesa Del Panama
- Je dois partir retrouver Mari Cruz si vous êtes un homme de dieu vous devez m’aider .
- Il y a surement un moyen de vous aider plutôt que de vous laisser retourner mourir dans la rue.
(Sucre réfléchit) - Alors dite moi mon père ou envoie t’on les meurtriers ici ?
(le père hausse un sourcil il semble hésiter) - … Sona .
Scène 3 Lincoln a Panama
Au téléphone avec Sarah dans la rue
-Alors tu rentres quand ? (Lincoln)
-Le notaire dit qu’il a besoin de ma présence pendant au moins une semaine. Tu as parlé avec l’avocat de Michael ?
-Ce type est le pire crétin que j’ai jamais vu mais c’est une sacrée mine de renseignements, devine qui est sorti de détention provisoire hier ?
-Oh non… Il va falloir que tu le surveilles .
-T’inquiètes, tu t’occupes de ramener l’argent de ton père et moi je garde un œil sur T bag.
-Fait attention à toi Linc .
-Toi aussi Sarah.
Lincoln raccroche et tourne dans une petite ruelle, regarde autour de lui, s’accroupit et pousse une plaque d’égout, il décent et marche en se servant d’un plan ; il s’arrête, il est visiblement perdu, il se gratte la tête et repart, il tourne n’ importe où et essaye de lire le plan à l’envers, jure, râle et commence à désespérer quand un truc lui tombe dessus il regarde en haut deux hommes descendent dans les égouts juste au dessus de lui.
-Désolé, on est en retard. T’a pas eu trop de problème à trouver le point de chute ? (les deux hommes sont des jumeaux d’une vingtaine d’année en costume cravate)
-Oh non au contraire ca fait même un bon quart d’heure que je vous attends. Je sais que vous me faite une fleur en acceptant d’aider mon frère mais j’ai quand même une question . Pourquoi ne pas récupérer votre agent vous-même?
-Catherina Knox n’est pas un agent, c’est un électron libre. (Un des jumeaux ouvre un sac et sort une enveloppe) Pour l’instant elle est détenue par un cartel mexicain, ces hommes connaissent nos visages mais pas le tien de plus vu ton histoire on peut dire que maintenant tu fais parti de la famille. Une famille qui hait la compagnie et qui ne manque pas de s’entraider ; il donne une claque dans le dos de Lincoln et masse sa main douloureuse (aouch !) il lui donne l’enveloppe et l’autre jumeau prend la parole.
-Là dedans il y a un pass pour entrer discrètement dans la zone industrielle, un plan pour trouver le hangar où ils la détiennent et une photo d’elle. Linc il se peut qu’il y ai d’autres filles c’est dans ces hangars qu’ils gardent leurs prisonniers pour les torturer alors je t’en prie ne fait pas de zèle tu n’auras pas le temps d’en sauver plusieurs. Catherina est une pièce de choix pour eux, c’est la belle fille d’un des ennemis du cartel, ils l’ont enlevé en pleine nuit hier elle doit être déshydratée et franchement mal en point, il va falloir que tu t’occupes d’elle. Ah oui, il a aussi les clefs d’une petite maison à l’extérieur de la ville. Il sourit .
(Lincoln les regarde, ils sont tous les deux en train de le regarder de haut en bas en souriant) -Quoi ?
-Non rien … c’est juste que t’est plutôt son genre avec un peu de chance tu auras droit à un sourire.
-Tiens (il lui donne une ceinture enroulée Lincoln la prend par un bout elle se déroule dans un vacarme du diable et dévoile une dizaine de couteau) Ca lui fera plaisir de retrouver ses petits copains les poignards.
-Je croyais que c’était un génie comme mon frère (Lincoln ouvre des yeux comme des billes)
-C’est un génie c’est sur ! Mais comme ton frère… Disons qu’ils ont la même pathologie mais pas le même fonctionnement enfin tu verras.
- On s’est débrouillé pour que tu vois ton frère avant de partir tu n’as qu’à montrer tes papiers a SONA. Pas la peine d’user de ta discrétion légendaire la compagnie a des espions partout ils seront au courant de ta présence avant même que tu n’ai passé la grille. (ils commencent à remonter) Bonne chance à toi et à ton frère et n’oublies pas notre marché une fois qu’il est dehors il est à nous jusqu'à la fin de la compagnie. (ils disparaissent par la bouche d’égout)
-Ca je risque pas d’oublier » Lincoln sort la photo de l’enveloppe elle représente une jolie femme brune typée espagnol, il siffle apparemment conquis et range la photo dans une poche arrière de son pantalon il regarde autour de lui ressort son plan hausse un sourcil et repart vers la droite (la caméra reste fixe 5 secondes) et repasse pour partir vers la gauche (ben oui, imaginez que c'est vraiment la saison 3 .lol).
Voilà ! moi perso j'adore !! Vos impressions ????
Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
J'adore! Elle est vraiment géniale cette fic.
En fait je l'aasi déjà vue sur un autre forum, mais je n'ai pas trop eu le temps pour la lire, alors maintenant je pense que je vai devenir une lectrice assidue
mets vite une suite!!!
En fait je l'aasi déjà vue sur un autre forum, mais je n'ai pas trop eu le temps pour la lire, alors maintenant je pense que je vai devenir une lectrice assidue
mets vite une suite!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : Ailleurs
Date d'inscription : 07/07/2007
Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Bon , pour mon unique lecteur , voilà la suite !!
Scène 4 : T bag a Panama dans un appartement
T bag est de dos en train de trier des photos, il épingle une photo de Michael avec un couteau sur le mur, s’assoie, avale une demie bouteille de scotch (l’alcool pas le papier adhésif et ouvre un ordinateur portable. Il tape sur le clavier jusqu'à ce qu’une fenêtre de téléconférence s’ouvre. Un homme aux yeux floutés apparait, il parle avec une voix maquillée électroniquement :
« J’ai eu vent du marché que vous avez passé avec mes collaborateurs et j’avoue ne pas en être pleinement satisfait.
- (T bag commence à trembler et à transpirer)… Je… n’ai encore rien fait…
- Et le problème est bien là, on ne vous a pas sorti de prison pour que vous vous tourniez les pouces. Désormais vous êtes le bras armé de la compagnie, nous attendons de vous que vous usiez de votre immunité avec intelligence et exécutiez vos contrat en cessant de surveiller Scofield ; et si, et seulement si vous êtes sage on vous laissera vous en occuper le moment venu. Entendu Theodore ?
- Parfaitement . La fenêtre se referme T-Bag a l’air complètement fou (enfin, plus que d’habitude) il pousse un hurlement de colère terrifiant, attrape une boite et la jette par terre des photos se rependent par terre toutes ont les yeux brulés a la cigarette, ceux de Michael. , T bag avale l’autre moitié de la bouteille et la brise sur les photographies.
Scène 5 : retour a SONA où Michael regarde par la fenêtre la pluie tomber (et cette transition est tellement belle que je vais pleurer lol)
La porte s’ouvre brusquement sur le BOSS propre comme un sou neuf :
«Mickey mon cœur ! Ils n’apprennent pas aux grosses souris comme toi à se laver dans ton pays ?
-…
-Ah mais c’est vrai que la d’où tu viens il y a truc bizzard avec un genre de tuyau comment on appelle ca déjà en terre civilisée ?
-Manolo : Une douche chef, je crois qu’ils appellent ca une douche (le BOSS et ses hommes sont tous mort de rire et Michael se sent tout con. Le BOSS fait un signe à ses hommes, ils attrapent Michael et l’emmènent a l’extérieur où tout les détenus se lavent sous la pluie.
Michael reste bouche bée dans la cour, Manolo lui lance un savon jaunâtre : « Fait gaffe à pas échapper ca ou tu va te faire très vite plein de nouveaux amis » Michael retire son T-shirt et commence à défaire sa ceinture (Qu’est ‘ce que j’ai dit ? : on se calme !) Quand un grand type pose sa main sur son épaule : «C’est toi Scofield ?
Ca dépend pour qui
Rhabille-toi Barbie, ya du monde pour toi à la grille (il regarde sur une liste) Alvarez et … Burrows. »
Le visage de Michael s’illumine, il suit l’homme jusqu'à la grille, où Lincoln et son avocat l’attendent, Michael tente de toucher son frère à travers la grille mais l’autre homme l’arrête en lui montrant le mirador du doigt : « tu reste à un mètre ou ils te descendent sans sommation (Michael beugue complètement, l’homme à la liste le secoue par l’épaule) hé ! Déconne pas tu restes la c’est clair ? (Michael hoche la tête, il sort un peut de ses pensées pour revenir à la réalité mais il a les larmes aux yeux).
Lincoln aussi à l’air d’être ébranlé par les retrouvailles, les frères se regardent sans rien dire pendant un court instant puis Lincoln brise la glace : « Tu… vas bien ?
(Michael remet son T-shirt et tente de cacher ses bleus)- J’ai connu pire, mon frère par exemple n’était pas toujours tendre avec moi du genre brulure de cigarette. (Ils sont presque obligés de crier pour couvrir bruit de la pluie)
-Oh tu vas pas ressortir ça ! C’était un accident !! (Lincoln sourit faiblement)
-Ouais, ouais c’est toujours ce qu’on dit. (Un long silence suit.)Et Sarah ? Elle m’en veut ?
-Mais enfin Michael, tu sais bien que personne ne t’en veut jamais et surement pas les filles, faudra qu’un jour tu me montres comment tu fais.
-Promis dés que je sors d’ici je t’apprends la vie grand frère. Alors elle n’a pas pu venir ?
Le sénateur Tancrédi lui a laissé un gros pactole, elle veille au grain aux Etats Unis pour pouvoir te faire sortir d’ici le plus vite possible, elle veut que tu ais le meilleur avocat (L’homme a coté de Lincoln toussote le plus bruyamment qu’il peut) Ah oui, je te présent monsieur Alvarez ton commis d’office. Alvarez tend son bras à travers la grille pour serrer la main à Michael, qui le regarde : blasé. Lincoln soupire .
L :Papa faisait parti d’une organisation tu sais?
-… (Michael acquiesce)
-Ils m’ont contacté, la situation empire pour eux, la compagnie est en plein nettoyage de printemps alors ils sont prés à t’aider eux aussi (La pluie qui commençait a être moins forte cesse complètement) Tu vois, personne ne t’oublie et avec nous tous, tu seras surement dehors d’ici un mois.
Alors tu penses que tout ce que j’ai à faire, c’est rester bien tranquille à attendre que l’on vienne me sauver ? Mais tu m’en demandes trop Linc…
Sarah savait que tu dirais ça (il sourit) alors elle t’a laissé un message (il sort un dictaphone de sa poche, l’allume et quand la voix de Sarah retentit, Michael devient livide) : « Michael tu es quelqu’un de fier et je sais que tu a du mal à accepter de l’aide des autres mais je t’en prie fait un effort, garde confiance en nous, ton frère et moi on va te sortir de là. Michael… je t’aime trop pour te laisser faire l’huitre alors je vais t’aider que tu le veuilles ou non et je t’en prie fais attention a toi. (Michael se fait violence pour ne pas pleurer). Et tu as plutôt intérêt à ce que le médecin de la prison soit un homme !(Michael esquisse un pauvre sourire, renifle et inspire un grand coup.)
M :Alors maintenant, tu peux rien faire sans l’aide d’une fille
L :Et tu n’as pas idée ! Les joyeux copains de papa m’envoient chercher une Wonder Woman chez la mafia rital.
-Toi au moins tu t’amuses .
-Ils disent qu’ils peuvent améliorer un peu tes conditions de vie ici…
-Ca va. Je vais bien, c’est pas le pied mais ça va et puis de toute façon je compte pas m’éterniser ici.
Tu crois que c’est génétique ou un truc comme ca de se faire enfermer pour un crime qu’on n’a pas commis ?
Je sais pas mais c’est sur que l’évasion, on a ça dans le sang » (Chad vient chercher Michael :
- Va falloir que tu te déracines, le BOSS n’aime pas te savoir loin de lui.
-Juste 5min (Michael regarde Chad dans les yeux ce qui ne semble pas marcher.)
Tu t’exposes trop, on a pas que des amis ici, alors tu me suis de ton plein grés ou je laisse les mecs de Zao te transformer en pinata vivante (Michael fait un signe de tête à Lincoln, commence à partir puis se ravise :
- N'oublies pas de dire à Sarah que je l'aime ... il passe la porte du batiment puis elle se referme derrière lui, il regarde la serrure par dessus son épaule. La suite ? au prochain épisode bien sur !
Voilà !! Alors ?
Scène 4 : T bag a Panama dans un appartement
T bag est de dos en train de trier des photos, il épingle une photo de Michael avec un couteau sur le mur, s’assoie, avale une demie bouteille de scotch (l’alcool pas le papier adhésif et ouvre un ordinateur portable. Il tape sur le clavier jusqu'à ce qu’une fenêtre de téléconférence s’ouvre. Un homme aux yeux floutés apparait, il parle avec une voix maquillée électroniquement :
« J’ai eu vent du marché que vous avez passé avec mes collaborateurs et j’avoue ne pas en être pleinement satisfait.
- (T bag commence à trembler et à transpirer)… Je… n’ai encore rien fait…
- Et le problème est bien là, on ne vous a pas sorti de prison pour que vous vous tourniez les pouces. Désormais vous êtes le bras armé de la compagnie, nous attendons de vous que vous usiez de votre immunité avec intelligence et exécutiez vos contrat en cessant de surveiller Scofield ; et si, et seulement si vous êtes sage on vous laissera vous en occuper le moment venu. Entendu Theodore ?
- Parfaitement . La fenêtre se referme T-Bag a l’air complètement fou (enfin, plus que d’habitude) il pousse un hurlement de colère terrifiant, attrape une boite et la jette par terre des photos se rependent par terre toutes ont les yeux brulés a la cigarette, ceux de Michael. , T bag avale l’autre moitié de la bouteille et la brise sur les photographies.
Scène 5 : retour a SONA où Michael regarde par la fenêtre la pluie tomber (et cette transition est tellement belle que je vais pleurer lol)
La porte s’ouvre brusquement sur le BOSS propre comme un sou neuf :
«Mickey mon cœur ! Ils n’apprennent pas aux grosses souris comme toi à se laver dans ton pays ?
-…
-Ah mais c’est vrai que la d’où tu viens il y a truc bizzard avec un genre de tuyau comment on appelle ca déjà en terre civilisée ?
-Manolo : Une douche chef, je crois qu’ils appellent ca une douche (le BOSS et ses hommes sont tous mort de rire et Michael se sent tout con. Le BOSS fait un signe à ses hommes, ils attrapent Michael et l’emmènent a l’extérieur où tout les détenus se lavent sous la pluie.
Michael reste bouche bée dans la cour, Manolo lui lance un savon jaunâtre : « Fait gaffe à pas échapper ca ou tu va te faire très vite plein de nouveaux amis » Michael retire son T-shirt et commence à défaire sa ceinture (Qu’est ‘ce que j’ai dit ? : on se calme !) Quand un grand type pose sa main sur son épaule : «C’est toi Scofield ?
Ca dépend pour qui
Rhabille-toi Barbie, ya du monde pour toi à la grille (il regarde sur une liste) Alvarez et … Burrows. »
Le visage de Michael s’illumine, il suit l’homme jusqu'à la grille, où Lincoln et son avocat l’attendent, Michael tente de toucher son frère à travers la grille mais l’autre homme l’arrête en lui montrant le mirador du doigt : « tu reste à un mètre ou ils te descendent sans sommation (Michael beugue complètement, l’homme à la liste le secoue par l’épaule) hé ! Déconne pas tu restes la c’est clair ? (Michael hoche la tête, il sort un peut de ses pensées pour revenir à la réalité mais il a les larmes aux yeux).
Lincoln aussi à l’air d’être ébranlé par les retrouvailles, les frères se regardent sans rien dire pendant un court instant puis Lincoln brise la glace : « Tu… vas bien ?
(Michael remet son T-shirt et tente de cacher ses bleus)- J’ai connu pire, mon frère par exemple n’était pas toujours tendre avec moi du genre brulure de cigarette. (Ils sont presque obligés de crier pour couvrir bruit de la pluie)
-Oh tu vas pas ressortir ça ! C’était un accident !! (Lincoln sourit faiblement)
-Ouais, ouais c’est toujours ce qu’on dit. (Un long silence suit.)Et Sarah ? Elle m’en veut ?
-Mais enfin Michael, tu sais bien que personne ne t’en veut jamais et surement pas les filles, faudra qu’un jour tu me montres comment tu fais.
-Promis dés que je sors d’ici je t’apprends la vie grand frère. Alors elle n’a pas pu venir ?
Le sénateur Tancrédi lui a laissé un gros pactole, elle veille au grain aux Etats Unis pour pouvoir te faire sortir d’ici le plus vite possible, elle veut que tu ais le meilleur avocat (L’homme a coté de Lincoln toussote le plus bruyamment qu’il peut) Ah oui, je te présent monsieur Alvarez ton commis d’office. Alvarez tend son bras à travers la grille pour serrer la main à Michael, qui le regarde : blasé. Lincoln soupire .
L :Papa faisait parti d’une organisation tu sais?
-… (Michael acquiesce)
-Ils m’ont contacté, la situation empire pour eux, la compagnie est en plein nettoyage de printemps alors ils sont prés à t’aider eux aussi (La pluie qui commençait a être moins forte cesse complètement) Tu vois, personne ne t’oublie et avec nous tous, tu seras surement dehors d’ici un mois.
Alors tu penses que tout ce que j’ai à faire, c’est rester bien tranquille à attendre que l’on vienne me sauver ? Mais tu m’en demandes trop Linc…
Sarah savait que tu dirais ça (il sourit) alors elle t’a laissé un message (il sort un dictaphone de sa poche, l’allume et quand la voix de Sarah retentit, Michael devient livide) : « Michael tu es quelqu’un de fier et je sais que tu a du mal à accepter de l’aide des autres mais je t’en prie fait un effort, garde confiance en nous, ton frère et moi on va te sortir de là. Michael… je t’aime trop pour te laisser faire l’huitre alors je vais t’aider que tu le veuilles ou non et je t’en prie fais attention a toi. (Michael se fait violence pour ne pas pleurer). Et tu as plutôt intérêt à ce que le médecin de la prison soit un homme !(Michael esquisse un pauvre sourire, renifle et inspire un grand coup.)
M :Alors maintenant, tu peux rien faire sans l’aide d’une fille
L :Et tu n’as pas idée ! Les joyeux copains de papa m’envoient chercher une Wonder Woman chez la mafia rital.
-Toi au moins tu t’amuses .
-Ils disent qu’ils peuvent améliorer un peu tes conditions de vie ici…
-Ca va. Je vais bien, c’est pas le pied mais ça va et puis de toute façon je compte pas m’éterniser ici.
Tu crois que c’est génétique ou un truc comme ca de se faire enfermer pour un crime qu’on n’a pas commis ?
Je sais pas mais c’est sur que l’évasion, on a ça dans le sang » (Chad vient chercher Michael :
- Va falloir que tu te déracines, le BOSS n’aime pas te savoir loin de lui.
-Juste 5min (Michael regarde Chad dans les yeux ce qui ne semble pas marcher.)
Tu t’exposes trop, on a pas que des amis ici, alors tu me suis de ton plein grés ou je laisse les mecs de Zao te transformer en pinata vivante (Michael fait un signe de tête à Lincoln, commence à partir puis se ravise :
- N'oublies pas de dire à Sarah que je l'aime ... il passe la porte du batiment puis elle se referme derrière lui, il regarde la serrure par dessus son épaule. La suite ? au prochain épisode bien sur !
Voilà !! Alors ?
Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
C'était touchant le passage du message de sarah sur le dictaphone
Vivement une suite!!!
Vivement une suite!!!
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Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Rien que pour toi ... la suite !!
Episode 2 : Quelque part en enfer partie 2
Scène 1 : Catherina/ Lincoln à Panama
Dans une usine désaffectée, Catherina est suspendue à une chaine par les poignets. Deux types rentrent dans le hangar, l’un d’eux débloque le treuil et fait descendre la jeune femme, l’autre la réceptionne et l’allonge par terre il tord le bord de sa jupe et la remonte. Au moment où il va écarter les cuisses de Catherina, elle reprend conscience et lui assène un coup de genoux dans les parties génitales (bien fait !). Elle arrive tant bien que mal à se dégager, à l’assommer et à prendre un couteau dans une de ses poches.
L’autre homme se jette sur Catherina, ils se battent au sol et roulent sur eux-mêmes plusieurs fois puis Catherina se relève du sang plein les mains, l’homme à ses pieds est mort.
A bout de souffle et prise de vertiges, Catherina respire bruyamment. Elle se dirige vers la porte mais entend des pneus crisser sur le gravier à l’extérieur. Elle se retourne, et voit une lumière qui clignote a coté des deux hommes elle a à peine le temps de comprendre que cela provient d’un message de détresse envoyé par l’un d’eux, que la porte du hangar s’ouvre à la volée sur 3 autres types à l’air particulièrement vindicatif.
Catherina ne prend pas le temps de réfléchir et fonce dans le tas sans voir que Lincoln est apparut derrière eux et commence à les envoyer au tapis. Le combat se poursuit à l’extérieur et Catherina reçoit un coup violent au ventre elle monte sur un muret pour en esquiver un autre et assène un coup de pied meurtrier au visage de son agresseur. Elle se jette sur Lincoln, dernier homme debout, et tente de lui donner un coup de tête mais ne réussit qu’à s’assommer elle-même (ben oui c’est qu’il a la tête dur notre Lincoln . Elle s’affaisse complètement sur lui et il en profite pour la prendre dans ses bras et la hisser sur son épaule.
Il la porte jusqu’au coupé décapotable garé à l’entrée et la jette sans cérémonie à l’arrière avant de démarrer en trombe.
Scène 2 : Michael à SONA
Michael est penché sur le plan, pensif, quand Manolo, qui semble s’ennuyer, lui adresse la parole
« Y parait que tu es allé dans une prison américaine.
-Il paraît ,ouais.
-C’était comment ?
(Michael, qui daigne cette foi ci se retourner, le regarde comme si il était en face de Sucre venant de dire, comme à son habitude, une groosse bêtise)
-Enfin j'veux dire... avec des vrais gardiens et tout ?
-Différent"
(Manolo hoche la tête, il sait qu’il ne pourra rien obtenir de plus de lui). Le BOSS entre, suivi de Chad, Manolo se met presque au garde a vous, la montagne de muscle secoue Michael d’une façon qui ne parait qu’à lui affectueuse en disant « alors ca avance ?
-Il faudrait que je sorte plus souvent pour mieux me rendre compte
-Pardon ? C’est bizzard mes oreilles ont surement du me lâcher parceque j’ai cru entendre que non seulement tu ne me répondais pas mais qu’en plus tu te plaignais. (Le BOSS ne l’a pas lâché et ressert son étreinte en lui parlant à 2cm du visage)( Auteur n°2 : ca ne vous rappelle pas quelqu'un ?? )
-J’ai réussit à trouver les premiers repères et le sens d’exploitation.
(Le BOSS le regarde comme si il venait de l’insulter et fait craquer sa nuque en penchant sa tête à droite.)
-Oui j’ai avancé.
'Alors fait moi voir ca. (Il le lâche enfin et Michael recommence à respirer normalement)
-Les gros traits noirs représentent l’enceinte extérieur (il montre du doigt au fur et à mesure qu’il explique) de 2 mètres d’épaisseur selon la légende, puis il y a la cour avec les 4 miradors qui sont représentés avec ces ronds barrés et le bâtiment central avec les délimitations de chaque cellules et cela même pour l’aile des femmes. Ensuite touts les doubles trait montres l’emplacement des conduits d’aération et les pointillets, si je ne me trompe pas, les plans du sous sol.
-Hé ben voila, regarde mickey tout ce que tu as réussi à faire sans sortir d’ici pendant une journée. C’est évidant qu’il vaut mieux t’éviter toutes distractions inutiles.
-Le problème c’est qu’il y a des choses qui restent obscures, je ne sais toujours pas ce que veulent dire ces ronds et ces gros points.
-Tu n’as qu’à envoyer Chad aux endroits où ils se trouvent, il te dira à quoi ca correspond.
-Il pourrait passer à côtè sans même le voir, non, si je n’y vais pas, on ne saura pas ce que c’est et je suis sur que c’est très important voir même indispensable.
-Ecoute moi bien Michael parce que je ne le répéterai pas deux fois : Tu restes ici et jamais seul et tu ne sors pas sans mon accord parceque si par un de tes tours de passe-passe habituel, tu arrives à sortir de cette cellule je te jure de te faire regretter le temps bénis ou tu croupissais dans ta jolie prison Fédérale. Ai’ je été assez clair ?
-Oui. Le BOSS sort et Michael d’un mouvement d’humeur jette un stylo, première chose qui lui tombe sous la main, contre le mur. Le stylo rebondit et atterrit aux pieds de Chad qui le ramasse et le pose lentement sur la table, il regarde froidement Michael.
-Tu ferais mieux de te calmer, ce n’est pas bon pour ce que tu as. Surtout si tu veux absolument sortir uniquement pour voir ton frère.
-Je te jure que je ne mens pas. Est-ce qu’il croit que c’est pour ca ?
-A vrai dire … il s’en fout pas mal. Ce qui l’intéresse plus, c’est que tu restes en vie.
(il fronce les sourcils)
- SONA n’a pas toujours été assouvie à l’anarchie, comme aujourd’hui, ça date juste de trois ans. Il y a trois ans, tout à pété ici, il y a eu une énorme émeute que les matons n’ont pas pu contrôler, ils sont d’ailleurs presque tous morts pour l’occasion. Le gouvernement du Panama à réagit comme tout les gouvernements le font quand ils perdent le control : il a laissé tomber. Et depuis, SONA n’est régit que par une seule loi, celle du plus fort. Et à un moment ou nous étions tous à la recherche d’un leader, notre patron à réussit à tirer son épingle du jeu et à s’imposer, seulement il y en toujours qui contestent sa légitimité et ce depuis le début. Des types comme ZAO, par exemple, t’égorgeraient juste pour le plaisir de se faire un protégé du patron. En ce moment la situation est électrique parsque nombreux des partisans de ZAO ont viré de bord mais bientôt Le BOSS y mettra un terme et tu pourras sortir.
-Et «bientôt» en unité de temps américaine ça donne quoi ?
-Une ou deux semaines » Michael soupire et passe sa main dans ses cheveux (enfin sur sa tête
Alors ?
Episode 2 : Quelque part en enfer partie 2
Scène 1 : Catherina/ Lincoln à Panama
Dans une usine désaffectée, Catherina est suspendue à une chaine par les poignets. Deux types rentrent dans le hangar, l’un d’eux débloque le treuil et fait descendre la jeune femme, l’autre la réceptionne et l’allonge par terre il tord le bord de sa jupe et la remonte. Au moment où il va écarter les cuisses de Catherina, elle reprend conscience et lui assène un coup de genoux dans les parties génitales (bien fait !). Elle arrive tant bien que mal à se dégager, à l’assommer et à prendre un couteau dans une de ses poches.
L’autre homme se jette sur Catherina, ils se battent au sol et roulent sur eux-mêmes plusieurs fois puis Catherina se relève du sang plein les mains, l’homme à ses pieds est mort.
A bout de souffle et prise de vertiges, Catherina respire bruyamment. Elle se dirige vers la porte mais entend des pneus crisser sur le gravier à l’extérieur. Elle se retourne, et voit une lumière qui clignote a coté des deux hommes elle a à peine le temps de comprendre que cela provient d’un message de détresse envoyé par l’un d’eux, que la porte du hangar s’ouvre à la volée sur 3 autres types à l’air particulièrement vindicatif.
Catherina ne prend pas le temps de réfléchir et fonce dans le tas sans voir que Lincoln est apparut derrière eux et commence à les envoyer au tapis. Le combat se poursuit à l’extérieur et Catherina reçoit un coup violent au ventre elle monte sur un muret pour en esquiver un autre et assène un coup de pied meurtrier au visage de son agresseur. Elle se jette sur Lincoln, dernier homme debout, et tente de lui donner un coup de tête mais ne réussit qu’à s’assommer elle-même (ben oui c’est qu’il a la tête dur notre Lincoln . Elle s’affaisse complètement sur lui et il en profite pour la prendre dans ses bras et la hisser sur son épaule.
Il la porte jusqu’au coupé décapotable garé à l’entrée et la jette sans cérémonie à l’arrière avant de démarrer en trombe.
Scène 2 : Michael à SONA
Michael est penché sur le plan, pensif, quand Manolo, qui semble s’ennuyer, lui adresse la parole
« Y parait que tu es allé dans une prison américaine.
-Il paraît ,ouais.
-C’était comment ?
(Michael, qui daigne cette foi ci se retourner, le regarde comme si il était en face de Sucre venant de dire, comme à son habitude, une groosse bêtise)
-Enfin j'veux dire... avec des vrais gardiens et tout ?
-Différent"
(Manolo hoche la tête, il sait qu’il ne pourra rien obtenir de plus de lui). Le BOSS entre, suivi de Chad, Manolo se met presque au garde a vous, la montagne de muscle secoue Michael d’une façon qui ne parait qu’à lui affectueuse en disant « alors ca avance ?
-Il faudrait que je sorte plus souvent pour mieux me rendre compte
-Pardon ? C’est bizzard mes oreilles ont surement du me lâcher parceque j’ai cru entendre que non seulement tu ne me répondais pas mais qu’en plus tu te plaignais. (Le BOSS ne l’a pas lâché et ressert son étreinte en lui parlant à 2cm du visage)( Auteur n°2 : ca ne vous rappelle pas quelqu'un ?? )
-J’ai réussit à trouver les premiers repères et le sens d’exploitation.
(Le BOSS le regarde comme si il venait de l’insulter et fait craquer sa nuque en penchant sa tête à droite.)
-Oui j’ai avancé.
'Alors fait moi voir ca. (Il le lâche enfin et Michael recommence à respirer normalement)
-Les gros traits noirs représentent l’enceinte extérieur (il montre du doigt au fur et à mesure qu’il explique) de 2 mètres d’épaisseur selon la légende, puis il y a la cour avec les 4 miradors qui sont représentés avec ces ronds barrés et le bâtiment central avec les délimitations de chaque cellules et cela même pour l’aile des femmes. Ensuite touts les doubles trait montres l’emplacement des conduits d’aération et les pointillets, si je ne me trompe pas, les plans du sous sol.
-Hé ben voila, regarde mickey tout ce que tu as réussi à faire sans sortir d’ici pendant une journée. C’est évidant qu’il vaut mieux t’éviter toutes distractions inutiles.
-Le problème c’est qu’il y a des choses qui restent obscures, je ne sais toujours pas ce que veulent dire ces ronds et ces gros points.
-Tu n’as qu’à envoyer Chad aux endroits où ils se trouvent, il te dira à quoi ca correspond.
-Il pourrait passer à côtè sans même le voir, non, si je n’y vais pas, on ne saura pas ce que c’est et je suis sur que c’est très important voir même indispensable.
-Ecoute moi bien Michael parce que je ne le répéterai pas deux fois : Tu restes ici et jamais seul et tu ne sors pas sans mon accord parceque si par un de tes tours de passe-passe habituel, tu arrives à sortir de cette cellule je te jure de te faire regretter le temps bénis ou tu croupissais dans ta jolie prison Fédérale. Ai’ je été assez clair ?
-Oui. Le BOSS sort et Michael d’un mouvement d’humeur jette un stylo, première chose qui lui tombe sous la main, contre le mur. Le stylo rebondit et atterrit aux pieds de Chad qui le ramasse et le pose lentement sur la table, il regarde froidement Michael.
-Tu ferais mieux de te calmer, ce n’est pas bon pour ce que tu as. Surtout si tu veux absolument sortir uniquement pour voir ton frère.
-Je te jure que je ne mens pas. Est-ce qu’il croit que c’est pour ca ?
-A vrai dire … il s’en fout pas mal. Ce qui l’intéresse plus, c’est que tu restes en vie.
(il fronce les sourcils)
- SONA n’a pas toujours été assouvie à l’anarchie, comme aujourd’hui, ça date juste de trois ans. Il y a trois ans, tout à pété ici, il y a eu une énorme émeute que les matons n’ont pas pu contrôler, ils sont d’ailleurs presque tous morts pour l’occasion. Le gouvernement du Panama à réagit comme tout les gouvernements le font quand ils perdent le control : il a laissé tomber. Et depuis, SONA n’est régit que par une seule loi, celle du plus fort. Et à un moment ou nous étions tous à la recherche d’un leader, notre patron à réussit à tirer son épingle du jeu et à s’imposer, seulement il y en toujours qui contestent sa légitimité et ce depuis le début. Des types comme ZAO, par exemple, t’égorgeraient juste pour le plaisir de se faire un protégé du patron. En ce moment la situation est électrique parsque nombreux des partisans de ZAO ont viré de bord mais bientôt Le BOSS y mettra un terme et tu pourras sortir.
-Et «bientôt» en unité de temps américaine ça donne quoi ?
-Une ou deux semaines » Michael soupire et passe sa main dans ses cheveux (enfin sur sa tête
Alors ?
Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
je l'aime pas moi, ce boss, il veut que michael reste en vie ok, mais de là, à lui interdire de sortir de sa cellule, il y va quand même un peu fort.
Mets vite une suite!!!!!!!!!
Mets vite une suite!!!!!!!!!
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Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Voilà la suite !!
Scène 3 : SUCRE et PAOLO à Panama City dans l’église.
Paolo rentre dans l’église en tenant contre sa poitrine un dossier remplit de feuilles photocopiées. Il se dirige vers le font, s’arrête devant une petite porte, jette un coup d’œil à droite et à gauche puis entre dans la petite pièce où il cache Sucre.
Il jette le dossier sur la table de nuit à coté du lit où dort Sucre, qui se réveille en sursaut et regarde le Padre attraper une chaise pour s’assoir en face de lui avant de parler :
« C’est ce que vous m’avez demandé. (Il lui montre du doigt le dossier)
-La liste d’admission de ces dix derniers jours à SONA ? Comment vous l’avez eu ? (il prend le dossier avec autant de précaution que s’il s’agissait d’une bible.)
-Nous sommes en Amérique latine et ici pour peu que l’on soit prêtre rien ne nous est refusé.
(Il commence à lire et fronce les sourcils)
-C’est dans l’ordre des arrivées, les derniers au début, pas dans l’ordre Alphabétique.
Ahhh … d’accord … Le Padre lève les yeux au ciel et soupire.
Sucre lit en suivant les noms du doigt et s’arrête sur celui de Scofield, le relit plusieurs fois, écarquille les yeux, apparais surpris et peiné pendant 5 secondes puis sourit largement avec une lueur étrange dans les yeux. Il continue ensuite sa lecture et s’arrête sur le nom de Bellick.
Le Padre s’impatiente.
- Alors ?
-C’est parfait, un de mes amis y est aussi.
(Paolo le regarde, complètement sidéré)
-Ah mais non c’est pas ce que vous croyez ! Michael est un géni de l'évasion, je ne m’en fait pas pour lui, par contre il me permettra sûrement de contacter l’homme que je cherche. Vous êtes toujours prêt à m’aider ?
-Oui, malgré l’absurdité de votre histoire, j’aimerais tout de même en connaitre le dénouement.
-Merci mon père, parce que je vous préviens : ça va devenir de plus en plus absurde.
Scène 4 : Lincoln et Catherina dans la maison.
Catherina se réveille doucement dans une chambre vide où les meubles sont recouverts de draps blancs. Elle semble pourtant reconnaître l’endroit où elle se trouve, tente de se lever mais une violente douleur au ventre lui fait pousser une bordée de jurons espagnols (que l’on ne citera pas ici par respects pour les âmes sensibles et la force à rester allongée. Réveillé par le bruit, Lincoln sursaute et tombe de la chaise où il s’était laissé choir quelques heures auparavant. Catherina qui ne l’avait pas vu et qui le reconnait immédiatement éclate de rire malgré la douleur que cela lui procure. Lincoln, rouge comme un écolier, se lève comme si de rien était et attrape une bouteille d’eau en se dirigeant vers Catherina.
Il retire le drap sur une autre chaise en face du lit et s’assoie, Catherina se redresse et Lincoln l’aide à boire tout en lui parlant :
« Je sais que vous… enfin que vous auriez pu vous en tirer toute seule.
-Oui bien sur (Catherina qui a manqué de s’étouffer repousse la bouteille) grâce à ma paire d’aile et mon deuxième cœur, j’aurais carrément pu m’en sortir toute seule. Je ne suis pas votre frère Lincoln, pas la peine d’essayer de ménager mon égo. (Lincoln fronce les sourcils)Désolé de ne pas vous avoir reconnu plus tôt, j’ai pourtant travaillé sur votre affaire depuis votre évasion. Et aussi, désolé pour le coup de tête.
-Ah ! Ca ? Franchement ce n’est pas grave, j'ai l'habitude, par contre j’ai bien peur que vous n’ayez une belle bosse.
-Je ne dois pas être jolie à voir.
-Je ne dirais pas ça non plus (Lincoln la regarde longuement sans rien dire et tente d’esquisser un compliment quand son portable sonne, il décroche, sauvé par le gong , il s’excuse et s’éloigne.
-Lincoln ! Enfin ! J’ai cru qu’il t’était arrivé quelque chose, ça fait trois fois que j’essaie de te joindre.
-Oui, désolé Sarah, j’étais légèrement occupé ces derniers temps. (Il se retourne pour regarder Catherina, pensive les deux mains derrière la nuque) J’ai d’ailleurs l’impression que maintenant c’est sur on va y arriver.
-Et bien c’est pareil pour moi. J’ai une excellente nouvelle voir même deux, tiens je te passe quelqu’un qui va t’expliquer tout ça.
-Papa…
-LJ ?!! Mais qu’est ce que…
-On est sur la route papa, Jane m’a emmené chez Sarah parce quelle avait des choses à faire. Et finalement, comme j’ai été innocenté et qu’elle a déjà plusieurs millions en poche… On serra à Panama City d’ici demain si on roule toute la nuit.
-….
-Papa ca va ?
-Oui oui c’est juste que… (complètement chamboulé, Lincoln s’assoie sur le comptoir de la cuisine et continue à parler, plié en deux pour ne pas se cogner au plafond) Soyez prudent hein ?
-T’inquiète Sarah conduit comme une mémé. Aouch ! (LJ a apparemment reçut une tape derrière la tête. (On entend Sarah parler à LJ). Tante Sarah demande comment va Michael.
-Dit lui que je l’ai vu et qu’il va… bien. Il se débrouille.
(Sarah à reprit son portable) -Il t’a dit qu’il comptait s’évader ?
-Sarah… j’ai bien peur que ce soit plus fort que lui.
-Tu lui as fait écouter le message?
-Oui.
-Qu’est ce qu’il a dit ?
-Qu’il t’aime.
-Il ne changera jamais.
-A qui le dis-tu…
-Il ne va pas bien n’est ce pas ?
-Mais si et je suis sur qu’il s’est fait plein d’amis, faut pas croire : c’est un garçon très sociable.
-Arrête Lincoln ce n’est pas drôle, toi et ton frère quand est’ ce que vous cesserez de toujours vouloir me protéger ?!! Je ne suis pas en sucre je peux très bien entendre que l’homme que j’aime est en train de mourir dans une foutue prison mexicaine !!
-Sarah, on ne t’a jamais considéré comme quelqu’un de faible. Mais comme quelqu’un de bien et d’assez honnête pour ne pas avoir été préparée à tout ce foutoir. Il n’est pas question qu’on te laisse devenir aussi blasée que nous et mon frère n’est pas en train de mourir. C’est vrai il ne va pas bien mais il a un avantage par rapport à la dernière foi.
-Quoi ? (Sarah est en train de pleurer)
-Cette foi ci quelqu’un l’attend dehors. »
Scène 5 : T Bag à Panama city
T-Bag marche dans la rue principale bondée, l’air triomphant, il se balance, un énorme sourire transforme son visage en une grimace terrifiante. Il fait craquer sa nuque, esquisse un pas de danse, sort un couteau, rentre dans une ruelle sombre. Il se glisse derrière un homme de deux fois sa taille et son poids, d’une main il l‘empêche de crier et de l‘autre, il le poignarde. T-Bag étend sa victime à terre et le traîne jusqu’ au fond de la ruelle, dans le noir. On le voit sortir de l’ombre quelque secondes plus tard, s’étirer et lancer une des photos de Michael sans yeux dans l’impasse. Il repart, content de lui.
Un des jumeaux apparaît, descendant d’un appartement par une échelle, il allume une lampe de poche et découvre le cadavre, choqué, il se retourne et marche sur la photo, il se penche et la ramasse. Il la regarde un instant, ouvre son téléphone portable avec sa main droite puis compose un numéro.
« Cat ? c’est fait.
- Bagwell ?
- Oui, il a eu notre appât, ton plan à marché.
- Très bien…
- Je ne comprend pas pourquoi tu veux contrôler ce malade.
- Il marche avec la compagnie parce que c’est elle la plus offrande. Mais bientôt nous entrerons dans la course et des types comme lui peuvent toujours servir. Continues à garder un œil sur lui et si il ne nous rejoint pas, à la seconde où Scofield sera dehors … tue le.
- Ça sera fait. »
Catherina raccroche, elle se redresse sur son lit, Lincoln est en train de dormir à plat ventre sur un canapé. Elle compose un autre numéro « Gabriel ? Comment tu vas mon cœur ?... » La suite ? Au prochain épisode bien sur !!! (double Épisode réalisé par la Indeed Team : auteur principal : J-Stray)
Alors ?
Scène 3 : SUCRE et PAOLO à Panama City dans l’église.
Paolo rentre dans l’église en tenant contre sa poitrine un dossier remplit de feuilles photocopiées. Il se dirige vers le font, s’arrête devant une petite porte, jette un coup d’œil à droite et à gauche puis entre dans la petite pièce où il cache Sucre.
Il jette le dossier sur la table de nuit à coté du lit où dort Sucre, qui se réveille en sursaut et regarde le Padre attraper une chaise pour s’assoir en face de lui avant de parler :
« C’est ce que vous m’avez demandé. (Il lui montre du doigt le dossier)
-La liste d’admission de ces dix derniers jours à SONA ? Comment vous l’avez eu ? (il prend le dossier avec autant de précaution que s’il s’agissait d’une bible.)
-Nous sommes en Amérique latine et ici pour peu que l’on soit prêtre rien ne nous est refusé.
(Il commence à lire et fronce les sourcils)
-C’est dans l’ordre des arrivées, les derniers au début, pas dans l’ordre Alphabétique.
Ahhh … d’accord … Le Padre lève les yeux au ciel et soupire.
Sucre lit en suivant les noms du doigt et s’arrête sur celui de Scofield, le relit plusieurs fois, écarquille les yeux, apparais surpris et peiné pendant 5 secondes puis sourit largement avec une lueur étrange dans les yeux. Il continue ensuite sa lecture et s’arrête sur le nom de Bellick.
Le Padre s’impatiente.
- Alors ?
-C’est parfait, un de mes amis y est aussi.
(Paolo le regarde, complètement sidéré)
-Ah mais non c’est pas ce que vous croyez ! Michael est un géni de l'évasion, je ne m’en fait pas pour lui, par contre il me permettra sûrement de contacter l’homme que je cherche. Vous êtes toujours prêt à m’aider ?
-Oui, malgré l’absurdité de votre histoire, j’aimerais tout de même en connaitre le dénouement.
-Merci mon père, parce que je vous préviens : ça va devenir de plus en plus absurde.
Scène 4 : Lincoln et Catherina dans la maison.
Catherina se réveille doucement dans une chambre vide où les meubles sont recouverts de draps blancs. Elle semble pourtant reconnaître l’endroit où elle se trouve, tente de se lever mais une violente douleur au ventre lui fait pousser une bordée de jurons espagnols (que l’on ne citera pas ici par respects pour les âmes sensibles et la force à rester allongée. Réveillé par le bruit, Lincoln sursaute et tombe de la chaise où il s’était laissé choir quelques heures auparavant. Catherina qui ne l’avait pas vu et qui le reconnait immédiatement éclate de rire malgré la douleur que cela lui procure. Lincoln, rouge comme un écolier, se lève comme si de rien était et attrape une bouteille d’eau en se dirigeant vers Catherina.
Il retire le drap sur une autre chaise en face du lit et s’assoie, Catherina se redresse et Lincoln l’aide à boire tout en lui parlant :
« Je sais que vous… enfin que vous auriez pu vous en tirer toute seule.
-Oui bien sur (Catherina qui a manqué de s’étouffer repousse la bouteille) grâce à ma paire d’aile et mon deuxième cœur, j’aurais carrément pu m’en sortir toute seule. Je ne suis pas votre frère Lincoln, pas la peine d’essayer de ménager mon égo. (Lincoln fronce les sourcils)Désolé de ne pas vous avoir reconnu plus tôt, j’ai pourtant travaillé sur votre affaire depuis votre évasion. Et aussi, désolé pour le coup de tête.
-Ah ! Ca ? Franchement ce n’est pas grave, j'ai l'habitude, par contre j’ai bien peur que vous n’ayez une belle bosse.
-Je ne dois pas être jolie à voir.
-Je ne dirais pas ça non plus (Lincoln la regarde longuement sans rien dire et tente d’esquisser un compliment quand son portable sonne, il décroche, sauvé par le gong , il s’excuse et s’éloigne.
-Lincoln ! Enfin ! J’ai cru qu’il t’était arrivé quelque chose, ça fait trois fois que j’essaie de te joindre.
-Oui, désolé Sarah, j’étais légèrement occupé ces derniers temps. (Il se retourne pour regarder Catherina, pensive les deux mains derrière la nuque) J’ai d’ailleurs l’impression que maintenant c’est sur on va y arriver.
-Et bien c’est pareil pour moi. J’ai une excellente nouvelle voir même deux, tiens je te passe quelqu’un qui va t’expliquer tout ça.
-Papa…
-LJ ?!! Mais qu’est ce que…
-On est sur la route papa, Jane m’a emmené chez Sarah parce quelle avait des choses à faire. Et finalement, comme j’ai été innocenté et qu’elle a déjà plusieurs millions en poche… On serra à Panama City d’ici demain si on roule toute la nuit.
-….
-Papa ca va ?
-Oui oui c’est juste que… (complètement chamboulé, Lincoln s’assoie sur le comptoir de la cuisine et continue à parler, plié en deux pour ne pas se cogner au plafond) Soyez prudent hein ?
-T’inquiète Sarah conduit comme une mémé. Aouch ! (LJ a apparemment reçut une tape derrière la tête. (On entend Sarah parler à LJ). Tante Sarah demande comment va Michael.
-Dit lui que je l’ai vu et qu’il va… bien. Il se débrouille.
(Sarah à reprit son portable) -Il t’a dit qu’il comptait s’évader ?
-Sarah… j’ai bien peur que ce soit plus fort que lui.
-Tu lui as fait écouter le message?
-Oui.
-Qu’est ce qu’il a dit ?
-Qu’il t’aime.
-Il ne changera jamais.
-A qui le dis-tu…
-Il ne va pas bien n’est ce pas ?
-Mais si et je suis sur qu’il s’est fait plein d’amis, faut pas croire : c’est un garçon très sociable.
-Arrête Lincoln ce n’est pas drôle, toi et ton frère quand est’ ce que vous cesserez de toujours vouloir me protéger ?!! Je ne suis pas en sucre je peux très bien entendre que l’homme que j’aime est en train de mourir dans une foutue prison mexicaine !!
-Sarah, on ne t’a jamais considéré comme quelqu’un de faible. Mais comme quelqu’un de bien et d’assez honnête pour ne pas avoir été préparée à tout ce foutoir. Il n’est pas question qu’on te laisse devenir aussi blasée que nous et mon frère n’est pas en train de mourir. C’est vrai il ne va pas bien mais il a un avantage par rapport à la dernière foi.
-Quoi ? (Sarah est en train de pleurer)
-Cette foi ci quelqu’un l’attend dehors. »
Scène 5 : T Bag à Panama city
T-Bag marche dans la rue principale bondée, l’air triomphant, il se balance, un énorme sourire transforme son visage en une grimace terrifiante. Il fait craquer sa nuque, esquisse un pas de danse, sort un couteau, rentre dans une ruelle sombre. Il se glisse derrière un homme de deux fois sa taille et son poids, d’une main il l‘empêche de crier et de l‘autre, il le poignarde. T-Bag étend sa victime à terre et le traîne jusqu’ au fond de la ruelle, dans le noir. On le voit sortir de l’ombre quelque secondes plus tard, s’étirer et lancer une des photos de Michael sans yeux dans l’impasse. Il repart, content de lui.
Un des jumeaux apparaît, descendant d’un appartement par une échelle, il allume une lampe de poche et découvre le cadavre, choqué, il se retourne et marche sur la photo, il se penche et la ramasse. Il la regarde un instant, ouvre son téléphone portable avec sa main droite puis compose un numéro.
« Cat ? c’est fait.
- Bagwell ?
- Oui, il a eu notre appât, ton plan à marché.
- Très bien…
- Je ne comprend pas pourquoi tu veux contrôler ce malade.
- Il marche avec la compagnie parce que c’est elle la plus offrande. Mais bientôt nous entrerons dans la course et des types comme lui peuvent toujours servir. Continues à garder un œil sur lui et si il ne nous rejoint pas, à la seconde où Scofield sera dehors … tue le.
- Ça sera fait. »
Catherina raccroche, elle se redresse sur son lit, Lincoln est en train de dormir à plat ventre sur un canapé. Elle compose un autre numéro « Gabriel ? Comment tu vas mon cœur ?... » La suite ? Au prochain épisode bien sur !!! (double Épisode réalisé par la Indeed Team : auteur principal : J-Stray)
Alors ?
Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Alors j'accroche toujours autant à cette histoire, c'est passionant!
Pauvre sara, elle s'inquiète pour Michael, et lui n'a en tête que l'idée de s'évader, mais s'il veut rester en vie, il doit le faire.
J'ai bien aimé la tête de lincoln quand il a eu Lj au téléphone, elle est super sara d'avoir pensé à l'amener a Panama city
J'attends la suite!!!!!!
Pauvre sara, elle s'inquiète pour Michael, et lui n'a en tête que l'idée de s'évader, mais s'il veut rester en vie, il doit le faire.
J'ai bien aimé la tête de lincoln quand il a eu Lj au téléphone, elle est super sara d'avoir pensé à l'amener a Panama city
J'attends la suite!!!!!!
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Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Voilà la suite pour toi !!
Episode 3 : Quand les ennuis commencent…
Scène 1 : Michael à SONA
Michael dort, en position fœtal sur un matelas défoncé, posé à même le sol. Il est réveillé en sursaut par des hurlements prés de sa cellule. « Mais enfin c’est qui ce type ? (Michael reconnait la voix du BOSS, il se lève difficilement et va jusqu’à la porte pour épier la conversation, il voit à travers les barreaux Manolo fouiller dans ses poches et y trouver une clé pour ouvrir la porte en face de lui).
- Mahone, je crois qu’il s’appelle comme ca. (Manolo a ouvert la porte)Il est arrivé en même temps que Scofield. Vous les aviez séparé à la sélection dans l’arène.
Flash back : juste après être entré dans l’arène, Michael se retrouve en face de Mahone, qui se jette sur lui. Pris par surprise et malgré sa hargne, Michael perd vite du terrain et se retrouve à terre. Au moment où Mahone va l’achever avec un couteau lancé du public, un projecteur s’allume pour que personne ne rate le spectacle. Il révèle le tatouage de Michael par la déchirure de son T-shirt. Le temps semble alors s’arrêter et tout ce que Michael voit avant de perdre connaissance, c’est l’ombre gigantesque du BOSS semblant lui tendre la main dans la lumière des projecteurs.
- Ah ouais… Saloperie d’américain, c’est vraiment les rois pour foutre le bordel. De toute façon… (Le BOSS continue à parler à Manolo mais il est entré dans la pièce et Michael ne l’entend plus. Manolo est resté à la porte refermée il fait le gué)
- Vous trouvez chef ? (on entend le BOSS déplacer des meubles)
- …
- Patron ? (Il se tourne vers la porte, qui s’ouvre brusquement sur le BOSS, deux fusils de maton dans les mains)
- Dis-moi Manolo, qui était chargé de ranger cette pièce ?
- Heu… Chad !
- C’est bien ce que je pensais…Et c’est pour ca que c’est toi qui avait la clef.
- …
- Demain, tu réunis tout le monde dans l’arène comme pour la sélection, une foi que tout le monde sera là, fais fermer les portes. Place toi avec Cid en haut des gradins et descends ZAO et son Amerloque( Américain en patois ) avant qu’ils se doutent de quoi que ce soit. Chad arrêtera ses partisans aux portes.(Il lui tend les fusils)
- Je savais que l’époque du « soumet toi ou crève » vous manquais patron.
- Détrompe toi, je suis vraiment désolé d’en arriver là mais il a fallut que ce crétin excite tout le monde avec nos plans d’évasion.
- C’est quand même bizzard. Comment il a su?
(Le BOSS se retourne vers la porte de la cellule de Michael, qui se baisse juste à temps pour ne pas être vu)
-Quelque chose me dit que la réponse n’est pas loin. »
Scène 2 : Lincoln et Catherina dans la maison
Lincoln est en train de retirer et plier les draps des meubles. Il arrange le salon, remet plusieurs objets à leurs places puis range le lit de Catherina. C’est un de ces lit qui, une fois pliés et redressés, s’encastrent dans un mur. Il entre dans chaque chambre pour vérifier que tout est en place. Il y a trois chambres en tout, avec des lits de deux places dans chacune d’entre elles. Il chantonne (une vrai petite fée du logis) époussette les étagères de la bibliothèque et prend un livre au hasard et l’ouvre, une cavité creusée dans le papier renferme un mini disque. Lincoln, surpris, referme le livre brutalement et le repose discrètement.
Il sursaute en entendant Catherina l’appeler :
« Linc ! Tu peux venir m’aider s’il te plaît ? » Et soupir de soulagement en voyant qu’elle n’est pas à coté de lui. Il pousse un peut le livre et vérifie qu’il dépasse bien comme les autres de l’étagère, avant de lui répondre :
« J’arrive ! »
Lincoln se dirige vers la salle de bain, ouvre la porte et se retourne, rouge comme une écrevisse, complètement sonné par ce qu’il vient de voir : Catherina en sous vêtements s’efforçant de bander son ventre à l’endroit, bleuit, où l’une de ses cotes est brisée. Catherina n’a pas remarqué que Lincoln lui tourne le dos et continue à lui parler :
« Tic et Tac ont pensé aux bandes mais pas au sparadrap, ce truc va me rendre folle!
-Tic et Tac ?
-Oui, les jumeaux : Tullio et… (elle se retourne et voit Lincoln, bloqué) Mais en fin qu’est ce que tu fais ?
-Heu… (il se retourne et s’efforce de regarder Catherina dans les yeux) Qu’est’ ce que… Tu…
-Mets ton doigt là. (elle montre l’extrémité de la bande sur son ventre, celle qu’elle n’arrive pas à maintenir pour pouvoir enrouler le reste. L’hésitation de Lincoln tôt fait de l’énerver elle lui prend la main et la pose à l’endroit voulut) Ne bouge plus. »
Lincoln suis des yeux les mains de Catherina répétant un geste qu’elle semble avoir souvent accomplit auparavant. Une fois qu’elle a fini, Lincoln retire sa main avec douceur et commence à partir. Catherina le rattrape par la manche :
« Ca te dérange de m’aider à mettre mon pantalon ? J’ai vraiment du mal à me baisser. -Non, non » Il attrape le pantalon en toile beige que lui tend Catherina.
Elle se hisse sur le meuble soutenant les vasques pour s’asseoir entres les deux lavabos. Lincoln déplie le pantalon d’un geste tranquille et appliqué. Il glisse les pieds de Catherina dans l’ouverture du pantalon et le remonte jusqu’au rebord du meuble, elle pose alors ces mains sur ses épaules et se laisse glisser à terre.
Pendant quelques secondes, le visage de Catherina est appuyé contre l’épaule de Lincoln (ah oui je ne vous avez pas dit que Catherina est très petite ? dsl) et ses mains sont toujours sur ses hanches. Puis Catherina semble se réveiller de la torpeur dans laquelle l’a plongée la promiscuité avec Lincoln et s’écarte brutalement de lui, refermant son pantalon. Elle prend sa chemise et l’enfile tellement vite qu’elle se fait mal, elle murmure un pauvre « merci » à Lincoln, tout en grimaçant de douleur.
« De rien », la réponse est si enjôleuse que Catherina, s’empresse de refermer la porte de la salle de bain derrière Lincoln pour ne pas succomber à la tension qui règne entre eux.
Catherina passe sa main dans ses cheveux nerveusement, se mord la lèvre et essuie une larme silencieuse avant de sortir a son tour de la pièce.
Alors la suite ?
Episode 3 : Quand les ennuis commencent…
Scène 1 : Michael à SONA
Michael dort, en position fœtal sur un matelas défoncé, posé à même le sol. Il est réveillé en sursaut par des hurlements prés de sa cellule. « Mais enfin c’est qui ce type ? (Michael reconnait la voix du BOSS, il se lève difficilement et va jusqu’à la porte pour épier la conversation, il voit à travers les barreaux Manolo fouiller dans ses poches et y trouver une clé pour ouvrir la porte en face de lui).
- Mahone, je crois qu’il s’appelle comme ca. (Manolo a ouvert la porte)Il est arrivé en même temps que Scofield. Vous les aviez séparé à la sélection dans l’arène.
Flash back : juste après être entré dans l’arène, Michael se retrouve en face de Mahone, qui se jette sur lui. Pris par surprise et malgré sa hargne, Michael perd vite du terrain et se retrouve à terre. Au moment où Mahone va l’achever avec un couteau lancé du public, un projecteur s’allume pour que personne ne rate le spectacle. Il révèle le tatouage de Michael par la déchirure de son T-shirt. Le temps semble alors s’arrêter et tout ce que Michael voit avant de perdre connaissance, c’est l’ombre gigantesque du BOSS semblant lui tendre la main dans la lumière des projecteurs.
- Ah ouais… Saloperie d’américain, c’est vraiment les rois pour foutre le bordel. De toute façon… (Le BOSS continue à parler à Manolo mais il est entré dans la pièce et Michael ne l’entend plus. Manolo est resté à la porte refermée il fait le gué)
- Vous trouvez chef ? (on entend le BOSS déplacer des meubles)
- …
- Patron ? (Il se tourne vers la porte, qui s’ouvre brusquement sur le BOSS, deux fusils de maton dans les mains)
- Dis-moi Manolo, qui était chargé de ranger cette pièce ?
- Heu… Chad !
- C’est bien ce que je pensais…Et c’est pour ca que c’est toi qui avait la clef.
- …
- Demain, tu réunis tout le monde dans l’arène comme pour la sélection, une foi que tout le monde sera là, fais fermer les portes. Place toi avec Cid en haut des gradins et descends ZAO et son Amerloque( Américain en patois ) avant qu’ils se doutent de quoi que ce soit. Chad arrêtera ses partisans aux portes.(Il lui tend les fusils)
- Je savais que l’époque du « soumet toi ou crève » vous manquais patron.
- Détrompe toi, je suis vraiment désolé d’en arriver là mais il a fallut que ce crétin excite tout le monde avec nos plans d’évasion.
- C’est quand même bizzard. Comment il a su?
(Le BOSS se retourne vers la porte de la cellule de Michael, qui se baisse juste à temps pour ne pas être vu)
-Quelque chose me dit que la réponse n’est pas loin. »
Scène 2 : Lincoln et Catherina dans la maison
Lincoln est en train de retirer et plier les draps des meubles. Il arrange le salon, remet plusieurs objets à leurs places puis range le lit de Catherina. C’est un de ces lit qui, une fois pliés et redressés, s’encastrent dans un mur. Il entre dans chaque chambre pour vérifier que tout est en place. Il y a trois chambres en tout, avec des lits de deux places dans chacune d’entre elles. Il chantonne (une vrai petite fée du logis) époussette les étagères de la bibliothèque et prend un livre au hasard et l’ouvre, une cavité creusée dans le papier renferme un mini disque. Lincoln, surpris, referme le livre brutalement et le repose discrètement.
Il sursaute en entendant Catherina l’appeler :
« Linc ! Tu peux venir m’aider s’il te plaît ? » Et soupir de soulagement en voyant qu’elle n’est pas à coté de lui. Il pousse un peut le livre et vérifie qu’il dépasse bien comme les autres de l’étagère, avant de lui répondre :
« J’arrive ! »
Lincoln se dirige vers la salle de bain, ouvre la porte et se retourne, rouge comme une écrevisse, complètement sonné par ce qu’il vient de voir : Catherina en sous vêtements s’efforçant de bander son ventre à l’endroit, bleuit, où l’une de ses cotes est brisée. Catherina n’a pas remarqué que Lincoln lui tourne le dos et continue à lui parler :
« Tic et Tac ont pensé aux bandes mais pas au sparadrap, ce truc va me rendre folle!
-Tic et Tac ?
-Oui, les jumeaux : Tullio et… (elle se retourne et voit Lincoln, bloqué) Mais en fin qu’est ce que tu fais ?
-Heu… (il se retourne et s’efforce de regarder Catherina dans les yeux) Qu’est’ ce que… Tu…
-Mets ton doigt là. (elle montre l’extrémité de la bande sur son ventre, celle qu’elle n’arrive pas à maintenir pour pouvoir enrouler le reste. L’hésitation de Lincoln tôt fait de l’énerver elle lui prend la main et la pose à l’endroit voulut) Ne bouge plus. »
Lincoln suis des yeux les mains de Catherina répétant un geste qu’elle semble avoir souvent accomplit auparavant. Une fois qu’elle a fini, Lincoln retire sa main avec douceur et commence à partir. Catherina le rattrape par la manche :
« Ca te dérange de m’aider à mettre mon pantalon ? J’ai vraiment du mal à me baisser. -Non, non » Il attrape le pantalon en toile beige que lui tend Catherina.
Elle se hisse sur le meuble soutenant les vasques pour s’asseoir entres les deux lavabos. Lincoln déplie le pantalon d’un geste tranquille et appliqué. Il glisse les pieds de Catherina dans l’ouverture du pantalon et le remonte jusqu’au rebord du meuble, elle pose alors ces mains sur ses épaules et se laisse glisser à terre.
Pendant quelques secondes, le visage de Catherina est appuyé contre l’épaule de Lincoln (ah oui je ne vous avez pas dit que Catherina est très petite ? dsl) et ses mains sont toujours sur ses hanches. Puis Catherina semble se réveiller de la torpeur dans laquelle l’a plongée la promiscuité avec Lincoln et s’écarte brutalement de lui, refermant son pantalon. Elle prend sa chemise et l’enfile tellement vite qu’elle se fait mal, elle murmure un pauvre « merci » à Lincoln, tout en grimaçant de douleur.
« De rien », la réponse est si enjôleuse que Catherina, s’empresse de refermer la porte de la salle de bain derrière Lincoln pour ne pas succomber à la tension qui règne entre eux.
Catherina passe sa main dans ses cheveux nerveusement, se mord la lèvre et essuie une larme silencieuse avant de sortir a son tour de la pièce.
Alors la suite ?
Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Vite une suite!!!!!!
La ccène de Catherina et Lincoln dans la salle de bain était trop belle!!!
La ccène de Catherina et Lincoln dans la salle de bain était trop belle!!!
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Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Vite une suite ? ok !!! Voilà
Épisode 3 : Quand les ennuis commencent…
Scène 3 : T Bag à Panama city
T-Bag, toujours aussi joyeux, s’apprête à accomplir un nouveau forfait, il siffle allégrement et rentre dans une ruelle tout en retirant son couteau de sa ceinture mais s’arrête subitement face à l’étrange tableau qui s’offre à lui : Deux hommes en costume bleu sont en train de prendre le thé au fond de l’impasse sombre et franchement dégoûtante.
Assis à une table de bar en fer, l’un d’eux semble absorbé par la lecture d’un journal tandis que l’autre tend une tasse du breuvage caramel à T-Bag, l’invitant à s’asseoir. T-Bag reste immobile et interdit un moment ,puis finit par s’asseoir en face de l’homme au journal. Il lève alors les yeux de l’ouvrage comme si il venait de remarquer sa présence, et le pose tranquillement sur la table, dévoilant ainsi son visage, identique à celui de l’autre homme. Tullio sourit alors à T-Bag, surpris, et montre du doigt un article relatant les circonstances du meurtre commis précédemment avant de lui parler « voila un excellent travail monsieur Bagwell
- … (il se tortille sur sa chaise)
- Oui, c’en est presque dommage qu’il ne s’agisse que d’un leurre.
- Quoi ? (T-Bag laisse échapper cette expression dans un glapissement hystérique)
- Des explications vous seront données en temps voulu mais pour l’instant auriez vous l’extrême amabilité de poser ceci ? (Tullio désigne le couteau que T-Bag tient toujours dans sa main, crispée. Il s’exécute l’air penaud. Parfait. (Tullio reprend son journal et recommence à le lire comme si de rien était, laissant son frère prendre la parole)
- Nous avons une proposition des plus alléchantes à vous faire.
- Je vous écoute. (T-Bag se redresse sur sa chaise, les deux mains sur la table, apparemment décidé à ne pas perdre une miette du discours de son interlocuteur)
- Que diriez-vous si nous vous donnions les moyens d’être dans le camp des gagnants ?
- Vous ne me proposez pas plutôt d’être dans le camp des gentils ? Je suis déçu, je vous prenais pour l’Indepandancia.
- Et c’est pourtant ce que nous sommes, mais nous ne parlons pas ici de moral mais bien de business. Et ce n’est pas vain espoir de dire que la compagnie est finie et qu’ainsi nous représentons votre seule alternative.
- Qu’est’ ce que ma seule alternative a à m’offrir ?
- Liberté et cash rien de plus ni de moins. Je sais que vous comptez sur le fait de pouvoir supprimer Scofield vous-même mais pour eux comme pour nous ce garçon à trop de valeur. Il faudra vous y faire : ils ne vous le donneront jamais.
- Oh ! Je suis surpris m’aurait ‘on menti ? (T-Bag jette un regard glacial à Tonio)
- En contrepartie vous nous renseigneriez sur les agissements de la compagnie et en particulier sur les commendes qu’ils vous font. (Il ne se laisse pas démonter et montre à T-Bag qu’il n’a pas peur de lui)
- Tout ceci me parait honnête. A qui doi’je rendre de compte ?
- Au big boss de l’opération (il lui tend une carte blanche ne contenant qu’un seul numéro) Vous n’appellerez Mademoiselle Knox qu’en étant sur de vos renseignements et uniquement entre 14h et minuit.
- Pourquoi ? vous avez un problème de sécurisation de vos lignes ?
- Non… Elle n’est juste vraiment pas du matin » Posté
Scène 4 : Michael à SONA
Il fait jour, Michael fait les cents pas dans sa cellule, puis la porte s’ouvre et il manque de mourir de surprise : Mahone se tient devant lui, un sourire jusqu’aux oreilles alors que Manolo le tient par le col. Michael s’assoie sur la table pour accuser le coup, il est complètement perdu, entre colère et incompréhension. Manolo jette Mahone dans la cellule :
« Je vous laisse vous avez sûrement pleins de choses à vous dire. Et évitez de vous entretuer » Il sort et referme la porte à clef derrière lui.
Mahone regarde les murs de la cellule de la même façon que si il était dans un musé, il la parcours de long en large toujours souriant avant de se tourner pour parler à Michael :
« Tes amis ne sont pas très malins Scofield. Non mais franchement ! Penser que j’allais tomber dans un piège aussi stupide ! (il éclate de rire, Michael enfonce ses ongles dans la table pour ne pas le frapper) Zao par contre… (Son sourire est horrible, il le défie du regard et Michael se contient tellement qu’il devient complètement rouge, ses mains se crispent comme des serres sur la table). Ton BOSS à l’air de vouloir que les grands esprits se rencontrent et ça ma pas l’air trop mal ici (Il s’assoie sur le lit faisant mine de le tester) Je crois qu’on va bien s’amuser tout les deux. »
Il reste silencieux un moment, il semble chercher de quoi pousser Michael à bout puis il finit par trouver :
« J’ais cru comprendre que ta copine ne venait pas te voir. En même temps, je la comprends, ça doit être difficile de serrer les cuisses en t’attendant. »
Cette fois ci, Michael n’en peut plus, Il se jette sur Mahone toutes griffes dehors lui assénant coup sur coup mais une main vient le soulever de terre et le coller contre le mur avec tellement de violence qu’il s’assomme, à demi conscient ,il se laisse tomber relevant la tête vers la masse immense qui lui fait face. Le BOSS s’accroupit alors pour le regarder dans les yeux, tandis que Manolo aide Mahone à se relever.
Le BOSS colle son front contre celui de Michael et chuchote a son oreille :
« Tu recommences ça : je te tue ». Ces yeux sont catégoriques et froid. Michael déglutit lentement, les dents tellement serrées que sa mâchoire est prête à exploser. Il hoche la tête avant de l’enfouir dans ses mains complètement abattu. Le BOSS se relève et tend la main à Mahone qui la serre allégrement : « Bienvenue parmi nous monsieur Mahone, je pense qu’un peu de compétition ne peut pas faire de mal a notre petit géni .
- Trop tard ; j’ai déjà tracé un itinéraire mais j’ai toujours besoin de savoir ce que sont ces points et ronds. (La voix éraillée provenait du petit tas désolé que produisait Michael avachis contre le mur.)
- Et bien voyons voir ça… (Mahone se dirige vers le plan l’air triomphant, mais il déchante rapidement car lui non plus n’arrive pas à trouver un sens aux marques.)
- Et bien on dirait que ses plans ont été conçus par quelqu’un de plus intelligent que vous deux réunis (Le BOSS à une lueur maligne dans les yeux) Ne vous en faites pas pour ça maintenant que tout est réglé, vous pourrez aller et venir comme bon vous semble. » Il sort sans refermer la porte cette fois ci suivi par Manolo.
Mahone reste penché sur le plan et Michael entoure ses jambes pliées avec ses bras posant sa tête sur ses genoux pour mieux le regarder, ses yeux ne sont désormais plus bleus mais noir.
Envoyé/
Scéne5 : Lincoln et Catherina dans la maison de l’indepandancia
Lincoln tourne en rond en regardant sa montre tandis que Catherina semble désespérée au téléphone : «No… no ! Hijo de… Juan cailla te !... No es mi problema!... hace lo que... » Elle a apparemment été coupée, elle soupire et raccroche au nez de son interlocuteur .Elle n’est pas énervée, juste préoccupée, Catherina se laisse tomber dans un canapé :
« arrête Lincoln tu me donnes le tournis.
- Je suis désolé (il s’assoie à coté d’elle) Ils devraient déjà être la.
- Ne t’inquiètes pas, des amis les ont vu passer la frontière. (Lincoln reste pourtant inquiet) T’es vraiment un gros nounours. T’as l’air imposant comme ça mais en fait t’est pas bien méchant. (elle lui sourit)
- Je dois prendre ça comme un compliment ?
- Si tu veux… »Il pose sa main sur les siennes essayant de capter son regard mais elle détourne le sien et mordille ses lèvres. Au moment où elle va tenter de lui expliquer pourquoi elle ne peut pas lui succomber, un bruit de moteur se fait entendre.
Lincoln se lève d’un bond lâchant ainsi la main de Catherina, il la regarde avec douceur les sourcils froncés. Elle se lève à son tour comme pour lui donner la permission d’aller accueillir son fils ce dont il ne se prive pas. Lincoln court comme un dératé et attrape son fils au vol le serrant contre lui, LJ bat des pieds dans le vide en riant. Tandis que Sarah descend de la voiture, elle a l’air fatiguée et triste mais sourit tout de même à la vue des retrouvailles.
Catherina reste un moment sur le perron, pensive, elle frotte ses bras avec ses mains (droites et gauches lol) comme si elle avait froid. Lincoln lâche enfin son fils pour saluer Sarah :
« Je suis désolé .
- Moi aussi (elle vient se réfugier spontanément dans ses bras) J’ai tellement peur…
- Je sais… Mais on va le sortir de là. (il se sépare d’elle tenant son visage entre ses mains) Il faut garder la foi Sarah, on est tout ce qui lui reste.»
Sarah hoche la tète avec un faible sourire avant d’aller ouvrir le coffre, il est plein à craquer. Puis LJ commence à jouer à son jeux préféré qui consiste a mettre le plus de choses dans les bras de son père et à s’évertuer ensuite à les faire tomber.
« Mais ma parole Sarah, tu as pris tout ton appartement ou quoi ?
- Tu n’es pas une fille, tu ne peux pas comprendre (Catherina s’est enfin décidée à les rejoindre) Je suis Catherina, Jane vous a sûrement parlé de moi. (elle tend la main à Sarah)
- Oui.
- Alors ne croyez rien de ce qu’elle vous a dit (elle prend un air mystérieux)
- (elle éclate de rire) c’est vrai que je vous imaginais plus comme un gros monstre vert que comme une jolie fille.
- Merci du compliment. Il faudra que je dise à Jane d’arrêter de me compare à Hulk ça devient vexant.
- LJ dis bonjours à la dame (Lincoln rattrape son fils qui commençait à partir explorer la maison)
- Lut ! Vous avez la télé ?
- LJ !
- Ouais , et si tu es sage, je te laisserais jouer avec la Wii.
- … (LJ est devenu tout blanc)
- Je crois que tu as prononcé le mot magique. Tu n’es pas un peu vielle pour jouer à ça ?
- Elle n’est pas à moi (elle recommence à se mordiller la lèvre) Sarah je ne vous propose pas de visiter les lieux, j’ai malheureusement des choses à faire mais Lincoln se chargera de vous montrer la salle de bain.
- Oh merci, je n’osais pas vous demander.
- Je vous en pris, vous êtes ici chez vous. »
Lincoln rentre dans la maison, chargé comme un mulet et finit par tout faire tomber dans l’entrée, suivit par Sarah qui ramasse consciencieusement ses affaires au fur et à mesure qu’elles tombent. LJ est derrière elle, fière d’avoir encore gagné à son propre jeu.
Catherina est resté dehors, à nouveaux pendu à son téléphone, mais elle n’a pas vu que Lincoln est ressorti par derrière pour fumer une cigarette en cachette. Quand il la voit il se glisse discrètement derrière elle et l’entend finir sa conversation :
« Te quiero Gaby, te quiero… » Elle raccroche, la mort dans l’âme. Lincoln rebrousse chemin discrètement les yeux baissés et hochant la tête comme si une seule pensée s’offrait à lui :
« t’es vraiment trop con, mignonne comme elle est, évidement qu’elle a un mec ! » Il va s’asseoir sur la plage, dépité.
Quelques instants plus tard, Catherina vient le rejoindre, elle s’assoie à coté de lui et tire sur la cigarette qu’il lui tend tout en maintenant une distance de sécurité avec elle. La suite ? Au prochain épisode bien sur
Alors ? toujours la suite ??
Épisode 3 : Quand les ennuis commencent…
Scène 3 : T Bag à Panama city
T-Bag, toujours aussi joyeux, s’apprête à accomplir un nouveau forfait, il siffle allégrement et rentre dans une ruelle tout en retirant son couteau de sa ceinture mais s’arrête subitement face à l’étrange tableau qui s’offre à lui : Deux hommes en costume bleu sont en train de prendre le thé au fond de l’impasse sombre et franchement dégoûtante.
Assis à une table de bar en fer, l’un d’eux semble absorbé par la lecture d’un journal tandis que l’autre tend une tasse du breuvage caramel à T-Bag, l’invitant à s’asseoir. T-Bag reste immobile et interdit un moment ,puis finit par s’asseoir en face de l’homme au journal. Il lève alors les yeux de l’ouvrage comme si il venait de remarquer sa présence, et le pose tranquillement sur la table, dévoilant ainsi son visage, identique à celui de l’autre homme. Tullio sourit alors à T-Bag, surpris, et montre du doigt un article relatant les circonstances du meurtre commis précédemment avant de lui parler « voila un excellent travail monsieur Bagwell
- … (il se tortille sur sa chaise)
- Oui, c’en est presque dommage qu’il ne s’agisse que d’un leurre.
- Quoi ? (T-Bag laisse échapper cette expression dans un glapissement hystérique)
- Des explications vous seront données en temps voulu mais pour l’instant auriez vous l’extrême amabilité de poser ceci ? (Tullio désigne le couteau que T-Bag tient toujours dans sa main, crispée. Il s’exécute l’air penaud. Parfait. (Tullio reprend son journal et recommence à le lire comme si de rien était, laissant son frère prendre la parole)
- Nous avons une proposition des plus alléchantes à vous faire.
- Je vous écoute. (T-Bag se redresse sur sa chaise, les deux mains sur la table, apparemment décidé à ne pas perdre une miette du discours de son interlocuteur)
- Que diriez-vous si nous vous donnions les moyens d’être dans le camp des gagnants ?
- Vous ne me proposez pas plutôt d’être dans le camp des gentils ? Je suis déçu, je vous prenais pour l’Indepandancia.
- Et c’est pourtant ce que nous sommes, mais nous ne parlons pas ici de moral mais bien de business. Et ce n’est pas vain espoir de dire que la compagnie est finie et qu’ainsi nous représentons votre seule alternative.
- Qu’est’ ce que ma seule alternative a à m’offrir ?
- Liberté et cash rien de plus ni de moins. Je sais que vous comptez sur le fait de pouvoir supprimer Scofield vous-même mais pour eux comme pour nous ce garçon à trop de valeur. Il faudra vous y faire : ils ne vous le donneront jamais.
- Oh ! Je suis surpris m’aurait ‘on menti ? (T-Bag jette un regard glacial à Tonio)
- En contrepartie vous nous renseigneriez sur les agissements de la compagnie et en particulier sur les commendes qu’ils vous font. (Il ne se laisse pas démonter et montre à T-Bag qu’il n’a pas peur de lui)
- Tout ceci me parait honnête. A qui doi’je rendre de compte ?
- Au big boss de l’opération (il lui tend une carte blanche ne contenant qu’un seul numéro) Vous n’appellerez Mademoiselle Knox qu’en étant sur de vos renseignements et uniquement entre 14h et minuit.
- Pourquoi ? vous avez un problème de sécurisation de vos lignes ?
- Non… Elle n’est juste vraiment pas du matin » Posté
Scène 4 : Michael à SONA
Il fait jour, Michael fait les cents pas dans sa cellule, puis la porte s’ouvre et il manque de mourir de surprise : Mahone se tient devant lui, un sourire jusqu’aux oreilles alors que Manolo le tient par le col. Michael s’assoie sur la table pour accuser le coup, il est complètement perdu, entre colère et incompréhension. Manolo jette Mahone dans la cellule :
« Je vous laisse vous avez sûrement pleins de choses à vous dire. Et évitez de vous entretuer » Il sort et referme la porte à clef derrière lui.
Mahone regarde les murs de la cellule de la même façon que si il était dans un musé, il la parcours de long en large toujours souriant avant de se tourner pour parler à Michael :
« Tes amis ne sont pas très malins Scofield. Non mais franchement ! Penser que j’allais tomber dans un piège aussi stupide ! (il éclate de rire, Michael enfonce ses ongles dans la table pour ne pas le frapper) Zao par contre… (Son sourire est horrible, il le défie du regard et Michael se contient tellement qu’il devient complètement rouge, ses mains se crispent comme des serres sur la table). Ton BOSS à l’air de vouloir que les grands esprits se rencontrent et ça ma pas l’air trop mal ici (Il s’assoie sur le lit faisant mine de le tester) Je crois qu’on va bien s’amuser tout les deux. »
Il reste silencieux un moment, il semble chercher de quoi pousser Michael à bout puis il finit par trouver :
« J’ais cru comprendre que ta copine ne venait pas te voir. En même temps, je la comprends, ça doit être difficile de serrer les cuisses en t’attendant. »
Cette fois ci, Michael n’en peut plus, Il se jette sur Mahone toutes griffes dehors lui assénant coup sur coup mais une main vient le soulever de terre et le coller contre le mur avec tellement de violence qu’il s’assomme, à demi conscient ,il se laisse tomber relevant la tête vers la masse immense qui lui fait face. Le BOSS s’accroupit alors pour le regarder dans les yeux, tandis que Manolo aide Mahone à se relever.
Le BOSS colle son front contre celui de Michael et chuchote a son oreille :
« Tu recommences ça : je te tue ». Ces yeux sont catégoriques et froid. Michael déglutit lentement, les dents tellement serrées que sa mâchoire est prête à exploser. Il hoche la tête avant de l’enfouir dans ses mains complètement abattu. Le BOSS se relève et tend la main à Mahone qui la serre allégrement : « Bienvenue parmi nous monsieur Mahone, je pense qu’un peu de compétition ne peut pas faire de mal a notre petit géni .
- Trop tard ; j’ai déjà tracé un itinéraire mais j’ai toujours besoin de savoir ce que sont ces points et ronds. (La voix éraillée provenait du petit tas désolé que produisait Michael avachis contre le mur.)
- Et bien voyons voir ça… (Mahone se dirige vers le plan l’air triomphant, mais il déchante rapidement car lui non plus n’arrive pas à trouver un sens aux marques.)
- Et bien on dirait que ses plans ont été conçus par quelqu’un de plus intelligent que vous deux réunis (Le BOSS à une lueur maligne dans les yeux) Ne vous en faites pas pour ça maintenant que tout est réglé, vous pourrez aller et venir comme bon vous semble. » Il sort sans refermer la porte cette fois ci suivi par Manolo.
Mahone reste penché sur le plan et Michael entoure ses jambes pliées avec ses bras posant sa tête sur ses genoux pour mieux le regarder, ses yeux ne sont désormais plus bleus mais noir.
Envoyé/
Scéne5 : Lincoln et Catherina dans la maison de l’indepandancia
Lincoln tourne en rond en regardant sa montre tandis que Catherina semble désespérée au téléphone : «No… no ! Hijo de… Juan cailla te !... No es mi problema!... hace lo que... » Elle a apparemment été coupée, elle soupire et raccroche au nez de son interlocuteur .Elle n’est pas énervée, juste préoccupée, Catherina se laisse tomber dans un canapé :
« arrête Lincoln tu me donnes le tournis.
- Je suis désolé (il s’assoie à coté d’elle) Ils devraient déjà être la.
- Ne t’inquiètes pas, des amis les ont vu passer la frontière. (Lincoln reste pourtant inquiet) T’es vraiment un gros nounours. T’as l’air imposant comme ça mais en fait t’est pas bien méchant. (elle lui sourit)
- Je dois prendre ça comme un compliment ?
- Si tu veux… »Il pose sa main sur les siennes essayant de capter son regard mais elle détourne le sien et mordille ses lèvres. Au moment où elle va tenter de lui expliquer pourquoi elle ne peut pas lui succomber, un bruit de moteur se fait entendre.
Lincoln se lève d’un bond lâchant ainsi la main de Catherina, il la regarde avec douceur les sourcils froncés. Elle se lève à son tour comme pour lui donner la permission d’aller accueillir son fils ce dont il ne se prive pas. Lincoln court comme un dératé et attrape son fils au vol le serrant contre lui, LJ bat des pieds dans le vide en riant. Tandis que Sarah descend de la voiture, elle a l’air fatiguée et triste mais sourit tout de même à la vue des retrouvailles.
Catherina reste un moment sur le perron, pensive, elle frotte ses bras avec ses mains (droites et gauches lol) comme si elle avait froid. Lincoln lâche enfin son fils pour saluer Sarah :
« Je suis désolé .
- Moi aussi (elle vient se réfugier spontanément dans ses bras) J’ai tellement peur…
- Je sais… Mais on va le sortir de là. (il se sépare d’elle tenant son visage entre ses mains) Il faut garder la foi Sarah, on est tout ce qui lui reste.»
Sarah hoche la tète avec un faible sourire avant d’aller ouvrir le coffre, il est plein à craquer. Puis LJ commence à jouer à son jeux préféré qui consiste a mettre le plus de choses dans les bras de son père et à s’évertuer ensuite à les faire tomber.
« Mais ma parole Sarah, tu as pris tout ton appartement ou quoi ?
- Tu n’es pas une fille, tu ne peux pas comprendre (Catherina s’est enfin décidée à les rejoindre) Je suis Catherina, Jane vous a sûrement parlé de moi. (elle tend la main à Sarah)
- Oui.
- Alors ne croyez rien de ce qu’elle vous a dit (elle prend un air mystérieux)
- (elle éclate de rire) c’est vrai que je vous imaginais plus comme un gros monstre vert que comme une jolie fille.
- Merci du compliment. Il faudra que je dise à Jane d’arrêter de me compare à Hulk ça devient vexant.
- LJ dis bonjours à la dame (Lincoln rattrape son fils qui commençait à partir explorer la maison)
- Lut ! Vous avez la télé ?
- LJ !
- Ouais , et si tu es sage, je te laisserais jouer avec la Wii.
- … (LJ est devenu tout blanc)
- Je crois que tu as prononcé le mot magique. Tu n’es pas un peu vielle pour jouer à ça ?
- Elle n’est pas à moi (elle recommence à se mordiller la lèvre) Sarah je ne vous propose pas de visiter les lieux, j’ai malheureusement des choses à faire mais Lincoln se chargera de vous montrer la salle de bain.
- Oh merci, je n’osais pas vous demander.
- Je vous en pris, vous êtes ici chez vous. »
Lincoln rentre dans la maison, chargé comme un mulet et finit par tout faire tomber dans l’entrée, suivit par Sarah qui ramasse consciencieusement ses affaires au fur et à mesure qu’elles tombent. LJ est derrière elle, fière d’avoir encore gagné à son propre jeu.
Catherina est resté dehors, à nouveaux pendu à son téléphone, mais elle n’a pas vu que Lincoln est ressorti par derrière pour fumer une cigarette en cachette. Quand il la voit il se glisse discrètement derrière elle et l’entend finir sa conversation :
« Te quiero Gaby, te quiero… » Elle raccroche, la mort dans l’âme. Lincoln rebrousse chemin discrètement les yeux baissés et hochant la tête comme si une seule pensée s’offrait à lui :
« t’es vraiment trop con, mignonne comme elle est, évidement qu’elle a un mec ! » Il va s’asseoir sur la plage, dépité.
Quelques instants plus tard, Catherina vient le rejoindre, elle s’assoie à coté de lui et tire sur la cigarette qu’il lui tend tout en maintenant une distance de sécurité avec elle. La suite ? Au prochain épisode bien sur
Alors ? toujours la suite ??
Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
On veut la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Pauvre lincoln, il soit être tout triste après avoir entendu christina parler au Teléphone.
Pauvre lincoln, il soit être tout triste après avoir entendu christina parler au Teléphone.
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Voilà la suite ...
Episode 4 : Entre silence et vérité.
Scène 1 : Michael à SONA
Michael se réveille, il est toujours avachit contre le mur, il se masse l’arrière de la tête à l’endroit ou il s’est cogné la veille puis tente de se lever mais a des difficultés. Quand il finit par se lever, il ne peut plus regarder autre chose que ses mains tremblantes et plus blanches que jamais puis il se tord en deux de douleur et se retient de hurler, il vacille et commence à perdre conscience.
Chad le secoue violement et lui fiche quelque claques :
« Mickey !! Eh !! Reste avec moi ! ça fait combien de temps que t’as rien avalé ?
- Trois peut être quatre jours…
- Et ben… (il sort une barre de céréales de sa poche et la fourre dans la bouche de Michael qui s’empresse de l’avaler) Doucement ! On dirait une chèvre !
- Merci… » Chad lui donne une autre barre, et l’aide à marcher jusqu’à la cour où les hommes du BOSS organisent la distribution de nourriture. Il s’agit de rations militaires : Barres de céréales, chocolat, cigarettes… (tout ce dont on a besoin pour survivre
Michael aperçoit une toile de parachute accrochée à une caisse, il y en a plusieurs disséminées dans la cour.
« Ouais je sais… ma mère à moi aussi me disait que la nourriture ne tombait pas du ciel. Mais ici, ça arrive une fois par semaine. (Michael se dirige vers le groupe de gens attroupé autour de Manolo) T’inquiètes, j’ai déjà mit ta part de coté.
- Pourquoi ?
- Pourquoi quoi ?
- Pourquoi tu t’occupes toujours de moi comme ça ? Et ce depuis le début ?
- Disons que… (Chad cherche un mensonge) Tu me plais bien. Et puis c’est toi qui va nous sortir de là alors… (Michael ne l’écoute plus, il regarde intensément autour de lui) Quoi ?
- Mahone ?
- Il s’occupe des points.
- De mieux en mieux…
- De quoi tu te pleins ? T’est toujours en vie que je sache ! » Le regard de Chad a changé, il n’est plus compatissant mais brutal et froid, il soupire et s’éloigne.
Michael erre quelques temps dans la cour, l’air désœuvré. Puis il fait la pire rencontre qu’il puisse imaginer : Bellick. Il ne l’avait pas vu depuis ce soir la quand il est arrivé à SONA il se remémore d’ailleurs la scène (mais si ! souvenez vous ! a la fin de la saison deux lol). Bellick est en train de rosser un jeune garçon pour une sombre histoire de vol de chocolat. Michael ne peut pas s’en empêcher et même si il est encore faible, il court aider le jeune panaméen sans se rendre compte que Bellick n’était pas tout seul, mais accompagné de deux autres américains.
La lutte est brève et grâce à l’aide de Cid et Manolo, venu clore le débat, Michael ne s’en sort qu’avec le nez et l’arcade cassé. Le gamin que Michael vient de sauver a environ 16 ans, il porte un blouson en cuir avec au dos inscrit : Mac Grady. Manolo pose ses mains sur ses hanches et regarde Michael, l’air désespéré :
« Michael… » Il tente de lui faire la morale mais le gamin l’interrompt :
- Ah ! Vous m’avez sauvé la vie (il se jette aux pieds de Michael) Merci ! Merci ! (il s’accroche à sa jambe, Michael ne sait plus où se mettre)
- heu ouais, (il essaye de décoller le gamin) Mais c’est bon la, lâche moi.
- Vous êtes américain ?! » Mac Grady lève des yeux pleins d’étoiles vers Michael comme si il était la huitième merveille du monde.
Mais l’euphorie du gamin est stoppée par le bruit déchirant de la toux subite de Cid, qui vient de se battre et n’arrive pas à reprendre son souffle. Sa toux devient de plus en plus forte et tandis que Manolo le prend par le bras pour le conduire vers le territoire du BOSS, il commence à cracher du sang. Arrivé devant la cellule de Michael, Cid s’évanouie dans les bras de Manolo…
Scène 2 : Lincoln, Catherina, Sarah, LJ et Tonio dans la maison de l’Indépendancia
Sarah et LJ reviennent d’une balade sur la plage, Tonio les surveille de loin. Sarah s’approche de la porte pour entrer mais s’arrête, une main sur la poignée, à l’intérieur Lincoln et Catherina ne ménagent pas leurs voix :
« Lincoln, je t’en pris dit moi ce que tu ne comprends pas dans la phrase : personne d’étranger à l’Independancia dans la propriété ?!
- Mais c’est son avocat ! Il faut bien qu’il soit au courant du dossier ! » Sarah s’écarte de la porte en soupirant et levant les yeux au ciel LJ pose une main sur son épaule :
« Ils se crient dessus comme ça depuis qu’on est arrivé…
- Je sais, on a tous notre façon de réagir au stress. Ton père est très inquiet … (Tonio arrive derrière eux et les invite à s’éloigner de la maison)
- Vous feriez mieux de ne pas rester là, ca ne va pas tarder à exploser »
Quelques secondes plus tard, Catherina sort de la maison comme une furie en claquant la porte :
« Tu sais quoi Lincoln ? Va te faire foutre !! » Elle se dirige, rouge et fulminante, vers la plage sans même voir Sarah et LJ, Tonio a tôt fait de la rejoindre. Il la prend instinctivement dans ses bras ce qui a l’air de la calmer :
- Laisses toi faire un peu, détends toi, ton plan marche à merveille…
- Il ne me fait pas confiance… Je n’y arrive pas Tonio, je n’y arrive plus…
- Arrête (Il la force à le regarder dans les yeux) dans moins d’une semaine, Scofield sera dehors et il te donnera toute l’aide dont tu as besoin. Nous serons bientôt libre, Gaby pourra revenir vers toi.
- Ils me manquent, Tyo...Et maintenant Aldo… Et si il devait arriver quelque chose à Gabriel, je… (elle éclate en sanglots)
- La fin est proche princesse, la fin est proche. » Il la tient contre lui encore un instant avant de la laisser seule sur la plage.
Quand Sarah entre dans la maison, elle trouve Lincoln complètement abattu, affalé sur un canapé. LJ le rejoint se collant contre lui et Sarah s’asseoit sur une chaise pour lui faire face prenant ses mains dans les siennes. Lincoln soupire :
« Elle a beau essayer de nous faire croire qu’elle n’est pas comme Michael mais…
- Je sais… Ca la terrorise de ne pas tout contrôler. Mais ca irait sûrement mieux si tu lui faisais plus confiance.
- Mais comment je peux faire ça ? Je ne la connais même pas.
- Moi non plus je ne vous connais pas et pourtant je vous ai suivit.
- Désolé Sarah de t’avoir embarqué là dedans, (il soupire à nouveau) Le problème c’est que je n’arrive pas à la cerner et pourtant…
- (LJ se redresse les yeux pétillants) Tu es dingue d’elle !
- (Lincoln rougit) Ca se voit tant que ca ?
- (Sarah éclate de rire) Si elle ne le voit pas, c’est qu’elle est aveugle !
- Ou occupée ailleurs (Le visage de Lincoln s’assombris)
Scène 3 : Michael à SONA
Michael, Manolo et Chad sont auprès de Cid qui convulse et délire. Le BOSS arrive, il prend son neveu dans ses bras et l’emmène dans ce qui semblait être autrefois l’infirmerie de la prison, toutes les vitres sont explosées et le sol est jonché de seringues usagées. Toutes les armoires ont été pillées, sauf une. Manolo se dirige vers la seule armoire encore debout et l’ouvre plus avec un coup d’épaule qu’avec la clé qu’il a sortit de son trousseau.
Le meuble blindé s’ouvre alors dans un grincement infernal, Chad débarrasse un lit de consultation et le BOSS y couche Cid. Manolo tend une seringue et un flacon de liquide blanchâtre à Chad qui d’un geste d’expert ausculte Cid avant de lui injecter le produit. Le garçon se cambre complètement sur son lit en hurlant de douleur avant d’y retomber dans un profond soupir.
Michael regarde Chad d’un air interrogateur mais avant qu’il ai pu dire quoi que ce soit, il se retrouve assis sur un autre lit, Chad lui remettant le nez en place et arrêtant le saignement de son arcade avec un pansement :
« Si je t’aide, c’est parque tu me rappelles quelqu’un à qui je dois beaucoup Michael et que l’ai promis à une jolie fille. » Michael fronce les sourcils en entendant cette confession et le BOSS se retourne et jette un regard noir à Chad, comme si il en avait trop dit.
Mahone, le plan roulé sous le bras, apparait alors dans l’encadrement de la porte :
- Je vois qu’on a changé de QG !
- (Le BOSS se tourne vers lui, l’air particulièrement usé.) Alors ? ces points et ces ronds ?
- Pas grand-chose, notre ami aura sûrement plus de chance. Mais j’ai bien peur qu’il ne soit trop occupé à mettre tout SONA à feux et à sang en provoquant des bagarres.
- (Sans prévenir le BOSS attrape Michael par le cou et le soulève de terre) Tu as provoqué la bagarre ? Vous n’avez pas été attaqué ?
- (Michael ne peut presque plus respirer) Je…
- (Chad se jette sur le BOSS pour protéger Michael) Arrête Raphael ! Il ne pouvait pas savoir que ça provoquerait une crise à Cid ! Lâche-le ! Tu vas le tuer !
- Heureusement que tu as un putain d’ange gardien Scofield (il le relâche). Parque sinon, je ne donnerais pas chère de ta peau. »
Michael retombe à quatre pattes sur le sol puis se relève, se massant la gorge. Mahone est tout fière, il passe à coté de Michael et lui murmure à l’oreille :
« Et oui Michael, il y a des moments dans la vie où il faut accepter de s'être fait baisé » Michael a le visage complètement ravagé, blanc comme un linge, il quitte la pièce sans un mot. Il va s’enfermer dans sa cellule et y reste assis, le regard dans le vide. (Comme quand il péte le plomb a fox river) Sans s’apercevoir que le garçon qu’il a sauvé est toujours collé à ses basques.
Scène 4 : Sarah et Catherina
Catherina rentre dans la maison, suivit de Tonio qui téléphone à son frère. Elle attrape une bouteille de vodka avant de s’enfermer dans sa chambre. Sarah la suit et va frapper à sa porte :
« Catherina ? Je peux entrer ?
- Je vous en pris Doc. Sarah ouvre timidement la porte et trouve Catherina assise sur son lit au prise avec un tube orange de médicament. Quand elle arrive à l’ouvrir, elle s’empresse d’avaler deux cachets blancs avec une gorgée de Vodka. Sarah la regarde, sidérée,
- On ne vous a jamais dit qu’il ne fallait pas mélanger alcool et médicaments ?
- … Vous êtes mignonne…Je sais exactement ce que je fais. Ce sont des antalgiques (elle agite le flacon avec entrain) j’ai une cote fêlée.
- Vous êtes médecin ?
- …
- Alors laissez-moi voir » Sans attendre de réponse, elle aide Catherina à retirer son T-shirt et commence à palper son ventre assise sur le lit. Au bout de quelques instants, elle finit par donner son diagnostic :
- Effectivement, une cote fêlée mais vous devriez rester dans votre lit au lieu de prendre ces cochonneries .
- Est-ce que j’ai l’air d’être quelqu’un qui apprécie de rester sagement dans son lit ?
- Ce n’est pas très mature…
- Je n’accepte de me reposer uniquement parce que Tonio est là. Sinon, je resterais aux aguets toute la nuit. Nous pouvons être découverts à chaque instant.
- Le mélange, c’est pour pouvoir dormir ?
- … C’est bon Doc ? Je peux remettre mon T-shirt ?
- Oui bien sur… (Sarah tombe en arrêt devant une longue cicatrice sur le bassin de Catherina.) C’est à cause d’une…
- Oui, une Césarienne. (elle soupire) Mais ne le dites à personne, Gabriel n’est même pas censé exister. Sarah c’est important ! (elle a pris la main de Sarah et la serre doucement) La compagnie ne sait pas que j’ai un enfant.
- (Sarah hoche la tête) Catherina je voulais vous demander…
- (elle soupire à nouveaux) Non, pas la peine de me le demander, vous ne pouvez pas aller à SONA.
- (Elle sourit, l’air déterminée) Ecoutez, je sais que vous faites tout pour nous aider mais je dois vous prévenir : vous ne pourrez pas m’empêcher de voir Michael.
- La situation à dégénérée Sarah, il y a trois jours, nous étions tous en sécurité mais depuis, trois de nos agents manquent à l’appel…
Sarah se lève doucement et regarde Catherina avec fermeté. Catherina sourit :
- Je savais que l’amour pouvait faire faire des choses stupides mais là…
- C’est parce qu’il m’aime que Michael est à SONA et c’est aussi pour ça qu’il en sortira. Il a besoin de me savoir avec lui, c’est vital. Il n’est pas question que je l’attende les bras croisés.
- Vous n’aurez pas longtemps à l’attendre croyez moi… (son sourire est mystérieux, presque effrayant.)
- (Sarah est intriguée) Vous avez l’air si sur de vous… Pourtant vous ne lui cherchez pas d’avocat.
- Celui qu’il a est amplement suffisant.
- Quoi ? Mais c’est une nouille !
- (Catherina éclate de rire) Vous ne connaissez rien à la justice Panaméenne ! Alvarez n’est là que pour faire style histoire de ne pas offusquer les américains, ils le font à chaque fois. Mais pour les panaméens convaincus de meurtre, le procès n’a même pas lieu et personne ne sort de SONA. En tout cas pas légalement…
- Alors vous ne …
- Je fais tout pour faciliter son évasion.
- (elle est sidérée)
- Laissez tomber l’honnêteté Sarah, il en va de notre survie. Et même avec tout vos millions, vous ne pourrez pas le faire sortir, pour la bonne et simple raison qu’une fois qu’ils y entrent ils n’existent plus. Aux yeux du gouvernement, Michael est mort et enterré. »
Sarah, livide, quitte la pièce sans un mot. Quand elle ferme la porte, Catherina avale une bonne dose de vodka avant de se laisser tomber dans son lit.
Alors ?
Episode 4 : Entre silence et vérité.
Scène 1 : Michael à SONA
Michael se réveille, il est toujours avachit contre le mur, il se masse l’arrière de la tête à l’endroit ou il s’est cogné la veille puis tente de se lever mais a des difficultés. Quand il finit par se lever, il ne peut plus regarder autre chose que ses mains tremblantes et plus blanches que jamais puis il se tord en deux de douleur et se retient de hurler, il vacille et commence à perdre conscience.
Chad le secoue violement et lui fiche quelque claques :
« Mickey !! Eh !! Reste avec moi ! ça fait combien de temps que t’as rien avalé ?
- Trois peut être quatre jours…
- Et ben… (il sort une barre de céréales de sa poche et la fourre dans la bouche de Michael qui s’empresse de l’avaler) Doucement ! On dirait une chèvre !
- Merci… » Chad lui donne une autre barre, et l’aide à marcher jusqu’à la cour où les hommes du BOSS organisent la distribution de nourriture. Il s’agit de rations militaires : Barres de céréales, chocolat, cigarettes… (tout ce dont on a besoin pour survivre
Michael aperçoit une toile de parachute accrochée à une caisse, il y en a plusieurs disséminées dans la cour.
« Ouais je sais… ma mère à moi aussi me disait que la nourriture ne tombait pas du ciel. Mais ici, ça arrive une fois par semaine. (Michael se dirige vers le groupe de gens attroupé autour de Manolo) T’inquiètes, j’ai déjà mit ta part de coté.
- Pourquoi ?
- Pourquoi quoi ?
- Pourquoi tu t’occupes toujours de moi comme ça ? Et ce depuis le début ?
- Disons que… (Chad cherche un mensonge) Tu me plais bien. Et puis c’est toi qui va nous sortir de là alors… (Michael ne l’écoute plus, il regarde intensément autour de lui) Quoi ?
- Mahone ?
- Il s’occupe des points.
- De mieux en mieux…
- De quoi tu te pleins ? T’est toujours en vie que je sache ! » Le regard de Chad a changé, il n’est plus compatissant mais brutal et froid, il soupire et s’éloigne.
Michael erre quelques temps dans la cour, l’air désœuvré. Puis il fait la pire rencontre qu’il puisse imaginer : Bellick. Il ne l’avait pas vu depuis ce soir la quand il est arrivé à SONA il se remémore d’ailleurs la scène (mais si ! souvenez vous ! a la fin de la saison deux lol). Bellick est en train de rosser un jeune garçon pour une sombre histoire de vol de chocolat. Michael ne peut pas s’en empêcher et même si il est encore faible, il court aider le jeune panaméen sans se rendre compte que Bellick n’était pas tout seul, mais accompagné de deux autres américains.
La lutte est brève et grâce à l’aide de Cid et Manolo, venu clore le débat, Michael ne s’en sort qu’avec le nez et l’arcade cassé. Le gamin que Michael vient de sauver a environ 16 ans, il porte un blouson en cuir avec au dos inscrit : Mac Grady. Manolo pose ses mains sur ses hanches et regarde Michael, l’air désespéré :
« Michael… » Il tente de lui faire la morale mais le gamin l’interrompt :
- Ah ! Vous m’avez sauvé la vie (il se jette aux pieds de Michael) Merci ! Merci ! (il s’accroche à sa jambe, Michael ne sait plus où se mettre)
- heu ouais, (il essaye de décoller le gamin) Mais c’est bon la, lâche moi.
- Vous êtes américain ?! » Mac Grady lève des yeux pleins d’étoiles vers Michael comme si il était la huitième merveille du monde.
Mais l’euphorie du gamin est stoppée par le bruit déchirant de la toux subite de Cid, qui vient de se battre et n’arrive pas à reprendre son souffle. Sa toux devient de plus en plus forte et tandis que Manolo le prend par le bras pour le conduire vers le territoire du BOSS, il commence à cracher du sang. Arrivé devant la cellule de Michael, Cid s’évanouie dans les bras de Manolo…
Scène 2 : Lincoln, Catherina, Sarah, LJ et Tonio dans la maison de l’Indépendancia
Sarah et LJ reviennent d’une balade sur la plage, Tonio les surveille de loin. Sarah s’approche de la porte pour entrer mais s’arrête, une main sur la poignée, à l’intérieur Lincoln et Catherina ne ménagent pas leurs voix :
« Lincoln, je t’en pris dit moi ce que tu ne comprends pas dans la phrase : personne d’étranger à l’Independancia dans la propriété ?!
- Mais c’est son avocat ! Il faut bien qu’il soit au courant du dossier ! » Sarah s’écarte de la porte en soupirant et levant les yeux au ciel LJ pose une main sur son épaule :
« Ils se crient dessus comme ça depuis qu’on est arrivé…
- Je sais, on a tous notre façon de réagir au stress. Ton père est très inquiet … (Tonio arrive derrière eux et les invite à s’éloigner de la maison)
- Vous feriez mieux de ne pas rester là, ca ne va pas tarder à exploser »
Quelques secondes plus tard, Catherina sort de la maison comme une furie en claquant la porte :
« Tu sais quoi Lincoln ? Va te faire foutre !! » Elle se dirige, rouge et fulminante, vers la plage sans même voir Sarah et LJ, Tonio a tôt fait de la rejoindre. Il la prend instinctivement dans ses bras ce qui a l’air de la calmer :
- Laisses toi faire un peu, détends toi, ton plan marche à merveille…
- Il ne me fait pas confiance… Je n’y arrive pas Tonio, je n’y arrive plus…
- Arrête (Il la force à le regarder dans les yeux) dans moins d’une semaine, Scofield sera dehors et il te donnera toute l’aide dont tu as besoin. Nous serons bientôt libre, Gaby pourra revenir vers toi.
- Ils me manquent, Tyo...Et maintenant Aldo… Et si il devait arriver quelque chose à Gabriel, je… (elle éclate en sanglots)
- La fin est proche princesse, la fin est proche. » Il la tient contre lui encore un instant avant de la laisser seule sur la plage.
Quand Sarah entre dans la maison, elle trouve Lincoln complètement abattu, affalé sur un canapé. LJ le rejoint se collant contre lui et Sarah s’asseoit sur une chaise pour lui faire face prenant ses mains dans les siennes. Lincoln soupire :
« Elle a beau essayer de nous faire croire qu’elle n’est pas comme Michael mais…
- Je sais… Ca la terrorise de ne pas tout contrôler. Mais ca irait sûrement mieux si tu lui faisais plus confiance.
- Mais comment je peux faire ça ? Je ne la connais même pas.
- Moi non plus je ne vous connais pas et pourtant je vous ai suivit.
- Désolé Sarah de t’avoir embarqué là dedans, (il soupire à nouveau) Le problème c’est que je n’arrive pas à la cerner et pourtant…
- (LJ se redresse les yeux pétillants) Tu es dingue d’elle !
- (Lincoln rougit) Ca se voit tant que ca ?
- (Sarah éclate de rire) Si elle ne le voit pas, c’est qu’elle est aveugle !
- Ou occupée ailleurs (Le visage de Lincoln s’assombris)
Scène 3 : Michael à SONA
Michael, Manolo et Chad sont auprès de Cid qui convulse et délire. Le BOSS arrive, il prend son neveu dans ses bras et l’emmène dans ce qui semblait être autrefois l’infirmerie de la prison, toutes les vitres sont explosées et le sol est jonché de seringues usagées. Toutes les armoires ont été pillées, sauf une. Manolo se dirige vers la seule armoire encore debout et l’ouvre plus avec un coup d’épaule qu’avec la clé qu’il a sortit de son trousseau.
Le meuble blindé s’ouvre alors dans un grincement infernal, Chad débarrasse un lit de consultation et le BOSS y couche Cid. Manolo tend une seringue et un flacon de liquide blanchâtre à Chad qui d’un geste d’expert ausculte Cid avant de lui injecter le produit. Le garçon se cambre complètement sur son lit en hurlant de douleur avant d’y retomber dans un profond soupir.
Michael regarde Chad d’un air interrogateur mais avant qu’il ai pu dire quoi que ce soit, il se retrouve assis sur un autre lit, Chad lui remettant le nez en place et arrêtant le saignement de son arcade avec un pansement :
« Si je t’aide, c’est parque tu me rappelles quelqu’un à qui je dois beaucoup Michael et que l’ai promis à une jolie fille. » Michael fronce les sourcils en entendant cette confession et le BOSS se retourne et jette un regard noir à Chad, comme si il en avait trop dit.
Mahone, le plan roulé sous le bras, apparait alors dans l’encadrement de la porte :
- Je vois qu’on a changé de QG !
- (Le BOSS se tourne vers lui, l’air particulièrement usé.) Alors ? ces points et ces ronds ?
- Pas grand-chose, notre ami aura sûrement plus de chance. Mais j’ai bien peur qu’il ne soit trop occupé à mettre tout SONA à feux et à sang en provoquant des bagarres.
- (Sans prévenir le BOSS attrape Michael par le cou et le soulève de terre) Tu as provoqué la bagarre ? Vous n’avez pas été attaqué ?
- (Michael ne peut presque plus respirer) Je…
- (Chad se jette sur le BOSS pour protéger Michael) Arrête Raphael ! Il ne pouvait pas savoir que ça provoquerait une crise à Cid ! Lâche-le ! Tu vas le tuer !
- Heureusement que tu as un putain d’ange gardien Scofield (il le relâche). Parque sinon, je ne donnerais pas chère de ta peau. »
Michael retombe à quatre pattes sur le sol puis se relève, se massant la gorge. Mahone est tout fière, il passe à coté de Michael et lui murmure à l’oreille :
« Et oui Michael, il y a des moments dans la vie où il faut accepter de s'être fait baisé » Michael a le visage complètement ravagé, blanc comme un linge, il quitte la pièce sans un mot. Il va s’enfermer dans sa cellule et y reste assis, le regard dans le vide. (Comme quand il péte le plomb a fox river) Sans s’apercevoir que le garçon qu’il a sauvé est toujours collé à ses basques.
Scène 4 : Sarah et Catherina
Catherina rentre dans la maison, suivit de Tonio qui téléphone à son frère. Elle attrape une bouteille de vodka avant de s’enfermer dans sa chambre. Sarah la suit et va frapper à sa porte :
« Catherina ? Je peux entrer ?
- Je vous en pris Doc. Sarah ouvre timidement la porte et trouve Catherina assise sur son lit au prise avec un tube orange de médicament. Quand elle arrive à l’ouvrir, elle s’empresse d’avaler deux cachets blancs avec une gorgée de Vodka. Sarah la regarde, sidérée,
- On ne vous a jamais dit qu’il ne fallait pas mélanger alcool et médicaments ?
- … Vous êtes mignonne…Je sais exactement ce que je fais. Ce sont des antalgiques (elle agite le flacon avec entrain) j’ai une cote fêlée.
- Vous êtes médecin ?
- …
- Alors laissez-moi voir » Sans attendre de réponse, elle aide Catherina à retirer son T-shirt et commence à palper son ventre assise sur le lit. Au bout de quelques instants, elle finit par donner son diagnostic :
- Effectivement, une cote fêlée mais vous devriez rester dans votre lit au lieu de prendre ces cochonneries .
- Est-ce que j’ai l’air d’être quelqu’un qui apprécie de rester sagement dans son lit ?
- Ce n’est pas très mature…
- Je n’accepte de me reposer uniquement parce que Tonio est là. Sinon, je resterais aux aguets toute la nuit. Nous pouvons être découverts à chaque instant.
- Le mélange, c’est pour pouvoir dormir ?
- … C’est bon Doc ? Je peux remettre mon T-shirt ?
- Oui bien sur… (Sarah tombe en arrêt devant une longue cicatrice sur le bassin de Catherina.) C’est à cause d’une…
- Oui, une Césarienne. (elle soupire) Mais ne le dites à personne, Gabriel n’est même pas censé exister. Sarah c’est important ! (elle a pris la main de Sarah et la serre doucement) La compagnie ne sait pas que j’ai un enfant.
- (Sarah hoche la tête) Catherina je voulais vous demander…
- (elle soupire à nouveaux) Non, pas la peine de me le demander, vous ne pouvez pas aller à SONA.
- (Elle sourit, l’air déterminée) Ecoutez, je sais que vous faites tout pour nous aider mais je dois vous prévenir : vous ne pourrez pas m’empêcher de voir Michael.
- La situation à dégénérée Sarah, il y a trois jours, nous étions tous en sécurité mais depuis, trois de nos agents manquent à l’appel…
Sarah se lève doucement et regarde Catherina avec fermeté. Catherina sourit :
- Je savais que l’amour pouvait faire faire des choses stupides mais là…
- C’est parce qu’il m’aime que Michael est à SONA et c’est aussi pour ça qu’il en sortira. Il a besoin de me savoir avec lui, c’est vital. Il n’est pas question que je l’attende les bras croisés.
- Vous n’aurez pas longtemps à l’attendre croyez moi… (son sourire est mystérieux, presque effrayant.)
- (Sarah est intriguée) Vous avez l’air si sur de vous… Pourtant vous ne lui cherchez pas d’avocat.
- Celui qu’il a est amplement suffisant.
- Quoi ? Mais c’est une nouille !
- (Catherina éclate de rire) Vous ne connaissez rien à la justice Panaméenne ! Alvarez n’est là que pour faire style histoire de ne pas offusquer les américains, ils le font à chaque fois. Mais pour les panaméens convaincus de meurtre, le procès n’a même pas lieu et personne ne sort de SONA. En tout cas pas légalement…
- Alors vous ne …
- Je fais tout pour faciliter son évasion.
- (elle est sidérée)
- Laissez tomber l’honnêteté Sarah, il en va de notre survie. Et même avec tout vos millions, vous ne pourrez pas le faire sortir, pour la bonne et simple raison qu’une fois qu’ils y entrent ils n’existent plus. Aux yeux du gouvernement, Michael est mort et enterré. »
Sarah, livide, quitte la pièce sans un mot. Quand elle ferme la porte, Catherina avale une bonne dose de vodka avant de se laisser tomber dans son lit.
Alors ?
Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Pauvre Michael, il est obligé de s'évader alors???
J'éspère que Sarah va pouvoir voir Michael, ca lui ferait énormément plaisir.
Alors Gabriel est le fils de Catherina, pauvre Lincoln il s'est trompé sur toute la ligne!!
Je suis sûre que Catherina et Lincoln finiront l'un dans les bras de l'autre c'est évident, et puis ils sont tellement mignons.
Une suite stp!!!!!!!!!
J'éspère que Sarah va pouvoir voir Michael, ca lui ferait énormément plaisir.
Alors Gabriel est le fils de Catherina, pauvre Lincoln il s'est trompé sur toute la ligne!!
Je suis sûre que Catherina et Lincoln finiront l'un dans les bras de l'autre c'est évident, et puis ils sont tellement mignons.
Une suite stp!!!!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
C'est super bien ! j'aime vraiment beaucoup !
l'écriture est super !
moi aussi j'espère que michael va pouvoir voir sarah ! ça lui ferait vraiment du bien !
et vise versa !
la dernière phrase de catherina est inquiètante a propos de mich !
la suite !!
l'écriture est super !
moi aussi j'espère que michael va pouvoir voir sarah ! ça lui ferait vraiment du bien !
et vise versa !
la dernière phrase de catherina est inquiètante a propos de mich !
la suite !!
micko- Retrouve Steadman
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Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Voilà la suite ...
************************
Scène 5 , part1 : Michael à SONA
Michael est recroquevillé dans un coin de sa cellule, Chad vient s’asseoir à coté de lui :
« T’as déconné Michael, c’est vrai…Mais ce n’est pas une raison pour… (Il regarde Michael et tente d’accrocher son regard vide) Mickey ? (il panique et le secoue, Michael ne réagit pas) Putain fais pas le con ! Je ne veux pas mourir ici moi ! » Il se lève, épouvanté par le mutisme de Michael et va pour sortir dans la pièce, quand il heurte le gamin sauvé des griffes de Bellick. Qui lui sourit, hébété :
« Salut ! Jm’apelle Angel, mais ici c’est Mc Grady (c’est bien sa hein ?) à cause du blouson »Il se tortille pour montrer l’écusson au dos de sa veste. Chad le regarde comme si il était un pur CNNI (=Crétin Notoire Non Identifié).
Mais Mc Grady ne se démonte pas pour autant : «
Un Padre veut voir mon sauveur. (Il montre Michael du doigt)
- Je ne crois pas qu’il soit en état de voir qui que se soit, Padre ou pas.
- Mais il insiste, il dit que c’est à propos d’une Marie Cruz. » En entendant ce nom les yeux de Michael reprennent un peut de leurs couleurs, il se lève alors, mécaniquement et emboite le pas de Mc Grady qui le conduit jusqu'à la grille en sautillant comme un faon. Chad suit le mouvement, intrigué.
Arrivé aux grilles, ils trouvent Paolo qui retire sa capuche et sourit doucement. Il explique brièvement la situation à Michael qui l’écoute d’un air absent comme occupé à suivre des yeux le ballet de papillons invisibles (moi parfois sa m’arrive en cour…lol).
Quand Paolo finit par lui demander si il peut contacter Bellick pour faire un marché, Michael hoche la tête puis se tourne vers Chad, qui hausse les épaules et soupire :
« On verra ce que l’on peut faire mon père… on verra ».
Paolo regarde Michael avec toute la compassion dont est capable un type qui vit dans une église, puis ajoute :
- Ne perdez pas espoir mon fils…Dieu est avec vous » Michael a alors pour toute réponse un éclat de rire, glacial et nerveux, qui le fait se détourner du Padre et repartir d’où il était venu sous les yeux effarés de Paolo et Chad. Ce qui n’empêche pas pour autant Mc Grady de s’exclamer :
- Alors marie Cruz c’est pas sa copine en fait ?! »
Allez maintenant tous en cœur : « D’HO !»
**************
Voilà !!
Alors ??
************************
Scène 5 , part1 : Michael à SONA
Michael est recroquevillé dans un coin de sa cellule, Chad vient s’asseoir à coté de lui :
« T’as déconné Michael, c’est vrai…Mais ce n’est pas une raison pour… (Il regarde Michael et tente d’accrocher son regard vide) Mickey ? (il panique et le secoue, Michael ne réagit pas) Putain fais pas le con ! Je ne veux pas mourir ici moi ! » Il se lève, épouvanté par le mutisme de Michael et va pour sortir dans la pièce, quand il heurte le gamin sauvé des griffes de Bellick. Qui lui sourit, hébété :
« Salut ! Jm’apelle Angel, mais ici c’est Mc Grady (c’est bien sa hein ?) à cause du blouson »Il se tortille pour montrer l’écusson au dos de sa veste. Chad le regarde comme si il était un pur CNNI (=Crétin Notoire Non Identifié).
Mais Mc Grady ne se démonte pas pour autant : «
Un Padre veut voir mon sauveur. (Il montre Michael du doigt)
- Je ne crois pas qu’il soit en état de voir qui que se soit, Padre ou pas.
- Mais il insiste, il dit que c’est à propos d’une Marie Cruz. » En entendant ce nom les yeux de Michael reprennent un peut de leurs couleurs, il se lève alors, mécaniquement et emboite le pas de Mc Grady qui le conduit jusqu'à la grille en sautillant comme un faon. Chad suit le mouvement, intrigué.
Arrivé aux grilles, ils trouvent Paolo qui retire sa capuche et sourit doucement. Il explique brièvement la situation à Michael qui l’écoute d’un air absent comme occupé à suivre des yeux le ballet de papillons invisibles (moi parfois sa m’arrive en cour…lol).
Quand Paolo finit par lui demander si il peut contacter Bellick pour faire un marché, Michael hoche la tête puis se tourne vers Chad, qui hausse les épaules et soupire :
« On verra ce que l’on peut faire mon père… on verra ».
Paolo regarde Michael avec toute la compassion dont est capable un type qui vit dans une église, puis ajoute :
- Ne perdez pas espoir mon fils…Dieu est avec vous » Michael a alors pour toute réponse un éclat de rire, glacial et nerveux, qui le fait se détourner du Padre et repartir d’où il était venu sous les yeux effarés de Paolo et Chad. Ce qui n’empêche pas pour autant Mc Grady de s’exclamer :
- Alors marie Cruz c’est pas sa copine en fait ?! »
Allez maintenant tous en cœur : « D’HO !»
**************
Voilà !!
Alors ??
Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Super suite!! Mais beaucoup trop courte!!!
Vivement une autre suite beaucoup plus longue!!
J'éspère que bellick dira à Michael ou se trouve maricruz!!!
Vivement une autre suite beaucoup plus longue!!
J'éspère que bellick dira à Michael ou se trouve maricruz!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Voilà la suite ....
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
Part 2 : Catherina dans la maison
Catherina est allongée sur le ventre dans son lit au pied duquel git une bouteille de vodka et une boite de cachet vide. La lumière provenant des volets entrouverts dessine une longue ligne sur son dos. Ses jambes sont emmêlées dans les draps, son téléphone sonne alors et elle se réveille en sursaut. Elle tente alors de saisir son téléphone sur la table de nuit mais dans la précipitation tombe et se cogne. Elle fini par se dégager de l’emprise des draps non sans jurer et décroche :
« Gnâlo ? Bagwell ! On ne vous a pas donné des heures ? (Mais elle a un doute et regarde son réveil, il indique 3 heures de l’après midi) Tonio !! L’enflure, il m’a laissé dormir ! (Elle revient ensuite a sa conversation) … Quoi ?... Très bien on vous contactera pour la suite. »
Elle raccroche, puis se masse les tempes en s’asseyant sur le lit. Quand Tonio rentre, flegmatique et amusé, elle lui jette un coussin a la figure :
« Je te hais !
- C’est ce qu’elles disent toutes… avant de se jeter dans mes bras. (Il ramasse la bouteille et joue avec sous le nez de Catherina) Pas trop mal à la tête ?
- Bagwell a appelé (elle avale sa salive difficilement, reprenant son sérieux) Il faut que tu envoies Tullio chez le glacier.
- Cat … Tu ne peux pas dire la morgue comme tout le monde ?
- Tout le monde n’est pas habitué aux codes comme moi et n’a pas mon sens de l’humour. Fait lui maquiller un double meurtre.
- Marco et Lola ?
- On est en train de pousser la compagnie dans ses derniers retranchements. S’ils veulent zigouiller les Diaz, c’est qu’on est prêt du but.
- Comment on fait ?
- (elle le regarde, exaspérée) On met deux cadavres non identifiables à leur place dans une jolie ruelle bien sombre, Bagwell jure sur sa mère que ce sont Marco et Lola et voila ! (elle écarte les bras en signe de victoire)
- Non je veux dire après… On fait quoi d’eux ?
- On les ramène ici.
- Avec Burrows ? T’a pas peur que la tentation soit trop forte !
- Qui dit chasseurs de prime ne dit pas forcement aucun sens de l’honneur.
- … (Tonio la regarde, un sourcil en l’air, apparemment peu convaincu)
- Il m’en doit déjà une. Et là, on va leur sauver la vie, ca mérite bien qu’ils se retiennent. En plus, maintenant ils n’on plus le choix… Et puis, qu’est ce que tu discutes ? Allez hop hop c’est un ordre ! » Elle se lève et le pousse vers la porte, qu’elle claque après lui. Elle parait toute joyeuse et commence à danser en chatonnant quand elle s’arrête prise d’une nausée d’après cuite fulgurante et se précipite vers sa salle de bain.
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
Par contre , l'auteur est en vacances , je ne sais pas quand la suite arrive ...
Surement dimanche ou lundi , voilà !!
Bisous !!!
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
Part 2 : Catherina dans la maison
Catherina est allongée sur le ventre dans son lit au pied duquel git une bouteille de vodka et une boite de cachet vide. La lumière provenant des volets entrouverts dessine une longue ligne sur son dos. Ses jambes sont emmêlées dans les draps, son téléphone sonne alors et elle se réveille en sursaut. Elle tente alors de saisir son téléphone sur la table de nuit mais dans la précipitation tombe et se cogne. Elle fini par se dégager de l’emprise des draps non sans jurer et décroche :
« Gnâlo ? Bagwell ! On ne vous a pas donné des heures ? (Mais elle a un doute et regarde son réveil, il indique 3 heures de l’après midi) Tonio !! L’enflure, il m’a laissé dormir ! (Elle revient ensuite a sa conversation) … Quoi ?... Très bien on vous contactera pour la suite. »
Elle raccroche, puis se masse les tempes en s’asseyant sur le lit. Quand Tonio rentre, flegmatique et amusé, elle lui jette un coussin a la figure :
« Je te hais !
- C’est ce qu’elles disent toutes… avant de se jeter dans mes bras. (Il ramasse la bouteille et joue avec sous le nez de Catherina) Pas trop mal à la tête ?
- Bagwell a appelé (elle avale sa salive difficilement, reprenant son sérieux) Il faut que tu envoies Tullio chez le glacier.
- Cat … Tu ne peux pas dire la morgue comme tout le monde ?
- Tout le monde n’est pas habitué aux codes comme moi et n’a pas mon sens de l’humour. Fait lui maquiller un double meurtre.
- Marco et Lola ?
- On est en train de pousser la compagnie dans ses derniers retranchements. S’ils veulent zigouiller les Diaz, c’est qu’on est prêt du but.
- Comment on fait ?
- (elle le regarde, exaspérée) On met deux cadavres non identifiables à leur place dans une jolie ruelle bien sombre, Bagwell jure sur sa mère que ce sont Marco et Lola et voila ! (elle écarte les bras en signe de victoire)
- Non je veux dire après… On fait quoi d’eux ?
- On les ramène ici.
- Avec Burrows ? T’a pas peur que la tentation soit trop forte !
- Qui dit chasseurs de prime ne dit pas forcement aucun sens de l’honneur.
- … (Tonio la regarde, un sourcil en l’air, apparemment peu convaincu)
- Il m’en doit déjà une. Et là, on va leur sauver la vie, ca mérite bien qu’ils se retiennent. En plus, maintenant ils n’on plus le choix… Et puis, qu’est ce que tu discutes ? Allez hop hop c’est un ordre ! » Elle se lève et le pousse vers la porte, qu’elle claque après lui. Elle parait toute joyeuse et commence à danser en chatonnant quand elle s’arrête prise d’une nausée d’après cuite fulgurante et se précipite vers sa salle de bain.
*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
Par contre , l'auteur est en vacances , je ne sais pas quand la suite arrive ...
Surement dimanche ou lundi , voilà !!
Bisous !!!
Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
merci pour cette suite qui est super!!!!!
Vivement une autre suite!!!!
Vivement une autre suite!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
ouais j'accroche bien, ça me fait patienter en attendant la saison3
scofieldgirl- Parti au secours de Sara
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Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Voilà la suite !!!!!!!!!!!!
Episode 5 :
Scéne 1 :
Lincoln, Sarah et LJ regardent par la fenêtre l’arrivée d’un couple sur la propriété. Marco est un grand type barraqué comme Lincoln avec une lueur maline en plus dans les yeux. Lola est aussi grande mais extrêmement mince et a l’air morose. Tandis qu’il ouvre le coffre, elle s’ingénie à lui coller dans le dos un papier : « Propriété de Lola Diaz, interdiction de toucher surtout pour les Catherinas en chaleur ».
Tonio, debout à coté de Catherina, lui murmure à l’oreille :
« Est-ce-que je t’ais déjà dit que c’était une mauvaise idée ?
- Oui… (elle en profite pour lui souffler dans le cou) Au moins un milliard de fois.
- Très bien. Comme ça tu ne pourras pas dire que…
- Tu ne m’avais pas prévenu. (elle le coupe exaspérée) Je sais »
Elle lui assène une grande tape dans le dos avant de rejoindre Marco tout en criant à Tonio :
- Franchement je ne te savais pas aussi peureux !
- Cette fille finira par me tuer… » Puis il inspira un grand coup, revêtant son plus beau faux sourire avant de rejoindre le petit groupe massé autour du 4X4 kaki du couple. (Et une petite allitération en « c » pour le fun !) Entre Lola et Catherina, le courant ne passe franchement pas, elles se regardent comme prête à s’égorger.
Marco, lui, adresse à Catherina un admirable sourire d’ancien amoureux transis avant de la serrer contre lui, la soulevant et l’étouffant à moitié :
- J’ai bien peur que tu ne nous ais encore sauvé la vie mon poussinou.
- Mon poussinou ? (Sarah était venue se joindre à eux)
- Sarah Tancredi (Catherina se dégage de l’emprise de Marco pour faire les présentations) Lola et Marco Diaz. » Lola regarde Sarah avec un air de prédateur, Marco se contente de lui serrer la main, tout sourire avant de s’exclamer : « aaarrrrrrrrgh … J’ai faim ! Qu’est ce que tu nous as fait de carbonisé et de trop salé aujourd’hui ? » Il attrape Catherina par l’épaule et la pousse vers la maison, il fait mine de la chatouiller mais en fait lui murmure quelques mots sérieux à l’oreille auxquels elle répond en passant la porte, par un « t’inquiètes, je gère »évasif.
Une fois à l’intérieur, Tonio finit les présentations et chacun a trouvé sa place dans la maison. Marco le nez dans le frigo et celui de Tonio dans les casseroles. LJ et son père lobotomisés par la console de jeux, Lola et Sarah, elles, par l’admiration d’une sublime paire de bottes. Catherina est assise sur le comptoir de la cuisine et se sert directement dans les préparations de Tonio, malgrés les coups de cuillères qu’il lui assène sans ménagement sur les doigts.
L’ambiance est plutôt chaleureuse, tandis que le couvert est installé à l’extérieur, Marco, Catherina et Tonio sont restés dans la cuisine. Marco sort enfin la tête des placards, l’air triomphant, avec un bocal de piments rouges entres les mains. Il regarde Catherina un moment puis finit par lâcher, perfide :
- C’est qu’il est bien mignon ce Lincoln ! Alors ? Je suis invité au mariage ? » Catherina manque de s’étouffer avec la cuillére pleine de sauce qu’elle vient de chiper à Tonio qui s’exclame alors :
- A table ! » en les poussant vers la terrasse avant que la situation ne dégénère.
Alors ?
Episode 5 :
Scéne 1 :
Lincoln, Sarah et LJ regardent par la fenêtre l’arrivée d’un couple sur la propriété. Marco est un grand type barraqué comme Lincoln avec une lueur maline en plus dans les yeux. Lola est aussi grande mais extrêmement mince et a l’air morose. Tandis qu’il ouvre le coffre, elle s’ingénie à lui coller dans le dos un papier : « Propriété de Lola Diaz, interdiction de toucher surtout pour les Catherinas en chaleur ».
Tonio, debout à coté de Catherina, lui murmure à l’oreille :
« Est-ce-que je t’ais déjà dit que c’était une mauvaise idée ?
- Oui… (elle en profite pour lui souffler dans le cou) Au moins un milliard de fois.
- Très bien. Comme ça tu ne pourras pas dire que…
- Tu ne m’avais pas prévenu. (elle le coupe exaspérée) Je sais »
Elle lui assène une grande tape dans le dos avant de rejoindre Marco tout en criant à Tonio :
- Franchement je ne te savais pas aussi peureux !
- Cette fille finira par me tuer… » Puis il inspira un grand coup, revêtant son plus beau faux sourire avant de rejoindre le petit groupe massé autour du 4X4 kaki du couple. (Et une petite allitération en « c » pour le fun !) Entre Lola et Catherina, le courant ne passe franchement pas, elles se regardent comme prête à s’égorger.
Marco, lui, adresse à Catherina un admirable sourire d’ancien amoureux transis avant de la serrer contre lui, la soulevant et l’étouffant à moitié :
- J’ai bien peur que tu ne nous ais encore sauvé la vie mon poussinou.
- Mon poussinou ? (Sarah était venue se joindre à eux)
- Sarah Tancredi (Catherina se dégage de l’emprise de Marco pour faire les présentations) Lola et Marco Diaz. » Lola regarde Sarah avec un air de prédateur, Marco se contente de lui serrer la main, tout sourire avant de s’exclamer : « aaarrrrrrrrgh … J’ai faim ! Qu’est ce que tu nous as fait de carbonisé et de trop salé aujourd’hui ? » Il attrape Catherina par l’épaule et la pousse vers la maison, il fait mine de la chatouiller mais en fait lui murmure quelques mots sérieux à l’oreille auxquels elle répond en passant la porte, par un « t’inquiètes, je gère »évasif.
Une fois à l’intérieur, Tonio finit les présentations et chacun a trouvé sa place dans la maison. Marco le nez dans le frigo et celui de Tonio dans les casseroles. LJ et son père lobotomisés par la console de jeux, Lola et Sarah, elles, par l’admiration d’une sublime paire de bottes. Catherina est assise sur le comptoir de la cuisine et se sert directement dans les préparations de Tonio, malgrés les coups de cuillères qu’il lui assène sans ménagement sur les doigts.
L’ambiance est plutôt chaleureuse, tandis que le couvert est installé à l’extérieur, Marco, Catherina et Tonio sont restés dans la cuisine. Marco sort enfin la tête des placards, l’air triomphant, avec un bocal de piments rouges entres les mains. Il regarde Catherina un moment puis finit par lâcher, perfide :
- C’est qu’il est bien mignon ce Lincoln ! Alors ? Je suis invité au mariage ? » Catherina manque de s’étouffer avec la cuillére pleine de sauce qu’elle vient de chiper à Tonio qui s’exclame alors :
- A table ! » en les poussant vers la terrasse avant que la situation ne dégénère.
Alors ?
Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
- C’est qu’il est bien mignon ce Lincoln ! Alors ? Je suis invité au mariage ? » Catherina manque de s’étouffer avec la cuillére pleine de sauce qu’elle vient de chiper à Tonio qui s’exclame alors :
- A table ! » en les poussant vers la terrasse avant que la situation ne dégénère.
Trop bien ta suite!!!! J'ai adoré!!
Mets vite une longue longue suite!!!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
oauis on en redemande!!!!!!!!!!!!!
scofieldgirl- Parti au secours de Sara
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Re: Fic saison 3 ! En attendant ...
Voilà la suite !!!
Par contre la suite ne risque pas d'arriver avant un moment donc lachez vos com's
Scène 3 : Catherina...
Tout le monde est attablé autour de spécialités hispaniques (hum... des burritos) sur une magnifique terrasse, faiblement éclairé par des lanternes. Lincoln et Marco sont en plein débat sur les effets à long termes des piments mexicains sur le corps et l’esprit tout en en avalant une quantité peu raisonnable. Pendant ce temps, Lola et Sarah partent en délire sur la façon de s’habiller de Catherina qui est en jean troué et T-shirt trop court, elle se défend comme elle peut mais finit par s’incliner et accepter une future journée shopping entre filles, « quand tout sera finit » bien évidement. Pendant ce temps, LJ tente de soutirer à Tonio ses secrets culinaires sans grands succès.
Quand son téléphone sonne, Catherina est presque soulagée, échappant ainsi à l’univers des cols roulés et autres jupes en skaï. Mais son sourire a tôt fait de disparaitre, remplacé par un haussement de sourcil inquiet quand elle décroche et écoute son interlocuteur avant de lui répondre :
« Viens ici...Oui Tullio c’est un ordre et tu ne me parles plus jamais comme ca ».
Quand elle finit par lever les yeux vers l’assemblée, Catherina se rend compte que toutes les discussions ont cessé et que tout le monde la regarde. Elle prend alors une grande inspiration avant de se jeter à l’eau :
« Tullio... reviens de SONA, il semblerait qu’il y ai quelques problèmes... On en saura plus quand il sera là, alors pour l’instant, on va éviter de s’inquiéter pour rien. » Elle attrape un burritos et baissent les yeux, comme pour illustrer son propos mais l’ambiance est déjà ébréchée... L’inquiétude grandit chez Sarah, LJ et Lincoln, Marco a les yeux braqués sur Catherina qui commence à mordiller ses lèvres, gagnée par le stress et la peur.
Tonio se lève et commence à débarrasser la table :
- Cat laisse tomber ...Tu voulais nous offrir une parenthèse dans l’angoisse et c’était plutôt réussi mais... Il est grand temps de la refermer.
- Toi et tes images à la con... (Catherina passe sa main sur sa nuque et se lève) Tu m’envoies ton crétin de frère quand il arrive, (elle se tourne vers Sarah, LJ et Lincoln) Désolée... Je vous tiens au courant. » Catherina va se réfugier dans sa chambre, tandis que Sarah et LJ viennent se coller à Lincoln qui étant ses bras autour d’eux (gros nounours...).
Une demi heure passe et quand Tullio entre dans la maison, visiblement très en colère, tout le monde est déjà à l’intérieur. Lincoln bloque Tullio devant la porte de Catherina, il l’empoigne et le soulève par le col :
- Tu me dis comment va mon frère tout de suite ou...
- Lincoln ! (Catherina passe la tête par sa porte) Tullio réponds lui.
- Qu’il me lâche d’abord (il ne peut presque plus respirer et Lincoln s’exécute) Ton frère est en vie...Il va bien. Du moins physiquement. (Il époussette son costume et remet sa cravate en place) Et maintenant si tu permets... » Il s’empresse de disparaitre dans la chambre de Catherina.
A l’intérieur de la chambre, Tonio est assis sur le lit où son frère vient le rejoindre. Catherina leur tourne le dos, face à la fenêtre :
- Alors ? Quel genre de problème on a si ce n’est pas physique?
- Je ne suis pas un expert mais je dirais...Dépression nerveuse. (Tullio se laisse tomber sur le lit, les mains derrière la nuque) Tu es dans la merde Catherina.
- Non Tullio, on est dans la merde.
- Cat, il faut que tu dises à Michael que tu... (Tonio se lève pour la rejoindre)
- Non ! Je ne peux pas lui faire ça... Mais comment il va exactement ?
- Il est complètement renfermé... Le regard dans le vide et tout ça...Chad commence même à flipper. Mais il n’est pas encore en danger de mort.
- Et le plan ?
- Ca avance ... Mais là, tu vas pas être contente (Tullio se tourne vers son frère lui faisant signe de continuer)
- Quoi ? (elle se retourne, les mains sur les hanches)
- Le type qu’a engagé Raphael... S’appelle Alexander Mahone.
- L’homme qui a tué Aldo... (Catherina passe sa main sur sa nuque, en secouant la tête) je dois être maudite... Il faut qu’on décide ce qu’il faut faire, si Michael ne reprend pas pied, ils le laisseront sur place. Et j’ai...on a besoin de lui.
- Il lui faudrait peut être un choc... (Tonio est interrompu par un bruit de moteur).
Catherina sort de sa chambre et jette un œil dans toutes les pièces, affolée. Quand elle aperçoit Lincoln elle l’attrape par la manche :
- Où est Sarah ?
- Ben au toil... (il regarde par la fenêtre et remarque qu’une des voitures à disparue) aie...
- Génial ! (Elle ouvre un tiroir et enlève le double fond pour récupérer sa ceinture de couteau) Tonio ! Tullio on lève le camp ! Lola je te laisse la maison. Et... » Elle cherche Marco des yeux, il est en train de charger son Beretta.
Lincoln n’essaie même pas de les suivre, il les regarde partir à la fenêtre.
Alors ?
Par contre la suite ne risque pas d'arriver avant un moment donc lachez vos com's
Scène 3 : Catherina...
Tout le monde est attablé autour de spécialités hispaniques (hum... des burritos) sur une magnifique terrasse, faiblement éclairé par des lanternes. Lincoln et Marco sont en plein débat sur les effets à long termes des piments mexicains sur le corps et l’esprit tout en en avalant une quantité peu raisonnable. Pendant ce temps, Lola et Sarah partent en délire sur la façon de s’habiller de Catherina qui est en jean troué et T-shirt trop court, elle se défend comme elle peut mais finit par s’incliner et accepter une future journée shopping entre filles, « quand tout sera finit » bien évidement. Pendant ce temps, LJ tente de soutirer à Tonio ses secrets culinaires sans grands succès.
Quand son téléphone sonne, Catherina est presque soulagée, échappant ainsi à l’univers des cols roulés et autres jupes en skaï. Mais son sourire a tôt fait de disparaitre, remplacé par un haussement de sourcil inquiet quand elle décroche et écoute son interlocuteur avant de lui répondre :
« Viens ici...Oui Tullio c’est un ordre et tu ne me parles plus jamais comme ca ».
Quand elle finit par lever les yeux vers l’assemblée, Catherina se rend compte que toutes les discussions ont cessé et que tout le monde la regarde. Elle prend alors une grande inspiration avant de se jeter à l’eau :
« Tullio... reviens de SONA, il semblerait qu’il y ai quelques problèmes... On en saura plus quand il sera là, alors pour l’instant, on va éviter de s’inquiéter pour rien. » Elle attrape un burritos et baissent les yeux, comme pour illustrer son propos mais l’ambiance est déjà ébréchée... L’inquiétude grandit chez Sarah, LJ et Lincoln, Marco a les yeux braqués sur Catherina qui commence à mordiller ses lèvres, gagnée par le stress et la peur.
Tonio se lève et commence à débarrasser la table :
- Cat laisse tomber ...Tu voulais nous offrir une parenthèse dans l’angoisse et c’était plutôt réussi mais... Il est grand temps de la refermer.
- Toi et tes images à la con... (Catherina passe sa main sur sa nuque et se lève) Tu m’envoies ton crétin de frère quand il arrive, (elle se tourne vers Sarah, LJ et Lincoln) Désolée... Je vous tiens au courant. » Catherina va se réfugier dans sa chambre, tandis que Sarah et LJ viennent se coller à Lincoln qui étant ses bras autour d’eux (gros nounours...).
Une demi heure passe et quand Tullio entre dans la maison, visiblement très en colère, tout le monde est déjà à l’intérieur. Lincoln bloque Tullio devant la porte de Catherina, il l’empoigne et le soulève par le col :
- Tu me dis comment va mon frère tout de suite ou...
- Lincoln ! (Catherina passe la tête par sa porte) Tullio réponds lui.
- Qu’il me lâche d’abord (il ne peut presque plus respirer et Lincoln s’exécute) Ton frère est en vie...Il va bien. Du moins physiquement. (Il époussette son costume et remet sa cravate en place) Et maintenant si tu permets... » Il s’empresse de disparaitre dans la chambre de Catherina.
A l’intérieur de la chambre, Tonio est assis sur le lit où son frère vient le rejoindre. Catherina leur tourne le dos, face à la fenêtre :
- Alors ? Quel genre de problème on a si ce n’est pas physique?
- Je ne suis pas un expert mais je dirais...Dépression nerveuse. (Tullio se laisse tomber sur le lit, les mains derrière la nuque) Tu es dans la merde Catherina.
- Non Tullio, on est dans la merde.
- Cat, il faut que tu dises à Michael que tu... (Tonio se lève pour la rejoindre)
- Non ! Je ne peux pas lui faire ça... Mais comment il va exactement ?
- Il est complètement renfermé... Le regard dans le vide et tout ça...Chad commence même à flipper. Mais il n’est pas encore en danger de mort.
- Et le plan ?
- Ca avance ... Mais là, tu vas pas être contente (Tullio se tourne vers son frère lui faisant signe de continuer)
- Quoi ? (elle se retourne, les mains sur les hanches)
- Le type qu’a engagé Raphael... S’appelle Alexander Mahone.
- L’homme qui a tué Aldo... (Catherina passe sa main sur sa nuque, en secouant la tête) je dois être maudite... Il faut qu’on décide ce qu’il faut faire, si Michael ne reprend pas pied, ils le laisseront sur place. Et j’ai...on a besoin de lui.
- Il lui faudrait peut être un choc... (Tonio est interrompu par un bruit de moteur).
Catherina sort de sa chambre et jette un œil dans toutes les pièces, affolée. Quand elle aperçoit Lincoln elle l’attrape par la manche :
- Où est Sarah ?
- Ben au toil... (il regarde par la fenêtre et remarque qu’une des voitures à disparue) aie...
- Génial ! (Elle ouvre un tiroir et enlève le double fond pour récupérer sa ceinture de couteau) Tonio ! Tullio on lève le camp ! Lola je te laisse la maison. Et... » Elle cherche Marco des yeux, il est en train de charger son Beretta.
Lincoln n’essaie même pas de les suivre, il les regarde partir à la fenêtre.
Alors ?
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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