Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...

désolée les filles mais la suite sera pour demain etl faut que je la corrige et que je la complète!!! mais demain soir promis!!!

elle vous plait la ban qu lilin m'a faite pour ce chapitre? (j'ai réédité...)


Au fait, merci pour vos coms je vous aimeuuuuuuuuuuuhh

attention ce soir on va t'harceler si tu nous oublies


LA SUITE LA SUITE LA SUITE


nous aussi

viiiiiiiiiiiite une suite !!!!!!!!!!!!!

coucou...
J'ai pas l'impression que vous soyez très motivées pour une suite?
C'est dommage elle est prête mais j'hésite à la poster...

Si je suis très motivée et d'ailleurs Went est dans mes bras pas ceux de ma sister

aller hop hop hop miss j'ai posté c"'est a ton tour!!!!!!

la suite stp!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

la ban est vraiment magnifique bravos a la miss qui la faite!!!!

ok la voilà alors!










Au même moment, à Panama City…

Sara était toujours prostrée dans la salle de bain, terrorisée par le résultat du test de grossesse. Elle ne parvenait toujours pas à réaliser qu’elle attendait un enfant de Michael, alors que ce dernier était mort une semaine plus tôt.
Les larmes aux yeux, elle tremblait et les pensées se bousculaient dans sa tête.
Qu’allait-elle faire maintenant ? Elle était enceinte d’un homme qu’elle ne reverrait jamais…. Elle même n’était pas sûre d’avoir la force de continuer à vivre sans lui…
Non, elle ne pouvait pas garder cet enfant… Elle ne pourrait jamais le regarder dans les yeux sans repenser à Michael et à leur amour perdu… De toutes façons, elle n’avait pas le courage d’élever un enfant seule, sans lui, alors qu’elle était une fugitive recherchée aux Etats-Unis, et qu’elle n’était même pas sûre de sortir vivante de cette histoire…

Non, ça n’était pas possible… Il fallait qu’elle fasse quelque chose… A ces pensées, les larmes redoublèrent et elle se sentit encore plus désespérée. A quoi bon continuer dorénavant ? Michael ne reviendrait jamais, elle attendait un enfant qui ne connaîtrait jamais son père, cet homme si exceptionnel qu’elle avait aimé plus que sa propre vie… Elle savait bien que Lincoln voulait se battre pour venger le mort de Michael, mais malgré tous leurs efforts, même s’ils parvenaient à faire tomber la Compagnie, le jeune homme ne reviendrait jamais, et Sara devrait affronter le reste de sa vie désespérément seule…
Non, elle n’avait pas la force de continuer sans lui… Elle préférait partir le rejoindre dans ce Paradis où il devait l’attendre… Au moins, elle serait avec lui et ils pourraient enfin être heureux.

Elle inspira alors profondément, et, toujours les larmes aux yeux, se dirigea vers son sac resté dans sa chambre. Au bout de quelques instants, elle en sortit une petite boîte rectangulaire. Hésitant un instant, elle finit par l’ouvrir et fixa son contenu : une seringue et une dose de morphine.
C’est alors que tous les souvenirs de sa dernière overdose lui revinrent en mémoire… le soir de l’évasion… son réveil à l’hôpital… Katie… le FBI… Michael…
Elle saisit la dose, piqua la seringue dedans et regarda le liquide se vider du petit tube en verre.
Son cœur battait à la chamade, et les larmes lui brouillaient la vue.

Soudain, elle entendit la voix de Lincoln à la porte :
L : « Sara ? Tout va bien ? »
Mais elle fit comme si elle ne l’avait pas entendu. Sa décision était prise.
L : « Sara ? Sara ? Réponds moi, s’il te plaît ? »
Elle inspira profondément et prit la seringue dans la main.
L : « Sara ? »
Elle approcha la seringue de son bras.
L : « Sara ? Sara !! »
Elle inspira une nouvelle fois et murmura :
S : « A bientôt, Michael…j’arrive… »

C’est alors que la porte s’ouvrit tout à coup, laissant apparaître Lincoln, complètement paniqué.
Bouleversé, il tourna les yeux et aperçut Sara, une dose de morphine à la main et prête à se l’injecter dans le bras.
Sans réfléchir, il se précipita vers elle et donna un grand coup dans la seringue, qui fut projetée à l’autre bout de la pièce.
Il prit alors la jeune femme dans ses bras et la secoua violemment, les larmes aux yeux.
L : « Sara !! Sara !!! Pourquoi as-tu fais ça ? Pourquoi ? Pourquoi? »
Elle leva alors vers lui un regard implorant et le supplia :
S : Laisse-moi le rejoindre Lincoln…. Je ne pourrais pas continuer sans lui… Je t’en prie…. Laisse-moi retrouver Michael… »
Anéanti, Lincoln se mit à pleurer abondamment.
L : « Non, Sara !! Tu n’as pas le droit de faire ça ! Je ne le permettrai pas ! J’ai promis à Michael que je veillerai sur toi !! Je ne veux pas que tu meures ! »
La jeune femme pleura de plus belle.
S : « Je ne peux pas Lincoln… Je ne peux plus…. Laisse moi… Laisse nous le rejoindre… »

Interloqué, Lincoln se dégagea immédiatement de Sara et la fixa d’un air inquiet.
S : « Co… Comment ça nous ? »
Mais elle ne répondit rien et baissa les yeux, la tête entre les mains, en poussant des cris déchirants.
Lentement, le jeune homme s’approcha d’elle et passa une main autour de son épaule.
L : « Sara ? »
Au bout d’un moment, la jeune femme leva les yeux vers lui et le fixa d’un air désespéré.
S : « Je… Je suis enceinte Lincoln… J’attends un enfant de Michael…»

A ces mots, l’aîné des Burrows crut que son cœur allait cesser de battre. Il lui fallut quelques instants pour réaliser la portée des mots que Sara venait de prononcer, et soudain il sentit les larmes lui monter aux yeux.
L : « Oh mon dieu Sara… Mon dieu… »
S : « Je … Je ne peux pas continuer comme ça… Je ne pourrais jamais regarder cet enfant en face sans penser à lui… Je n’en n’ai pas la force. Je suis désolée… »
Encore sous le choc, Lincoln bredouilla :
L : « C’est pour ça que tu as voulu partir, pour le rejoindre avec votre enfant ? »
S : « Oui…je … je ne peux pas…pas sans lui »

Le jeune homme sentit alors la colère l’envahir.
L : « Mais c’est un enfant Sara ! Il est innocent ! Tu n’as pas le droit de faire ça ! Tu n’as pas le droit de lui supprimer la vie ! »
Mais il ne put continuer, la voix brisée par l’émotion.
Au bout de quelques instants, il leva des yeux pleins de larmes vers elle, prit une profonde inspiration et murmura :
L : « Sara… Cet enfant est un don…. Un dernier cadeau de Michael avant qu’il ne nous quitte pour toujours… Je t’en prie, ne lui fait pas ça… C’est aussi mon neveu… »
Bouleversée par ces aveux, la jeune femme sentit les larmes redoubler le long de ses joues.
S : « Je … Je suis désolée Lincoln… mais c’est trop dur… »

L’aîné des Burrows s’écarta alors et se dirigea vers la porte, après avoir ramassé la seringue pleine qu’il fourra dans sa poche.
L : « Sara, tu n’as pas le droit de supprimer ta vie et celle de ce bébé…. Tu ne peux pas faire ça à Michael ! C’est aussi son enfant ! »
Il marqua une pause puis poursuivit :
L : « Mais c’est une décision qui t’appartient à toi seule Sara… Réfléchis bien et demandes toi si cet enfant mérite de vivre… C’est l’enfant de l’amour, ne l’oublie pas ! Je te laisse, Sara, mais avant toute chose, sache que nous t’aimons tous et que nous avons besoin de toi… nous avons besoin de vous… »
Il quitta alors la chambre sans se retourner, la laissant désespérée sur le bord de son lit.


Dans une voiture, à quelques heures de la frontière panaméenne

Ils roulaient maintenant depuis un long moment, et s’étaient arrêtés manger un morceau dans une station-service, avant de poursuivre leur voyage.
Katie observait Michael qui conduisait depuis Chicago, et remarqua que le jeune homme semblait épuisé : de larges cernes ornaient ses yeux bleus et ses mains étaient agitées de tremblements. Il avait absolument de repos, surtout après tout ce qu’il venait de vivre… Il fallait qu’il dorme, sinon il ne tiendrait jamais.

Aussi, dès qu’elle vit une pancarte annonçant une aire d’autoroute quelques kilomètres plus loin, la jeune infirmière décida d’intervenir :
K : « Vous vous arrêterez à la prochaine aire et vous me donnerez le volant Michael…. Vous êtes épuisé il faut absolument que vous dormiez. »
Michael allait protester mais avant qu’il puisse ouvrir la bouche, elle poursuivit :
K : « Et je ne vous demande pas votre avis… Ordre du médecin… De toutes façons nous approchons de la frontière et il est préférable que ce soit moi qui soit au volant à cause de l’avis de recherche lancé contre vous… »
Esquissant un sourire, Michael répondit :
M : « Très bien, chef…. C’est vrai que ça ne me fera pas de mal de dormir un peu, je suis épuisé. »

Un quart d’heure plus tard, il passa le volant à Katie et s’allongea sur la banquette arrière, plongeant ainsi dans un sommeil profond peuplé de rêves dans lesquels il retrouvait Sara…

bon par ou commencer!!!!

deja merci d'avoir posté!!!!

pauvre sara elle tete de se suicider croyant mike mort!!!
heureusement que linc est arrivé il est heureux pour le bebe et j'espere qu'elle ne va pas faire de betisre pour perdre le bebe mike arrive bientot!!!!

de main les retrouvailles stp je commnce a ne plus tenir le Misa me manque!!!!
sinon bravos!!!!!
triste et tres triste mais tu a tres bien exprmier le resnetiment de sara !!!!!!!

Salut la compagnie!!!

Merci encore pour vos adorables coms sur ma fic,c'est vraiment super sympa!!!
Alors voilà, comme je vous adore, je pense poster une petite suite ce soir... mais est-ce que ça vous tente ou pas?

c kler que ca me tente vite une suite

A vrai dire sa ne me tente pas plus que SA!!!!
..................... JE rigole bien sur qu'on veut la suite mais aussi des RETROUVAILLES!!!!!

a se soir!!!!!!

miss j'ai ratrappé les deux dernières suites et sara est enceinte de michael

mais heureusement que linc l'arrete avt qu'elle ne se suicide
vivement le retrouvailles misa


LA SUITE CE SOIR TU L'AS DIT!!!!!!!

Ok alors.... Voilà la suite!!!

Chapitre 43

Merci lilin!


Michael dormait depuis plusieurs heures d’un sommeil profond, sous le regard attendri de Katie.
Il ne cessait de murmurer le nom de Sara, et même lorsqu’il dormait on devinait la force de l’amour qu’il éprouvait pour elle.

Elle songea alors à la première rencontre entre les deux jeunes gens, dans l’infirmerie du pénitencier de Fox River, quelques mois plus tôt. Même si eux ne s’en étaient pas rendus pas compte, elle avait tout de suite perçu l’attirance très forte qu’ils ressentaient l’un pour l’autre et avait vite réalisé que ces deux là étaient faits pour s’aimer passionnément. Michael était l’homme que Sara avait attendu toute sa vie…
Bien sûr, ils avaient tous deux commencé par nier leurs sentiments, mais Katie n’était pas dupe, ils s’aimaient d’un amour unique et indestructible depuis le moment où leurs regards s’étaient croisés pour la première fois… Il suffisait de voir comment ils se dévoraient des yeux à chaque instant…. Ou encore le temps infini que prenait Sara pour faire sa piqûre au jeune prisonnier tatoué.
Oui, Katie avait vite compris que Sara Tancredi et Michael Scofield étaient fait pour s’aimer infiniment et pour toujours, envers et contre tout…

Elle jeta à nouveau un regard vers le jeune homme endormi et sourit.

Un quart d’heure plus tard, Michael se réveilla en sursaut, se demandant où il était. Il ouvrit péniblement les yeux, puis aperçut Katie au volant et d’un seul coup tout lui revint en mémoire.
M : « Tout va bien ? »
L’infirmière se retourna en souriant.
K : « Vous êtes réveillé Michael ? Oui, tout se passe bien ne vous inquiétez pas… Nous serons à la frontière dans une bonne heure. »
M : « Merci. Voulez-vous que je prenne le volant ? »
K : « Merci, c’est gentil Michael, mais ça va… Et puis nous arrivons bientôt à la douane, il est préférable que je sois au volant. »
M : « D’accord, vous savez où est-ce que j’ai mis mon sac ? »
K : « Oui, il est là, sur le siège passager… Est-ce que votre blessure vous fait souffrir ? »
M : « Non, pour l’instant ça va. »

Le jeune homme se saisit du sac fourni par Jack et en sortit deux sandwiches, puis en tendit un à Katie.
M : « Tenez, c’est pour vous… »
K : « Merci Michael, vous êtes décidément très galant, je comprends pourquoi Sara a craqué pour vous… »
Rougissant, Michael détourna le regard et regarda le paysage à travers la vitre, perdu dans ses pensées qui l’emmenèrent immédiatement vers Sara, vers la femme de sa vie…

Une heure plus tard, il fut sorti de sa torpeur par Katie qui annonça :
K : « Michael, nous arrivons à la frontière panaméenne. Sortez votre casquette et vos mettez lunettes, et surtout ne dites rien, laissez-moi faire »
M : « Bien »
Il enfila la casquette et les lunettes, et quelques minutes après, la jeune infirmière arrêta la voiture devant le douanier en uniforme.
D : « Bonjour, madame… Rien à déclarer ? »
K : « Non, Je pars avec mon fiancé passer une semaine de vacances au Panama »
D : « Bien, vos papiers s’il vous plaît. »
Katie s’exécuta, et, après les avoir examinés attentivement, le douanier les lui rendit et se pencha vers Michael.
D : « Bonjour, Monsieur, vos papiers… »
Le jeune homme sentit la peur l’envahir mais il n’en laissa rien paraître.

L’instant était critique. Si jamais le policier le reconnaissait, il serait arrêté sur le champ et tout serait fini… Il ne reverrait jamais Sara ni son frère…
Il inspira profondément et tendit ses papiers à travers la fenêtre ouverte.
Le douanier les regarda un instant puis fronça les sourcils.

Complètement paniqué, Michael crut que son heure était venue. Mais au bout d’un moment, l’homme en uniforme lui rendit son faux passeport et sa carte d’identité avec un sourire.
D : « Très bien, tout est en règle, vous pouvez y aller… »
K : « Merci, au revoir… »

Katie démarra enfin la voiture et au bout d’un kilomètre, elle et Michael poussèrent un cri de joie et de triomphe.
K : « On a réussi ! On est passé !»
M : « Oui, c’est magnifique ! Je n’arrive pas à y croire ! »
Il réalisa alors soudain que si tout se passait bien, il allait revoir Sara dans quelques heures, et son cœur se mit à battre à la chamade… Sans qu’il s’en aperçoive, des larmes de bonheur et de soulagement apparurent dans ses yeux, et il se sentit soudain plus léger, comme libéré d’un poids énorme…

Il était libre…
Dans ce pays, il était un inconnu, et dans quelques heures il allait retrouver la femme de sa vie…
Et malgré tout ce qu’il avait traversé, malgré toues les souffrances qu’il avait endurées, et même si tout était loin d’être fini, il voulait profiter de cet instant unique où il serrerait à nouveau Sara dans ses bras en lui murmurant tout l’amour qu’il éprouvait pour elle..
Oui, en cet instant, Michael Scofield était heureux comme il ne l’avait plus été depuis bien longtemps.

Emue par les larmes du jeune homme, Katie sentit son cœur se serrer et réalisa que l’amour qui unissait Sara et Michael était indestructible et d’une puissance rare.
Elle regarda son passager toujours bouleversé et au bout d’un quart d’heure, celui-ci demanda :
M : « Nous arrivons dans combien de temps à Panama City ? »
K : « Une dizaine de minutes… »
M : « Je… Je peux prendre le volant ? »
L’infirmière sourit.
K : « Oui, bien sûr Michael »
Elle s’arrêta un peu plus loin et lui céda sa place avant de s’installer sur le siège arrière.
K : « Vous savez où les trouver ? »
M : « Nous avions prévu avec Lincoln de loger dans un hôtel de Panama-City puis de partir sur le Christina Rose. Je vais d’abord aller à l’hôtel puis s’ils n’y sont pas, nous rejoindrons le port. »

Mais soudain, la panique l’envahit. Et si il ne les retrouvait pas ? Si jamais ils étaient déjà partis ? Si ils avaient changé de plan ?
Mais il refusait d’y croire et voulait se persuader qu’il allait les revoir très vite. Il avait plus que jamais besoin d’espérer et de garder la foi.
Il soupira.
M : « Enfin… J’espère… »
Katie, sentant l’inquiétude de Michael, tenta de le rassurer.
K : « Ne vous inquiétez pas, je suis sûre que nous allons les retrouver… »
M : « J’espère .... »
Et ils poursuivirent leur route dans un silence pesant.






Pendant ce temps, à Panama City

Après le départ de Lincoln, Sara était restée prostrée sur son lit, totalement désespérée et pleurant à chaudes larmes.
Ce qu’avait dit le frère de Michael l’avait bouleversée et elle ne savait plus quoi faire… Devait-elle garder cet enfant, fruit de son amour avec le jeune homme ? Ou devait-elle renoncer à vivre car sans lui c’était trop difficile ?
Elle ne savait plus où elle en était et se sentait complètement perdue.
Elle sanglotait et murmurait sans relâche le prénom de Michael avec désespoir.
S : « Michael…. Michael aide-moi… je t‘en prie j’ai besoin de toi… »
Mais seul le silence de la chambre lui répondit, ce qui ne fit qu’augmenter son désespoir.

Finalement, au bout d’une heure, incapable de prendre une décision, elle décida d’attendre encore, et descendit rejoindre Lincoln dans le hall.
Dès qu’il la vit apparaître, le visage défait et les yeux rougis, l’aîné des Burrows fut bouleversé. Il redoutait la décision qu’elle avait prise, mais ne lui demanda rien devant son père.
Elle s’approcha de lui et déclara d’une voix tremblante :
S : « Lincoln, tu as localisé le Christina rose ? »
L : « Oui… mais… »
Elle l’interrompit.
S : « Je suis prête à partir. Je veux quitter cet endroit »
L : « Tu es sûre que ça va aller ? »
S : « Oui, ne t’inquiète pas. »
Inquiet, le jeune homme préféra ne rien ajouter.
L : « Très bien, alors nous partons dans un quart d’heure, le temps que l’on prépare nos bagages et que l’on règle la note d’hôtel »

Quinze minutes plus tard, ils étaient prêts à partir et se retrouvèrent dans le hall.
Après avoir vérifié qu’ils n’avaient rien oublié, ils se dirigèrent vers la voiture et prirent la route en direction du Christina Rose.

Le combat pour venger la mémoire de Michael allait pouvoir commencer.







Alors? désolée je suis pas contente de cette suite mais j'essaierais de faire mieux la prochaine fois!
Et encore désolée mais toujours pas de retrouvailles il va falloir patienter encore un peu!
Ah, j'oubliais... Je vous adore!

deja fanancic je vois pas pourquoi tu n'es pas contente de cette suite
parce que elle est vraiment bien ecrite

avec michael qui pense à sara
katie qui se remémore les rdv des amoureux
en plus ils ont passé la frontière et vont bientot arriver

mais sara linc et aldo sont parti au bateau
ya interet à se que michael les rejoigne avant qu'ils n'aient quitté le port

et je veux les retrouvailles misa pour plus que sara soit triste

merci pour cette suite fanancic
et nous aussi on t'adore

dacbc77 a écrit:deja fanancic je vois pas pourquoi tu n'es pas contente de cette suite
parce que elle est vraiment bien ecrite

avec michael qui pense à sara
katie qui se remémore les rdv des amoureux
en plus ils ont passé la frontière et vont bientot arriver

mais sara linc et aldo sont parti au bateau
ya interet à se que michael les rejoigne avant qu'ils n'aient quitté le port

et je veux les retrouvailles misa pour plus que sara soit triste

merci pour cette suite fanancic
et nous aussi on t'adore

pareil pareil

choupine a écrit:

dacbc77 a écrit:deja fanancic je vois pas pourquoi tu n'es pas contente de cette suite
parce que elle est vraiment bien ecrite

avec michael qui pense à sara
katie qui se remémore les rdv des amoureux
en plus ils ont passé la frontière et vont bientot arriver

mais sara linc et aldo sont parti au bateau
ya interet à se que michael les rejoigne avant qu'ils n'aient quitté le port

et je veux les retrouvailles misa pour plus que sara soit triste

merci pour cette suite fanancic
et nous aussi on t'adore

pareil pareil

la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite

elle est super cette suite et comme le dit miss sadicgirl je veux aussi les retrouvailles MISA, alors Katie et Michaël vont arriver avant que les autres et surtout Sara s'en aillent sur le bâteau



et moi aussi je t'adore

bon voila je ne suis pas la pendant 2 jours alors je me disais que j'allait avoir 2suites mais non !!!
en plus pas de retrouvailles pourquoi tu nous fais sa mon coeur ne va pas tenir longtemps!!!!

il manquerait plus que mike les loupe et la sa serai l'ecatombe!!!!

j'espere que se oir tu vas posté avec des retrouvailles!!!

dis moi uqe se n'st pas la fin stp!!!!!

tu cartonnes j'adore,je suis fan!!!!!

une suite bientot fanancic???

j'en peut plus je veux les retrouvailles misa

Coucou les filles!!

Tout d'abord merci pour vos adorables coms, c'est vraiment motivant pourmoi et ça me touche beaucoup!!!!


Malheureusement, j'ai une mauvaise nouvelle : pour la suite, il va falloir attendre encore un peu, je n'arrive pas à l'écrire, je n'ai pas trop l'inspiration, les mots ne viennent pas... En plus je passe mon concours dans moins d'un mois donc je suis en stress total et pas mal débordée!!!
Heureusement les fics sont là pour me remonter le moral!!!

J'essaie de faire de mon mieux pour la suite pour la mettre dans la semaine...

Voilà j'espère que vous ne m'en voudrez pas trop....
Et puis on sait jamais faut pas désespérer je peux être prise d'une inspiration soudaine...


Ah, et j'oubliais , ne vous inquiétéz pas : ma fic est très loin d'être finie! J'ai encore pleins d'idées!!!


Encore merci et a dans la semaine pour la suite! Je vous adore!!

ok miss pas de souci revise bien pour ton concour et tu me rassures en me disant que ce n'st pas la fin

fait comme tu peux j'espere que l'inspiration sera de retour!!!

a dans la semaine

JulieScofield a écrit:ok miss pas de souci revise bien pour ton concour et tu me rassures en me disant que ce n'st pas la fin

fait comme tu peux j'espere que l'inspiration sera de retour!!!

a dans la semaine

pareil et ne t'inquiète pas on va attendre le prochain chapitre

bon courage pour ton concours

Coucou les filles... merci de votre compréhension vous êtes adorables...






















En fait, j'ai une bonne nouvelle (enfin, ça c'est vous qui voyez....)
Hier soir, après avoir lu vos adorables messages, j'ai été comme prise d'une illumination et j'ai enfin réussi à écrire le chapitre 45....
J'en avais ras le bol de réviser ça m'a changé les idées...


Je vous propose donc de vous poster le chapitre 44 ce soir, si vous êtes partantes évidemment....

Dites moi si ça vous tente, et je fais mon possible pour le poster ...


(au fait, j'ai réédité le chapitre 43 avec une nouvelle ban de lilin!)

coolllllllllllllllllllll moi je veux que tu la postes cette suite et j'espere qu'on les aura ses retrouvailles car la mon coeur va pas tenir!!!!!!!!!!

Bon alors voilà la suite!!!
Bonne lecture!

Chapitre 44

Une heure plus tard, Lincoln gara la voiture sur le parking d’un petit port ensoleillé, là où était censé se trouver le Christina Rose.
Les trois voyageurs descendirent de la voiture, et l’aîné des Burrows constata avec tristesse que Sara avait encore pleuré.

Tous trois se dirigèrent vers la capitainerie, où ils devaient récupérer les clés du Christina Rose.
L : « Bonjour, monsieur. Je viens chercher les clés d’un bateau acheté au nom de Monsieur Crane, Michael Crane »
H : « Très bien. Patientez un instant, je reviens »
Quelques minutes plus tard, l’employé réapparut, un trousseau à la main.
Il tendit une feuille à Lincoln et déclara :
H : « Voilà, tout est en règle. Signez-là s’il vous plaît. »
Le jeune homme s’exécuta et rendit le document au réceptionniste.
H : « Parfait ! Voici vos clés. Le bateau est sur le pont 56 b à votre gauche en sortant »
L’aîné des Burrows saisit les clés, et après avoir remercié l’employé, il quitta la boutique, suivi de près par Aldo et Sara.

Ils se dirigèrent vers le ponton 53 b, et après quelques recherches, parvirent enfin devant le Christina Rose.
C’était un superbe voilier de 8 mètres de long sur 2 mètres de large équipé de 2 mâts et 2 grands-voiles, et pouvant embarquer jusqu’à 8 personnes.
Ebahi par sa beauté, les trois fugitifs ne purent s’empêcher de pousser des cris d’admiration.
Emu, Aldo regardait ce bateau qui portait le nom de sa femme trop tôt disparue. C’était un magnifique hommage que lui avait fait Michael en nommant ainsi ce bateau synonyme de liberté et d’espoir…

Si seulement son jeune fils avait pu être là aujourd’hui…
Sa place était ici, parmi les siens et auprès de la femme qu’il aimait… Ce fils qui l’avait si peu connu lui manquait déjà tellement…. Il aurait tant préféré mourir à sa place et lui permettre de vivre libre et heureux avec Sara…

Il sentit soudain les larmes monter aux yeux et ne fit rien pour les arrêter. C’était la première fois qu’il parvenait à pleurer depuis le décès de Michael.
Et soudain, il se mit à sangloter de plus belle, comme un enfant, sans plus pouvoir s’arrêter.
Il pleurait l’injustice de cette vie qui lui avait interdit de voir ses fils grandir, cette foutue vie qui lui avait arraché son enfant alors que ce dernier venait de rencontrer la femme de sa vie et qu’il venait enfin de faire sa connaissance après tant d’années de séparation….
Il sanglotait sans pouvoir s’arrêter, prostrée sur le sol au pied du bateau.
Lui qui pendant toutes ces années avait tenu bon dans l’espoir de revoir un jour ses enfants, il craquait aujourd’hui, car il comprenait que jamais il ne reverrait Michael, son plus jeune fils qu’il avait si peu connu…
Toute sa vie il s’était battu contre le Cartel, mais en cet après-midi étouffante, dans ce petit port du Panama, il comprit soudainement que son combat était perdu d’avance : on ne pouvait pas gagner contre ces gens là , ils étaient trop puissants…
A cause de lui, son fils était mort et son aîné était un fugitif recherché dans tous les Etats-Unis pour un meurtre qu’il n’avait pas commis…
Il s’en voulait tellement de ne pas avoir pu leur offrir une vie heureuse et normale, comme les autres enfants.
Par sa faute, Michael était mort et il prit conscience qu’il devrait porter cela comme un fardeau tout au long de sa vie…

Alors qu’il pleurait de plus belle, il sentit soudain une délicate main se poser sur son épaule. Il leva les yeux, surpris, et croisa le regard plein de compréhension et de tristesse de Sara.
Elle murmura d’une voix douce et brisée par l’émotion :
S : « Monsieur Burrows… Vous ne devez pas vous sentir responsable de la mort de votre fils… Ce n’est pas de votre faute… »
Elle inspira alors profondément alors qu’une larme perlait dans ses yeux.
S : « Vous savez…Michael était… un homme exceptionnel. Tout comme vous, je l’ai peu connu mais... je n’avais jamais rencontré quelqu’un comme lui avant. Il faisait toujours passer le bonheur des autres avant le sien et… rien ni personne n’aurait pu l’empêcher de sacrifier sa vie pour nous. Il préférait mourir plutôt qu’il arrive malheur à l’un d’entre nous… »
Les larmes coulaient abondamment le long de ses joues mais elle ne cherchait pas à les arrêter et poursuivit.
S : « Monsieur Borrows, c’était le choix de Michael de donner sa vie pour sauver la nôtre, et vous n’êtes absolument pas responsable. Personne ne pouvait rien faire… Personne… »
Mais elle ne put poursuivre, tellement la douleur était forte.

Bouleversé par les paroles de cette jeune femme que son fils aimait plus que tout au monde, Aldo Burrows sentit l’émotion le submerger de plus belle.
A : « C’est à cause de moi que tout cela est arrivé…. Si je n’étais pas rentré dans cette abominable Compagnie, jamais je n’aurais été séparé de mes enfants et nous aurions pu vivre heureux, comme les autres… C’est de ma faute… »
S : « Monsieur Burrows, vous ne pouviez pas savoir… Personne ne pouvait imaginer qui étaient réellement ces gens-là… Personne… »
A : « J’aurais dû savoir… deviner… »
Il était complètement désemparé et rien ne semblait pouvoir apaiser son chagrin.

C’est alors que Lincoln, qui jusque là n’avait rien dit, décida d’intervenir.
Il s’approcha doucement de son père et posa à son tour une main sur son épaule.
L : « Papa… »
Mais il ne put continuer… Ce simple mot, ces quelques lettres qu’il n’avait plus prononcées depuis des années, firent rejaillir en lui des émotions oubliées, enfouies au plus profond de lui-même. Finalement, il prit une profonde inspiration et poursuivit.
L : « Papa… Sara a raison… Tu ne pouvais pas savoir qui étaient ces gens, et ce que tu as fait était très brave… En effet, il faut beaucoup de courage pour se retourner contre des gens aussi puissants, au risque de sa propre vie… Tu as fais le bon choix, Papa… tu as choisi la justice contre la barbarie, peu d’hommes sur terre auraient eu cette force… Je… Michael a hérité cela de toi… ce courage si exceptionnel de se battre pour ce qui est juste… alors… pour lui… pour sa mémoire nous ne devons pas baisser les bras… Je sais que ce sera dur mais nous lui devons bien ça… »
Les larmes lui brouillaient les yeux et il prit la main de Sara et elle de son père dans les siennes et murmura, la voix brisée par l’émotion.
L : « Michael, je te promets que nous allons nous battre pour finir le travail que tu avais commencé… Je te jure que nous ferons tout notre possible pour venger ta mort et honorer ta mémoire… Je te le promets petit frère… Nous nous battrons… tous les trois… »
Il jeta alors un regard vers le ventre Sara et celle-ci rougit puis baissa les yeux.

Aldo inspira alors profondément et murmura :
« Michael, mon fils, je te promet de tout faire pour que ta mort ne reste pas impunie. Je te le jure … je t’aime… ». Il se mit alors à pleurer de plus belle, bouleversé.

Après un moment de silence, Sara inspira à son tour et murmura :
S : « Michael, je t’ai connu peu de temps mais je t’ai tout de suite aimé comme jamais je n’avais aimé un homme auparavant… Et je te jure, au nom ce cet amour indestructible que j’ai et que j’aurai toujours pour toi, je te jure que je vengerai ta mort et ton sacrifice pour nous, car… je t’aime… je t’aime tellement… »
Elle se mit alors à pleurer à chaudes larmes, brisée par la souffrance.
Tous droits se redressèrent et accablés par l’émotion, se précipitèrent dans les bras les uns des autres, comme pour se prouver que maintenant ils étaient unis et allaient se battre ensemble pour honorer la mémoire de Michael Scofield.

Il finirent par se séparer et montèrent découvrir le magnifique bateau acheté par le jeune disparu.
Après une rapide visite des lieux, ils furent subjugués par la splendeur du navire et des différentes pièces.
Epuisée, Sara rejoignit sa cabine afin de ranger ses affaires. Cette dernière était magnifique, pas très grande mais décorée avec goût, et au centre trônait un splendide lit à deux places. En le voyant, Sara sentit son cœur se serrer. Michael aurait dû être là, avec elle, dans ce lit…
Elle sentit l’émotion la gagner et pour se changer les idées, décida de faire une petite sieste.
A peine avait-elle posé la tête sur l’oreiller qu’elle plongea dans un sommeil profond.

Elle se réveilla une demi-heure plus tard, se demandant où elle était. Par réflexe, elle passa sa main dans la place à côté d’elle mais, constatant qu’elle était vide, elle sentit son cœur se serrer et tout lui revint en mémoire…

Soupirant, elle décida de se lever et d’aller vers un tour dans le port afin de s’aérer l’esprit. Après s’être rapidement changée, elle passa prévenir Lincoln de son départ et partit en direction de la magnifique plage de sable fin qui longeait le petit port.







Au même moment, vers Panama City…

Michael et Katie avaient passés la frontière depuis plusieurs heures et arrivaient maintenant dans la ville de Panama City.
Il était midi, ils avaient roulés toute la nuit depuis leur départ de Chicago et tous deux semblaient épuisés mais heureux. Ils étaient maintenant tout près de leur objectif, et à la pensée qu’il allait bientôt retrouver ceux qu’il aime, Michael sentit son cœur se gonfler de joie.
A cette heure ci, le centre-ville était très agité, les terrasses des restaurants étaient bondées et les rues encombrées de véhicules de toutes sortes.

Au bout d’un quart d’heure, le jeune homme parvint à garer la voiture sur le petit parking de l’hôtel où il avait prévu de loger avec Lincoln.
En compagnie de Katie, il descendit du véhicule et se dirigea vers la réception.
M : « Bonjour Monsieur, je recherche mon frère, mon père et ma fiancée. Ils ont dû arriver il y a quelques jours et je devais les rejoindre, mais j’ai été retardé. Pourriez-vous m’indiquer leur chambre s’il vous plaît ? Il s’agit d’une réservation au nom de Mr Crane »
Re : « Bien sûr, patientez un instant je vais regarder dans le registre »
M : « Merci beaucoup »
Pendant que le réceptionniste faisait ses recherches, Michael sentit son cœur accélérer.
Au bout d’un moment qui lui parut une éternité, l’employé leva un regard désolé vers le jeune homme.
Re : « Je suis désolé Monsieur, vous les avez manqués de peu… Ils sont repartis ce matin »
A ces mots, Michael crut que son cœur allait cesser de battre.
M : « Vous … Vous savez où ils sont allés ? »
Re : « Non, désolé monsieur. Ils ne m’ont rien dit. En revanche, j’ai entendu le monsieur aux cheveux grisonnants parler d’un bateau… c’est tout ce que je peux vous dire… »

Tout à coup, Michael se sentit plus léger et un immense soulagement l’envahit.
Ils étaient partis pour le Christina Rose, c’était là bas qu’il les retrouverait… Il en était sûr…
Après avoir chaleureusement remercié le réceptionniste pour son aide, il quitta l’hôtel, suivi de près par Katie, et se dirigea vers leur voiture.
A peine installé au volant, il démarra en trombe, sous le regard amusé de l’infirmière.
K : « Vous savez exactement où se trouve ce bateau ? »
M : « Oui, c’est moi qui l’ai acheté, ça faisait partie du plan.. »
K : « Décidément, Mr Scofield vous m’impressionnez… En plus d’être très séduisant, vous êtes extrêmement intelligent… Je comprends pourquoi Sara est tombée amoureuse de vous… »
Rougissant, Michael détourna les yeux et poursuivit sa route.

Plus ils se rapprochaient du port où était amarré le Christina Rose, plus l’angoisse et l’excitation étreignaient le cœur du jeune homme.
Il attendait ce moment depuis tellement longtemps et en même temps il appréhendait ses retrouvailles. Comment Sara allait-elle réagir en le voyant en vie ? Et d’ailleurs, serait-elle là ? Si jamais ils étaient déjà partis ? Si il ne les revoyait jamais ?
Il poussa un profond soupir et tenta de chasser ses pensées de sa tête.

Enfin, au bout d’un moment qui lui parut une éternité, il franchit la pancarte du petit port et sentit son cœur battre à la chamade.
Tétanisé, il gara la voiture sur le parking du port, coupa le moteur et inspira profondément.
Attendrie, Katie posa une main sur son épaule et tenta de le rassurer.
K : « Allez-y Michael… n’ayez pas peur… Je suis sûr que tout va bien se passer…. Je vous attends là… Ce moment vous appartient à vous et à Sara… Allez… »
Esquissant un faible sourire, le jeune homme posa sa main sur la poignée et murmura.
M : « Merci Katie…Merci pour tout… »
K : « Tss… allez…. Qu’est ce que vous faites encore là ? Vous devriez déjà être dans les bras de Sara ! »
Le jeune homme sourit et sortit du véhicule.

Il se dirigea vers les pontons, la main dans les poches de son sweet-shirt à capuche, et le cœur battant à tout rompre contre sa poitrine.

Il fit quelques pas dans les allées ensoleillées et soudain…. Il le vit…
Le Christina Rose trônait au milieu des autres bateaux, majestueux et sublime avec ses voiles ondulant sous la légère brise de cette fin d’après-midi.
Il crut qu’il allait défaillir mais trouva néanmoins la force de continuer à avancer, sentant son rythme cardiaque accélérer de plus belle.

Il fit quelques pas, et s’arrêta devant le Christina Rose, pétrifié. Le jeune homme inspira profondément, puis monta sur le bateau, respirant avec peine. Arrivé sur le ponton, il n’entendit aucun bruit. Il fit rapidement le tour du navire, mais dut constater qu’il n’y avait personne.

Néanmoins, en passant dans le couloir, le jeune homme crut que son cœur allait cesser de battre. Il avait aperçu par une porte entrouverte le chemisier en soie de Sara. Pétrifié, il se précipita dans la chambre et prit les vêtements qu’il serra fortement contre lui, alors que les larmes lui montaient aux yeux…
Et d’un coup tout lui revint en mémoire… Sara… son odeur exquise, la douceur de ses lèvres et de sa peau contre la sienne, leurs baisers passionnés…
Il sentit alors l’émotion le submerger et s’assit sur le lit, le chemisier serré contre son cœur.
Soudain, il aperçut sur la table de nuit un objet qui lui semblait familier… la rose en origami qu’il lui avait offerte à Fox River… Elle l’avait gardée… les larmes redoublèrent le long de ses joues meurtries et il quitta alors précipitamment le bateau, la rose en origami serrées dans sa main.
La jeune femme ne devait pas être loin, il sentait sa présence…

Micheal regarda aux alentours et décida d’aller vers la plage… Peut-être était-elle allée faire un tour…
Le cœur battant à tout rompre, il commença à marcher en direction du soleil couchant sur la magnifique plage bordant le petit port.
Il fit quelques pas, les mains enfoncées dans son sweat-shirt à capuche, mais aucune trace de la jeune femme. Il était à présent arrivée sur la plage et seul se faisait entendre le clapotis des vagues et le souffle du vent sur le sable fin.
Il scruta l’horizon ensoleillé, sentant la peur le gagner.

Puis soudain… il la vit…

Et tout cessa d’exister autour de lui.















Alors?
Bon d'accord c'est toujours pas les retrouvailles mais ça approche quand même!!!
Et puis je vous ai gâtées, elle est longue cette suite!!!!

Bon n'hésitez pas à me donner votre avis, comme d'hab je suis pas super contente de moi, j'ai l'impression que c'est pas op, mais je crois que c'est maladif, je serai jamais satisfaite!!!

Merci encore de votre soutien et bonne lecture!!

Je vous adore!