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ConnexionLes turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Mer 9 Juil - 23:15
cette suite est parfaite même si je sens que les ennuis vont pas tarder 
et puis faut bien que je relise cette suite après avoir lu 2 suites de jusqu'à la mort 
Went est furax contre ce Jacob et si il apprend ce qu'il a fait à Sarah je sais pas si il gardera son calme
Amaury et Dom qui font les pitres
les photos sont
déjà que je me fait dess films alors là je confirme mes hypothèses même si on me prend pour une fofolle 
allez mets une seconde suite pour me faire complètement sécher les larmes que j'ai versées pour ta fic MISA
et puis faut bien que je relise cette suite après avoir lu 2 suites de jusqu'à la mort Went est furax contre ce Jacob et si il apprend ce qu'il a fait à Sarah je sais pas si il gardera son calme
Amaury et Dom qui font les pitres
les photos sont
déjà que je me fait dess films alors là je confirme mes hypothèses même si on me prend pour une fofolle allez mets une seconde suite pour me faire complètement sécher les larmes que j'ai versées pour ta fic MISA
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Mer 9 Juil - 23:29
merci pour cette suite elle est aussi géniale que les précédentes.
Encore ce jacob de marde dans les parrage, mais ca ne va poser un plus grand problème que de le virer celui la ?
toujours aussi tordant de rire dom et Ama...
une suite ne serait pas de refus.
Encore ce jacob de marde dans les parrage, mais ca ne va poser un plus grand problème que de le virer celui la ?
toujours aussi tordant de rire dom et Ama...
une suite ne serait pas de refus.
Islemmedemars- Embrasse Michael......
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Jeu 10 Juil - 13:59
hello Angie 
aujourd'hui je vais passer commande pour trois suites, deux si c'est du pur WESA, bah oui mon congélo risque la panne
aujourd'hui je vais passer commande pour trois suites, deux si c'est du pur WESA, bah oui mon congélo risque la panne
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Jeu 10 Juil - 21:38
merci à toutes pour vos coms les miss, bon, je tiens tout spécialement à vous prévenir que cette scéne est déconseillée au moins de 16 ans, ok ? Vous êtes pas d'accord ? 
Bassine, congélo, tout ce que vous voulez^^
bonne lecture les miss et vive le WESA
Chapitre 28.
Après cinq minutes à attendre Wentworth dans notre suite, je finis pas aller dans la salle de bain pour me changer en vitesse. Je pouffe de rire en repensant à la conversation que j’ai tenue avec Amaury alors que nous regagnions nos chambres. Il était dépité de savoir que je m’étais vengé de cette façon. A oubliez de mettre leurs sous-vêtements dans leurs bagages ! J’avais éclaté de rire en voyant les yeux exorbités qu’il faisait alors que je lui avais proposé gentiment de lui prêter les miens.
Je finis de passer ma robe et m’inquiète de ne voir toujours pas arriver Went ! Il exagère, je pensais qu’il avait tout comme moi l’envie que nous nous retrouvons seuls, rien que tous les deux. Je peste intérieurement quand soudain, la porte vient de claquer. Rapidement, je m’empresse de sortir de la pièce et sourit tendrement en découvrant Went, adossé contre la porte, le souffle court.
S : Tu en fais une tête !
W : (poussant un soupir de soulagement et s’approchant de Sarah pour la prendre dans ses bras) Ho ma chérie… j’ai été retenu par des fans !
Il m’embrasse d’une pluie de baisers dans le cou et remonte sur mon visage. Je m’écarte légèrement de lui, sans toutefois briser la douce chaleur de son étreinte. Je souris et le regarde d’un air compatissante.
S : Mon pauvre chou…
W : Tu l’as dis, ma princesse. Qu’est-ce qu’ils ont toutes à me faire les yeux doux et à m’agripper comme des tigresses ?
Je pouffe de rire aux gros yeux qu’elle me fait. J’adore la voire jalouse et j’avoue que suis tout autant satisfait. Replongeant mon visage dans le creux de son cou, je l’embrasse avec douceur quand elle s’écarte de moi.
S : (tendant les bras pour un minimum de séparation entre leurs corps) Tu veux dire que… pendant que je t’attendais, tu étais en train de taper discute avec des femmes ?!
W : (riant légèrement en haussant un sourcil) Hum…Tu es jalouse, Wayne Callies ?
S : (furieuse) Tu…
Je l’attire dans mes bras et l’interromps d’un baiser fougueux.
W : (murmurant contre ses lèvres) Tu n’as rien à craindre… c’est toi seule dont j’ai envie, toi seule que j’aime, mon amour…
Je souris légèrement et m’agrippe à son cou tandis qu’il reprend notre baiser avec passion. Ses mains glissent sensuellement sous ma robe, gémissant de désir contre sa bouche. Je peux sentir les battements de son cœur résonner contre ma poitrine…
Je la soulève dans mes bras et nous fait basculer sur le lit. Je ne me sentais pas capable jusqu’alors de cet insatiabilité dont j’éprouve avec Sarah. Elle m’enivre, son odeur, sa peau, son regard… tout ce qu’elle possède, j’en suis fou amoureux. Alors que mon désir m’est presque insoutenable, je m’écarte de ses lèvres, le souffle coupé mais continue de lui infliger les plus douces caresses de mes lèvres, de ma langue, de mes mains qui courent fiévreusement sur sa peau.
S : (dans un souffle) Went…
Il se redresse et plante son regard devenu sombre de désir dans le mien. Rapidement, il se déshabille et avec des gestes précis, m’ôte ma robe et le restant du tissus que je porte qui sépare encore nos corps tremblants de désir.
Dans un élan fougueux et de tendresse mélangé, je l’attire dans mes bras et l’embrasse jusqu’à notre besoin vital de reprendre nos respirations nous séparent. N’y tenant plus, j’écarte ses jambes et me place sur elle. Plantant mon regard dans le sien, je lui souris, satisfait des sentiments que nous ressentons l’un pour l’autre.
W : (caressant son visage) Je t’aime, Sarah…
Ma réponse meurt dans sa bouche. Il m’embrasse fougueusement, mon cœur se soulève dans ma poitrine. Il me pénètre d’un coup de rein puis se retire sous nos cris étouffés de plaisir.
Je replonge en elle, ferme les yeux un instant pour savourer la vague émotionnelle qui me submerge à chaque fois que je suis en elle. Nos peaux sont moites de sueur, nos odeurs se mélangent. Elle soulève légèrement son bassin afin de me sentir encore plus au plus profond d’elle. Fougueusement, j’entame des va-et-vient en fixant ses prunelles presque noires du au plaisir.
Elle presse mes fesses, m’imposant un rythme effréné que je satisfais rapidement. Nos souffles sont haletants…nos respirations saccadées, nos lèvres se retrouvent, nos langues s’enroulent majestueusement à chaque coup de reins que je fais pour mieux la retrouver.
Lentement, je me retire sous son gémissement de protestation. Ses mains agrippent le drap, seul spectateur de nos ébats torrides, amoureux. D’un geste doux et puissant, je m’enfonce en elle et laisse éclater l’explosion d’une vague déferlante qui me font crier son noms. Je capture aussitôt son cri rauque dans ma bouche et pendant un long moment, je l’embrasse d’une douceur infinie….
Il roule sur le côté un instant après et m’attire dans ses bras. Ma tête se pose instinctivement sur son torse et je tente de reprendre mon souffle alors qu’il essaie d’en faire autant. Soudain, il éclate de rire et me resserre dans ses bras. Je redresse la tête et le regarde, interrogatrice.
W : (souffle saccadé) C’était…wawou…
Je l’embrasse pour qu’il arrête de rire mais il glisse ses bras sous les miens et me ramène sur son corps où nos peaux frissonnent à ce nouveau contact. Nous nous embrassons tendrement tandis qu’il me caresse le dos d’une manière enivrante. Soudain, alors que je sens son désir durcir une fois de plus contre ma jambe, je m’écarte de ses lèvres vivement.
W : C’est pas de ma faute !
S : (éclatant de rire en bondissant hors du lit) On va être en retard !
W : (regardant sa montre) me*de ! On doit être en bas dans moins de cinq minutes !
Bassine, congélo, tout ce que vous voulez^^
bonne lecture les miss et vive le WESA
Chapitre 28.
Après cinq minutes à attendre Wentworth dans notre suite, je finis pas aller dans la salle de bain pour me changer en vitesse. Je pouffe de rire en repensant à la conversation que j’ai tenue avec Amaury alors que nous regagnions nos chambres. Il était dépité de savoir que je m’étais vengé de cette façon. A oubliez de mettre leurs sous-vêtements dans leurs bagages ! J’avais éclaté de rire en voyant les yeux exorbités qu’il faisait alors que je lui avais proposé gentiment de lui prêter les miens.
Je finis de passer ma robe et m’inquiète de ne voir toujours pas arriver Went ! Il exagère, je pensais qu’il avait tout comme moi l’envie que nous nous retrouvons seuls, rien que tous les deux. Je peste intérieurement quand soudain, la porte vient de claquer. Rapidement, je m’empresse de sortir de la pièce et sourit tendrement en découvrant Went, adossé contre la porte, le souffle court.
S : Tu en fais une tête !
W : (poussant un soupir de soulagement et s’approchant de Sarah pour la prendre dans ses bras) Ho ma chérie… j’ai été retenu par des fans !
Il m’embrasse d’une pluie de baisers dans le cou et remonte sur mon visage. Je m’écarte légèrement de lui, sans toutefois briser la douce chaleur de son étreinte. Je souris et le regarde d’un air compatissante.
S : Mon pauvre chou…
W : Tu l’as dis, ma princesse. Qu’est-ce qu’ils ont toutes à me faire les yeux doux et à m’agripper comme des tigresses ?
Je pouffe de rire aux gros yeux qu’elle me fait. J’adore la voire jalouse et j’avoue que suis tout autant satisfait. Replongeant mon visage dans le creux de son cou, je l’embrasse avec douceur quand elle s’écarte de moi.
S : (tendant les bras pour un minimum de séparation entre leurs corps) Tu veux dire que… pendant que je t’attendais, tu étais en train de taper discute avec des femmes ?!
W : (riant légèrement en haussant un sourcil) Hum…Tu es jalouse, Wayne Callies ?
S : (furieuse) Tu…
Je l’attire dans mes bras et l’interromps d’un baiser fougueux.
W : (murmurant contre ses lèvres) Tu n’as rien à craindre… c’est toi seule dont j’ai envie, toi seule que j’aime, mon amour…
Je souris légèrement et m’agrippe à son cou tandis qu’il reprend notre baiser avec passion. Ses mains glissent sensuellement sous ma robe, gémissant de désir contre sa bouche. Je peux sentir les battements de son cœur résonner contre ma poitrine…
Je la soulève dans mes bras et nous fait basculer sur le lit. Je ne me sentais pas capable jusqu’alors de cet insatiabilité dont j’éprouve avec Sarah. Elle m’enivre, son odeur, sa peau, son regard… tout ce qu’elle possède, j’en suis fou amoureux. Alors que mon désir m’est presque insoutenable, je m’écarte de ses lèvres, le souffle coupé mais continue de lui infliger les plus douces caresses de mes lèvres, de ma langue, de mes mains qui courent fiévreusement sur sa peau.
S : (dans un souffle) Went…
Il se redresse et plante son regard devenu sombre de désir dans le mien. Rapidement, il se déshabille et avec des gestes précis, m’ôte ma robe et le restant du tissus que je porte qui sépare encore nos corps tremblants de désir.
Dans un élan fougueux et de tendresse mélangé, je l’attire dans mes bras et l’embrasse jusqu’à notre besoin vital de reprendre nos respirations nous séparent. N’y tenant plus, j’écarte ses jambes et me place sur elle. Plantant mon regard dans le sien, je lui souris, satisfait des sentiments que nous ressentons l’un pour l’autre.
W : (caressant son visage) Je t’aime, Sarah…
Ma réponse meurt dans sa bouche. Il m’embrasse fougueusement, mon cœur se soulève dans ma poitrine. Il me pénètre d’un coup de rein puis se retire sous nos cris étouffés de plaisir.
Je replonge en elle, ferme les yeux un instant pour savourer la vague émotionnelle qui me submerge à chaque fois que je suis en elle. Nos peaux sont moites de sueur, nos odeurs se mélangent. Elle soulève légèrement son bassin afin de me sentir encore plus au plus profond d’elle. Fougueusement, j’entame des va-et-vient en fixant ses prunelles presque noires du au plaisir.
Elle presse mes fesses, m’imposant un rythme effréné que je satisfais rapidement. Nos souffles sont haletants…nos respirations saccadées, nos lèvres se retrouvent, nos langues s’enroulent majestueusement à chaque coup de reins que je fais pour mieux la retrouver.
Lentement, je me retire sous son gémissement de protestation. Ses mains agrippent le drap, seul spectateur de nos ébats torrides, amoureux. D’un geste doux et puissant, je m’enfonce en elle et laisse éclater l’explosion d’une vague déferlante qui me font crier son noms. Je capture aussitôt son cri rauque dans ma bouche et pendant un long moment, je l’embrasse d’une douceur infinie….
Il roule sur le côté un instant après et m’attire dans ses bras. Ma tête se pose instinctivement sur son torse et je tente de reprendre mon souffle alors qu’il essaie d’en faire autant. Soudain, il éclate de rire et me resserre dans ses bras. Je redresse la tête et le regarde, interrogatrice.
W : (souffle saccadé) C’était…wawou…
Je l’embrasse pour qu’il arrête de rire mais il glisse ses bras sous les miens et me ramène sur son corps où nos peaux frissonnent à ce nouveau contact. Nous nous embrassons tendrement tandis qu’il me caresse le dos d’une manière enivrante. Soudain, alors que je sens son désir durcir une fois de plus contre ma jambe, je m’écarte de ses lèvres vivement.
W : C’est pas de ma faute !
S : (éclatant de rire en bondissant hors du lit) On va être en retard !
W : (regardant sa montre) me*de ! On doit être en bas dans moins de cinq minutes !
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Jeu 10 Juil - 21:47
il doit vraiment être en route mon bébé WESA
quelle chaleur, je suis bouillante
Went qui n'aime que Sarah
et s'en fiche des tigresses et bah elles sont vite passées ces 45 min
ils vont être en retard car le temps de s'habiller et de se faire un dernier bisou, bah 5 min c'est pas assez ils vont s'arrêter de temps en temps
car sur les tournages, ils vont devoir me la tourner cette saison 4, JE LA VEUX c'est mon cerveau qui est en surtension
super comme toujours
allez une autre
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Sam 12 Juil - 0:21
Un grand WOUAWWWWWWWWWWWWW zen plus du com de Tink....tinkerbel a écrit:
il doit vraiment être en route mon bébé WESA
quelle chaleur, je suis bouillante
Went qui n'aime que Sarah
et bah elles sont vite passées ces 45 min
ils vont s'arrêter de temps en temps
c'est mon cerveau qui est en surtension
super comme toujours
allez une autre
l asuiteserait un véritable régale.
Islemmedemars- Embrasse Michael......
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Sam 12 Juil - 22:19
merci les miss
bonne lecture mes chéries
Chapitre 29.
Pour tromper notre monde et surtout les apparences, je laisse Sarah sortir de la suite la première. Autant que je prend les foudres de Paul à sa place. Je pouffe de rire alors que je me sens heureux comme jamais auparavant. J’aime tellement cette femme depuis des années que nous nous laissons transporter par cette magie, par cette fougue qui nous attire dans les bras l’un de l’autre. J’attend encore un minute et prend une profonde respiration avant de sortir de notre suite.
Tout en pénétrant dans l’ascenseur, je pense à la soirée qui nous attend. J’aurais tant voulu qu’on rentre directement à Los Angeles ! Malgré qu’on soit contraint de vivre tous ensemble dans ce loft, Sarah et moi pouvons nous aimer sans se soucier des regards.
L’ascenseur s’arrête enfin et j’aperçois Dominic et Amaury dans le hall. Je cherche automatiquement la silhouette de Sarah du regard en m’approchant vers eux mais je ne la trouve pas.
D : (comprenant qui il cherchait du regard) Elle est dehors avec Paul, pour répondre aux journalistes.
W : (surpris) Je pensais qu’on devait partir ?
A : Ils en ont pour une minute.
W : (poussant un soupir) Ok.
D : (posant une main sur son épaule) Dis ? Je compte sur toi pour faire comprendre à Sarah qu’elle ne joue plus à ces blagues à deux balles !
A : (hochant la tête en signe d’accord avec Dominic) Oui, parce que franchement, on s’est pas sentit c*n !
W : (fronçant les sourcils) Qu’est-ce qu’elle a fait ?
D : (irrité en s’approchant plus près de Went pour les oreilles indiscrètes) Elle a fait exprès d’oublier de nous mettre nos sous-vêtements dans nos sacs !
Je rentre dans le hall avec Paul et je souris en entendant un éclat de rire. Je regarde dans la direction de Paul et je vois Went plié en deux face à Dom et Amaury. J’ai l’impression qu’il est au courant pour leurs bagages que j’ai préparé, me dis-je en pouffant de rire. Paul me lance un regard interrogateur, je hausse les épaules, l’air innocente en s’avançant vers eux.
P : On peut savoir ce qu’il y a de drôle ?
A & D : Non !
W : (essayant de se calmer du fou rire qui lui fait briller ses yeux) Sarah…
S : (riant) Quoi ?
D : Fais pas ton innocente, Wayne Callies !
P : (secouant la tête, ne préférant pas s’attarder ici) Bon, on y va.
J’essaie de me calmer et plante mon regard dans celui de ma Sarah. J’ai une envie de la soulever dans mes bras et de l’embrasser.
P : (répétant) Allons-y ! vous deux, vous montez dans la première voiture.
D : (s’adressant à Went et Sarah) Tu pourras lui expliquer tranquillement.
A : (l’air moqueur) Tu penses qu’ils ne trouveront pas mieux à faire ?
P : (irrité et regardant autour de lui) Nolasco ! Nous sommes pas seuls. Suivez-moi vous deux, j’ai des choses à vous dire.
Je souris et fait une grimace à Dom qui a pâlit par la remarque de Paul. Nous les suivons dans le hall et une fois à l’extérieur, Paul nous dit, à Went et moi de monter rapidement en voiture, évitant tous les journalistes qui nous prenne en photos et posant des questions, autour de nous. Je lance un rapide coup d’œil à Paul qui s’avancent vers la seconde voiture avec Dom et Amaury. J’espère qu’il ne va pas être trop sévère avec eux pour ce qu’il s’est passé dans la matinée.
J’aide Sarah à se glisser à l’intérieur de la voiture et lance un dernier signe de la main aux journalistes avant de m’y installer. Je la regarde, l’envie pressante de la prendre dans mes bras mais la vitre qui nous sépare du chauffeur est baissée. Alors que la voiture ne tarde pas à démarrer, j’appuie sur le bouton, enclenchant le levé de la vitre sous le regard rieur de Sarah.
Je n’ai pas le temps de faire le moindre geste que je me retrouve dans ses bras dés que la séparation entre le chauffeur et nous soit fermée.
Je l’attire dans mes bras et capture ses lèvres d’un baiser fougueux. Nos langues s’enroulent dans une danse frénétique. A bout de souffle, je descend mes lèvres dans son cou où je l’embrasse d’une pluie de baisers. Mes mains courent sur son corps, du bout des doigts, je caresse sa poitrine alors qu’elle pousse un gémissement de plaisir. Je redresse la tête, la serre contre moi et reprend possession de sa bouche.
Cette fois, il m’embrasse doucement… lentement. Mes sens s’éveillent de plus bel. Ma main descend le long de son torse, et s’échoue contre son sexe, à l’étroit dans le tissu de son pantalon. Je le presse délicatement, il gémit de plaisir et romps notre baiser. Son visage se niche contre ma poitrine, haletant.
Elle caresse mon crâne piquant avec tendresse tandis que j’embrasse la naissance de sa gorge. Elle finit par s’écarter de moi, mais je la retiens dans mes bras.
W : (murmure saccadé) Je t’aime tellement, Sarah…
Je lui souris et effleure ses lèvres d’un léger baiser.
S : Moi aussi, Wentworth.
Il me répond d’un sourire tendre. Je suis incapable de contourner mon regard du sien. Nos pupilles sont ancrés, soudés aux plus profonds de son océan. Nos corps s’attirent une fois de plus. Notre baiser est intense, bouleversant. Quelques minutes plus tard, à bout de souffle, nous nous écartons comme si nous venons de comprendre la force de nos sentiments.
Hébété, je la regarde s’installer à côté de moi. Je n’arrive pas à décrire ce flot d’émotions qui me submerge mais j’en suis bouleversé, une fois de plus. Soudain, la voiture s’arrête. Je pousse un soupir de frustration et sourit à la moue qu’elle fait.
W : Ça va aller ?
S : (éclatant de rire) Moi oui, je pourrais cacher ou masquer mon désir devant tous ce monde, mais toi…
Je baisse les yeux vers la direction qu’elle regarde, se pinçant la lèvre inférieure. Je me mets à rire, elle n’a pas tord sur ce point. Il faut que je calme l’ardeur que je ressens…
W : (se tournant vers elle) Je t’aime. Embrasse-moi vite, mon ange.
Vivement, je capture ses lèvres d’un baiser fou et m’écarte rapidement alors que la portière s’ouvre. Went marmonne un juron entre ses dents et me presse la main discrètement avant de sortir. Je t’aime, soufflais-je avant de sortir à mon tour, les jambes en coton.
bonne lecture mes chéries
Chapitre 29.
Pour tromper notre monde et surtout les apparences, je laisse Sarah sortir de la suite la première. Autant que je prend les foudres de Paul à sa place. Je pouffe de rire alors que je me sens heureux comme jamais auparavant. J’aime tellement cette femme depuis des années que nous nous laissons transporter par cette magie, par cette fougue qui nous attire dans les bras l’un de l’autre. J’attend encore un minute et prend une profonde respiration avant de sortir de notre suite.
Tout en pénétrant dans l’ascenseur, je pense à la soirée qui nous attend. J’aurais tant voulu qu’on rentre directement à Los Angeles ! Malgré qu’on soit contraint de vivre tous ensemble dans ce loft, Sarah et moi pouvons nous aimer sans se soucier des regards.
L’ascenseur s’arrête enfin et j’aperçois Dominic et Amaury dans le hall. Je cherche automatiquement la silhouette de Sarah du regard en m’approchant vers eux mais je ne la trouve pas.
D : (comprenant qui il cherchait du regard) Elle est dehors avec Paul, pour répondre aux journalistes.
W : (surpris) Je pensais qu’on devait partir ?
A : Ils en ont pour une minute.
W : (poussant un soupir) Ok.
D : (posant une main sur son épaule) Dis ? Je compte sur toi pour faire comprendre à Sarah qu’elle ne joue plus à ces blagues à deux balles !
A : (hochant la tête en signe d’accord avec Dominic) Oui, parce que franchement, on s’est pas sentit c*n !
W : (fronçant les sourcils) Qu’est-ce qu’elle a fait ?
D : (irrité en s’approchant plus près de Went pour les oreilles indiscrètes) Elle a fait exprès d’oublier de nous mettre nos sous-vêtements dans nos sacs !
Je rentre dans le hall avec Paul et je souris en entendant un éclat de rire. Je regarde dans la direction de Paul et je vois Went plié en deux face à Dom et Amaury. J’ai l’impression qu’il est au courant pour leurs bagages que j’ai préparé, me dis-je en pouffant de rire. Paul me lance un regard interrogateur, je hausse les épaules, l’air innocente en s’avançant vers eux.
P : On peut savoir ce qu’il y a de drôle ?
A & D : Non !
W : (essayant de se calmer du fou rire qui lui fait briller ses yeux) Sarah…
S : (riant) Quoi ?
D : Fais pas ton innocente, Wayne Callies !
P : (secouant la tête, ne préférant pas s’attarder ici) Bon, on y va.
J’essaie de me calmer et plante mon regard dans celui de ma Sarah. J’ai une envie de la soulever dans mes bras et de l’embrasser.
P : (répétant) Allons-y ! vous deux, vous montez dans la première voiture.
D : (s’adressant à Went et Sarah) Tu pourras lui expliquer tranquillement.
A : (l’air moqueur) Tu penses qu’ils ne trouveront pas mieux à faire ?
P : (irrité et regardant autour de lui) Nolasco ! Nous sommes pas seuls. Suivez-moi vous deux, j’ai des choses à vous dire.
Je souris et fait une grimace à Dom qui a pâlit par la remarque de Paul. Nous les suivons dans le hall et une fois à l’extérieur, Paul nous dit, à Went et moi de monter rapidement en voiture, évitant tous les journalistes qui nous prenne en photos et posant des questions, autour de nous. Je lance un rapide coup d’œil à Paul qui s’avancent vers la seconde voiture avec Dom et Amaury. J’espère qu’il ne va pas être trop sévère avec eux pour ce qu’il s’est passé dans la matinée.
J’aide Sarah à se glisser à l’intérieur de la voiture et lance un dernier signe de la main aux journalistes avant de m’y installer. Je la regarde, l’envie pressante de la prendre dans mes bras mais la vitre qui nous sépare du chauffeur est baissée. Alors que la voiture ne tarde pas à démarrer, j’appuie sur le bouton, enclenchant le levé de la vitre sous le regard rieur de Sarah.
Je n’ai pas le temps de faire le moindre geste que je me retrouve dans ses bras dés que la séparation entre le chauffeur et nous soit fermée.
Je l’attire dans mes bras et capture ses lèvres d’un baiser fougueux. Nos langues s’enroulent dans une danse frénétique. A bout de souffle, je descend mes lèvres dans son cou où je l’embrasse d’une pluie de baisers. Mes mains courent sur son corps, du bout des doigts, je caresse sa poitrine alors qu’elle pousse un gémissement de plaisir. Je redresse la tête, la serre contre moi et reprend possession de sa bouche.
Cette fois, il m’embrasse doucement… lentement. Mes sens s’éveillent de plus bel. Ma main descend le long de son torse, et s’échoue contre son sexe, à l’étroit dans le tissu de son pantalon. Je le presse délicatement, il gémit de plaisir et romps notre baiser. Son visage se niche contre ma poitrine, haletant.
Elle caresse mon crâne piquant avec tendresse tandis que j’embrasse la naissance de sa gorge. Elle finit par s’écarter de moi, mais je la retiens dans mes bras.
W : (murmure saccadé) Je t’aime tellement, Sarah…
Je lui souris et effleure ses lèvres d’un léger baiser.
S : Moi aussi, Wentworth.
Il me répond d’un sourire tendre. Je suis incapable de contourner mon regard du sien. Nos pupilles sont ancrés, soudés aux plus profonds de son océan. Nos corps s’attirent une fois de plus. Notre baiser est intense, bouleversant. Quelques minutes plus tard, à bout de souffle, nous nous écartons comme si nous venons de comprendre la force de nos sentiments.
Hébété, je la regarde s’installer à côté de moi. Je n’arrive pas à décrire ce flot d’émotions qui me submerge mais j’en suis bouleversé, une fois de plus. Soudain, la voiture s’arrête. Je pousse un soupir de frustration et sourit à la moue qu’elle fait.
W : Ça va aller ?
S : (éclatant de rire) Moi oui, je pourrais cacher ou masquer mon désir devant tous ce monde, mais toi…
Je baisse les yeux vers la direction qu’elle regarde, se pinçant la lèvre inférieure. Je me mets à rire, elle n’a pas tord sur ce point. Il faut que je calme l’ardeur que je ressens…
W : (se tournant vers elle) Je t’aime. Embrasse-moi vite, mon ange.
Vivement, je capture ses lèvres d’un baiser fou et m’écarte rapidement alors que la portière s’ouvre. Went marmonne un juron entre ses dents et me presse la main discrètement avant de sortir. Je t’aime, soufflais-je avant de sortir à mon tour, les jambes en coton.
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Sam 12 Juil - 22:33
comme apparemment tu vas me mettre qu'une seule suite et deux de "jusquà la mort 2"
alors cette superbe suite
Dom et Amaury qui sont pas contents de ce que Sarah leur a fait et vont voir Went pour lui dire de s'occuper de ça
Paul qui va disputer Dom et Amaury car ils sont trop bavard
Went et Sarah seuls dans une voiture a flirter attention que les paparrazzis ne prennent des photos que de son visage
allez STP une autre suite
de "jusquà la mort 2" alors cette superbe suite
Dom et Amaury qui sont pas contents de ce que Sarah leur a fait et vont voir Went pour lui dire de s'occuper de ça
Paul qui va disputer Dom et Amaury car ils sont trop bavard
Went et Sarah seuls dans une voiture a flirter
attention que les paparrazzis ne prennent des photos que de son visage allez STP une autre suite
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Sam 12 Juil - 22:36
ben décidément ils ne se lachent et lassent plus ces deux la...
Il est ou le hic hein ?
j'ai l'impression que tu mijotte quelque chose la ?
Et pi c'est quand qu'ils vont vivre leur amour au grand jour ???
Mdr Amaury et Dom contre le terrible Paul, le flic de la bande lool..
La suite stp...
Il est ou le hic hein ?
j'ai l'impression que tu mijotte quelque chose la ?
Et pi c'est quand qu'ils vont vivre leur amour au grand jour ???
Mdr Amaury et Dom contre le terrible Paul, le flic de la bande lool..
La suite stp...
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Sam 12 Juil - 23:23
Allez, la der de chez der^^
bonne lecture
Chapitre 30.
Alors que nous rentrons à l’intérieur d’un hôtel ou d’un restaurant, je ne serais le dire vu l’ampleur des lieux et du luxe qui s’y trouve, nous avançons avec difficultés. Des journalistes nous interpellent, nous questionnent, nous bousculent… Paul nous dit de continuer d’avancer….
Je comprend que Sarah est paniquée. Son regard est fuyant, traverse la salle à la recherche d’un appuie, d’une concentration. Je m’approche rapidement d’elle et entoure sa taille de mon bras. Je la soutiens, la peur au ventre. Elle tourne le visage vers moi, elle est si pale tout à coup. Hébétée, elle finit par me sourire. Je me demande ce qu’elle a. Je n’aime pas la voir paniquée, effrayée. J’ai remarqué aussi tout à l’heure qu’elle était dans le même état, devant les journalistes. J’ai l’impression qu’elle ne supporte pas la foule.
J’essaie de la rassurer, je la presse contre mon flanc et continue d’avancer. A mon grand soulagement, nous arrivons dans une autre salle, beaucoup plus calme. Des agents de sécurité retiennent les journalistes et fans à l’entrée. Paul se retourne vers nous et regarde Sarah d’un air inquiet.
P : Sarah ? Tu vas bien ?
S : (hochant la tête en souriant) Oui, ça va…
P : (regardant Went afin de comprendre ce qu’il arrive) Allons nous asseoir.
Je souris à Went et respire profondément, tandis qu’il resserre son bras autour de ma taille. Paul s’arrête à quelques tables pour les saluer. Went continue son chemin, m’entraînant au fond de la salle.
W : (s’arrêtant à une table) Assied toi, ma puce.
Je le remercie et prend place à la chaise qu’il tient. Un vrai gentleman ! Nous nous sourions et il s’installe face à moi, ancrant son regard intense dans le mien.
W : (murmurant) Tu vas bien ?
S : Oui, je me suis juste sentie étouffée tout à l’heure, mais ça va mieux.
W : (plissant les yeux) Tu es sure ?
S : Ne t’inquiète pas, mon cœur. Je suis impatiente de sortir d’ici, c’est tout…
W : Moi aussi…
Nous échangeons un regard complice et je tourne la tête afin de saluer de la main deux acteurs que j’ai déjà rencontré. J’espère qu’on ne va pas rester des heures ici. Je pourrais toujours dire à Paul que Sarah ne se sent pas bien afin qu’on puisse s’éclipser. Non, il ne va certainement pas me laisser partir. Je pousse un soupire de lassitude lorsqu’un serveur s’approche de nous. Au même moment, Paul, Amaury et Dominic nous rejoignent.
P : (s’adressant à Sarah) Tu es certaine que ça va, Sarah ?
S : (levant les yeux au plafond) Je suis juste fatiguée, Paul.
A : (éclatant de rire) On se demande pourquoi ?!
P : (se penchant vers Amaury) Encore une remarque de ce genre et…
A : Désolé…
Je pouffe de rire et envoie un clin d’œil complice à Amaury tandis que Paul s’occupe de passer la commande au serveur. Dominic engage la conversation sur sa famille, pour mon plus grand plaisir, dois-je dire. Ça me permet de contempler ma Sarah sans qu’ils nous regardent.
A : (s’exclamant alors que le serveur dépose des assiettes de toast et les apéritifs sur la table) Ha, je meurs de faim !
P : Oui ben au moins, on entendra plus tes conneries !
Sarah éclate de rire, elle a retrouvé quelques couleurs. Je la fixe un instant et elle baisse son regard et sourit timidement.
D : (d’un air las) Ho non !
W : (se retournant vers Dominic) Quoi ?
D : Des fans sont entrés…
Aussitôt que nous tournons le regard dans la direction qu’il nous montre d’un hochement de tête, un homme en costume noir s’approche de nous.
H : Désolé de vous déranger, mais nous avons des personnes qui désirent faire une photo avec Sarah Wayne Callies.
S : Aucun soucis.
Je lui fais un clin d’œil discret tandis qu’elle se lève et va à la rencontre de jeunes femmes. Soudain, Dominic se lève à son tour sous nos regards interrogateurs. Je commence enfin à comprendre alors ce qu’il a en tête. Il se place à côté de Sarah pour la photo. Je pouffe de rire et fut soulagé que Paul sourit en remarquant la tête des fans qui ont l’air scandalisées de son toupet. Sarah éclate de rire et prend la pause devant l’objectif aux côtés de Dom.
Je lance un regard complice à Dom qui me fait un clin d’œil. Je finis par signer quelques autographes et rejoins les autres à table. Arrête de me regarder comme ça Miller ! On va finir par se faire repérer, tous les deux. Je m’installe, prenant soin d’éviter son regard brûlant. Mais c’est une chose impossible.
Je souris, tandis que ses joues rougissent de plus bel. Elle est de plus en plus craquante comme ça. Alors qu’Amaury peste tout seul, je le regarde et éclate de rire en remarquant qu’il a déjà terminé l’assiette de toast. Prenant pitié de sa moue infantile qu’il affiche, je tend celle qui est placé devant moi.
A : Merci mon pote ! Tu sais que tu es un ange, toi !
S : Et, ma gueule d’ange ! Toi tu te contentes de dévorer tes amuses gueule, d’accord ?
Je pouffe de rire devant la pique de Sarah. En me retournant, j’aperçois un scénariste que je connais très bien. Je demande à Amaury et Dominic de me suivre pour aller les saluer.
Amaury marmonne entre deux bouchées mais je le regarde avec insistance et il finit par se lever.
Ils se lèvent tous de table, enfin un moment seuls, du moins je l’espère.
W : (appuyant ses coudes sur la table, et se penchant légèrement vers Sarah) Hum, ma puce, j’ai envie de t’embrasser…
S : Went ! Arrête ! Y’a plein de monde ici.
Je le vois rire alors que je lui fais les gros yeux pour qu’il arrête de frotter son mollet contre le mien. Et il prend l’air innocent qui plus ai !
W : (lançant un regard vers la gauche) Pas grave mon amour, la nappe traîne jusqu’au sol.
Je me sens rouge comme une écrevisse à cet instant. J’ai l’impression qu’on nous a prit en flagrant délit. Et lui, ça le fait marrer.
W : Tu vas bien ?
S : (écarquillant les yeux) Tu te fous de moi ? Tu vois pas qu’on nous regarde ?
W : (souriant tendrement, et se levant de table) J’arrive.
S : Mais où tu vas ?
Il me fait quoi ? Je le suis du regard, surprise tandis qu’il murmure quelque chose à Paul à l’oreille. Quelque instant plus tard, il revient vers moi et me demande dans un murmure de me lever. Sans répondre, j’obéis et me laisse entraîner vers une sortie.
S : Mais où va-t-on ?
W : (s’arrêtant dans un couloir sombre et l’attirant dans ses bras) Tu veux rentrer ?
Je souris et comprend qu’il a réussi à convaincre Paul que nous n’étions plus capable de rester en place, avec tous ses regards autour de nous.
Je l’embrasse furtivement sur les lèvres, après avoir jeté un œil autour de nous, et l’emmène à l’extérieur où la limousine arrive. Nous nous faufilons à l’intérieur rapidement. Je regarde vers le chauffeur et sourit avant de me retourner vers Sarah qui retient un fou rire, la main posée sur ses lèvres.
W : (murmure rauque) Et si nous reprenions ce que nous étions en train de faire tout à l’heure ?
bonne lecture
Chapitre 30.
Alors que nous rentrons à l’intérieur d’un hôtel ou d’un restaurant, je ne serais le dire vu l’ampleur des lieux et du luxe qui s’y trouve, nous avançons avec difficultés. Des journalistes nous interpellent, nous questionnent, nous bousculent… Paul nous dit de continuer d’avancer….
Je comprend que Sarah est paniquée. Son regard est fuyant, traverse la salle à la recherche d’un appuie, d’une concentration. Je m’approche rapidement d’elle et entoure sa taille de mon bras. Je la soutiens, la peur au ventre. Elle tourne le visage vers moi, elle est si pale tout à coup. Hébétée, elle finit par me sourire. Je me demande ce qu’elle a. Je n’aime pas la voir paniquée, effrayée. J’ai remarqué aussi tout à l’heure qu’elle était dans le même état, devant les journalistes. J’ai l’impression qu’elle ne supporte pas la foule.
J’essaie de la rassurer, je la presse contre mon flanc et continue d’avancer. A mon grand soulagement, nous arrivons dans une autre salle, beaucoup plus calme. Des agents de sécurité retiennent les journalistes et fans à l’entrée. Paul se retourne vers nous et regarde Sarah d’un air inquiet.
P : Sarah ? Tu vas bien ?
S : (hochant la tête en souriant) Oui, ça va…
P : (regardant Went afin de comprendre ce qu’il arrive) Allons nous asseoir.
Je souris à Went et respire profondément, tandis qu’il resserre son bras autour de ma taille. Paul s’arrête à quelques tables pour les saluer. Went continue son chemin, m’entraînant au fond de la salle.
W : (s’arrêtant à une table) Assied toi, ma puce.
Je le remercie et prend place à la chaise qu’il tient. Un vrai gentleman ! Nous nous sourions et il s’installe face à moi, ancrant son regard intense dans le mien.
W : (murmurant) Tu vas bien ?
S : Oui, je me suis juste sentie étouffée tout à l’heure, mais ça va mieux.
W : (plissant les yeux) Tu es sure ?
S : Ne t’inquiète pas, mon cœur. Je suis impatiente de sortir d’ici, c’est tout…
W : Moi aussi…
Nous échangeons un regard complice et je tourne la tête afin de saluer de la main deux acteurs que j’ai déjà rencontré. J’espère qu’on ne va pas rester des heures ici. Je pourrais toujours dire à Paul que Sarah ne se sent pas bien afin qu’on puisse s’éclipser. Non, il ne va certainement pas me laisser partir. Je pousse un soupire de lassitude lorsqu’un serveur s’approche de nous. Au même moment, Paul, Amaury et Dominic nous rejoignent.
P : (s’adressant à Sarah) Tu es certaine que ça va, Sarah ?
S : (levant les yeux au plafond) Je suis juste fatiguée, Paul.
A : (éclatant de rire) On se demande pourquoi ?!
P : (se penchant vers Amaury) Encore une remarque de ce genre et…
A : Désolé…
Je pouffe de rire et envoie un clin d’œil complice à Amaury tandis que Paul s’occupe de passer la commande au serveur. Dominic engage la conversation sur sa famille, pour mon plus grand plaisir, dois-je dire. Ça me permet de contempler ma Sarah sans qu’ils nous regardent.
A : (s’exclamant alors que le serveur dépose des assiettes de toast et les apéritifs sur la table) Ha, je meurs de faim !
P : Oui ben au moins, on entendra plus tes conneries !
Sarah éclate de rire, elle a retrouvé quelques couleurs. Je la fixe un instant et elle baisse son regard et sourit timidement.
D : (d’un air las) Ho non !
W : (se retournant vers Dominic) Quoi ?
D : Des fans sont entrés…
Aussitôt que nous tournons le regard dans la direction qu’il nous montre d’un hochement de tête, un homme en costume noir s’approche de nous.
H : Désolé de vous déranger, mais nous avons des personnes qui désirent faire une photo avec Sarah Wayne Callies.
S : Aucun soucis.
Je lui fais un clin d’œil discret tandis qu’elle se lève et va à la rencontre de jeunes femmes. Soudain, Dominic se lève à son tour sous nos regards interrogateurs. Je commence enfin à comprendre alors ce qu’il a en tête. Il se place à côté de Sarah pour la photo. Je pouffe de rire et fut soulagé que Paul sourit en remarquant la tête des fans qui ont l’air scandalisées de son toupet. Sarah éclate de rire et prend la pause devant l’objectif aux côtés de Dom.
- Spoiler:
Je lance un regard complice à Dom qui me fait un clin d’œil. Je finis par signer quelques autographes et rejoins les autres à table. Arrête de me regarder comme ça Miller ! On va finir par se faire repérer, tous les deux. Je m’installe, prenant soin d’éviter son regard brûlant. Mais c’est une chose impossible.
Je souris, tandis que ses joues rougissent de plus bel. Elle est de plus en plus craquante comme ça. Alors qu’Amaury peste tout seul, je le regarde et éclate de rire en remarquant qu’il a déjà terminé l’assiette de toast. Prenant pitié de sa moue infantile qu’il affiche, je tend celle qui est placé devant moi.
A : Merci mon pote ! Tu sais que tu es un ange, toi !
S : Et, ma gueule d’ange ! Toi tu te contentes de dévorer tes amuses gueule, d’accord ?
Je pouffe de rire devant la pique de Sarah. En me retournant, j’aperçois un scénariste que je connais très bien. Je demande à Amaury et Dominic de me suivre pour aller les saluer.
Amaury marmonne entre deux bouchées mais je le regarde avec insistance et il finit par se lever.
Ils se lèvent tous de table, enfin un moment seuls, du moins je l’espère.
W : (appuyant ses coudes sur la table, et se penchant légèrement vers Sarah) Hum, ma puce, j’ai envie de t’embrasser…
S : Went ! Arrête ! Y’a plein de monde ici.
Je le vois rire alors que je lui fais les gros yeux pour qu’il arrête de frotter son mollet contre le mien. Et il prend l’air innocent qui plus ai !
- Spoiler:
W : (lançant un regard vers la gauche) Pas grave mon amour, la nappe traîne jusqu’au sol.
- Spoiler:
Je me sens rouge comme une écrevisse à cet instant. J’ai l’impression qu’on nous a prit en flagrant délit. Et lui, ça le fait marrer.
W : Tu vas bien ?
S : (écarquillant les yeux) Tu te fous de moi ? Tu vois pas qu’on nous regarde ?
W : (souriant tendrement, et se levant de table) J’arrive.
S : Mais où tu vas ?
Il me fait quoi ? Je le suis du regard, surprise tandis qu’il murmure quelque chose à Paul à l’oreille. Quelque instant plus tard, il revient vers moi et me demande dans un murmure de me lever. Sans répondre, j’obéis et me laisse entraîner vers une sortie.
S : Mais où va-t-on ?
W : (s’arrêtant dans un couloir sombre et l’attirant dans ses bras) Tu veux rentrer ?
Je souris et comprend qu’il a réussi à convaincre Paul que nous n’étions plus capable de rester en place, avec tous ses regards autour de nous.
Je l’embrasse furtivement sur les lèvres, après avoir jeté un œil autour de nous, et l’emmène à l’extérieur où la limousine arrive. Nous nous faufilons à l’intérieur rapidement. Je regarde vers le chauffeur et sourit avant de me retourner vers Sarah qui retient un fou rire, la main posée sur ses lèvres.
W : (murmure rauque) Et si nous reprenions ce que nous étions en train de faire tout à l’heure ?
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Sam 12 Juil - 23:38
super cette suiteeee mais le hic il est ou, tout ce bonheur comment à serieusement me faire peur..
Et entre nous la, ce n'est pas la foule qui l'a rendu mal hein... ya un BB dans l'air ....
bon ben a demain poir la suite...
Et entre nous la, ce n'est pas la foule qui l'a rendu mal hein... ya un BB dans l'air ....
bon ben a demain poir la suite...
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Sam 12 Juil - 23:55
Islemmedemars a écrit:super cette suiteeee mais le hic il est ou, tout ce bonheur comment à serieusement me faire peur..
Et entre nous la, ce n'est pas la foule qui l'a rendu mal hein... ya un BB dans l'air ....
bon ben a demain poir la suite...
un bébé
c'est trop tôt pour les premiers symptômes cette dernière suite
je ne pensais pas en regardant ces photos que Went faisait du pied à Sarah
mais maintenant que tu le dit, c'est vrai qu'il a de grandes jambes et elle aussi donc c'est obligés qu'elles se sont frôlées Dom me fait trop plaisir à être comme ça, car comme je te l'ai mis ailleurs, les seules photos que je connaissais ne le mettais pas en valeur, il faisait la tête partout
alors Paul a laissé Went et Sarah rentrer, vont 'ils se retenir jusqu'à la maison (hôtel?) ou bien la limousine va avoir besoin d'un nettoyage
merci Angie pour ces superbes suites
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Dim 13 Juil - 0:31
tinkerbel a écrit:Islemmedemars a écrit:super cette suiteeee mais le hic il est ou, tout ce bonheur comment à serieusement me faire peur..
Et entre nous la, ce n'est pas la foule qui l'a rendu mal hein... ya un BB dans l'air ....
bon ben a demain poir la suite...
un bébé
c'est de la fiction, alors tout est possible lol... et pi je ne fais pas trop attention au temps moi lol..
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Dim 13 Juil - 21:35
coucou, je continue ma tournée de demande de suites
et ça me dirait bien de savoir ce qu'ils se disent là
gros et à ce soir
et ça me dirait bien de savoir ce qu'ils se disent là
- Spoiler:
gros
et à ce soir
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Dim 13 Juil - 22:16
tinkerbel a écrit:coucou, je continue ma tournée de demande de suites
et ça me dirait bien de savoir ce qu'ils se disent là
- Spoiler:
gros
je te suis et reclame une suite aussi.
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Invité Lun 14 Juil - 19:53
L'union fait la force alors je me joins au demandeuses de suites mdr
SuiteS parce que y'en a pas eu hier ... loool
Sinon les dernières suites étaient super !
SuiteS parce que y'en a pas eu hier ... loool
Sinon les dernières suites étaient super !
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Lun 14 Juil - 23:46
Coucou les miss C'est bien parce que c'est vous je n'avais rien écris, je me suis dépêcher donc, j'espère que vous ne serez pas déçue
merci pour vos coms
j'espère que vous aimerez^^
Chapitre 31.
Je ne cesse de la caresser tendrement alors que j’ai l’impression qu’elle s’est endormit dans mes bras. Elle m’avait l’air si paniquée tout à l’heure…
Après un court instant, je penche mon visage vers le sien et lui murmure doucement :
W : Ma chérie…on est bientôt arrivé…
S : (s’étirant dans les bras de Went) Hum…. Je m’endormais… quelle heure est-il ?
Je regarde ma montre avant de lui sourire, elle m’a l’air complètement éreintée.
W : Vingt et une heure… le chauffeur s’arrêtera par une porte de service, tu descendras la première, d’accord ? Je te rejoindras dans les cinq minutes…
Je ferme les yeux alors que ses doigts jouent sur ma nuque et m’attire contre lui. Je sais que c’est stupide les sentiments qui m’envahissent à cet instant mais j’en ai déjà assez de nous cacher. Je sais que c’est pour le bien de ma carrière, comme Paul le dit mais tout ce qui importe à mes yeux c’est Went, lui seul. Si les gens pensent qu’ils m’ont reprises dans la série grâce à lui, à notre relation, que cela ne tienne ! J’en suis arrivée à un point où plus rien n’a d’importance de toute façon.
Je ne sais pas ce qu’elle a mais je sens qu’elle n’ai pas bien. Je la prend dans mes bras et la serre contre moi. Soudain, la limousine se stoppe dans une ruelle sombre et je constate à travers les vitres fumées qu’une porte et entrouverte. Un homme en costume gris se tient juste à l’entrée, cela doit être un membre du personnel.
W : On est arrivé, ma puce.
Elle se redresse, le regard perdu dans ses pensées. Je dépose mes lèvres sur les siennes et l’embrasse tendrement.
W : (murmurant contre ses lèvres) Je t’aime, Sarah.
S : Moi aussi, Went.
W : (relevant son menton, inquiet) Qu’est-ce que tu as, ma puce ?
S : (secouant la tête, et souriant pour le rassurer) Non, j’ai rien. J’ai juste envie de me retrouver seule…
W : …
S : Seule avec toi, mon chéri…. Si tu savais depuis le temps que j’attend de laisser parler mes sentiments et….
W : (posant un doigt sur ses lèvres) Chut… on reparlera tout à l’heure, d’accord ?
J’hoche la tête et sort de la voiture après l’avoir embrassé tendrement. Les larmes aux yeux, je me faufile vers la porte et marche rapidement jusqu’à l’ascenseur. Went est resté dans la limousine, pour sauver les apparences. Toujours sauver les apparences, mais j’ai l’impression que je ne fais que ça depuis des années ! Avec Went… avec Éric… et surtout avec moi-même.
Ça y’est Sarah, tu reviens en arrière et tu risques de faire les même erreurs que dans le passé ! Je lève les yeux au plafond en entendant cette petite voix dans ma tête. J’ai bien le droit de déprimer, non ? A cet instant, les portes de l’ascenseur s’ouvrent et je pénètre dans la cabine en poussant un soupir de lassitude. J’appuis sur le bouton mais alors que les portes commencent à se fermer, je lâche un cri effrayé en voyant un bras s’avancer vers moi. Le souffle court, je recule le plus possible. Paniquée, mes larmes tant retenus depuis tout à l’heure se mettent à couler sur mes joues alors que la personne écarte avec force les portes récalcitrantes.
Mon cœur fait un bond dans ma poitrine en voyant la personne qui se tient devant moi. Il s’avance vers moi alors que je resserre mes bras autour de ma poitrine comme pour me protéger. Me sentant vidée de toute énergie, je fons en larme alors que Went m’attire dans ses bras et me berce tendrement contre son cœur.
W : (murmurant) Sarah… dit moi ce que tu as mon amour ? Je ne voulais pas te faire peur, ma puce. Chut…
Mon dieu, je me suis jamais sentit à ce point impuissant. Elle éclate en sanglot dans mes bras malgré que j’essaie de l’apaiser au mieux. Je sens les larmes me monter alors que je la presse dans mes bras, tenant sa tête contre ma poitrine. Je déteste la voir souffrir, la voir pleurer sans savoir ce qu’il la tourmente… je ferme les yeux et continue la bercer jusqu’à ce que ses sanglots s’apaisent. Soudain, elle essaie de s’échapper de mon étreinte et frotte ses yeux humides mais je la retiens et l’attire où je la veux, où j’ai besoin qu’elle demeure.
Alors que les portes de l’ascenseur s’ouvrent, elle essaie une fois de plus de s’écarter de moi, mais je ne peux pas la laisser s’éloigner ainsi. Je ne l’avais jamais vu si fragile qu’à cet instant. Sans réfléchir d’avantage, je la resserre contre moi.
S : (essayant de s’écarter) On pourrait nous voir…
W : Je m’en fiche….
J’étouffe un cri de stupeur alors que je me sens soulevée du sol. Alors que j’allais protester, lui dire de me reposer sur le sol, il m’embrasse doucement. Mes bras viennent s’enrouler autour de son cou, et tandis qu’il s’avance dans le couloir, je blottis mon visage dans son cou et ferme les yeux.
Son souffle chaud dans mon cou me fait frissonner jusqu’à ce que je sens ses larmes également. Je sais que c’est risqué ce que je viens de faire mais je l’aime beaucoup trop pour refouler les pulsions que j’ai pour elle. Je la serre dans mes bras, elle pèse vraiment légère, me dis-je en m’approchant de notre suite. Heureusement quand même que le couloir est vide.
W : (murmure rauque) Je vais de déposer le temps que j’ouvre la porte, d’accord ?
S : (hochant la tête) Merci…
J’ouvre rapidement la porte et lui prend le bras afin de l’aider à entrer à l’intérieur. J’essaie d’analyser le plus vite possible alors que je la regarde déposer son sac sur une chaise et qu’elle s’installe sur le lit. Elle m’a l’air épuisée, lassée de tout…
Je m’approche d’elle, le cœur serré et m’agenouille pour l’aider à ôter ses escarpins. Nos regards se croisent et je lui souris avant de poser mon visage sur ses genoux.
Je pense que ma réaction lui a fait peur, je m’en veux. Je caresse ses cheveux lentement tandis que son pouce trace des formes imaginaires sur ma cuisse. Soudain, il relève son visage et vient planter son regard brillant d’inquiétude dans le mien. Je ne peux pas m’empêcher de me dire à cet instant que c’est l’homme le plus beau, le plus merveilleux au monde.
W : Tu n’as rien mangé de la journée, ma puce ?
S : (soupirant et fuyant son regard) Je… je ne sais plus, mais je n’ai….
Qu’est-ce qu’il fait ? Il se lève et décroche le téléphone. Mais non, je n’ai vraiment pas envie de manger, me dis-je alors qu’il est déjà en train de passer commande aux services d’étages.
Je raccroche et me retourne vers Sarah. Elle n’a pas l’air contente mais elle fera avec. J’ai bien remarqué qu’elle ne se nourrissait plus comme avant et qu’elle est effrayée pour peu. Je ne sais pas si c’est à cause de son ex, le fait qui lui a dit des horreurs sur elle, le fait qui la diminuée comme une moins que rien mais si j’apprend que tous est sa faute, je ne sais pas ce que je pourrais lui faire.
Je remarque qu’il est en colère. Je préfère ne rien dire mais je tends la main vers lui et entrelace mes doigts aux siens. C’est alors qu’il semble réagir et me regarde. Il me sourit enfin et vient s’installer à côté de moi, sur le lit. Il me dépose un tendre baiser sur les lèvres et descend dans mon cou.
W : (murmurant d’une voix tendre) On va dîner tous les deux, et ensuite, je te ferais couler un bain, d’accord ?
Un petit gémissement s’échappe de sa gorge alors que je continue à l’embrasser. Je souris contre son cou et alors que je m’écarte d’elle, Sarah me fait basculer dans le lit. Je l’attire dans mes bras et l’embrasse d’un baiser passionné. Pendant de longues minutes, nous nous dévorons de tendres baisers mais sommes interrompus par des coups frappés à la porte. Je me redresse et lui sourit avant de déposer un rapide baiser sur son front.
W : (se levant) Je vais ouvrir, ça doit être le service d’étage
merci pour vos coms
j'espère que vous aimerez^^
Chapitre 31.
Je ne cesse de la caresser tendrement alors que j’ai l’impression qu’elle s’est endormit dans mes bras. Elle m’avait l’air si paniquée tout à l’heure…
Après un court instant, je penche mon visage vers le sien et lui murmure doucement :
W : Ma chérie…on est bientôt arrivé…
S : (s’étirant dans les bras de Went) Hum…. Je m’endormais… quelle heure est-il ?
Je regarde ma montre avant de lui sourire, elle m’a l’air complètement éreintée.
W : Vingt et une heure… le chauffeur s’arrêtera par une porte de service, tu descendras la première, d’accord ? Je te rejoindras dans les cinq minutes…
Je ferme les yeux alors que ses doigts jouent sur ma nuque et m’attire contre lui. Je sais que c’est stupide les sentiments qui m’envahissent à cet instant mais j’en ai déjà assez de nous cacher. Je sais que c’est pour le bien de ma carrière, comme Paul le dit mais tout ce qui importe à mes yeux c’est Went, lui seul. Si les gens pensent qu’ils m’ont reprises dans la série grâce à lui, à notre relation, que cela ne tienne ! J’en suis arrivée à un point où plus rien n’a d’importance de toute façon.
Je ne sais pas ce qu’elle a mais je sens qu’elle n’ai pas bien. Je la prend dans mes bras et la serre contre moi. Soudain, la limousine se stoppe dans une ruelle sombre et je constate à travers les vitres fumées qu’une porte et entrouverte. Un homme en costume gris se tient juste à l’entrée, cela doit être un membre du personnel.
W : On est arrivé, ma puce.
Elle se redresse, le regard perdu dans ses pensées. Je dépose mes lèvres sur les siennes et l’embrasse tendrement.
W : (murmurant contre ses lèvres) Je t’aime, Sarah.
S : Moi aussi, Went.
W : (relevant son menton, inquiet) Qu’est-ce que tu as, ma puce ?
S : (secouant la tête, et souriant pour le rassurer) Non, j’ai rien. J’ai juste envie de me retrouver seule…
W : …
S : Seule avec toi, mon chéri…. Si tu savais depuis le temps que j’attend de laisser parler mes sentiments et….
W : (posant un doigt sur ses lèvres) Chut… on reparlera tout à l’heure, d’accord ?
J’hoche la tête et sort de la voiture après l’avoir embrassé tendrement. Les larmes aux yeux, je me faufile vers la porte et marche rapidement jusqu’à l’ascenseur. Went est resté dans la limousine, pour sauver les apparences. Toujours sauver les apparences, mais j’ai l’impression que je ne fais que ça depuis des années ! Avec Went… avec Éric… et surtout avec moi-même.
Ça y’est Sarah, tu reviens en arrière et tu risques de faire les même erreurs que dans le passé ! Je lève les yeux au plafond en entendant cette petite voix dans ma tête. J’ai bien le droit de déprimer, non ? A cet instant, les portes de l’ascenseur s’ouvrent et je pénètre dans la cabine en poussant un soupir de lassitude. J’appuis sur le bouton mais alors que les portes commencent à se fermer, je lâche un cri effrayé en voyant un bras s’avancer vers moi. Le souffle court, je recule le plus possible. Paniquée, mes larmes tant retenus depuis tout à l’heure se mettent à couler sur mes joues alors que la personne écarte avec force les portes récalcitrantes.
Mon cœur fait un bond dans ma poitrine en voyant la personne qui se tient devant moi. Il s’avance vers moi alors que je resserre mes bras autour de ma poitrine comme pour me protéger. Me sentant vidée de toute énergie, je fons en larme alors que Went m’attire dans ses bras et me berce tendrement contre son cœur.
W : (murmurant) Sarah… dit moi ce que tu as mon amour ? Je ne voulais pas te faire peur, ma puce. Chut…
Mon dieu, je me suis jamais sentit à ce point impuissant. Elle éclate en sanglot dans mes bras malgré que j’essaie de l’apaiser au mieux. Je sens les larmes me monter alors que je la presse dans mes bras, tenant sa tête contre ma poitrine. Je déteste la voir souffrir, la voir pleurer sans savoir ce qu’il la tourmente… je ferme les yeux et continue la bercer jusqu’à ce que ses sanglots s’apaisent. Soudain, elle essaie de s’échapper de mon étreinte et frotte ses yeux humides mais je la retiens et l’attire où je la veux, où j’ai besoin qu’elle demeure.
Alors que les portes de l’ascenseur s’ouvrent, elle essaie une fois de plus de s’écarter de moi, mais je ne peux pas la laisser s’éloigner ainsi. Je ne l’avais jamais vu si fragile qu’à cet instant. Sans réfléchir d’avantage, je la resserre contre moi.
S : (essayant de s’écarter) On pourrait nous voir…
W : Je m’en fiche….
J’étouffe un cri de stupeur alors que je me sens soulevée du sol. Alors que j’allais protester, lui dire de me reposer sur le sol, il m’embrasse doucement. Mes bras viennent s’enrouler autour de son cou, et tandis qu’il s’avance dans le couloir, je blottis mon visage dans son cou et ferme les yeux.
Son souffle chaud dans mon cou me fait frissonner jusqu’à ce que je sens ses larmes également. Je sais que c’est risqué ce que je viens de faire mais je l’aime beaucoup trop pour refouler les pulsions que j’ai pour elle. Je la serre dans mes bras, elle pèse vraiment légère, me dis-je en m’approchant de notre suite. Heureusement quand même que le couloir est vide.
W : (murmure rauque) Je vais de déposer le temps que j’ouvre la porte, d’accord ?
S : (hochant la tête) Merci…
J’ouvre rapidement la porte et lui prend le bras afin de l’aider à entrer à l’intérieur. J’essaie d’analyser le plus vite possible alors que je la regarde déposer son sac sur une chaise et qu’elle s’installe sur le lit. Elle m’a l’air épuisée, lassée de tout…
Je m’approche d’elle, le cœur serré et m’agenouille pour l’aider à ôter ses escarpins. Nos regards se croisent et je lui souris avant de poser mon visage sur ses genoux.
Je pense que ma réaction lui a fait peur, je m’en veux. Je caresse ses cheveux lentement tandis que son pouce trace des formes imaginaires sur ma cuisse. Soudain, il relève son visage et vient planter son regard brillant d’inquiétude dans le mien. Je ne peux pas m’empêcher de me dire à cet instant que c’est l’homme le plus beau, le plus merveilleux au monde.
W : Tu n’as rien mangé de la journée, ma puce ?
S : (soupirant et fuyant son regard) Je… je ne sais plus, mais je n’ai….
Qu’est-ce qu’il fait ? Il se lève et décroche le téléphone. Mais non, je n’ai vraiment pas envie de manger, me dis-je alors qu’il est déjà en train de passer commande aux services d’étages.
Je raccroche et me retourne vers Sarah. Elle n’a pas l’air contente mais elle fera avec. J’ai bien remarqué qu’elle ne se nourrissait plus comme avant et qu’elle est effrayée pour peu. Je ne sais pas si c’est à cause de son ex, le fait qui lui a dit des horreurs sur elle, le fait qui la diminuée comme une moins que rien mais si j’apprend que tous est sa faute, je ne sais pas ce que je pourrais lui faire.
Je remarque qu’il est en colère. Je préfère ne rien dire mais je tends la main vers lui et entrelace mes doigts aux siens. C’est alors qu’il semble réagir et me regarde. Il me sourit enfin et vient s’installer à côté de moi, sur le lit. Il me dépose un tendre baiser sur les lèvres et descend dans mon cou.
W : (murmurant d’une voix tendre) On va dîner tous les deux, et ensuite, je te ferais couler un bain, d’accord ?
Un petit gémissement s’échappe de sa gorge alors que je continue à l’embrasser. Je souris contre son cou et alors que je m’écarte d’elle, Sarah me fait basculer dans le lit. Je l’attire dans mes bras et l’embrasse d’un baiser passionné. Pendant de longues minutes, nous nous dévorons de tendres baisers mais sommes interrompus par des coups frappés à la porte. Je me redresse et lui sourit avant de déposer un rapide baiser sur son front.
W : (se levant) Je vais ouvrir, ça doit être le service d’étage
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Mar 15 Juil - 0:30
Coucou les miss C'est bien parce que c'est vous je n'avais rien écris, je me suis dépêcher donc, j'espère que vous ne serez pas déçue
comment être déçue
par contre je me fais beaucoup de soucis pour Sarah
elle ne ferait pas de l'anorexie par hasard
Went est inquiet pour elle
tout ça à cause de ce c** d'Eric qui la rabaissée et aussi sur le fait qu'elle ne veut pas se cacher
cette phrase c'est pas grand chose, mais c'est tellement touchantS : (essayant de s’écarter) On pourrait nous voir…
W : Je m’en fiche….
alors maintenant si c'est pas le service d'étage, ça va chauffer pour les fesses de l'enquiquineur de service car faut que Sarah mange sinon pas de câlins
merci encore mille fois Angie d'avoir poster malgré tout
et demain pareil pleins de suites à tes fics
gros
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Mar 15 Juil - 1:03
tout pareil que tink lol,
ya rien à ajouter si ce n'est que je veux une suite...
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Islemmedemars- Embrasse Michael......
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Invité Mar 15 Juil - 21:41
Tout à était dit mdr , j'adore...c'est trop mimi il la chouchoute...
Merci bcp d'avoir poster là suite, j'ai lu une partie ce matin avant d'aller bosser et ce soir l'autre partie en rentrant lol : c'est pour ça que je poste seulement maintenant , hier j'étais aller dodoter...(on s'en fou mais bref lol)
Bon ben mmt faut la suite lol
Merci bcp d'avoir poster là suite, j'ai lu une partie ce matin avant d'aller bosser et ce soir l'autre partie en rentrant lol : c'est pour ça que je poste seulement maintenant , hier j'étais aller dodoter...(on s'en fou mais bref lol)
Bon ben mmt faut la suite lol
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Mar 15 Juil - 22:03
coucou les miss
merci pour vos coms
voilà une suite^^
Chapitre 32.
Je m’enfuis d’un pas rapide dans la salle de bain alors que Went ouvre la porte. Je m’enferme à l’intérieur de la pièce et m’adosse contre le mur. Je dois essayer de faire le vide dans ma tête avant d’aller le rejoindre. Je sais qu’il s’inquiète pour moi, et je me sens coupable…, mais je sais que cela passera, ça à toujours passé…
Reprenant peu à peu un rythme cardiaque régulier, je me passe le visage sous l’eau et reste devant le miroir pendant un instant. Je ne sais pas combien de temps je reste là, le regard perdu dans le vague mais un bruit provenant de la pièce d’à côté me fait réagir.
Je m’approche de la porte et l’ouvre tout doucement afin de ne pas attirer l’attention sur ma présence. Quelqu’un se trouve dans la pièce avec Went et j’ai l’impression d’avoir déjà entendu cette voix. Fronçant les paupières, je me concentre sur les intonations de cette voix et constate que c’est une femme. Soudain, je me sens défaillir, mon cœur se serre… Que fait-elle ici ?
L’envie d’aller le rejoindre me tiraille malgré tout mais il m’est impossible de compromettre quoi que ce soit. J’entend la voix de Went, il a l’air irrité par la présence de son amie. Hum, une amie, ben tient ! Moi aussi je suis son amie, sa meilleure amie même ! Calme toi Sarah, bon sang !
Je la regarde d’une incompréhension totale ! Elle me raconte qu’elle assistait à un concert avec des amis dans la ville et qu’elle a apprit que j’étais dans cet hôtel par une de ces connaissances. Et là, elle me dit qu’elle avait envie de me voir, pour passer un petit coucou, j’y crois pas du tout ! Vu la façon qu’elle est vêtue, je pense plutôt qu’elle veut autre chose qu’un bonjour au revoir ! Parce que c’est tout ce qu’elle aura !
Je la dévisage alors qu’elle s’avance vers moi. C’est pas vrai, elle me joue le coup du déhanchement. Pas de bol, ça ne fait pas réagir, par contre si c’était ma… Sarah ! Oh bon sang, il faut à tout prix que je trouve un moyen de la faire sortir d’ici.
W : (enfonçant ses mains dans ses poches) Écoutes, Amie, c’est gentille de venir me dire bonjour, mais je suis vraiment fatiguée ce soir.
A : (s’approchant de lui dangereusement) Ha… c’est pas grave, si tu veux je peux t’aider à t’endormir. Tu as besoin d’un bon massage, tu m’as l’air tendu.
Elle est pas possible ! Comment j’ai pu être avec elle dans le passé ? Alors qu’elle continue à avancer vers moi, je fais un pas de recul et sort les mains de mes poches.
W : Arrêtes…
A : (voix minaudante) Tu m’as manqué mon chéri…
Je ne veux pas la faire souffrir mais là, s’en est trop ! Je m’écarte de ses bras qu’elle vient passer autour de ma taille et commence à marcher le long du lit. me*de ! Discrètement, j’envoie les escarpins de Sarah sous le lit. Par contre, je ne sais pas comment je pourrais faire pour trouver une excuse pour le sac à main sur la table. De toute façon, je m’en fous en fait si elle le remarque ! Elle pensera que j’ai une autre femme qui m’attend et ne sera pas que cette femme est Sarah.
Prenant une grande inspiration, je crois utile de remettre les points sur les i !
W : Amie, tout est terminé entre nous, tu le sais ! Je te l’ai déjà dis.
A : (écarquillant les yeux) Ho arrête ! Tu sais très bien que je ne cherche pas à te passer la corde au cou !
W : Justement.
A : Que veux-tu dire ?
W : (poussant un soupir) Laisse tombé, ce ne sont pas tes affaires !
A : (sourire sarcastique) Tu en es sur ?
W : J’aimerais que tu partes, Amie.
A : Je veux juste passe la nuit avec toi ! Qui a-t-il de mal à ça ?
W : (s’énervant) Je ne veux pas ! Je n’en ai aucune envie, Amie ! Écoutes, tu devrais partir, ok ! J’ai pas envie qu’on s’engueule, tu es mon amie et tu ne seras que ça !
A : (riant) Je pourrais être beaucoup plus que ça.
Je m’empare de ses poignets de mes mains d’un geste vif alors qu’elle voulait me toucher. Elle a l’air stupéfaite de ma brutalité mais je ne desserre pas. Je la foudroie du regard alors qu’elle laisse ce sourire aguicheur sur ses lèvres. Je recule mon visage en arrière alors qu’elle essaie d’approcher ses lèvres de moi. Mon sang bouille en moi ! J’en ai assez de cette comédie qu’elle me joue.
A : Went… ho Sarah !
Je relâche aussitôt les bras d’Amie comme si je venais de me brûler. Sarah vient d’ouvrir la porte brusquement et nous dévisage tous les deux. Je fronce les sourcils et essaye de capter son regard mais il est fuyant. C’est la première fois que je n’arrive pas à trouver une expression sur son visage. Elle joue la transparence alors que je sens qu’elle souffre à l’intérieur. Bon sang, ma chérie ! Regarde moi.
Mais elle n’en fait rien. Elle remets ses escarpins et prend son sac. Je suis incapable de faire le moindre geste pour la retenir. Amie est en train de regarder Sarah, interrogatrice et me regarde ensuite d’un air accusateur.
S : (d’une voix impassible et s’approchant de la porte) Merci de m’avoir prêtée ta salle de bain, Miller. Et encore désolée de vous avoir dérangé.
A : (l’air soulagée) Merci Sarah.
Mais elle est folle celle là ! Le souffle court, je regarde la porte se refermer. Mon cœur se serre, c’est douloureux. J’ai l’impression que je viens de faire une connerie. Alors que je prend conscience de la situation, je bondis près de la porte pour rattraper Sarah mais une main me retient par ma chemise. Furieux, je me retourne et dégage le bras d’Amie qui écarquille les yeux de stupeur.
W : Dégage Amie, je suis fatigué, et j’en ai assez que tu continues à penser que nous deux…
A : Mais qu’est-ce qui te prend, Went ? Je ne t’ai jamais vu si furieux, en colère.
W : Je m’en fous que tu me vois comme ça ! C’est que j’ai mes raisons d’y être alors maintenant, t’es gentille, tu sors !
A : (moue dubitative) Mais…Went…
W : (ouvrant la porte d’une manière violent qui fit sursauter Amie) Dégages !
Je lui hurle dessus et elle finit par sortir de la chambre. Poussant un soupir de soulagement, je referme la porte et m’accapare vivement de mon Black Berry. Du doigt tremblant, je compose le numéro de Sarah. L’attente est insoutenable…. J’ai droit au répondeur.
W : me*de !
Alors que je m’apprêtais à passer ma veste pour partir à la recherche de Sarah, des coups frappent à la porte. Vivement, je l’ouvre en pensant qu’elle était revenue mais ce n’est que le service d’étage.
H : Voilà, votre dîner, Monsieur Miller.
W : (lui indiquant d’entrer et lui tendant un billet de cinquante dollars) Merci… tenez. Dites moi ? Vous n’auriez pas croisé dans le couloir, ma…
H : Le docteur Tancredi ?
W : (souriant) Oui, c’est ça.
H : Si, si. Elle est entrée l’ascenseur où je sortais juste.
W : (soulagé) Vous ne savez pas si elle est descendue ?
H : Non. Elle n’est pas descendue, elle est allé au dernier étage…
Je n’écoute plus, la panique m’envahit. Je pars en courant en direction des ascenseurs. Furieux contre moi, contre Amie, je frappe du poing sur le bouton d’appel et lâche des jurons inaudibles, les mâchoires serrées. Bon sang, ma Sarah ! Qu’est-ce qu’elle va foutre en haut de cet immeuble ?
merci pour vos coms
voilà une suite^^
Chapitre 32.
Je m’enfuis d’un pas rapide dans la salle de bain alors que Went ouvre la porte. Je m’enferme à l’intérieur de la pièce et m’adosse contre le mur. Je dois essayer de faire le vide dans ma tête avant d’aller le rejoindre. Je sais qu’il s’inquiète pour moi, et je me sens coupable…, mais je sais que cela passera, ça à toujours passé…
Reprenant peu à peu un rythme cardiaque régulier, je me passe le visage sous l’eau et reste devant le miroir pendant un instant. Je ne sais pas combien de temps je reste là, le regard perdu dans le vague mais un bruit provenant de la pièce d’à côté me fait réagir.
Je m’approche de la porte et l’ouvre tout doucement afin de ne pas attirer l’attention sur ma présence. Quelqu’un se trouve dans la pièce avec Went et j’ai l’impression d’avoir déjà entendu cette voix. Fronçant les paupières, je me concentre sur les intonations de cette voix et constate que c’est une femme. Soudain, je me sens défaillir, mon cœur se serre… Que fait-elle ici ?
L’envie d’aller le rejoindre me tiraille malgré tout mais il m’est impossible de compromettre quoi que ce soit. J’entend la voix de Went, il a l’air irrité par la présence de son amie. Hum, une amie, ben tient ! Moi aussi je suis son amie, sa meilleure amie même ! Calme toi Sarah, bon sang !
Je la regarde d’une incompréhension totale ! Elle me raconte qu’elle assistait à un concert avec des amis dans la ville et qu’elle a apprit que j’étais dans cet hôtel par une de ces connaissances. Et là, elle me dit qu’elle avait envie de me voir, pour passer un petit coucou, j’y crois pas du tout ! Vu la façon qu’elle est vêtue, je pense plutôt qu’elle veut autre chose qu’un bonjour au revoir ! Parce que c’est tout ce qu’elle aura !
Je la dévisage alors qu’elle s’avance vers moi. C’est pas vrai, elle me joue le coup du déhanchement. Pas de bol, ça ne fait pas réagir, par contre si c’était ma… Sarah ! Oh bon sang, il faut à tout prix que je trouve un moyen de la faire sortir d’ici.
W : (enfonçant ses mains dans ses poches) Écoutes, Amie, c’est gentille de venir me dire bonjour, mais je suis vraiment fatiguée ce soir.
A : (s’approchant de lui dangereusement) Ha… c’est pas grave, si tu veux je peux t’aider à t’endormir. Tu as besoin d’un bon massage, tu m’as l’air tendu.
Elle est pas possible ! Comment j’ai pu être avec elle dans le passé ? Alors qu’elle continue à avancer vers moi, je fais un pas de recul et sort les mains de mes poches.
W : Arrêtes…
A : (voix minaudante) Tu m’as manqué mon chéri…
Je ne veux pas la faire souffrir mais là, s’en est trop ! Je m’écarte de ses bras qu’elle vient passer autour de ma taille et commence à marcher le long du lit. me*de ! Discrètement, j’envoie les escarpins de Sarah sous le lit. Par contre, je ne sais pas comment je pourrais faire pour trouver une excuse pour le sac à main sur la table. De toute façon, je m’en fous en fait si elle le remarque ! Elle pensera que j’ai une autre femme qui m’attend et ne sera pas que cette femme est Sarah.
Prenant une grande inspiration, je crois utile de remettre les points sur les i !
W : Amie, tout est terminé entre nous, tu le sais ! Je te l’ai déjà dis.
A : (écarquillant les yeux) Ho arrête ! Tu sais très bien que je ne cherche pas à te passer la corde au cou !
W : Justement.
A : Que veux-tu dire ?
W : (poussant un soupir) Laisse tombé, ce ne sont pas tes affaires !
A : (sourire sarcastique) Tu en es sur ?
W : J’aimerais que tu partes, Amie.
A : Je veux juste passe la nuit avec toi ! Qui a-t-il de mal à ça ?
W : (s’énervant) Je ne veux pas ! Je n’en ai aucune envie, Amie ! Écoutes, tu devrais partir, ok ! J’ai pas envie qu’on s’engueule, tu es mon amie et tu ne seras que ça !
A : (riant) Je pourrais être beaucoup plus que ça.
Je m’empare de ses poignets de mes mains d’un geste vif alors qu’elle voulait me toucher. Elle a l’air stupéfaite de ma brutalité mais je ne desserre pas. Je la foudroie du regard alors qu’elle laisse ce sourire aguicheur sur ses lèvres. Je recule mon visage en arrière alors qu’elle essaie d’approcher ses lèvres de moi. Mon sang bouille en moi ! J’en ai assez de cette comédie qu’elle me joue.
A : Went… ho Sarah !
Je relâche aussitôt les bras d’Amie comme si je venais de me brûler. Sarah vient d’ouvrir la porte brusquement et nous dévisage tous les deux. Je fronce les sourcils et essaye de capter son regard mais il est fuyant. C’est la première fois que je n’arrive pas à trouver une expression sur son visage. Elle joue la transparence alors que je sens qu’elle souffre à l’intérieur. Bon sang, ma chérie ! Regarde moi.
Mais elle n’en fait rien. Elle remets ses escarpins et prend son sac. Je suis incapable de faire le moindre geste pour la retenir. Amie est en train de regarder Sarah, interrogatrice et me regarde ensuite d’un air accusateur.
S : (d’une voix impassible et s’approchant de la porte) Merci de m’avoir prêtée ta salle de bain, Miller. Et encore désolée de vous avoir dérangé.
A : (l’air soulagée) Merci Sarah.
Mais elle est folle celle là ! Le souffle court, je regarde la porte se refermer. Mon cœur se serre, c’est douloureux. J’ai l’impression que je viens de faire une connerie. Alors que je prend conscience de la situation, je bondis près de la porte pour rattraper Sarah mais une main me retient par ma chemise. Furieux, je me retourne et dégage le bras d’Amie qui écarquille les yeux de stupeur.
W : Dégage Amie, je suis fatigué, et j’en ai assez que tu continues à penser que nous deux…
A : Mais qu’est-ce qui te prend, Went ? Je ne t’ai jamais vu si furieux, en colère.
W : Je m’en fous que tu me vois comme ça ! C’est que j’ai mes raisons d’y être alors maintenant, t’es gentille, tu sors !
A : (moue dubitative) Mais…Went…
W : (ouvrant la porte d’une manière violent qui fit sursauter Amie) Dégages !
Je lui hurle dessus et elle finit par sortir de la chambre. Poussant un soupir de soulagement, je referme la porte et m’accapare vivement de mon Black Berry. Du doigt tremblant, je compose le numéro de Sarah. L’attente est insoutenable…. J’ai droit au répondeur.
W : me*de !
Alors que je m’apprêtais à passer ma veste pour partir à la recherche de Sarah, des coups frappent à la porte. Vivement, je l’ouvre en pensant qu’elle était revenue mais ce n’est que le service d’étage.
H : Voilà, votre dîner, Monsieur Miller.
W : (lui indiquant d’entrer et lui tendant un billet de cinquante dollars) Merci… tenez. Dites moi ? Vous n’auriez pas croisé dans le couloir, ma…
H : Le docteur Tancredi ?
W : (souriant) Oui, c’est ça.
H : Si, si. Elle est entrée l’ascenseur où je sortais juste.
W : (soulagé) Vous ne savez pas si elle est descendue ?
H : Non. Elle n’est pas descendue, elle est allé au dernier étage…
Je n’écoute plus, la panique m’envahit. Je pars en courant en direction des ascenseurs. Furieux contre moi, contre Amie, je frappe du poing sur le bouton d’appel et lâche des jurons inaudibles, les mâchoires serrées. Bon sang, ma Sarah ! Qu’est-ce qu’elle va foutre en haut de cet immeuble ?
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Mar 15 Juil - 22:51
Cette suite est superbeeee, mais pit1 qu'est ce qu'elle fou la cette Amie de me*deuhhh, heuresement qu'il l'a viré direct, et sarah ou est-ce qu'elle va comme ca...
pourquoi sarah a fuit dans la salle de bain ??
la suite STP..
pourquoi sarah a fuit dans la salle de bain ??
la suite STP..
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Mar 15 Juil - 23:37
comme je te l'ai déjà dit JE VEUX UNE AUTRE SUITE CAR J'AI PEUR POUR SARAH elle va pas faire des bêtises 
cette Amie quelle sa****, pé***** et tout les gros mots qui peuvent qualifier cette fille elle a du mal à comprendre c'est pas vrai, même en amie il faut la jeter, une vraie amie ne réagit pas comme ça
je vais pas m'en remettre
elle va pas faire des bêtises cette Amie quelle sa****, pé***** et tout les gros mots qui peuvent qualifier cette fille
elle a du mal à comprendre c'est pas vrai, même en amie il faut la jeter, une vraie amie ne réagit pas comme ça je vais pas m'en remettre
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Jeu 17 Juil - 22:03
Merci les miss pour vos coms
voilà la suite^^
bonne lecture
Chapitre 33.
Je cours pendant de longues minutes alors que la panique m’envahit au fur et à mesure que je m’approche. Arrivé en haut du dernier escalier, je regarde à droite, à gauche. Sans réfléchir, je me précipite vers la porte de sortie de secours qui débouche sur le toit.
W : (l’appelant en balayant l’endroit du regard) Sarah !
C’est pas vrai ! Où es-tu, bon sang ? Je marche, contourne les cheminées fumantes qui dégagent des odeurs horribles. Je la cherche de regard, continuant à l’appeler mais elle ne me répond pas. Pendant un long moment, je fais le tour de la surface du toit de l’immeuble et l’aperçois enfin. Je soupire de soulagement. Elle ne m’a pas vu, elle est assise contre une grille, les genoux sous son menton. Une douleur puissante m’irradie la poitrine en la voyant ainsi. Je m’approche d’elle lentement et m’assoie à ses côtés.
Je renifle comme une ado le ferait à son premier chagrin d’amour. Je ne sais pas ce qui me prend à réagir ainsi mais je me sens tellement vidé de toute énergie que je reste ainsi. Paralysée par toutes les craintes, tous les doutes qui me rongent depuis si longtemps. Je sais qu’il n’est pas comme lui, mais le voir avec elle tout à l’heure a fait ressurgir beaucoup de choses…. Trop de choses…. Tout me rappelle que je suis insignifiante, froide. Les mots d’Éric ressurgissent encore et encore dans mon esprit.
Hypnotisée par ses paroles affreuses, je revois encore son sourire moqueur au dessus de mon visage. Je ne voulais pas sentir ses mains sur moi, j’étouffais…
Elle est frigorifiée… je la sens si distante, si fragile. Je sais qu’elle est furieuse d’avoir comprit que j’avais eu une aventure avec Amie, mais quelque chose me dit que ce n’est pas que ça. Elle aurait réagit autrement. Je la connais, elle aurait sortie de cette salle de bain et n’aurait pas mâcher ses mots. Je me sens si impuissant de le voir souffrir seule, en silence. Elle est si fragile que j’ai peur de dire un mot de travers qui ferait basculer notre relation.Lentement, je passe un bras autour d’elle et voyant qu’elle ne me repousse pas, je l’attire contre moi. Pendant un long moment, nous restons ainsi, enlacés. Je la tiens serré contre moi alors qu’elle est toujours recroquevillée sur elle-même.
W : (murmurant) Dis-moi ce qui se passe, Sarah ? Je t’en supplie, parle moi…
Je ferme les yeux et me recule de son étreinte. Je ne peux pas…. Je suis incapable de lui parler. Je secoue la tête afin qu’il n’insiste pas. C’est alors qu’il me relève le visage lentement.
W : Regarde moi, Sarah !
Elle s’obstine à laisser ses yeux clos. J’essuie lentement ses joues humides de larmes alors qu’un désarrois me submerge. Puis j’essaie de contenir la colère qui s’élève en moi. Je suis fou de rage à l’idée qu’il a pu lui faire si mal. Je suis dans l’incompréhension totale… j’ai besoin de savoir ce qui la mets dans cet état. Ce n’est pas la Sarah que je connais depuis toutes ses années…. Je me sens si coupable de ne pas avoir été là….
W : Sarah ! S’il te plait, mon cœur, regarde moi ! Je suis là….
Lentement, je lève les yeux, les larmes se mettent à couler silencieusement. Il me les essuie avec tendresse de ses pouces. Mon regard s’accroche au sien, et je peux lire la culpabilité qu’il éprouve. J’aimerais le rassurer, lui dire que ce n’est pas sa faute….
Soudain, l’image d’Amie qui le regardait amoureusement me revient à l’esprit. Je pousse un long soupir, et baisse le regard.
W : (l’attirant dans ses bras) Ma puce… je suis désolé…
S : (passant ses bras autour de son cou) Tu… tu l’aimes ?
W : (écarquillant les yeux et prenant son visage entre ses mains) Non. Je n’ai toujours aimé que toi, Sarah. N’en doute jamais.
S : Mais vous avez été ensemble.
W : Oui. Il y a plusieurs mois.
S : (poussant un soupir) Je…
W : (l’interrompant en posant son index sur ses lèvres) Chut… on va en parler dans notre chambre, tu as froid. Tiens…
Je me lève et retire ma veste que je lui passe sur les épaules. Elle me sourit légèrement, je pense qu’elle va un peu mieux. Doucement, je passe mes bras autour d’elle et la soulève dans mes bras.
S : Non, pose moi… j’ai besoin de marcher.
W : (la déposant sur le sol bitumé et l’attirant à lui) Tu vas un peu mieux ?
Elle hoche la tête. Rassuré, je l’embrasse sur le front et nous entrons à l’intérieur. Tout en la tenant serré contre moi, je caresse son bras, essayant de la réchauffer un peu.
Quelques minutes plus tard, j’entre dans la chambre et me retourne vers Went qui est en train de refermer la porte. Je baisse le regard alors qu’il s’approche de moi. Ses mains se posent sur mes hanches et je finis par me blottir encore contre lui. Je me sens si bien dans ses bras…. J’hume son odeur et ferme les yeux, écoutant les battements de son cœur qui résonnent contre ma joue.
Je m’écarte légèrement et lui sourit avant de prendre sa main et de l’amener à la table.
W : Assied toi, ma puce. Il faut que tu manges, d’accord ?
J’acquiesce de la tête et m’installe. Pendant de longues minutes, nous restons silencieux. J’ m’efforce de manger malgré que je n’ai pas faim, mais la présence de Went me rassure.
Je la regarde discrètement et je me sens soulagé qu’elle a bien tout mangé. Le silence flotte autour de nous, ce n’est pas pesant, ni oppressant, loin de là. Je me sens si bien quand elle est prés de moi…. Elle a reprit des couleurs et ses tremblements ont disparus. Soudain, nos regards se croisent, ils se fuient et se retrouvent rapidement pour rester accrochés l’un à l’autre. Elle me sourit et baisse le regard timidement. Ce qui me fait littéralement craqué….
Il repose sa fourchette en poussant un soupir. Il se lève et approche sa chaise de la mienne. Je souris alors qu’il me prend une main et l’embrasse. Je tourne le visage vers lui. Nos nez se frôlent, nous nous écartons légèrement et il se rapproche pour venir me déposer un léger et doux baiser sur les lèvres.
W : Je n’aime que toi, ma chérie. J’ai arrêté cette aventure avec elle depuis plus d’un mois. Ce soir, elle était ici pour essayer encore de….
S : (le coupant) Ne dis rien. J’ai confiance en toi, Went…. Je t’aime si fort…
Je l’attire dans mes bras. Sa voix est brisée par l’émotion. Je me sens soulagé d’un gros poids qu’elle vient de me retirer. Je n’aurais pas supporter qu’elle m’en veuille, ou que l’on dispute sur une relation qui n’existe plus depuis très longtemps. Je la serre contre moi. Elle passe une jambe autour de ma taille et se retrouve à califourchon sur mes genoux. Nous nous regardons amoureusement et nos lèvres se retrouvent dans un baiser enivrant par la fougue qui nous transportent tous les deux….
voilà la suite^^
bonne lecture
Chapitre 33.
Je cours pendant de longues minutes alors que la panique m’envahit au fur et à mesure que je m’approche. Arrivé en haut du dernier escalier, je regarde à droite, à gauche. Sans réfléchir, je me précipite vers la porte de sortie de secours qui débouche sur le toit.
W : (l’appelant en balayant l’endroit du regard) Sarah !
C’est pas vrai ! Où es-tu, bon sang ? Je marche, contourne les cheminées fumantes qui dégagent des odeurs horribles. Je la cherche de regard, continuant à l’appeler mais elle ne me répond pas. Pendant un long moment, je fais le tour de la surface du toit de l’immeuble et l’aperçois enfin. Je soupire de soulagement. Elle ne m’a pas vu, elle est assise contre une grille, les genoux sous son menton. Une douleur puissante m’irradie la poitrine en la voyant ainsi. Je m’approche d’elle lentement et m’assoie à ses côtés.
Je renifle comme une ado le ferait à son premier chagrin d’amour. Je ne sais pas ce qui me prend à réagir ainsi mais je me sens tellement vidé de toute énergie que je reste ainsi. Paralysée par toutes les craintes, tous les doutes qui me rongent depuis si longtemps. Je sais qu’il n’est pas comme lui, mais le voir avec elle tout à l’heure a fait ressurgir beaucoup de choses…. Trop de choses…. Tout me rappelle que je suis insignifiante, froide. Les mots d’Éric ressurgissent encore et encore dans mon esprit.
Hypnotisée par ses paroles affreuses, je revois encore son sourire moqueur au dessus de mon visage. Je ne voulais pas sentir ses mains sur moi, j’étouffais…
Elle est frigorifiée… je la sens si distante, si fragile. Je sais qu’elle est furieuse d’avoir comprit que j’avais eu une aventure avec Amie, mais quelque chose me dit que ce n’est pas que ça. Elle aurait réagit autrement. Je la connais, elle aurait sortie de cette salle de bain et n’aurait pas mâcher ses mots. Je me sens si impuissant de le voir souffrir seule, en silence. Elle est si fragile que j’ai peur de dire un mot de travers qui ferait basculer notre relation.Lentement, je passe un bras autour d’elle et voyant qu’elle ne me repousse pas, je l’attire contre moi. Pendant un long moment, nous restons ainsi, enlacés. Je la tiens serré contre moi alors qu’elle est toujours recroquevillée sur elle-même.
W : (murmurant) Dis-moi ce qui se passe, Sarah ? Je t’en supplie, parle moi…
Je ferme les yeux et me recule de son étreinte. Je ne peux pas…. Je suis incapable de lui parler. Je secoue la tête afin qu’il n’insiste pas. C’est alors qu’il me relève le visage lentement.
W : Regarde moi, Sarah !
Elle s’obstine à laisser ses yeux clos. J’essuie lentement ses joues humides de larmes alors qu’un désarrois me submerge. Puis j’essaie de contenir la colère qui s’élève en moi. Je suis fou de rage à l’idée qu’il a pu lui faire si mal. Je suis dans l’incompréhension totale… j’ai besoin de savoir ce qui la mets dans cet état. Ce n’est pas la Sarah que je connais depuis toutes ses années…. Je me sens si coupable de ne pas avoir été là….
W : Sarah ! S’il te plait, mon cœur, regarde moi ! Je suis là….
Lentement, je lève les yeux, les larmes se mettent à couler silencieusement. Il me les essuie avec tendresse de ses pouces. Mon regard s’accroche au sien, et je peux lire la culpabilité qu’il éprouve. J’aimerais le rassurer, lui dire que ce n’est pas sa faute….
Soudain, l’image d’Amie qui le regardait amoureusement me revient à l’esprit. Je pousse un long soupir, et baisse le regard.
W : (l’attirant dans ses bras) Ma puce… je suis désolé…
S : (passant ses bras autour de son cou) Tu… tu l’aimes ?
W : (écarquillant les yeux et prenant son visage entre ses mains) Non. Je n’ai toujours aimé que toi, Sarah. N’en doute jamais.
S : Mais vous avez été ensemble.
W : Oui. Il y a plusieurs mois.
S : (poussant un soupir) Je…
W : (l’interrompant en posant son index sur ses lèvres) Chut… on va en parler dans notre chambre, tu as froid. Tiens…
Je me lève et retire ma veste que je lui passe sur les épaules. Elle me sourit légèrement, je pense qu’elle va un peu mieux. Doucement, je passe mes bras autour d’elle et la soulève dans mes bras.
S : Non, pose moi… j’ai besoin de marcher.
W : (la déposant sur le sol bitumé et l’attirant à lui) Tu vas un peu mieux ?
Elle hoche la tête. Rassuré, je l’embrasse sur le front et nous entrons à l’intérieur. Tout en la tenant serré contre moi, je caresse son bras, essayant de la réchauffer un peu.
Quelques minutes plus tard, j’entre dans la chambre et me retourne vers Went qui est en train de refermer la porte. Je baisse le regard alors qu’il s’approche de moi. Ses mains se posent sur mes hanches et je finis par me blottir encore contre lui. Je me sens si bien dans ses bras…. J’hume son odeur et ferme les yeux, écoutant les battements de son cœur qui résonnent contre ma joue.
Je m’écarte légèrement et lui sourit avant de prendre sa main et de l’amener à la table.
W : Assied toi, ma puce. Il faut que tu manges, d’accord ?
J’acquiesce de la tête et m’installe. Pendant de longues minutes, nous restons silencieux. J’ m’efforce de manger malgré que je n’ai pas faim, mais la présence de Went me rassure.
Je la regarde discrètement et je me sens soulagé qu’elle a bien tout mangé. Le silence flotte autour de nous, ce n’est pas pesant, ni oppressant, loin de là. Je me sens si bien quand elle est prés de moi…. Elle a reprit des couleurs et ses tremblements ont disparus. Soudain, nos regards se croisent, ils se fuient et se retrouvent rapidement pour rester accrochés l’un à l’autre. Elle me sourit et baisse le regard timidement. Ce qui me fait littéralement craqué….
Il repose sa fourchette en poussant un soupir. Il se lève et approche sa chaise de la mienne. Je souris alors qu’il me prend une main et l’embrasse. Je tourne le visage vers lui. Nos nez se frôlent, nous nous écartons légèrement et il se rapproche pour venir me déposer un léger et doux baiser sur les lèvres.
W : Je n’aime que toi, ma chérie. J’ai arrêté cette aventure avec elle depuis plus d’un mois. Ce soir, elle était ici pour essayer encore de….
S : (le coupant) Ne dis rien. J’ai confiance en toi, Went…. Je t’aime si fort…
Je l’attire dans mes bras. Sa voix est brisée par l’émotion. Je me sens soulagé d’un gros poids qu’elle vient de me retirer. Je n’aurais pas supporter qu’elle m’en veuille, ou que l’on dispute sur une relation qui n’existe plus depuis très longtemps. Je la serre contre moi. Elle passe une jambe autour de ma taille et se retrouve à califourchon sur mes genoux. Nous nous regardons amoureusement et nos lèvres se retrouvent dans un baiser enivrant par la fougue qui nous transportent tous les deux….
nol59- Déchiffre l'origami
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