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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Sam 28 Juin - 19:44
Merci les filles, contente d'avoir de nouvelles lectrices^^
La suite ce soir si vous la vouler:lol!:
La suite ce soir si vous la vouler:lol!:
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Sam 28 Juin - 19:59
Ahh Angie, cette suite est superbe.. et j'aime particulièrement la fin.
Aller Went va lui dire que tu l'aime...
Et la suite ce soir, oui je suis totue à fait d'accord
Aller Went va lui dire que tu l'aime...
Et la suite ce soir, oui je suis totue à fait d'accord
Islemmedemars- Embrasse Michael......
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Dim 29 Juin - 14:59
coucou mes chéries, merci pour vos coms
désolée du retard mais avec ma fille qui est malade, pas évident^^
elle va un peu mieux aujourd'hui, donc voici la suite en éspérant que ça vous plaira
bonne lecture
Chapitre 16.
J’ai tout entendu ce qu’ils viennent de dire dans cette pièce, et à la vue de Went qui est mal à l’aise, j’éprouve un sentiment de culpabilité. Je regarde Amaury et Dominic qui sont blancs comme des linges alors qu’ils baissent le regard vers le sol. Bon, ils ont raison de toute façon ! Pourquoi leurs nier l’évidence aussi longtemps que nous nous l’avons fait ? Et j’ai besoin de vivre ma vie pleinement et de sortir enfin de ce brouillard perpétuel d’où je me sentais prisonnière durant ces dernières années.
Je lève les yeux et rassuré par le faible sourire qui se dessine sur ses lèvres, je lui réponds d’un sourire complice. Je ne sais pas si mon intuition est bonne mais j’ai l’impression qu’elle m’interroge du regard. Je lance un regard furtif vers les deux zigotos de service qui sont à présents rouges comme des écrevisses, comprenant sans doute qu’elle ait tout entendu. Je finis par pouffer de rire légèrement mais je stoppe soudain mon rire moqueur quand elle se dirige vers moi.
Alors que son regard me pénètre d’une intensité foudroyante, je me sens fondre comme neige au soleil. Faisant abstraction de la présence de nos clairs voyants, je m’avance toujours lentement vers Went qui sourit de plus belle, son regard ancré au mien.
Un silence intense, chargé d’une douce électricité flotte dans la pièce. Comme si ce faible soupir de soulagement qu’il vient de laisser échapper du plus profond de lui me répond, je viens l’enlacer amoureusement.
Je la prend aussitôt dans mes bras et me penche vers son visage qui m’attire irréprochablement et capture ses lèvres. Notre baiser est doux, intense et sans plus attendre, je resserre mon étreinte, approfondissant notre baiser avec fougue.
A bout de souffle, je m’écarte légèrement de ses lèvres et me blottit contre son torse nu. Prenant conscience que Dominic et Amaury n’ont pas bondit de satisfaction à ce que j’embrasse Went en leur présence, je me retourne vers eux sans quitter son étreinte. J’ai envie d’éclater de rire, constatant qu’ils sont tous les deux les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte. Je lance un regard vers Went qui sourit également de voir les deux acteurs et amis éberlués.
A : (balbutiant) Tu… vous… t’a…
D : (troublé) Heu… j’ai pas tout comprit là !
A : (s’exclamant) On avait raison !!!!
W : Tout dépend de ce que tu veux dire, Amaury !
D : On peut savoir depuis combien de temps, vous….
S : (souriant) Rassures-toi, ça ne fait vraiment pas longtemps.
D : Tu veux dire…. Depuis maintenant en fait ?
A : Depuis le début, oui !
W : (levant les yeux au plafond) Depuis qu’elle est revenue ! Vous êtes contents ?
A : (ouvrant grands les yeux) Vous avez déjà…
S : (le coupant en l’engueulant) Nolasco ! Ce ne sont pas du tout tes affaires ! Et même si c’était le cas, tu ne sauras rien de ce genre !
D : (murmurant à Amaury) A mon avis, ils attendent cette sortie pour…
W : Dom !
D : (souriant légèrement) Désolé.
Je ris tandis que Sarah éclate de rire à toutes leurs questions. La serrant dans mes bras, je ne peux pas m’empêcher de lui déposer une pluie de baisers sur son front, sa tempe….
D : Bon, je crois qu’on va vous laisser, les tourtereaux.
A : Oui, allons le dire aux autres !
W : (s’écriant) Ho là, pas si vite vous deux ! Vous ne direz rien du tout.
S : (l’embrassant dans le cou) Laisse les faire, mon cœur. J’ai réfléchis et j’ai pas envie qu’on se voit en douce, d’être obligé de nous croisez au coin du couloir pour t’embrasser et….
W : Tu en es certaine ?
S : (hochant la tête) Oui…. Du moins le leur dire à tous mais Paul….
D : Il n’a rien à dire Paul ! Vous êtes libres de faire ce que vous voulez !
W : (souriant) Merci Dom.
A : C’est clair, et je suis certain que Paul serait ravi.
S : Je n’en sais rien.
D : En tout cas, vous avez perdu assez de temps comme ça tous les deux, et je suis vraiment content pour vous ! Vous formez un super beau couple.
W&S : (émus) Merci beaucoup.
D : (s’approchant d’eux pour les serrer dans ses bras) Allez, faite un câlin à tonton Dom !
Nous éclatons de rire tandis qu’il nous serre dans ses bras en nous faisant balancer de droite à gauche.
A : Et moi ! J’ai pas droit à un câlin ?
Nous n’avons pas le temps de lui répondre qu’Amaury nous saute dessus. Résultats des courses, nous retombons tous les quatre sur le lit de Dom. Dans un fou rire général, Went me serre très fort entre ses bras, m’évitant ainsi que Dom m’écrase de son poids.
Une fois que les deux autres se sont relevés du lit, j’attire Sarah vers moi afin de la relever et l’embrasse sur les lèvres. Je me détache ensuite légèrement mais c’est plus fort que moi, je tourne le dos à Dom et Am qui sont restés plantés là et reprend ses lèvres dans un long et tendre baiser.
A : (murmurant à Dom) Je crois que maintenant, ils ne vont pas arrêter de se bécoter à longueur de journée !
D : (souriant, ému en regardant le couple) Allez, vient, on va raconter ça aux autres.
Le bruit de la porte qui se referme nous fait revenir à la réalité. Le souffle court, je m’écarte de Sarah et lui sourit.
S : Tu ne m’en veux pas ?
W : (caressant sa joue) Bien sur que non. J’avouerais même que tu es arrivée au bon moment. Je pense que j’aurais craqué avec toutes leurs insinuations.
S : (souriant tendrement tout en caressant son torse) Je t’aime.
W : Moi aussi je t’aime, Sarah. Demain, nous avons tous les deux rendez-vous avec John…
S : Ton agent ?
W : Oui. Et Paul m’a dit que je dois t’accompagner, il s’occupera de toi, le temps que Marcy revienne de ses vacances. On lui en parlera, d’accord ?
S : (hochant la tête en signe d’acquiescement) Mais pour Paul ?
W : Je lui parlerais, ne t’inquiète pas. Et comme dit Dom, personne n’a rien à dire, d’accord ? Je t’aime Sarah et rien ni personne n’aura le droit de s’y opposer !
Soulagée, je me blottis dans ses bras tandis que nous nous embrassons encore pendant de longues minutes. Chassons toutes les pensées qui me traversent l’esprit sur le « quand dira-t-on » de notre relation, je me laisse aller au désir que j’éprouve pour lui. Alors que ses mains commencent à caresser mon corps brûlant, nous entendons des pas s’approchaient de nous. Nous cessons aussitôt notre baiser tandis qu’il remonte ses mains sur mes épaules quand la porte s’ouvrit en grand.
M : Sarah ?!!! C’est vrai ce qu’ils racontent ?… heu…oui je pense qu’ils ont raison.
J : (s’exclamant en souriant) Et tu nous l’avez caché ?!
R : Ça s’arrose alors !
J’éclate de rire devant leurs enthousiasme à savoir que Sarah et moi sommes enfin ensembles. Soudain, ils sont tous autour de nous à nous féliciter tandis qu’en moins de trois minutes, Robert est en train de remplir des verres de champagne que Marshall s’empressent de nous tendre avec un sourire satisfait.
Il est plus de dix huit heures quand Went vient de m’annoncer qu’il m’emmenait dîner dehors. La maison est tout en euphorie depuis qu’ils savent tous. Dom s’est assuré que nous aurions le champs libre pour sortir sans être importuné par les fans qui attendent un peu plus loin que tout à l’heure. Les agents que Paul nous a envoyé pour notre sécurité sont à leurs postes et éloignent les groupes qui tentent de s’approcher d’un peu trop prêt. Je m’empresse de me chercher une tenue pour ce soir et opte quelques minutes plus tard pour une robe blanche.
Alors que je terminais de me préparer, des coups légers frappaient à la porte. Fronçant les sourcils et jetant un dernier regard au miroir, je me retourne quand Went ouvre la porte et pénètre dans la chambre.
Revêtu d’un pantalon de lin noir et d’une chemise blanche entrouverte au col, laissant apparaître une parcelle de sa peau halé de son torse, je m’approche vers lui.
W : (murmurant d’une voix rauque) Tu es magnifique….
S : (l’enlaçant par la taille) Mais tu n’es pas mal non plus.
Je lui souris et la serre dans mes bras, humant les effluves de son parfum avec délice.
W : (se détachant d’elle et la prenant par la main) Allons-y, il faut qu’on se dépêche.
S : Tu ne m’as pas dis où nous allons ?
W : (souriant tendrement) Tu le verras bien. Tout ce que je peux te dire, c’est que nous serons enfin rien que tous les deux.
Je me penche vers ses lèvres et l’embrasse tendrement.
S : (regard taquin) Hum…. Dépêchons nous alors !
Je ris à son empressement soudain et nous sortons tous les deux, mains dans la main de la pièce. Quelques minutes plus tard, après quelques arrêts pour l’embrasser avec passion, nous rejoignons les autres qui ont le sourire larges sur les lèvres à notre arrivée.
Dominic et Amaury nous accompagnent jusqu’à la voiture de Went tandis que je constate que les agents sont toujours en train de repousser les fans. Une fois installée dans son 4x4, je lance un regard inquiet vers Went.
D : Ne t’inquiète pas Sarah. (s’adressant à Went) On fait ce qu’on a dit ?
W : (acquiescent de la tête) Merci.
Je comprend par leur regard complice que Dom et Amaury vont faire office pour faire diversion. Je pouffe de rire, un instant plus tard quand Amaury nous fait un clin d’œil et qu’il se lance vers l’entrée où les fans commencent à s’agiter.
D : (s’adressant à Sarah) Tu devrais mettre quelque chose sur la tête, Sarah, le temps que vous sortiez d’ici.
W : (murmurant) Il doit avoir quelque chose dans la boite à gang.
Quelques instants plus tard, je place une casquette sur la tête et fait en sorte que la visière me tombe sur le haut du visage. Dom est partit rejoindre Amaury qui a commencé à signer des autographes avec enthousiasme.
W : Tu fais très sexy comme ça.
S : (faisant mine d’être vexée) Je la garderais sur la tête toute la soirée dans ce cas !
W : (éclatant de rire en mettant son véhicule en route) Il n’en est pas question, Wayne Callies !
S : (comprenant à son regard le sous entendu) On y va ?
W : Pressée ?
Je lui souris en guise de réponse. Quelques minutes plus tard, nous avons réussi à sortir du parking et à passer la grille sans encombre. Une fois fait, et alors que nous nous engageons sur la route, Went glisse une main dans la mienne et me regarde intensément, me faisant frissonner plus que de raison….
désolée du retard mais avec ma fille qui est malade, pas évident^^
elle va un peu mieux aujourd'hui, donc voici la suite en éspérant que ça vous plaira
bonne lecture
Chapitre 16.
J’ai tout entendu ce qu’ils viennent de dire dans cette pièce, et à la vue de Went qui est mal à l’aise, j’éprouve un sentiment de culpabilité. Je regarde Amaury et Dominic qui sont blancs comme des linges alors qu’ils baissent le regard vers le sol. Bon, ils ont raison de toute façon ! Pourquoi leurs nier l’évidence aussi longtemps que nous nous l’avons fait ? Et j’ai besoin de vivre ma vie pleinement et de sortir enfin de ce brouillard perpétuel d’où je me sentais prisonnière durant ces dernières années.
Je lève les yeux et rassuré par le faible sourire qui se dessine sur ses lèvres, je lui réponds d’un sourire complice. Je ne sais pas si mon intuition est bonne mais j’ai l’impression qu’elle m’interroge du regard. Je lance un regard furtif vers les deux zigotos de service qui sont à présents rouges comme des écrevisses, comprenant sans doute qu’elle ait tout entendu. Je finis par pouffer de rire légèrement mais je stoppe soudain mon rire moqueur quand elle se dirige vers moi.
Alors que son regard me pénètre d’une intensité foudroyante, je me sens fondre comme neige au soleil. Faisant abstraction de la présence de nos clairs voyants, je m’avance toujours lentement vers Went qui sourit de plus belle, son regard ancré au mien.
Un silence intense, chargé d’une douce électricité flotte dans la pièce. Comme si ce faible soupir de soulagement qu’il vient de laisser échapper du plus profond de lui me répond, je viens l’enlacer amoureusement.
Je la prend aussitôt dans mes bras et me penche vers son visage qui m’attire irréprochablement et capture ses lèvres. Notre baiser est doux, intense et sans plus attendre, je resserre mon étreinte, approfondissant notre baiser avec fougue.
A bout de souffle, je m’écarte légèrement de ses lèvres et me blottit contre son torse nu. Prenant conscience que Dominic et Amaury n’ont pas bondit de satisfaction à ce que j’embrasse Went en leur présence, je me retourne vers eux sans quitter son étreinte. J’ai envie d’éclater de rire, constatant qu’ils sont tous les deux les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte. Je lance un regard vers Went qui sourit également de voir les deux acteurs et amis éberlués.
A : (balbutiant) Tu… vous… t’a…
D : (troublé) Heu… j’ai pas tout comprit là !
A : (s’exclamant) On avait raison !!!!
W : Tout dépend de ce que tu veux dire, Amaury !
D : On peut savoir depuis combien de temps, vous….
S : (souriant) Rassures-toi, ça ne fait vraiment pas longtemps.
D : Tu veux dire…. Depuis maintenant en fait ?
A : Depuis le début, oui !
W : (levant les yeux au plafond) Depuis qu’elle est revenue ! Vous êtes contents ?
A : (ouvrant grands les yeux) Vous avez déjà…
S : (le coupant en l’engueulant) Nolasco ! Ce ne sont pas du tout tes affaires ! Et même si c’était le cas, tu ne sauras rien de ce genre !
D : (murmurant à Amaury) A mon avis, ils attendent cette sortie pour…
W : Dom !
D : (souriant légèrement) Désolé.
Je ris tandis que Sarah éclate de rire à toutes leurs questions. La serrant dans mes bras, je ne peux pas m’empêcher de lui déposer une pluie de baisers sur son front, sa tempe….
D : Bon, je crois qu’on va vous laisser, les tourtereaux.
A : Oui, allons le dire aux autres !
W : (s’écriant) Ho là, pas si vite vous deux ! Vous ne direz rien du tout.
S : (l’embrassant dans le cou) Laisse les faire, mon cœur. J’ai réfléchis et j’ai pas envie qu’on se voit en douce, d’être obligé de nous croisez au coin du couloir pour t’embrasser et….
W : Tu en es certaine ?
S : (hochant la tête) Oui…. Du moins le leur dire à tous mais Paul….
D : Il n’a rien à dire Paul ! Vous êtes libres de faire ce que vous voulez !
W : (souriant) Merci Dom.
A : C’est clair, et je suis certain que Paul serait ravi.
S : Je n’en sais rien.
D : En tout cas, vous avez perdu assez de temps comme ça tous les deux, et je suis vraiment content pour vous ! Vous formez un super beau couple.
W&S : (émus) Merci beaucoup.
D : (s’approchant d’eux pour les serrer dans ses bras) Allez, faite un câlin à tonton Dom !
Nous éclatons de rire tandis qu’il nous serre dans ses bras en nous faisant balancer de droite à gauche.
A : Et moi ! J’ai pas droit à un câlin ?
Nous n’avons pas le temps de lui répondre qu’Amaury nous saute dessus. Résultats des courses, nous retombons tous les quatre sur le lit de Dom. Dans un fou rire général, Went me serre très fort entre ses bras, m’évitant ainsi que Dom m’écrase de son poids.
Une fois que les deux autres se sont relevés du lit, j’attire Sarah vers moi afin de la relever et l’embrasse sur les lèvres. Je me détache ensuite légèrement mais c’est plus fort que moi, je tourne le dos à Dom et Am qui sont restés plantés là et reprend ses lèvres dans un long et tendre baiser.
A : (murmurant à Dom) Je crois que maintenant, ils ne vont pas arrêter de se bécoter à longueur de journée !
D : (souriant, ému en regardant le couple) Allez, vient, on va raconter ça aux autres.
Le bruit de la porte qui se referme nous fait revenir à la réalité. Le souffle court, je m’écarte de Sarah et lui sourit.
S : Tu ne m’en veux pas ?
W : (caressant sa joue) Bien sur que non. J’avouerais même que tu es arrivée au bon moment. Je pense que j’aurais craqué avec toutes leurs insinuations.
S : (souriant tendrement tout en caressant son torse) Je t’aime.
W : Moi aussi je t’aime, Sarah. Demain, nous avons tous les deux rendez-vous avec John…
S : Ton agent ?
W : Oui. Et Paul m’a dit que je dois t’accompagner, il s’occupera de toi, le temps que Marcy revienne de ses vacances. On lui en parlera, d’accord ?
S : (hochant la tête en signe d’acquiescement) Mais pour Paul ?
W : Je lui parlerais, ne t’inquiète pas. Et comme dit Dom, personne n’a rien à dire, d’accord ? Je t’aime Sarah et rien ni personne n’aura le droit de s’y opposer !
Soulagée, je me blottis dans ses bras tandis que nous nous embrassons encore pendant de longues minutes. Chassons toutes les pensées qui me traversent l’esprit sur le « quand dira-t-on » de notre relation, je me laisse aller au désir que j’éprouve pour lui. Alors que ses mains commencent à caresser mon corps brûlant, nous entendons des pas s’approchaient de nous. Nous cessons aussitôt notre baiser tandis qu’il remonte ses mains sur mes épaules quand la porte s’ouvrit en grand.
M : Sarah ?!!! C’est vrai ce qu’ils racontent ?… heu…oui je pense qu’ils ont raison.
J : (s’exclamant en souriant) Et tu nous l’avez caché ?!
R : Ça s’arrose alors !
J’éclate de rire devant leurs enthousiasme à savoir que Sarah et moi sommes enfin ensembles. Soudain, ils sont tous autour de nous à nous féliciter tandis qu’en moins de trois minutes, Robert est en train de remplir des verres de champagne que Marshall s’empressent de nous tendre avec un sourire satisfait.
Il est plus de dix huit heures quand Went vient de m’annoncer qu’il m’emmenait dîner dehors. La maison est tout en euphorie depuis qu’ils savent tous. Dom s’est assuré que nous aurions le champs libre pour sortir sans être importuné par les fans qui attendent un peu plus loin que tout à l’heure. Les agents que Paul nous a envoyé pour notre sécurité sont à leurs postes et éloignent les groupes qui tentent de s’approcher d’un peu trop prêt. Je m’empresse de me chercher une tenue pour ce soir et opte quelques minutes plus tard pour une robe blanche.
Alors que je terminais de me préparer, des coups légers frappaient à la porte. Fronçant les sourcils et jetant un dernier regard au miroir, je me retourne quand Went ouvre la porte et pénètre dans la chambre.
Revêtu d’un pantalon de lin noir et d’une chemise blanche entrouverte au col, laissant apparaître une parcelle de sa peau halé de son torse, je m’approche vers lui.
W : (murmurant d’une voix rauque) Tu es magnifique….
S : (l’enlaçant par la taille) Mais tu n’es pas mal non plus.
Je lui souris et la serre dans mes bras, humant les effluves de son parfum avec délice.
W : (se détachant d’elle et la prenant par la main) Allons-y, il faut qu’on se dépêche.
S : Tu ne m’as pas dis où nous allons ?
W : (souriant tendrement) Tu le verras bien. Tout ce que je peux te dire, c’est que nous serons enfin rien que tous les deux.
Je me penche vers ses lèvres et l’embrasse tendrement.
S : (regard taquin) Hum…. Dépêchons nous alors !
Je ris à son empressement soudain et nous sortons tous les deux, mains dans la main de la pièce. Quelques minutes plus tard, après quelques arrêts pour l’embrasser avec passion, nous rejoignons les autres qui ont le sourire larges sur les lèvres à notre arrivée.
Dominic et Amaury nous accompagnent jusqu’à la voiture de Went tandis que je constate que les agents sont toujours en train de repousser les fans. Une fois installée dans son 4x4, je lance un regard inquiet vers Went.
D : Ne t’inquiète pas Sarah. (s’adressant à Went) On fait ce qu’on a dit ?
W : (acquiescent de la tête) Merci.
Je comprend par leur regard complice que Dom et Amaury vont faire office pour faire diversion. Je pouffe de rire, un instant plus tard quand Amaury nous fait un clin d’œil et qu’il se lance vers l’entrée où les fans commencent à s’agiter.
D : (s’adressant à Sarah) Tu devrais mettre quelque chose sur la tête, Sarah, le temps que vous sortiez d’ici.
W : (murmurant) Il doit avoir quelque chose dans la boite à gang.
Quelques instants plus tard, je place une casquette sur la tête et fait en sorte que la visière me tombe sur le haut du visage. Dom est partit rejoindre Amaury qui a commencé à signer des autographes avec enthousiasme.
W : Tu fais très sexy comme ça.
S : (faisant mine d’être vexée) Je la garderais sur la tête toute la soirée dans ce cas !
W : (éclatant de rire en mettant son véhicule en route) Il n’en est pas question, Wayne Callies !
S : (comprenant à son regard le sous entendu) On y va ?
W : Pressée ?
Je lui souris en guise de réponse. Quelques minutes plus tard, nous avons réussi à sortir du parking et à passer la grille sans encombre. Une fois fait, et alors que nous nous engageons sur la route, Went glisse une main dans la mienne et me regarde intensément, me faisant frissonner plus que de raison….
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Dim 29 Juin - 15:47
wouaw cette suite est superbe, je me suis bien marrée.
J'imagien bien la tête de dom et Amaury quand ils voient Sara et Went s'embrasser.
et les autres qui rapliquent aprés qu'on leur ait dit mdr.
y'a une superbe ambience entre eux depuis que Sara a parlé et c'est géniale. Et mnt que tout est dit, je pense que ca ira encore mieux...
mais comment tout ca va se dérouler avec Paul qui n'est pas au courant meme s'il sait qu'il y a bien quelque chose entre eux ?
et alors la fin aussi est super, hate de voir comment va se passer leur diner.
Et puis, les fans sauront-ils ou non ?
J'imagien bien la tête de dom et Amaury quand ils voient Sara et Went s'embrasser.
et les autres qui rapliquent aprés qu'on leur ait dit mdr.
y'a une superbe ambience entre eux depuis que Sara a parlé et c'est géniale. Et mnt que tout est dit, je pense que ca ira encore mieux...
mais comment tout ca va se dérouler avec Paul qui n'est pas au courant meme s'il sait qu'il y a bien quelque chose entre eux ?
et alors la fin aussi est super, hate de voir comment va se passer leur diner.
Et puis, les fans sauront-ils ou non ?
Islemmedemars- Embrasse Michael......
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Invité Dim 29 Juin - 16:29
Mdr je sens qu'ils ont pas fini d'entendre des réflexions de la part des autres lol
ça va être marrant
Trop bien ils vont faire leur première sortie !!! lol
ça va être marrant
Trop bien ils vont faire leur première sortie !!! lol
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
zenaide Dim 29 Juin - 18:39
C'est vraiment supr cette suite, j'adore !!!
Ils sont trop drole, tellment content qu'ils soient ensemble.
Et Paul n'a vraiment rien a dire c'est leur vie pas la sienne !!!!
Ils sont trop drole, tellment content qu'ils soient ensemble.
Et Paul n'a vraiment rien a dire c'est leur vie pas la sienne !!!!
zenaide- Retrouve Steadman
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Dim 29 Juin - 21:38
coucou
j'espère que ta fille va mieux
je viens de rattraper tout mon retard et waou
c'est extra méga géniale 
Went et Sarah qui sont finalement seuls devant la piscine, mais revoilà les boulets à cause des fans et d'un paparrazi qui apparemment est un gros c** 
ensuite les big insinuations de Dom et d'Amaury qui se révèlent exactes quand Sarah arrive et qu'ils s'embrassent avec Went devant eux
la tête qu'ils ont faits
et après ils peuvent pas s'empêcher de jouer les comères 
donc le dîner va quand même avoir lieu grâce à la diversion d'Amaury
allez LA SUITE
car je sais même pas comment j'ai pu tenir sans pouvoir les lire
j'espère que ta fille va mieux
je viens de rattraper tout mon retard et waou
c'est extra méga géniale Went et Sarah qui sont finalement seuls devant la piscine, mais revoilà les boulets à cause des fans
et d'un paparrazi qui apparemment est un gros c** ensuite les big insinuations de Dom et d'Amaury qui se révèlent exactes quand Sarah arrive et qu'ils s'embrassent avec Went devant eux
la tête qu'ils ont faits
et après ils peuvent pas s'empêcher de jouer les comères donc le dîner va quand même avoir lieu grâce à la diversion d'Amaury
allez LA SUITE
car je sais même pas comment j'ai pu tenir sans pouvoir les lire 
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Dim 29 Juin - 22:38
Thanks you the girls^^
Voici la suite
Chapitre 17.
Au bout de quelques minutes, le silence dans la voiture commençait à me peser lorsque je constate qu’il ne prend pas le chemin qui mène vers chez lui.
S : Mais ce n’est pas la direction de chez toi !
W : (souriant) Si. J’ai déménagé il y a un mois.
S : (surprise) Tu ne te plaisais plus ?
W : Disons que j’avais besoin de changement. Nous sommes bientôt arrivés.
Je me concentre sur la route de nouveau en pressant mes doigts dans sa main. Je ne l’ai pas lâché depuis notre départ, je me sens si bien quand elle est avec moi. Je lance un regard furtif vers elle alors qu’elle a enfin ôter la casquette de sa tête, je souris intérieurement et reprend ma concentration sur la route.
Quelques kilomètres parcourus et nous arrivons devant un immeuble ultra moderne. Le 4x4 ralentit afin de descendre dans un parking gardé. Je fixe son visage, complètement indifférente à ce qu’il se passe autour de nous. Les traits de son visage, me fascinent bien plus.
W : (coupant le moteur) Nous y voilà.
S : (regardant autour d’elle comme si elle venait de s’en apercevoir) Oui.
W : (murmure rauque) Sarah….
Je tourne la tête vers lui et retient mon souffle lorsque sa main passe derrière moi. Ses doigts se posent lentement sur ma nuque et dans un élan fougueux, il m’attire contre lui.
J’en avais trop envie depuis que nous sommes partis. Je l’embrasse avec douceur avant de forcer le barrage de ses lèvres. La passion me submerge au contact de nos langues dansantes l’un contre l’autre.
Quelques instants plus tard, à bout de souffle, je m’écarte de lui , cassant son baiser enivrant. Mon regard s’accroche au sien instantanément et un flot d’émotion envahit mon corps. Il me sourit tendrement alors que je continue à fixer ses yeux brillants de désir.
Je peux deviner ce qu’il se passera dés que nous serons dans son appartement. J’en ai autant envie que lui mais les questions, les craintes se bousculent à mon esprit.
Remarquant son trouble, je l’attire contre moi et embrasse sa tempe, sa joue et finit par sceller mes lèvres aux siennes.
W : (murmurant) Qu’est-ce qui ne va pas, Sarah ?
S : (déglutissant avec peine) C’est rien…. Je pense aux autres, surtout à Paul. Si jamais il vient ce soir….
W : (posant un doigt sur ses lèvres pour l’interrompre) Ne t’inquiète pas. Je t’aime, Sarah et…
S : (fermant les paupières, dans un souffle) Moi aussi je t’aime, Wentworth. Je t’ai toujours aimé…
Mon cœur gonflé de bonheur en entendant ses mots qu’elle prononce en murmurant, je reprend ses lèvres avec passion. Avide de sentir son corps contre le mien, mes mains descendent le long de son dos mais elle me repousse gentiment en plaquant ses mains sur mes épaules.
S : (souriant) Il vaut peut être mieux que nous sortons de la voiture…
Je lui souris et en deux trois mouvements, je pose les pieds sur le sol bétonné. Rapidement, je fais le tour de la voiture et lui ouvre la portière, l’aidant à descendre.
Main dans la main, il m’emmène vers l’ascenseur qui nous mène au dernier étage. Arrivés dans le hall, je sens ma nervosité augmenter, tandis qu’il sort ses clés de sa poche.
Je la fixe et place ma clé dans la serrure. Soudain, je la vois sursauter tandis qu’un orage éclate au-dehors. Je me retourne vers la baie qui surplombe la bille et constate que les rayons du soleil ont fait place aux nuages noirs menaçant, gonflés d’eau. Alors que j’ouvre la porte, je passe un bras autour de sa taille et la fait entrer à l’intérieur.
W : On dirait qu’on est rentré à temps. Viens…
J’entre dans son antre et regarde autour de moi. Je souris en constatant qu’il a gardé une photo de nous prise sur le tournage il y a deux ans. Je m’en approche, observant les lieux d’un œil furtif au passage.
S : (prenant le cadre qui était posé sur une console, émue) Tu l’as gardé….
W : Bien sur….
Comment aurait-il pu en être autrement ? C’était le jour où nous avions tourner la scène de ce dernier baiser dans la série. Il était désespéré, tout comme je l’étais au plus profond de moi.C’était Dominic qui l’avait prise. Il avait assisté au tournage de cette scène avec les autres, derrière les caméras. Il voulait sûrement immortaliser l’instant. Je m’approche d’elle et regarde Sara et Michael, front contre front, le regard désespéré de se perdre à nouveau.
Je souris et finit par reposer le cadre à sa place. Je me retourne vers lui et manque un battement cardiaque quand je remarque le regard brillant de désir et intense qu’il pose sur moi. Je le sens tout à coup nerveux. Il cherche quelque chose du regard et finit par venir vers moi en riant.
W : (la prenant par la taille) Viens, je vais te faire visiter.
S : D’accord.
Un instant plus tard, je le suit dans toutes les pièces de ce gigantesque appartement. Une spectaculaire baie vitrée offrait un panorama sur les sommets des plus hautes collines californienne. Ensuite, je découvre sans grand étonnement ses aménagements de décoration ni luxueuses, ni simples. Les vastes pièces sont meublées de fauteuils et de canapés confortables, mais bien que je n’ai jamais vu d’appartement mieux équipé que celui-ci, je ne peux ressentir un instant de nostalgie pour ma petite maison canadienne.
S : (revenant dans le salon) Ton appartement est très beau, Went.
W : (haussant un sourcil) Tu trouves ?
S : (hochant la tête en signe d’acquiescement) Oui….
W : Mais tu te sentirais mieux dans ton cottage ?
S : (baissant la tête) Went…
W : Il y est resté, n’est-ce pas ?
Mon cœur se serre tandis que je ne peux prononcer aucun mot. Je relève la tête en entendant son murmure et plante mes yeux dans les siens. Rassurée de ne pas y lire la colère, je lui souris faiblement en guise de réponse.
W : Il n’y restera plus très longtemps. Cette maison est la tienne, Sarah.
S : Elle n’est pas encore à moi, c’est la tienne et d’ailleurs je voulais te demander de signer l’acte de vente chez le notaire.
W : (surpris) Quoi ?
S : Je peux de la racheter maintenant…
W : (l’interrompant) Je ne veux pas la vendre Sarah.
S : Mais…
W : Je ne la vendrais pas !
S : (soudain furieuse) Tu plaisantes ? Qu’est-ce que tu vas en faire ?
W : D’abord, je vais sortir ce connard de chez toi et ensuite… rien ! Écoutes, Sarah, je sais que tu aimes cette maison plus que tout. Si j’en ais fais l’acquisition c’est pour toi. Elle est à toi et rien de ce que tu pourras me dire ou faire….
S : Attend une minute ! On était d’accord quand tu l’as acheté ! Je devais te rembourser la totalité et c’est-ce que je peux faire à présent, alors….
W : (s’approchant d’elle et lui prenant son visage entre ses mains) J’aime cette maison aussi, Sarah. Elle est isolée de tout, le paysage est sublime en été comme en hiver. Tu l’aimes aussi et moi, je t’aime plus que tout.
S : (l’interrompant) Je sais, moi aussi je t’aime, Went mais… tu ne peux pas comprendre…
W : (fronçant les sourcils) De quoi ? C’est Éric ? Il a refusé de partir c’est ça ?
S : Oui.
W : Sarah ? Il t’a fais ou dis quelque chose ?
S : (déglutissant péniblement) Il a dit que… il ne sait pas que tu en es le propriétaire, je lui ai toujours caché comme on en avait convenu….
Je la regarde, elle a l’air complètement bouleversée, elle fait les cents pas dans la pièce. Elle a l’air si inquiète que je sens mon cœur se serrer incroyablement.
W : Sarah ?
S : (prenant une profonde inspiration) Il a dit que si je prenais contact avec des avocats pour qu‘il quitte la maison, il ferait en sorte que je n’ai plus rien. Il brûlerait tout…. Je lui ai dis que je ne le laisserai pas faire mais il m’a répondu en riant que c’est-ce que je verrais, et le temps qu’il reçoit un courrier d’un de mes avocats, il ne restera plus que des cendres.
Je regarde une larme rouler le long de sa joue tandis que la colère que j’éprouve en moi se fait puissante, dévastatrice. Comment oses-t-il lui faire peur de cette façon ? Je serre les mâchoires, et regarde un bref instant mes points serrés de fureur.
S : Tout ce que j’ai se trouve dans cette maison, Went.
W : (s’approchant d’elle rapidement) Dans ce cas, j’irais moi-même le mettre à la porte, Sarah.
S : (balançant la tête négativement, apeurée) Non… il… tu ne le connais pas, Went et je n’ai pas envie qu’il s’en prenne à toi.
W : (la prenant dans ses bras) Je n’ai pas peur de lui, Sarah. Demain, nous avons rendez-vous avec John, et dés que nous avons terminé avec la promo du NYC, on ira là bas, d’accord ?
S : (écarquillant les yeux, terrorisée) Je ne pourrais pas….
W : (relevant son visage effrayé) Sarah ? Il… il ne t’a pas touché, dis moi le moi ?
S : Non, non…. Mais si il sait que je lui ai menti pendant tous ce temps, et il….
W : On trouvera une solution, d’accord ? Tu as confiance en moi ?
Je le regarde et déglutis péniblement tandis qu’il pose sa main sur ma joue. D’une caresse, il efface mes craintes, mes doutes concernant ce que pourrais faire Éric. Doucement, je prend sa main dans la mienne et la porte à mes lèvres. Je l’embrasse légèrement et ferme les yeux.
S : (dans un souffle) Oui, Went. J’ai confiance en toi mais je ne veux pas que tu es des problèmes par ma faute.
W : Il ne pourra rien me faire, Sarah. Je te le promets.
Voici la suite
Chapitre 17.
Au bout de quelques minutes, le silence dans la voiture commençait à me peser lorsque je constate qu’il ne prend pas le chemin qui mène vers chez lui.
S : Mais ce n’est pas la direction de chez toi !
W : (souriant) Si. J’ai déménagé il y a un mois.
S : (surprise) Tu ne te plaisais plus ?
W : Disons que j’avais besoin de changement. Nous sommes bientôt arrivés.
Je me concentre sur la route de nouveau en pressant mes doigts dans sa main. Je ne l’ai pas lâché depuis notre départ, je me sens si bien quand elle est avec moi. Je lance un regard furtif vers elle alors qu’elle a enfin ôter la casquette de sa tête, je souris intérieurement et reprend ma concentration sur la route.
Quelques kilomètres parcourus et nous arrivons devant un immeuble ultra moderne. Le 4x4 ralentit afin de descendre dans un parking gardé. Je fixe son visage, complètement indifférente à ce qu’il se passe autour de nous. Les traits de son visage, me fascinent bien plus.
W : (coupant le moteur) Nous y voilà.
S : (regardant autour d’elle comme si elle venait de s’en apercevoir) Oui.
W : (murmure rauque) Sarah….
Je tourne la tête vers lui et retient mon souffle lorsque sa main passe derrière moi. Ses doigts se posent lentement sur ma nuque et dans un élan fougueux, il m’attire contre lui.
J’en avais trop envie depuis que nous sommes partis. Je l’embrasse avec douceur avant de forcer le barrage de ses lèvres. La passion me submerge au contact de nos langues dansantes l’un contre l’autre.
Quelques instants plus tard, à bout de souffle, je m’écarte de lui , cassant son baiser enivrant. Mon regard s’accroche au sien instantanément et un flot d’émotion envahit mon corps. Il me sourit tendrement alors que je continue à fixer ses yeux brillants de désir.
Je peux deviner ce qu’il se passera dés que nous serons dans son appartement. J’en ai autant envie que lui mais les questions, les craintes se bousculent à mon esprit.
Remarquant son trouble, je l’attire contre moi et embrasse sa tempe, sa joue et finit par sceller mes lèvres aux siennes.
W : (murmurant) Qu’est-ce qui ne va pas, Sarah ?
S : (déglutissant avec peine) C’est rien…. Je pense aux autres, surtout à Paul. Si jamais il vient ce soir….
W : (posant un doigt sur ses lèvres pour l’interrompre) Ne t’inquiète pas. Je t’aime, Sarah et…
S : (fermant les paupières, dans un souffle) Moi aussi je t’aime, Wentworth. Je t’ai toujours aimé…
Mon cœur gonflé de bonheur en entendant ses mots qu’elle prononce en murmurant, je reprend ses lèvres avec passion. Avide de sentir son corps contre le mien, mes mains descendent le long de son dos mais elle me repousse gentiment en plaquant ses mains sur mes épaules.
S : (souriant) Il vaut peut être mieux que nous sortons de la voiture…
Je lui souris et en deux trois mouvements, je pose les pieds sur le sol bétonné. Rapidement, je fais le tour de la voiture et lui ouvre la portière, l’aidant à descendre.
Main dans la main, il m’emmène vers l’ascenseur qui nous mène au dernier étage. Arrivés dans le hall, je sens ma nervosité augmenter, tandis qu’il sort ses clés de sa poche.
Je la fixe et place ma clé dans la serrure. Soudain, je la vois sursauter tandis qu’un orage éclate au-dehors. Je me retourne vers la baie qui surplombe la bille et constate que les rayons du soleil ont fait place aux nuages noirs menaçant, gonflés d’eau. Alors que j’ouvre la porte, je passe un bras autour de sa taille et la fait entrer à l’intérieur.
W : On dirait qu’on est rentré à temps. Viens…
J’entre dans son antre et regarde autour de moi. Je souris en constatant qu’il a gardé une photo de nous prise sur le tournage il y a deux ans. Je m’en approche, observant les lieux d’un œil furtif au passage.
S : (prenant le cadre qui était posé sur une console, émue) Tu l’as gardé….
W : Bien sur….
Comment aurait-il pu en être autrement ? C’était le jour où nous avions tourner la scène de ce dernier baiser dans la série. Il était désespéré, tout comme je l’étais au plus profond de moi.C’était Dominic qui l’avait prise. Il avait assisté au tournage de cette scène avec les autres, derrière les caméras. Il voulait sûrement immortaliser l’instant. Je m’approche d’elle et regarde Sara et Michael, front contre front, le regard désespéré de se perdre à nouveau.
Je souris et finit par reposer le cadre à sa place. Je me retourne vers lui et manque un battement cardiaque quand je remarque le regard brillant de désir et intense qu’il pose sur moi. Je le sens tout à coup nerveux. Il cherche quelque chose du regard et finit par venir vers moi en riant.
W : (la prenant par la taille) Viens, je vais te faire visiter.
S : D’accord.
Un instant plus tard, je le suit dans toutes les pièces de ce gigantesque appartement. Une spectaculaire baie vitrée offrait un panorama sur les sommets des plus hautes collines californienne. Ensuite, je découvre sans grand étonnement ses aménagements de décoration ni luxueuses, ni simples. Les vastes pièces sont meublées de fauteuils et de canapés confortables, mais bien que je n’ai jamais vu d’appartement mieux équipé que celui-ci, je ne peux ressentir un instant de nostalgie pour ma petite maison canadienne.
S : (revenant dans le salon) Ton appartement est très beau, Went.
W : (haussant un sourcil) Tu trouves ?
S : (hochant la tête en signe d’acquiescement) Oui….
W : Mais tu te sentirais mieux dans ton cottage ?
S : (baissant la tête) Went…
W : Il y est resté, n’est-ce pas ?
Mon cœur se serre tandis que je ne peux prononcer aucun mot. Je relève la tête en entendant son murmure et plante mes yeux dans les siens. Rassurée de ne pas y lire la colère, je lui souris faiblement en guise de réponse.
W : Il n’y restera plus très longtemps. Cette maison est la tienne, Sarah.
S : Elle n’est pas encore à moi, c’est la tienne et d’ailleurs je voulais te demander de signer l’acte de vente chez le notaire.
W : (surpris) Quoi ?
S : Je peux de la racheter maintenant…
W : (l’interrompant) Je ne veux pas la vendre Sarah.
S : Mais…
W : Je ne la vendrais pas !
S : (soudain furieuse) Tu plaisantes ? Qu’est-ce que tu vas en faire ?
W : D’abord, je vais sortir ce connard de chez toi et ensuite… rien ! Écoutes, Sarah, je sais que tu aimes cette maison plus que tout. Si j’en ais fais l’acquisition c’est pour toi. Elle est à toi et rien de ce que tu pourras me dire ou faire….
S : Attend une minute ! On était d’accord quand tu l’as acheté ! Je devais te rembourser la totalité et c’est-ce que je peux faire à présent, alors….
W : (s’approchant d’elle et lui prenant son visage entre ses mains) J’aime cette maison aussi, Sarah. Elle est isolée de tout, le paysage est sublime en été comme en hiver. Tu l’aimes aussi et moi, je t’aime plus que tout.
S : (l’interrompant) Je sais, moi aussi je t’aime, Went mais… tu ne peux pas comprendre…
W : (fronçant les sourcils) De quoi ? C’est Éric ? Il a refusé de partir c’est ça ?
S : Oui.
W : Sarah ? Il t’a fais ou dis quelque chose ?
S : (déglutissant péniblement) Il a dit que… il ne sait pas que tu en es le propriétaire, je lui ai toujours caché comme on en avait convenu….
Je la regarde, elle a l’air complètement bouleversée, elle fait les cents pas dans la pièce. Elle a l’air si inquiète que je sens mon cœur se serrer incroyablement.
W : Sarah ?
S : (prenant une profonde inspiration) Il a dit que si je prenais contact avec des avocats pour qu‘il quitte la maison, il ferait en sorte que je n’ai plus rien. Il brûlerait tout…. Je lui ai dis que je ne le laisserai pas faire mais il m’a répondu en riant que c’est-ce que je verrais, et le temps qu’il reçoit un courrier d’un de mes avocats, il ne restera plus que des cendres.
Je regarde une larme rouler le long de sa joue tandis que la colère que j’éprouve en moi se fait puissante, dévastatrice. Comment oses-t-il lui faire peur de cette façon ? Je serre les mâchoires, et regarde un bref instant mes points serrés de fureur.
S : Tout ce que j’ai se trouve dans cette maison, Went.
W : (s’approchant d’elle rapidement) Dans ce cas, j’irais moi-même le mettre à la porte, Sarah.
S : (balançant la tête négativement, apeurée) Non… il… tu ne le connais pas, Went et je n’ai pas envie qu’il s’en prenne à toi.
W : (la prenant dans ses bras) Je n’ai pas peur de lui, Sarah. Demain, nous avons rendez-vous avec John, et dés que nous avons terminé avec la promo du NYC, on ira là bas, d’accord ?
S : (écarquillant les yeux, terrorisée) Je ne pourrais pas….
W : (relevant son visage effrayé) Sarah ? Il… il ne t’a pas touché, dis moi le moi ?
S : Non, non…. Mais si il sait que je lui ai menti pendant tous ce temps, et il….
W : On trouvera une solution, d’accord ? Tu as confiance en moi ?
Je le regarde et déglutis péniblement tandis qu’il pose sa main sur ma joue. D’une caresse, il efface mes craintes, mes doutes concernant ce que pourrais faire Éric. Doucement, je prend sa main dans la mienne et la porte à mes lèvres. Je l’embrasse légèrement et ferme les yeux.
S : (dans un souffle) Oui, Went. J’ai confiance en toi mais je ne veux pas que tu es des problèmes par ma faute.
W : Il ne pourra rien me faire, Sarah. Je te le promets.
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Dim 29 Juin - 22:52
olalala cette suite est superbe, j'ai vraiment cru qu'ils allaient le faire la, et voila que ce Eric a 3 francs 6 sous refait surface, non mais oh, pour qui il se prend ce lui la.
Aller Went vas-y lui casser la gueule...
ils sont si chou tout les 2... et sinon pour l'appart, j'aimerais bien avoir le même... lol
la suite sitouplé..
Aller Went vas-y lui casser la gueule...
ils sont si chou tout les 2... et sinon pour l'appart, j'aimerais bien avoir le même... lol
la suite sitouplé..
Islemmedemars- Embrasse Michael......
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Dim 29 Juin - 22:54
j'ai pas le temps de t'harceler que tu postes la suite Went a déménagé et maintenant il vit dans un appart au dernier étage avec une super baie vitrée
Sarah regrette son cottage (il est au Canada??) car l'autre truc machin
veut pas partir et en plus il a osé menacer Sarah 
allez Went va le foutre dehors
maintenant le dîner
ou 
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Lun 30 Juin - 23:52
Merci les filles,
bon, comme convenue, vous pouvez sortir la bassine
J'espère que vous aimerez mes chéries^^
Chapitre 18.
Durant un long instant, nos regards demeurent arrimés l’un à l’autre. Sans s’en rendre complètement compte, elle a fait un pas en arrière et se retrouve dos au mur.
Mon cerveau tourne à vide, seul mon corps semble exister, refoulant toutes mes craintes et mes doutes que nous venons d’évoquer. Mes sens. Mes organes en émoi. Mon cœur qui bat furieusement dans mes tempes. Mes jambes tremblent incroyablement. Je frémis tandis que je le regarde, le souffle court, s’approcher lentement vers moi. Comme dans mes nuits tant rêvées, il prend appui au-dessus de moi et se penche vers mes lèvres.
Ses lèvres sont douces, m’effleurent à peine. Une vague monte en moi, tandis que j’ai l’impression de vaciller pendant qu’il poursuit cette caresse insoutenable. Sa bouche contre la mienne, nos souffles se mêlant l’un à l’autre sans vraiment se rencontrer.
Mon cœur bat à se rompre, j’ai l’impression qu’un vertige m’envahit mais je fais tout pour freiner la fougue qui me pousse à la prendre là, tout de suite. J’ai envie que nous prenions notre temps, cette première fois doit être exceptionnelle. Tant de fois rêvée, tant de fois penser et désirer à imaginer cette scène où je lui ferais l’amour avec lenteur, douceur et volupté que mon désir m’est presque douloureux. J’ai envie de connaître son corps par cœur, que je grave chaque instant de notre étreinte dans mon cœur, dans ma tête.
Avec douceur, et lenteur surtout, il m’embrasse enfin. Comme si nous vivions cet instant électrisant au ralenti, nos langues se touchent, se séparent pour mieux s’enrouler dans un balai de volupté. Dans un crescendo d’une langueur terrible, la caresse s’enflamme et enfin, notre baiser s’approfondit avec voracité qui me fait frémir de plaisir.
Le monde tournoie autour de moi, et j’en suis réduite qu’à l’éveil de mes sens enflammés comme jamais. C’est à peine que je prend conscience lorsqu’il glisse ses doigts dans mes cheveux. Grisée par l’esquisse sensation de sa main sur ma nuque.
Plus fougueux à chaque seconde, notre baiser nous embrase tous les deux. Je la plaque plus étroitement contre le mur, et colle mon corps brûlant au sien. Une sorte de fièvre m’emporte… le désir qui monte en moi est d’une puissance inouïe.
Je passe une main autour de son cou et gémit lorsqu’il m’attire rudement contre lui pour faire courir une main fiévreuse dans mon dos… puis sur mes hanches. J’entend la tempête gronder au-dehors mais l’orage se joue ici, entre nous à la surface de nos corps, pressés l’un contre l’autre, impatients de ne faire qu’un.
Je suis en train de vivre le baiser le plus torride, le plus érotique que j’ai jamais connu. Nous sommes dans un corps à corps fougueux. Elle s’agrippe à moi, me couvrant de baisers passionnés, revenant sans cesse chercher mes lèvres brûlantes et humides.
Un grognement sourd s’échappe de ma gorge alors qu’elle ressert ses bras autours de son cou. Je pose mes mains sur ses épaules et les descends vers sa poitrine que je dessine le contour de ses seins avant de glisser un doigt sous la bretelle de sa robe et de la baisser lentement. Ensuite, comme si elle n’en pouvait plus de cette délicieuse torture, sa robe glisse sur le sol. Elle se cambre sous mon corps pour s’échapper de mon étreinte, je m’écarte légèrement tandis qu’elle déboutonne ma chemise en reprenant mes lèvres.
Avide de le toucher, j’enlève sa chemise le plus rapidement que je peux et pose mes mains à plat sur son torse. Je peux sentir les battements rapides de son cœur. Il m’enlace plus étroitement. Troublée par son sourire tendre, par ses gestes si doux, par son regard brûlant, je ferme les yeux et savoure la chaleur de nos corps pressés l’un contre l’autre.
Je souris alors qu’elle ferme les yeux et l’embrasse d’un doux baiser. Je passe ma main dans son dos et enlève l’agrafe de son soutient gorge qui glisse aussitôt rejoindre sa robe au sol. Je la contemple, le souffle court. Elle est magnifique…
Des frissons surgissent à la surface de ma peau alors qu’un brasier s’allume dans mon ventre tandis que ses lèvres humides et chaudes découvrent ma poitrine.
Tout en agaçant les pointes de ses seins du bout de la langue, je glisse mes doigts sur ses hanches. Elle gémit de plaisir et me relève la tête pour me donner un baiser passionné. Je la resserre contre moi, avide et fiévreux d’unir nos corps.
Le souffle court, je m’écarte de ses lèvres et les portes sur son torse. Je parcours son corps du bout de la langue, explorant les creux et courbes de son cou. Sa respiration s’accélère alors qu’il se presse davantage et caresse mes fesses avec une lenteur insoutenable. Mes mains glissent le long de son torse et je caresse avec émoi son ventre… son bas ventre qui durcit sous mon passage. Je souris et passe un doigt le long de sa ceinture que je m’empresse de défaire.
W : (murmure rauque) Attends.
Je la soulève dans mes bras et la conduis vers le canapé où je l’allonge avec tendresse. J’aurais pu la mener à ma chambre mais je n’ai pas envie d’attendre plus longtemps.
Je parviens à peine à respirer. Ma gorge est sèche, mon corps est en feu.
J’enlève mon pantalon et le laisse tomber sur le sol, avant de m’approcher en silence et de m’allonger contre elle. Tremblante, elle caresse mon ventre, mes cuisses tandis que j’explore son corps de mes doigts experts, m’aventurant sous le triangle de coton qui cache encore son bas ventre. Elle pousse un faible gémissement et se cambre, écartant instinctivement les cuisses. Je colle mes lèvres aux siennes en un baiser enfiévré avant de faire monter en elle des ondes de plaisir de plus en plus violentes.
Avec exaltation, j’explore sans fin l’antre humide et chaud de sa féminité, à l’écoute du plaisir qu’elle laisse échapper par des murmures, de sa bouche entrouverte qui continue à m’embrassait dans le cou. Elle est si belle…
C’est insensé…. Je me sens chavirer par ses caresses. Comment peut-il éveiller en moi des sensations d’une telle intensité ? Lentement, presque timidement j’avance une main vers son bas ventre que je caresse doucement. N’y pouvant plus, je glisse mes doigts dans son caleçon et le glisse le long de ses jambes, avant de caresser son membre tendu.
Je souris en écoutant les marmonnements rauques qui laissent sortir de sa bouche à ce contact.
J’aurais voulu attendre encore… mais maintenant qu’elle a posé ses mains sur moi et que je sens la chaleur de nos corps nus pressés l’un contre l’autre, je ne savait comment retenir le jaillissement qui sourde en moi, menaçant de tout emporter.
M’appuyant contre le dossier du canapé, je roule sur elle et l’embrasse jusqu’à ce que nous soyons incapables de respirer. Sentir enfin sa peau douce et satinée contre moi était la plus délicieuse des tortures. Je ne peux plus nier la puissance de mon désir que je dois assouvir sous peine de devenir fou.
W : (dans un souffle) Je ne peux plus attendre…
S : (souriant tendrement) Viens.
Je ferme les yeux et savoure l’instant où il me pénètre d’un mouvement de rein aussi ample que puissant. Ondulant d’un même élan, nous nous soudons l’un à l’autre et sentons un feu lancinant s’allumer en nous.
Trempée de sueur, elle accroche ses mains à mes hanches, vibrante de tout son corps et se laisse dériver au gré du plaisir, montant par vagues successives.
Soudain, il s’immobilise. J’ouvre les yeux et me noie dans son regard bleu humide. Il se retire lentement tandis que je me sens vaciller de tout mon être. Je resserre mon étreinte pour le supplier de continuer et dans un murmure rauque, il s’enfonce à nouveau en moi, plus profondément. Je croie que je vais mourir… là…. Maintenant, tandis que mon cœur s’affole par le flot de sensation qui déferle en moi.
W : (murmure rauque, avant de reprendre ses lèvres) Je t’aime, Sarah…
Je renverse la tête en arrière et accueille ses puissants coups de riens en gémissant, écoutant le grondement d’une jouissance inouïe jaillit du plus profond de mon âme. Noyant mon regard au sien, je constate en une fraction de seconde qu’il se mord la lèvre.
W : (gémissant) Oh, Sarah…
Puis, il enfonce son visage dans le creux de mon cou. J’hume les effluves de nos peaux mêlées avant de basculer et de m’abîmer avec lui, l’homme que j’ai toujours aimé. Une larme glisse le long de ma joue, dans un flux de sensations aussi exquises que violentes…
bon, comme convenue, vous pouvez sortir la bassine
J'espère que vous aimerez mes chéries^^
Chapitre 18.
Durant un long instant, nos regards demeurent arrimés l’un à l’autre. Sans s’en rendre complètement compte, elle a fait un pas en arrière et se retrouve dos au mur.
Mon cerveau tourne à vide, seul mon corps semble exister, refoulant toutes mes craintes et mes doutes que nous venons d’évoquer. Mes sens. Mes organes en émoi. Mon cœur qui bat furieusement dans mes tempes. Mes jambes tremblent incroyablement. Je frémis tandis que je le regarde, le souffle court, s’approcher lentement vers moi. Comme dans mes nuits tant rêvées, il prend appui au-dessus de moi et se penche vers mes lèvres.
Ses lèvres sont douces, m’effleurent à peine. Une vague monte en moi, tandis que j’ai l’impression de vaciller pendant qu’il poursuit cette caresse insoutenable. Sa bouche contre la mienne, nos souffles se mêlant l’un à l’autre sans vraiment se rencontrer.
Mon cœur bat à se rompre, j’ai l’impression qu’un vertige m’envahit mais je fais tout pour freiner la fougue qui me pousse à la prendre là, tout de suite. J’ai envie que nous prenions notre temps, cette première fois doit être exceptionnelle. Tant de fois rêvée, tant de fois penser et désirer à imaginer cette scène où je lui ferais l’amour avec lenteur, douceur et volupté que mon désir m’est presque douloureux. J’ai envie de connaître son corps par cœur, que je grave chaque instant de notre étreinte dans mon cœur, dans ma tête.
Avec douceur, et lenteur surtout, il m’embrasse enfin. Comme si nous vivions cet instant électrisant au ralenti, nos langues se touchent, se séparent pour mieux s’enrouler dans un balai de volupté. Dans un crescendo d’une langueur terrible, la caresse s’enflamme et enfin, notre baiser s’approfondit avec voracité qui me fait frémir de plaisir.
Le monde tournoie autour de moi, et j’en suis réduite qu’à l’éveil de mes sens enflammés comme jamais. C’est à peine que je prend conscience lorsqu’il glisse ses doigts dans mes cheveux. Grisée par l’esquisse sensation de sa main sur ma nuque.
Plus fougueux à chaque seconde, notre baiser nous embrase tous les deux. Je la plaque plus étroitement contre le mur, et colle mon corps brûlant au sien. Une sorte de fièvre m’emporte… le désir qui monte en moi est d’une puissance inouïe.
Je passe une main autour de son cou et gémit lorsqu’il m’attire rudement contre lui pour faire courir une main fiévreuse dans mon dos… puis sur mes hanches. J’entend la tempête gronder au-dehors mais l’orage se joue ici, entre nous à la surface de nos corps, pressés l’un contre l’autre, impatients de ne faire qu’un.
Je suis en train de vivre le baiser le plus torride, le plus érotique que j’ai jamais connu. Nous sommes dans un corps à corps fougueux. Elle s’agrippe à moi, me couvrant de baisers passionnés, revenant sans cesse chercher mes lèvres brûlantes et humides.
Un grognement sourd s’échappe de ma gorge alors qu’elle ressert ses bras autours de son cou. Je pose mes mains sur ses épaules et les descends vers sa poitrine que je dessine le contour de ses seins avant de glisser un doigt sous la bretelle de sa robe et de la baisser lentement. Ensuite, comme si elle n’en pouvait plus de cette délicieuse torture, sa robe glisse sur le sol. Elle se cambre sous mon corps pour s’échapper de mon étreinte, je m’écarte légèrement tandis qu’elle déboutonne ma chemise en reprenant mes lèvres.
Avide de le toucher, j’enlève sa chemise le plus rapidement que je peux et pose mes mains à plat sur son torse. Je peux sentir les battements rapides de son cœur. Il m’enlace plus étroitement. Troublée par son sourire tendre, par ses gestes si doux, par son regard brûlant, je ferme les yeux et savoure la chaleur de nos corps pressés l’un contre l’autre.
Je souris alors qu’elle ferme les yeux et l’embrasse d’un doux baiser. Je passe ma main dans son dos et enlève l’agrafe de son soutient gorge qui glisse aussitôt rejoindre sa robe au sol. Je la contemple, le souffle court. Elle est magnifique…
Des frissons surgissent à la surface de ma peau alors qu’un brasier s’allume dans mon ventre tandis que ses lèvres humides et chaudes découvrent ma poitrine.
Tout en agaçant les pointes de ses seins du bout de la langue, je glisse mes doigts sur ses hanches. Elle gémit de plaisir et me relève la tête pour me donner un baiser passionné. Je la resserre contre moi, avide et fiévreux d’unir nos corps.
Le souffle court, je m’écarte de ses lèvres et les portes sur son torse. Je parcours son corps du bout de la langue, explorant les creux et courbes de son cou. Sa respiration s’accélère alors qu’il se presse davantage et caresse mes fesses avec une lenteur insoutenable. Mes mains glissent le long de son torse et je caresse avec émoi son ventre… son bas ventre qui durcit sous mon passage. Je souris et passe un doigt le long de sa ceinture que je m’empresse de défaire.
W : (murmure rauque) Attends.
Je la soulève dans mes bras et la conduis vers le canapé où je l’allonge avec tendresse. J’aurais pu la mener à ma chambre mais je n’ai pas envie d’attendre plus longtemps.
Je parviens à peine à respirer. Ma gorge est sèche, mon corps est en feu.
J’enlève mon pantalon et le laisse tomber sur le sol, avant de m’approcher en silence et de m’allonger contre elle. Tremblante, elle caresse mon ventre, mes cuisses tandis que j’explore son corps de mes doigts experts, m’aventurant sous le triangle de coton qui cache encore son bas ventre. Elle pousse un faible gémissement et se cambre, écartant instinctivement les cuisses. Je colle mes lèvres aux siennes en un baiser enfiévré avant de faire monter en elle des ondes de plaisir de plus en plus violentes.
Avec exaltation, j’explore sans fin l’antre humide et chaud de sa féminité, à l’écoute du plaisir qu’elle laisse échapper par des murmures, de sa bouche entrouverte qui continue à m’embrassait dans le cou. Elle est si belle…
C’est insensé…. Je me sens chavirer par ses caresses. Comment peut-il éveiller en moi des sensations d’une telle intensité ? Lentement, presque timidement j’avance une main vers son bas ventre que je caresse doucement. N’y pouvant plus, je glisse mes doigts dans son caleçon et le glisse le long de ses jambes, avant de caresser son membre tendu.
Je souris en écoutant les marmonnements rauques qui laissent sortir de sa bouche à ce contact.
J’aurais voulu attendre encore… mais maintenant qu’elle a posé ses mains sur moi et que je sens la chaleur de nos corps nus pressés l’un contre l’autre, je ne savait comment retenir le jaillissement qui sourde en moi, menaçant de tout emporter.
M’appuyant contre le dossier du canapé, je roule sur elle et l’embrasse jusqu’à ce que nous soyons incapables de respirer. Sentir enfin sa peau douce et satinée contre moi était la plus délicieuse des tortures. Je ne peux plus nier la puissance de mon désir que je dois assouvir sous peine de devenir fou.
W : (dans un souffle) Je ne peux plus attendre…
S : (souriant tendrement) Viens.
Je ferme les yeux et savoure l’instant où il me pénètre d’un mouvement de rein aussi ample que puissant. Ondulant d’un même élan, nous nous soudons l’un à l’autre et sentons un feu lancinant s’allumer en nous.
Trempée de sueur, elle accroche ses mains à mes hanches, vibrante de tout son corps et se laisse dériver au gré du plaisir, montant par vagues successives.
Soudain, il s’immobilise. J’ouvre les yeux et me noie dans son regard bleu humide. Il se retire lentement tandis que je me sens vaciller de tout mon être. Je resserre mon étreinte pour le supplier de continuer et dans un murmure rauque, il s’enfonce à nouveau en moi, plus profondément. Je croie que je vais mourir… là…. Maintenant, tandis que mon cœur s’affole par le flot de sensation qui déferle en moi.
W : (murmure rauque, avant de reprendre ses lèvres) Je t’aime, Sarah…
Je renverse la tête en arrière et accueille ses puissants coups de riens en gémissant, écoutant le grondement d’une jouissance inouïe jaillit du plus profond de mon âme. Noyant mon regard au sien, je constate en une fraction de seconde qu’il se mord la lèvre.
W : (gémissant) Oh, Sarah…
Puis, il enfonce son visage dans le creux de mon cou. J’hume les effluves de nos peaux mêlées avant de basculer et de m’abîmer avec lui, l’homme que j’ai toujours aimé. Une larme glisse le long de ma joue, dans un flux de sensations aussi exquises que violentes…
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Mar 1 Juil - 0:07
Merci les filles,
bon, comme convenue, vous pouvez sortir la bassine
J'espère que vous aimerez mes chéries^^
c'est pas une bassine qu'on aurait du prévoir mais une congélo
waou cette scène est très
et très tendre aussi ils étaient tellement "impatient " que le canapé aura été témoin de leur première fois et peut être 2ème et 3ème
sinon à quand le bébé wesa, et bah oui Sarah n'a pas suivit ses propres conseils
- Spoiler:
- et t'as pas intérêt à me dire qu'elle prend la pilule ou qu'ils ont mis un préservatif, même si le bébé c'est pas pour l'instant, je veux bien pour l'année prochaine grossesse comprise
super suite et maintenant vite la suite
enfin que je vais sortir du congélo 
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Mar 1 Juil - 0:28
tinkerbel a écrit:Merci les filles,
bon, comme convenue, vous pouvez sortir la bassine
J'espère que vous aimerez mes chéries^^
c'est pas une bassine qu'on aurait du prévoir mais une congélo
waou cette scène est très
ils étaient tellement "impatient " que le canapé aura été témoin de leur première fois et peut être 2ème et 3ème
sinon à quand le bébé wesa, et bah oui Sarah n'a pas suivit ses propres conseils
- Spoiler:
super suite et maintenant vite la suite
mdr ma chérie, tu as raison sur toute la ligne, sauf pour le canapé, ils ont fait qu'une seule fois dessus, tu verras demain (je parle des taches qu'il pourrait y avoir hein
) mdrmerci ma poulette
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Mar 1 Juil - 0:35
1 seul fois ok alors après c'est le lit, la douche, re le lit , et la voiture bah t'as pas dit que ce serait comme Logane c'est ce que j'ai cru comprendre 
sinon j'ai raison pour le bébé wesa
allez je crois que Went va avoir besoin d'un super nettoyant ou d'un autre canapé
je t'adore
ok alors après c'est le lit, la douche, re le lit , et la voiture bah t'as pas dit que ce serait comme Logane c'est ce que j'ai cru comprendre sinon j'ai raison pour le bébé wesa
allez je crois que Went va avoir besoin d'un super nettoyant ou d'un autre canapé
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Mar 1 Juil - 1:12
WOUAWWWWWWWW ils l'ont faittttttttttttttttt lol
j'ai pas mots pour comment c'était woauwwww
et quelle description, c'est magnifiquement beau...
la suiteeee
j'ai pas mots pour comment c'était woauwwww
et quelle description, c'est magnifiquement beau...
la suiteeee
Islemmedemars- Embrasse Michael......
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Mar 1 Juil - 21:50
Merci mes tites chéries
Voici la suite,
Chapitre 19.
Avant même que j’ouvre les yeux, je peux sentir son regard sur moi. Son souffle chaud effleure mes épaules nues, comme une caresse. Je souris légèrement, consciente qu’il me regarde dormir. Alors qu’il accentue la caresse de sa main sur mon ventre, j’entrouvre les paupières. Nous sommes chaudement lovés l’un contre l’autre dans son lit. Durant la nuit, nous nous étions réfugiés dans sa chambre pour faire l’amour encore deux fois, avant de sombrer dans un sommeil proche du coma, aux premières heures de l’aube.
Je la regarde en souriant tandis qu’elle vient de bouger légèrement les paupières. Je la serre contre moi et commence à l’embrasser d’une pluie de baiser sur les cheveux, sur sa tempe… Elle commence à s’étirer alors que je continue inlassablement de caresser son corps nu du bout des doigts….
Je me retourne vers lui et souris en ouvrant les yeux.
W : Bonjour, toi.
S : (se calant contre lui) Bonjour… quelle heure est-il ?
W : (la basculant sur le dos, et l‘embrassant) Hum… un peu plus de neuf heures…
J’ouvre de grands yeux et le fixe tandis qu’il me sourit tendrement.
S : On devrait peut-être se lever. On doit aller voir ton agent, n’oublie pas.
W : On a encore un peu de temps, ma puce.
Je souris à son air taquin qu’il a sur le visage en prononçant ses mots. J’essaie de me dégager de son étreinte, mais il se pose au dessus de moi et il agrippe mes poignets, et les placent au dessus de ma tête.
S : (écarquillant les yeux) Qu’est-ce que tu fais ?
W : (sourire satisfait) Je ne sais pas…
S : (répondant à son baiser) Tu ne sais pas ?
W : (se penchant pour l’embrasser) J’ai bien une petite idée…
Je ne peux m’empêcher de rire à son insatiabilité mais arrête aussitôt alors que nos regards se croisent. Nous nous fixons pendant un instant, comprenant que nous pensions à cette nuit d’étreinte passionné. Mon cœur s’emballe à la vue du désir qui émane de ses yeux clairs.
Je la sens frémir sous moi. Comme cette nuit où nous avions fait l’amour, où, enfin nous ne faisions plus qu’un. Je me penche à nouveau vers son visage et capture ses lèvres entrouvertes, gémissant aussitôt au contact de nos langues. Pendant de longues minutes, notre baiser n’est que passion avant de nous transporter dans une fougue comparable à celle d’hier… à celle de cette nuit. Jamais je n’avais ressenti ce que j’ai découvert dans ses bras. Je sais que c’est elle la femme de ma vie, la femme que j’attendais depuis si longtemps.
Soudain, brûlant de désir, mes mains se mettent à parcourir les formes délicieuses de son corps. Mais alors que je m’aventurais vers ses cuisses, Sara se cambra rapidement et me fit basculer sur le côté. Surpris, j’essaie de me remettre dans ma position initiale mais elle en a décidé autrement, pour mon plus grand plaisir….
Nous nous sourions tandis que je m’installe à califourchon sur lui. Des étincelles brillantes illuminent ses pupilles, sa respiration s’accélère alors que je commence avec une lenteur délibérée de l’embrasser sur son visage, ses lèvres, son cou…. Son souffle est court, nos intimités se frôlent, nos gémissements de plaisir sont rauques et nos murmures inaudibles jusqu’à ce Went se redresse et me prend les lèvres et m’embrasse d’une façon renversante.
Je passe mes bras derrière son dos tandis qu’elle enroule les siens autours de mon cou. Nos bouches s’écartent, à bout de souffle. Nos regards sont soudés l’un à l’autre. Je la soulève légèrement, sans la quitter des yeux, nous nous retrouvons encore dans un grognement de plaisir….
Une heure plus tard, je sors de la salle de bain et retrouve Went dans la cuisine. Il est magnifique. Je l’observe pendant quelques minutes alors qu’il est en train de préparer du café en sifflotant gaiement. Je finis par m’approcher de lui et l’enlace amoureusement, reposant ma tête contre son dos.
Je souris et ferme les yeux, savourant cet instant. Je n’aurais jamais imaginé que ce simple geste de tendresse me remplirait le cœur de bonheur comme à cet instant. Je me retourne et la prend dans mes bras, la serrant contre moi, soupirant de plaisir.
W : (murmurant) Je t’aime ma puce.
S : (redressant la tête) Moi aussi.
W : (replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille) Pendant que tu étais sous la douche, j’ai appelé Dominic…
S : (fronçant les sourcils) Et ? Paul n’est pas venu au moins ?
W : Non, il n’est pas venu. Tout se passe bien.
S : On est pas obligé de rentrer dis ?
W : (riant de son air boudeur) Je suis désolé mais il le faut. Demain matin on part tous ensemble pour la promo.
S : (poussant un soupir) Ha oui, j’avais oublié.
W : (l’embrassant doucement) Ce n’est rien, on aura toutes les nuits pour se retrouver.
S : Au loft ?
W : Hum… ben oui pourquoi ?
S : Avec les pitres qui vivent avec nous ? Tu as perdu la tête ?
W : (éclatant de rire mais comprenant ses craintes) Non, mais on ne fera pas de bruit et je fermerais la porte à clé.
S : (faisant mine de réfléchir) Hum, ça me parait plus sage.
W : (l’enlaçant par la taille et haussant un sourcil) Ha…. Et tu peux me dire pourquoi ce serait plus sage, Wayne Callies ?
Je lui fous une tape sur l’épaule et m’échappe de ses bras en riant. Dix minutes plus tard, après avoir avalé un petit déjeuner dont Went insistait, nous sortons de l’appartement main dans la main.
Pendant le chemin que nous prenons pour nous rendre à l’agence où John nous attend, Sara me mordille le cou en riant. Je la repousse légèrement et lui demande de rester tranquille. Je ne voudrais pas qu’on est un accident maintenant. Je lance un regard discret vers elle et j’éclate de rire en constatant qu’elle s’est recroquevillée dans son coin, comme une petite fille qui vient d’être rejetée.
S : (se tournant vers lui) Pourquoi tu ris ?
W : C’est toi qui me fait rire !
S : Merci, c’est la réponse que j’attendais.
W : (fronçant les yeux) Pourquoi ?
S :…
W : Sarah ?
S…
Je pousse un soupir tandis que je vois qu’elle décide de me faire la tête. Mais je finis par sourire une fois de plus alors que j’aperçois son visage ravi et un sourire large sur ses lèvres dans le rétroviseur.
W : (murmurant) Je te vois sourire, Wayne Callies !
S : (se tournant vers lui) J’ai envie d’un baiser, Miller.
Je souris de plus belle et comment lui refuser ? Sans répondre à cette demande, je me gare sur le bas côté de la route et me tourne vers elle.
W : Viens là.
Je souris, satisfaite d’obtenir ce baiser. Je m’approche de lui et il entoure ses bras autour de mon cou. Joueuse, je me recule de ses lèvres alors qu’il m’effl lentement avec une extrême douceur. Il fronce les sourcils et me regarde d’une intensité troublante.
W : (murmurant d’une voix suppliante) Embrasses-moi.
Je m’approche alors de lui et pose mes lèvres contre les siennes et l’embrasse d’un baiser chaste avant de retourner m’enfoncer dans mon siège.
W : Rien que ça ?
S : Je t’avais bien dit que je voulais qu’un baiser.
W : (écarquillant les yeux) C’est pas un baiser ça !
Elle rit de mon exclamation qui vient de s’échapper de ma bouche sans que je le veuille. Je la contemple un instant et comprend à son air moqueur qu’elle m’a eut.
S : Tu te crois toujours aussi irrésistible, Miller ?
W : Tu as gagné. C’était pour hier, c’est bien ça ?
S : (haussant un sourcil en souriant) Hum, peut être.
C’est alors qu’elle se rapproche rapidement de moi et m’embrasse avec fougue. Je devrais la repousser, jouer à nouveau à ce petit jeu qui nous rend pantelant de désir mais j’en ai envie autant qu’elle. Je répond à son baiser avec passion, et resserre mon étreinte.
Une demi heure plus tard, je gare enfin mon 4x4 devant les bureaux de l’agence et regarde Sara amoureusement. Je lui tend la main après avoir ouvert sa portière.
W : Prête ?
S : Pour toi, toujours, mon cœur.
Je lui souris et ne peut m’empêcher de lui voler un baiser, inconscient que nous sommes en pleine rue…
Voici la suite,
Chapitre 19.
Avant même que j’ouvre les yeux, je peux sentir son regard sur moi. Son souffle chaud effleure mes épaules nues, comme une caresse. Je souris légèrement, consciente qu’il me regarde dormir. Alors qu’il accentue la caresse de sa main sur mon ventre, j’entrouvre les paupières. Nous sommes chaudement lovés l’un contre l’autre dans son lit. Durant la nuit, nous nous étions réfugiés dans sa chambre pour faire l’amour encore deux fois, avant de sombrer dans un sommeil proche du coma, aux premières heures de l’aube.
Je la regarde en souriant tandis qu’elle vient de bouger légèrement les paupières. Je la serre contre moi et commence à l’embrasser d’une pluie de baiser sur les cheveux, sur sa tempe… Elle commence à s’étirer alors que je continue inlassablement de caresser son corps nu du bout des doigts….
Je me retourne vers lui et souris en ouvrant les yeux.
W : Bonjour, toi.
S : (se calant contre lui) Bonjour… quelle heure est-il ?
W : (la basculant sur le dos, et l‘embrassant) Hum… un peu plus de neuf heures…
J’ouvre de grands yeux et le fixe tandis qu’il me sourit tendrement.
S : On devrait peut-être se lever. On doit aller voir ton agent, n’oublie pas.
W : On a encore un peu de temps, ma puce.
Je souris à son air taquin qu’il a sur le visage en prononçant ses mots. J’essaie de me dégager de son étreinte, mais il se pose au dessus de moi et il agrippe mes poignets, et les placent au dessus de ma tête.
S : (écarquillant les yeux) Qu’est-ce que tu fais ?
W : (sourire satisfait) Je ne sais pas…
S : (répondant à son baiser) Tu ne sais pas ?
W : (se penchant pour l’embrasser) J’ai bien une petite idée…
Je ne peux m’empêcher de rire à son insatiabilité mais arrête aussitôt alors que nos regards se croisent. Nous nous fixons pendant un instant, comprenant que nous pensions à cette nuit d’étreinte passionné. Mon cœur s’emballe à la vue du désir qui émane de ses yeux clairs.
Je la sens frémir sous moi. Comme cette nuit où nous avions fait l’amour, où, enfin nous ne faisions plus qu’un. Je me penche à nouveau vers son visage et capture ses lèvres entrouvertes, gémissant aussitôt au contact de nos langues. Pendant de longues minutes, notre baiser n’est que passion avant de nous transporter dans une fougue comparable à celle d’hier… à celle de cette nuit. Jamais je n’avais ressenti ce que j’ai découvert dans ses bras. Je sais que c’est elle la femme de ma vie, la femme que j’attendais depuis si longtemps.
Soudain, brûlant de désir, mes mains se mettent à parcourir les formes délicieuses de son corps. Mais alors que je m’aventurais vers ses cuisses, Sara se cambra rapidement et me fit basculer sur le côté. Surpris, j’essaie de me remettre dans ma position initiale mais elle en a décidé autrement, pour mon plus grand plaisir….
Nous nous sourions tandis que je m’installe à califourchon sur lui. Des étincelles brillantes illuminent ses pupilles, sa respiration s’accélère alors que je commence avec une lenteur délibérée de l’embrasser sur son visage, ses lèvres, son cou…. Son souffle est court, nos intimités se frôlent, nos gémissements de plaisir sont rauques et nos murmures inaudibles jusqu’à ce Went se redresse et me prend les lèvres et m’embrasse d’une façon renversante.
Je passe mes bras derrière son dos tandis qu’elle enroule les siens autours de mon cou. Nos bouches s’écartent, à bout de souffle. Nos regards sont soudés l’un à l’autre. Je la soulève légèrement, sans la quitter des yeux, nous nous retrouvons encore dans un grognement de plaisir….
Une heure plus tard, je sors de la salle de bain et retrouve Went dans la cuisine. Il est magnifique. Je l’observe pendant quelques minutes alors qu’il est en train de préparer du café en sifflotant gaiement. Je finis par m’approcher de lui et l’enlace amoureusement, reposant ma tête contre son dos.
Je souris et ferme les yeux, savourant cet instant. Je n’aurais jamais imaginé que ce simple geste de tendresse me remplirait le cœur de bonheur comme à cet instant. Je me retourne et la prend dans mes bras, la serrant contre moi, soupirant de plaisir.
W : (murmurant) Je t’aime ma puce.
S : (redressant la tête) Moi aussi.
W : (replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille) Pendant que tu étais sous la douche, j’ai appelé Dominic…
S : (fronçant les sourcils) Et ? Paul n’est pas venu au moins ?
W : Non, il n’est pas venu. Tout se passe bien.
S : On est pas obligé de rentrer dis ?
W : (riant de son air boudeur) Je suis désolé mais il le faut. Demain matin on part tous ensemble pour la promo.
S : (poussant un soupir) Ha oui, j’avais oublié.
W : (l’embrassant doucement) Ce n’est rien, on aura toutes les nuits pour se retrouver.
S : Au loft ?
W : Hum… ben oui pourquoi ?
S : Avec les pitres qui vivent avec nous ? Tu as perdu la tête ?
W : (éclatant de rire mais comprenant ses craintes) Non, mais on ne fera pas de bruit et je fermerais la porte à clé.
S : (faisant mine de réfléchir) Hum, ça me parait plus sage.
W : (l’enlaçant par la taille et haussant un sourcil) Ha…. Et tu peux me dire pourquoi ce serait plus sage, Wayne Callies ?
Je lui fous une tape sur l’épaule et m’échappe de ses bras en riant. Dix minutes plus tard, après avoir avalé un petit déjeuner dont Went insistait, nous sortons de l’appartement main dans la main.
Pendant le chemin que nous prenons pour nous rendre à l’agence où John nous attend, Sara me mordille le cou en riant. Je la repousse légèrement et lui demande de rester tranquille. Je ne voudrais pas qu’on est un accident maintenant. Je lance un regard discret vers elle et j’éclate de rire en constatant qu’elle s’est recroquevillée dans son coin, comme une petite fille qui vient d’être rejetée.
S : (se tournant vers lui) Pourquoi tu ris ?
W : C’est toi qui me fait rire !
S : Merci, c’est la réponse que j’attendais.
W : (fronçant les yeux) Pourquoi ?
S :…
W : Sarah ?
S…
Je pousse un soupir tandis que je vois qu’elle décide de me faire la tête. Mais je finis par sourire une fois de plus alors que j’aperçois son visage ravi et un sourire large sur ses lèvres dans le rétroviseur.
W : (murmurant) Je te vois sourire, Wayne Callies !
S : (se tournant vers lui) J’ai envie d’un baiser, Miller.
Je souris de plus belle et comment lui refuser ? Sans répondre à cette demande, je me gare sur le bas côté de la route et me tourne vers elle.
W : Viens là.
Je souris, satisfaite d’obtenir ce baiser. Je m’approche de lui et il entoure ses bras autour de mon cou. Joueuse, je me recule de ses lèvres alors qu’il m’effl lentement avec une extrême douceur. Il fronce les sourcils et me regarde d’une intensité troublante.
W : (murmurant d’une voix suppliante) Embrasses-moi.
Je m’approche alors de lui et pose mes lèvres contre les siennes et l’embrasse d’un baiser chaste avant de retourner m’enfoncer dans mon siège.
W : Rien que ça ?
S : Je t’avais bien dit que je voulais qu’un baiser.
W : (écarquillant les yeux) C’est pas un baiser ça !
Elle rit de mon exclamation qui vient de s’échapper de ma bouche sans que je le veuille. Je la contemple un instant et comprend à son air moqueur qu’elle m’a eut.
S : Tu te crois toujours aussi irrésistible, Miller ?
W : Tu as gagné. C’était pour hier, c’est bien ça ?
S : (haussant un sourcil en souriant) Hum, peut être.
C’est alors qu’elle se rapproche rapidement de moi et m’embrasse avec fougue. Je devrais la repousser, jouer à nouveau à ce petit jeu qui nous rend pantelant de désir mais j’en ai envie autant qu’elle. Je répond à son baiser avec passion, et resserre mon étreinte.
Une demi heure plus tard, je gare enfin mon 4x4 devant les bureaux de l’agence et regarde Sara amoureusement. Je lui tend la main après avoir ouvert sa portière.
W : Prête ?
S : Pour toi, toujours, mon cœur.
Je lui souris et ne peut m’empêcher de lui voler un baiser, inconscient que nous sommes en pleine rue…
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Mar 1 Juil - 21:58
Ah cette suite est merveilleuse, j'aime j'aime j'aime, je vais finir par prendre gout au WeSa si ca continue comme ça....
J'aime leur petits pic d'humour, ils sont si mignion, je crois que c'est définitif, j'aime le WeSa des fics...
la suite sitoplé
J'aime leur petits pic d'humour, ils sont si mignion, je crois que c'est définitif, j'aime le WeSa des fics...
la suite sitoplé
Islemmedemars- Embrasse Michael......
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Mar 1 Juil - 22:27
et bah voilà une fois dans le canapé et deux fois de plus dans le lit puis au petit matin, ils remettent ça super réveil pour nos deux tourteraux
et après direction chez l'agent de Went avec une partie de rigolade durant le trajet MAIS un baiser volé dans la rue alors que Jacob pourrait être là à prendre des photos allez encore une autre suite STP
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Invité Mar 1 Juil - 22:28
Bien, bien, bien...
En forme WeSa ! lol (c'est comme ça qu'on les aime mdr)
Par contre je sens un peu mal le bisous en plein rue là...y'aurait un paparazzo que ça m'étonnerais pas...
On verra dans la prochaine suite qui va arriver bientôt hein ? lol
En forme WeSa ! lol (c'est comme ça qu'on les aime mdr)
Par contre je sens un peu mal le bisous en plein rue là...y'aurait un paparazzo que ça m'étonnerais pas...
On verra dans la prochaine suite qui va arriver bientôt hein ? lol
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
sabrina Mar 1 Juil - 23:34
C'est génial ils osnt mignon ensemble !!!! jkiff !!!
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Mer 2 Juil - 16:31
coucou, comment va ton mal de crâne............disparu, j'espère
je viens réclamer mes deux longues suites
à plus tard
je viens réclamer mes deux longues suites
à plus tard
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Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
nol59 Mer 2 Juil - 21:20
Merci les filles pour vos coms
m@ HarcelTink, désolée je n'ai qu'une suite de dispo ma chérie mais tu auras une suite misa 
bonne lecture les miss
Chapitre 20.
J’écarquille les yeux et le repousse gentiment.
S : Tu es fou !
W : (prenant conscience) me*de, j’y pensais plus.
S : (souriant) C’est pas grave. Heureusement qu’on a pas les paparazzis aux fesses. J’imagine bien les journaux à scandales !
W : (fronçant les sourcils) On s’en fous…. Je t’aime Sarah et qu’est-ce qu’ils diraient d’après toi si une photo de nous en train de s’embrasser ferait la première page des journaux ?
S : Tu sais très bien que je m’en moque aussi, Went… mais je préfère que Paul, ainsi que nos familles d’ailleurs l’apprennent de nous que plutôt de lire la nouvelle dans les journaux !
Je réfléchis un instant à ce qu’elle vient de me dire, et je sais qu’elle a pertinemment raison. Je continue à la regarder, je souris tandis qu’elle scrute les alentours d’un regard inquiet.
W : Excuses moi, mon cœur. Tu as raison. Allez viens, on va déjà apprendre ça à notre agent !
S : (riant) J’imagine la tête qu’il va faire tient !
W : Je ne sais pas ce qu’il aura comme réaction mais je m’en moque.
S : (le regardant tendrement) Moi aussi…
W : (souriant) Dépêchons nous d’entrer, ma puce. Plus sera brefs et plus on sortira plus vite d’ici.
J’éclate de rire et le suis, refoulant l’envie de me jeter à son cou et de l’embrasser passionnément.
Cinq minutes plus tard, nous entrons dans le bureau de John qui se lève aussitôt pour nous accueillir, un grand sourire aux lèvres. Étrange, mais je me sens gênée au regard qui nous scrute. Je déglutis péniblement tandis qu’il nous invite à s’asseoir devant lui.
Je m’installe à côté de Sarah et lui lance un regard interrogateur. Elle n’a pas l’air très à l’aise, je le vois bien. J’ai envie de lui prendre la main pour la rassurer mais John toussote légèrement afin que je me concentre sur ce qu’il est en train de me dire.
W : (regardant John) Quoi ? Désolé, je pensais à autre chose….
J : (haussant les sourcils d’un air moqueur) Oui, je vois ça. Je disais juste que tu aurais pu me prévenir pour hier !
W : J’ai appelé ta secrétaire.
J : Oui, deux heures après.
W : (poussant un soupir) Désolé, mais j’étais occupé.
J : (soucieux) Tu as des problèmes, Went ? Tu me parais bien ailleurs !
W : (souriant) Ben. Non, pas de problème particulier, au contraire.
J : (de plus en plus intrigué) T’es bien étrange toi. J’espère que tu vas pas me dire que tu es tombé amoureux !
Quoi ? Je relève la tête brusquement et l’interroge du regard afin qu’il approfondisse ce sous entendu. Mais il ouvre un dossier devant lui et commence à parler à Sarah. Je bouillonne légèrement tandis que je sens la jambe de Sarah qui me frôle se crisper.
W : (l’interrompant) Ho, attend une seconde. Qu’est-ce que tu voulais dire par là ?
J : (écarquillant les yeux en remarquant la colère du timbre de voix de Wentworth) De quoi tu me parles ?
W : Je peux savoir en quoi et qui au juste que ça gênerait si je t’annoncerais que je suis tombé amoureux ?
Went est furieux, tandis que John est complètement abasourdi sur le ton de ses paroles. J’ai envie de dire à Went de se calmer mais je préfère attendre la réponse de l’agent avant… et si il faut, je m’en mêlerais !
J : (refermant la bouche) Bon… tu es tombé amoureux.
W : Et alors ?
J : Mais rien, arrête de prendre la mouche à tout ce que je dis ! Qu’est-ce qui t’arrive ?
W : Rien du tout. Mais dis moi qui ça gênerait que je sois amoureux !
J : (soufflant, irrité) Des millions de femmes, et tu le sais !
W : (éclatant de rire) Si c’est que ça !
S : (murmurant) C’est pas drôle !
J’arrête de rire et regarde Sarah qui est me lance un regard furieux avant de tourner la tête. Je pousse un soupir de lassitude et souris faiblement à John qui doit se demander si je ne suis pas sous l’emprise d’une drogue.
W : Tu as raison, John. Je suis désolé de m’être comporté comme ça, mais oui, je suis tombé amoureux mais ce n’est pas d’aujourd’hui.
J : (surpris) Comment est-ce que tu as pu me cacher ça, Miller ? On a un contrat avec toi ! Tu sais très bien que c’est une close qui est noté sur le contrat que tu as signé ! Tu aurais du nous le dire, on doit tout savoir sur toi, et sur ta vie privée, Went ! Tu le sais pourtant ! Comment ça se fait que tu nous as rien dit ? Et ça fait combien de temps que tu aimes cette femme ?
W : (souriant) Cinq ans !
J : (écarquillant les yeux et s’exclamant) Quoi ?!!! Mais tu es complètement fou ! Comment veux tu qu’on fait attention à ton image et à la tienne si on n’en sais rien ?
W : (poussant un long soupir d’exaspération) Arrête John, je suis avec elle… heu … officiellement depuis que deux jours !
J : Tu m’as dis cinq ans faut savoir !
W : (amusé) Non, je suis amoureux d’elle depuis cinq ans, c’est différent !
Je le regarde en souriant et me tourne vers Sarah qui triture nerveusement les lanières de son sac à main.
Je sens le regard de Went sur moi, je souris et tourne la tête vers lui. Mon regard est plongé dans le tien tandis que nous nous sourions amoureusement et amusés tous les deux de la situation.
J : (écarquillant les yeux de stupeur, il les regarde d’un air ahuris l’un et l’autre) Mon dieu, pas possible ! Avec Sarah ? !!!
S : (le regardant dans les yeux) Est-ce un problème que ce soit avec moi ?
J : (hébété de la situation) Heu… non, au contraire… mais je vais devoir sortir un billet de 100 dollars.
Surprise de sa réponse, je le regarde tandis que Went lui demande des explications.
J : (pouffant de rire) Et bien, figurez vous que Paul et moi avions parié qu’un jour vous deux…vous… vous voyez quoi ?
W : Si tu pouvais m’expliquer plus clairement, ça serait mieux. Je ne savais pas que nous étions des sujets de pari !
J : Ne le prend pas mal Went…. C’est juste qu’il s’en doutait depuis très longtemps, c’est tout.
W : Et je peux savoir comment il était si sur de ça ?
J : (soudain songeur) Quand il m’a appelé hier, il en a fait l’allusion, que j’y pense !
Je regarde Sarah, surpris de cette situation grotesque de la conversation qui prend tournure. Elle me sourit et me tend la main que je m’empresse de serrer dans la mienne.
W : Je vois. Je l’appelle dés que je sors d’ici. Maintenant, revenons en peut être au sujet de ce rendez-vous !
J : (souriant) D’abord, je tiens à vous dire à tous les deux que je suis très content pour vous.
W&S : Merci.
S : Pour la presse, on fait quoi ? Je voudrais pas nuire à son image.
W : Sarah !
J : Je pense que les fans seraient ravis.
S : C’est pas ce que tu disais tout à l’heure, John !
J : Tu as raison, mais les fans adorent le couple que vous formez tous les deux ! Je suis certains qu’ils seraient, je l’avoue un peu surpris tant que ça devenait inespéré mais…. Bon sang, vous me donnez un sacré boulot tous les deux !!!! Vous êtes conscient que tous les paparazzis du coin ne vont pas vous lâcher ?
W : Justement, c’est sur toi qu’on compte pour ça. Dis nous ce qu’on peut faire pour qu’on arrive pas là !
J : (levant les yeux au plafond) Le mieux à faire c’est de rester discret sur votre liaison, évidement.
W : J’ai pas envie de me cacher !
S : J’en ai pas envie non plus, mais j’ai pas envie de vivre sous les objectifs des paparazzis non plus.
W : (caressant la joue de Sarah en la regardant tendrement) Je sais, ma puce, moi non plus….
J : (attendrit de les voir tous les deux) Ce que je vous conseille de faire c’est de ne pas trop faire parler de vous deux pour l’instant. Vous avez la promo demain, ne faite surtout pas de bourde. Ils vont pensés que Sarah est revenue dans la série car vous êtes ensemble, et ça ne plairait pas beaucoup à tous le monde.
W : (prenant conscience qu’il a raison) Ok.
S : Il a raison. On attends un peu, d’accord ?
Je pousse un long soupir de lassitude malgré qu’elle a raison… que John a raison mais je ressens un pincement au cœur de ne pas pouvoir nous montrer comme on le voudrait. J’aime Sarah, je l’ai toujours aimé silencieusement, et j’ai besoin que ça cesse, de le crier au monde entier….
W : Ok, d’accord. On fera comme tu veux. Mais sache que je n’attendrais pas une année entière à me cacher de ma relation avec elle !
ps : Je vais mieux ma chérie
m@ HarcelTink, désolée je n'ai qu'une suite de dispo ma chérie
mais tu auras une suite misa bonne lecture les miss
Chapitre 20.
J’écarquille les yeux et le repousse gentiment.
S : Tu es fou !
W : (prenant conscience) me*de, j’y pensais plus.
S : (souriant) C’est pas grave. Heureusement qu’on a pas les paparazzis aux fesses. J’imagine bien les journaux à scandales !
W : (fronçant les sourcils) On s’en fous…. Je t’aime Sarah et qu’est-ce qu’ils diraient d’après toi si une photo de nous en train de s’embrasser ferait la première page des journaux ?
S : Tu sais très bien que je m’en moque aussi, Went… mais je préfère que Paul, ainsi que nos familles d’ailleurs l’apprennent de nous que plutôt de lire la nouvelle dans les journaux !
Je réfléchis un instant à ce qu’elle vient de me dire, et je sais qu’elle a pertinemment raison. Je continue à la regarder, je souris tandis qu’elle scrute les alentours d’un regard inquiet.
W : Excuses moi, mon cœur. Tu as raison. Allez viens, on va déjà apprendre ça à notre agent !
S : (riant) J’imagine la tête qu’il va faire tient !
W : Je ne sais pas ce qu’il aura comme réaction mais je m’en moque.
S : (le regardant tendrement) Moi aussi…
W : (souriant) Dépêchons nous d’entrer, ma puce. Plus sera brefs et plus on sortira plus vite d’ici.
J’éclate de rire et le suis, refoulant l’envie de me jeter à son cou et de l’embrasser passionnément.
Cinq minutes plus tard, nous entrons dans le bureau de John qui se lève aussitôt pour nous accueillir, un grand sourire aux lèvres. Étrange, mais je me sens gênée au regard qui nous scrute. Je déglutis péniblement tandis qu’il nous invite à s’asseoir devant lui.
Je m’installe à côté de Sarah et lui lance un regard interrogateur. Elle n’a pas l’air très à l’aise, je le vois bien. J’ai envie de lui prendre la main pour la rassurer mais John toussote légèrement afin que je me concentre sur ce qu’il est en train de me dire.
W : (regardant John) Quoi ? Désolé, je pensais à autre chose….
J : (haussant les sourcils d’un air moqueur) Oui, je vois ça. Je disais juste que tu aurais pu me prévenir pour hier !
W : J’ai appelé ta secrétaire.
J : Oui, deux heures après.
W : (poussant un soupir) Désolé, mais j’étais occupé.
J : (soucieux) Tu as des problèmes, Went ? Tu me parais bien ailleurs !
W : (souriant) Ben. Non, pas de problème particulier, au contraire.
J : (de plus en plus intrigué) T’es bien étrange toi. J’espère que tu vas pas me dire que tu es tombé amoureux !
Quoi ? Je relève la tête brusquement et l’interroge du regard afin qu’il approfondisse ce sous entendu. Mais il ouvre un dossier devant lui et commence à parler à Sarah. Je bouillonne légèrement tandis que je sens la jambe de Sarah qui me frôle se crisper.
W : (l’interrompant) Ho, attend une seconde. Qu’est-ce que tu voulais dire par là ?
J : (écarquillant les yeux en remarquant la colère du timbre de voix de Wentworth) De quoi tu me parles ?
W : Je peux savoir en quoi et qui au juste que ça gênerait si je t’annoncerais que je suis tombé amoureux ?
Went est furieux, tandis que John est complètement abasourdi sur le ton de ses paroles. J’ai envie de dire à Went de se calmer mais je préfère attendre la réponse de l’agent avant… et si il faut, je m’en mêlerais !
J : (refermant la bouche) Bon… tu es tombé amoureux.
W : Et alors ?
J : Mais rien, arrête de prendre la mouche à tout ce que je dis ! Qu’est-ce qui t’arrive ?
W : Rien du tout. Mais dis moi qui ça gênerait que je sois amoureux !
J : (soufflant, irrité) Des millions de femmes, et tu le sais !
W : (éclatant de rire) Si c’est que ça !
S : (murmurant) C’est pas drôle !
J’arrête de rire et regarde Sarah qui est me lance un regard furieux avant de tourner la tête. Je pousse un soupir de lassitude et souris faiblement à John qui doit se demander si je ne suis pas sous l’emprise d’une drogue.
W : Tu as raison, John. Je suis désolé de m’être comporté comme ça, mais oui, je suis tombé amoureux mais ce n’est pas d’aujourd’hui.
J : (surpris) Comment est-ce que tu as pu me cacher ça, Miller ? On a un contrat avec toi ! Tu sais très bien que c’est une close qui est noté sur le contrat que tu as signé ! Tu aurais du nous le dire, on doit tout savoir sur toi, et sur ta vie privée, Went ! Tu le sais pourtant ! Comment ça se fait que tu nous as rien dit ? Et ça fait combien de temps que tu aimes cette femme ?
W : (souriant) Cinq ans !
J : (écarquillant les yeux et s’exclamant) Quoi ?!!! Mais tu es complètement fou ! Comment veux tu qu’on fait attention à ton image et à la tienne si on n’en sais rien ?
W : (poussant un long soupir d’exaspération) Arrête John, je suis avec elle… heu … officiellement depuis que deux jours !
J : Tu m’as dis cinq ans faut savoir !
W : (amusé) Non, je suis amoureux d’elle depuis cinq ans, c’est différent !
Je le regarde en souriant et me tourne vers Sarah qui triture nerveusement les lanières de son sac à main.
Je sens le regard de Went sur moi, je souris et tourne la tête vers lui. Mon regard est plongé dans le tien tandis que nous nous sourions amoureusement et amusés tous les deux de la situation.
J : (écarquillant les yeux de stupeur, il les regarde d’un air ahuris l’un et l’autre) Mon dieu, pas possible ! Avec Sarah ? !!!
S : (le regardant dans les yeux) Est-ce un problème que ce soit avec moi ?
J : (hébété de la situation) Heu… non, au contraire… mais je vais devoir sortir un billet de 100 dollars.
Surprise de sa réponse, je le regarde tandis que Went lui demande des explications.
J : (pouffant de rire) Et bien, figurez vous que Paul et moi avions parié qu’un jour vous deux…vous… vous voyez quoi ?
W : Si tu pouvais m’expliquer plus clairement, ça serait mieux. Je ne savais pas que nous étions des sujets de pari !
J : Ne le prend pas mal Went…. C’est juste qu’il s’en doutait depuis très longtemps, c’est tout.
W : Et je peux savoir comment il était si sur de ça ?
J : (soudain songeur) Quand il m’a appelé hier, il en a fait l’allusion, que j’y pense !
Je regarde Sarah, surpris de cette situation grotesque de la conversation qui prend tournure. Elle me sourit et me tend la main que je m’empresse de serrer dans la mienne.
W : Je vois. Je l’appelle dés que je sors d’ici. Maintenant, revenons en peut être au sujet de ce rendez-vous !
J : (souriant) D’abord, je tiens à vous dire à tous les deux que je suis très content pour vous.
W&S : Merci.
S : Pour la presse, on fait quoi ? Je voudrais pas nuire à son image.
W : Sarah !
J : Je pense que les fans seraient ravis.
S : C’est pas ce que tu disais tout à l’heure, John !
J : Tu as raison, mais les fans adorent le couple que vous formez tous les deux ! Je suis certains qu’ils seraient, je l’avoue un peu surpris tant que ça devenait inespéré mais…. Bon sang, vous me donnez un sacré boulot tous les deux !!!! Vous êtes conscient que tous les paparazzis du coin ne vont pas vous lâcher ?
W : Justement, c’est sur toi qu’on compte pour ça. Dis nous ce qu’on peut faire pour qu’on arrive pas là !
J : (levant les yeux au plafond) Le mieux à faire c’est de rester discret sur votre liaison, évidement.
W : J’ai pas envie de me cacher !
S : J’en ai pas envie non plus, mais j’ai pas envie de vivre sous les objectifs des paparazzis non plus.
W : (caressant la joue de Sarah en la regardant tendrement) Je sais, ma puce, moi non plus….
J : (attendrit de les voir tous les deux) Ce que je vous conseille de faire c’est de ne pas trop faire parler de vous deux pour l’instant. Vous avez la promo demain, ne faite surtout pas de bourde. Ils vont pensés que Sarah est revenue dans la série car vous êtes ensemble, et ça ne plairait pas beaucoup à tous le monde.
W : (prenant conscience qu’il a raison) Ok.
S : Il a raison. On attends un peu, d’accord ?
Je pousse un long soupir de lassitude malgré qu’elle a raison… que John a raison mais je ressens un pincement au cœur de ne pas pouvoir nous montrer comme on le voudrait. J’aime Sarah, je l’ai toujours aimé silencieusement, et j’ai besoin que ça cesse, de le crier au monde entier….
W : Ok, d’accord. On fera comme tu veux. Mais sache que je n’attendrais pas une année entière à me cacher de ma relation avec elle !
ps : Je vais mieux ma chérie
nol59- Déchiffre l'origami
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Age : 46
Localisation : dans les bras de Went
Date d'inscription : 21/03/2007
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Invité Mer 2 Juil - 21:48
Whaouh c'est moi qui poste le 1er com lol
Alors cette suite est géniale !!! J'adore vraiment ta fic !
J'adore WeSa aussi lol : on s'en fiche de tout , on s'aime et puis c'est tout lol Non ils veulent quand mm faire gaffe et c'est bien normal...C'est un équilibre à trouver...
Alors cette suite est géniale !!! J'adore vraiment ta fic !
J'adore WeSa aussi lol : on s'en fiche de tout , on s'aime et puis c'est tout lol Non ils veulent quand mm faire gaffe et c'est bien normal...C'est un équilibre à trouver...
Invité- Invité
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
tinkerbel Mer 2 Juil - 21:55
je ne vais pas dire non à du misa mais j'aurai aimé deux suites en plus 
John est un agent très comique, au début
quoi Went n'a pas le droit d'être amoureux à cause des fans 
et ensuite si c'est de Sarah, bien sur qu'il a le droit car les fans vont (pour la plupart ) être aux anges le pari entre Paul et John, je suis sur qu'ils ne sont pas les seuls
vite la soirée NYC
et vite LA SUITE
mon Angieet contente que tu ailles mieux
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3830
Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Les turbulences du coeur... Chap #54# 14/08/08
Islemmedemars Mer 2 Juil - 21:59
Super cette suite...
les pauvres eux qui pensaient au début que paul serait contre et la ils aprennent qu'il à gagné 100 dollars sur leurs têtes mdrr
c'était bien marrant.
Et sinon Saraest bien raisonnable par rapport à Went, elle guète les paparazzis
sinon, je n'y pas prêtée attention
mais je suis ravie que t'aille mieux angie..
les pauvres eux qui pensaient au début que paul serait contre et la ils aprennent qu'il à gagné 100 dollars sur leurs têtes mdrr
c'était bien marrant.
Et sinon Saraest bien raisonnable par rapport à Went, elle guète les paparazzis
sinon, je n'y pas prêtée attention
mais je suis ravie que t'aille mieux angie..
Islemmedemars- Embrasse Michael......
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Localisation : Marseille
Date d'inscription : 14/02/2008 -
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