ma toute première fic : 2 ans déjà...

Yep le monde^^

donc voilà,pour combler le manque je me suis mise à la rédaction de cette fic.

elle a déjà été posté sur un autre forum donc certains la reconnaitront

sinon pour les autres, je vous met la 1ère partie, après a vous de me dire si une suite est nécessaire


bonne lecture






Souvenirs de Sara






2 ANS DEJA


Cela fait 2 ans déjà;
2 longues années depuis que tu m'as quitté, que tu nous as quitté, que tu as quitté ce monde.
2 ans jours pour jours.
2 années de souffrances, de regrets, de questions sans réponses;
2 années d'espoir, de faux semblants, de désillusions.
2 ans que je ne vis que dans mes souvenirs, refusant tout contact avec le monde extérieur, repliée sur moi-même, espérant revoir ton visage s'illuminer, tes mains se balader sur mon corps, ton regard troublant posé sur moi;
espérant sentir à nouveau ton parfum sur mon oreiller et le contact de tes lèvres humides avec les miennes.
Je me refuse à cette réalité injuste, à cette vie sans toi.
Je deviens folle de ne plus sentir ta présence à mes côtés.
Tu étais tout pour moi, tu l'es toujours et tu le seras à jamais.
J'en crève tu sais!!
J'essaye de refouler mes souvenirs, nos souvenirs douloureux mais j'en suis incapable.
Je n'en ai pas encore la force.
Je ne veux pas lâcher prise.
Je veux me battre et y croire malgré tout.



Je nous revois encore, 5 ans auparavant, lors de notre première rencontre. Pour moi, tu étais un détenu comme les autres et pour toi, j'étais un pion sur ton échiquier. Je revois encore ton regard charmeur posé sur moi et cette phrase, ma phrase de fin d'étude que tu m'avais sortis pour m'épater : Sois le changement que tu veux voir dans le monde.
J'en rigole encore tu sais.Tu étais vraiment prêt à tout pour sortir ton frère du couloir de la mort à cette époque là.
Je me rappel également, parfaitement, ces quelques mots que tu m'avais dis le jour où 2 de tes ortreils avaient malencontreusement disparu. Je n'ai jamais su ce qu'il leurs était arrivé d'ailleurs. Encore une question sans réponse.
Ne me forcez pas à vous mentir Sara, s'il vous plait!!M'avais-tu supplié.
Cette phrase m'avait beaucoup touché. C'est à ce moment là,que je m'étais rendu compte que tu n'étais pas comme les autres détenus, tu étais spécial.





Je sortis de mes songes, le temps de me verser un verre d'eau.
Il était 11 h du soir et je ne tenais plus. Je n'arrivais pas à fermer l'oeil.
Il me fallait absolument te voir. C'était un besoin vital pour moi de te rendre encore visite aujourd'hui. Pourtant, cela faisait à peine 3 heures que je t'avais quitté.
Nous devons fermer la grille!!M'avait-on dit.
Vu que je ne pouvais dormir là bas, j'avais du te laisser et rentrer à la maison sans toi comme je le fais tout les jours maintenant depuis 2 ans.
Je sortis, ne prenant même pas le temps d'emporter un gilet et demarrai la voiture.
Je n'espérais qu'une chose : être invisible, ne croiser personne au risque d'avoir des problèmes. Je roulai environ 20 minutes en ligne droite dans cette nuit au parfum délicat qui dissimulait un paysage de sable blanc, d'eau turquoise et de palmiers.Après avoir parcouru les 18 kilomètres qui longeaient la côte, je bifurquai enfin à droite vers l'intérieur des terres et roulai encore quelques minutes avant d'atteindre ma destination.
Je descendis de ma voiture, claquai la portière et me dirigeai vers le cimetière.







Dites franchement ce que vous en pensez et si vous voulez une suite!!

Ouai!!
Kate trop contente de te retrouver aussi ici
Biensur qu'on veut une suite!!!!!
A et en parlant de sa....on la veut aussi sur l'autre fofo !!

Franchement jaime troooooo ton débuuut mais je crois que cest pas ta première fic donc franchement:jkgdx: !!!!!!!!!!!

yep Sara^^ Je viens juste de poster la suite sur l'autre


Voilà une petite suite pour ici







Je m'arrêtai devant la grille et contemplai cet endroit. Il me glaçait le sang. Pourtant, je n'avais pas le choix, il me fallait venir ici.C'est alors que je me surpris à penser à voix haute : j'espère ne jamais devoir franchir un jour ce portail.

Je continuai alors mon chemin et empruntai le petit sentier qui longeait le mur du cimetière. Après 2 minutes de marche, j'arrivai enfin devant l'hôpital. Je contournai les gardiens qui jouaient aux cartes dans leur cabine et je m'introduis dans l'établissement par l'accès réservé aux urgences. Je n'avais pas le droit d'être ici, dans cet hôpital, après les heures autorisées et encore moins à 23 h 37. Et ça, je le savais pertinemment. Les risques étaient présents mais tu en valais largement la peine même si les conséquences de mon acte pouvaient me retomber dessus à tout moment tel l'épée de Damoclès suspendue au dessus de ma tête.

Je me faufilai à l'intérieur des vestiaires comme une vulgaire voleuse et enfilai la blouse blanche d'une infirmière qui, je suppose, n'était pas de garde ce soir là. Une bouffée de souvenirs jaillirent à l'instant même où je m'en vêtis. Je fus projetée plusieurs années en arrière, en plein chaos. Je me souvenais parfaitement de ce jour terrifiant mais en même temps très interessant concernant l'évolution de mes sentiments envres toi.
Comment n'aurais-je pas pu me souvenir de l'émeute?



Nous étions en plein mois d'avril et il faisait assez chaud. Je travaillais à l'infirmerie comme d'habitude quand Katie m'appella :


-Eh Sara, nous avons un patient dans l'aile B qui s'est évanoui à cause d'un disfonctionnement de la climatisation. Nous ne pouvons le transférer jusqu'à l'infirmerie. Reste ici, je vais allé voir ce qu'il a!

-Non laisse Katie, je m'en charge!

-Tu en es sûr?

-Oui oui, ne t'inquiète pas!

Je pris alors mon sac et rejoingnis l'aile B. Je croisai Bellick qui me regardait de son air de macho enjoué.


-Vous ne devriez pas trainer ici docteur, c'est dangereux.

-Merci Brad de me prévenir mais je suis une grande fille et je sais prendre des décisions toute seule. Alors, écartez-vous de mon chemin que j'aille donner les soins nécessaires à ce détenu.

-Vous feriez mieux de faire ce que je dis docteur, il joue la comédie.

-Et vous, vous feriez mieux de filer si vous ne voulez pas avoir un petit entretien avec le pope concernant le traitement infligé à certains prisonniers.Maintenant, laissez- moi passer. Je dois faire mon job!

-Très bien, comme vous voulez mais je vous aurai prévenu.

Il s'écarta enfin, me laissant le passage libre. Je n'avais jamais supporté Bellick. Il me répugnait. Et quand je repensais à ce fameux soir où il avait voulu m'inviter au restaurant, lui et ses bons de réductions, j'en frissonnais de tout mon corps! Je ne le connaissais pas beaucoup et dieu merci mais le peu qu'il en ressortait de lui n'était que grossièretés,sadisme et dégoût!


Cela faisait à peine 10 minutes que j'étais arrivée quand un des gardiens nous cria :

-Le plan haute sécurité a été déclanché, une émeute s'est déclarée dans l'aile A. Tout le secteur est bouclé.

Sur ces mots, les détenus commencèrent à se révolter!!J'allai charché une seringue pour administer une injection à mon patient et quand je revins, je vis le gardien étalé à terre. Mon coeur commença à s'emballer quand soudainement,sans que je ne le vis arriver, un détenu se jeta sur moi. Par réflexe, je lui plantai la seringue dans le cou et me précipitai à l'intérieur de la pièce adjacente. Je fermai la porte à clé et la bloquai à l'aide d'un bureau. La panique s'était emparée de moi; je tremblais de tout mon corps.
Je vis alors tout les détenus se défouler sur moi : ils frappaient dans les vitres et la porte, essayant de s'introduire dans la pièce.

Au bout d'un moment, un d'entre eux parvint à casser la petite fenêtre incrustée dans la porte. Je pris alors d'instinct un bout de verre et lui plantai dans la main. Il hurla à la mort.
Je reculai et me surpris à avoir une pensée pour toi : où étais-tu Michael? Que faisais-tu? Etais-tu blessé? Je chassai cette image de mon esprit et me concentrai sur mes assaillants.
Soudain, un des détenus jeta un botin enflamé par la vitre brisée. La fumée commença à envahir le lieu. Je suffoquais. Je sentais que la fin était proche, j'étais perdue. Ancunes issues, aucuns échappatoirs entre ces 4 murs!!

Puis, alors que je perdais espoir, une main vint se poser sur mon épaule. Je sursautai et me retournai mais je ne distinguais personne. C'est alors que je t'apperçu, dissimulé dans le faux plafond. Tu me tendais la main. J'hésitai quelques instants avant de la saisir. Tu me hissas alors et quelques secondes plus tard, je me retrouvais à tes côtés, tremblante et encore sous le choc. Nous avions alors entre-pris un long périple à travers les faux plafonds de Fox River.
Quand le champs fut libre, tu descendis en premier. Je te suivis de peu et lorsque mes pieds eurent touché terre, je croisai ton regard. Un de ces regard long, intense, passionné. Ce fut le premier d'une très longue série. A cet instant précis, je su que résister ne servait plus a rien.
Tu avais un tel pouvoir sur moi que j'aurais été prête à tout pour toi. C'est précisément à cette seconde que je su que je tombais amoureuse de toi.

Je ne sais pas ce qu'il se serait passé si nous n'avions pas été ramené à la dure réalitée par nos poursuivants. Nous parvîmes à les neutraliser au terme d'une lutte acharnée au bout de quelques minutes. Tu me pris alors la main et nous commençâmes à courir jusqu'à enfin atteindre une porte.Elle donnait sur l'extérieur. C'était l'issue de secours. Nous avions enfin réussi à sortir de ce pétrin.
Je me dirigeai vers la porte pour l'ouvrir mais m'y résignai. Je ne pouvais pas te laisser ici. Non pas aujourd'hui, pas dans cet enfer. Il fallait que tu sortes d'ici avec moi. J'essayai de te convaincre mais sans succès.
La seule chose que tu avais trouvé à me repondre était : n'oubliez pas que je reste toujours quand même un méchant.
C'est alors que l'angoisse et la peur c'était emparée de moi.
La sensation de sûreté que j'avais aquise à tes côtés avait alors laissé place à l'affolement.
Un petit point rouge venait d'illuminer ton torse. Un sniper était en position et t'avait dans sa ligne de mire. Je te vis légèrement paniquer mais me sommas de sortir immédiatement.
Je ne pouvais te laisser là. Je ne pouvais te laisser mourir, te voir mourir.Ce qui suivit ce passa alors très vite : tu me forças à sortir et une raffale de balles se fit entendre.


Je fus prise de panique.
Etais-tu encore en vie? Etais-tu blessé? Où étais-tu? Pourquoi étais-tu venu à mon secour?
Ressantais-tu quelque chose pour moi?
Au bout de quelques heures,j'eu enfin réponse à qualques une de mes questions.
Tu n'étais sur aucunes listes ce qui signifiait que tu étais bel et bien en vie. La boule que j'avais dans la gorge depuis que nous nous étaions séparé avait disparu. Cela me procura un soulagement énorme.
Désormais, je m'en foutais pas mal de savoir si tu étais blessé. J'allais te revoir et ça me suffisait.












ça vaut le coup de poster la suivante ou pas????,

Tu m'étonne que sa vaut le ocup de mettre une suite!!!!!
J'ai lue tes 2 suites et elles sont geniales!!!!!!!!!!!!!!!!!

merci pour vos coms


je vous met une petite suite





Cette dernière pensée me ramena enfin à la réalité. J'étais toujours debout dans ce vestaire, postée derrière la porte quand soudain,des bruits de pas se firent entendre dans le couloir.
Je me plaquai contre le mur et attendis que les pas se soient éloigné pour me précipiter sur la porte. Je l'ouvris et sortis. Je longeai le couloir jusqu'à la rampe d'escaliers. Ja montai les marches pour enfin atteindre le 2ème étage et débouler dans ton couloir. Je marchais sur la pointe des pieds. Je m'arrêtai finalement devant la chambre 213.J'ouvris délicatement la porte et je te vis enfin. Tu étais là, endormis paisiblement,avec des machines pour seul compagnon de chambre. J'étais soulagée de te voir encore allongé là,sur ce lit. Cela fait 2 ans maintenant que je redoute de rentrer dans ta chambre au risque un jour, de ne plus t'y retrouver.
Je m'avançai vers toi et m'assis à tes côtés. Tu étais toujours aussi beau et énigmatique même dans ton sommeil. Après quelques heures de lutte acharnée pour rester éveillée, je sombrai dans un profond sommeil.











Je repensai alors à mon 29ème anniversaire. Un des meilleurs et des pires que j'eu passé. Je n'étais vraiment pas d'humeur ce jour là. Mon père m'avait encore envoyé de fichues fleures. Pourtant il sait combien je déteste les fleures, ses fleures, mais rien avec ça, il m'en avait quand même envoyé.
De plus il n'avait même pas trouvé le temps de me passer un coup de fil.
Je le haissait pour ça, pour ce qu'il était mais au fond de moi, je l'aimais malgré tout, parce qu'il était lui, parce qu'il était mon père.
Quand à toi, tu m'avais déposé une rose rouge en origami sur mon bureau.
Tu fus le seul à me faire sourir ce jour là. Mais tu fus également le seul à m'avoir rendue jalouse. En effet, tu avais ommis de me parler de ta « femme », alors, tu penses bien que ma réaction de femme jalouse quand je vous vis sortir du parloir conjugal, était tout a fait justifiée. J'ai bien dis jalouse. Oui j'étais jalouse de cette relation dont j'ignorais tout, jalouse de cette femme qui était ton épouse, j'épprouvais de la jalousie alors qu'elle n'avait pas lieu d'être. Je ne savais même pas si tu ressentais quelque chose pour moi, mais je ne pouvais pas me contrôler. C'était plus fort que moi, quand il sagissait de toi,tout était différent.
De plus, cette après-midi là, tu m'avais encore jeté un de ces regards intenses dont toi seul a le secret. Mon attirance pour toi s'était alors encore accentuée. J'avais donc matière à être énnervée après toi et avais essayé temps bien que mal de reprendre mes distances avec toi mais ça ne dura a peine quelques jours. J'étais incapable de t'éviter.






Je fus réveillé par une voix de femme. J'ouvris les yeuw et me retournai. Elle était là, se tenant debout derrière moi.
Elle rentra et pas étonnée du tout de me retrouvé à tes côtés, elle me lança :

-Salut la miss! Alors tu as bien dormis? Tu veux que j'aille te chercher un café?

C'était bien Katie ça! Toujours très dévouée et très protectrice envers moi.
Je la regardai et lui souris. Je lui dis alors :

-Comme d'habitude,j'ai dormis à peine 4 heures.Pour le café,je veux bien. Merci pour tout Katie.

Pour toutes réponses,elle me sourit et partit.






Je me rappellais parfaitement de nos heures passées ensemble, après nos journées à Fox River. Je me mis à rire en repensant à nos conversations à ton sujet :la 1ère règle est de ne jamais tomber amoureuse d'un détenu!! M'avait-elle confié.
Je lui avais juré que jamais ça ne m'arriverai mais je m'étais faite avoir en beauté.




-Tiens, voilà ton café.La voix de Katie me fit sursauter.

Alors, nous partîmes toutes deux dans un fou rire.







Suite ou pas?????

encore !! continue tu sais que j'adore ta fic!!!

C'est super ! Mais les filles, comment vous faîtes pour gérer vos messages, pour participer à plusieurs forums et sites à la fois ? Parce que vous semblez vous connaître avant. Personnellement, j'ai été radiée d'un forum pour participation inactive .

Coucou...j'adore ta fic
et je veux une suite

ah oui une suite stp et vite car ta fic est vraiment geniale!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

je veux une suite !! c'est génial !!!

Moi je veux la suite au debut j'ai cru que Michael etait mort tu m'as fait flippé!! je veux savoir pourquoi il est dans cet état depuis 2ans quand même!!!

je veux une suite !! c'est génial !!!

merci à tous pour vos coms ça fait super plaisir



voilà alors une petite suite






Alors, nous partîmes toutes deux dans un fou rire. Puis au bout de quelques minutes, elle reprit son sérieux et me dit :


-Ecoute Sara, je sais que tu as encore dormis ici cette nuit, mais ça ne peut plus continuer ainsi, si mon supérieur apprend que je suis au courant de tes escapades nocturnes, je me ferais virer sur le champs. Je sais que ce n'est pas facile pour toi et que ça te fait de la peine de le laisser là après tout ce que vous avez vécu ensemble, toutes les épreuves que vous avez du traverser mais ne t'inquiète pas, je veille sur lui.

Je la comprenais. Elle avait raison, je ne pouvais pas prendre le risque qu'elle se fasse virer.

-Je te comprend tout à fait. Tu as parfaitement raison. C'est pour ça que je j'ai décidé de demander son rapatriement à la maison, comme ça, je ne serais plus obligée de venir ici et puis il sera tellement mieux chez lui.

Katie me regardait d'un air perplexe. Je ne l'avais pas du tout convaincue. Je le voyais sur son visage.

--Ecoute Sara, laisse le encore un mois ici et si son état ne sait pas amélioré d'ici là, tu pourras le ramener chez vous, OK?

J'étais abasourdie!

-Amélioré? Amélioré?Hurlais-je. Mais tu te fou de moi!Cela fait 2 ans qu'il est dans le même état. Rien ne s'est amélioré! Tu m'entend, RIEN!
La rage s'était emparée de moi. De grosses larmes coulaient désormais en masse le long de mon visage. Je recommençais à perdre espoir. Katie s'approcha de moi et me pris dans ses bras. J'éclatai alors en sanglot. Elle tenta de me calmer.

-Je sais Sara, je sais. Mais qui sait, un jour peut-être qu'il se réveillera.

-Katie, il faut que je sois réaliste, ça fait maintenant 2 ans qu'il est dans le coma et rien de semble changer. Cela me tue de le voir ainsi et puis même s'il venait à se réveiller, dans quel état serait-il? Me reconnaitrait-il? M'aimerait-il toujours? Ne suis-je pas en train de perdre mon temps à l'attendre Katie? Ne devrais-je pas arrêter d'espérer?

Elle me releva le menton et me sourit.


-Sara, ne désespère pas. Votre amour a déjà fait des miracles dans le passé alors, pourquoi pas un autre encore?


-De quel miracle parles-tu Katie? Du fait qu'il soit allongé comme un légume sur un lit au lieu d'être six pieds sous terre? C'est ça ton miracle?


Je recommençais à m'énervé!

-Oui Sara, c'est de ça que je parle. Si ce jour là, il ne s'était pas jeté sur toi pour te protéger des rafales de balles, à l'heure qu'il est , tu ne serais sûrement plus parmis nous.

-Mais tu ne comprend pas Katie. C'est de ma faute si il est dans cet état. Il est en danger par ma faute Katie.

-Sara, ne culpabilise pas, tu n'y es pour rien. C'était son choix. Tu étais déstinée à mourir ce jour là, mais vous avez fait un pieds de nez au destin. Tu n'as pas eu le choix toi!

-Oh que si j'avais encore le choix Katie. J'aurais du partir quand il était encore temps. J'aurais du le laisser refaire sa vie.
Si j'avais pris ce vol ce soir-là, jamais nous ne nous serions retrouvés à cet endroit et jamais il ne serait là où il est aujourd'hui.

-Sara, ne dis pas de conneries. Jamais tu n'aurais pu l'abandonner. Même si c'était à refaire, jamais tu ne serais partie. Et puis tu sais très bien à quel point il t'aime, il n'aurait jamais pu vivre sans toi.

-Je sais Katie, je sais!!

Après cette discution mouvementée et douloureuse, je retournai m'asseoir à tes côtés et passai ma journée à te parler, à te contempler, à espérer, à rêver, à t'aimer.
Je quittai l'hôpital vers 10h ce soir là et montai directement me coucher. Je repensai à cette journée pénible qui m'avait fait beaucoup souffrir mais en même temps, me délivra d'un poids que j'avais sur le coeur.
Je me réveillai en sursaut le lendemain matin. Quelque chose s'était passé. Je le sentais mais je n'aurais su vous dire quoi. J'avais un préssentiment, un mauvais préssentiment. Je redoutais le pire. Je ne pris même pas le temps de m'habiller, je me précipitai dehors en robe de chambre, montai dans la voiture et demarrai aussitôt. Je roulai vite, trop vite même.





voilà pas trop sadique???? la suite?????

Tu ose demander si t'es pas trop sadique????? hé ba si même pire!!!!!!!!! pourquoi Sara a un mauvais préssentiment?????? comment Michael a protégé Sara de qui? c'est quoi toute cette histoire??? comment ils en sont arriver là????????? trop de question et on veut des reponses pitié!!!!!

Super ta fic !!!!

superbe suite!!!!!!!!!!!!!!!
Meme si je trouve que t'est un peu meme beauocup sadique de nous alisser comme sa!!!!!!!!!!!!!
vivement la suite!!!!!!!!!!!!!!!!

Super!! A quand la suite?

la suite !! c trop bien !!

C'est pour quand la suite ???

yep le monde^^

désolé de vous avoir fait attendre, mais je suis partie 3 jours ac ma classe donc pas de PC


merci à tous pour vos coms


voilà une petite suite






Je faillis percuter un piéton mais redressai la voiture à temps. J'arrivai devant l'hôpital en faisant grincer les pneux. Je descendis, claquai la portière et entamai alors un sprint jusqu'à l'ascenceur ce qui me rappella nos 3 années de cavale.
l'ascenceur se faisant trop attendre, je pris alors les escaliers et déboulai dans ton couloir.
Je me précipitai vers la porte mais à l'instant même où je m'apprêtais à l'ouvrir, je fus interceptée par katie.


-Sara, attend, tu ne devrais pas rentrer maintenant. Laisse moi t'expliquer avant! Sara! Sara!


Mais je ne l'entendais pas, je ne voulais qu'une chose : entrer dans cette chambre.
Je ne me contrôlais plus. Je poussai alors katie qui trébucha et j'ouvris la porte.
Mon coeur fit un bond dans ma poitrine. Le sol se déroba sous mes pieds. Je tomba à genoux. Je voulu hurler à la mort mais aucuns sons ne sortirent. Mes 2 années déspoir venaient juste de s'envoler devant mes yeux. Ce que je redoutais le plus au monde depuis maintenant 2 ans, venait de se produire.
Ma raison de vivre s'était volatilisée.
Le lit était vide.
Tu n'étais plus là.

Katie me prit par les épaules et m'aida à me relever. Elle me couduisit ainsi au 3ème étage et me fit asseoir dans la salle d'attente. Elle prit mes mains et s'accroupit. Elle m'obligea alors à la regarder.
Mes yeux étant brouillés par les larmes, je la distinguais à peine.
Elle me dit enfin, après un long moment de silence :

-Sara, je suis vraiment désolée que tu l'ai appris de cette manière. Je ne sais pas quoi te dire.

-Tout...tout ce à quoi je tenais, c'est évaporé. Le fil au quel ma vie tenait, vient de se briser. Je, je,... C'est fini Katie. Je ne le reverai plus jamais. Il est parti pour de bon cette fois...

-Non Sara!! Regarde moi!! Tu n'as donc pas encore compris? Allez, viens la miss!! Suis moi!!

Elle avait les larmes aux yeux!
Je la regardais d'un air interloqué alors qu'elle me conduisait vers le fond du couloir.
Nous nous arretâmes devant une porte.
Elle portait le numéro 301.
Katie me fit face et prit mon visage entre ses mains!
Elle souriait!

-Allez, dépêche toi d'entrer!! Quelqu'un t'attend!!

J'étais complètement perdue. Je ne savais pas de quoi elle parlait et surtout où elle voulait en venir. J'approchai doucement ma main tremblante de la poignée, je la tournai et poussai délicatement la porte.
Mon coeur commença à battre la chamade. Un petit rire nerveux m'échappa avant qu'un flot de larmes ne me submergent.
Je m'avançai, hésitante, vers le lit. Je n'en croyais pas mes yeux!
Etais-je en train de rêver??
Non, tu étais bien là, étendu sur le lit, ton regard intense posé sur moi. J'étais heureuse comme jamais je ne l'avais été depuis maintenant 2 ans déjà.
Je m'approchai de toi et te fixai. J'avais tant espéré ce moment mais désormais, la peur, l'angoisse s'emparait de moi.
Il fallait que je sache.
Que je le sache là, tout de suite, maintenant!!
Cette question, je n'avais pas le choix, il me fallait te la poser!!
Une odeure étrange rodait dans la pièce.
Une odeur au goût de peur, d'angoisse, d'oppression.
Un silence de mort y régnait également.
Je brisai enfin la glace au bout de quelques minutes. De ma voix encore toute tremblante d'émotion, je parvins à articuler les quelques mots que constituaient ma question:

-Mich...Mich...Michael, sais-tu qui...qui je suis?

Voilà!! Je l'avais fait!! J'étais en partie libérée.
Désormais, ma vie reposait sur tes épaules, toi seul pouvais à présent me donner la réponse à cette question qui en impliquait d'autres d'importance majeure pour moi!
Avais-je perdu mon temps à t'attendre? M'aimais-tu encore? Avais-je bien fait de ne pas te quitter ce jour là?

Je fus sortie de mes pensées par ta voix rauque que j'avais tant espéré réentendre.









voilà suite??????

oui la suite la suite la suite la suite!!!!!!! please!! met la suite!

oh que oui une suite
qu'est-ce qu'il va répondre Michael?
vite il me faut la réponse à cette question

Oh c'est impossible qu'il est oublier sa Sara!!!!
J'ai hate de lire la suite!!!!!!!!!!!

suite !!!!!!!!!stp