ma toute première fic : 2 ans déjà...

Ta suite est geniale !!!! VIVEMENT LA SUITE !!!!!

Je pensais pas qu'il allait lui poser cette question en faite , mais bon j'ai hate de lire sa réaction!!!!!!!!!!!!!!
la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

trop bien !! je pensais pas du tout qu'il allait lui poser cette question !

la suite stp !!

je veux lire la réaction de michael!!

Ouais,j'aurais pensé autre chose....

oalallalalalala trooooo préééééssssssssssééééééééééé de voooooir cooomeenntt va réaagiiir Michael !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

merci a tous pour vos coms


voilà une petite suite






Tu fus le premier à rompre ce silence.

-2 ans?
Quand tu avais répété ses mots, ta voix s’était transformée. Une voix à la limite des rires et des pleures. Tu étais totalement perdu. Perdu dans tes pensées, évaluant petit à petit la situation dans laquelle tu te trouvais.

-Oui mon amour, 2 ans!! 2 Longues années de supplices, de souffrances, d’espoir,…
Les deux pires années de mon existence!! L’enfer!!

-Woaw!!! Une annonce pareil, ça refroidit tout de même.

L’émotion c’était désormais emparée de tout ton corps. Tu tremblais et ta voix en faisait de même.





Cela me rappela ton premier coup de fil 5 ans auparavant alors que tu fuyais le pays.
Après ma sortie de l’hôpital, j’avais essayé de reprendre un semblant de vie. J’avais tiré d’apparence un trait sur toi, sur notre histoire. Mais mon coeur, lui, ne t’oubliait pas. Il n’y arrivait pas, il ne se le permettait pas.
J’avais intégré un groupe d’alcoliques anonymes suite à une demande de mon père. J’avais alors rencontré Lance, du moins c’Est-ce qu’il prétendait. Je reprenais pieds enfin, malgré le vide énorme que je ressentais en moi.
Puis, un jour, alors que je parlais avec lance à la fin d’une de nos thérapies, mon téléphone se mit à sonner.
Je décrochai et entendis cette voix que je n’espérais plus. Ta voix. Un tourbillon de sentiment m’avait alors envahit. De l’amour à la haine en passant par le soulagement. Je ne savais pas vraiment comment réagir à ton appel. Je ne voulais pas me montrer faible. Je ne voulais pas te montrer l’emprise que tu avais encore sur moi. J’avais alors choisi l’option la plus facile. Du moins, c’est-ce que je pensais. J’avais essayer de te repousser, de te haire.
Tu m’avais alors demandé de ne pas raccrocher, ce que je fis. Puis quand tu m’avais raconté que tu venais d’apprendre ce qui m’était arrivé, aussi incroyable soit-il, j’avais perçu de l’émotion dans ta voix. Toi le grand Michael scofield vulnérable. Je n’en croyais pas mes oreilles. Tu m’avais alors avoué que tu voulais me protéger, que tu étais désolé. Je su immédiatement que tu étais sincère mais je fis comme si ça ne me touchait pas. C’est alors que tu m’avais dis ces quelques mots auquel je ne m’attendais absolument pas : c’était réel Sara, toi et moi, c’est réel!!
Puis tu avais raccroché!
Je croyais rêver. Il m’avait fallu quelques secondes pour que je me rende vraiment compte de tes mots, de cette phrase, de son sens.
A cet instant précis, la flamme de l’espoir qui sommeillait en moi se raviva. Je n’imaginais pas encore à quel point les conséquences que ce coup de fil allait engendré.






Quand je revins à la réalité, tu étais encore sous le choc. Cette nouvelle t’avais littéralement bouleversée. Tu essayais malgré tout de plaisanter mais au fond de toi, tu souffrais. Je ressentais ton trouble.

-Michael, je suis vraiment désolée.

-2 ans?

Tu te répétais cette question sans cèsse, tes yeux perdu à l’autre bout de la pièce. Tu prenais tout sur toi, mais je le voyais, s’en était trop. D’un moment à l’autre, tu allais craquer.

-2 ans? C’est-à-dire deux restaurants « filet mignon »à rattraper, 4 mois de sorties en mer, 365 promenades aux couché du soleil.

Plus tu énumérais les moments qu’on aurait du vivre ensemble, plus tu devenais faible et vulnérable.

-Des milliers de baisers, des centaines de nuits de bonheur, mais par-dessus tout, 730 jours de vie sans toi, 730 jours où on aurait pu avoir un enfant, former une famille.

Cette dernière phrase fut celle de trop. Tu éclata en sanglot!
Jamais de ma vie, je ne t’avais connu ainsi. Jamais!! Tu étais plus faible que n’importe quel nouveau né qui vient de naître.
Tes mains tremblant au point de ne savoir quoi en faire.
Je m’approchai et te les saisis pour tenter de te calmer.
Quand à moi, des larmes de détresse coulaient le long de mon visage. Je ne supportais pas de te voir pleurer. Je souffrais tout comme toi. Cette situation injuste dans laquelle nous nous trouvions me fendait le cœur. J’avais envie de crier à l’injustice. Pourquoi toujours nous? Pourquoi le destin s’acharne-t-il contre nous? Pourquoi ne nous laisse-t-on pas vivre en paix? Pourquoi toi? Pourquoi moi? Pourquoi pas les autres? Pourquoi????????????

-On va s’en sortir Michael! Ensemble! Je t’aiderai à surmonter tout ça! Toi et moi, en va s’en tirer cette fois! Je te le jure!

Je collai alors mon front au tien et fermai les yeux.
Une vague de souvenirs déferla en moi. Et ce jour où j’avais pris la vie d’un homme me revint en mémoire.




Pourtant, cette journée avait très bien commencé pour moi. Kellerman était venu témoigner à mon procès, révélant ainsi toute la conspiration. Le coup monté contre Lincoln, la vérité sur la mort de steadman, l’impliquation de Raynolds,….
Celui qui fut mon bourreau quelques semaines plutôt, venait de m’épargner 12 ans de prison. Malgré toute la haine que je n’avais cessé d’éprouver envers cet homme, ce jour là, ce fut différent. J’étais reconnaissante envers lui.
Mais le plus important dans ce retournement de situation fut la reconnaissance de la liberté de lincoln. Grâce à ce geste héroïque, les charges contre ton frère avaient été abandonnées. Enfin, c’était un homme libre. Quand à toi, un amis à mon père s’occupait de ton cas , garantissant à 89 % que ta liberté n’aurait su tarder.
Après avoir reçu ton message, j’avais pris l’avion et arrivée sur place, j’avais suivi tes instructions à la lettre. Au bout d’une heure de course acharnée, j’avais enfin trouvé chaco qui m’avait alors conduit au bateau.
J’étais tellement nerveuse de te revoir que j’avais entrepris de faire le ménage pour calmer mes nerfs.
Absorbée par mon travail, je n’avais pas vu le temps passé. Au bout d’un moment, je sortis pour secouer mon chiffon , je relevai la tête, et là, je te vis au loin. Mon cœur s’emballait, j’avais envie de courir vers toi et de me jeter dans tes bras mais la présence de ton frère m’y fis renoncer. Je décidai alors de t’attendre sur le pont. Tu marcha jusqu’à moi et me regarda d’un air voulant dire : Je rêve où c’est bien toi?
Ton visage surpris me fit sourire.

-J’ai reçu ton message et dieu merci, je t’ai trouvé.

Tu m’as alors serré dans tes bras pour rendre ma présence bien réelle. Je fermai mes yeux et profitai pleinement de ce moment, de nos retrouvailles.

-Oui grâce à dieu! M’avais-tu enfin murmuré.

-Michael, linc est libre!! C’était la première fois que j’annonçais une bonne nouvelle à des personnes que j’aimais et j’en étais très fière.
Après tout ce que nous avions vécu, réaliser que tout ça était enfin fini en revenait à croire à la petite souris. C’était tout simplement inimaginable, impensable, incroyable. Nous pouvions enfin être heureux.
Nous touchions le bonheur du bout des doigts, mais, malheureusement, c’était trop beau pour être vrai.
Alors que j’étais rentrée à l’intérieur du bateau pour nous servir un verre et fêter cette victoire, une 3ème voix se fit entendre sur le ponton. Une voix que je ne connaissais pas mais qui ne me disait rien qui vaille.
Je m’emparai du 9 mm que Lincoln avait déposé sur la table et sortis discrètement par l’arrière du bateau. Je m’avançai sans faire de bruit et là, je le vis enfin. Cet homme, que je n’avais jamais vu avant, pointait son arme sur toi et Lincoln. Cet ne voulait pas entendre parler de l’argent, il vous voulait vous. Toi ou ton frère!Mais une chose était sûr! Il en voulait un vivant et l’autre mort. J’étais paniquée. Il fallait que je fasse quelque chose, mais quoi!!
Tout se passa alors très vite. Je fermai les yeux. Un bruit sourd et un bruit de corps s’écroulant sur le sol se fit entendre. Après quelques secondes, j’ouvris enfin les yeux. Ma main tremblait. Toi et ton frère me regardaient. L’intrus gisait sans vie sur le pont.
J’avais tiré. La panique m’envahie alors. Perdue. J’étais perdue.
J’eu a peine le temps de reprendre mon souffle que les sirènes de police se faisaient déjà très proches.
Mais comment avaient-ils su?
Comment se faisait-il que les flics soient déjà là?

-Allez, on se tire d’ici et maintenant! Tu avais hurlé cette phrase d’un ton autoritaire et sûr de toi. Allez Sara, viens, dépêche toi.

Tu m’avais aidé à descendre du bateau et nous avions alors commencé à courir dans cette jungle, la police à nos trousses.






voilà suite demain ou dans la soirée

SUPER SUITE CONTINUE !!!!!!

Tu dois continuer mais jaimmee troooooooo ta fic !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

C'est clair, ta fic est géniale ! J'veux une suite !!

trop genial !! mais stp met la suite dans la soirée !!!!

Pauvre Mick mais il va pouvoir ratraper le tmeps perdu!!!!!
J'espère qu'on aura la suite se soir!!!!!!!!

je veux la suite !!

Vivement la suite !!!

je veux la suite !!

anso26 a écrit:je veux la suite !!

moi aussi !!

sarascofield a écrit:

anso26 a écrit:je veux la suite !!

moi aussi !!

me too!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

VITE LA SUITE !!!

tous emsemble : on veut la suite !!

allez, voilà la dernière petite suite de la soirée






Tu m’avais aidé à descendre du bateau et nous avions alors commencé à courir dans cette jungle, la police à nos trousses.
Au bout de quelques minutes de course, nous étions arrivé devant un petit cabanon abandonné.
Tu me pris alors la main et me fis entrer à l’intérieur. Tu ferma la porte et scruta par la fenêtre ce qu’il se passait dehors.
La police arrivait de tout les côtés. Nous étions foutu, pris au piège.

-Vous êtes cerné. Sortez les mains en l’air et sans gestes brusques.

J’étais désespérée. Nous nagions en plein bonheur 10 minutes auparavant alors que maintenant nous vivions l’enfer.
Pourquoi cet homme est-il venu? Pourquoi avait-il fallu qu’il gâche notre bonheur? Pourquoi avais-je tiré? Pourquoi nous étions-nous arrêté ici?

-2ème somation. Vous feriez mieux de vous rendre sans faire d’histoires. Vous savez sûrement combien un homicide est sévèrement jugé ici au panama.

Je fus prise de tremblements, je mesurais enfin pour la première fois depuis que j’avais tiré, la portée de mon geste. Je venais enfin de me réveiller.

-Oh mon dieu, Michael, j’ai tué un homme.

Tu me caressa alors la joue pour me rassurer.

- Tu te rappel que je te dois encore un dîner? Et bien, je te promet que d’ici quelques temps, tu l’aura ton filet mignon.
Allez, maintenant, donne moi le flingue s’il te plait.

Tu essayais de me calmer, de me faire oublier, mais rien y faisait. J’étais obnubilée par cette chose horrible que j’avais fait. Tout était désormais fini pour moi. J’avais échappé de justesse à la prison quelques heures plutôt mais cette fois-ci, il n’y avait pas d’issue de secoure. Je n’avais plus le choix, j’allais devoir y allé pour de bon et pour meurtre en plus ce qui impliquait plus que 12 ans de ma vie.
Je fondis alors en larmes.

-Regarde moi Sara, regarde moi.

Tu pris alors mon menton et releva ma tête.

-Nous allons nous en tirer Sara, nous allons sortir d’ici et leur expliquer tout ce qui s’est passé. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour te sortir de là. Ok?
Allez, donne moi le flingue Sara, s’il te plait.

Je te tendis alors le 9 mm.
Puis, je collai mon front au tien, fermai les yeux et profitai au maximum de cet instant.
Je sentais que c’était nos derniers moments ensembles. A cet instant précis, tu étais la seule personne qui me donnait le courage de tenir encore debout .
Je me jetai alors dans tes bras comme si tu étais mon dernier espoir pour rester en vie. Je me raccrochai à toi comme si ma vie en dépendait. Tu étais ma bouée de sauvetage.
Réalisant que j’allais te perdre, je sortis tout ce que j’avais sur le cœur :

- Je t’aime! Avais-je murmuré dans un déchirement.
J’avais fermé les yeux et humé ton parfum, caressé tes cheveux et gravé la sensation de ton étreinte dans ma mémoire avant de te dire adieu.

-Je t’aime aussi Sara! M’avais-tu déclaré désespérément de ta voix rauque que j’entendais peut-être pour la dernière fois de ma vie.

Je m’écartai , pris ton visage entre mes mains et t’embrassai. Un de ces baiser passionnés, intenses, désespérés. Une véritable bouffée de vie. Le fait de sentir tes lèvres humides pour la dernière fois sur les miennes, accentua mes larmes qui coulaient désormais en masse le long de mon visage. Mais en même temps, te sentir autant connecté à moi calma mes sanglots. Nous étions dans notre bulle, unis comme jamais. Ensemble, tel était la promesse qu’on s’était fait secrètement ce jour-là. Ensemble dans les problèmes, ensemble dans l’adversité, ensemble jusqu’à la fin, ensemble jusqu’à ce que quelque chose nous sépare, ensemble jusqu’à la mort.



Après notre baiser, tu m’avais alors serré très fort dans tes bras comme tu l’avais fait lors de nos retrouvailles. Au début, je pensais que tu voulais vérifier si cette situation était bien réel, si ce cauchemar, tu ne l’avais pas rêvé. Mais je compris plutôt le véritable sens de ton étreinte. C’était pour te donner le courage, la force nécessaire à ton acte à venir.
Tu m’avais regardé une dernière fois en souriant puis nous avons décidé de sortir.
Mains en l’air, je fus la 1ère à mettre le pieds dehors.
Puis soudain, je sentis ton bras me saisir et me serrer avec ton bras. Me tenant en joue avec le 9 mm, tu hurlais aux policiers de ne pas bouger. Je fus surprise par ton mouvement, je ne comprenais pas pourquoi tu me prenais en otage.

-Michael, qu’est-ce que tu fais?
J’avais posé ma question d’un ton inquiet. Je savais que tu avais une idée derrière la tête, mais je n’aurais jamais imaginé ce qui allait suivre.

Tu me murmura alors au creux de l’oreille :

-tu te souviens, tu as déjà tout sacrifié pour moi une fois…

J’avais enfin saisis ton idée stupide. Je ne pouvais pas te laisser faire ça, alors je me débattis et essayai de desserrer ta pression. Plus je forçais, plus tu redoublais de force. Il était impossible de t’échapper.

-Non Michael!!Non, ne fais pas ça!!!

La colère s’emparait de moi. Je ne pouvais pas te laisser faire ça!

Après quelques secondes, tu desserra enfin ton étreinte, retira ton bras et me chuchota ces derniers mots:

Maintenant, il est temps de te dire merci.

Puis, tu t’étais dirigé vers les policiers, mains en l’air et avais commencé à hurler :

-C’est moi, c’était moi!!Je l’ai fait!!! C’est moi qui ai tiré!!
Tu as alors lâché ton arme et t’es mis à genoux.

-Non Michael!!Il ment, il est innocent.

Tu ne pouvais pas me faire ça!!!Non pas maintenant. J’essayais de hurler plus fort que toi mais tu élevais encore plus la voix pour couvrir le son de la mienne.

-C’est moi, c’était moi!! Je l’ai tué!!

-Non, il n’as rien fait de mal!!C’est moi qui l’ai tué, il est innocent!!!
Michael!!!Michael!!!

Des policiers me retenaient, m’empêchant ainsi de t’approcher. Si ils n’avaient pas été là, je t’aurais sûrement giflé pour ce sacrifice!! Tu ne pouvais pas me faire ça!! J’aurais préféré faire ma peine que te voir allé en prison de ma faute!!! Assister à ton arrestation fut l’un des moments le plus dur de ma vie.
Voir ces policiers te mettre les mains dans le dos, te passer les menottes et t’emmener dans leur voiture fut une épreuve douloureuse pour moi! Je m’en voulais de m’avoir rien faire, d’être impuissante.

Je continuais toujours à m’égosiller, d’essayer de te défendre du mieux que je pouvais. Mais en vain.

-Michael!!Michael!! Il n’a rien fait de mallllllllllllllllllll!!!!!!!
J’avais arraché un cri de mort en prononçant ces derniers mots. J’avais hurlé cette phrase dans un dernier souffle. Je n’avais plus de voix.

Et voilà, je t’avais encore perdu. Je t’avais abandonné. Je culpabilisais d’être venue ici, je culpabilisais d’avoir tiré, de t’avoir donné l’arme, de t’avoir laisser porter le chapeau, de n’avoir rien su faire.
Malgré que dans cette cabane je m’étais apprêtée à notre séparation, celle-ci fut plus pénible que je ne l’avais imaginé. Peut-être à cause de la brutalité de notre séparation ou tout simplement parce que je me sentais coupable de tout ce qui nous était arrivé.





J’ouvris enfin les yeux.
Nos fronts étaient toujours soudés l’un à l’autre mais les larmes avaient cessées de couler sur nos joues.
Je ne sais pas combien de temps nous étions resté ainsi. Des secondes, des minutes, des heures peut-être. Je décollai enfin mon front du tien et te déposai un léger baiser sur les lèvres.

-Michael, regarde moi!!

Tu leva aussitôt la tête et me fixa de ton regard dégageant, de la tristesse, da la tendresse, de la délicatesse, de l‘amour.

-Michael, on va s’en tirer. Je vais t’aider à rattraper ces 2 années. Ok?
Dés demain même!!!Si tu es partant bien sûr!!

Tu me souris alors et me dis :

-Ok, va pour demain!! Et ça prendra beaucoup de temps pour se remettre à jour?

-Euh…non, je ne pense pas. Dés que j’aurais monté le dossier avec les coupures de presse, je t’en informerai.

-Merci docteur!!

-De rien Scofield!!

Tu m’attrapa alors la main et me dis en arborant un sourire jusqu’aux oreilles :

-Nous allons encore devoir surmonter ça ensemble à ce que je vois !!!
Encore et toujours toi et moi!!
Cela fait à peine deux heures que je suis réveillé et on à déjà retrouvé nos bonnes vieilles habitudes!! Dis donc, on ne perds pas notre temps!!
Avoue que tu ne sais pas te passer de moi!!!

-Hummmm, mon très chère scofield et son sens de l’humour déjanté font leur come-back à ce que je vois!!!

- hum, comment dit-on encore chez nous? « Welcome home honey »

J’éclatai alors de rire et nous partîmes tout deux dans un délire jusqu’à ce que tu t’endormes, épuisé par nos retrouvailles riches en émotions.





voilà suite demain bonne soirée

trop génial !!

vivement demain ! trop impatiente de lire la suite !!

sarascofield a écrit: trop génial !!

vivement demain ! trop impatiente de lire la suite !!

me too!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

C'était super
vivement demain

j'adore la suite et comment tu décrit les sentiments de sara dans les épisodes!!!
et vivement la suite!!!

this moment is perfect!