Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...

si moi je suis stressé grave la !!!!!!

une autre suite stp !!!!!!!

Wouaaaaa pinaiz j'avais vraiment du retard, t'es vraiment pas une radineuz de suite toi dit donc j'ai jamais mis autant de temps a lire la suite d'une fic ET JE M'EN PLAINT PAS c'est vraiment trooooooooooooooooooooooooooooooooop sublimissime j'adore mais ça veut dire que Sara va garder le bébé moi jveux pas qu'elle fasse une IVG un petit Scofield viendra consolidé leur couple pffff quel connard Mahone comme si c'était le moment de se la ramené jveux la suite,

non mais quelle plaît Mahonne toujours là pour faire chier!!!

allez mets nous des suites STP

j'en peux plus !! je réclame une suite stp !!!!!!!

Voilà la suite, j'espère que çà va cous plaire...

SUITE :

Kellerman roulait depuis plusieurs minutes sans que personne dans la voiture n'ai ouvert la bouche pour prendre une décision. Lincoln sur le siège passager, coude sur la fenêtre ouverte tenait sa main posée sur sa bouche en signe de réflexion, qu'allaient-ils faire maintenant ? Michael et Sara étaient à l'arrière et ne s'était pas adressé la parole depuis leur fuite précipitée de la clinique. Michael était pensif lui aussi et se gardait bien de fixer Sara, de peur de lire des reproches et des doutes dans son regard. Le coude vissé à la portière il fixait lui aussi le paysage, songeur dans l'attente d'une improbable idée qui pourrait les sortir de ce traquenard. Sara se sentait à nouveau vidée, fatiguée de tout ce ram dam. Pourquoi Michael n'essayait pas de la rassurer, pourquoi restait-il désespérément silencieux ? Une grande inquiétude l'envahit de nouveau et un grand frisson lui parcouru tout le corps. Michael venait de se retourner vers elle, il avait pris sa main dans la sienne et serrait fort les doigts de Sara maintenant liés aus siens. On aurait dit qu'il avait retrouvé ses esprits, une idée derrière la tête pensa Sara ? Michael la fixait mais Sara ne décelait rien dans son regard, il restait étonnemment vide et inexpréssif, que voulait-il lui faire comprendre ? Elle commençait à paniquer sérieusement, ce silence entre eux la pesait et plus rien ne passait dans leur regards. Michael se détourna à nouveau en direction de la fenêtre mais sans lâcher la main de Sara qu'il serrait toujours très fort, doigts enchevêtrés les uns aux autres.

M : Paul , on retourne à Chicago dans l'appartement de votre soeur, il faut avant toute chose qu'on visionne cette cassette. Après on en saura plus et on pourra aviser si oui ou non nous pouvons enfin quitter Chicago.

L : Michael, il faut qu'on se tire ! On peut pas rester ici, ils sont à nos trousses !

M : justement ! Ce qu'ils penseront en premier c'est qu'on va essayer de se tirer de là au plus vite, si on reste, on gagne du temps sur eux.

K : je crois que Michael a raison Linc, de plus ils n'ont aucune idée de l'objet qu'on a pu trouver, si on se casse sans savoir, on va peut-être le regrettet amèrement.

M : oui et Sara a besoin de se reposer encore au moins jusqu'a demain matin.
Il avait tourné son visage dans sa direction, et la fixait un léger sourire aux lèvres, les yeux plein d'amour. Elle le regarda un moment, incrédule face à ce changement d'attitude, puis se rapprocha et laissa tomber sa tête contre l'épaule de Michael. Il se mit à chuchotter.

M : je veux que tu rappelle Brooke et qu'elle vienne te voir à Chicago pour terminer les derniers soins que tu n'a pas pu avoir Sara, c'est important.

Sara chuchota à son tour.

S : mais Michael elle m'a donné des médicaments et mon hématome doit être résorbé totalement maintenant, si je me repose bien cette nuit nous pouvons repartir demain sans problème, çà và aller, ne t'inquiètes pas.

M : je ne parlais pas de l'hématome Sara.

Il replaça sa mèche rebelle derrière son oreille et laissa sa main s'attarder sur la joue chaude de Sara. Il s'approcha doucement d'elle et laissa ses lèvres effleurer les siennes tendrement puis se recula sans cesser de la fixer d'un regard brulant de passion. Sara se sentit rougir et frissonner de nouveau et à cet instant se sentait vivante. Le visage cramoisi, elle baissa les yeux sur leurs mains toujours jointes et Michael lui releva le visage de son autre main pour qu'elle le regarde. Sans dire un mot, Sara lut dans son regard qu'elle n'avait pas à s'en faire.

Il arrivèrent rapidement en bas de l'immeuble et pénétrèrent dans l'appartement ou depuis la veille et leur fuite précipitée rien n'avait bougé d'un poil. Michael soutenait Sara encore faible et la déposa sur le canapé.

M: çà và aller ?
S : bien merci.
M : tu veux quelque chose ?
S : oui...
M : ?
S : les toilettes !!

Elle explosa de rire sous le regard incrédule des 3 hommes dans la pièce. Son rire résonna et détendit immédiatement l'atmosphère. Ils s'installèrent pour visionner la cassette mais Michael souhaitait que Sara appelle Brooke pour un dernier examen. Elle pris le portable à Kellerman et commença à composer le numero.

S : Brooke ?
B : Sara, tu vas bien ?
S : oui ne t'inquiètes pas, et toi ? çà và,
B : pas vraiment, ils n'ont pas arrêté de nous poser des questions et je viens seulement de me débarrasser d'eux, ne t'inquiètes pas je pense bien les avoir mis sur des fausses pistes. Pourquoi me rappelles-tu déjà ?
S : c'est Michael, il veut absolument que je subisse les derniers examens que tu voulais me faire.
B : mais pour ton hématome c'est ok non ?
S : oui, mais je crois que ce n'est pas pour çà justement.
B : je vois, il est très prévenant...
S : il s'inquiète Brooke et...moi aussi...un peu je t'avoue, j'aimerais être fixée, mais on ne peux pas revenir à la clinique ?!
B : écoutes, je m'apprête à partir pour rentrer chez moi mais j'ai une amie qui a un cabinet privé de gynécologie, en général elle ferme vers 19h. Je vais l'appeller et elle pourra peut-être faire quelque chose ? çà te và ?
S : ce serait parfait Brooke, je te remercie beaucoup !
B : ou es-tu ?
Sara hésita un instant
S : disons que je te rappelle dans 15 minutes pour savoir si c'est ok et on se donne rendez-vous là bas ?
B : çà me và, à tout de suite.

Lorque Sara rejoint Michael dans le salon, elle constata qu'ils venaient de visionner la cassette mais que celle-ci n'éatit pas à la hauteur de leurs espérances.

S : alors ?

M : c'est une cassette de Caroline Reynolds et de Terrence en grande discussion sur leur plan machiavélique, sur toutes cette machination, mais comment prouver son authenticité, comment s'en servir, là est la question.

L : C'est clair que cette cassette est une preuve irréfutable, mais ce n'est pas suffisant, on doit réunir d'autres preuves matérielles avant de pouvoir se servir de cet enregistrement !

S : vous en pensez quoi Paul ?

K : moi ? Je me dis qu'ils ont été biens négligents mais je suis d'accord avec Lincoln, on ne peut pas aller trouver un juge juste avec çà, il faut trouver d'autres preuves, revisionner cette cassette, peut-être que des éléments nous ont échappés au premier visionnage.

M : que t'as dit Brooke ?

S : je la rappelle dans 10 minutes, une amie à elle qui a un cabinet privé pourra nous recevoir pour l'examen.

K : vous n'allez pas mieux, il me semblait que si pourtant ?

M : occupez vous de vos affaires, on ne vous as rien demandé Paul !

K : du calme Scofield, j'essayais juste d'être poli !

L : ok, on se calme... essayons de rester concentrés, pendant que vous y serez on revisionnera la cassette pour essayer de trouver une piste.

La tension de Michael retomba mais il sursauta au moment ou le téléphone de Kellerman toujours dans les mains de Sara se mit à sonner....

S : allo ?
B : Sara c'est moi, j'étais chez moi, ils ont tout saccagé , mon appartement est sans dessus dessous !
S : mon dieu Brooke !
Sara s'éloigna du combiné pour expliquer ce qui se passait à Michael.
S : Ils savaient que je te connaissais Brooke ! Mon dieu, il faut que tu fasses attention. Il faut qu'on se rejoigne.
B : je te donnes l'adresse...
S : non envoie là par SMS c'est plus prudent, si jamais ils interceptent l'appel.
B : ok
S : çà và aller Brooke ?
B : il faudra bien, je me met en route à tout de suite.
Elle coupa et quelques secondes plus tard ils recevaient l'adresse du cabinet médical.

S : Michael, et s'ils sont encore après nous, s'ils la suivent ?

M : je ne pense pas, ils ne doivent pas se douter qu'on a encore besoin d'elle. Tu as l'adresse ?

S : oui, la voici, je l'ai recopiée

M : ok alors on y va tout de suite.

L : vous êtes surs ?

M : oui et de toute façon on a pas le choix, on ne va pas laisser son amie toute seule.

Lincoln fit comprendre à Sara qu'il leur souhaitait bonne chance, et visiblement Michael s'était déjà confié.

Il attrapa le gilet de Sara et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, ils étaient en bas de l'imeuble près à s'engouffrer dans la voiture pour rejoindre Brooke.

M : tu connais cette adresse ?
S : oui, c'est pas très loin, on y sera dans 5 minutes.

La trajet fut court effectivement, mais beaucoup trop silencieux du gout de sara. Michael ne la regardait pas, il conduisait certes, mais elle sentait ce malaise entre eux se réinstaller. Elle le sentait soucieux, peut-être etait-ce cette cassette qui n'avait pas répondu à toutes ses attentes ?

La voiture se gara le long du trottoir désert, il était presque 20h, et le quartier était essentiellement composé d'immeubles de bureaux, un quartier d'affaires qui passé 19h se vidait de ses habitants.
Brooke était là, tapotant nerveusement du pied sur la colonne qui la soutenait près de l'entrée du cabinet médical.

B : vous voilà !
S : comment vas-tu ?
B : bien comparée à l'état de mon appartement !
M : nous sommes désolés Brooke, nous ne voulions pas vous mêler à toute cette histoire...
B : je sais, je sais, bon trève de paroles inutiles, on y và ? Vous êtes prêts tous les deux ?

Sara et Michael se regardèrent un instant, nerveux, pour chercher l'approbation de l'autre. Ils suivirent Brooke à l'intérieur du cabinet toujours allumé.

B : mon amie qui est plus spécialiste que moi s'est proposée de rester, vous aurez ainsi un meilleur avis que le mien, ne vous inquiétez pas, c'est une personne de confiance.

M : on vou suis...

Il pénétrèrent dans la salle d'examen, et Sara tremblante leva ses yeus vers Michael. Sans paroles, il entreprit de la rassurer d'un simple regard et i y parvint presque.

Dr : bonjour, installez vous Sara c'est çà ? Je vous laisse aller mettre cette tenue pour l'examen, vous serz plus à l'aise.
S : oui.
Dr : je suis le Dr Bradshow mais vous pouvez m'appellez Lydia. Je suppose que vous êtes Michael, ne vous inquiétez pas, Brooke m'a expliqué votre situation, c'est une très bonne amie qui m'a aidé à m'installer à mon arrivée à Chicago, je lui dois bien çà.

M : merci quand même, d'avance.

Sara partit se déshabiller et revint vêtue d'une blouse.
Brooke était restée dans un coin de la pièce, ne perdant rien de la scène.

Dr : voilà Sara, je vais tacher au cours de l'examen de vous expliquez ce que je fais. Vous voyez cet appareil, je vais l'insérer dans votre vagin car à ce stade de la grossesse une échographie traditionnelle ne suffit pas, cet appareil est beaucoup plus précis. Michael, je vais vous demandez de vous placer ici, face à l'écran pour ne pas gêner Sara.

M : bien

Il s'exécuta.

Dr : voilà, détendez vous Sara, nous allons pouvoir commencer.

Sara était tellement nerveuse, dans quelques instant la réalité de cette vie allait lui sauter à la figure.

Dr : voilà, doucement, nous y sommes presques, détendez-vous Sara.

Le moniteur s'alluma et quelques images se mirent à défiler sur l'écran au gré des mouvements de l'appareil dans le corps de Sara.

Dr : voilà, je l'ai ! Regardez Sara et Michael, ici, cette petite tache encore minuscule c'est votre enfant.

Michael sentit un frisson lui parcourir la colonne vertébrale, une sensation nouvelle s'offrait à lui et il se surpris à en apprécier les conséquences. Là dans la chair de celle qu'il aimait plus que tout, dans ce petit ventre encore tout plat une petite part de lui se développait, une minuscule chose, un minuscule être prenait vie. Malgré toute ses craintes il ne put s'empêcher d'afficher une mine intéressée et comblée. Ce tout petit bout de chose était à lui, pour lui et Sara. Un instant de rapprochement ultime de leur deux corps avait crée çà. Il n'en revenait pas ! Ce résultat de prise de sang si abstrait lui avait fait froid dans le dos mais là, à travers ce moniteur il retrouvait une sensation de plénitude.
Sara, elle n'avait pu réprimer un petit rire nerveux lorsq'elle aperçut cette petite tache difforme qui ne ressemblait pas encore à un bébé. Elle voyait enfin ce petit bout d'elle même qui s'était ancré à un petit bout de Michael pour ne former qu'un. Cette sensation lui plut et elle comprit à cet instant que plus jamais elle ne pourraiot revenir en arrière et s'en séparer.

Dr : regardez, là on le voit bien sous cet angle, il y a déjà un petit coeur qui bat, regardez, les cellules cardiaques sont formées !

S : mon dieu, c'est vrai, tu as vu Michael !
M : oui Sara je le vois, c'est incroyable !

Dr : d'après mes calculs, je dirais que vous êtes enceinte de 5 semaines Sara.

S : ? Quoi ? Ce n'est pas possible !

Michael sentit ses jambes et ses forces l'abandonner.

Dr : calmez vous, je vous parle en semaines d'ahménorées Sara, ce qui veut dire que vous êtes tombée enceinte il y a 10-peut être 15 jours, mais on calcule toujours depuis la date des dernières règles.

Sara sentit sa poitrine se dégonfler et lacha un grand soupir de soulagement en même temps que Michael retrouva sa respiration.

Je vais vous donnez quelques clichés à conserver et vous prescrire quelques médicaments.

S : merci Dr.
Dr : de rien, c'est toujours plaisant pour moi d'annoncer à un jeune couple la bonne santé de leur premier enfant !

Sara et Michael se sentirent légèrement gênés.

Dr ; tout vas bien, vous pouvez être rassurés ! L'embryon est bien dans l'utérus et tout est normal, maintenant il faut juste arroser la plante "dit-elle en rigolant".

S : Dr, pardon Lydia, c'est que nous ne savons pas encore si...

Michael l'interrompit

M : c'est vraiment très gentil à vous Lydia, Sara tu devrais aller te rhabillez tu vas attraper froid, ce serait dommage non ?

Sara le regarda, on pouvait lire de l'imcompréhension sur son visage, pourquoi Michael ne l'avait pas laissé finir sa phrase ?

Brooke, elle, avait tout à fait compris pour quoi, mais elle l'avait su depuis le début, depuis la première image sur le moniteur et la première expression qu'elle vait pu lire à ce moment là sur le visage de Michael...

Oh c'est trop fort ce passage,j'imagine la tête de Mick devant l'ecran!!!!
Sa veut dire que mick est d'accord pour garder le bébé!!
VIVEMENT LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

trop trop trop génial !! trop heureuse qu'ils vont guarder le bébé !!! et mickael est trop bien avec sara et le bébé !!! mais tu ma fait une petite frayeur quand ta dis " enceinte de 5 semaines " !!!!!!

bref je suis trop happy !!!

vivement la suite !!!!

J'adore quand Sara dit a Michael "mon dieu, c'est vrai, tu as vu Michael !"
ce passage tu le décrit trop bien j'adooooooooooooooooooore qu'est ce que Sara voulait dire au Dr??????? elle veut parlé de l'avortement???? met la suite ce soir par pitié ou je vais pas pouvoir dormir!!!!!!

Amaria a écrit:J'adore quand Sara dit a Michael "mon dieu, c'est vrai, tu as vu Michael !"
ce passage tu le décrit trop bien j'adooooooooooooooooooore qu'est ce que Sara voulait dire au Dr??????? elle veut parlé de l'avortement???? met la suite ce soir par pitié ou je vais pas pouvoir dormir!!!!!!

moi pareil je pourrais pas dormir sans avoir eut la suite ! alors ta plustot intéret a la mettre !!!!

cette suite est magnifique

petite méchante !! ta toujours pas mit de suite !! t'aime bien nous faire languir hein ????
tiens tu la mériter :

Voilà la suite Misa...comme pour la Wentfan, désolée de pas avoir posté plus tot mais pas pu faire autrement...

J'attends vos coms surtout !

SUITE :

Michael et Sara avaient quittés le cabinet, dis au revoir et merci à Brooke et son amie. Ils étaient tous les deux ailleurs, et chacun de leur coté, malheureusement, ils savouraient enfin la joie de cette nouvelle, une bonne nouvelle, enfin depuis tout ce temps tout en se retenant pour ne pas trop le montrer à l'autre. Ils avaient, chacun dans leur coin peur de ne pas partager les mêmes sensations que l'autre.

Ils arrivèrent à l'appartement où Linc et K les attendaient, accoudés à table. Linc avait préparé un petit repas qu'il était descendu chercher chez un traiteur asiatique. Lorsque Sara entra, elle ne put réfréner un cri de satisfaction.

S : ouah ! quelle odeur, je meurs de faim !

L : tient vous voilà ! Alors comment çà c'est passé ? Tout va bien ?

Lincoln essayait de déchiffrer dans le regard de son frère une trace de contentement, de bohneur, mais Michael ne laissait rien transparaitre, il se méfiait trop de Kellerman pour étaler ses sentiments devant lui. Et que pensait Sara ? Tant qu'il n'auraient pas tiré çà au clair tout les deux, il préférait garder ses impressions pour lui, aussi dur soit-il.
Sara comprenant que Michael ne répondrait rien malgré le regard que lui soutenait Lincoln répondit.

S : tout và pour le mieux Linc, merci, je suis contente d'avoir fait cet examen.
Elle fusilla Michael du regard. Elle ne comprenait toujours pas ses brusques changements d'attitudes, que pensait-il à la fin !

M : bien, si nous passions à table, tu as raison, çà à l'air appétissant.
Il était gêné et avait pris son air penaud.

L : bon et bien si tout le monde est ok, A TABLE !

Ils se ruèrent sur les différents mets chinois qui ornait la petite table du salon. Sara et Michael, à l'opposé de la table ne s'adrèssèrent ni la parole ni un regard tout le long du repas. Chacun restait silencieux, les dernières 24h avaient été difficiles et mieux valait garder des forces pour le lendemain. Sara se leva au bout de 20 minutes, blanche comme un linge. Elle courut jusqu'aux toilettes pour se libérer d'une nausée qui venait de lui envahir le gorge. Michael se leva immédiatement pour aller à sa rencontre.

M : Sara ? Sara ? Comment te sens-tu, cà va mieux ?
S : ce n'est pas terrible, je viens de vomir tout mon repas !

Elle entrouvrit la porte des toilettes la mine amusée.

S : je ne suis pas très économique non ? Pourtant je me suis régalée !

Michael lui rendit son chaleureux sourire amusé, elle trouvait çà drôle, elle riait de cette situation !

M : je vois que tu prends çà avec bonne humeur !

S : c'est vrai que ce n'est pas ton cas Michael !

Il se mordit la lèvre, elle venait de refermer son visage, et plus aucun sourire ne transparaissait.

M : Sara, ne le prends pas mal, je suis inquiet pour toi c'est normal non ! Il se mit en colère. Je ne comprends pas tes réactions, j'essaie d'être prévenant, de te montrer mon attachement et tu m'envoie balader dès que tu en a l'occasion !

S : je t'envoie balader ! Je t'envoie balader ! Non mais c'est une blague ! Tu n'as pas dit un mot durant tout le trajet, tu n'as rien dit chez le médecin, tu ne m'as rien dit tout court depuis que tu le sais et tu voudrais que je garde mon calme!!!!!Non Michael !!! Non, non et non !!!!!

Lincoln et Kellerman toujours à table n'avait rien loupé de la petite conversation des tourtereaux. Si Lincoln avait compris le pourquoi de la situation, Kellerman tentait tant bien que mal de déchiffrer les signes.
Sara était partie se réfugier dans l'unique chambre de l'appartement, en sanglots devant l'incapacité de Michael de lui témoigner oralement de ses sentiments.
Michael restait planté devant le salon, stoique, sans réactions, complètement interloqué par la réaction de Sara. Ils n'avaient visiblement pas l'aptitude à se comprendre !

Lincoln se leva et alla tapoter le bras de son frère comme pour le secouer et le faire réagir.

L : et oh !! çà và ? T'as un peu de mal on dirait !

M : je ne comprends pas Linc, elle passe de l'état d'euphorie à tout autre chose en 1/4 de secondes ?!

L : çà c'est les hormones mecs, çà dure 9 mois, voire plus...lui chuchota t-il à l'oreille. Va falloir que t'ailles la rassurer, elle a besoin de connaitre tes sentiments à propos de çà Mich, elle a besoin que tu lui dises ce que tu ressens, elle est déboussolée, c'est normal, va-y.

M : je crois qu'elle a plutot besoin d'être seule.

L : assime Michael ! C'est de toi qu'elle a besoin ! N'oublie pas pourquoi !

Kellerman ne comprenait rien, il avait l'impression que les 3 personnes dont il partageait la vie depuis plusieurs jours se mettait à parler un autre langage. Il se posait de plus en plus de questions...

Michael, prenant son courage à deux mains entra dans la chambre. Sara était assise par terre vers la fenêtre, le visage enfouie dans ses bras. Elle sanglotait bruyamment. Comment pouvait-elle encore pleurer avec toutes les larmes laissées aujourd'hui déjà à la clinique ?
Il se sentait impuissant face à sa détresse, que faire pour la soulager, enfin. Lorsqu'elle entendit la porte se refermer derrière lui Sara sursauta et leva la tête.

M : je t'ai fait peur, excuses-moi.
S : je ne t'avais pas entendu entrer.

Il s'approcha et se mit à genoux face à elle pour la prendre dans ses bras une fois de plus. Son corps était bombardé de sursaut, elle avait le hoquet et n'arrivait pas à se calmer. Michael tenta silencieux d'apaiser son malaise grâce à des caresses mais Sara voulait plus, elle voulait des paroles. Au bout de quelques minutes, agacée elle se dégagea.

- Michael, il faut que tu me parles, je te sens si distant depuis ce matin, depuis que...Tu n'as rien dit, tu n'en parles pas, comme ci çà n'existait pas ! Parles moi Michael, dis moi que tu n'en veux pas, mais dis quelque chose !!!!

Il s'approcha de nouveau et Sara le repoussa du bout des doigts.

- non Michael !
- Sara....je...je ne sais pas non plus ce que toi tu en penses ! Et c'est pour çà aussi que j'ai peur de t'avouer ce que je ressens.

A ces mots Sara se sentit comme glacée, il avait raison, elle non plus ne s'était pas exprimée sur ses sentiments vis vis de son état, tout juste lui avait-elle annoncé la situation. Elle relacha l'expression de dureté qui avait envahi son visage quelques minutes auparavent sans abandonner l'idée d'obtenir une réponse.
Michael lui prit la main, calme et l'invita à venir s'asseoir au bord du lit. Il s'assit à coté d'elle et, sans lacher sa main commença à lui parler.

- Sara, tout d'abord, je voulais te redire a quel point je t'aime et que je n'envisage plus ma vie sans toi. Ces dernières 24h ont étés terribles pour toi, pour ta santé, mais aussi pour moi parce que je me suis beaucoup inquiété. Lorsque tu m'as dit que tu étais enceinte j'ai été choqué je te l'avoue par l'innatendu de cet aveu, la rapidité avec laquelle tout ceci est arrivé, nous avons attendu si longtemps et d'un seul coup tu es enceinte. J'ai paniqué, Lincoln m'a parlé, il essayé de ma rassurer puis nous avons été surpris par Mahone et nous avons du fuir. A ce moment je n'ai pas eu trop le temps de réfléchir, tout se bousculait un peu dans ma tête, ton état, s'en sortir, se mettre à l'abri, j'étais dépassé.
Tout à l'heure quand nous sommes allés faire l'échographie, j'ai vraiment pris le temps de te regarder Sara, de voir tes réactions devant ces images...merveilleuses. J'ai été scotché de voir cette minuscule chose de moi qui prends vie en toi Sara. Notre amour s'accroche coute que coute. La vie prends le dessus sur tout le reste, malgré tout le reste, qu'est-ce qui compte plus que çà Sara, a quoi sert de lutter sans notre amour ?

Sara ne bougeait pas, ses yeux étaient encore pleins de larmes mais Michael ne savait pas si elles étaient les résidus de sa colère ou la manifestation de ses paroles.
- Ce petit coeur dans ton ventre à toi est en train de prendre une place dans mon coeur à moi. Je serais fier Sara d'être papa, d'être le papa de ce petit bout de chou parce que je le serai avec toi si tu le veux bien. Je t'aime Sara, çà ne changera jamais, peu importe l'ordre dans lequel les choses arrivent, c'est notre destin, un signe de dieu. Je veux l'accepter je veux cet enfant Sara, je veux notre enfant.

Les lèvres de Sara se serraient dans un rictus nerveux. Elle était incapable de parler tellement sa gorge était serrée. Elle avait attendu toute la journée que Michael parle, s'exprime, dise enfin quelque chose. Elle réalisait maintenant qu'elle avait toujours su, dans chacun de ses regard ce qu'il pensait au fond de lui même, mais que c'était bon de l'entendre dans sa bouche !
Elle s'approcha de lui sans lacher sa main, se leva et posa délicatement la tete de Michael contre son ventre.

- je suis sure que tu sera un papa merveilleux Michael Scofield !

Il releva sa tete vers elle, le menton collé à son ventre, il lui adressa un immense sourire avant d'embrasser tendrement son nombril.

- je t'aime si fort Sara Tancredi !

A ce contact elle sentit des crépitements au fond de son ventre, un désir naitre en elle, encore et toujours, l'appel du corps de Michael.
Il se releva et s'empara tendrement de ses lèvres tout en caressant ses épaules dénudées. Ils se regardèrent longuement, se déhabillèrent doucement, Michael photographiant dans son esprit chaque centimètre de ce corps qui allait changer, donner vie. Il embrassa ses seins, son cou, son ventre, ses reins, ses fesses, l'intérieur de ses genoux avec une extrême douceur, comme si Sara avait été porcelaine. Elle frissonnait de plaisir de le sentir si prévenant, si appliqué à lui donner du bohneur, du plaisir. Son corps tout entier le reclamait et une fois de plus s'abandonnait à ses caresses. Elle se laissa totalement faire, sans rien exiger, laissant les commandes du désir à Michael, se soumettant à chacune de ses propositions, réagissant à chaque contact de leurs deux peaux. Il la déposa au mileu du lit, confortablement installée et sema des millers de baisers dans son cou. Sara était impatiente, tout son être vibrait, se soulevait de désir et Michael faisait durer le supplice. Il n'osait pas. Il avait peur de lui faire mal, peur de s'insinuer dans son intimité ou il ne serait plus tout seul. Ses mains se perdait sur le ventre de Sara, si délicates. Il attendait un signe, une autorisation.
sara ne tarda pas à la lui donner.

- tu n'as rien à craindre Michael, il est bien accroché tu sais. Son père est un battant qui ne renoncera jamais alors je ne me fais pas de soucis.

Michael sourit aux paroles de Sara, il s'empara à nouveau de ses lèvres pour un baiser plus passioné et s'insinua en elle. Un frisson de plaisir les parcourut tout les deux.

- oh Michaaeellll !

Sara se sentait perdre pieds, balayé par des frissons de plaisir dans tous son être. Michael avait toujours été parfait mais tout était de mieux en mieux, leurs deux corps apprenaient à se connaitre et à s'accorder.
La douceur de leur étreinte n'égalait pas l'intensité de leurs sentiments ni du plaisir qui les térassa quelques minutes plus tard. Sans se soucier de ne pas être seuls dans cet appartement, ils ne purent réprimer les gémissements de plaisir qui naissaient dans leur gorge.
Ils restèrent enlacés, l'un en face de l'autre dans le grand lit sans pouvoir décrocher leur regards respectifs adoucis par le clair de lune. Ils sombrèrent ensuite dans un profond sommeil peuplés de rêves et de cris d'enfants...



Une petite douche froide de bon matin ,??

2 douches glacées même

Moi perso je vais carrément prendre un bain glacée ce matin!!!!
Emouvant et magnifuqe cette suite,sa valait le coup d'attendre!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

faut vite que je cours a la douche la !!!!!! encore une suite de plus qui est magnifique et torride



stp met vite l'autre suite !!!!

sarascofield a écrit: faut vite que je cours a la douche la !!!!!! encore une suite de plus qui est magnifique et torride



stp met vite l'autre suite !!!!

tu m'enlèves les mots de la bouche
vite une suite

Et bien la suite pour les inconditionnelles !

SUITE :

Dans le salon Kellerman et Lincoln firent tant bien que mal cohabitation sur le vieux sofa dépliant du salon. Ils avaient eu le temps de réfléchir à leur situation et avait revisionné la cassette de nombreuses fois avant que la fatigue ne les térasse. Lincoln était pour une fois d'accord avec Kellerman, ils devaient rester dans les parages, ne pas se faire remarquer, dans quelques jours Caroline Reynolds serait à Chicago, dans quelques jours, après que Kellerman ai passé deux ou trois coups de fil, ils en sauraient plus, ils pourraient enfin avancer, cette vidéo n'était pas suffisante, malheureusement...

Dans la chambre, Sara allongée avait les yeux grands ouverts, l'écran du radio réveil affichait 5h05 mais ses pupilles restaient désespérément immobiles, incapables de se fermer. Elle avait dormi comme un bébé depuis la veille mais maintenant, ses pensées l'empêchait de retomber dans le sommeil. Lovée dans les bras de Michael, elle pouvait sentir son souffle chaud et régulier sur ses cheveux et la chaleur de ses bras était bien confortable. Elle essaya de se dégager légèrement de son étreinte en veillant minutieusement à ne pas le réveiller, elle voulait pouvoir le regarder dormir paisiblement, enfin, après les dernières 24h de folies qu'elle lui avait fait passer. Elle se sentait si bien à cet instant. Elle se caressa le ventre et rencontra la main de Michael posée sur sa hanche. Elle enlaça ses doigts et les porta à sa bouche avant de ramener sa main délicatement se poser sur son ventre. Doucement, elle effectuait avec les doigts de Michael de petits mouvements circulaires sur ce ventre dans lequel grandissait leur amour...Elle ne pouvait arracher de son visage ce sourire satisfait qu'elle n'aurait pas immaginé possible il y a 24h.
Une heure plus tard, elle le comtemplait toujours mais il commença à bouger, puis ouvrit les yeux totalement. Il l'aperçut le fixant et lui adressa un large sourire pour bonjour. Sara se redressa et s'appuya au dossier du lit. Michael se mit à lui caresser la cuisse doucement.

- on ne dit pas bonjour Miss Tancredi ?
- bonjour Michael, lui dit-elle d'une voix très sensuelle.
- intéréssant ?! Comment vous portez vous ce matin ?
- je te dirais çà quand j'aurais mis un pieds par terre.
- avant tu peux peut-être poser tes lèvres sur les miennes ?

Le sourire de Sara emplissait la pièce de soleil, elle était si belle ce matin au réveil, ses cheveux plus courts en bataille, ses seins pointant sous ce tee-shirt bien trop moulant, ses jambes frêles et amaigries, tout son être aimait la vision de cette femme en face de lui qui le lui rendait bien.

- Sara tu es...
- tu n'es pas mal non plus Scofield.
- ne m'appelles pas comme çà !
- pourquoi ?
- çà me rappelle la prison et notre première brouille.
- je n'ai pas que des mauvais souvenirs en prison moi...
- et quel est ton meilleur souvenir ?
- je me souviens une fois, je devais soigner un détenu qui s'était blessé et il m'a entraîné malgré moi dans un baiser mémorable que je n'ai jamais oublié depuis.
- si je le tenais celui là ! Lui dit il en l'attrapant pour la chatouiller.
- Michael arrêtes ! arrêtes !
- à une condition
- laquelle ?
- je te laisse deviner...

Sara s'approcha doucement de lui, grimpa à califourchon sur le ventre de Michael et avec une grande sensualité remonta ses mains sur le torse tatoué en explorant les contours des tuyauteries de Fox River. Elle laissa ensuite glisser son corps sur celui de Michael jusqu'a atteindre ses lèvres qu'elle se contenta d'éffleurer comme pour le provoquer.

- tu es inhumaine, lui dit-il.
- je trouve çà plutot amusant
- tu veux jouer ?

Il l'agrippa en un geste pour se retrouver sur elle, sa main gauche délicatement posée sur le visage de Sara. Il observa un moment d'arrêt durant lequel leurs regards se perdirent à nouveau l'un dans l'autre. Ils n'avaient pas envie de parler, leurs yeux communiquaient sans avoir besoin du reste. Il se dégagea puis posa sa tête sur la poitrine de Sara et se mit à observer son ventre tout en rêvant éveillé et à voix haute.

- dans quelques mois tu aura une bosse à cet endroit, tu seras énorme et tu me demanderas de ne pas te regarder comme çà quand je te dirai que tu es si jolie...

- je n'espère que çà Michael...

Il avait senti au ton de sa voix qu'elle doutait beaucoup sur leur avenir. Il tenta de la rassurer.

- ne t'inquiètes pas tant, tu ne sais pas tricoter mais aujourd'hui il y a des magasins de layettes, ce n'est pas grave !

- oh, Michael !
Et elle lui balança son coussin dans la figure. Il riposta,la fit basculer sur lui et l'enlaca.
- a ton avis, ce sera une fille ou un garçon ?
- je ne sais pas je n'ai pas de préférence.
- promets-moi une chose Sara, si c'est un fille, je veux qu'elle ai tes longs cheveus roux.
- et si c'est un garçon ?
- je pense que ce sera une fille.
- alors si c'est un garçon je voudrais qu'il ai tes yeux Michael et ta grâce.
- c'est un joli compliment que tu me fais là !
- je le pense, je craque littéralement pour toi

Michael se recula aussi amusé qu'étonné.

- oui Scofield, quand je t'ai vu rentrer dans mon infirmerie la première fois, j'ai cru que mon coeur allait exploser tellement je te trouvais beau !

- je te retournes le compliment Miss Tancredi. Dires que sans ce braquage je ne t'aurais jamais rencontrée...



Je sais je sais c'est tellement

c'est tellement magnifique
j'adore
vivement une suite

C'est tellement beau et tu est tellement sadique de nous laisser comme sa!!
JE VEUX ABSOLUMENT UNE SUITEEEEEEEEEEEEEEE

Allez...comme j'ai pas été très gentille ce week end en vous laissant sans suite, je vais tenter de me rattrapper mais pas sus que vousq dormiez mieux après !

SUITE :

Sara et Michael s'étaient levés, une heure au moins après leur tendre discussion. Dans le salon / cuisine, Kellerman et Lincoln étaient déjà debouts, la mine fatiguée d'avoir dormi recroquevillés sur un canapé-lit de mauvaise qualité. Ils avaient tous les deux l'air bougon et rien ne s'arrangea à la vue des deux tourtereaux qui avaient passés une soirée torride et une nuit réparatrice.

M : il y a du café ?
L : non mais il reste quelques nems si tu veux ?
M : bonne idée !

Ils n'eurent pas le temps de rire de leur blague que Sara se précipita dans les toilettes, le visage sur la bouche pour évacuer la nausée qui l'avait envahi à la vue du repas proposé.

M : très malin Linc !
Linc tout penaud : désolé !

Ils ne purent s'empecher de rire tout de même, connaissant la situation de Sara.
Kellerman lui trouvait çà très bizarre, Sara était malade depuis quelques jours, elle avait failli perdre la vue, elle continuait de vomir à tout bout de champ et eux ils rigolaient, comme s'ils avaient trouvé çà normal.
Sara revint la main sur la bouche et se dirigea directement vers la salle de bain dans laquelle elle se renferma. Elle avait besoin d'une douche, d'un peu de détente, elle se sentait beaucoup trop nauséeuse.

Pendant ce temps? Mich Linc et K essayèrent de trouver une solution à leur gros problème. Le plus simple, retourner chez Elena quelques jours en attendant l'arrivée de Caroline Reynolds à Chicago. Ils y seraient en sécurité, à l'abri des regards de la ville. Pendant quelques jours, tous resteraient là bas et ensuite K et Linc feraient le necessaire pour la retrouver et tenter d'obtenir d'autres preuves grâce au plan qu'ils étaient en train de mettre au point. Sara sortie de la douche, K s'en empara et tandis qu'elle s'habillait ils en profitèrent pour parler de sa situation.

L : comment elle và ?

M : bien, j'ai suivi tes conseils frangins et je crois que çà a bien porté ses fruits, merci !

L : et qu'est-ce que vous comptez faire ?

M : être heureux, ensemble.

L : tu es sur que c'est la meilleure chose à faire ? On ne sait même pas si demain on sera toujours en vie ? Réfléchissez bien Michael ! Si nous sommes poursuivis, si quelqun essaye de faire du mal à Sara, on ne sait pas combien de temps nous allons fuir encore, et dans quelques temps il n'y aura plus moyen de le cacher si tu vois ce que je veux dire !

M : tu ne crois pas que nous avons réfléchis à tout çà ?! Je l'aime Linc, elle m'aime ! Tu aurais du voir son visage pendant l'échographie ! Nous avons beaucoup parlé hier soir de tout çà et crois moi, nous sommes tous les deux d'accord sur le sujet.

L : bien, mais vous n'avez pas fait qu'en parler ! Les murs sont fins dans l'appartement tu sais !

Michael poussa son frère de rage, gêné que leurs ébats aient profité à tout le monde.

S : je peux savoir pourquoi vous vous chamaillez ?

M : pour rien voyons, Linc faisait encore une blague idiote, pour changer !

L : Sara, désolé pour tout à l'heure, ce n'était pas intentionnel et ...

S : c'est rien Lincoln, il faudra bien que je m'habitue...

L : j'espère pour toi que tu n'auras pas à t'habituer trop longtemps !

S : mais je parlais de toi Linc ! Il faudra que je m'habitue à tes blagues !

Ils partirent tous les trois dans un fou rire.

M : je crois que là elle t'a bien eue !

L : Sara, je voulais juste tedire, j'en profite qu'on soit que tous les trois...je suis content qu'LJ ait enfin un petit cousin !

S : un cousin ? Mic ne t' a pas dit ?

L : quoi ?

S : c'est une fille !

L : quoi vous le savez déjà ?

Sara explosa de rire.

S : non, mais Michael en est persuadé !

Ils se mirent à rire de plus belle.

Kellerman les tira de leurs rêveries et tous à sa vue se remirent à parler de choses beaucoup plus terre à terre.
Mich et Linc se douchèrent rapidement et ils reprirent tous la route du petit bled paumé qui les accueillerait finalement quelques jours de plus.

M : tu te sens bien ?

S : oui parfaitement. Il y a du mieux tu vois, mais il faudrait vraiment que j'avale quelques chose sinon !

M : on est bientot arrivés, ne t'inquiètes pas je te préparerai le meilleur petit dèj de ta vie !

Kellerman entra bientot sur le petit chemin privé qui conduisait à la grande maison de famille qui les avait gentiments recueillis quelques jours plus tôt.

Arrivés près de l'entré, ils firent le tour pour cacher la voiture du devant de la maison. Kellerman allait coupé le moteur lorsque la vue de la porte d'entré le glaça. Elle était entrouverte et des traces de sang et de lutte ornait la poignée et les colonnes du porche...



je vous avait prévenues....

tout d'abord mick et sara c'était tellement guimauve ! j'adore sa ! trop mignon tout les 2 so sweet

la fin .... que c'est t'il passé ?????

stp tu peux mettre une autre suite ce soir stp !!!!

oh effectivement il nous faut une autre suite
une explication s'impose

Je me doutais bine que ces petits instants de bonheur serait bientot cachés!!!!!!
J'adore le trio Linc/Mick et Sara!!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

soso_burrows je t'en prie met la suite stp !!!!

Voilà voilà voilà...sorry pour l'attente, surtout vu là où j'avais coupé !

SUITE :

Michael et Sara étaient restés scotchés dans la voiture tandis que Linoln et Kellerman avait sauté dès cette première vision d'horreur en pensant tou de suite à Elena.
Kellerman s'approcha doucement de la porte d'entrée, son arme à la main. Il entrebailla légèrement la porte pour constater s'ils restait des intrus dans le salon, la cuisine et enfin monta dans la chambre. Lincoln fouilla plus distinctement les pièces du bas à son tour, mais rien, ils ne trouvèrent personne. Des traces de sang étaient visibles dans l'escalier et Kellerman paniquait de plus en plus. A qui pouvait bien être ce sang ? Qui s'était introduit chez lui et où était sa soeur ? Il savait bien qu'aucune mission ne l'attendait en ce moment et qu'elle avait prévu de rester dans les parages pour se reposer et profiter du printemps à la campagne.
Il croisa le regard de Linc tout aussi inquiet pour les memes raisons. Ils savaient pertinemment tous les deux que si Elena n'était pas là et que cette maison était sans dessus dessous, s'était probablement qu'Ils les avaient retrouvés. Trop tard pour les avoir eux, ils s'étaient probablement occupé à essayer de tirer les vers du nez à Elena qui avait du essayer de se défendre, peut-être un peu trop, ce qui pouvait expliquer ce sang.
Non, non ! L'un comme l'autre ne préférait pas y penser. Kellerman tuerait de ses propres mains ces salopards qui avaient pu oser s'en prendre à sa soeur.
Lincoln n'en pensait pas moins, il ne supporterait pas qu'une fois de plus une personne de son entourage soit tuée par sa faute.
Tétanisé tous les deux, K finit par briser le silence pesant qui régnait dans le salon.

K : je crois qu'ils n'ont pas mis longtemps à me tracer, ils ont du faire des recherches quand ils ont su que nous étions sur Chicago, ils ont du apprendre que je possédais cette maison de mon grand-père, ils sont venus trop tard pour nous mais....mais s'ils ont touché à Elena, je les tuerais !!! De mes propres mains, je les tuerais !!!!

L : calmez-vous Paul ! Essayons de rester calmes, mieux vaut ne pas trainer ici, il faut que l'on retrouve votre soeur !

K : vous avez raison Lincoln, allons-y et....merci.

L : de rien, je ne le fais pas pour vous, je le fais pour elle, votre soeur et quelqun de formidable.

Ils s'éloignèrent en laissant tout en plan, tel qu'ils avait trouvé. Michael et Sara étaient toujours à l'extérieur, inquiets de ce qui se tramait dans la maison qui avait quelques jours été le théatre de leurs tendres retrouvailles.
K et Linc arrivèrent à leur hauteur.

L : on s'arrache !

Ils s'installèrent de nouveau en voiture, et Michael attendait plus d'explications, Linc ne parda pas à les lui donner, tandis qu'a ses nouvelles, le sang de Sara se glaçait à nouveau.

S : mon dieu, j'espère qu'ils ne lui ont rien fait ! Malheur ! Je sais de quoi ils sont capables !

Sara fut parcourue de frissons au souvenir douloureux de sa confrontation avec Kellerman. Celui-ci ne répondit rien, trop inquiet d'immaginer un de ces tarés qu'il avait été, porter la main sur sa soeur. Il savait très bien qu'il y avait encore bien pire que lui, de vrais psychopathes !

M : qu'est-ce qu'on fait maintenant ?

L : on retrouve Elena, c'est le plus important pour le moment !

M : mais Linc, tu oublies Caroline Reynolds, c'est exactement ce qu'ils veulent, nous faire peur, nous ralentir, nous piéger !

L : je sais Mich, mais je ne prendrais pas le risque de la laisser dans les mains de ces sales types, tu sais très bien de quoi ils sont capables, lui dit-il en le regardant dans le rétroviseur et en jetant un oeil à Sara.

M : et si c'est un piège, on ne sait même pas ou ils peuvent être ?!

L : elle a fait trop de choses pour nous, j'ai laissé Véronica crever toute seule par amour pour moi, je ne veux pas qu'une autre personne paye encore pour moi, je ne le supporterai pas !

M : ok, mais il va falloir être prudent. Je m'inquiète aussi pour Sara tu sais...

L : je te promets, je ferais en sorte que tout se passe bien, ils veulent nous attirer dans un piège, c'est eux qui se feront prendre !

M : j'espère Linc, j'espère...

Kellerman n'avait pas bougé, rien ne pouvait le perturber, il faisait des recherches en silence sur qui avait bien pu se lancer à sa poursuite. Son expérience dan sle travail d'agent secret "traqueur" lui avait appris une chose, pour trouver sa victime, rien ne vaut mieux que de se mettre dans la peau de cette victime, pour mieux cerner son comportement et ses actions. C'est ce qu'il essayait de faire en ce moment même, ce moment terrible qui pouvait à chaque instant être le dernier pour sa soeur. Il se répéta intérieurement plusieurs fois "je les auraient, je les auraient" avant de finalement le dire à voix haute.
Il cachait tellement de douleur et de désespoir que Sara eut presque pitié de lui, fut presque attendrie.

K : je vais me donner à eux, leur faire croire que je veux vous vendre pour sauver ma soeur.

L : quoi ?

K : oui, ce sera tout à fait plausible avec un peu de comédie ! Je leur dirai que je suis avec vous, que je peux leur donner votre position, vos intentions, je récupère ma soeur et on se remets en chemin !

M : non mais vous êtes cinglé Paul ! Vous croyez franchement qu'on va se risquer à vous laisser vous échapper et nous donner pour sauver votre soeur. Vous croyez qu'ils ne vont pas trouver çà étrange ? C'est stupide comme plan !

L : peut-être pas Michael, ils savent à quel point les liens du sang sont forts. Paul est un dur, mais à leur place, un homme qui n'a pas d'attaches, à qui t'en prendrais-tu si tu voulais vraiment lui faire du mal, le faire souffrir et le faire chanter ? Sa soeur, son unique lien familial existant ! Ils savent ce qu'ils font Michael et la seule manière de les coincer c'est qu'il leur fasse croire qu'il marche à 100 %. Pas par acquis de conscience, mais par obligation, il ne veux pas perdre sa soeur !

Michael réfléchit un instant, Linc avait presque réussi à le convaincre, et de toute façon à deux voix contre lui, il n'avait pas beaucoup le choix ! Linc n'avait peut être pas que de la reconnaissance vis à vis de cette femme et cette nuit passée avec elle n'avait peut être pas été qu'un simple moment de tendresse, finalement...