Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...

Mais y'a les jumeaux dans cette maisons!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Pauvres Aldo et Véronica, ce n'est pas possible que tu leur fasse ca.

S'il leur arrive quelque chose Sara ne s'en remettra jamais

Mets vite une suite!!!!

angel_keikoo a écrit:Mais y'a les jumeaux dans cette maisons!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Pauvres Aldo et Véronica, ce n'est pas possible que tu leur fasse ca.

S'il leur arrive quelque chose Sara ne s'en remettra jamais

Mets vite une suite!!!!

et michael non plus
vivement la suite même si elle me fait un peu peur

Allez, je vous mets la suite maintenant et certainement une autre ce soir !



Les hommes s 'approchaient du bâtiment, rapidement, dangereusement.
Arrivés à coté, un groupe de trois hommes armés faisait une pause cigarette, ils les abattirent d’une seule balle chacun avec leur silencieux.
Continuant de progresser, ils entrèrent dans la maison et continuèrent à abattre quelques hommes devenus trop confiant ces derniers temps de tranquillité et de fête. Il en payait le prix de leur vie aujourd’hui.
Ils arrivèrent au niveau de la cuisine ou Jane préparait le repas avec Maria. Jane n’eu pas le temps de se retourner qu’une balle lui traversa la tête ne lui laissant même pas le temps d’un dernier souffle. L’homme blond qui les avait rejoint, leva la main vers eux pour les empêcher de tirer sur l’autre femme.

- nous aurons besoin d’elle...ne la tuez pas...

Scofield et Burrows avaient échappés à tous leurs poursuivants pendant de nombreux mois et aujourd’hui trois hommes arrivaient à s’introduire ici, tuer tout le monde et toucher au but.

Le blond grimpa les marches des escaliers. L’étage était vide et silencieux...du moins l’espace d’un instant car des pleurs stridents ne tardèrent pas à se faire entendre en provenance d’une chambre au fond du couloir. Il avança lentement, le même sourire figé sur les lèvres.
Dans la chambre ; tout semblait avoir été rangé à la hâte comme en prévision d’un départ imminent.

- regardez, je crois que nous avons bien fait d’agir...çà sent le départ...

Les deux sbires se retournèrent vers le blond, intrigués par la paire de cris qui s’échappaient d’a coté de la pièce. Ils maintenaient Maria en joue à leur portée.

- ne vous inquiétez pas...

Il s’avança jusqu’à la petite chambre étroite ou à travers les barreaux d’un petit lit en bois, deux bébés se débattaient et criaient certainement affamés.
Les deux hommes à sa suite semblaient ne pas comprendre où il voulait en venir.

- c’est quoi ce bordel ????

- rien qui vous regarde...mais on dirait que mes sources n’avaient pas envisagé toutes les hypothèses...décidément Scofield ne fait rien comme tout le monde...

- on va quand même pas s’en prendre aux bébés ?

- non, mais on les embarque...et c’est pour çà qu’on a encore besoin d’elle...choppez les deux couffins, mettez-les dedans avec les quelques affaires que « maman » avait préparés et on dégage !

M : pourquoi ??? Ne leur faites pas de mal, s’il vous plaît...

- Taisez-vous ! Avancez !

Maria s’exécuta, avec les affaires des jumeaux dans les mains alors que les deux sbires portaient les couffins et que l’homme derrière elle semblait tout maîtriser.

Ils rejoignirent à pied le véhicule stationné à l’orée du bois et partirent immédiatement de là ou ils étaient venus.
Pendant s’un des deux sbires conduisait, l’homme blond attrapa son téléphone et composa un numéro.

- allo, c’est moi...c’est fait, j’ai récupéré la cible sans incident mais il y a un petit changement au programme...

- je peux savoir lequel ?

- ils sont deux...Scofield et Tancredi ont eu des jumeaux visiblement...

- c’est parfait alors...cela fera une double raison à ce qu’ils tombent dans le piège et se livrent...quand nous aurons Scofield, tout sera fini...


Pendant ce temps là à quelques kilomètres...

Michael et Sara avaient trouvés quasiment tout ce qu’il leur fallait. Un nécessaire de bricolage pour Michael en cas de panne sur le bateau, quelques produits dangereux et des médicaments et des affaires pour les jumeaux pour Sara.

L’horizon commençait à faiblir et ils se mirent en chemin pour regagner l’hacienda. La tension, qui était retombée à leur arrivée en ville semblait regagner du terrain alors qu’ils se rapprochaient du but.

S : pas de nouvelles de Lincoln ?

M : non, mais il n’y a rien d’inquiétant à cela...il m’avait dit ne pas m’appeler avant vingt et une heure donc rien d’alarmant...

S : tu crois que nous avons une chance Michael ?

M : je crois surtout que nous n’avons pas le choix Sara, il faut nous mettre à l’abri...ne t’inquiètes pas...je ne permettrais pas qu’on s’en prenne à vous...

Sara avait joint sa main à celle de Michael et la serrait fort...elle savait qu’il ferait tout ce qui était en son pouvoir pour les protéger mais savait aussi que les hommes qui s’en était pris à eux jusque là n’étaient pas des rigolos et qu’eux aussi avaient de la ressource. Si Michael avait toujours eu une longueur d’avance sur eux, combien de temps cela durerait-il ?

M : Sara ? Tu te sens bien ?

S : ...oui...oui...excuses-moi mais je me sens bizarre, j’ai un mauvais pressentiment...nous arrivons bientôt ?

M : voilà l’entrée de la propriété, nous y sommes çà va aller...

Michael gara la Jeep devant la maison et sortit en même temps qu’il attrapait les affaires posées à l’arrière. Son visage dévia soudain vers une masse à terre sur le coté de la maison. Ses yeux se froncèrent instantanément et il fit signe à Sara de ne faire aucun bruit et de ne pas bouger.
Il s’approcha et découvrit le corps des trois gardes abattu il y a à peine une heure. Il retourna à la voiture sous le regard inquiet de Sara. Inquiétude qui laissa vite place à la peur et à la panique.

S : Michael ! Michael ! Qu’est-ce qui se passe ? Michael !

M : trois gardes ont été abattus Sara...

Il se précipita à l’intérieur suivi de Sara et découvrit la scène macabre qui avait du se jouer il y a quelques temps. Des corps sans vie recouvraient plusieurs endroits de la maison et celui de Jane trônait dans la cuisine, le regard vide, une balle dans la tête. Comment cela pouvait-il être possible ?
Des cris à l’étage résonnèrent dans toute la maison et sortirent Michael de sa torpeur. Il grimpa les marches quatre à quatre et trouva Sara à genoux dans la chambre, le visage rouge de colère, les yeux injectés de sang, sans larmes mais le corps soulevé de tremblements.

S : NON ! NON ! NON ! Mes bébéééééééééééés, mes bébééééééééés, pas mes bébéééééés ! Pourquoi ! Pourquoi !

Sara hurlait, hurlait à n’en plus finir devant le triste constat du lit en bois vide et des couffins qui avaient disparus. Il tenta de la calmer en s’approchant mais ne pus que se résigner à subir les coups qu’elle lui donnait dans le ventre et qu’elle aurait pu donner dans le mur tant la rage qui l’habitait était intense et destructrice...
Une larme coula le long des joues de Michael, pourquoi pensait-il, pourquoi ?



Je suis dure, je sais...

tu n'es pas dure tu es horrible!!!

je ne suis pas contente là!! mais pas du tout!! ça va le contrarié jusqu'à ce soir cette histoire!!
comment je vais faire pour écrire mpoi maintenant

C'est vraimpent pas juste ce que tu leur fais à Sara et à Michael, leurs enfants tout de même y'a des limites

Pauvre Sara je la plains vraiment.

Et Jane, uen balle dans la tête, elle méritait pas ca la pauvre

Et au fait elle est passée ou Elena, on n'a plus eu de nouvelles d'elle, ne me dis pas qu'ils l'ont tuée.

mo dieu mais c'est horrible ... pas les bébés ... et jane moi non plus je suis pas contente du tout mais alors pas du tout

la suite stp !

ça s'annonce vraiment très mal tout ça
vite la suite

Allez, je vous mets la suite !



Sara ne réagissait plus, en état de choc, n’arrivant toujours pas à réaliser que ses bébés n’étaient plus là. On lui aurait arraché le cœur à mains nues qu’elle n’aurait pas eu plus mal. Tout tanguait autour d’elle et elle se tenait maintenant au mur du couloir, essayant de repousser la nausée qui montait en elle au fur et à mesure.

Michael ne savait quoi dire ni quoi faire pour la soulager alors que lui-même se sentait coupable de les avoir laissés ici. Il sentait le poids de cette culpabilité sur ses épaules et n’osait lever les yeux sur Sara qui semblait peu à peu perdre pieds. Un affreux vacarme le tira de sa torpeur. Un véhicule venait de se garer bruyamment devant la maison. Michael s’approcha de la fenêtre et aperçut Lj et Elena qui revenaient.
Il se dirigea vers Sara et l’aida à se reprendre pour les rejoindre en bas.

M : c’est Lj et Elena Sara, il faut qu’on y aille. On ne peut pas rester ici.

Sara réagit à l’entente de la voix de Michael et se jeta dans ses bras, plus faible et fragile que jamais. Elle sanglotait et sa voix tremblait sous l’émotion.

S : j’ai peur Michael…que vont-ils faire ? Que veulent-ils ?

M : je sais exactement ce qu’ils veulent, ils me veulent moi.

Alors qu’il l’entraîne dans les escaliers pour rejoindre Lj et Elena, elle se stoppe à l’entente des mots qu’il prononce

S : qu’est-ce que tu veux dire ?

M : ils ne leur feront rien Sara, c’est juste une monnaie d’échange pour eux…ils me veulent et ils ont touché la corde sensible pour m’avoir.

S : j’espère que tu ne penses pas à ce je crois que tu penses…

M : nous n’avons pas le choix Sara…je ne permettrai pas qu’on leur fasse du mal.

S : Michael !

Michael se retourne vers elle et enserre sa taille pour qu’elle repose sa tête sur son épaule et s’apaise. Ils n’ont pas le choix, elle le sait, mais l’idée de devoir choisir entre ses enfants ou l’homme de sa vie lui est insupportable.

M : ils ne tarderont pas à nous faire savoir leurs intentions…

S : je ne veux pas te perdre Michael…

Il chasse du pouce les traces humides sur les joues de cette femme qu’il aime tant. Elle prolonge leur contact en suivant leurs mouvements alors que ses larmes qu’elle ne peut maîtriser rivalisent d’ardeur.
Arrivés en bas des escaliers, ils tombent nez à nez avec Lj en état de choc.

Lj : oncle Mic…qu’est-ce qui s’est passé ?

M : on ne sait pas Lj, nous sommes arrivés il y a vingt minutes et tout était déjà comme çà. Mes craintes se confirment, ils sont toujours à ma recherche et feront tout pour m’avoir.

Lj : ou sont les autres ?

M : ils ont tué Jane et pris les bébés.

Lj : quoi…c’est pas possible les enf…

M : on peut pas rester là…il faut rejoindre Linc

Il attrape la main de Sara et se dirigent tous dans la voiture pour prendre la route le plus vite possible. Michael se place au volant, Lj à ses cotés et Sara et Elena à l’arrière. Le silence et l’inquiétude règnent dans la voiture durant tout le trajet et personne ne parle. Elena remarque la peur dans les yeux de Sara et serre sa main dans la sienne pour lui montrer qu’elle est là.
Sans bouger sa tête, dirigée vers l’extérieur, elle la remercie en serrant ses doigts dans les siens.

Un peu plus tard, alors qu’ils longent la côte depuis bientôt dix minutes, le portable de Michael se met à vibrer. Il décroche.

L : Michael ?

M : Linc .

L : c’est bon frangin, j’ai récupéré le bateau…le temps de tout mettre en ordre et tout sera prêt pour votre arrivé demain.

M : il y a du changement Linc…

Il sent au ton de la voix de son frère que quelque chose ne va pas et son visage devient livide en même temps que ses yeux s’assombrissent.

L : Michael ? Qu’est-ce qu’il y a ?

M : ne t’inquiètes pas, je suis avec Lj et Elena…Cette après midi, nous sommes partis faire quelques courses avec Sara…et quand nous sommes revenus il y avait eu un carnage. Ils me cherchent Lincoln…ils ont abattu Jane de sang froid…et ils ont pris les bébés.

L : non !

M : si…ils veulent me faire chanter…j’attends qu’ils m’appellent…

L : et Sara… ?

M : elle encaisse…je te laisse imaginer…

L : les enflures…il faut les coincer !

M : je ne peux pas prendre ce risque avec les bébés Linc.

L : mais qu’est-ce que tu comptes faire alors ?

M : ce qu’ils me demanderont…

L : tu ne peux pas faire çà Mick !

M : je n’ai pas vraiment le choix…

Alors qu’il continue sa route, il aperçoit bientôt le véhicule de Linc sur le bas coté, proche de la plage.

M : nous sommes près de ta voiture Linc…nous arrivons.

Il raccroche et coupe le contact. Lj et Elena sortent de la voiture, laissant Mick et Sara un peu seuls pour se parler. Le silence qui s’est installé entre eux est devenu pesant et chacun ne sait pas comment le rompre alors que l’angoisse serre leur poitrine.



Vous m'en voulez encore hein ???

Stp mets nous une suite stp stp stp stp!!!!!!!!

C'est vraiment cruel de t'arrêter là!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Michael ne peut pas se sacrifier hein???!

oui moi je t'enveux encore mais pas assez pour ne pas lire ta suite
vite la suite

c'est net c'est trop cruel ! les bébés ou mick le choix est impossible ! faut que tu arete ton sadisme la !

met vite la suite stp

Comment ose tu posé la question?? bien sur qu'on t'en veux, en tout cas moi je t'en veux je sais bien que t'es pas une radineuz de suite mais t'es devenu l'impératrice des sadiques, t'as pas fini de nous faire souffrire et surtout d'en faire bavé à Michael et Sara, d'abord ils on été séparé pendant des mois et des mois il a du se contenté de simple photos et d'un appel,ensuite Michael a faillit perdre la vie alors que Sara était entrain d'accouché SANS LUI!!!!!!! ensuite je pensait qu'ils seraient heureux et qu'est ce que je constate BA NON les salopards de la compagnie veulent leur peaux ils ont abbatuts tout le monde et surtout JANE pourquoi??? POURQUOIIIIIIIII?? t'avais pas le droit de la faire tué, c'est horrible et puis pour couronné le tout les bébés ont été kidnapé, je suis sous le choc, je compatit avec Sara faut pas s'étonné si elle devient folle, soit elle perd son homme, soit elle perd ses bébés, alors là je confirme tu détient l'Oscar de l'horribilité et du sadisme , mais j'ai encore la force et le courage de te demandé une suite en espérant qu'il n'arrive rien aux jumeaux ,mais quand même!! sauf si il arrive un truc grave à Michael, Sara ou aux jumeaux!!

Voilà al dernière suite avant mes avcances

PROMESSE

Elena et Lj attendent au loin, pieds nus sur la plage que Michael et Sara les rejoignent.
Restés dans la voiture, Sara regarde au dehors, refusant de croiser le regard désemparé de Michael qui sent la lutte intérieure à laquelle elle se livre. Elle ne peut se résoudre à prendre une quelconque décision mais sait que Michael l’a déjà prise. Il fera tout ce qu’ils lui demanderont, quoi qu’il en coûte, pourvu que ses enfants restent en sécurité.
Il prends la main de Sara et entrelace ses doigts aux siens afin d’attirer son regard et son attention.

M : Sara…regarde-moi, s’il te plaît…j’ai besoin de toi…de ton soutien…

Sara finit par se retourner vers lui et lui faire face, les yeux remplit de larmes qui ne tardent pas à perler sur ses joues rougies par la pression qu’elle s’impose.

S : je ne peux pas Michael…tu ne peux pas me demander de choisir…c’est au dessus de mes forces…

M : je dois le faire Sara…comment veux-tu régler cette histoire autrement ??? Je ne me pardonnerai jamais s’il leur arrivai quelque chose…nous n’avons pas d’autre choix.

S : je suis consciente de tout çà Michael…tu es revenu à moi il y a quelques semaines à peine et savoir que tu vas à nouveau me quitter peu importe la raison…cela me déchire le cœur.

M : je suis désolé Sara….

S : non Michael…c’est trop tard…tout est allé trop vite…je ne sais plus quoi penser ni quoi te dire…je veux retrouver nos enfants…je veux que tu partent avec nous…je veux laisser tout çà dernière nous, ne plus lutter et fuir une dernière fois loin, très loin ou personne ne pourra plus nous retrouver…

M : tu sais que c’est impossible…ils sont bien trop puissants…je vais me livrer Sara, j’ai besoin de savoir que tu ne m’attendra pas, que tu iras de l’avant, que tu referas ta vie.

S : Michael !!!! Mais qu’est-ce que tu me chantes là !??? Je ne veux pas penser à tout çà…je sais que tu reviendras…même si j’attends des années pour cela il est hors de questions que je pense à ce genre de choses…

M : Sara…je ne sais pas ce qu’ils me réservent…tu dois me promettre que si çà tourne mal tu referas ta vie. Je ne veux pas que nos enfants grandissent sans père, je sais ce que c’est…promets moi Sara…

Elle ne peut s’empêcher de détourner le regard et de se prendre la tête entre les mains. Toutes ces émotions refoulées refont surface et lui glace le cœur. Encore une fois elle va devoir abandonner l’homme de sa vie au profit de ses enfants mais elle, elle, que va-t-elle devenir ? Comment va-t-elle réussir à faire face à cette famille qu’ils ont construite et pour laquelle aujourd’hui on lui demande ce sacrifice ? L’homme qu’elle aime ou ses enfants… ?

S : c’est trop dur Michael…je n’aurais pas la force de continuer sans toi…

Il sort de la voiture et lui ouvre la portière. Il sait qu’il en demande beaucoup mais il veut partir l’esprit tranquille et laisser derrière lui une Sara consciente qu’il ne reviendra peut-être jamais.
Il lui tend la main et la rapproche de lui.

M : Sara…je ne sais pas ce qui peux arriver…je ne veux plus te mentir même si c’est dur de ne pas savoir…tu dois me promettre de regarder en avant et de ne rien regretter.

Il lui prends le visage entre ses mains et se rapproche pour capter son regard.

M : Sara…çà me brise le cœur de t’abandonner mais je ne regrette rien de cette aventure…grâce à mon incarcération je t’ai rencontrée, j’ai miraculeusement pu conquérir ton cœur malgré les mensonges que j’étais obligé d’inventer pour sauver Lincoln. Ton sourire et ton soutien m’ont aidé à tenir ces longues semaines à l’infirmerie…
Tu te souviens de notre premier baiser ? Ce jour terrible ou je savais que quitter cette prison serait un terrible soulagement mais aussi une grande peine de te quitter…je venais pour mes soins habituels mais chargé aussi d’une mission périlleuse…tenter de trouver le moyen de me procurer les clés de l’infirmerie, point de passage obligatoire à notre fuite.
Je me sentais mal et cela m’arrachait le cœur…je ne voulais pas me servir de toi mais le poids dans la balance était bien trop lourd. Alors j’avais pris ma décision de te prendre ces clés, j’étais déterminé mais c’était sans compter sur l’effet que tu me faisais. Lorsque je t’ai vu arriver avec ton petit sourire pincé pour ne pas laissé trop paraître tes véritables sentiments…tout ce que nous avions partagés me revenait en mémoire…notre rencontre, nos discussions, les allusions, les sous-entendus et les non dits…je ne pouvais me résoudre à te quitter comme çà.
Après être rentrés, tu es restée très professionnelle et t’es concentrée sur les soins que tu devais me procurer. Tu n’as jamais fait que çà dans ta vie depuis notre rencontre, me soigner et veiller sur moi…
Je cogitais à ce moment là, le cerveau en complète ébullition. Je n’arrivais plus à me concentrer sur le but de ma mission, trop envahi par le flot de mes sentiments.
Tu t’es retournée et approchée et j’ai laissé parler mon cœur en t’embrassant. Tes lèvres étaient si douces…d’abord hésitante tu as finalement répondu a mon baiser et j’en fut le premier surpris. Quand nos regards se sont à nouveaux croisés et que nos lèvres se sont séparées, j’avais l’impression de planer, je ne contrôlais plus rien, mon cœur martelait ma poitrine et tes yeux m’avouaient ce que tes paroles refusaient de dire…
Toutes les émotions qui emprisonnaient mon corps volèrent en éclat quand ta bouche libéra quelques mots pour me demander ce que j’attendais de toi…
Tes yeux ne me quittaient pas…ils transpiraient l’honnêteté et c’était au dessus de mes forces de te mentir. J’avais terriblement envie de toi à ce moment là mais le lieu m’empêchait de tenter quoi que ce soit. Cherchant mes mots et ravalant tant bien que mal mon trouble je te demandais de m’attendre…laissant mon cœur t’avouer enfin la profondeur de mes sentiments. J’ai bien vu à ta réaction que tu ne t’y attendais pas du tout et moi non plus d’ailleurs mais c’était plus fort que moi…J’essayais de te convaincre en tripotant nerveusement les mèches de tes cheveux qu’un jour ce ne serait plus comme çà…qu’on pourrait s’aimer librement et tu embrassais tendrement le bout de mes doigts pour reposer ma main à l’abri de ton corps.
Ta raison resta la plus forte ce jour là pour m’avouer que tant que je serais ici rien ne serait possible…même si tes yeux m’avouaient le contraire…tu t’éloignais et je restais là, sur la table d’examen, sonné par ma propre réaction et la vigueur de mes sentiments, de nos sentiments. Ce serait bien plus dur que je l’aurais imaginé…
Ce fut mon premier déchirement vis-à-vis de toi.

S : Michael...

M : non Sara...promets-moi d’aller de l’avant...

S : Michael...je ne regrette rien non plus...ni ce baiser ni tous ceux qui ont suivis, ni cette porte laissée ouverte, ni cette cavale, ton absence, les enfants, je ne regrette rien mais je ne veux pas vivre sans toi !

Le corps soulevés de sanglots, il se rapproche d’elle et dépose un baiser délicat sur ses lèvres, comme si elle avait été porcelaine. Il veut la sentir une dernière fois contre lui, sa chaleur et son odeur, tout ce qui la définit tant...la douceur de son regard et la tendresse de sa voix.
Alors qu’il caresse ses cheveux tendrement, choisissant de graver l’instant au plus profond de sa mémoire, Sara se dégage, se hisse sur la pointe des pieds et happe ses lèvres dans un baiser aussi passionné que désespéré.
Elle sait pertinemment qu’elle ne pourra jamais ni l’oublier ni le remplacer mais ses mots il a besoin de les entendre et c’est grâce à un sursaut de courage qu’elle finit par les prononcer alors qu’elle se détache de ce corps si envoûtant...

S : je te promets Michael...

M : n’oublie jamais que je t’aimerais toute ma vie et bien au delà...

Leurs regards scellés emplis de larmes, chaque seconde les rapprochent dangereusement de l’ultime adieu qui les déchire quand la sonnerie du cellulaire de Michael retentit.

M : allo ?

- Scoffield...quel plaisir de vous avoir au téléphone...

le visage de Michael se fronce et son regard devient perçant. Il n’en faut pas plus à Sara pour comprendre que ce coup de fil n’est pas anodin.

M : a qui ai-je l’honneur ?

- vous le savez bien Michael...peu importe mon nom, ce qui importe c’est pour qui je travaille..

OMG mais quelle superbe suite tu nous a fait lontemps j'en suis encore toute retournée !



trop émouvante et quand michael revient dans le passé l'infirmerie c'est whaou !

vivement la suite !

sarascofield a écrit:OMG mais quelle superbe suite tu nous a fait lontemps j'en suis encore toute retournée !



trop émouvante et quand michael revient dans le passé l'infirmerie c'est whaou !

vivement la suite !

Je suis de ton avis elle est magnifique cette suite!!!!
JE REDEMANDE EN URGENCE UNE SUITEEEEEEEEEEEEEE

tout à fait d'accord avec sarascofield et nestella
c'est magnifique
c'est bien écrit et bien pensé
vivement la suite
bonnes vacances

UNe suite stp!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


C'était vraiment trop beau, les adieux, surtout quand il revient sur leur baiser à l'infirmerie:in love:

Ah ca va être dur de patienter jusqu'à ta prochaine suite!!!!!!!!!!!!!

c'est trop horrible et trop beau aussi...

je ne sais plus quoi penser!!!

tu es une vrai petit génie!!!

bonne vacance

Bon après une suite aussi magnifique et ces déclarations passionné je ne peux que te souhaiter de bonnes vacances j'aurais quand même aimé une petite suite

Je suis de retour de vacances et quel temps déprimant sur Paris !
Après le soleil, la mer et la chaleur, c'est dur de supporter tout çà, mais bon, demain boulot et prochaines vacances en Aout... çà va être long, donc voici la première partie d'un nouveau chapitre, je vouys posterai la suite ce soir

LE MARCHÉ

Michael maintenait le cellulaire entre ses doigts, plus crispé que jamais.

- Voyons Scofield, vous avez perdu votre langue ?

M : arrêtez de tourner autour du pot...si vous me disiez ce que vous voulez tout de suite !

- ce serait trop facile Scofield...çà fait des mois que j’attends çà...alors permettez moi de faire durer le plaisir.

Michael voyait le regard à la fois apeuré et plein d’inquiétude de Sara face à lui et se détourna pour arriver à garder le contrôle sur son esprit.

M : si vous n’avez rien d’intéressant à me dire je vais raccrocher.

- si j’étais vous je ne ferais pas çà...je suis sûre que votre femme n’apprécierais pas de recevoir un petit colis...

M : de quoi parlez-vous ??

Le ton froid de Michael devenait de plus en plus menaçant au fur et à mesure que l’homme à l’autre bout du fil tendait à lui prouver son échec et sa toute puissance sur lui.

- vous le savez très bien Michael...nous nous sommes permis de vous empruntez deux précieuses petites choses qui vous appartiennent il me semble...ravissant ! Vous ne faites vraiment pas les choses comme tout le monde Scofield ! Melle Tancredi doit être heureuse ou plutôt devrais-je dire Mme Scofield ?

M : si vous leur faites quoi que ce soit, je vous tuerais de mes propres mains !

- du calme, du calme Michael...tout de suite les grands mots ! Ils vont bien, Maria s’occupe bien d’eux, ne vous en faites pas...mais il pourrait me lasser de jouer à la nounou...

M : qu’est-ce que vous voulez ?

- je pense que vous le savez déjà...

M : je veux des garanties...

- vous les aurez

M : comment fais-t-on ?

- Rendez-vous à Panama City demain. Une voiture vous attendra dans une ruelle près du Panaméan’s café. A vous d’y être.

M : et quelles sont mes garanties ?

- je vous assure, nous ne voulons que vous...il n’est pas dans nos habitudes de nous en prendre à des nourrissons, mais nous n’avions pas le choix.

M : si vous tentez quoi que ce soit je vous le ferias payer !

- soyez là ou l’on vous demande d’être Scofield et tout se passera bien.

Michael n’eut pas le temps de répliquer que la tonalité lui bourdonna dans les oreilles. Son interlocuteur venait de raccrocher. Il se retourna vers Sara dont les yeux rougis lui prouvaient que si elle n’avait pas pris part à la conversation, elle en avait compris les grandes lignes.
Il s’approcha d’elle malgré son mouvement de recul et tenta de l’apaiser en caressant son bras.

M : je te promets qu’ils vont bien Sara, Maria est avec eux.

S : j’ai peur Michael...comment allons-nous faire ?

M : je vais faire exactement ce qu’ils me demandent et tous se passera bien, je te le promet.

S : ils te veulent ?

M : oui...
.
S : quand ?

M : demain en début d’après midi...

S : pourquoi ? Te tuer ?!

M : je ne sais pas Sara...mais je crois qu’ils ont des projets pour moi...

S : Michael !

Elle se jeta désespérément dans ses bras. Toutes ses tensions des derniers jours refaisaient surface et elle n’arriverait à trouver la paix que dans ses bras. Son odeur, sa chaleur, la sensation de ses doigts sur son corps, tout cela allait l’abandonner dans un peu plus de douze heures.

Ils rejoignirent Linc sur le bateau et ils mangèrent sans grande faim ce soir là. Les étoiles scintillaient déjà dans le ciel quand Sara poussa un dernier soupir d’angoisse. Michael était partis au loin, à l’avant du bateau pour parler avec Lincoln.

L : çà y est, ils t’ont ?

M : je ne fais pas çà de gaîté de cœur Linc !

L : je sais, excuse moi mais...

M : non Linc, promets-moi plutôt de veiller sur Sara, même de loin...

L : tu as ma parole frangin

M : elle a tellement souffert à cause de moi !

L : elle t’a choisi Mic, ne l’oublie pas. Tu devrais aller la rejoindre...

M : j’y vais...

Il serra son frère dans ses bras et ils se remercièrent réciproquement pour toute cette histoire.
Arrivés près de Sara, assise sur le pont à l’avant du bateau, il lui passa le bras autour du cou et déposa un baiser sur sa joue.

S : çà va ?

M : je suis fatigué...

Ils ne voulaient rompre ni l’un ni l’autre le charme de l’instant et faisaient comme si de rien n’était.

S : on devrait aller dormir alors...

M : tu es sûre ?

Elle se leva et il tendit le bras dans sa direction afin de la conduire à l’intérieur de la cabine.
Alors qu’il descendaient les escaliers pour la rejoindre, elle se stoppa en bas des marches et l’attendit. Son regard dans la pénombre était comme si elle l’avait vu pour la première fois, si clair, si pénétrant, si...
Elle se laissa emporter par ses sentiments et lui sauta au cou pour l’embrasser et lui prouver le désir qui la dévorait. Elle voulait graver à jamais cette nuit dans sa mémoire, cette nuit qui serait peut-être la dernière

S : oh Michael...

Encore une suite stp

Ho Soso... pourquoi t'être arreter en si bon chemin?? ça fait du bien que tu soit re, comme ça on aura de la fic à lire, surtout que tu nous avait quitter en mode sadique mais je m'attend au pire avec toi, tu es une grande malade PERSONNE NE TOUCHERA A MICHAEL ET SA FAMILLE C'EST CLAIR? mais comment ils vont faire pour s'en sortir, parce que là je vois pas du tout de solution!!!

je sens que ça va être une nuit mémorable
mais je veux pas qu'il arrive quoique ce soit a michael
vivement la suite

Voilà la suite...




Entre deus baisers, il recula et fixa les pupilles brillantes de désir de Sara. Son cœur battait la chamade et son corps se tendait sous l’impulsion du désir. Il devait reprendre le contrôle, se calmer, ne pas céder, ne pas prendre ce risque.
Sara perçut sa crainte dans son regard et lui attrapa le bras pour l’entraîner dans la petite cabine qui faisait office de chambre.

S : Michael s’il te plaît, vient...

Il se laissa entraîner mais voyait clairement dans les yeux de Sara que ce n’est pas de sommeil dont elle avait besoin.
Il céda à ses baisers et ses caresses, tentant à maintes reprises de reprendre le contrôle.
Lorsque Sara attaqua la ceinture de son pantalon, il se rétracta et se releva brutalement, comme réveillé par sa raison.

M : on ne peut pas Sara...c’est trop risqué...

S : qu’est-ce qui te prends ?

M : si jamais...tu tombes enceinte ?

Elle déposa son index sur sa bouche et lui lança un regard coquin.

S : Scofield...tu ne crois quand même pas que tu vas t’échapper comme çà !

Il craquait complètement sous le regard de braise de Sara et son corps trahissait ses paroles mais il tentait tout de même de résister...

M : Sara...si...

S : chuuuuut ! Plus un mot Scofield !

Elle le força à s’allonger sur le lit et se positionna à califourchon sur lui, emprisonnant ses mains dans les siennes au dessus de la tête de Michael. Elle commença par déposer des baisers brûlants dans son cou et sur son torse et il la regardait à la fois désespéré et enchanté par ce doux supplice qu’elle lui infligeait.
Il ne pourrait pas résister longtemps, vraiment pas...
Elle descendit toujours plus bas, faisant voler les vêtements de Michael au quatre coins du lit en continuant de le maintenir à sa merci. Il frémit quand il sentit son souffle chaud se rapprocher de la fine étoffe de ses sous-vêtements. Elle déposait des baisers enflammés sur ses cuisses, remontait, redescendait dans un ballet incessant et de plus en plus insupportable pour Michael. Il ne tenait plus, le supplice avait assez duré.
Faisant fi de ce que sa raison lui dictait, il laissa ses pulsions reprendre le dessus et se retourna brusquement sur Sara, faisant voler les liens de ses mains contre lui. Elle se retrouva à sa place, rôles inversés, regard brûlant de désir pour cette femme qui le rendait fou. Arrachant les vêtements de Sara avec impatience, il susurra à son oreille de sa voix rauque et sensuelle.

M : tu vas me le payer...Miss Tancredi...

Elle lui sourit alors qu’il se dégageait pour voir sa réaction et évita soigneusement les lèvres qu’elle lui tendait amoureusement. Il entreprit alors de lui faire subir le même supplice, commençant par lui dévorer le cou, puis les seins, le ventre et traçant de ses baisers brûlants les contours de son intimité. Après plusieurs minutes de supplice infernal, Sara le réclamait à corps et à cris.

S : Michael, s’il te plaît...vient...Michael...Michael...

Il releva la tête et fixa avec un large sourire les yeux pleins de désir de Sara. Elle tenta de se relever elle-même mais il la repoussa en arrière et la débarrassa des derniers sous vêtements encombrants qui les séparaient.
Il se contorsionna quelques secondes au dessus d’elle avant de mettre fin au supplice en la pénétrant dans un râle partagé. Michael sentait son corps se vriller à chaque soubresaut de Sara alors que par ses lents mouvements il tentait de faire durer le plaisir.
Il s’approcha et s’empara de ses lèvres avant de se retirer complètement et de s’allonger à coté d’elle.

S : qu’est-ce que tu fais ?

M : tu me rends fou et j’ai peur de la situation dans laquelle tu serais si...je sens que...

Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase que Sara se tenait à califourchon sur lui, prête à terminer ce qu’ils avaient commencé.

S : je te veux Scofield et je t’aurai.

Au même moment qu’elle prononçait ces paroles, elle se laissa glisser contre lui et au bout de deux mouvements à peine, Michael oublia ses réticences, à nouveau submergé par ses pulsions. Il attrapa ses hanches et accompagna le mouvement de Sara quelques temps, se retenant au maximum alors que Sara se sentait défaillir. Elle l’entraîna à revenir sur elle et ils basculèrent à nouveau. Il la regarda dans les yeux et s’abandonna complètement au plaisir, amplifiant ses va et vient puissants en elle. Sara se cambra pour l’attirer davantage et il sentit ses muscles se raidir. Il ne pouvait se contenir plus longtemps et étouffa son cri dans la bouche de celle qu’il voulait pour femme alors qu’il jouissait en elle de tout son être et que les ongles de Sara marquaient son dos puissant sous l’impulsion de son propre plaisir.
Ils restèrent collés l’un à l’autre un long moment, comme si chacun d’eux savaient que c’était peut-être la dernière fois...

S : je t’aime....je t’aimerai toujours Michael...

M : je t’aime aussi Sara...plus que tout au monde...ne l’oublie jamais...



Je tenais juste à vous préciser que nous approchaons doucement de la fin de cette fic qui je l'espère continue à vous plaire !

La fic me plaît toujours à moi en tout cas