Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
impatiente de lire la suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
c'est troooooooooop mignon cette suite !!
et le cadeau de sara pour mick
stp j'ai besoin d'une suite d'urgence alors stp met la vite !!!!!!!!!!!!!!!!
et le cadeau de sara pour mick
stp j'ai besoin d'une suite d'urgence alors stp met la vite !!!!!!!!!!!!!!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
angel_keikoo a écrit:ENNEADE a écrit:trop mignon leur petit réveillon!!
mais je veux connaitre la suite!!! il y a des choses que l'on sait que Sara ignore... je veux trop voir sa réaction
Oui Enneade a raison, on sait des choses que sara ignore, comme euhh, secert, bague, demande en mariage Mets vite la suiiite
Et oui nous on connait les projets de Mick et j'ai hate de voir la réaction de sara!!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
allez, la suite la soirée !
Sara et Michael étaient tous les deux postés dans la chambre qui avait été celle de Sara si longtemps. Michael scrutait leur environnement, à la recherche d’une trace de Sara, d’un détail mais la pièce ne reflétait que sa maternité récente. Tout un attirail au fond et une petite cloison qui séparait sa chambre de celle des jumeaux.
Sara sentait son cœur battre à tout rompre de se retrouver, pour la première fois depuis des mois, en présence d’un Michael valide et si désirable. Il fit encore un pas vers elle, un magnifique sourire aux lèvres...
Il sentait Sara tendue, excitée et tout à la fois effrayée par leur nouvelle proximité. Elle avait si longtemps été seule, si longtemps lutté pour sortir ce désir de son corps et de sa tête pour arriver à passer à autre chose et ne pas sombrer dans la dépression nerveuse lors de ces longs mois de grossesse, seule au Panama. Ces mois avaient passés et elle se retrouvait, 25 décembre à minuit et quelques, seule en face de cet homme pour qui elle avait tant souffert, tant aimé et pour qui elle soulèverait encore des montagnes si nécessaire.
Michael brisa le silence qui devenait presque pesant entre eux pour lui offrir quelques mots et tenter de l’apaiser.
M : Sara...je voulais que tu saches...tous ces mois sans toi, où nous avons vainement tenté avec Lincoln de le faire innocenter et de pouvoir revivre dans notre pays comme des citoyens libres, je n’ai cessé de penser à toi. Je rêvais de toi, de notre enfant, je voyais ton visage et ton corps se transformer, seule et malheureuse, loin de moi. Alors que les contacts téléphoniques nous étaient interdits, j’ai supplié le ciel de me ramener à toi et lorsqu’il a finalement consenti à m’écouter, il a presque ôté ma vie pour accomplir ce miracle...
S : Michael...je sais ce que tu me dis...j’ai ressenti la même chose et prié pour qu’il ne t’arrive rien, que Mahone arrêtes de te pourchasser, que Paul ne retourne spas encore sa veste, pour que vous vous en sortiez, que nous retournions chez nous, réunis, ensemble et en bonne santé. Le destin a décidé que l’Amérique ne voulait plus de toi et j’étais et suis toujours prête à l’accepter car une seule chose pourra me séparer de toi à jamais Michael, la mort.
Michael l’embrassa fougueusement, dingue de cette femme qui après tant de souffrances et sacrifices donnerait encore sa vie pour lui aujourd’hui. Leur amour s’était embelli et contrairement à ce que beaucoup aurait pu penser, il n’en était que plus fort aujourd’hui après toutes ces épreuves. Il se dégagea à regret de Sara sans briser le lien de leurs regards. Il était prêt, c’était le moment...
Il dégagea une minuscule boite enrubannée de sa poche et détacha lentement et avec beaucoup d’application le petit ruban de satin lavande. La boite dégagée, il ancra son regard dans celui de Sara et ouvrit la boite...
M : Sara...je sais que tu as beaucoup souffert de m’avoir choisi moi...de m’avoir aidé et aimé. Tu m’as tant donné...Je n’ai jamais fait çà avant...et je ne suis pas très doué pour les grandes déclarations mais je t’aime si fort...j’aimerais que tu acceptes cette bague, symbole de mon amour pour toi et que tu deviennes ma femme pour la vie...
Michael n’avait pas cillé et regardait Sara fixement, amoureusement, vaillamment. Sara se retenait du mieux qu’elle pouvait pour contenir le petit rire nerveux qui tiraillait sa gorge. Elle savait que techniquement Michael était déjà marié mais ne voulais pas gâcher la magie de cet instant. Jamais elle n’aurait pu s’attendre à çà il y a encore une semaine mais elle y était....devant lui, stoïque et paralysée autant par l’émotion que par la surprise. Elle fit pourtant un pas vers lui, mécaniquement et caressa son visage du front jusqu'à ses lèvres en détaillant chaque parcelle de celui-ci en insistant sur son regard qui attendait impatient une réponse.
Sara ne pouvait prononcer une parole, elle choisit alors les actes. Elle s’approcha de lui pour se coller complètement à son torse et s’emparer de ses lèvres. Toutes ses tensions se dissipèrent à leur contact et elle apprécia chaque effleurements, chaque frottement de leur deux peaux l’une contre l’autre. Leurs langues se cherchèrent et lorsqu’elles se trouvèrent, une explosion de sensations s’empara d’eux simultanément. Sara se dégagea quelques temps après à bout de souffle et recula d’un pas pour être suffisamment à distance pour fixer Michael le plus sérieusement possible. Elle enchaîna.
S : Michael...pour quelqu'un qui n’avait pas de cadeaux à offrir tu as bien caché ton jeu ! Alors je vais te répondre...Je serais honorée d’être Mme Scofield...je t’aime Michael...je t’...
Sara n’eut pas le temps de terminer sa phrase que la puissante étreinte de Michael la plaqua contre le mur derrière elle et qu’elle se retrouva bombardée de baisers brûlants qui enflammèrent son corps autant que son cœur. Une flamme de désir brillait de milles feu dans les yeux de Michael lorsqu’il s’arrêta un instant pour contempler la beauté de sa future femme. Quelques secondes ou leurs regards se croisèrent et se comprirent. Rien ni personne ne pourrait plus jamais les séparer, plus jamais. Sara rêvait à ce corps depuis de si longs mois, et Michael n’en pensait pas moins.
Les brettelles de la robe de Sara tombèrent rapidement le long de ses bras et sa robe glissa précipitamment au sol. La chemise de Michael vola sur la descente de lit tandis que Sara s’affairait délicatement à déboutonner son pantalon.
Rapidement en sous vêtements, Ils s’installèrent doucement sur le lit de Sara laissant leurs corps se toucher, se sentir et s’aimer à nouveau. Michael étant encore blessé, elle le plaqua doucement sur le dos contre le lit et s’installa à califourchon sur lui alors que les doigts de celui-ci erraient dans le dos de Sara à la recherche de la moindre parcelle de peau non encore conquise.
La flamme dans le regard de Michael avait laissé place à un incendie qu’elle seule pouvait éteindre, apaiser. Ses mains appuyées sur le lit, de chaque coté du visage de Michael, elle laissait son corps se frotter et onduler contre le sien, attisant encore plus les braises de son désir qui arrachait ses entrailles. Il termina de se déshabiller avec l’aide de Sara qui arracha ses derniers sous vêtements à la hâte et se réinstalla dans la même position. Elle laissait ses doigts courir le long de son torse, embrassant le lobe de ses oreilles tandis qu’il massait tendrement et à pleine main ses seins embellis par sa récente grossesse.
Elle le laissa jubiler encore quelques instants, ravi de voir le trouble qu’elle savait encore provoquer chez lui.
Elle s’empara ensuite de son corps et commença de lentes ondulations de hanches alors que la clarté lunaire éclairait faiblement leurs deux visages ravis et comblés. Sara ressentait toute la tension et toute la retenue de Michael. Elle s’approcha de ses oreilles, mordilla son lobe. Il ne pus s’empêcher de laisser échapper un petit gémissement et resserra son étreinte auprès de Sara, tentant malgré son état de suivre ses mouvements. Sa bouche collée près de son oreille, elle ne pu s’empêcher de lui chuchoter quelques mots.
S : lâches toi Michael...je t’attends...
Laissant de puissants coup de reins satisfaire les désirs de Sara, il ne pu retenir un cri de jouissance lorsque son corps se raidit sous l’impulsion du plaisir qui le terrassait tandis que Sara essoufflée et au bord du précipice tentait vainement d’étouffer ses cris dans l’oreiller...
Ils se ressaisirent de longues minutes plus tard, un sourire béa collé à leurs lèvres...
Voilà, des retrouvailles en bonne et du forme, qui j'espère vous auront plu !
Bonne soirée à toutes !
MERRY CHRISTMAS (suite)
Sara et Michael étaient tous les deux postés dans la chambre qui avait été celle de Sara si longtemps. Michael scrutait leur environnement, à la recherche d’une trace de Sara, d’un détail mais la pièce ne reflétait que sa maternité récente. Tout un attirail au fond et une petite cloison qui séparait sa chambre de celle des jumeaux.
Sara sentait son cœur battre à tout rompre de se retrouver, pour la première fois depuis des mois, en présence d’un Michael valide et si désirable. Il fit encore un pas vers elle, un magnifique sourire aux lèvres...
Il sentait Sara tendue, excitée et tout à la fois effrayée par leur nouvelle proximité. Elle avait si longtemps été seule, si longtemps lutté pour sortir ce désir de son corps et de sa tête pour arriver à passer à autre chose et ne pas sombrer dans la dépression nerveuse lors de ces longs mois de grossesse, seule au Panama. Ces mois avaient passés et elle se retrouvait, 25 décembre à minuit et quelques, seule en face de cet homme pour qui elle avait tant souffert, tant aimé et pour qui elle soulèverait encore des montagnes si nécessaire.
Michael brisa le silence qui devenait presque pesant entre eux pour lui offrir quelques mots et tenter de l’apaiser.
M : Sara...je voulais que tu saches...tous ces mois sans toi, où nous avons vainement tenté avec Lincoln de le faire innocenter et de pouvoir revivre dans notre pays comme des citoyens libres, je n’ai cessé de penser à toi. Je rêvais de toi, de notre enfant, je voyais ton visage et ton corps se transformer, seule et malheureuse, loin de moi. Alors que les contacts téléphoniques nous étaient interdits, j’ai supplié le ciel de me ramener à toi et lorsqu’il a finalement consenti à m’écouter, il a presque ôté ma vie pour accomplir ce miracle...
S : Michael...je sais ce que tu me dis...j’ai ressenti la même chose et prié pour qu’il ne t’arrive rien, que Mahone arrêtes de te pourchasser, que Paul ne retourne spas encore sa veste, pour que vous vous en sortiez, que nous retournions chez nous, réunis, ensemble et en bonne santé. Le destin a décidé que l’Amérique ne voulait plus de toi et j’étais et suis toujours prête à l’accepter car une seule chose pourra me séparer de toi à jamais Michael, la mort.
Michael l’embrassa fougueusement, dingue de cette femme qui après tant de souffrances et sacrifices donnerait encore sa vie pour lui aujourd’hui. Leur amour s’était embelli et contrairement à ce que beaucoup aurait pu penser, il n’en était que plus fort aujourd’hui après toutes ces épreuves. Il se dégagea à regret de Sara sans briser le lien de leurs regards. Il était prêt, c’était le moment...
Il dégagea une minuscule boite enrubannée de sa poche et détacha lentement et avec beaucoup d’application le petit ruban de satin lavande. La boite dégagée, il ancra son regard dans celui de Sara et ouvrit la boite...
M : Sara...je sais que tu as beaucoup souffert de m’avoir choisi moi...de m’avoir aidé et aimé. Tu m’as tant donné...Je n’ai jamais fait çà avant...et je ne suis pas très doué pour les grandes déclarations mais je t’aime si fort...j’aimerais que tu acceptes cette bague, symbole de mon amour pour toi et que tu deviennes ma femme pour la vie...
Michael n’avait pas cillé et regardait Sara fixement, amoureusement, vaillamment. Sara se retenait du mieux qu’elle pouvait pour contenir le petit rire nerveux qui tiraillait sa gorge. Elle savait que techniquement Michael était déjà marié mais ne voulais pas gâcher la magie de cet instant. Jamais elle n’aurait pu s’attendre à çà il y a encore une semaine mais elle y était....devant lui, stoïque et paralysée autant par l’émotion que par la surprise. Elle fit pourtant un pas vers lui, mécaniquement et caressa son visage du front jusqu'à ses lèvres en détaillant chaque parcelle de celui-ci en insistant sur son regard qui attendait impatient une réponse.
Sara ne pouvait prononcer une parole, elle choisit alors les actes. Elle s’approcha de lui pour se coller complètement à son torse et s’emparer de ses lèvres. Toutes ses tensions se dissipèrent à leur contact et elle apprécia chaque effleurements, chaque frottement de leur deux peaux l’une contre l’autre. Leurs langues se cherchèrent et lorsqu’elles se trouvèrent, une explosion de sensations s’empara d’eux simultanément. Sara se dégagea quelques temps après à bout de souffle et recula d’un pas pour être suffisamment à distance pour fixer Michael le plus sérieusement possible. Elle enchaîna.
S : Michael...pour quelqu'un qui n’avait pas de cadeaux à offrir tu as bien caché ton jeu ! Alors je vais te répondre...Je serais honorée d’être Mme Scofield...je t’aime Michael...je t’...
Sara n’eut pas le temps de terminer sa phrase que la puissante étreinte de Michael la plaqua contre le mur derrière elle et qu’elle se retrouva bombardée de baisers brûlants qui enflammèrent son corps autant que son cœur. Une flamme de désir brillait de milles feu dans les yeux de Michael lorsqu’il s’arrêta un instant pour contempler la beauté de sa future femme. Quelques secondes ou leurs regards se croisèrent et se comprirent. Rien ni personne ne pourrait plus jamais les séparer, plus jamais. Sara rêvait à ce corps depuis de si longs mois, et Michael n’en pensait pas moins.
Les brettelles de la robe de Sara tombèrent rapidement le long de ses bras et sa robe glissa précipitamment au sol. La chemise de Michael vola sur la descente de lit tandis que Sara s’affairait délicatement à déboutonner son pantalon.
Rapidement en sous vêtements, Ils s’installèrent doucement sur le lit de Sara laissant leurs corps se toucher, se sentir et s’aimer à nouveau. Michael étant encore blessé, elle le plaqua doucement sur le dos contre le lit et s’installa à califourchon sur lui alors que les doigts de celui-ci erraient dans le dos de Sara à la recherche de la moindre parcelle de peau non encore conquise.
La flamme dans le regard de Michael avait laissé place à un incendie qu’elle seule pouvait éteindre, apaiser. Ses mains appuyées sur le lit, de chaque coté du visage de Michael, elle laissait son corps se frotter et onduler contre le sien, attisant encore plus les braises de son désir qui arrachait ses entrailles. Il termina de se déshabiller avec l’aide de Sara qui arracha ses derniers sous vêtements à la hâte et se réinstalla dans la même position. Elle laissait ses doigts courir le long de son torse, embrassant le lobe de ses oreilles tandis qu’il massait tendrement et à pleine main ses seins embellis par sa récente grossesse.
Elle le laissa jubiler encore quelques instants, ravi de voir le trouble qu’elle savait encore provoquer chez lui.
Elle s’empara ensuite de son corps et commença de lentes ondulations de hanches alors que la clarté lunaire éclairait faiblement leurs deux visages ravis et comblés. Sara ressentait toute la tension et toute la retenue de Michael. Elle s’approcha de ses oreilles, mordilla son lobe. Il ne pus s’empêcher de laisser échapper un petit gémissement et resserra son étreinte auprès de Sara, tentant malgré son état de suivre ses mouvements. Sa bouche collée près de son oreille, elle ne pu s’empêcher de lui chuchoter quelques mots.
S : lâches toi Michael...je t’attends...
Laissant de puissants coup de reins satisfaire les désirs de Sara, il ne pu retenir un cri de jouissance lorsque son corps se raidit sous l’impulsion du plaisir qui le terrassait tandis que Sara essoufflée et au bord du précipice tentait vainement d’étouffer ses cris dans l’oreiller...
Ils se ressaisirent de longues minutes plus tard, un sourire béa collé à leurs lèvres...
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Voilà, des retrouvailles en bonne et du forme, qui j'espère vous auront plu !
Bonne soirée à toutes !
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Misa Feelings (18/07/07 21h11)
Très belle suite, j'adore comment tu décris leurs sensations, ce qu'ils ressentent c'est à croire qu'on était presque entrés en eux, je sais pas si je ce que je dis est compréhensible mais bon.
Mets la suiiite, le plus vite possible, et faut pas oublier qu'il faut que Michael divorce, et ca va être difficile je pense vu qu'ils sont toujours en cavale
Mets la suiiite, le plus vite possible, et faut pas oublier qu'il faut que Michael divorce, et ca va être difficile je pense vu qu'ils sont toujours en cavale
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
AAAhhhhhhhh ils se sont enfin retrouvés!!!!
Splendides les retouvailles que tu nous a décrites avec une tres grande intensité,je vais faire de tres beau rêve cette nuit!!!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Splendides les retouvailles que tu nous a décrites avec une tres grande intensité,je vais faire de tres beau rêve cette nuit!!!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
tout simplement magnifique
beau travail
vivement une suite
beau travail
vivement une suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
super suite !!!!!!!!!!!!!!
trop mignon la demande en mariage !!! et la suite des évènements géniaux eux aussi !!!!!
vivement la suite !!!!!!!!!!
trop mignon la demande en mariage !!! et la suite des évènements géniaux eux aussi !!!!!
vivement la suite !!!!!!!!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
Waou quelle scène et quel demande il la laisse même pas finir sa phrase et il lui saute dessus et la déclaration de Sara c'était trop beau, " une seule chose pourra me séparer de toi à jamais Michael, la mort." trop magnifique
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
quel chaleur tout d'un coup
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
Allez, voilà du nouveau...
La grande maison avait quitté ses airs de fêtes et s’était peu à peu endormie au petit matin. Plus tôt, Sara et Michael s’était laissés emportés par leur amour et avait succombé chacun au plaisir retrouvé du corps de l’autre.
Endormis dans les bras de Michael, Sara gouttait à la plénitude d’un sommeil réparateur et peuplé de rêves. Elle avait enfin trouvé la paix, la plénitude et ne craignait plus pour son avenir avec Michael. Dans quelques semaines, il serait totalement remis et ils pourraient enfin goûter au plaisir de partager leur vie familiale, réunis. Elle arborait dans son sommeil un sourire satisfait qu’on ne lui avait pas connu depuis très longtemps.
Michael lui aussi, s’était endormis apaisé, presque défait de toute crainte sur sa situation de fugitif. L’odeur des cheveux de Sara dans son cou, la chaleur de son corps contre le sien lui procurait une grande sensation de bien-être. Après seulement cinq heures de sommeil, il fut réveillé par sa douleur à l’épaule. Comme à son habitude et malgré le bien-être qu’il ressentait, il ne put empêcher son cerveau de bouillonner de craintes. Les membres de la compagnie étaient-ils toujours à ses trousses, comment l’avenir s’annoncerait pour Sara et Michael ? Pour leurs enfants ?
Il appréciait ce bonheur retrouvé mais savait aussi par expérience que lorsque sa vie retrouvait un semblant de calme cela ne durait jamais bien longtemps.
Vers six heures du matin, alors que Sara dormait toujours profondément, il entendit de petits cris de bébés en direction de la chambre et s’y dirigea en veillant bien à ne pas réveiller Sara.
Aldo était éveillé et ne tarderait pas à réveiller sa sœur si Michael ne faisait pas rapidement quelque chose. Il prit Aldo du mieux qu’il pu et sortit de la chambre à tâtons.
A peine eut-il passé la porte qu’il entendit un craquement quelques mètres plus loin. Il leva les yeux dans la pénombre et aperçut une silhouette féminine qui ne tarda pas à le reconnaître.
- Michael ?
M : Elena ?
Michael ne mit pas longtemps à comprendre, et fit mine de ne pas relever mais il venait au petit matin de surprendre Elena s’éclipser discrètement de la chambre de Lincoln, pour le coup, s’était loupé !
E : ils sont réveillés ?
M : juste Aldo pour le moment et je crois qu’il a faim…mais je ne suis pas très expert en préparation de biberons
E : un coup de main ne serait pas de refus alors ?
M : exactement !
Elena l’entraîna au réez de chaussée, dans la cuisine ou elle lui montra comment il fallait faire, la quantité d’eau, la dose de poudre…
M : merci beaucoup, vraiment, je vais épater Sara maintenant !
E : tu veux que je lui donne ?
M : non, je vais essayer de me débrouiller, merci.
Michael installa Aldo sur ses jambes relevées et commença à lui donner le biberon qu’il dévora en dix minutes à peine. Ses yeux grands ouvert, Michael le regardait téter, enchanté et ému de le voir, l’avoir avec lui et s’en occuper. Elena le regardait et l’encourageait du regard.
E : Michael…je voulais vous dire…pour tout à l’heure, ce que vous avez vu, ce n’est pas ce q…
M : je vous rassure tout de suite Elena, ce sont vos histoires et çà ne regardes que vous et Linc ! Si tout se passe bien entre vous, j’en serais ravie, au contraire !
E : merci, mais je ne suis as sûre qu’il se passe grand-chose de sérieux vous savez…
M : je connais mon frère et je commence à savoir comment il fonctionne vous savez. Il parait Brutus comme çà mais au fond il a un p’tit cœur sensible.
E : si vous le dites…
M : faut toujours un peu provoquer les choses avec lui…
A l’étage, Sara bougea dans le lit et s’étira à la recherche d’un bras protecteur…qu’elle ne trouva pas. Les yeux encore clos, elle parcourut de ses paumes les recoins du lit devenus froid à l’endroit de Michael. Elle se réveilla alors en sursaut, ouvrant de grands yeux et priant un instant pour que tous ces souvenirs de la nuit passée n’aient pas été qu’un rêve.
Elle se leva définitivement, enfila un peignoir et se dirigea vers la chambre des jumeaux. Elle constata que le berceau d’Aldo était vide et commença à se demander ou ils avaient bien pu passer. Véronica dormait profondément encore et n’avait pas réclamé de biberon de la nuit. Il devait être près de sept heures…
Elle sortit de la chambre et descendit les escaliers pour rejoindre le salon. Une fois en bas des marches, elle entendit du bruit émaner de la cuisine. Lorsqu’elle arriva, elle découvrit Michael, dos à elle, Aldo sur ses genoux et un biberon vide dans la main droite. Elle ne put réfréner à ce moment là l’émotion qui s’empara d’elle à la vue de Michael avec son fils.
Elle entra doucement, un large sourire aux lèvres, passant sa main dans les cheveux de Michael.
S : bonjour
E : bonjour
M : bonjour…tu as bien dormi ?
S : comme un bébé…et je vois que tu t’es occupé de ton fils…
M : oui
Il avait bombé le torse, fier de lui. Sara se baissa pour prendre Aldo dans ses bras.
S : tu m’autorises ? je crois qu’il a besoin d’être changé maintenant !
M : je t’en prie !
Il se leva et accompagna Sara en haut dans la chambre.
Au même moment – Panama City
Un homme de taille moyenne, blond et portant un élégant complet noir sortait de l’aéroport, une paire de lunettes de soleil lui cachant le regard. Il héla un taxi pour qu’il le conduise jusqu'à El Porevenir.
A peine fut-il monté dans le taxi qu’il décrocha son téléphone et composa un numéro. Après plusieurs sonneries, un homme décrocha et s’exprima en américain.
- allo ?
- C’est Kitterick, je suis à Panama city dans un taxi pour El Porevenir
- Parfait, vous savez ce que vous avez à faire ?
- pas de problèmes, je vous tiens au courant...
Ils raccrochèrent simultanément et l’homme en noir dans la voiture souleva un instant ses lunettes de soleil pour fixer plusieurs photographies qu’il venait de sortir de son attaché case...
Je sais pas pourquoi mais je sens que vous commencez à vous énnervez ??
Le vent se lève
La grande maison avait quitté ses airs de fêtes et s’était peu à peu endormie au petit matin. Plus tôt, Sara et Michael s’était laissés emportés par leur amour et avait succombé chacun au plaisir retrouvé du corps de l’autre.
Endormis dans les bras de Michael, Sara gouttait à la plénitude d’un sommeil réparateur et peuplé de rêves. Elle avait enfin trouvé la paix, la plénitude et ne craignait plus pour son avenir avec Michael. Dans quelques semaines, il serait totalement remis et ils pourraient enfin goûter au plaisir de partager leur vie familiale, réunis. Elle arborait dans son sommeil un sourire satisfait qu’on ne lui avait pas connu depuis très longtemps.
Michael lui aussi, s’était endormis apaisé, presque défait de toute crainte sur sa situation de fugitif. L’odeur des cheveux de Sara dans son cou, la chaleur de son corps contre le sien lui procurait une grande sensation de bien-être. Après seulement cinq heures de sommeil, il fut réveillé par sa douleur à l’épaule. Comme à son habitude et malgré le bien-être qu’il ressentait, il ne put empêcher son cerveau de bouillonner de craintes. Les membres de la compagnie étaient-ils toujours à ses trousses, comment l’avenir s’annoncerait pour Sara et Michael ? Pour leurs enfants ?
Il appréciait ce bonheur retrouvé mais savait aussi par expérience que lorsque sa vie retrouvait un semblant de calme cela ne durait jamais bien longtemps.
Vers six heures du matin, alors que Sara dormait toujours profondément, il entendit de petits cris de bébés en direction de la chambre et s’y dirigea en veillant bien à ne pas réveiller Sara.
Aldo était éveillé et ne tarderait pas à réveiller sa sœur si Michael ne faisait pas rapidement quelque chose. Il prit Aldo du mieux qu’il pu et sortit de la chambre à tâtons.
A peine eut-il passé la porte qu’il entendit un craquement quelques mètres plus loin. Il leva les yeux dans la pénombre et aperçut une silhouette féminine qui ne tarda pas à le reconnaître.
- Michael ?
M : Elena ?
Michael ne mit pas longtemps à comprendre, et fit mine de ne pas relever mais il venait au petit matin de surprendre Elena s’éclipser discrètement de la chambre de Lincoln, pour le coup, s’était loupé !
E : ils sont réveillés ?
M : juste Aldo pour le moment et je crois qu’il a faim…mais je ne suis pas très expert en préparation de biberons
E : un coup de main ne serait pas de refus alors ?
M : exactement !
Elena l’entraîna au réez de chaussée, dans la cuisine ou elle lui montra comment il fallait faire, la quantité d’eau, la dose de poudre…
M : merci beaucoup, vraiment, je vais épater Sara maintenant !
E : tu veux que je lui donne ?
M : non, je vais essayer de me débrouiller, merci.
Michael installa Aldo sur ses jambes relevées et commença à lui donner le biberon qu’il dévora en dix minutes à peine. Ses yeux grands ouvert, Michael le regardait téter, enchanté et ému de le voir, l’avoir avec lui et s’en occuper. Elena le regardait et l’encourageait du regard.
E : Michael…je voulais vous dire…pour tout à l’heure, ce que vous avez vu, ce n’est pas ce q…
M : je vous rassure tout de suite Elena, ce sont vos histoires et çà ne regardes que vous et Linc ! Si tout se passe bien entre vous, j’en serais ravie, au contraire !
E : merci, mais je ne suis as sûre qu’il se passe grand-chose de sérieux vous savez…
M : je connais mon frère et je commence à savoir comment il fonctionne vous savez. Il parait Brutus comme çà mais au fond il a un p’tit cœur sensible.
E : si vous le dites…
M : faut toujours un peu provoquer les choses avec lui…
A l’étage, Sara bougea dans le lit et s’étira à la recherche d’un bras protecteur…qu’elle ne trouva pas. Les yeux encore clos, elle parcourut de ses paumes les recoins du lit devenus froid à l’endroit de Michael. Elle se réveilla alors en sursaut, ouvrant de grands yeux et priant un instant pour que tous ces souvenirs de la nuit passée n’aient pas été qu’un rêve.
Elle se leva définitivement, enfila un peignoir et se dirigea vers la chambre des jumeaux. Elle constata que le berceau d’Aldo était vide et commença à se demander ou ils avaient bien pu passer. Véronica dormait profondément encore et n’avait pas réclamé de biberon de la nuit. Il devait être près de sept heures…
Elle sortit de la chambre et descendit les escaliers pour rejoindre le salon. Une fois en bas des marches, elle entendit du bruit émaner de la cuisine. Lorsqu’elle arriva, elle découvrit Michael, dos à elle, Aldo sur ses genoux et un biberon vide dans la main droite. Elle ne put réfréner à ce moment là l’émotion qui s’empara d’elle à la vue de Michael avec son fils.
Elle entra doucement, un large sourire aux lèvres, passant sa main dans les cheveux de Michael.
S : bonjour
E : bonjour
M : bonjour…tu as bien dormi ?
S : comme un bébé…et je vois que tu t’es occupé de ton fils…
M : oui
Il avait bombé le torse, fier de lui. Sara se baissa pour prendre Aldo dans ses bras.
S : tu m’autorises ? je crois qu’il a besoin d’être changé maintenant !
M : je t’en prie !
Il se leva et accompagna Sara en haut dans la chambre.
Au même moment – Panama City
Un homme de taille moyenne, blond et portant un élégant complet noir sortait de l’aéroport, une paire de lunettes de soleil lui cachant le regard. Il héla un taxi pour qu’il le conduise jusqu'à El Porevenir.
A peine fut-il monté dans le taxi qu’il décrocha son téléphone et composa un numéro. Après plusieurs sonneries, un homme décrocha et s’exprima en américain.
- allo ?
- C’est Kitterick, je suis à Panama city dans un taxi pour El Porevenir
- Parfait, vous savez ce que vous avez à faire ?
- pas de problèmes, je vous tiens au courant...
Ils raccrochèrent simultanément et l’homme en noir dans la voiture souleva un instant ses lunettes de soleil pour fixer plusieurs photographies qu’il venait de sortir de son attaché case...
***
Je sais pas pourquoi mais je sens que vous commencez à vous énnervez ??
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
ahhh c'est trop mignon michael s'occupant d'aldo
mais la fin .... je sais que tu nous prépare un sale cou la ...
met vite la suite stp !!!!!!!!!
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met vite la suite stp !!!!!!!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
non ça va pas trop enervée
la scène de michael et aldo est splendide
mais ta fin refroidit un peu
vite la suite
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mais ta fin refroidit un peu
vite la suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
C'est quoi cette fin????????
Mets la suite!!!
Mets la suite!!!
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
Ah non j'espère que c'est aps se que je crois!!!
Ils etaient enfin heureux,ensemble avec leurs enfants et je sens que tu vas leur faire des misères!!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Ils etaient enfin heureux,ensemble avec leurs enfants et je sens que tu vas leur faire des misères!!!!
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nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
c'est quoi cette fin
ilks sont tranquille au Panama avec leurs bébés et tout et tou et toi tu nous foire le truc
pour une fois que quelqu'un leur fesait un semblant de vie de rêve
ilks sont tranquille au Panama avec leurs bébés et tout et tou et toi tu nous foire le truc
pour une fois que quelqu'un leur fesait un semblant de vie de rêve
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
Voilà la suite ! Pas sûre que çà vous rassure beaucoup
26 décembre – à quelques kilomètres d’El Porevenir
Après avoir passé la quasi-totalité de la journée de noël à table à manger les restes du réveillon et à fêter enfin en famille réunie la date la plus populaire au monde, Michael, Sara et les jumeaux avaient goûté à un sommeil bien mérité. Alors que Michael dormait encore, Sara, levée, avait fait manger Aldo et commençait à s’occuper de Véronica qui réclamait si fort qu’elle finit par réveiller son papa.
Sara avait déposé Aldo au creux des bras de son père et donnait à manger à Véronica.
S : tu aurais imaginé çà à Fox River ?
M : non, mais tu te souviens le jour ou je t’avais fait mes premiers adieux et que je t’avais demandé « et si ? ». Tu avais tenté de me dissuader de poursuivre et ton silence était plus qu’éloquent...
S : je n’ai jamais pu cacher mes sentiments...et avec toi c’était encore pire, j’avais vraiment l’impression que tu lisais en moi comme dans un livre ouvert.
M : c’était touchant de voir à quel point tu luttais...
S : rajoutes-en !
Ils rirent ensemble et Sara laissa échapper un profond soupir, elle appréciait tellement ces moments de plénitude tous les quatre. Alors qu’elle avait presque terminé avec Véronica, elle remarqua que le visage de Michael avait changé brutalement d’expression. Elle s’en inquiéta et ne tarda pas à lui faire remarquer.
S : Michael ?
M : oui ?
S : tu as l’air préoccupé, que se passe t-il ?
M : tout va bien, pourquoi dis-tu cela ?
S : je commence à te connaître et je sais que quand tu fais cette tête, c’est qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond...
M : tout va bien Sara, tu sais que j’angoisse pour un rien...
S : arrêtes de me protéger Michael, qu’est-ce qu’il y a ?
Il soupire et tente de masquer son trouble mais après tout il n’a pas le droit de lui mentir encore, de trouver un énième bobard pour lui masquer la vérité qu’elle a le droit de connaître.
S : Michael !
M : d’accord, voilà, avant qu’il y ait toutes ces complications dans notre fuite, j’avais prévu de rejoindre une petite ville près de la côte à quelques kilomètres de Panama City. Au bord d’une plage, un voilier y est amarré et précieusement gardé par un intermédiaire. Avec Lincoln, nous devions rejoindre ce bateau et disparaître...mais je n’avais pas prévu toutes les embûches que nous avons rencontrés ainsi que les petites modifications au programme initial.
S : nous sommes ces modifications n’est-ce pas ?
M : tu n’y es pas Sara, le Christina Rose devait nous permettre de fuir et de vivre loin de ces tourments.
S : le Christina Rose ?
M : oui, c’est le nom de ma mère...mais avec ce qui s’est passé, ma blessure, les bébés, mon plan a pris beaucoup de retard et je crains que d’autres agents se mettent à notre poursuite...
S : qu’est-ce que tu veux dire ?
M : que nous ne devrions pas rester plus longtemps ici, cela devient trop risqué...
S : mais ou veut- tu aller ? Les jumeaux n’ont pas encore 15 jours et tu n’es pas correctement remis de ta blessure !
M : le bateau, Linc pourrait aller voir mon intermédiaire et si le bateau est toujours là on embarquerait...je sais que ce n’est pas la vie dont tu avais rêvé mais...
S : tu n’es pas sérieux Michael ?!!! Tu penses aux enfants ?
M : je ne pense qu’a eux et à toi Sara ! je sais les risques mais si nous restons ici trop longtemps ils nous retrouverons...tu peux en être sure !
S : tu avais dit que les gars qui nous suivaient s’arrêtait à la frontière...
M : les agents du Fbi oui, mais ceux de la Compagnie sont bien plus dangereux.
S : alors nous n’avons pas le choix ?
M : je crains que non Sara...je suis désolé...
Sara baissa la tête, compatissante et pourtant anéantie. Elle se demandait si elle finirait un jour par faire autre chose du reste de sa vie avec Michael Scofield que de fuir.
Michael sentait son désarroi et serra fort sa main dans la sienne. Il savait que quitter ce cocon était la meilleure chose à faire, pas pour leur confort mais bien pour leur sécurité.
Il passa le reste de la journée à régler les derniers détails avec Linc, comment rejoindre leur intermédiaire, retrouver le bateau et organiser leur départ.
Linc partit en milieu d’après midi avec deux hommes rejoindre Panama City puis le Christina Rose ou Mic et Sara le rejoindrait le lendemain.
Le reste de la journée s’écoula dans le doute et la crainte pour Sara. Le doute qu’un jour leurs problèmes trouvent une solution et la crainte que leur fuite soit éternelle. Elle s’occupa des jumeaux avec amour et patience et s’attacha à rassembler leurs affaires les plus nécessaires à leur survie sur un bateau.
Au même moment, à quelques centaines de mètres
L’agent blond en costume noir pointait ses jumelles dans la direction de l’hacienda ou une agitation inhabituelle semblait régner. Otant l’appareil de devant sa vue, il laissa un sourire implacable se dessiner sur ses lèvres. Accompagné de deux hommes, il s’apprêtait à mettre son plan à exécution...
Voilà, ce sera tout pour aujourd'hui
Changement de cap
26 décembre – à quelques kilomètres d’El Porevenir
Après avoir passé la quasi-totalité de la journée de noël à table à manger les restes du réveillon et à fêter enfin en famille réunie la date la plus populaire au monde, Michael, Sara et les jumeaux avaient goûté à un sommeil bien mérité. Alors que Michael dormait encore, Sara, levée, avait fait manger Aldo et commençait à s’occuper de Véronica qui réclamait si fort qu’elle finit par réveiller son papa.
Sara avait déposé Aldo au creux des bras de son père et donnait à manger à Véronica.
S : tu aurais imaginé çà à Fox River ?
M : non, mais tu te souviens le jour ou je t’avais fait mes premiers adieux et que je t’avais demandé « et si ? ». Tu avais tenté de me dissuader de poursuivre et ton silence était plus qu’éloquent...
S : je n’ai jamais pu cacher mes sentiments...et avec toi c’était encore pire, j’avais vraiment l’impression que tu lisais en moi comme dans un livre ouvert.
M : c’était touchant de voir à quel point tu luttais...
S : rajoutes-en !
Ils rirent ensemble et Sara laissa échapper un profond soupir, elle appréciait tellement ces moments de plénitude tous les quatre. Alors qu’elle avait presque terminé avec Véronica, elle remarqua que le visage de Michael avait changé brutalement d’expression. Elle s’en inquiéta et ne tarda pas à lui faire remarquer.
S : Michael ?
M : oui ?
S : tu as l’air préoccupé, que se passe t-il ?
M : tout va bien, pourquoi dis-tu cela ?
S : je commence à te connaître et je sais que quand tu fais cette tête, c’est qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond...
M : tout va bien Sara, tu sais que j’angoisse pour un rien...
S : arrêtes de me protéger Michael, qu’est-ce qu’il y a ?
Il soupire et tente de masquer son trouble mais après tout il n’a pas le droit de lui mentir encore, de trouver un énième bobard pour lui masquer la vérité qu’elle a le droit de connaître.
S : Michael !
M : d’accord, voilà, avant qu’il y ait toutes ces complications dans notre fuite, j’avais prévu de rejoindre une petite ville près de la côte à quelques kilomètres de Panama City. Au bord d’une plage, un voilier y est amarré et précieusement gardé par un intermédiaire. Avec Lincoln, nous devions rejoindre ce bateau et disparaître...mais je n’avais pas prévu toutes les embûches que nous avons rencontrés ainsi que les petites modifications au programme initial.
S : nous sommes ces modifications n’est-ce pas ?
M : tu n’y es pas Sara, le Christina Rose devait nous permettre de fuir et de vivre loin de ces tourments.
S : le Christina Rose ?
M : oui, c’est le nom de ma mère...mais avec ce qui s’est passé, ma blessure, les bébés, mon plan a pris beaucoup de retard et je crains que d’autres agents se mettent à notre poursuite...
S : qu’est-ce que tu veux dire ?
M : que nous ne devrions pas rester plus longtemps ici, cela devient trop risqué...
S : mais ou veut- tu aller ? Les jumeaux n’ont pas encore 15 jours et tu n’es pas correctement remis de ta blessure !
M : le bateau, Linc pourrait aller voir mon intermédiaire et si le bateau est toujours là on embarquerait...je sais que ce n’est pas la vie dont tu avais rêvé mais...
S : tu n’es pas sérieux Michael ?!!! Tu penses aux enfants ?
M : je ne pense qu’a eux et à toi Sara ! je sais les risques mais si nous restons ici trop longtemps ils nous retrouverons...tu peux en être sure !
S : tu avais dit que les gars qui nous suivaient s’arrêtait à la frontière...
M : les agents du Fbi oui, mais ceux de la Compagnie sont bien plus dangereux.
S : alors nous n’avons pas le choix ?
M : je crains que non Sara...je suis désolé...
Sara baissa la tête, compatissante et pourtant anéantie. Elle se demandait si elle finirait un jour par faire autre chose du reste de sa vie avec Michael Scofield que de fuir.
Michael sentait son désarroi et serra fort sa main dans la sienne. Il savait que quitter ce cocon était la meilleure chose à faire, pas pour leur confort mais bien pour leur sécurité.
Il passa le reste de la journée à régler les derniers détails avec Linc, comment rejoindre leur intermédiaire, retrouver le bateau et organiser leur départ.
Linc partit en milieu d’après midi avec deux hommes rejoindre Panama City puis le Christina Rose ou Mic et Sara le rejoindrait le lendemain.
Le reste de la journée s’écoula dans le doute et la crainte pour Sara. Le doute qu’un jour leurs problèmes trouvent une solution et la crainte que leur fuite soit éternelle. Elle s’occupa des jumeaux avec amour et patience et s’attacha à rassembler leurs affaires les plus nécessaires à leur survie sur un bateau.
Au même moment, à quelques centaines de mètres
L’agent blond en costume noir pointait ses jumelles dans la direction de l’hacienda ou une agitation inhabituelle semblait régner. Otant l’appareil de devant sa vue, il laissa un sourire implacable se dessiner sur ses lèvres. Accompagné de deux hommes, il s’apprêtait à mettre son plan à exécution...
***
Voilà, ce sera tout pour aujourd'hui
soso_burrows- Arrivé au Nouveau Mexique
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
Non!!!!!! Tu peux pas t'arrêter là!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Mets la suite très vite alors!!!!!!!!!!!!!!
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
mais t'es trooooooooooop sadique ! j'ai trooooop peur la !!!!!
pourvu qu'il ne leur arrive rien de mal ....
met vite la suite stp !!!!!!!!
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met vite la suite stp !!!!!!!!
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
c'est clairsarascofield a écrit: mais t'es trooooooooooop sadique ! j'ai trooooop peur la !!!!!
pourvu qu'il ne leur arrive rien de mal ....
met vite la suite stp !!!!!!!!
vivement la suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
ça ce complique et el plus tu arrêtes comme cela!!!
c'est la panique chez moi
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
Voilà une suite...
Lincoln était parti en milieu d’après midi et Michael et Sara attendait fébrilement de ses nouvelles alors même qu’ils avaient réunis un maximum du minimum d’affaires qu’ils pourraient emmener avec eux sur le bateau.
S : Michael...il faudrait que nous allions en ville pour faire quelques courses, j’ai besoin de choses pour les jumeaux...pour ce voyage...Michael ??
Il ne cessait de réfléchir, le visage perdu sur un point qu’il fixait au loin, sans raison.
S : Michael ???
Il sortit de ses pensées alors même que Sara prononçait son prénom de puis quelques secondes déjà.
M : oui ??? Excuses moi...je réfléchissais au plan...
S : ce n’est rien...je commence à avoir l’habitude...et pour ce que je t’ai demandé ?
M : c’était quoi ... ?
S : si nous partons un moment sur ce bateau Michael, il va me falloir certaines choses pour nous et les jumeaux, je préfère prévoir...si jamais ils sont malades, tu vois...des petits problèmes techniques que je préfère anticiper.
M : tu as raison...on va y aller tous les deux, j’ai moi aussi quelques choses à prendre...
S : très bien, je vais demander une voiture à Jane.
M : je t’attends.
Sara se dirige vers la maison et trouve Jane facilement dans la cuisine.
S : Jane...
J : Sara...tu es prête pour la croisière ... ?
S : cela ne me réjouis pas vraiment avec les enfants mais Michael n’a pas tout à fait tort, nous ne sommes plus vraiment en sécurité ici...du moins plus pour longtemps...
J : il te fallait quelque chose ?
S : oui, un véhicule pour aller faire un tour en ville et acheter ce dont nous avons besoin...c’est possible ?
J : oui, il y a une vieille Jeep dans la remise de gauche avec le plein mais faites attention...
S : tant que je suis avec Michael je ne risque rien...
Sara savait que cette dernière phrase ne voulait rien dire...elle savait pertinemment que toute seule elle n’était pas en sécurité mais l’était encore moins avec Michael même s’il jurait de faire attention à elle et à leur sécurité...
Elle demanda à Jane de veiller sur les petits durant leur absence et rejoignit Michael à l’extérieur. Ils prirent la voiture et partirent immédiatement en direction du centre ville le plus proche. Michael resta silencieux pendant presque tout le trajet, une main sur le volant l’autre sur la bouche, fixant l’horizon devant lui, réfléchissant, encore.
S : tu pourrais me parler Michael...me dire ce que tu comptes faire...
M : pourquoi dis-tu cela ?
S : parce que je commence à te connaître et que je sais que tu t’inquiètes et que tu réfléchis sans cesse à ce nous allons faire mais tu ne me dis jamais rien !
M : je suis désolé...je n’arrive pas à faire autrement...
Sara levait les yeux au ciel, malgré tout ce qu’ils avaient enduré et partagé, Michael n’arrivait toujours pas à se confier...elle avait tant espérer enfin toucher un peu son âme.
S : je pensais que tu me faisais confiance Michael...
M : ce n’est pas une question de confiance Sara...de quoi veux-tu que je parle ? De toutes les éventualités qui pourraient se produire sur notre route... ? Des mauvaises personnes que nous pourrions rencontrer ? Du fait que peut-être le bateau n’est plus là ? Que Linc peut toujours se faire arrêter en chemin ? C’est vraiment çà que tu veux m’entendre dire ?
Michael avait employé un ton dur, cassant que Sara ne lui avait jamais connu, pas avec elle en tout cas. Elle sentait bien son désespoir et son ras-le-bol de tout çà à travers cette voix.
Elle ne chercha pas à continuer la conversation et baissa les yeux avant de tourner la tête en direction de la fenêtre passager les yeux embués de larmes, blessée.
M : Sara...je suis désolé, excuses –moi...je ne voulais pas...te faire peur mais cette situation me rend dingue...excuses moi Sara...je t’en prie.
Elle se retournes vers lui et essuie du revers de la main les larmes qui ont conquis ses joues. Il lui adresse un regard désolé alors qu’elle esquisse un faible sourire. Il pose sa main dans la sienne et la serre du mieux qu’il peut pour lui prouver qu’il est là et désolé.
S : je voulais juste que tu me parles Michael...que tu me parles de ton plan...
Il stoppa la voiture car ils étaient arrivés en centre ville. Michael descendit de voiture et alla à la rencontre de Sara, ferma la porte derrière elle et la retint pour la serrer dans ses bras. Une douce étreinte l’un contre l’autre pour se rappeler cet amour qui avait bien du mal à pouvoir s’exprimer dans le chaos de leurs vies. Il posa son front contre celui de Sara et lui murmura.
M : je suis désolé d’être comme çà Sara...je suis désolé de rendre ta vie infernale...
Sara relava la tête et déposa un baiser sur les lèvres de Michael qui lui rendit son baiser puis l’approfondit en maintenant sa nuque.
S : j’ai compris Michael...mais essaye de partager un peu tes angoisses car c’est encore pire quand je te vois cogiter comme çà tout seul dans ton coin.
Il lui sourit et attrape sa main, ils ont des courses à faire et il est temps d’y aller.
Au même moment a quelques centaines de mètres de l’hacienda...
L’homme blond et ses deux complices fixe les allées et venues avec ses jumelles. Planqués en bordure de forêt, personne n’a remarqué leur véhicule ni leur petit manège des dernières vingt-quatre heures. Son cellulaire sonne et il décroche.
- allo ?
- vous en êtes où ?
- à quelques mètres à peine...
- vous les avez vus ?
- oui, mais Scofield et la doctoresse sont partis faire un tour et les autres hommes de main d’Aldo sont partis avec Burrows je ne sais quoi faire. Étant donné le barda qu’ils ont emporté, je ne pense pas qu’il revienne de si tôt...
- vous comptez agir quand ?
- je crois qu’ils s’apprêtent à mettre les voiles, c’est pour ce soir, les hommes sont prêts, nous allons agir dans la demi-heure.
- j’attends de vos nouvelles...
Ils raccrochent et l’homme blond fait signe à ses sbires de l’approcher.
- c’est le moment, on fait comme on a dit...il doit y avoir tout au plus une dizaines d’hommes à neutraliser...en dehors de la cible, vous êtes autorisés à tirer sur tout ce qui bouge...
Je vous promets que je mettrais la suite dans l'après midi...
Lincoln était parti en milieu d’après midi et Michael et Sara attendait fébrilement de ses nouvelles alors même qu’ils avaient réunis un maximum du minimum d’affaires qu’ils pourraient emmener avec eux sur le bateau.
S : Michael...il faudrait que nous allions en ville pour faire quelques courses, j’ai besoin de choses pour les jumeaux...pour ce voyage...Michael ??
Il ne cessait de réfléchir, le visage perdu sur un point qu’il fixait au loin, sans raison.
S : Michael ???
Il sortit de ses pensées alors même que Sara prononçait son prénom de puis quelques secondes déjà.
M : oui ??? Excuses moi...je réfléchissais au plan...
S : ce n’est rien...je commence à avoir l’habitude...et pour ce que je t’ai demandé ?
M : c’était quoi ... ?
S : si nous partons un moment sur ce bateau Michael, il va me falloir certaines choses pour nous et les jumeaux, je préfère prévoir...si jamais ils sont malades, tu vois...des petits problèmes techniques que je préfère anticiper.
M : tu as raison...on va y aller tous les deux, j’ai moi aussi quelques choses à prendre...
S : très bien, je vais demander une voiture à Jane.
M : je t’attends.
Sara se dirige vers la maison et trouve Jane facilement dans la cuisine.
S : Jane...
J : Sara...tu es prête pour la croisière ... ?
S : cela ne me réjouis pas vraiment avec les enfants mais Michael n’a pas tout à fait tort, nous ne sommes plus vraiment en sécurité ici...du moins plus pour longtemps...
J : il te fallait quelque chose ?
S : oui, un véhicule pour aller faire un tour en ville et acheter ce dont nous avons besoin...c’est possible ?
J : oui, il y a une vieille Jeep dans la remise de gauche avec le plein mais faites attention...
S : tant que je suis avec Michael je ne risque rien...
Sara savait que cette dernière phrase ne voulait rien dire...elle savait pertinemment que toute seule elle n’était pas en sécurité mais l’était encore moins avec Michael même s’il jurait de faire attention à elle et à leur sécurité...
Elle demanda à Jane de veiller sur les petits durant leur absence et rejoignit Michael à l’extérieur. Ils prirent la voiture et partirent immédiatement en direction du centre ville le plus proche. Michael resta silencieux pendant presque tout le trajet, une main sur le volant l’autre sur la bouche, fixant l’horizon devant lui, réfléchissant, encore.
S : tu pourrais me parler Michael...me dire ce que tu comptes faire...
M : pourquoi dis-tu cela ?
S : parce que je commence à te connaître et que je sais que tu t’inquiètes et que tu réfléchis sans cesse à ce nous allons faire mais tu ne me dis jamais rien !
M : je suis désolé...je n’arrive pas à faire autrement...
Sara levait les yeux au ciel, malgré tout ce qu’ils avaient enduré et partagé, Michael n’arrivait toujours pas à se confier...elle avait tant espérer enfin toucher un peu son âme.
S : je pensais que tu me faisais confiance Michael...
M : ce n’est pas une question de confiance Sara...de quoi veux-tu que je parle ? De toutes les éventualités qui pourraient se produire sur notre route... ? Des mauvaises personnes que nous pourrions rencontrer ? Du fait que peut-être le bateau n’est plus là ? Que Linc peut toujours se faire arrêter en chemin ? C’est vraiment çà que tu veux m’entendre dire ?
Michael avait employé un ton dur, cassant que Sara ne lui avait jamais connu, pas avec elle en tout cas. Elle sentait bien son désespoir et son ras-le-bol de tout çà à travers cette voix.
Elle ne chercha pas à continuer la conversation et baissa les yeux avant de tourner la tête en direction de la fenêtre passager les yeux embués de larmes, blessée.
M : Sara...je suis désolé, excuses –moi...je ne voulais pas...te faire peur mais cette situation me rend dingue...excuses moi Sara...je t’en prie.
Elle se retournes vers lui et essuie du revers de la main les larmes qui ont conquis ses joues. Il lui adresse un regard désolé alors qu’elle esquisse un faible sourire. Il pose sa main dans la sienne et la serre du mieux qu’il peut pour lui prouver qu’il est là et désolé.
S : je voulais juste que tu me parles Michael...que tu me parles de ton plan...
Il stoppa la voiture car ils étaient arrivés en centre ville. Michael descendit de voiture et alla à la rencontre de Sara, ferma la porte derrière elle et la retint pour la serrer dans ses bras. Une douce étreinte l’un contre l’autre pour se rappeler cet amour qui avait bien du mal à pouvoir s’exprimer dans le chaos de leurs vies. Il posa son front contre celui de Sara et lui murmura.
M : je suis désolé d’être comme çà Sara...je suis désolé de rendre ta vie infernale...
Sara relava la tête et déposa un baiser sur les lèvres de Michael qui lui rendit son baiser puis l’approfondit en maintenant sa nuque.
S : j’ai compris Michael...mais essaye de partager un peu tes angoisses car c’est encore pire quand je te vois cogiter comme çà tout seul dans ton coin.
Il lui sourit et attrape sa main, ils ont des courses à faire et il est temps d’y aller.
Au même moment a quelques centaines de mètres de l’hacienda...
L’homme blond et ses deux complices fixe les allées et venues avec ses jumelles. Planqués en bordure de forêt, personne n’a remarqué leur véhicule ni leur petit manège des dernières vingt-quatre heures. Son cellulaire sonne et il décroche.
- allo ?
- vous en êtes où ?
- à quelques mètres à peine...
- vous les avez vus ?
- oui, mais Scofield et la doctoresse sont partis faire un tour et les autres hommes de main d’Aldo sont partis avec Burrows je ne sais quoi faire. Étant donné le barda qu’ils ont emporté, je ne pense pas qu’il revienne de si tôt...
- vous comptez agir quand ?
- je crois qu’ils s’apprêtent à mettre les voiles, c’est pour ce soir, les hommes sont prêts, nous allons agir dans la demi-heure.
- j’attends de vos nouvelles...
Ils raccrochent et l’homme blond fait signe à ses sbires de l’approcher.
- c’est le moment, on fait comme on a dit...il doit y avoir tout au plus une dizaines d’hommes à neutraliser...en dehors de la cible, vous êtes autorisés à tirer sur tout ce qui bouge...
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
mias t'es folle !!! c'est horible !!!!!!!!!!!!!
met vite la suite stp !!!!!!!!!!!!!!!
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
Non mais t'a pas honte de nous alisser comme sa!!!!!
Et qu'est ce qu'ils veulent ces hommes???
Je le sens pas du tout!!!!!
Et qu'est ce qu'ils veulent ces hommes???
Je le sens pas du tout!!!!!
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Re: Misa Feelings (31/07/07 21h37) The end...
oh mon dieu!!! ton sadisme est complet!!!
faut pas qu'ils touchent aux petits!!!
faut pas qu'ils touchent aux petits!!!
ENNEADE- Retrouve Steadman
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