Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
tu as intérêt à la mettre sinon c'est toi que je ...
non mais oh! tu ne peux pas faire la sadique comme ça!!
non mais oh! tu ne peux pas faire la sadique comme ça!!
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Astrid- En route pour la frontière
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Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
Bonsoir,
Me voilà, désolée de pas avoir postée avant, j'ai bossé toute la journée....
La voia, nouveau chapitre..
Bonne lecture...
Quelques minutes plus tard – Dans la cuisine…
Wentworth n’aurait jamais cru que ce jour viendrait, et qu’il la reverrait. Quand il l’avait vu dans la piscine, il avait pensé que sa vue lui jouer des tours. Il avait pensé qu’elle ne reviendrait jamais ici surtout s’il était là. Quand il avait appris qu’elle était partie douze ans plus tôt, il avait su que c’était de sa faute. Il savait qu’il avait fait une erreur cette nuit là, et il ne se le pardonnerait jamais. Il ne regrettait pas d’avoir fait l’amour avec elle, au contraire, cette nuit là avait été la plus belle de toute sa vie, mais il l’avait compris trop tard.
Quand il l’avait repoussé le lendemain matin, et qu’il avait vu les larmes dans ses yeux, il avait voulu la prendre dans ses bras et l’embrasser, mais il s’était retint. Par la suite après qu’elle soit partie, il avait compris qu’il était tombé amoureux, mais n’avait pas été vers elle pour autant. Il l’avait laissé croire qu’il ne l’aimait pas, c’était beaucoup plus facile. Cat était la sœur de son meilleur ami, et une histoire avec elle était impossible. Mais la nuit qu’il avait passé avec elle resterait gravée à jamais dans sa mémoire, même s’il savait que ce serait la seule nuit qu’il passerait avec elle.
Les années avaient passées, et il avait pensé avoir réussi à l’oublier. Mais aujourd’hui, son passé lui revenait en plein visage. Quand, il l’avait vu, il avait senti son cœur battre à la chamade comme autrefois. Mais rien n’était toujours possible entre eux, et quand il avait croisé son regard, il avait compris qu’elle lui en voulait toujours, et ne c’était certainement pas attendue à le revoir. Il ne savait pas si elle suivait sa carrière, mais il aurait parié que non. Elle avait du le bannir de sa vie et il ne pouvait pas lui en vouloir après la façon dont elle l’avait traité.
Il se retrouva dans la cuisine, et prépara du café d’un geste machinal. Tout le monde dormait encore, et il savait que Cat n’allait pas rester enfermée dans sa chambre, elle allait bien finir par descendre. Il ne savait pas ce qu’il allait pouvoir lui dire, mais il trouverait bien au moment voulu. Elle avait changé, elle était devenue encore plus belle qu’avant et ses cheveux étaient un peu plus courts, ils lui arrivaient maintenant à l’épaule. Une fois le café passé, il se servit une tasse et alla sur la terrasse et admira le jardin qui se profilait devant lui.
Cinq minutes plus tard…
Je me douchais rapidement, et m’habillais en prenant mon temps. Je n’avais pas hâte de descendre pour me retrouver face à lui, mais il faudrait bien que ca arrive. J’espérais juste que mon frère se serrait levé et que je n’aurais pas à rester seule avec lui trop longtemps. Je ne me laisserais plus faire, j’avais vingt neuf ans, et le temps où j’étais à ses pieds était révolu. L’homme qu’il était devenu je ne le connaissais pas, et je n’avais aucune envie de la connaître. Pas après tout ce qu’il m’avait fait. Il m’avait berné une fois, ca ne recommencerait pas. Je n’étais plus aussi idiote qu’il y a douze ans.
J’étais prête et il était temps pour moi de descendre. Je me rendis au rez-de-chaussée sans faire de bruit, et je me dirigeais vers la cuisine. Elle était vide pour mon plus grand plaisir. Je pris une tasse dans un placard, et me servis une tasse de café, et je me dirigeai vers le jardin. Je devais passer par la véranda pour aller dans le jardin, et il était là assis. Il leva les yeux quand il me vit entrer, mais je ne m’arrêtai pas. Je continuais mon chemin, et j’ouvris la baie vitrée, et je me dirigeais vers les bancs du jardin. J’aurais pu m’arrêter et lui parler, mais pour lui dire quoi ? Je suis ravie de te revoir ? Alors que ce n’était pas le cas, si j’avais su que tu serais là, je ne serais jamais venue. Mais si jamais je décidais de partir maintenant, tu saurais forcément que c’était à cause de toi, et je ne le voulais absolument pas.
Je m’assis sur le bas, et je contemplais le bosquet de fleurs en essayant d’oublier sa présence dans cette maison. Peine perdue, car je sentis quelqu’un s’asseoir à côté de moi sur le banc. C’était lui, il n’y avait aucun doute possible. Sa façon de bouger était restée la même, son odeur n’avait pas changé, et je sentis les battements de mon cœur s’accélérer malgré moi. Je me haïssais à cet instant, car malgré tout ce que j’avais subi par sa faute, j’éprouvais encore quelque chose pour lui. Je ne dis rien, il n’y avait rien à dire de toute façon, mais ca ne devait pas être son cas, car il finit par dire :
- Bonjour Catherine. Je suis ravie de te revoir.
Ravie de me revoir ? Mes fesses, oui. Tu devais bien rire intérieurement. Tu ne t’attendais pas à me voir ici sans doute, mais j’étais là, et il fallait bien meubler le silence électrique qui régnait entre nous. Voyant que je ne répondais pas, tu repris :
- Cat ??
Je soupirai. Mais qu’attendais-tu de moi à la fin ? Que je te dise, moi aussi ? Hors de question. Tu voulais que je te réponde ? Et bien, j’allais te répondre si ca ne faisait plaisir. Mais, je ne serais pas gentille, je n’avais jamais été gentille avec toi, surtout depuis notre dernière rencontre, et je n’avais pas l’intention de changer. Je me tournai alors vers toi et nos regards se croisèrent. Ton petit sourire en coin m’énerva plus qu’autre chose, et je te dis alors :
- Si tu veux savoir, ce n’est pas réciproque.
Il ne dit et continua de me fixer. Pourquoi le faisait-il d’ailleurs ? J’avais changé tant que ca ? Ou alors essayait-il de lire en moi comme il avait pu le faire par le passé ? Il me dit alors :
- Tu es toujours en colère contre moi ?
- En colère, moi ? Non pas du tout. Pour être en colère il aurait fallu que je ressente quelque chose pour toi. Et ce que je ressentais pour toi est mort il y a douze ans, alors non, je ne suis pas en colère.
- Pourquoi m’évites-tu alors ?
- Tout simplement par je ne rien à te dire. Tu as été très clair il y a douze ans. Je ne suis plus celle que tu as connue, et tu ne le sauras jamais de toute façon.
- Alors pendant les deux à venir, nous allons nous éviter ?
Il allait rester deux mois ? Au mon dieu non ! Qu’allais-je bien pouvoir faire pour rester loin de lui. Même si je ne restais pas aussi longtemps, ca voulait dire que j’allais le voir tous les jours pendant six semaines. Je lui rétorquais :
- Tu ne me verras pas beaucoup, je suis venue uniquement pour le mariage, j’ai beaucoup de travail en ce moment.
- Dans quelle branche es-tu ?
- Je suis avocate spécialisée dans les affaires criminelles.
- Ca doit être dangereux, non ?
- Ca l’est. Mais, ce fais pas semblant de t’y intéressé, si je venais à mourir, ca ne te ferai rien, alors ne t’inquiète pas pour moi, tu ne le sauras même pas si ca arrivait.
Son regard s’assombrit, et je sus immédiatement que j’avais trop parlé. Mais c’était plus fort que moi, dès qu’il était là, il ne le faisait peut être pas exprès, mais il me cherchait, et il réussissait toujours à me trouver. Il répondit alors d’une voix étrange :
- Tu ne devrais pas dire ça. C’est faux, jamais je ne souhaiterai ca, et tu le sais très bien.
- Non, je ne connais rien de toi. Je croyais te connaître à une époque, et je me suis vite rendue compte que j’avais fait une belle erreur. Je ne te connaissais pas il y a douze ans, et je te connais encore moins aujourd’hui.
- On pourrait remédier à ca…
- Je ne sais pas si j’en ai envie…
- Très bien, je suis devenue célèbre, tu sais. J’ai changé. Tu regardes ma série ?
- Non, quand je suis partie il y a douze ans, je m’étais promis de ne plus rien avoir à faire avec toi. Et même si tu es la pendant deux mois, ce qui n’est pas mon cas, je ne suis pas venue ici pour redevenir amie avec toi. Nous ne l’avons jamais été d’ailleurs, et ca ne risque pas de changer. Tu vas être là quasiment tous les jours pendant les deux et demi à venir, très bien. Pour que mon frère ne se pose pas de questions, je te sourirai et je te parlerai en public. Ca s’arrête là, et c’est uniquement pour mon frère que je le fais. Nous n’avons jamais été proches, enfin peut être une fois, et cette époque est révolue. Personne n’est au courant de ce qui s’est passé, et personne ne doit savoir. Une seule personne est au courant…
- Qui ?
- Matthew. Quand je suis partie, il a deviné, et j’ai été obligé de lui raconter la vérité. C’est le seul qui connaisse la vérité, enfin une partie de la vérité, je ne lui ai pas tout raconté. Alors n’en parle pas, surtout pas à mon frère. Sur ce, j’ai du travail, je te laisse. Amuse-toi bien avec mon frère.
- Je ne dirais rien, ce n’était pas mon intention, tu sais.
Tant mieux si ce n’était pas ton intention, car tu aurais fait quoi de toute façon. Je me levai et j’allai partir quand quelque chose me traversa l’esprit. Je me retournais et te dit :
- Oh fait, tu passeras le bonjour de ma part à Judith…
Je ne lui laissai pas le temps de répondre, et je me dirigeai vers la maison. J’avais besoin de réfléchir, de penser à ce que j’allais faire. J’avais une décision à prendre et vite…
Alors ????
Me voilà, désolée de pas avoir postée avant, j'ai bossé toute la journée....
La voia, nouveau chapitre..
Bonne lecture...
CHAPITRE 4 :
Quelques minutes plus tard – Dans la cuisine…
Wentworth n’aurait jamais cru que ce jour viendrait, et qu’il la reverrait. Quand il l’avait vu dans la piscine, il avait pensé que sa vue lui jouer des tours. Il avait pensé qu’elle ne reviendrait jamais ici surtout s’il était là. Quand il avait appris qu’elle était partie douze ans plus tôt, il avait su que c’était de sa faute. Il savait qu’il avait fait une erreur cette nuit là, et il ne se le pardonnerait jamais. Il ne regrettait pas d’avoir fait l’amour avec elle, au contraire, cette nuit là avait été la plus belle de toute sa vie, mais il l’avait compris trop tard.
Quand il l’avait repoussé le lendemain matin, et qu’il avait vu les larmes dans ses yeux, il avait voulu la prendre dans ses bras et l’embrasser, mais il s’était retint. Par la suite après qu’elle soit partie, il avait compris qu’il était tombé amoureux, mais n’avait pas été vers elle pour autant. Il l’avait laissé croire qu’il ne l’aimait pas, c’était beaucoup plus facile. Cat était la sœur de son meilleur ami, et une histoire avec elle était impossible. Mais la nuit qu’il avait passé avec elle resterait gravée à jamais dans sa mémoire, même s’il savait que ce serait la seule nuit qu’il passerait avec elle.
Les années avaient passées, et il avait pensé avoir réussi à l’oublier. Mais aujourd’hui, son passé lui revenait en plein visage. Quand, il l’avait vu, il avait senti son cœur battre à la chamade comme autrefois. Mais rien n’était toujours possible entre eux, et quand il avait croisé son regard, il avait compris qu’elle lui en voulait toujours, et ne c’était certainement pas attendue à le revoir. Il ne savait pas si elle suivait sa carrière, mais il aurait parié que non. Elle avait du le bannir de sa vie et il ne pouvait pas lui en vouloir après la façon dont elle l’avait traité.
Il se retrouva dans la cuisine, et prépara du café d’un geste machinal. Tout le monde dormait encore, et il savait que Cat n’allait pas rester enfermée dans sa chambre, elle allait bien finir par descendre. Il ne savait pas ce qu’il allait pouvoir lui dire, mais il trouverait bien au moment voulu. Elle avait changé, elle était devenue encore plus belle qu’avant et ses cheveux étaient un peu plus courts, ils lui arrivaient maintenant à l’épaule. Une fois le café passé, il se servit une tasse et alla sur la terrasse et admira le jardin qui se profilait devant lui.
Cinq minutes plus tard…
Je me douchais rapidement, et m’habillais en prenant mon temps. Je n’avais pas hâte de descendre pour me retrouver face à lui, mais il faudrait bien que ca arrive. J’espérais juste que mon frère se serrait levé et que je n’aurais pas à rester seule avec lui trop longtemps. Je ne me laisserais plus faire, j’avais vingt neuf ans, et le temps où j’étais à ses pieds était révolu. L’homme qu’il était devenu je ne le connaissais pas, et je n’avais aucune envie de la connaître. Pas après tout ce qu’il m’avait fait. Il m’avait berné une fois, ca ne recommencerait pas. Je n’étais plus aussi idiote qu’il y a douze ans.
J’étais prête et il était temps pour moi de descendre. Je me rendis au rez-de-chaussée sans faire de bruit, et je me dirigeais vers la cuisine. Elle était vide pour mon plus grand plaisir. Je pris une tasse dans un placard, et me servis une tasse de café, et je me dirigeai vers le jardin. Je devais passer par la véranda pour aller dans le jardin, et il était là assis. Il leva les yeux quand il me vit entrer, mais je ne m’arrêtai pas. Je continuais mon chemin, et j’ouvris la baie vitrée, et je me dirigeais vers les bancs du jardin. J’aurais pu m’arrêter et lui parler, mais pour lui dire quoi ? Je suis ravie de te revoir ? Alors que ce n’était pas le cas, si j’avais su que tu serais là, je ne serais jamais venue. Mais si jamais je décidais de partir maintenant, tu saurais forcément que c’était à cause de toi, et je ne le voulais absolument pas.
Je m’assis sur le bas, et je contemplais le bosquet de fleurs en essayant d’oublier sa présence dans cette maison. Peine perdue, car je sentis quelqu’un s’asseoir à côté de moi sur le banc. C’était lui, il n’y avait aucun doute possible. Sa façon de bouger était restée la même, son odeur n’avait pas changé, et je sentis les battements de mon cœur s’accélérer malgré moi. Je me haïssais à cet instant, car malgré tout ce que j’avais subi par sa faute, j’éprouvais encore quelque chose pour lui. Je ne dis rien, il n’y avait rien à dire de toute façon, mais ca ne devait pas être son cas, car il finit par dire :
- Bonjour Catherine. Je suis ravie de te revoir.
Ravie de me revoir ? Mes fesses, oui. Tu devais bien rire intérieurement. Tu ne t’attendais pas à me voir ici sans doute, mais j’étais là, et il fallait bien meubler le silence électrique qui régnait entre nous. Voyant que je ne répondais pas, tu repris :
- Cat ??
Je soupirai. Mais qu’attendais-tu de moi à la fin ? Que je te dise, moi aussi ? Hors de question. Tu voulais que je te réponde ? Et bien, j’allais te répondre si ca ne faisait plaisir. Mais, je ne serais pas gentille, je n’avais jamais été gentille avec toi, surtout depuis notre dernière rencontre, et je n’avais pas l’intention de changer. Je me tournai alors vers toi et nos regards se croisèrent. Ton petit sourire en coin m’énerva plus qu’autre chose, et je te dis alors :
- Si tu veux savoir, ce n’est pas réciproque.
Il ne dit et continua de me fixer. Pourquoi le faisait-il d’ailleurs ? J’avais changé tant que ca ? Ou alors essayait-il de lire en moi comme il avait pu le faire par le passé ? Il me dit alors :
- Tu es toujours en colère contre moi ?
- En colère, moi ? Non pas du tout. Pour être en colère il aurait fallu que je ressente quelque chose pour toi. Et ce que je ressentais pour toi est mort il y a douze ans, alors non, je ne suis pas en colère.
- Pourquoi m’évites-tu alors ?
- Tout simplement par je ne rien à te dire. Tu as été très clair il y a douze ans. Je ne suis plus celle que tu as connue, et tu ne le sauras jamais de toute façon.
- Alors pendant les deux à venir, nous allons nous éviter ?
Il allait rester deux mois ? Au mon dieu non ! Qu’allais-je bien pouvoir faire pour rester loin de lui. Même si je ne restais pas aussi longtemps, ca voulait dire que j’allais le voir tous les jours pendant six semaines. Je lui rétorquais :
- Tu ne me verras pas beaucoup, je suis venue uniquement pour le mariage, j’ai beaucoup de travail en ce moment.
- Dans quelle branche es-tu ?
- Je suis avocate spécialisée dans les affaires criminelles.
- Ca doit être dangereux, non ?
- Ca l’est. Mais, ce fais pas semblant de t’y intéressé, si je venais à mourir, ca ne te ferai rien, alors ne t’inquiète pas pour moi, tu ne le sauras même pas si ca arrivait.
Son regard s’assombrit, et je sus immédiatement que j’avais trop parlé. Mais c’était plus fort que moi, dès qu’il était là, il ne le faisait peut être pas exprès, mais il me cherchait, et il réussissait toujours à me trouver. Il répondit alors d’une voix étrange :
- Tu ne devrais pas dire ça. C’est faux, jamais je ne souhaiterai ca, et tu le sais très bien.
- Non, je ne connais rien de toi. Je croyais te connaître à une époque, et je me suis vite rendue compte que j’avais fait une belle erreur. Je ne te connaissais pas il y a douze ans, et je te connais encore moins aujourd’hui.
- On pourrait remédier à ca…
- Je ne sais pas si j’en ai envie…
- Très bien, je suis devenue célèbre, tu sais. J’ai changé. Tu regardes ma série ?
- Non, quand je suis partie il y a douze ans, je m’étais promis de ne plus rien avoir à faire avec toi. Et même si tu es la pendant deux mois, ce qui n’est pas mon cas, je ne suis pas venue ici pour redevenir amie avec toi. Nous ne l’avons jamais été d’ailleurs, et ca ne risque pas de changer. Tu vas être là quasiment tous les jours pendant les deux et demi à venir, très bien. Pour que mon frère ne se pose pas de questions, je te sourirai et je te parlerai en public. Ca s’arrête là, et c’est uniquement pour mon frère que je le fais. Nous n’avons jamais été proches, enfin peut être une fois, et cette époque est révolue. Personne n’est au courant de ce qui s’est passé, et personne ne doit savoir. Une seule personne est au courant…
- Qui ?
- Matthew. Quand je suis partie, il a deviné, et j’ai été obligé de lui raconter la vérité. C’est le seul qui connaisse la vérité, enfin une partie de la vérité, je ne lui ai pas tout raconté. Alors n’en parle pas, surtout pas à mon frère. Sur ce, j’ai du travail, je te laisse. Amuse-toi bien avec mon frère.
- Je ne dirais rien, ce n’était pas mon intention, tu sais.
Tant mieux si ce n’était pas ton intention, car tu aurais fait quoi de toute façon. Je me levai et j’allai partir quand quelque chose me traversa l’esprit. Je me retournais et te dit :
- Oh fait, tu passeras le bonjour de ma part à Judith…
Je ne lui laissai pas le temps de répondre, et je me dirigeai vers la maison. J’avais besoin de réfléchir, de penser à ce que j’allais faire. J’avais une décision à prendre et vite…
Alors ????
Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
Super! Canon!
Comment il va faire pour rattraper ça?
Comment il va faire pour rattraper ça?
Astrid- En route pour la frontière
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Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
Toujours pas pardonner ce con, il m'énerve il a été salaud, elle est trop tendre avec lui là!!!!!!
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
Bonsoir,
Voila la suite...
Bonne lecture...
Dix minutes plus tard – Dans le jardin…
Quand elle s’était enfuie, Wentworth l’avait laissé faire et ne l’avait pas suivie. A quoi ca servirait de toute façon, il n’y avait rien d’autre à ajouter. Elle avait tout dit, elle ne voulait pas qu’ils se voient même en tant qu’amis. D’un côté, ca le rassurait car il ne savait pas s’il aurait supporté d’être juste son ami. Pourtant, les années avaient passé et il croyait qu’il ne ressentait pus rien pour elle, mais il venait de s’apercevoir qu’il avait eu tort. Mais qu’il est tort ou non, il refoulerait ce qu’il ressentait pour elle, il n’avait pas le droit de ressentir quelque chose pour elle, et resterait la promesse qu’il avait fait à Luke.
Il continua de réfléchir à la situation, quand il sentit quelqu’un s’asseoir à côté de lui. Il tourna la tête et reconnut Matthew. Ils se firent une accolade, et Matthew s’assit à côté de lui et lui dit :
- Je ne m’attendais pas à te voir ici, je te croyais en plein tournage de la série.
- Nous avons terminé le tournage plus tôt que prévu, et je suis enfin en vacances.
- Tu es arrivé quand ?
- Hier soir.
- Tu sais que tes parents sont partis en voyage ?
- Oui, je les avais appelés avant de venir.
- Sinon tu vas bien. Ca se passe bien Dallas ?
- Oui, mais je suis content d’être revenu pour passer les vacances.
Matthew le regarda, et du voir quelque chose car il lui demanda :
- Tu l’as vu, n’est-ce pas ?
- Oui, tout à l’heure. Comment tu sais ça ?
- Ca se voit à ta tête, je ne l’ai pas encore vu et elle n’a pas pu m’en parler. Comment ca c’est passé ?
- Mal. Elle m’en veut toujours, et ne veut rien avoir à faire avec moi. Elle ne veut même pas que l’on soit ami.
- Tu ne lui en as pas parlé ?
- Lui parler de quoi ?
- Lui dire pour le pacte.
- Non, et je ne le ferais jamais, et je n’ai pas l’intention de la retoucher une seule fois.
Quand il avait eu 18 ans, il avait signé un pacte avec Luke et Matt. Il avait à Luke de ne jamais toucher sa sœur, et qu’il serait toujours la pour elle s’il venait arriver quelque chose à Luke. Et, il avait trahi le pacte, mais n’en avait rien dit à Luke. Et, il s’était promis que ca ne se reproduirait jamais, même si la nuit qu’il avait passé avec elle avait été la meilleure de toute sa vie. Matthew lui dit alors :
- Allez viens, on va rentrer, Luke doit être levé maintenant.
- Ok, je te suis.
Ils se levèrent et se dirigèrent vers la maison pour rejoindre leur meilleur ami.
Deux plus tard – Dans la chambre de Cat…
J’étais faible, je le savais. Leurs rires me parvenaient jusqu’à ma chambre, et j’avais essayé de travailler, mais j’avais laissé mon ordinateur dans le salon. Je ne pouvais donc pas utiliser cette excuse. Je sus parfaitement que revenir pour des vacances était une très mauvaise idée. Surtout depuis qu’il avait refait surface. Sa présence me faisait revivre des moments douloureux de ma vie, et je n’en avais aucune envie. Quand, j’étais partie, je souffrais le martyre même en étant à des milliers de kilomètres de lui. C’était insupportable, et au bout d’un mois et demi, je commençais à me sentir mal. C’était encore les vacances, donc ca ne me gênait pas plus que ça.
Mais, deux semaines plus tard je n’allais toujours pas mieux, et ma colocataire de la fac se faisait du souci pour moi et elle réussit à me convaincre de prendre rendez vous chez le médecin. Je fermais les yeux, et je fus replongé malgré moi douze ans plus tôt dans cette salle d’attente.
Flash Back…
J’avais attendu pendant à peu près une vingtaine de minutes, quand le médecin me fit entrer dans son cabinet. J’avais fait une prise de sang deux jours auparavant pour qu’il puisse l’examiner et me dire ce que j’avais. Il s’était assis derrière son bureau, et avait examiné pendant quelques minutes les résultats que je lui avais tendu, et il avait fini par lever la tête, et par me dire :
- Vous n’avez rien de grave, Mademoiselle O’Connell.
- Mais, j’ai toujours des nausées, et des vertiges, et je suis vite fatiguée.
- Je sais, Mademoiselle. C’est normal. Vous n’êtes pas malade, vous êtes enceinte.
A ces mots, je le regardais, éberluée. Moi, enceinte ? C’était impossible. Je ne pouvais pas être enceinte. Bien sur, je savais comment on faisait des bébés, mais enceinte du premier coup. J’étais tétanisée, j’avais peur, j’avais 18 ans, et je n’étais pas prête à avoir un enfant. Le médecin me regarda alors et me dit :
- Ca vous pose un problème ?
- Non, non, bien sur. C’est juste que je suis surprise, c’est tout.
- Très bien, je vais vous prescrire des vitamines, et quelques médicaments, pour vous soulager. Mais les nausées devraient disparaître.
- Merci.
J’avais quitté le cabinet abasourdie. J’avais peur de ne pas être à la hauteur. Bien sur, il était hors de question que j’avorte. Je voulais cet enfant, même si sa conception n’avait pas du tout été prévue. Ma colocataire, Jenny, était devenue par la suite ma meilleure amie, et m’avait soutenue dans les moments difficiles. J’étais finalement heureuse d’attendre un enfant, même si je n’avais que 18 ans. Mais ce bonheur fut de courte durée. Un soir, alors que j’étais enceinte de six mois, je ressentis une violente douleur et j’avais été emmenée d’urgence à l’hôpital, et j’avais du être opérée. A mon réveil, on m’avait informée qu’on avait du m’opérer, et que j’avais perdu le bébé. Ce jour là, je pleurais toutes les larmes de mon corps, et les médecins m’avaient dit que je pourrais toujours avoir des enfants plus tard, j’avais hoché la tête, mais le cœur n’y était pas.
J’avais quitté l’hôpital, et finis par reprendre les cours. Je m’y étais alors plongée à fond pour ne pas penser au fait que je venais de perdre l’enfant que je portais et j’avais essayé d’oublier. Personne n’était au courant à part Jenny, et personne ne le saurait jamais.
Fin du Flash Back…
Je me rendis compte alors que j’avais trente et aucune vie sociale, et que si je continuais comme ca, je finirais seule jusqu’à la fin de ma vie. Même si l’homme que j’avais toujours été là, et se moquait éperdument de moi, je pouvais quand même essayer de rencontrer quelqu’un. Je pouvais profiter de ses vacances, pour essayer de dénicher la perle rare, après tout. Mon frère était coutier en bourse, et devait connaître beaucoup d’hommes célibataires et je pouvais toujours essayer d’en rencontrer quelques uns.
Sur cette pensée, je souris et descendis les rejoindre à la cuisine. Ils étaient tous là, j’embrassais mon frère et ma future belle sœur, et j’embrassais ensuite Matt qui me serra dans ses bras comme à son habitude. Je m’assis au bar, et mon frère me demanda :
- Qu’est-ce que tu faisais ?
Je croisais le regard de Wentworth, et fuyais son regard. Je ne voulais qu’il puisse lire en moi la moindre émotion. Je répondis alors :
- Je réfléchissais…
- Et, tu as bien réfléchi ?
- Oui, et j’ai besoin de ton aide…
- Ah bon ? Vas-y, je t’écoute.
Tout le monde attendait que j’ouvre la bouche pour dire de quoi j’avais besoin. Personne ne s’attendait à ce que j’allais demander à Luke, et quand j’ouvris la bouche pour parler ils me détaillaient tous du regard, et je finis par dire :
- J’ai besoin de ton aide Luke. J’ai besoin que tu me trouves un mari….
Silence total, j’aurais pu entendre une mouche volait. Je regardais mon frère qui éberlué, ne savait pas quoi répondre…
J'en ai aussi une autre de WentStory, vous la voulez ?
Dites-moi...
Voila la suite...
Bonne lecture...
CHAPITRE 5 :
Dix minutes plus tard – Dans le jardin…
Quand elle s’était enfuie, Wentworth l’avait laissé faire et ne l’avait pas suivie. A quoi ca servirait de toute façon, il n’y avait rien d’autre à ajouter. Elle avait tout dit, elle ne voulait pas qu’ils se voient même en tant qu’amis. D’un côté, ca le rassurait car il ne savait pas s’il aurait supporté d’être juste son ami. Pourtant, les années avaient passé et il croyait qu’il ne ressentait pus rien pour elle, mais il venait de s’apercevoir qu’il avait eu tort. Mais qu’il est tort ou non, il refoulerait ce qu’il ressentait pour elle, il n’avait pas le droit de ressentir quelque chose pour elle, et resterait la promesse qu’il avait fait à Luke.
Il continua de réfléchir à la situation, quand il sentit quelqu’un s’asseoir à côté de lui. Il tourna la tête et reconnut Matthew. Ils se firent une accolade, et Matthew s’assit à côté de lui et lui dit :
- Je ne m’attendais pas à te voir ici, je te croyais en plein tournage de la série.
- Nous avons terminé le tournage plus tôt que prévu, et je suis enfin en vacances.
- Tu es arrivé quand ?
- Hier soir.
- Tu sais que tes parents sont partis en voyage ?
- Oui, je les avais appelés avant de venir.
- Sinon tu vas bien. Ca se passe bien Dallas ?
- Oui, mais je suis content d’être revenu pour passer les vacances.
Matthew le regarda, et du voir quelque chose car il lui demanda :
- Tu l’as vu, n’est-ce pas ?
- Oui, tout à l’heure. Comment tu sais ça ?
- Ca se voit à ta tête, je ne l’ai pas encore vu et elle n’a pas pu m’en parler. Comment ca c’est passé ?
- Mal. Elle m’en veut toujours, et ne veut rien avoir à faire avec moi. Elle ne veut même pas que l’on soit ami.
- Tu ne lui en as pas parlé ?
- Lui parler de quoi ?
- Lui dire pour le pacte.
- Non, et je ne le ferais jamais, et je n’ai pas l’intention de la retoucher une seule fois.
Quand il avait eu 18 ans, il avait signé un pacte avec Luke et Matt. Il avait à Luke de ne jamais toucher sa sœur, et qu’il serait toujours la pour elle s’il venait arriver quelque chose à Luke. Et, il avait trahi le pacte, mais n’en avait rien dit à Luke. Et, il s’était promis que ca ne se reproduirait jamais, même si la nuit qu’il avait passé avec elle avait été la meilleure de toute sa vie. Matthew lui dit alors :
- Allez viens, on va rentrer, Luke doit être levé maintenant.
- Ok, je te suis.
Ils se levèrent et se dirigèrent vers la maison pour rejoindre leur meilleur ami.
Deux plus tard – Dans la chambre de Cat…
J’étais faible, je le savais. Leurs rires me parvenaient jusqu’à ma chambre, et j’avais essayé de travailler, mais j’avais laissé mon ordinateur dans le salon. Je ne pouvais donc pas utiliser cette excuse. Je sus parfaitement que revenir pour des vacances était une très mauvaise idée. Surtout depuis qu’il avait refait surface. Sa présence me faisait revivre des moments douloureux de ma vie, et je n’en avais aucune envie. Quand, j’étais partie, je souffrais le martyre même en étant à des milliers de kilomètres de lui. C’était insupportable, et au bout d’un mois et demi, je commençais à me sentir mal. C’était encore les vacances, donc ca ne me gênait pas plus que ça.
Mais, deux semaines plus tard je n’allais toujours pas mieux, et ma colocataire de la fac se faisait du souci pour moi et elle réussit à me convaincre de prendre rendez vous chez le médecin. Je fermais les yeux, et je fus replongé malgré moi douze ans plus tôt dans cette salle d’attente.
Flash Back…
J’avais attendu pendant à peu près une vingtaine de minutes, quand le médecin me fit entrer dans son cabinet. J’avais fait une prise de sang deux jours auparavant pour qu’il puisse l’examiner et me dire ce que j’avais. Il s’était assis derrière son bureau, et avait examiné pendant quelques minutes les résultats que je lui avais tendu, et il avait fini par lever la tête, et par me dire :
- Vous n’avez rien de grave, Mademoiselle O’Connell.
- Mais, j’ai toujours des nausées, et des vertiges, et je suis vite fatiguée.
- Je sais, Mademoiselle. C’est normal. Vous n’êtes pas malade, vous êtes enceinte.
A ces mots, je le regardais, éberluée. Moi, enceinte ? C’était impossible. Je ne pouvais pas être enceinte. Bien sur, je savais comment on faisait des bébés, mais enceinte du premier coup. J’étais tétanisée, j’avais peur, j’avais 18 ans, et je n’étais pas prête à avoir un enfant. Le médecin me regarda alors et me dit :
- Ca vous pose un problème ?
- Non, non, bien sur. C’est juste que je suis surprise, c’est tout.
- Très bien, je vais vous prescrire des vitamines, et quelques médicaments, pour vous soulager. Mais les nausées devraient disparaître.
- Merci.
J’avais quitté le cabinet abasourdie. J’avais peur de ne pas être à la hauteur. Bien sur, il était hors de question que j’avorte. Je voulais cet enfant, même si sa conception n’avait pas du tout été prévue. Ma colocataire, Jenny, était devenue par la suite ma meilleure amie, et m’avait soutenue dans les moments difficiles. J’étais finalement heureuse d’attendre un enfant, même si je n’avais que 18 ans. Mais ce bonheur fut de courte durée. Un soir, alors que j’étais enceinte de six mois, je ressentis une violente douleur et j’avais été emmenée d’urgence à l’hôpital, et j’avais du être opérée. A mon réveil, on m’avait informée qu’on avait du m’opérer, et que j’avais perdu le bébé. Ce jour là, je pleurais toutes les larmes de mon corps, et les médecins m’avaient dit que je pourrais toujours avoir des enfants plus tard, j’avais hoché la tête, mais le cœur n’y était pas.
J’avais quitté l’hôpital, et finis par reprendre les cours. Je m’y étais alors plongée à fond pour ne pas penser au fait que je venais de perdre l’enfant que je portais et j’avais essayé d’oublier. Personne n’était au courant à part Jenny, et personne ne le saurait jamais.
Fin du Flash Back…
Je me rendis compte alors que j’avais trente et aucune vie sociale, et que si je continuais comme ca, je finirais seule jusqu’à la fin de ma vie. Même si l’homme que j’avais toujours été là, et se moquait éperdument de moi, je pouvais quand même essayer de rencontrer quelqu’un. Je pouvais profiter de ses vacances, pour essayer de dénicher la perle rare, après tout. Mon frère était coutier en bourse, et devait connaître beaucoup d’hommes célibataires et je pouvais toujours essayer d’en rencontrer quelques uns.
Sur cette pensée, je souris et descendis les rejoindre à la cuisine. Ils étaient tous là, j’embrassais mon frère et ma future belle sœur, et j’embrassais ensuite Matt qui me serra dans ses bras comme à son habitude. Je m’assis au bar, et mon frère me demanda :
- Qu’est-ce que tu faisais ?
Je croisais le regard de Wentworth, et fuyais son regard. Je ne voulais qu’il puisse lire en moi la moindre émotion. Je répondis alors :
- Je réfléchissais…
- Et, tu as bien réfléchi ?
- Oui, et j’ai besoin de ton aide…
- Ah bon ? Vas-y, je t’écoute.
Tout le monde attendait que j’ouvre la bouche pour dire de quoi j’avais besoin. Personne ne s’attendait à ce que j’allais demander à Luke, et quand j’ouvris la bouche pour parler ils me détaillaient tous du regard, et je finis par dire :
- J’ai besoin de ton aide Luke. J’ai besoin que tu me trouves un mari….
Silence total, j’aurais pu entendre une mouche volait. Je regardais mon frère qui éberlué, ne savait pas quoi répondre…
J'en ai aussi une autre de WentStory, vous la voulez ?
Dites-moi...
Dernière édition par le Dim 5 Aoû - 15:51, édité 1 fois
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
Wahou, les révélations!
Comment elle a osé demander ça devant tout le monde? Les boules... Ca fait un peu "je suis trop nulle pour m'en trouver un toutre seule", et à sa place ça me couterait cher de dire ça devant Went
La suite!!!!
Comment elle a osé demander ça devant tout le monde? Les boules... Ca fait un peu "je suis trop nulle pour m'en trouver un toutre seule", et à sa place ça me couterait cher de dire ça devant Went
La suite!!!!
Astrid- En route pour la frontière
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lisa1333- Admis à l'infirmerie
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Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
Alors Cely, pas de suite?
Astrid- En route pour la frontière
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Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
la crevarde elle demande de l'aide pour se trouvé un mari non mais elle abuse un peu là quand est ce qu'on droit a une suite
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
Alors tu es passer ou cely ? on veut avoir une suite ne nous oublie pas sinon tu auras le droit au lancer de tomates. A QUAND LA SUITE ??????????
Sara59- Dr Tancredi you are free
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Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
Sara59 a écrit:Alors tu es passer ou cely ? on veut avoir une suite ne nous oublie pas sinon tu auras le droit au lancer de tomates. A QUAND LA SUITE ??????????
Attend je commence le lancer de tomates, RADINEUZ DE SUITE tient prend ça
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Age : 36
Localisation : J'en sais trop rien, je médite!
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
Ouille, ca chauffe...
Désolée, mais je n'ai récupéré internet que fin juillet....
Donc je viens vous mettre une suite, si ca vous tente...
J'attends donc vos coms....
Une minute plus tard - Samedi 25 mai – Heure locale – 10 H 45
Je vis passer le regard de mon frère de l’incompréhension à la surprise la plus totale. Il devait se demander pourquoi je lui demandais ça. Ca devait le surprendre venant de ma part. Mais, je ne voulais pas rester célibataire toute ma vie. Je me tournais vers ma future belle sœur, et je vis qu’elle n’avait pas l’air si surprise que ça, elle devait me comprendre après tout. Je me tournais ensuite vers Matthew, et je vis qu’il refoulait avec peine un éclat de rire. Quand à Wentworth, on aurait dit qu’il veniat de voir un fantôme. Je jubilais intérieurement en voyant son air. Après tout, ce n’était qu’un juste retour des choses. Après tout ce que j’avais subi par sa faute, il pouvait bien souffrir un petit peu.
Je regardais à nouveau mon frère, et il me lança un regard rempli de colère. Il me regarda et me dit :
- Suis-moi, il faut qu’on parle…
Je le regardais, et je ne comprenais pas sa réaction. Je le suivis jusque dans son bureau. Il referma la porte derrière moi et me fixa durant quelques secondes, et il finit par me dire :
- Qu’est-ce que c’est que cette histoire de mari ?
- Et bien, j’ai réfléchi et j’ai pris une décision. J’ai trente ans, et je ne veux pas rester célibataire toute ma vie. Et si je continue comme ça, c’est ce qui arrivera, et je n’aurais plus que mon travail. Et, je veux changer ça.
- Je veux bien. Mais qu’est-ce que je viens faire dans tout ça ?
- Tu dois bien connaître des célibataires de mon âge avec qui je pourrais sortir, non ?
- Oui, mais…
- Mais quoi ? Tu veux que je me débrouille toute seule, et j’écume toutes les boîtes de nuit de la ville ?
- Non, je ne te laisserai pas y aller seule, même si tu as trente ans. Je vais voir ce que je peux faire. Je pourrais organiser une petite soirée, et inviter quelques amis pour que tu puisses les rencontrer. Ca te va, comme ca ?
- C’est parfait, merci.
- Je n’aurais jamais cru ca de ta part, je dois dire.
- Pourquoi ?
- Parce que je sais que tu ne vis que pour ton travail, qui est quand même un travail dangereux. Je ne sais pas combien de fois, je te l’ai répété.
- Je sais, mais j’aime mon travail, mais j’ai réalisé que je devais aussi penser à autre chose que mon travail, même si j’adore ce que je fais.
- Très bonne initiative. Peut être que l’on pourra faire un double mariage ?
- Je crois que tu rêves, frérot. Je ne vais quand même pas changer du tout au tout, et me marier dans six semaines, c’est peut être un peu trop t’avancer.
- On verra, on verra.
- Je te laisse, je dois travailler sur un dossier.
- Ok, ne travaille pas trop surtout, n’oublie pas que tu es en vacances.
- C’est promis, ne t’en fais pas.
Sur ces derniers mots, je quittais son bureau, et retournais au salon pour récupérer mon ordinateur, et je me dirigeais dans le jardin pour travailler sur un de mes nombreux dossiers.
Au même moment – Dans le salon…
Luke revint voir ses deux amis, et vit que sa fiancée n’était plus dans les parages. Il s’assit au bar face à ses deux meilleurs amis, et Matthew lui demanda :
- Alors ? Ca n’a pas trop crié ?
- Non, t’inquiète. Nous avons une mission. Je dois trouver quelqu’un dans nos amis qui pourraient convenir à ma sœur. Je vais organiser une soirée pour le weekend prochain ou elle pourra les rencontrer. Mais, j’ai besoin de votre aide pour faire la liste de ceux que je vais inviter.
Wentworth ne disait rien, et essayait de ne rien laisser paraître. Quand, elle avait demandé à son frère de lui trouver un mari, il avait tout d’abord cru à une blague. Mais, il devait bien réaliser qu’elle était vraiment sérieuse. Elle l’avait toujours étonné, et il remarqua que ca n’avait pas l’air de changer. Il regarda ses deux amis qui ignoraient tout des sentiments qu’il avait pour elle, et qu’il garderait pour lui de toute façon. Mais, il ne pouvait pas les aider dans leurs recherches de l’homme parfait, car il ne connaissait plus du tout avec leurs anciens amis, donc il ne leur serait d’aucune utilité. Il se saisit alors de cette excuse pour éviter de se joindre à leur plan. Car, la seule chose qu’il voulait, c’était figurer sur cette fichue liste. Il se leva alors, et s’adressant à ses amis, leur dit :
- Je ne vais pas pouvoir vous aider, donc je vais vous laisser choisir tous les deux.
- Pourquoi tu ne pourrais pas nous aider ?
- Et bien, je ne parle plus à ces gens depuis une dizaine d’années, et je ne vous serai d’aucune utilité.
- Comme tu veux.
Wentworth les laissa alors s’occuper de cette fameuse liste et sortit de la cuisine. Luke demanda alors à Matthew :
- Tu as une idée de qui on pourrait inviter ?
- Euh, attends laisse-moi réfléchir. Des gens biens ?
- C’est de ma sœur qu’on parle, je te signale.
- Oui, je dirai alors Brian l’avocat, John le banquier, Eric le médecin, Eddy l’huissier, et puis après, tu peux en rajouter d’autres.
- Ok, je marque déjà eux.
- Et puis, tu peux inviter aussi quelques uns de tes collègues, et moi j’inviterai aussi les miens. Tu veux organiser quel genre de soirée ?
- J’avais pensé à un barbecue, avec de la musique, comme ca, ils pourraient danser.
- Oui, très bonne idée.
- Oh fait, tu n’as pas trouvé Went bizarre ?
- Non, pourquoi ?
- Je ne sais pas, je ne l’ai pas trouvé dans son assiette.
- Il doit être juste fatigué, laisse lui quelques jours, le tournage de sa série doit être épuisant.
- Ok, d’accord. Alors, c’est parti pour la soirée, je vais tous les contacter.
A ce moment là – Dans le jardin…
Je n’eus pas besoin de lever les yeux pour savoir qui venait de s’asseoir à l’autre bout de la table. Je savais que c’était lui, je connaissais par cœur sa façon de bouger, et je décidais de ne pas lever la tête. Je sentais son regard sur moi, et je frissonnais malgré moi. J’aurais bien aimé ne plus rien ressentir à son égard, mais le cœur à ses raisons, que la raison ignore. J’essayais tout de même de me replonger dans mon travail, même si c’était impossible. Voyant que je n’avais pas l’intention de lever la tête, il me dit alors :
- Tu travailles ?
Il était aveugle ou quoi ? Je lui répondis alors :
- Non, je m’amuse, ca ne se voit pas ?
- Désolé, je ne voulais pas t’énerver.
- Question idiote, réponse idiote.
- Ils sont en train de préparer ta soirée ?
- Et, tu ne les aides pas ?
- Non, je trouve ça complètement idiot de faire une soirée pour rencontrer l’homme de ta vie. Mais, c’est mon avis.
- En effet, c’est le tien, et il m’importe peu. Tu t’es toujours moqué de moi, et je ne vois pas pourquoi ca changerait.
- C’est faux, et tu le sais.
- Non, ce n’est pas faux, et je le sais parfaitement. Mais chacun à sa version de l’histoire, je suppose.
- Surement, on pourrait essayer de faire une trêve ?
Je levais les yeux et je voyais qu’il avait la main tendue vers moi, et je lui demandais :
- Pourquoi ? Nous sommes en guerre ?
- Je ne sais pas, j’en ai l’impression.
- Entendu pour la trêve.
Je pris alors sa main dans la mienne, pour officialiser cette trêve, mais je sus à l’instant même ou nos mains se touchèrent que la trêve était mal partie. La sensation de sa peau sur la mienne me faisait toujours le même effet, et je réalisais une chose : Je l’aimais toujours….
Désolée, mais je n'ai récupéré internet que fin juillet....
Donc je viens vous mettre une suite, si ca vous tente...
J'attends donc vos coms....
CHAPITRE 6 :
Une minute plus tard - Samedi 25 mai – Heure locale – 10 H 45
Je vis passer le regard de mon frère de l’incompréhension à la surprise la plus totale. Il devait se demander pourquoi je lui demandais ça. Ca devait le surprendre venant de ma part. Mais, je ne voulais pas rester célibataire toute ma vie. Je me tournais vers ma future belle sœur, et je vis qu’elle n’avait pas l’air si surprise que ça, elle devait me comprendre après tout. Je me tournais ensuite vers Matthew, et je vis qu’il refoulait avec peine un éclat de rire. Quand à Wentworth, on aurait dit qu’il veniat de voir un fantôme. Je jubilais intérieurement en voyant son air. Après tout, ce n’était qu’un juste retour des choses. Après tout ce que j’avais subi par sa faute, il pouvait bien souffrir un petit peu.
Je regardais à nouveau mon frère, et il me lança un regard rempli de colère. Il me regarda et me dit :
- Suis-moi, il faut qu’on parle…
Je le regardais, et je ne comprenais pas sa réaction. Je le suivis jusque dans son bureau. Il referma la porte derrière moi et me fixa durant quelques secondes, et il finit par me dire :
- Qu’est-ce que c’est que cette histoire de mari ?
- Et bien, j’ai réfléchi et j’ai pris une décision. J’ai trente ans, et je ne veux pas rester célibataire toute ma vie. Et si je continue comme ça, c’est ce qui arrivera, et je n’aurais plus que mon travail. Et, je veux changer ça.
- Je veux bien. Mais qu’est-ce que je viens faire dans tout ça ?
- Tu dois bien connaître des célibataires de mon âge avec qui je pourrais sortir, non ?
- Oui, mais…
- Mais quoi ? Tu veux que je me débrouille toute seule, et j’écume toutes les boîtes de nuit de la ville ?
- Non, je ne te laisserai pas y aller seule, même si tu as trente ans. Je vais voir ce que je peux faire. Je pourrais organiser une petite soirée, et inviter quelques amis pour que tu puisses les rencontrer. Ca te va, comme ca ?
- C’est parfait, merci.
- Je n’aurais jamais cru ca de ta part, je dois dire.
- Pourquoi ?
- Parce que je sais que tu ne vis que pour ton travail, qui est quand même un travail dangereux. Je ne sais pas combien de fois, je te l’ai répété.
- Je sais, mais j’aime mon travail, mais j’ai réalisé que je devais aussi penser à autre chose que mon travail, même si j’adore ce que je fais.
- Très bonne initiative. Peut être que l’on pourra faire un double mariage ?
- Je crois que tu rêves, frérot. Je ne vais quand même pas changer du tout au tout, et me marier dans six semaines, c’est peut être un peu trop t’avancer.
- On verra, on verra.
- Je te laisse, je dois travailler sur un dossier.
- Ok, ne travaille pas trop surtout, n’oublie pas que tu es en vacances.
- C’est promis, ne t’en fais pas.
Sur ces derniers mots, je quittais son bureau, et retournais au salon pour récupérer mon ordinateur, et je me dirigeais dans le jardin pour travailler sur un de mes nombreux dossiers.
Au même moment – Dans le salon…
Luke revint voir ses deux amis, et vit que sa fiancée n’était plus dans les parages. Il s’assit au bar face à ses deux meilleurs amis, et Matthew lui demanda :
- Alors ? Ca n’a pas trop crié ?
- Non, t’inquiète. Nous avons une mission. Je dois trouver quelqu’un dans nos amis qui pourraient convenir à ma sœur. Je vais organiser une soirée pour le weekend prochain ou elle pourra les rencontrer. Mais, j’ai besoin de votre aide pour faire la liste de ceux que je vais inviter.
Wentworth ne disait rien, et essayait de ne rien laisser paraître. Quand, elle avait demandé à son frère de lui trouver un mari, il avait tout d’abord cru à une blague. Mais, il devait bien réaliser qu’elle était vraiment sérieuse. Elle l’avait toujours étonné, et il remarqua que ca n’avait pas l’air de changer. Il regarda ses deux amis qui ignoraient tout des sentiments qu’il avait pour elle, et qu’il garderait pour lui de toute façon. Mais, il ne pouvait pas les aider dans leurs recherches de l’homme parfait, car il ne connaissait plus du tout avec leurs anciens amis, donc il ne leur serait d’aucune utilité. Il se saisit alors de cette excuse pour éviter de se joindre à leur plan. Car, la seule chose qu’il voulait, c’était figurer sur cette fichue liste. Il se leva alors, et s’adressant à ses amis, leur dit :
- Je ne vais pas pouvoir vous aider, donc je vais vous laisser choisir tous les deux.
- Pourquoi tu ne pourrais pas nous aider ?
- Et bien, je ne parle plus à ces gens depuis une dizaine d’années, et je ne vous serai d’aucune utilité.
- Comme tu veux.
Wentworth les laissa alors s’occuper de cette fameuse liste et sortit de la cuisine. Luke demanda alors à Matthew :
- Tu as une idée de qui on pourrait inviter ?
- Euh, attends laisse-moi réfléchir. Des gens biens ?
- C’est de ma sœur qu’on parle, je te signale.
- Oui, je dirai alors Brian l’avocat, John le banquier, Eric le médecin, Eddy l’huissier, et puis après, tu peux en rajouter d’autres.
- Ok, je marque déjà eux.
- Et puis, tu peux inviter aussi quelques uns de tes collègues, et moi j’inviterai aussi les miens. Tu veux organiser quel genre de soirée ?
- J’avais pensé à un barbecue, avec de la musique, comme ca, ils pourraient danser.
- Oui, très bonne idée.
- Oh fait, tu n’as pas trouvé Went bizarre ?
- Non, pourquoi ?
- Je ne sais pas, je ne l’ai pas trouvé dans son assiette.
- Il doit être juste fatigué, laisse lui quelques jours, le tournage de sa série doit être épuisant.
- Ok, d’accord. Alors, c’est parti pour la soirée, je vais tous les contacter.
A ce moment là – Dans le jardin…
Je n’eus pas besoin de lever les yeux pour savoir qui venait de s’asseoir à l’autre bout de la table. Je savais que c’était lui, je connaissais par cœur sa façon de bouger, et je décidais de ne pas lever la tête. Je sentais son regard sur moi, et je frissonnais malgré moi. J’aurais bien aimé ne plus rien ressentir à son égard, mais le cœur à ses raisons, que la raison ignore. J’essayais tout de même de me replonger dans mon travail, même si c’était impossible. Voyant que je n’avais pas l’intention de lever la tête, il me dit alors :
- Tu travailles ?
Il était aveugle ou quoi ? Je lui répondis alors :
- Non, je m’amuse, ca ne se voit pas ?
- Désolé, je ne voulais pas t’énerver.
- Question idiote, réponse idiote.
- Ils sont en train de préparer ta soirée ?
- Et, tu ne les aides pas ?
- Non, je trouve ça complètement idiot de faire une soirée pour rencontrer l’homme de ta vie. Mais, c’est mon avis.
- En effet, c’est le tien, et il m’importe peu. Tu t’es toujours moqué de moi, et je ne vois pas pourquoi ca changerait.
- C’est faux, et tu le sais.
- Non, ce n’est pas faux, et je le sais parfaitement. Mais chacun à sa version de l’histoire, je suppose.
- Surement, on pourrait essayer de faire une trêve ?
Je levais les yeux et je voyais qu’il avait la main tendue vers moi, et je lui demandais :
- Pourquoi ? Nous sommes en guerre ?
- Je ne sais pas, j’en ai l’impression.
- Entendu pour la trêve.
Je pris alors sa main dans la mienne, pour officialiser cette trêve, mais je sus à l’instant même ou nos mains se touchèrent que la trêve était mal partie. La sensation de sa peau sur la mienne me faisait toujours le même effet, et je réalisais une chose : Je l’aimais toujours….
Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
J'espère bien que les garçons vont penser à rajouter Wentworth à leur liste tout de même ! Ils ont beau avoir fait un pacte, maintenant, avec les années, ils peuvent peut-être l'oublier, non ?
valscof- Assistant(e) du Dr Tancredi
- Nombre de messages : 195
Date d'inscription : 27/05/2007
Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
J'éspère qu'ilos vont ajouter went à la liste des invités, mais ca m'étonne
Vivement une autre de tes suites!!!!
Vivement une autre de tes suites!!!!
angel_keikoo- Mr Crane you have a phone call...
- Nombre de messages : 1711
Age : 31
Localisation : Ailleurs
Date d'inscription : 07/07/2007
Re: Quand Le Destin S'en Mêle [MAJ 05/08] Pas de lectrice ? STOP
C'est dommage que tu ne mettes pas de suite, moi j'aime bien
Poety- Admis à l'infirmerie
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Localisation : West Hollywood L.A. appartement de Wenty
Date d'inscription : 03/07/2007
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