Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...

dacbc77 a écrit:oui le pere de sara est en vie
mais il a perdu la preuve l'important c'est qu'il ne sot pas mort qd meme
michael qui reconforte sara
leur declaration
linc trop gentil avec sara

allez en route pour le panama


bonnes vacances profite bien du soleil et de la
reviens nous vite parce que deux semaines sans ta fic ca va etre long

tout a ete dis!!!

2 semaines je ne vais pas pouvoir tenir pire que la desontoxication!!!

amuse toi bien!!!

Coucou!!!
Bon, tout d'abord je tiens à m'excuser de ne pas avoir donné de nouvelles plus tôt mais comme vous le savez j'étais partie 15 jours en vacances sans internet, et à mon retour j'ai été débordée par le boulot (et oui, le concours approche à grands pas... )
Et puis je dois avouer que je manquais d'inspiration pour ma fic....
Mais bon maintenant ca va mieux et si vous voulez la suite de ma fic, je pense pouvoir la poster d'ici ce week-end...

Mais bien sûr, si ca vous dit toujours....

fanancic a écrit:Coucou!!!
Bon, tout d'abord je tiens à m'excuser de ne pas avoir donné de nouvelles plus tôt mais comme vous le savez j'étais partie 15 jours en vacances sans internet, et à mon retour j'ai été débordée par le boulot (et oui, le concours approche à grands pas... )
Et puis je dois avouer que je manquais d'inspiration pour ma fic....
Mais bon maintenant ca va mieux et si vous voulez la suite de ma fic, je pense pouvoir la poster d'ici ce week-end...

Mais bien sûr, si ca vous dit toujours....

biensûr que ça nous dit toujours

vivement ce week end

tinkerbel a écrit:

fanancic a écrit:Coucou!!!
Bon, tout d'abord je tiens à m'excuser de ne pas avoir donné de nouvelles plus tôt mais comme vous le savez j'étais partie 15 jours en vacances sans internet, et à mon retour j'ai été débordée par le boulot (et oui, le concours approche à grands pas... )
Et puis je dois avouer que je manquais d'inspiration pour ma fic....
Mais bon maintenant ca va mieux et si vous voulez la suite de ma fic, je pense pouvoir la poster d'ici ce week-end...

Mais bien sûr, si ca vous dit toujours....

biensûr que ça nous dit toujours

vivement ce week end

se week end!!!!!

vivement j'ai hate de te lire de nouveau!!!!!

JulieScofield a écrit:

tinkerbel a écrit:

fanancic a écrit:Coucou!!!
Bon, tout d'abord je tiens à m'excuser de ne pas avoir donné de nouvelles plus tôt mais comme vous le savez j'étais partie 15 jours en vacances sans internet, et à mon retour j'ai été débordée par le boulot (et oui, le concours approche à grands pas... )
Et puis je dois avouer que je manquais d'inspiration pour ma fic....
Mais bon maintenant ca va mieux et si vous voulez la suite de ma fic, je pense pouvoir la poster d'ici ce week-end...

Mais bien sûr, si ca vous dit toujours....

biensûr que ça nous dit toujours

vivement ce week end

se week end!!!!!

vivement j'ai hate de te lire de nouveau!!!!!

oui le retour de ta fic

Coucou tout le monde!!!
Bon, je vois que vous avez l'air plutôt motivées pour avoir la suite...
J'ai une bonne nouvelle pour vous... la suite est prête un peu plus tôt que prévu et je pense la poster ce soir...
Mais pour ça il va falloir me montrer que vous êtes vraiment très très très très motivées!!!!
Soyez convaincantes et .... il se peut que je poste ce soir!!

Allez y... mettez le paquet!!

fanancic a écrit:Coucou tout le monde!!!
Bon, je vois que vous avez l'air plutôt motivées pour avoir la suite...
J'ai une bonne nouvelle pour vous... la suite est prête un peu plus tôt que prévu et je pense la poster ce soir...
Mais pour ça il va falloir me montrer que vous êtes vraiment très très très très motivées!!!!
Soyez convaincantes et .... il se peut que je poste ce soir!!

Allez y... mettez le paquet!!

Bon Miss je pourrai pas lire ta suite avant dimanche mais je la réclame de toute urgence

désolé pour hier soir j avais un baby sitting de dernière minute et aujourd hui j avais encore baby sitting toute la journée... donc j ai pas pu poster!

Vous êtes sûres que vous voulez la suite?
























Alors la voilà!!!

Chapitre 34

Ils atteignirent l’aérodrome vingt minutes plus tard, alors que Sara émergeait lentement du sommeil, sous le regard attendri de Michael.
Lincoln arrêta la voiture sur le parking, désert à cette heure ci, puis sortit du véhicule en jetant des regards méfiants autour de lui.
Après s’être assuré que l’endroit était sûr, il ouvrit la portière à son père puis à Michael et Sara, qui sortirent main dans la main, sans se quitter des yeux…
Le jeune homme regarda sa montre d’un air soucieux puis se tourna vers son frère :
M : « Mon contact devrait arriver d’un instant à l’autre… »

A peine avait-il prononcé ces mots qu’un bruit de moteur se fit entendre au lointain. Tous tournèrent la tête et virent une voiture déboucher dans un nuage de poussière, puis venir se garer à côté de la leur.
Instinctivement, Michael se mit devant Sara pour la protéger, alors que la portière du nouveau véhicule s’ouvrait lentement dans un silence pesant….

Soudain, un individu en sortit et referma la portière derrière lui, mais son visage restait dans l’ombre, caché par l’obscurité.
Sentant son cœur battre à la chamade, Michael vit l’inconnu s’avancer vers eux, et peu à peu ses traits se dessinèrent à la lumière des phares.
C’était un homme plutôt grand, dans la quarantaine, habillé de noir et dont le teint basané était en partie masqué par des lunettes noires et une petite barbe naissante.
H : « Vous êtes Michael Scofield ? Je suis Ahmed…. Vous avez l’argent ? »
Méfiant, le jeune homme l’interrogea d’un air soupçonneux :
M : « Quel est le mot de passe ? »
H : « Christina Rose 14114 »
Soulagé, Michael s’approcha alors vers lui, la sacoche contenant l’argent à la main.
Il la tendit à Ahmed et déclara :
M : « Tout y est, vous pouvez recompter… »
Ah : Non, ce n’est pas la peine, je vous fais confiance Michael… De toutes façons si il y a le moindre problème je vous retrouverai… et je vous tuerai »
Frissonnant devant l’air menaçant du pilote, Michael répondit :
M : « Ne vous inquiétez pas, il n’y aura aucun problème. L’argent est là »
Ah : « Très bien alors, nous allons pouvoir y aller. Ces personnes viennent avec nous ? »
M : « Oui, ça faisait partie du marché. Je pouvais amener d’autres personnes si je le souhaitais. »
Ah : « Je sais, Michael. Je suis un homme de parole… Je vous ai promis que je vous ferai passer au Panama, je tiendrai ma promesse, ne vous inquiétez pas… »
M : « Très bien … nous vous suivons… »

Le jeune homme se retourna alors vers Sara qui n’avait pas perdu une miette de la conversation et ne semblait pas très rassurée.
Il lui prit doucement la main, entrelaçant ses doigts aux siens, puis plongea son regard dans celui de la jeune femme tout en murmurant :
M : « Nous y sommes presque Sara…. Dans quelques heures nous serons libres… Je t’aime… »
Sara, souriant, vint poser son front contre celui de Michael et lui caressa tendrement la joue du bout des doigts.
S : « Je t’aime aussi Michael…. Mais n’oublie pas que tu me dois un restaurant…. Tu as intérêt à tenir ta promesse… »
Le jeune homme sourit à son tour et murmura :
M : « Tu n’as pas oublié cette promesse que je t’ai faite à Fox River ? »
Pour toute réponse, Sara vint poser ses lèvres sur les siennes et l’embrassa passionnément, sentant le cœur de Michael battre à la chamade contre le sien.
A regret, elle mit fin à ce tendre moment puis, sans quitter son amant des yeux, murmura doucement :
S : « Je n’ai rien oublié de tout ce que tu m’as dis depuis notre première rencontre à Fox River…. Je n’oublierais jamais tous ces moments passés avec toi Michael… jamais…»
Puis elle posa son front contre celui de Michael et chuchota :
S : « Je t’aime, Michael Scofield… Je t’aimerai toujours… »
A ces mots, le jeune homme sentit l’émotion le gagner et, tout en caressant tendrement les joues de Sara :
M : « Je t’aime aussi Sara…. Je t’aime pour toute la vie… »
Et il posa un léger baiser sur ses lèvres qu’il chérissait tant, avant de se retirer à regrets pour prendre la main de Sara dans la sienne.
M : « Nous devons y aller… ce n’est pas prudent de traîner ici… »
La jeune femme acquiesça et les deux amoureux suivirent Ahmed, main dans la main, bientôt rejoints par Lincoln et Aldo Burrows.

Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent en vue d’un immense entrepôt en fer, et Ahmed se retourna vers eux en leur faisant signe.
Ah : « Attendez moi ici, je vais sortir l’avion. »
M : « D’accord, faites vite »
Ils virent le pilote se diriger vers l’entrepôt puis quelques instants après, entendirent le moteur d’un avion vrombir et l’appareil s’avança lentement vers eux.
Michael ne lâchait pas la main de Sara, et déposait de temps en temps de petits baisers sur son cou ou sur ses lèvres, faisant rougir la jeune femme.

Ahmed descendit soudain de l’appareil et s’approcha du petit groupe.
Ah : « C’est bon, tout est en règle…. Nous pouvons décoller… »
M : « D’accord, allons-y… »
Lincoln monta le premier, suivi d’Aldo, puis Michael se tourna vers Sara.
M : « Allez-y docteur Tancredi… Je vous suis »
La jeune femme lui adressa un sourire puis commença à monter les marches en direction de la cabine.

Mais soudain, alors qu’elle se retournait pour voir si Michael arrivait à son tour, des coups de feu éclatèrent au loin. Affolée, croyant que c’était la police qui les avaient retrouvés, Sara crut que son cœur allait cesser de battre lorsqu’elle vit cinq voitures arriver à toute allure dans leur direction. Chacune semblait occupée par plusieurs hommes armés qui tiraient sans relâche en direction du petit groupe.
Michael, qui se trouvait à quelques mètres de l’avion, semblait pétrifié et commença à courir en direction de l’appareil sous le regard horrifié de Sara.
Les voitures étaient à présents toutes proches, et plusieurs hommes masqués de noir de la tête au pied, firent leur apparition et continuèrent à tirer sans relâche en direction des fugitifs.
Comprenant qu’il ne s’agissait pas de la police mais probablement des hommes du Cartel, Michael se retourna vers Sara et cria :
M : « Sara ! Va t’en ! »
Tétanisée, Sara crut que son cœur allait cesser de battre lorsqu’elle comprit que Michael voulait se sacrifier pour eux. Les larmes lui montèrent aux yeux et à son tour elle hurla :
S : « Michael !! Non ! Je ne te laisserai pas ! Cours ! Nous pouvons leur échapper !!Michael !! »
Mais Michael, sentant à son tour le désespoir le gagner, jeta un coup d’œil vers les hommes toujours plus nombreux et de plus en plus proches. Alors que les balles crépitaient autour de lui, il cria, la voix brisée par l’émotion.
M : « Non, Sara …. Je suis trop loin… Ils arrivent ! Va t’en ! Fuis ! Je… Je t’aime Sara !! »
S : « Non ! Michael ! Ne me laisse pas ! Michael ! »

Tout à coup, Lincoln apparut à l’encadrement de la porte de l’avion et les larmes aux yeux, vit son frère en train de se faire tirer dessus, et crier quelque chose à Sara.
L : « Michael ! Viens ! »
M : « Non, Lincoln !! C’est trop tard !! Allez y !! Fuyez !!!Et…fais quelque chose pour moi Linc…Protège Sara comme ta propre vie…Et… n’oubliez pas que…. je vous aime !! »
L : « Michael ! Non ! Michael !! Je t’aime petit frère ! Michael ! »
M « Vit…. »

Mais les cris de Michael furent soudain interrompus. Horrifiée, Lincoln vit son jeune frère s’écrouler lentement au sol, touché par une balle.
L : « Michael !! Michael ! ».
Mais il ne se releva pas, il ne se relèverait plus jamais.

Bouleversée et complètement tétanisée, Sara, en voyant l’homme de sa vie s’écrouler par terre, sentit ses jambes se dérober et crut que son cœur allait cesser de battre. Elle se mit soudain à hurler, aveuglée par la peur, les larmes et la détresse :
S : « Michael ! Non !! Michael !! Michael !! »
Lincoln, de son côté, ne pouvait retenir ses sanglots et ne cessait de hurler le nom de son jeune frère sans relâche, comme si par la force des mos il avait le pouvoir de le faire revenir.
L : « Michael ! Michael ! Michael ! Michael ! Michael ! »
Mais le jeune homme ne bougea pas, il n’entendait pas les cris de détresse de Sara et de son frère, il n’entendrait plus jamais rien…

Michael Scofield était parti pour toujours.

Bouleversés et totalement accablés, Lincoln et Sara ne parvenaient pas à réaliser que Michael était mort, et ils ne cessaient de hurler son nom jusqu’à en perdre haleine.

Mais ils furent soudain interrompus par Ahmed.
Ah : « Nous devons y aller…Je… Je suis désolé… Vous ne pouvez plus rien pour lui… »
Soudain, Aldo, qui n’avait rien dit jusque là, bredouilla les larmes lui brouillant la vue.
A : « Mon fils…. Mon fils….. Non…. Michael ! Michael !»
Puis il se mit à son tour hurler, hurler contre le destin qui lui avait arraché son plus jeune fils, ce fils qu’il avait à peine eu le temps de connaître mais qu’il considérait déjà comme un être exceptionnel.
Ah « Je suis désolé pour Michael, monsieur, mais… nous ne pouvons plus rien faire pour lui… Nous devons y aller »
Tout à coup, Sara fit irruption dans la cabine et se mit à frapper rageusement le torse d’Ahmed.
S : « Non ! Je ne laisserais pas Michael ici !! Plutôt mourir !»

Lincoln s’approcha alors doucement de la jeune femme et posa une main sur ses épaules. Les larmes coulaient abondamment le long de ses joues, sans qu’il ne fasse rien pour les arrêter.
L : « Sara… Je…. Ahmed a raison…. Nous devons y aller…. C’est…. C’est ce que Michael aurait voulu…Je…nous devons y aller Sara » Mais il ne put finir sa phrase, la voix brisée par l’émotion.
Voyant que la jeune femme ne bougeait toujours pas, il la prit doucement dans ses bras et ils se mirent à pleurer abondamment et désespérément l’un contre l’autre, tandis qu’Aldo, bouleversé, refermait la porte, abandonnant le corps de son fils à ces hommes qui avaient fait de sa vie un enfer.

Lincoln, qui pleurait de détresse dans les bras de Sara, aperçut par le hublot les hommes de la Compagnie saisir le corps de Michael et le mettre dans le coffre d’une des voitures.
Ne pouvant supporter davantage cet horrible spectacle, il détourna son regard plein de larmes et murmura, la voix brisée par l’émotion :
L : « Adieu, Michael… J’espère que tu seras heureux là-haut…Il y a une place pour un être comme toi au paradis, j’en suis sûr…Adieu petite frère… »
L’appareil entama son décollage, et quelques minutes plus tard, ils étaient dans le ciel, hors d’atteinte des balles du Cartel.

L’avion s’éloigna au loin, avec à son bord trois personnes plongées dans un profond désespoir qui paraissait sans fin, laissant derrière elles un homme exceptionnel, un homme qui n’avait pas hésité à sacrifier sa sacrifié sa propre vie pour sauver la leur.









C'est vous qui avez voulu avoir la suite... vous allez me maudire!

tu peux pas nous laisser comme sa!!!

il va pas mourir hein stp dis moi que non!!!!

vivement la suite miss!!!
contente de te revoir parmis nous!!!!!

Oh non...Michael...sniff snifff...

la suite!!!!!!!!!!

Eh ben dis donc on dirait que la suite ne vous a pas emballées...

J essaierai de poster la suite dans la semaine.... j espère que je n'ai pas perdu toutes mes lectrices!

Nan mais c'est quoi ce cauchemard,j'étais toute excitée de lire enfin ta suite et quoi????????????????????Mick ets mort ce n'ets pas possible
Y'a intéret qu'on ets vite une suite car la crise acrdiaque ets proche
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

fanancic a écrit:Eh ben dis donc on dirait que la suite ne vous a pas emballées...

J essaierai de poster la suite dans la semaine.... j espère que je n'ai pas perdu toutes mes lectrices!

pour pas nous perdre va vite falloir poster car Michaël mort, pas question


la suite

tkt on a pas maché ma fic on l'aime trop

michael et sara sont tro mimi au début
mais j'espère pr toi qu'il est pas mort

la suite

fanancic a écrit:Eh ben dis donc on dirait que la suite ne vous a pas emballées...

J essaierai de poster la suite dans la semaine.... j espère que je n'ai pas perdu toutes mes lectrices!

ne t'inquiete pas tu ne vas pas nous perdre!!!!!

vivement la suite!!!!

coucou!!!
merci beaucoup pour vos adorables coms ça fait vraiment chaud au coeur!!!

Je voulais juste vous demander si ça vous dirait d'avoir une suite demain soir ou vendredi matin...
Si jamais ca vous tente, alors lâchez vous sur les coms et il se peut que je vous la poste demain....
Allez déchaînez vous...

la suite miss stp!!!!!

JulieScofield a écrit:la suite miss stp!!!!!

oh oui la suite et vite

coucou tout le monde!!! merci pour vos coms c'est adorable!!

ah, j'oubliais, la suite est prête à être livrée...
Vous ma voulez? Prouvez le!

fanancic a écrit:coucou tout le monde!!! merci pour vos coms c'est adorable!!

ah, j'oubliais, la suite est prête à être livrée...
Vous ma voulez? Prouvez le!

ah la suite

nestella a écrit:

fanancic a écrit:coucou tout le monde!!! merci pour vos coms c'est adorable!!

ah, j'oubliais, la suite est prête à être livrée...
Vous ma voulez? Prouvez le!

ah la suite

je te suis nestella!!!!

la suite!!!!

JulieScofield a écrit:

nestella a écrit:

fanancic a écrit:coucou tout le monde!!! merci pour vos coms c'est adorable!!

ah, j'oubliais, la suite est prête à être livrée...
Vous ma voulez? Prouvez le!

ah la suite

je te suis nestella!!!!

la suite!!!!

Bon je te resuis JulieScofield

Vous êtes sûres que vous la voulez?






























Allez, vous l'avez bien méritée!

Chanson 1 : https://www.youtube.com/watch?v=xR0DKOGco_o


Chanson 2 (à mettre à charger pour plus tard!)
https://www.youtube.com/watch?v=CQZGfnOtUVo

Chapitre 35

Quelques heures et un océan de larmes de désespoir plus tard, l’avion amorça sa descente en direction de l’aéroport de Panama City, avec à son bord trois âmes en naufrage, trois êtres qui avaient perdu en quelques instants le goût de la vie et ne savaient pas s ils pourraient un jour recommencer à avancer.

Au bout de quelques minutes, l’appareil atterrit sur la piste ensoleillée et brûlante, mais aucun des passagers n’avait la force d’en sortir… Aucun d’entre eux ne voulait affronter cette nouvelle vie sans lui…. cet homme si exceptionnel qui avait sacrifié sa liberté et sa vie pour sauver son frère et la femme qu’il aimait éperdument….

Non, dorénavant rien ne serait plus jamais pareil pour Aldo, Lincoln et Sara depuis que Michael les avait quittés à tout jamais, sur la piste de cet aérodrome sordide, quelques part sur la frontière américaine…

Finalement, quelques minutes plus tard, Aldo trouva la force de se lever et se dirigea vers son fils aîné, prostré dans son siège, la tête entre les mains, murmurant sans cesse, à travers ses larmes :
L : « Michael… Michael…Michael…Michael… »
Il s’agenouilla devant lui, posa sa main sur ses genoux, et, les yeux pleins de larmes et la voix brisée par l’émotion :
A : « Lincoln… nous … nous devons y aller mon fils… Michael n’aurait pas aimé nous voir dans cet été là… »
Mais il ne put terminer sa phrase, les larmes le submergèrent à nouveau et il trouva seulement la force de murmurer :
A : « Nous allons venger Michael, Linc… Je te le promets…. Nous allons démanteler cette Compagnie pour que ton frère n’ait pas sacrifié sa vie pour rien… Nous vengerons sa mort, même si pour cela je dois y laisser ma vie… »
Lincoln, entendant les paroles bouleversantes de ce père si longtemps absent, leva enfin les yeux vers lui, les larmes lui brouillant la vue :
L : « Michael me manque déjà tellement Papa…Je…Je ne sais pas si j’aurais la force de continuer sans lui »
A : « Ne dis pas ça ! Tu n’as pas le droit ! Tu as un fils qui a besoin de toi ! »
Il se tourna alors vers Sara, prostrée dans son siège et qui regardait par le hublot d’un air vide et accablé.
A : « Et nous devons veiller sur Sara…Elle va avoir besoin de nous…Tu as promis à Michael que tu la protègerais… »
L : « Je sais Papa… mais…. C’est tellement dur sans lui… c’est tellement dur… »
A : « Oui, c’est dur…Mais nous devons nous battre…c’est ce qu’il aurait voulu…nous devons continuer son combat… »
Il prit alors son fils dans ses bras et le serra fortement contre lui, pleurant abondamment la perte de cet homme si exceptionnel, ce fils qu’il avait si peu connu, mais qui l’avait changé à tout jamais.

Quelques instants plus tard, Lincoln se dégagea doucement et murmura, les larmes aux yeux :
L : « Je vais aller parler à Sara… On te rejoint dans l’aéroport »



(Mettre la chanson 2!)
Une fois son père parti, il s’approcha doucement de la jeune femme, s’assit dans le siège en face d’elle et prit délicatement ses mains dans les siennes.
Voyant qu’elle ne réagissait pas, il murmura d’une voix rauque et brisée par l’émotion :
L : « Sara… »
La jeune femme sortit soudain de sa torpeur et croisa le regard de Lincoln. Ce dernier fut accablé par la détresse qu’il lisait dans ses yeux. Elle semblait complètement éteinte, son regard vide était dénué de toute expression comme si la vie l’avait quittée à l’instant où le cœur de Michael avait cessé da battre.
Bouleversé de la voir si désespérée et vulnérable, Lincoln sentit l’émotion le submerger à nouveau mais il trouva la force de murmurer à nouveau.
L « Sara… Nous devons y aller…Je…. C’est ce que Michael aurait voulu… Il…. Je lui ai promis que je veillerai sur toi… »
La jeune femme laissa alors les larmes couler le long se ses joues, et, sans quitter Lincoln du regard, bredouilla :
S : « Je ne pourrais jamais vivre sans lui, Lincoln… Je ne pourrais pas… »
Et elle éclata soudain en sanglots, évacuant cette détresse trop longtemps refoulée, puis se jeta dans les bras de Lincoln, bouleversé.
Ils pleurèrent un long moment dans les bras l’un de l’autre, puis l’aîné des Burrows se dégagea lentement, forçant Sara à le regarder dans les yeux.
L : « Sara, tu dois continuer à avancer… tu dois te battre… pour lui…. pour Michael…. Il n’aurait pas voulu que tu abandonnes…. Il t’aimait tellement Sara… »
S : « Moi aussi je l’aimais Lincoln, Je l’aimais plus que ma propre vie… Jamais je n’avais rencontré quelqu’un comme lui… Je l’aimais…Je l’aimais et il est parti… »
L : « C’est justement parce que tu l’aimais que tu dois te battre pour lui ! Sara… nous allons venger sa mort… Nous allons faire tomber la Compagnie et achever le combat de Michael afin qu’il ne soit pas mort en vain… Je te le promets, nous le vengerons…mais je vais avoir besoin de ton aide… »
Sara leva alors vers lui des yeux pleins de larmes et murmura.
S : « Je…. Je vais essayer Linc… Je vais essayer d’avancer pour lui, pour Michael… mais…. je ne suis pas sûre d’y arriver… »
Soulagé, Lincoln la regarda alors profondément.
L : « Je t’aiderai Sara, je te le promet… »

Quelques minutes plus tard, ils sortirent de l’avion et rejoignirent Aldo dans le hall de l’aéroport.
L’heure de la vengeance avait sonné…


































Dans une maison abandonnée, quelque part aux Etats-Unis…

H : « Mission accomplie, Gretchen. Nous avons Scofield. »
G : « Dans quel état est-il ? »
H : « Mal en point mais en vie, selon vos ordres. »
G : « Très bien… Je vais m’en occuper. Vous pouvez disposer »

Au même moment, dans une pièce pas très loin…
Un homme était allongé sur un lit d’hôpital, dans ce qui semblait être une sorte de clinique privée, et toutes sortes de tuyaux partaient de son corps et de sa bouche, lui permettant de respirer faiblement. L’homme était inconscient, mais son coeur battait encore faiblement.
Soudain, le tracé cardiaque s’accéléra, les machines s’affolèrent.
Michael Scofield était en train de revenir à la vie…

Progressivement, le jeune homme se sentit émerger des ténèbres et s’éveilla lentement, sentant un énorme poids lui comprimer le torse et une abominable douleur le long de ses côtes. Il ne savait pas où il était, tout était noir, il entendait seulement des voix crier autour de lui…mais il ne comprenait pas ce qu’elles disaient…
Il aperçut alors une lumière blanche et crut être arrivé au paradis. Il voulut parler, mais sa bouche ne lui obéissait pas.
Et tout à coup, il ouvrit les yeux…. Il ne voyait rien, c’était flou mais peu à peu les contours se dessinèrent et il aperçut une femme en blouse blanche penchée au dessus de lui.

Cette fois ci, il en était sûr, il était arrivé au paradis. Il sourit et murmura :
M : « Sara… »

Mais la jeune femme ne répondit pas. A présent, il la voyait nettement… elle était blonde, pas très jolie et le regarda avec haine….
Ce n’était pas Sara…

Il l’entendit appeler quelqu’un dans la pièce et quelques minutes plus tard une autre femme fit son apparition. Elle était assez grande, brune et élancée, mais ses yeux bleus semblaient vides de tout sentiment, on ne pouvait y lire que de la cruauté…
S : « Bonjour, Scofield…. Ravie de faire enfin votre connaissance… »
M : « Qui êtes vous ? »
S : « Je m’appelle Susan, je travaille pour le Cartel… »
M : « Où suis-je ? Pourquoi ne m’avez-vous pas tué ? »
S : « Ca aurait été avec plaisir Michael, mais il se trouve que j’ai besoin de vous… »
M : « Allez vous faire voir…. Jamais je ne rendrais service à quelqu’un comme vous ! Plutôt mourir ! »
S: « Quelle vulgarité, Scofield! Je sais bien que vous êtes prêts à mourir pour protéger ceux que vous aimez…. C’est pourquoi je vais devoir employer les grands moyens. »
Elle fit alors un signe de la main et aussitôt, deux hommes armés jusqu’aux dents firent irruption dans la pièce, débranchèrent les tuyaux et saisirent violemment Michael, le faisant hurler de douleur. Ils l’emmenèrent dans une pièce déserte et l’attachèrent à une chaise, sans se préoccuper de sa blessure par balles aux côtes qui saignait abondamment.
Quelques instants plus tard, Susan entra dans la pièce et s’approcha d’un ait menaçant vers le jeune homme, qui distinguait à peine son visage tellement la douleur était intense…Elle se pencha vers lui et murmura d’un air sadique :
S : « Alors Michael…. Tu es prêt à faire ce que je te demande ? »
M : « Vous savez ce que l’on dit dans ces cas là Susan… Allez vous faire foutre ! »

A ces mots, un des hommes de la Compagnie frappa violemment Michael au visage, mais ce dernier résista à l’envie de crier. Il se releva, les lèvres en sang et soutint le regard de Susan.
S : « Mmm… Tu me déçois Michael… Je pensais que quelqu’un d’aussi intelligent aurait un peu plus de vocabulaire… Mais bon, avant toute chose je vais d’abord t’expliquer ce que j’attends de toi… »
Pour tout réponse, Michael la fixa avec haine et lui cracha au visage, ce qui lui valut un nouveau coup de pied en pleine face.

S : « Bon, maintenant que tu es calmé je vais pouvoir commencer…. En fait, c’est simple, j’ai besoin de toi pour 2 choses : tout d’abord, je voudrais que tu me dises tout ce que tu sais sur nous…. »
Michael, sans quitter Gretchen des yeux, esquissa alors un sourire :
M : « Vous croyez vraiment que je vais vous le dire ? Vous êtes complètement à côté de la plaque ma parole ! »
Mais il n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’un nouveau coup lui parvint au visage, fendant son arcade sourcillère qui se mit à saigner abondamment. Susan s’approcha à nouveau de lui, et souriant à sont tour, donna un coup violent sur la blessure aux côtes du jeune homme, provoquant une douleur atroce. Mais il serra les dents, se contentant de la fixer sans sourciller de son regard transperçant.
S : « Nous avons les moyens de vous faire parler Scofield… Je vais tellement vous faire souffrir que vous me supplierez d’arrêter et que vous serez prêt à tout pour moi… »

Voyant qu’il ne disait rien, elle se recula et poursuivit :
S : « Bien…. La deuxième chose que j’attends de vous est que vous m’aidiez à faire sortir un de nos hommes de prison, au Panama… Après tout, vous êtes un petit génie et vous avez réussi à vous évader d’une prison de haute sécurité, ça ne devrait pas être trop difficile pour vous… »
Michael se mit alors à rire.
M : « Et comment voulez vous que je fasse cela ? Je ne suis pas détenu dans cette prison… »
S : « Mais justement, Mr Scofield…. Vous allez vous faire incarcérer à Sona pour libérer cet homme, que vous le vouliez ou non….Vous êtes recherchés dans tous les Etats-Unis pour évasion, je vous rappelle… Ils seront trop contents que vous soyez hors d’état de nuire…. Peut-être même que je pourrais toucher la récompense….ah ah ah… la vie est injuste Michael… »
Pour toute réponse, le jeune homme lui cracha à nouveau au visage, et à nouveau un homme le frappa au visage.
S : « Bien, Mr Scofield… Ca suffit pour aujourd’hui. Nous poursuivrons demain matin cette passionnante discussion, et dès que nous aurons les informations nécessaires, je vous livrerai à la police panaméenne pour meurtre… »
Elle se pencha alors vers Michael, au bord de l’évanouissement.
S « Profitez bien de votre dernière nuit avant la prison Scofield…. Vous verrez, à côté de Sona, Fox River est un palace… »
Elle se tourna alors vers ses hommes.
S : « Ramenez dans sa cellule »

Quelques instants plus tard, Michael fut jeté violemment à terre et entendit à peine la porte se refermer derrière lui.
Epuisé, souffrant atrocement et sur le point de s’évanouir, il perdit connaissance et plongea dans un profond sommeil peuplé de cauchemars dans lesquels il ne cessait d’appeler Sara.




Alors? Pas trop nul?