Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...

non se n'est pas du tout nul miss!!!!

loin de la!!!
mais d'un coté mike est vivant (ouf) mais il est separé de sara

vivement la suite miss tu cartonnes!!!

Nul????Non Grave bien tu veux dire!!!

Michael n'est pas mort...oufffff!!!!

La suite la suite!!!

JulieScofield a écrit:non se n'est pas du tout nul miss!!!!

loin de la!!!
mais d'un coté mike est vivant (ouf) mais il est separé de sara

vivement la suite miss tu cartonnes!!!

il est en vie, mais qu'est ce qu'il l'attend ça va être l'enfer

j'espère que les autres vont apprendre qu'il est en vie et vont venir le libérer

la première partie avec lincoln, aldo et sara

mais michael est vivant
sauf que c'est cette de susan qui l'a
en plu sil le frappe alors qu'il est blessé

la suite (en espérant que michael aille mieux )

Coucou!!
Merci bcp pour vos coms c'est vraiment adorable!
Je suis chez mes grands parents et comme ma mamie a internet, j'en profite pour vous mettre un petit message et vous avertir que j'ai été prise d'une inspiration soudaine et que cet aprèm j'ai écrit la suite d'une traite!
je pense donc pouvoir vous la poster ce soir en rentrant chez moi, mais pour ça il faut que je sois sûre que vous la voulez!!!

Alors lâchez vous et je ferai peut-être un effort!

je la veux je la veux!!!!!!

vivement se soir!!!!

JulieScofield a écrit: je la veux je la veux!!!!!!

vivement se soir!!!!

pareil que ma sister
je veux la suite

coucou les filles! Merci beaucoup pour vos coms c'est adorable!!
Voici donc et (peut-être) la réponse à vos questions...
Bonne lecture!

Chapitre 36

Pendant ce temps, à Panama City…
Sara, Lincoln et Aldo Burrows étaient arrivés depuis quelques heures dans cet hôtel miteux, mais aucun d’entre eux n’avait la force de s’endormir. La douleur était trop forte, Michael était mort depuis à peine un jour mais il leur manquait déjà terriblement. C’était comme si la Terre s’était arrêtée de tourner à l’instant où son cœur avait cessé de battre…

Sara était prostrée sur son lit, les larmes coulaient abondamment le long de ses joues, et elle ne cessait d’appeler Michael, comme si le simple fait de prononcer son nom avait le pouvoir de le faire revenir.
Elle ne parvenait pas à croire qu’il était parti pour toujours, la laissant désespérément seule pour affronter une vie qui n’avait plus aucun sens sans lui. C’était tellement injuste…. Pourquoi Michael ? Pourquoi lui ? Un homme si exceptionnel qui faisait passer le bonheur des gens qu’il aimait avant le sien, un homme qui n’avait pas hésité à sacrifier sa vie pour permettre à son frère, à son père et à elle, Sara Tancredi, de vivre libres. Cet homme là faisait partie des rares êtres sur cette Terre qui méritaient d’être heureux, mais la vie en avait décidé autrement, leur arrachant Michael Scofield et les plongeant tous dans une détresse sans fin.

Elle se leva brusquement, aveuglée par les larmes, et remarqua soudainement un petit papier tomber de sa poche. Elle se pencha pour le ramasser, et, bouleversée, s’aperçut qu’il s’agissait du poème que Michael lui avait écrit quelques jours plus tôt, après leur nuit magique.
Totalement submergée par la détresse, elle trouva néanmoins le courage de le relire :

J’ai écris ton nom dans le sable, mais la vague l’a effacé
J’ai écris ton nom dans un arbre, mais l’écorce est tombée
J’ai sculpté ton nom sur du marbre, mais la pierre a cassé
J’ai enfoui ton nom dans mon cœur, et le temps l’a gardé

Je t’aime…
Michael
Mais elle ne put aller plus loin…. Relire ces quelques mots écrits avec tant d’amour lui était insupportable. Elle se rappela alors tout à coup tous ses souvenirs avec Michael…. Leur rencontre à Fox River, leur premier baiser dans cette infirmerie, l’évasion, leurs retrouvailles dans cette sordide cellule alors que Michael avait été repris et avait tenté de s’ouvrir les veines, leur tendre discussion dans cette chambre d’hôpital et avant que le jeune homme ne s’endorme dans ses bras, leurs aveux, les retrouvailles chez Katie, la fuite, leur fabuleux baiser dans cette chambre de motel, les déclarations enflammées, et enfin leur première nuit…. Cette nuit fabuleuse où Sara avait compris qu’elle ne serait plus jamais la même, cette nuit où elle avait réalisé qu’elle aimait Michael plus que sa propre vie et était prête à le suivre jusqu’au bout du monde….

Mais voilà, aujourd’hui tous ces fabuleux moments passés en compagnie du jeune homme n’étaient que souvenirs…
Michael était parti pour toujours…
Plus jamais elle ne ressentirait la plénitude l’envahir au contact de ses lèvres contre la siennes, la chaleur traverser tout son corps lorsqu’il l’enlaçait tendrement, et son coeur battre à la chamade lorsqu’il la fixait de son regard transperçant…
Michael était mort et elle ne le reverrait jamais…

Elle se mit alors à pleurer abondamment sur l’injustice de cette vie qui lui avait tout pris et n’avait désormais plus aucun sens.

Mais elle fut soudainement interrompue par une violente nausée qui la força à se précipiter vers les toilettes, complètement paniquée.
Elle vomit abondamment dans la cuvette et se sentit soudain très faible. Epuisée, elle trouva tout juste la force de se traîner jusqu’à la chambre où elle s’écroula sur le lit, vaincue par la fatigue. Elle plongea alors dans un profond sommeil peuplé de cauchemars dans lesquels elle revoyait Michael se faire abattre sous ses yeux.



Au même moment, quelque part aux Etats- Unis

Michael se réveilla brusquement dans cette sordide cellule et la douleur le submergea violemment. Son visage était en sang, son arcade sourcillère saignait abondamment et la blessure par balles qu’il avait reçue aux côtes le faisait atrocement souffrir.
Mais plus encore que la douleur physique, c’était la douleur morale qui l’anéantissait totalement…. Sara lui manquait terriblement et il était terrifié à l’idée qu’elle puisse être en danger… Il espérait qu’ils avaient réussi à atteindre le Panama et que Lincoln veillerait sur elle, comme il le lui avait promis.
Elle devait le croire mort, et il fallait absolument qu’elle l’oublie, car il savait bien qu’il ne la reverrait jamais. Il était entre les mains de cette puissante et redoutable Compagnie et ne pourrait jamais leur échapper…
Oui, il fallait que Sara l’oublie et refasse sa vie sans lui.

Cependant il ne parvenait pas à chasser l’image de la jeune femme se da tête. Elle lui manquait tellement, et depuis qu’ils avaient été séparés sur cet aérodrome, il avait de plus en plus de mal à respirer, comme si on lui avait arraché une partie de lui-même.
Les larmes se mirent alors à couler abondamment le long de ses joues, et il appela faiblement Sara dans un murmure désespéré.
M : « Sara… Sara… Sara… »

Il était plongé dans sa détresse et n’entendit pas la porte de sa cellule s’ouvrir lentement, laissant entrer un homme.
Surpris, il finit par lever les yeux et aperçut un des agents de la Compagnie s’approcher de lui. Il le fixa alors avec haine et fulmina :
M : « Qu’est ce que vous me voulez ? C’est encore cette chère Susan qui vous envoie ? »
Mais l’homme ne répondit rien et continuer de s’approcher de lui. Michael le vit alors ouvrir une petite mallette et en sortir des compresses et du désinfectant.
Etonné et ne comprenant plus rien, il laissa l’inconnu désinfecter lentement les plaies de son visage et lui fixer un bandage sur les côtes.
Il ne comprenait pas ce qui se passait…. Pourquoi cet homme le soignait-il ? Etait-ce encore un plan de Susan ?
Mais avant qu’il ne puisse ouvrir la bouche, l’homme le devança.
H : « Monsieur Scofield. Je m’appelle Jack. Je suis agent du FBI et cela fait plus d’un an que j’ai infiltré la Compagnie dans le but de la démanteler. »
Complètement ahuri, Michael bredouilla :
M : « Mais…. »
H : « Chut, Michael… Ecoutez moi…. J’ai maintenant suffisamment de renseignements pour faire tomber cette Compagnie, mais j’ai besoin que vous soyez en vie pour témoigner contre eux… Vous êtes la seule personne qui puisse le faire…. C’est pourquoi je vais vous faire sortir d’ici ce soir …. »

Complètement sous le choc, Michael se reprit et regarda Jack d’un air méfiant.
M : « Et qu’est ce qui me dit que je peux vous faire confiance ? Qu’est ce qui me prouve que vous n’allez pas me livrer au FBI dès que je serais sorti d’ici ?»
J : « Je vous donne ma parole Michael. Vous allez devoir me faire confiance. De toutes façons, le procès ne sera pas pour tout de suite. Dès que nous serons sortis d’ici, vous devrez rejoindre le Panama pour y être en sécurité, et dès que nous aurons besoin de vous, je vous recontacterai. »
Voyant que le jeune homme était toujours indécis, Jack posa une main sur son, épaule.
J : « Michael, je hais cette Compagnie encore plus que vous. Ils ont tué mon père sous mes yeux alors que je n’avais que 10 ans, et depuis ce jour là j’ai décidé d’entrer au FBI pour les arrêter tous… Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour vous protéger et pour que vous retrouviez les vôtres, Michael…. Même si pour cela je dois y laisser ma vie…. Mais il faut y aller maintenant, nous ne devons plus traîner ici ou ils vont finir par avoir des soupçons…. »
Michael finit par acquiescer.

J : « Tenez, enfilez ce gilet pare-balle, il vous sauvera peut-être la vie. »
Michael obéit et se releva péniblement.
J : « Je sais que vous êtes blessés mais je ne peux rien faire de plus pour l’instant. Dès que nous serons sortis d’ici, je vous ferai soigner. »
M : « Oui, ne vous inquiétez pas, ça va aller… »
Et quelques minutes plus tard, les deux hommes quittèrent la pièce, après que Jack ait fourni une arme à Michael.

Il débouchèrent dans un vaste couloir désert, et coururent jusqu’à une nouvelle porte qui donnait dans une immense pièce vide. Michael reconnut immédiatement la pièce dans laquelle il avait été torturé, mais il n’eut pas le temps d’y réfléchir car Jack l’attira vers la sortie. Ils traversèrent ainsi plusieurs pièces et cellules diverses, sans jamais s’arrêter de courir.
Enfin, au bout de plusieurs minutes, ils atteignirent une sorte de cave abandonnée.
Jack se retourna vers Michael et lui désigna une bouche d’égout au plafond.
J : « Nous allons sortir par là. Il va falloir être très prudents. Il y a régulièrement des patrouilles qui n’hésiteront pas à nous tirer dessus. »
Michel fit un signe de tête pour montrer qu’il avait compris et quelques instants plus tard, ils débouchèrent à l’air libre.
J : « Très bien, Vous voyez ce grillage là bas ? Il y a un trou au niveau du sol. Courez le plus vite possible et engouffrez vous par ce trou, on se retrouve de l’autre côté, dans la forêt. »
M : « Ok… Prenez garde à vous… »
J : « Vous aussi Michael »
Quelques instants plus tard, ils se mirent à courir à perdre haleine vers le grillage.

Mais au moment où ils allaient l’atteindre, des projecteurs s’allumèrent et des voix hurlèrent :
« ALERTE ! ALERTE ! Le prisonnier s’échappe ! ALERTE ! »
Michael sentit son cœur battre à la chamade lorsque les premiers coups de feu retentirent dans l’obscurité.
Il se faufila rapidement sous le grillage, suivi de près par Jack, alors que les balles sifflaient autour d’eux. Jack tentait de répliquer mais il était trop loin et continua son chemin.

Une fois parvenus de l’autre côté, les deux fugitifs se mirent à courir à perdre haleine. Ils entendaient les balles crépiter et la peur saisit à nouveau Michael.

Soudain, alors qu’il se retournait pour voir si Jack suivait toujours, une balle le faucha violemment, et Michael s’écroula à terre.

je vais me repeter mais c'est pas grave!!!

mike se refait tirer dessus (se n'est pas un lapin voyans )
vivement les retrouvailles sara ne va pas en croire ses yeux!!!!

la suite la suite la suite!!!
tu cartonnes!!!

Rooo nan pov' Michael,y va ètre troué de partout!!!!!Mdr!!!

Vivement les retrouvaille!!!!!!!!!!!!!

La suite!!!!!!

coucou!!!
merci encore pour tous vos messages c'est trop gentil!!!
je voulais juste vous dire que je pense poster une suite demain soir, en ce moment je sais pas ce qui m'arrive, j'ai plein d'idées et j'arrête pas d'écrire, je peux plus m'arrêter... Résultat : j'ai une suite et demi d'avance, donc si vous vous déchaînez encore, je la poste demain soir! alors allez y!

$acass a écrit:Rooo nan pov' Michael,y va ètre troué de partout!!!!!Mdr!!!

Vivement les retrouvaille!!!!!!!!!!!!!

La suite!!!!!!

idem!!!!
Vivement la suite:crazyy:

Coucou tout le monde!! merci bcp pour vos coms c'est adorable et ca me motive vraiment pour continuer!!!
D'ailleurs ca me motive tellement que j'arrête pas d'écrire et que j'ai maintenant 3 suites d'avance!
Je pense donc pouvoir vous en poster une ce soir mais pas avant 20h car j'ai cours....
Par contre je ne suis pas encore très sûre que vous la vouliez vraiment et je ne sais pas si vous avez été sages....
Prouvez-moi que j'ai tort et je me déciderai peut-être!!!

Au fait... je vous adore!

fanancic a écrit:Coucou tout le monde!! merci bcp pour vos coms c'est adorable et ca me motive vraiment pour continuer!!!
D'ailleurs ca me motive tellement que j'arrête pas d'écrire et que j'ai maintenant 3 suites d'avance!
Je pense donc pouvoir vous en poster une ce soir mais pas avant 20h car j'ai cours....
Par contre je ne suis pas encore très sûre que vous la vouliez vraiment et je ne sais pas si vous avez été sages....
Prouvez-moi que j'ai tort et je me déciderai peut-être!!!

Au fait... je vous adore!

faut pas dire ça à une harceleuse
bon je vais être sage et ce soir une suite et demain une autre et vu que tu seras motivée demain tu auras 4 suites d'avance et tu vas devoir poster tous les jours surtout en ce moment


au fait moi aussi je t'adore

sara qui est tte triste en pensant à michael
je suis sur que les retrouvailles vont etre géniale

jack qui aide michael, enfin kelkun de bien
mai michael a pas interet à mourir (jvien d'y penser, michael avait un giket par balles!!!!dc il est pas mort


c bien que tu sois en forme pr ecrire des suites

moi je veux la suite et je suis tres motivée

dacbc77 a écrit:sara qui est tte triste en pensant à michael
je suis sur que les retrouvailles vont etre géniale

jack qui aide michael, enfin kelkun de bien
mai michael a pas interet à mourir (jvien d'y penser, michael avait un giket par balles!!!!dc il est pas mort


c bien que tu sois en forme pr ecrire des suites

moi je veux la suite et je suis tres motivée

moi aussi je suis tres motivé

la suite tout de suite ça vous dit?

je poste partout

OUI !!!!!!!

la suite stp

la suite

Ok, alors la voilà!!!
dites moi ce que vous en pensez...

Chapitre 37

Complètement paniqué, Jack vit le jeune homme s’écrouler devant lui.
Il hurla :
J : « Michael ! Michael ! »
Mais aucune réponse ne lui parvint.

Il s’approcha alors de lui et chercha fébrilement son pouls.
D’abord, il ne sentit rien et crut défaillir. Mais tout à coup il le sentit battre faiblement entre ses doigts.
Soulagé, il se pencha vers le jeune homme et murmura :
J : « Ca va aller Michael… On va se sortir de là…. »
Mais en réalité, Jack était complètement paniqué. Il avait perdu son téléphone lors de leur fuite et ne pouvait plus joindre ses supérieurs au FBI. Il ne savait pas où aller, et ne connaissait personne de confiance à Chicago, là où ils se trouvaient.
Mais il n’eut pas le temps de tergiverser, il entendit les hommes de la Compagnie se rapprocher dangereusement, et prit Michael par les aisselles pour fuir le plus loin possible.

Quelques instants plus tard, ils débouchèrent sur un parking désert où Jack avait dissimulé une voiture la veille. Il installa Michael, toujours inconscient, sur la banquette arrière, et démarra en trombe, sans savoir où il allait.
Il roula à toute vitesse en direction du centre-ville de Chicago et dès qu’il fut certain de ne plus être suivi, il s’arrêta sur le bord de la route puis ouvrit la portière afin de constater l’état de Michael. Le jeune homme était mal en point et respirait faiblement mais il était en vie…. La balle avait touché sa jambe gauche mais ne semblait pas avoir fait trop de dégâts. Soulagé, Jack tâta son front qui était brûlant et sentit la panique l’envahir lorsque Michael commença à délirer en appelant Sara…
M : « Sara…. Sara…. Pardonne moi…. Je suis là…. J’arrive Sara…. Je t’aime…. »
Un instant, l’agent du FBI songea à emmener Michael à l’hôpital, mais il savait bien que les médecins préviendraient la police et que Michael retournerait en prison jusqu’à la fin de ses jours. L’espoir de faire tomber la Compagnie serait alors réduit à néant. Et puis Jack commençait à apprécier Michael, et pour rien au monde il ne l’aurait livré aux autorités. Il le connaissait à peine mais il savait que c’était un homme bon qui avait sacrifié sa vie pour sauver ceux qu’il aimait.
Non, cet homme là ne méritait vraiment pas de retourner en prison…

Soudain, alors qu’il lui épongeait doucement le front, Jack vit Michael ouvrir péniblement les yeux.
Il murmura faiblement :
M : « Où… Où suis-je ? »
Bouleversé de le voir toujours en vie, Jack sentit les larmes couler le long de ses joues.
J : « Michael…. C’est moi Jack…. Vous vous rappelez de moi ? Je vous ai sorti des griffes de la Compagnie…. Vous vous sentez comment ? »
M : « Oui Jack je me rappelle…. Je me souviens que l’on fuyait et qu’ils nous tiraient dessus et soudain le trou noir... »
J : « Vous vous êtes fait tirer dessus… La balle a touché votre jambe. Ca ne me semble pas trop grave mais il faut absolument vous faire soigner avant que ça ne s’infecte… »
M : « Emmenez moi à l’hôpital… »
J : « Hors de question Michael ! Si je vous emmène là-bas ils vous remettront en prison… »
M : « Je le mérite Jack…. Tant de gens sont morts à cause de moi… »
J : « Ne dites pas ça Michael ! Vous ne méritez pas d’aller en prison ! Vous avez fait tout cela pour sauver votre frère et protéger ceux que vous aimez…. Vous êtes très courageux! »
M : « J’ai fait tant de mal…. »
J « Non, Michael ! Ce n’est pas vous qui avez fait du mal, c’est la Compagnie et ses sales agents ! Vous n’êtes pas responsable ! Vous devez vous battre et ne pas les laisser gagner… et puis…. »
Il esquissa alors un sourire.
J : « Il y a des gens qui ont besoin de vous Michael….votre frère votre père…. Et Sara…. Elle a l’air de compter beaucoup pour vous n’est-ce pas ? »
M : « Je…. Je l’aime plus que ma propre vie…. Mais elle me croit morte, tout comme Lincoln…. C’est peut-être mieux comme ça d’ailleurs… »
J : « Ca suffit Michael ! Arrêtez de dire n’importe quoi ! Vous aimez cette femme et je suis sûr q’elle vous aime aussi ! Nous allons y arriver Michael…. Nous allons faire tomber cette Compagnie, même si cela prendra du temps… Et après vous pourrez vivre ensemble, je vous le promets… »
Michael ne répondit pas, amis les larmes commencèrent à couler le long de ses joues blessées.
M : « Pourquoi… Pourquoi faites vous tout cela pour moi ? »
J : « Je vous l’ai dit, Michael… Je veux la peau de ce Cartel qui m’a pris mon père… Et puis vous êtes quelqu’un de bien….Vous méritez d’être heureux… »

M : « Je…. Merci…. Mais que va-t-on faire maintenant ? »
J : « Je ne peux pas appeler mes collègues du FBI, je n’ai plus mon téléphone et ils vous remettraient en prison… Michael…. Est-ce que vous connaissez quelqu’un de confiance à Chicago ? Quelqu’un qui pourrait nous aider ? »
Le jeune homme réfléchit un instant mais ne trouva personne. Puis soudain, il eut une illumination.
M : « Henry Pope, le directeur de Fox River… C’est grâce à lui que je me suis évadé la seconde fois… Il croit en l’innocence de mon frère et nous aidera… »
J : « Très bien… Vous avez son adresse ? »
M : « Elle… elle est dans ma poche… »
Mais il ne put finir sa phrase et s’évanouit à nouveau…
Paniqué, Jack chercha l’adresse et finit par trouver un minuscule morceau de papier dissimulé au fond de la poche, quasiment introuvable.
Il lut rapidement ce qui y était inscrit et démarra en trombe. L’endroit n’était pas très loin…

Environ une vingtaine de minutes plus tard, il se gara devant la maison d’Henry Pope. C’était une jolie demeure, assez simplement décorée mais de laquelle il se dégageait un sentiment de sécurité. Il était plus de 3 heures du matin et la maison était plongée dans l’obscurité, mais une voiture garée devant l’allée indiquait que le directeur de Fox River était présent chez lui.
Soulagé, Jack ouvrit la portière et prit Michael, toujours inconscient, dans ses bras puis se dirigea vers la maison, tenant fermement le jeune homme très mal en point.

Il sonna plusieurs fois et attendit. D’abord il n’entendit rien, pus au bout de quelques minutes, les lumières du hall s’allumèrent et un homme demanda :
P : « Qui êtes vous ? Que me voulez vous ? »
J « Je m’appelle Jack, je travaille pour le FBI. Je suis avec Michael Scofield, nous avons besoin de votre aide… je vous en supplie… ».
Après un court silence, la porte s’ouvrit finalement sur un Henry Pope estomaqué et en robe de chambre.
Il baissa alors les yeux et vit Michael, porté par un inconnu et qui semblait inconscient, le visage en sang.
Bouleversé, il pâlit et bredouilla :
P : « Oh mon dieu…. Que lui est-il arrivé ? »
J : « Il s’est fait tirer dessus, il est inconscient mais respire encore… Je vous en prie… laissez nous entrer…. »
P : « Je… Oui bien sûr excusez moi… entrez… Mettez-le sur le canapé…. »
Soulagé, Jack sentit les larmes lui monter aux yeux.
J : « Merci…. Merci du fond du cœur Monsieur Pope…. »
P : « Ne me remerciez pas… J’aime beaucoup Michael, je le considère un peu comme mon fils… »
Ils parvinrent dans le salon et Jack déposa délicatement Michael sur le canapé.
Il lui retira ses chaussures, son pantalon et sa chemise afin de l’examiner attentivement.
Lorsqu’il aperçut les nombreuses blessures et coups qui parsemaient le corps du jeune homme, Henry Pope sentit à son tour les larmes l’envahir.
P : « Oh Mon dieu…. Que lui ont-ils fait ?
J : « Il lui tiré 2 fois dessus et l’ont torturé pour qu’il parle…. Mais il n’a rien dit…. Je n’ai jamais vu un homme aussi courageux… »

Pope pleurait à présent doucement, submergé par l’émotion. Voir cet homme si bon, qu’il considérait comme son propre fils, souffrir autant, le bouleversa au plus haut point.
Jack continua son examen et au bout de quelques minutes, murmura :
J : « La plupart des blessures sont superficielles. La première balle qu’il a reçue a été ôtée par la Compagnie, mais celle de sa jambe est toujours là et nous devons absolument l’enlever, sinon cela risque de s’infecter et il peut mourir… »
P : « Mais… vous… vous savez faire ça ? »
Le jeune agent du FBI le regarda alors sombrement.
J : « Malheureusement non… Je ne suis pas médecin…. Monsieur Pope… »
P : « Appelez moi Henry… »
J : « Henry… est ce que vous connaissez médecin en qui vous avez totalement confiance sur Chicago ? »
Le directeur réfléchit un instant mais rien ne lui vint à l’esprit.
P : « Non, je ne vois pas… à moins que… mais je ne sais pas si ça fera l’affaire… »
J : « Dites toujours… »
P : « Il y a Katie, l’infirmière de Fox River…. C’est la meilleure amie de Sara et je sais qu’elle l’a aidée à retrouver Michael après sa deuxième évasion… Elle n’est pas médecin mais a beaucoup travaillé avec Sara à la prison… Je pense qu’elle pourra nous aider »
J : « Très bien, appelez la…. »

Henry Pope prit son téléphone et composa fébrilement le numéro.
Tut… Tuut…..Tuuuuuuuuut.
Enfin, on décrocha et une voix ensommeillée et inquiète répondit :
K : « Allo ? »
P : « Katie, c’est moi, Henry Pope. Ecoutez, j’ai besoin de votre aide. Il s’agit de Michael Scofield, il est chez moi et gravement blessé. Il faut absolument que vous veniez ou il risque de mourir… »
K : « Mais… je…. Je ne suis pas médecin… »
P : « Vous êtes une excellente infirmière Katie, et vous êtes notre dernière chance… Je vous en supplie…. Il faut absolument que vous le soigniez… »
K : « Très bien, j’arrive… »

Soulagé, le directeur raccrocha et partit rejoindre Jack, qui veillait sur Michael, et ils attendirent ensemble la jeune infirmière.

haaaaaaaaaaaaa le grand retrour de pope et katie!!!!!!

vivement que mike appelle sara pour lui dire qu'il est en vie!!!

tu cartonnes!!!!


la suite stp je sais que tu as de l'avance!!!!

Nan mais quoi Mick est encore touché faut absolument que Katie le soigne et qu'ils appellent Sara pour lui dire que Mick est en vie
J'espère qu'ils vont faire tombés la Compagnie et que ce Jack n'a pas deux doubles face
IL FAUT LA SUITEEEEEEEEEEE D'URGNCE,oh je suis trop dégoutée que le Misa soit encore séparée mais les reoturvailles ne seront que meilleures

J'espère que tout va bien se passé...

La suite!!!!