Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
+18
misa_93
choupine
mariecuche
suzie014
caly
$acass
tinkerbel
chachou18
wentswc
coco91220
Sara59
sarah-scofield
saramike
JulieScofield
nestella
sarascofield
dacbc77
fanancic
22 participants
Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
Page 2 sur 18
Page 2 sur 18 • 1, 2, 3 ... 10 ... 18
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
Michael de retour à Fox River et bien je m'attendais vraiment pas à sa !
mais sa veut dire qu'il va revoir Sara !! ???????
la suite stp
mais sa veut dire qu'il va revoir Sara !! ???????
la suite stp
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
- Nombre de messages : 6508
Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
mike qui se sacrifie pour linc
tro triste quand il est dans la cellule
met vite la suite
tro triste quand il est dans la cellule
met vite la suite
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
merci vous êtes trop sympas!!!
Peut-être une petite suite dans l aprèm, si ça vous dit...
En fait... elle est déjà prête à être postée mais je sais pas si je vais la mettre... vous la voulez?
Peut-être une petite suite dans l aprèm, si ça vous dit...
En fait... elle est déjà prête à être postée mais je sais pas si je vais la mettre... vous la voulez?
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
- Nombre de messages : 220
Age : 40
Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
OUiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Youpi
Youpi
Invité- Invité
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
fanancic a écrit:merci vous êtes trop sympas!!!
Peut-être une petite suite dans l aprèm, si ça vous dit...
En fait... elle est déjà prête à être postée mais je sais pas si je vais la mettre... vous la voulez?
tu rigoles:affraid:
bien sur qu'on veut ta suite et en urgence:crazyy:
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
je suis scotché sur d'autre fofo tu n'a mis que 2 suites et la y'en a 5 je me suis regalée miss!!!
mike de retour en prison c'est pas possible!!!
pour info je suis ok pour avoir une suite cet aprem'!!!!
continues tu cartonnes !!!
mike de retour en prison c'est pas possible!!!
pour info je suis ok pour avoir une suite cet aprem'!!!!
continues tu cartonnes !!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
Bon alors la voilà!!! bonne lecture!!
Pendant ce temps, à l’hôpital de Chicago…
Sara était maintenant rétablie mais son moral était au plus bas. Elle savait que le FBI allait arriver d’un instant à l’autre, et l’emmener pour être interrogée à propos de l’évasion. Elle savait qu’elle devait assumer ses erreurs, mais elle ne pouvait s’empêcher d’être effrayée. Elle ne supporterait pas la prison, elle préférait encore mourir.
Elle soupira et décida alors d’allumer la télévision pour se changer les idées. Soudain, après un reportage inintéressant sur la politique économique des Etats Unis, un flash Spécial la fit sursauter.
« Mesdames et Messieurs nous interrompons cette émission pour vous annoncer un flash spécial concernant les 8 évadés de Fox River, qui ne sont désormais plus que 7. En effet, nous apprenons à l’instant que Michael Scofield, considéré comme le cerveau de la bande, a été appréhendé dans une maison abandonnée proche de la prison, quelques heures après son évasion. Il semble que la police ait manqué de peu les autres fugitifs mais le shérif affirme que leur capture n’est plus qu’une question d’heures. Quant à Michael Scofield, il a été immédiatement reconduit au pénitencier de Fox River où il risque de passer le restant de ses jours. »
Sara, bouleversée malgré elle par cette nouvelle, fixait l’écran d’un regard vide…
« Michael… » murmura t’elle
Elle était perdue dans ses pensées lorsque les 2 agents du FBI frappèrent à la porte et entrèrent dans sa chambre.
J OB « Docteur Tancredi, vous allez devoir nous suivre s’il vous plaît. Nous allons vous accompagner à la prison de Fox River pour que vous puissiez récupérer vos affaires puis nous vous emmèneront dans nos bureaux pour vous interroger. »
Sara respira un grand coup, rassembla et suivit les agents hors de l’hôpital.
Arrivés à Fox River, les deux agents l’escortèrent jusqu’au bureau de Pope. Celui-ci accueillit Sara avec froideur, mais ne put s’empêcher d’être ému par sa pâleur extrême et son air désespéré. Un gardien accompagna Sara jusqu’à l’infirmerie où elle devait récupérer ses affaires.
En marchant, Sara ne pouvait s’empêcher de repenser à tous les moments qu’elle avait passé là bas avec Michael… Michael… Il devait être quelque part dans cette prison, sûrement en cellule d’isolement. A la pensée que Michael soit si proche et à la fois si loin d’elle, le cœur de Sara se serra. Elle se rappela la dernière fois que Michael avait été en cellule d’isolement… Il était totalement désespéré et avait fini dans l’aile psychiatrique. Elle avait tellement peur qu’il craque encore…
Elle soupira et commença à ranger ses affaires lorsqu’elle entendit une voix derrière elle.
« Sara !!! Mais qu’est ce que tu fais là ? »
Sara se retourna et vit alors Katie qui s’approchait d’elle.
S : « Je… je suis venue avec le FBI récupérer quelques affaires et… ils vont m’interroger… »
K : « Oh Sara je suis tellement désolée pour toi !! »
Sara eut alors un faible sourire et regarda sa vieille amie
S : « Tu n’as pas à être désolée Katie, tout est de ma faute. Je dois payer pour mes erreurs. »
Les deux jeunes femmes s’étreignirent alors avec émotion mais elles furent soudainement interrompues par un gardien qui arriva paniqué dans l’infirmerie.
G : « Katie… On a un problème en cellule d’isolement…. Il s’agit d’une urgence vitale !!! »
K « Oh mon Dieu !! Je ne suis pas habilitée à m’occuper de ce genre de situation, seul le médecin peut le faire… et le remplaçant de Sara n’est pas encore arrivé… Oh mon Dieu… De quel détenu s’agit-il ? »
G : « Michael Scofield. Il semble qu’il ait fait une crise, c’est pas beau à voir… »
En entendant ce prénom, Sara chancela et se retint à la table. Son cœur battait à la chamade. Ce qu’elle craignait le plus était arrivé… Michael n’avait pas supporté l’isolement et avait craqué… Et personne ne pouvait rien faire…Il allait se vider de son sang…
Soudain, Pope fit irruption dans la pièce. Il se dirigea vers Sara et lui dit
« Sara, vous êtes le seul docteur ici et la vie d’un homme est en jeu. Malgré le fait que ce soit un détenu qui a tenté de s’évader, je n’ai pas le droit de laisser cet homme mourir. C’est donc vous qui allez vous en occuper, un gardien vous accompagnera »
Sara, d’abord étonnée de cette proposition, retrouva rapidement ses réflexes de médecin et se dirigea vers la cellule de Michael.
Arrivé devant la porte, elle inspira un grand coup et ouvrit la porte.
Au départ, elle ne vit rien, puis elle distingua une forme allongée par terre et baignant dans le sang. Bouleversée, elle s’approcha et vit le visage de Michael, pâle comme la mort et les yeux révulsés. Elle s’accroupit près de lui et prit son poignet. Elle remarqua alors avec stupeur que Michael avait tenté de s’ouvrir les veines avec une vieille lame de rasoir et perdait beaucoup de sang.
Elle leva la tête vers le mur et aperçut avec stupeur que Michael y avait inscrit, avec son sang, « Pardon ».
Les larmes lui montèrent aux yeux.
A cet instant, elle oublia tout. Elle oublia que Michael l’avait trahie, elle oublia qu’il s’était servi d’elle et qu’il l’avait fait souffrir. Elle avait devant elle un homme désespéré, et voir Michel dans cet état la bouleversa.
S : « Oh Mon Dieu… Michael…. Qu’est ce que tu as fait ? »
Elle trouva néanmoins la force de faire un garrot à Michael et de boucher sa blessure comme elle le pouvait, puis elle prit son pouls. Il battait très faiblement, mais il battait…
S « Ca va aller Michael, ça va aller… Je suis là… »
Elle leva alors les yeux vers le gardien
S : « Cet homme est dans le coma. Il doit être transporté à l’hôpital immédiatement. Ici, je ne peux plus rien faire pour lui »
Aussitôt, le gardien appela les urgences, et un quart d’heure après, Michael était embarqué par hélicoptère vers l’hôpital.
Sara, épuisé par les émotions de la journée, s’appuya contre un mur et soupira. Elle avait été bouleversée de voir Michael dans cet état. Ella avait cru qu’elle ne ressentait plus rien pour lui, mais elle comprenait à présent qu’il n’en était rien. Elle avait cet homme dans la peau…
Ses pensées furent interrompues par l’arrivée de l’agent O Brian.
J OB : « Docteur Tancredi, tout d’abord félicitations pour ce que vous venez de faire. Vous avez fait part d’un sang froid remarquable malgré la situation et les épreuves que vous avez traversées »
S : « Je n’ai fait que mon travail »
J OB : « Mais vous l’avez bien fait. Je voulais aussi vous dire que le tribunal vous a accordé la liberté sous caution en attendant votre procès. Comme votre père a payé, vous êtes libre pour l’instant… »
Sara, émue et bouleversée souffla :
S « Merci… »
Elle se dirigea alors vers la sortie et croisa Pope.
P : « Sara, j’ai appris pour votre liberté sous caution, je suis content pour vous… Ecoutez, vous n’êtes pas obligée d’accepter, mais comme c’est vous qui avez suivi Michael, je me demandais si vous accepteriez d’aller à l’hôpital voir comment les choses tournent. Après tout, vous êtes encore son médecin traitant… »
Sara, stupéfaite par la demande de Pope, avait du mal réaliser… Elle allait pouvoir revoir Michael… être près de lui… Alors, les larmes aux yeux, elle leva la tête vers le directeur
S : « Bien sûr Henry. Vous pouvez compter sur moi… je vous tiendrais au courant »
Henry Pope, ému par l’émotion de cette jeune femme qu’il avait toujours appréciée, sourit à Sara :
« Prenez soin de lui Sara… J’ai l’impression qu’il tient beaucoup à vous…. Et vous l’appréciez beaucoup, non ? »
A ces mots, les joues de Sara s’enflammèrent et Pope la regarda s’éloigner avec tendresse.
Chapitre 6
Pendant ce temps, à l’hôpital de Chicago…
Sara était maintenant rétablie mais son moral était au plus bas. Elle savait que le FBI allait arriver d’un instant à l’autre, et l’emmener pour être interrogée à propos de l’évasion. Elle savait qu’elle devait assumer ses erreurs, mais elle ne pouvait s’empêcher d’être effrayée. Elle ne supporterait pas la prison, elle préférait encore mourir.
Elle soupira et décida alors d’allumer la télévision pour se changer les idées. Soudain, après un reportage inintéressant sur la politique économique des Etats Unis, un flash Spécial la fit sursauter.
« Mesdames et Messieurs nous interrompons cette émission pour vous annoncer un flash spécial concernant les 8 évadés de Fox River, qui ne sont désormais plus que 7. En effet, nous apprenons à l’instant que Michael Scofield, considéré comme le cerveau de la bande, a été appréhendé dans une maison abandonnée proche de la prison, quelques heures après son évasion. Il semble que la police ait manqué de peu les autres fugitifs mais le shérif affirme que leur capture n’est plus qu’une question d’heures. Quant à Michael Scofield, il a été immédiatement reconduit au pénitencier de Fox River où il risque de passer le restant de ses jours. »
Sara, bouleversée malgré elle par cette nouvelle, fixait l’écran d’un regard vide…
« Michael… » murmura t’elle
Elle était perdue dans ses pensées lorsque les 2 agents du FBI frappèrent à la porte et entrèrent dans sa chambre.
J OB « Docteur Tancredi, vous allez devoir nous suivre s’il vous plaît. Nous allons vous accompagner à la prison de Fox River pour que vous puissiez récupérer vos affaires puis nous vous emmèneront dans nos bureaux pour vous interroger. »
Sara respira un grand coup, rassembla et suivit les agents hors de l’hôpital.
Arrivés à Fox River, les deux agents l’escortèrent jusqu’au bureau de Pope. Celui-ci accueillit Sara avec froideur, mais ne put s’empêcher d’être ému par sa pâleur extrême et son air désespéré. Un gardien accompagna Sara jusqu’à l’infirmerie où elle devait récupérer ses affaires.
En marchant, Sara ne pouvait s’empêcher de repenser à tous les moments qu’elle avait passé là bas avec Michael… Michael… Il devait être quelque part dans cette prison, sûrement en cellule d’isolement. A la pensée que Michael soit si proche et à la fois si loin d’elle, le cœur de Sara se serra. Elle se rappela la dernière fois que Michael avait été en cellule d’isolement… Il était totalement désespéré et avait fini dans l’aile psychiatrique. Elle avait tellement peur qu’il craque encore…
Elle soupira et commença à ranger ses affaires lorsqu’elle entendit une voix derrière elle.
« Sara !!! Mais qu’est ce que tu fais là ? »
Sara se retourna et vit alors Katie qui s’approchait d’elle.
S : « Je… je suis venue avec le FBI récupérer quelques affaires et… ils vont m’interroger… »
K : « Oh Sara je suis tellement désolée pour toi !! »
Sara eut alors un faible sourire et regarda sa vieille amie
S : « Tu n’as pas à être désolée Katie, tout est de ma faute. Je dois payer pour mes erreurs. »
Les deux jeunes femmes s’étreignirent alors avec émotion mais elles furent soudainement interrompues par un gardien qui arriva paniqué dans l’infirmerie.
G : « Katie… On a un problème en cellule d’isolement…. Il s’agit d’une urgence vitale !!! »
K « Oh mon Dieu !! Je ne suis pas habilitée à m’occuper de ce genre de situation, seul le médecin peut le faire… et le remplaçant de Sara n’est pas encore arrivé… Oh mon Dieu… De quel détenu s’agit-il ? »
G : « Michael Scofield. Il semble qu’il ait fait une crise, c’est pas beau à voir… »
En entendant ce prénom, Sara chancela et se retint à la table. Son cœur battait à la chamade. Ce qu’elle craignait le plus était arrivé… Michael n’avait pas supporté l’isolement et avait craqué… Et personne ne pouvait rien faire…Il allait se vider de son sang…
Soudain, Pope fit irruption dans la pièce. Il se dirigea vers Sara et lui dit
« Sara, vous êtes le seul docteur ici et la vie d’un homme est en jeu. Malgré le fait que ce soit un détenu qui a tenté de s’évader, je n’ai pas le droit de laisser cet homme mourir. C’est donc vous qui allez vous en occuper, un gardien vous accompagnera »
Sara, d’abord étonnée de cette proposition, retrouva rapidement ses réflexes de médecin et se dirigea vers la cellule de Michael.
Arrivé devant la porte, elle inspira un grand coup et ouvrit la porte.
Au départ, elle ne vit rien, puis elle distingua une forme allongée par terre et baignant dans le sang. Bouleversée, elle s’approcha et vit le visage de Michael, pâle comme la mort et les yeux révulsés. Elle s’accroupit près de lui et prit son poignet. Elle remarqua alors avec stupeur que Michael avait tenté de s’ouvrir les veines avec une vieille lame de rasoir et perdait beaucoup de sang.
Elle leva la tête vers le mur et aperçut avec stupeur que Michael y avait inscrit, avec son sang, « Pardon ».
Les larmes lui montèrent aux yeux.
A cet instant, elle oublia tout. Elle oublia que Michael l’avait trahie, elle oublia qu’il s’était servi d’elle et qu’il l’avait fait souffrir. Elle avait devant elle un homme désespéré, et voir Michel dans cet état la bouleversa.
S : « Oh Mon Dieu… Michael…. Qu’est ce que tu as fait ? »
Elle trouva néanmoins la force de faire un garrot à Michael et de boucher sa blessure comme elle le pouvait, puis elle prit son pouls. Il battait très faiblement, mais il battait…
S « Ca va aller Michael, ça va aller… Je suis là… »
Elle leva alors les yeux vers le gardien
S : « Cet homme est dans le coma. Il doit être transporté à l’hôpital immédiatement. Ici, je ne peux plus rien faire pour lui »
Aussitôt, le gardien appela les urgences, et un quart d’heure après, Michael était embarqué par hélicoptère vers l’hôpital.
Sara, épuisé par les émotions de la journée, s’appuya contre un mur et soupira. Elle avait été bouleversée de voir Michael dans cet état. Ella avait cru qu’elle ne ressentait plus rien pour lui, mais elle comprenait à présent qu’il n’en était rien. Elle avait cet homme dans la peau…
Ses pensées furent interrompues par l’arrivée de l’agent O Brian.
J OB : « Docteur Tancredi, tout d’abord félicitations pour ce que vous venez de faire. Vous avez fait part d’un sang froid remarquable malgré la situation et les épreuves que vous avez traversées »
S : « Je n’ai fait que mon travail »
J OB : « Mais vous l’avez bien fait. Je voulais aussi vous dire que le tribunal vous a accordé la liberté sous caution en attendant votre procès. Comme votre père a payé, vous êtes libre pour l’instant… »
Sara, émue et bouleversée souffla :
S « Merci… »
Elle se dirigea alors vers la sortie et croisa Pope.
P : « Sara, j’ai appris pour votre liberté sous caution, je suis content pour vous… Ecoutez, vous n’êtes pas obligée d’accepter, mais comme c’est vous qui avez suivi Michael, je me demandais si vous accepteriez d’aller à l’hôpital voir comment les choses tournent. Après tout, vous êtes encore son médecin traitant… »
Sara, stupéfaite par la demande de Pope, avait du mal réaliser… Elle allait pouvoir revoir Michael… être près de lui… Alors, les larmes aux yeux, elle leva la tête vers le directeur
S : « Bien sûr Henry. Vous pouvez compter sur moi… je vous tiendrais au courant »
Henry Pope, ému par l’émotion de cette jeune femme qu’il avait toujours appréciée, sourit à Sara :
« Prenez soin de lui Sara… J’ai l’impression qu’il tient beaucoup à vous…. Et vous l’appréciez beaucoup, non ? »
A ces mots, les joues de Sara s’enflammèrent et Pope la regarda s’éloigner avec tendresse.
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
- Nombre de messages : 220
Age : 40
Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
mike qui veut se suicider
sara qui le sauve
la suite avec sara et michael ensemble
encore une petite suite c'est tro demander
sara qui le sauve
la suite avec sara et michael ensemble
encore une petite suite c'est tro demander
Dernière édition par le Mer 5 Déc - 17:39, édité 1 fois
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
genial vivement la scene de l'hospital
a quand la suite??
a quand la suite??
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
contente de voir que ça vous plaît!
Je vous promet une suite ce soir, mais pas très tôt car j'ai cours et chorale après... donc surement pas avant 22h...
Patience!
Je vous promet une suite ce soir, mais pas très tôt car j'ai cours et chorale après... donc surement pas avant 22h...
Patience!
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
- Nombre de messages : 220
Age : 40
Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
ah bbah reviens vite de ton cours alors !!
saramike- Arrivé au Nouveau Mexique
- Nombre de messages : 399
Age : 31
Localisation : DERIIERE TOI
Date d'inscription : 23/07/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
voilà merci encore!!!
Voilà comme promis la suite!!
Arrivée à l’hôpital, Sara demanda la chambre de Michael Scofield, et on lui annonça qu’il était encore en réanimation, mais qu’elle pouvait aller le voir.
Après avoir expliqué au gardien devant la porte qui elle était, elle entra dans la chambre. Il y régnait un silence total, seulement entrecoupé par les bruits du respirateur et des diverses machines qui entouraient Michael. Sara s’approcha du lit et fut bouleversée de voir Michael immobile et pâle au milieu de tous ces tuyaux. Elle s’assit alors sur une chaise et prit la main de Michael dans la sienne. Ce simple contact la fit frémir et elle réalisa alors à quel point elle aimait cet homme, malgré tout ce qu’il avait fait. Mis elle n’était pas encore prête… Trop de douleur la submergeait encore…
Elle regarda Michael qui semblait paisible et murmura :
« Michael… Je suis là… Tu ne peux pas mourir c’est pas possible…. Bats-toi Michael !!»
Elle laissa alors les larmes couler sur ses joues et poussa un soupir de détresse. Pourquoi la vie était elle si injuste ? Pourquoi n’avait t’elle pas rencontré Michael plus tôt ? Tout aurait été différent alors…Ils auraient pu être heureux…ensemble
Soudain, elle sentit une pression sur ses doigts. Elle vit alors les doigts de Michael qui bougeaient, entrelacés aux siens. Elle jeta un coup d’œil sur la machine et s’aperçut que Michael était en train de se réveiller…
De son côté, Michael ouvrit les yeux lentement. Peu à peu, sa vision s’éclaircit et il sentit une main chaude contre la sienne. Un contact qu’il aurait reconnu entre mille… Mais non, ce n’était pas possible… Elle ne pouvait pas être là… Il devait rêver, ou alors il était mort, et il était au paradis…
Oui c’est ça, il devait être au paradis ! Il tourna alors la tête et vit que ce n’était pas un rêve… Elle était là, Sara, et elle lui tenait la main en lui souriant… Il avait attendu ce moment depuis tellement longtemps… Elle était toujours aussi belle… Son cœur battait à la chamade lorsqu’il croisa son regard.
M : « Sara… »
Sara était bouleversée malgré elle par le regard de Michael et la manière dont il la dévisageait.
« Michael … mon dieu merci tu es réveillé !!! »
Michael semblait très faible mais il parvint à sourire avant de regarder Sara dans les yeux.
Ce qu’il avait à lui dire était difficile…
Il la fixa avec tristesse :
« Sara…je suis désolé… pour tout. Je ne voulais pas te faire souffrir» murmura t’il d’une voix rauque.
Sara fut malgré elle touchée par le désespoir dans la voix de Michael. Il semblait tellement malheureux…
Mais Michael l’avait trahie et elle ne pouvait pas lui pardonner, pas encore…. Elle le regarda alors avec colère :
C’est trop facile d’être désolé, Michael ! A cause de toi, ma vie est fichue ! Je n’ai plus mon métier, je vais sûrement passer des années en prison et mon père me déteste encore plus !!! Tu m’as trahie ! Tu t’es servi des sentiments que j’avais pour toi pour m’approcher et récupérer cette clé !!! Et moi, comme une andouille, je t’ai cru ! J’ai cru en toi, en nous, et j’ai laissé cette porte ouverte ! Et maintenant, à cause de moi, T Bag et Abruzzi sont dehors !! Si… si jamais ils commettent des meurtres, ce… ce sera à cause de moi Michael ! J’aurais ces morts sur la conscience ! ». Sa voix se brisa et elle fondit en larmes.
Bouleversé par ces paroles, Michael commença aussi à pleurer et regarda Sara avec une énorme douleur :
« Je suis tellement désolé Sara…mon dieu je suis tellement désolé… Je n’ai jamais voulu que les choses se passent comme ça… je n’ai jamais voulu te faire souffrir… si seulement j’avais su…je m’en veut tellement Sara, je comprends ta réaction je suis tellement désolé… »
Sara ne dit rien, continuant de laisser les larmes envahir ses joues.
Michael continua :
« Sara… Je sais que tu ne me croiras pas mais il faut que je te le dise. Au… au début c’est vrai que je venais à l’infirmerie pour mon plan... mais après… c’est devenu un besoin… J’avais envie de te voir, Sara… Tu es une femme formidable, ces moments passés avec toi étaient comme des rayons de soleil dans mes journées… Je… je crois que je me suis attaché à toi… et ça me fait très mal d’imaginer que tu ne me crois pas… » Sa voix était brisée et il pleurait à chaudes larmes.
Sara ne disait toujours rien. Elle était émue par les paroles de Michael mais elle avait trop souffert à cause de lui. Elle ne pouvait plus lui faire confiance.
Elle soupira et regarda Michael
« Je suis désolé Michael, tout ça est trop dur pour moi. Je … je ne peux pas… »
Michael, bouleversé, regarda Sara :
« Je comprends, Sara…. Je t’ai fait trop de mal pour que tu puisses me pardonner, même si je le souhaite au plus profond de mon cœur. Je ne veux plus te faire souffrir, je respecterais toujours tes choix… Mais … s’il te plaît, est-ce que je peux te demander une faveur, juste une dernière ? »
Sara soupira :
« Quoi, Michael ? »
Michael la fixa intensément, les larmes aux yeux :
« Reste avec moi Sara… Juste un petit moment… C’est la dernière fois que je te vois, et je veux garder ton visage gravé dans ma mémoire à jamais… ce… ce sera ce qui me permettre de tenir en prison… ton visage, et ton sourire… Je ne te demanderais rien d’autre, promis. »
Sara, profondément touchée par les mots de Michael et son regard qui la dévisageait, leva les yeux vers lui et esquissa un sourire :
« D’accord, Michael. Je vais rester un peu. »
Le jeune homme sentit alors son cœur s’emballer et l’émotion le gagner à nouveau. Il plongea son regard dans celui de Sara et lui dit tendrement :
« Merci, Sara. Tu es décidément une femme exceptionnelle… »
Elle sourit.
Michael poursuivit :
« Je crois qu’ils m’ont donné une sorte de somnifère ce matin. Je pense que je ne vais pas tarder à m’endormir… et la dernière chose que je verrais sera ton visage. C’es le plus beau cadeau que tu pouvais me faire… Je ne l’oublierais jamais Sara , je n’oublierais jamais tout ce que tu as fait pour moi. Merci »
Sara sourit et s’assit près de Michael, profondément émue.
Au bout d’un moment de silence, Michael sentit les effets des médicaments agir sur lui. Sara s’approcha alors. Il la fixa intensément et approcha lentement sa main de la sienne. Le cœur de Sara battait à la chamade. Michael posa alors ses doigts sur le poignet de Sara et commença à le caresser. Il entrelaça ses doigts aux siens et la regarda tendrement en murmurant :
« Merci »
Puis il s’endormit paisiblement, la main de Sara dans la sienne.
Sara contemplait Michael qui dormait… il avait l’air si … heureux… Elle soupira et resta ainsi à le fixer pendant une heure entière.
Mais elle savait qu’elle ne pouvait pas rester. Michael allait retourner en prison et elle avait trop souffert.
Elle se leva, lâcha à regret la main chaude et rassurante de Michael, ramassa ses affaires et se dirigea vers la porte.
Elle se retourna une dernière fois vers Michael et murmura, bouleversée :
« Adieu Michael »
Et elle sortit en fermant la porte.
Quelques heures plus tard, Michael se réveilla. Il constata tout de suite que Sara avait disparu… le contact de sa main contre la sienne lui manquait déjà… Il se rappelait encore la douceur de la peau de la jeune femme et son parfum fruité… Lorsqu’il lui avait pris la main, le cœur de Michael s’était mis à battre précipitamment…
Mon dieu, se disait-il… Cette femme allait lui manquer toute sa vie… Il soupira et les larmes vinrent à nouveau.
Quelques minutes plus tard, on frappa à la porte.
Etonné, Michel invita la personne à entrer, et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il vite qui se tenait sur le pas de la porte…
Voilà comme promis la suite!!
Chapitre 7
Arrivée à l’hôpital, Sara demanda la chambre de Michael Scofield, et on lui annonça qu’il était encore en réanimation, mais qu’elle pouvait aller le voir.
Après avoir expliqué au gardien devant la porte qui elle était, elle entra dans la chambre. Il y régnait un silence total, seulement entrecoupé par les bruits du respirateur et des diverses machines qui entouraient Michael. Sara s’approcha du lit et fut bouleversée de voir Michael immobile et pâle au milieu de tous ces tuyaux. Elle s’assit alors sur une chaise et prit la main de Michael dans la sienne. Ce simple contact la fit frémir et elle réalisa alors à quel point elle aimait cet homme, malgré tout ce qu’il avait fait. Mis elle n’était pas encore prête… Trop de douleur la submergeait encore…
Elle regarda Michael qui semblait paisible et murmura :
« Michael… Je suis là… Tu ne peux pas mourir c’est pas possible…. Bats-toi Michael !!»
Elle laissa alors les larmes couler sur ses joues et poussa un soupir de détresse. Pourquoi la vie était elle si injuste ? Pourquoi n’avait t’elle pas rencontré Michael plus tôt ? Tout aurait été différent alors…Ils auraient pu être heureux…ensemble
Soudain, elle sentit une pression sur ses doigts. Elle vit alors les doigts de Michael qui bougeaient, entrelacés aux siens. Elle jeta un coup d’œil sur la machine et s’aperçut que Michael était en train de se réveiller…
De son côté, Michael ouvrit les yeux lentement. Peu à peu, sa vision s’éclaircit et il sentit une main chaude contre la sienne. Un contact qu’il aurait reconnu entre mille… Mais non, ce n’était pas possible… Elle ne pouvait pas être là… Il devait rêver, ou alors il était mort, et il était au paradis…
Oui c’est ça, il devait être au paradis ! Il tourna alors la tête et vit que ce n’était pas un rêve… Elle était là, Sara, et elle lui tenait la main en lui souriant… Il avait attendu ce moment depuis tellement longtemps… Elle était toujours aussi belle… Son cœur battait à la chamade lorsqu’il croisa son regard.
M : « Sara… »
Sara était bouleversée malgré elle par le regard de Michael et la manière dont il la dévisageait.
« Michael … mon dieu merci tu es réveillé !!! »
Michael semblait très faible mais il parvint à sourire avant de regarder Sara dans les yeux.
Ce qu’il avait à lui dire était difficile…
Il la fixa avec tristesse :
« Sara…je suis désolé… pour tout. Je ne voulais pas te faire souffrir» murmura t’il d’une voix rauque.
Sara fut malgré elle touchée par le désespoir dans la voix de Michael. Il semblait tellement malheureux…
Mais Michael l’avait trahie et elle ne pouvait pas lui pardonner, pas encore…. Elle le regarda alors avec colère :
C’est trop facile d’être désolé, Michael ! A cause de toi, ma vie est fichue ! Je n’ai plus mon métier, je vais sûrement passer des années en prison et mon père me déteste encore plus !!! Tu m’as trahie ! Tu t’es servi des sentiments que j’avais pour toi pour m’approcher et récupérer cette clé !!! Et moi, comme une andouille, je t’ai cru ! J’ai cru en toi, en nous, et j’ai laissé cette porte ouverte ! Et maintenant, à cause de moi, T Bag et Abruzzi sont dehors !! Si… si jamais ils commettent des meurtres, ce… ce sera à cause de moi Michael ! J’aurais ces morts sur la conscience ! ». Sa voix se brisa et elle fondit en larmes.
Bouleversé par ces paroles, Michael commença aussi à pleurer et regarda Sara avec une énorme douleur :
« Je suis tellement désolé Sara…mon dieu je suis tellement désolé… Je n’ai jamais voulu que les choses se passent comme ça… je n’ai jamais voulu te faire souffrir… si seulement j’avais su…je m’en veut tellement Sara, je comprends ta réaction je suis tellement désolé… »
Sara ne dit rien, continuant de laisser les larmes envahir ses joues.
Michael continua :
« Sara… Je sais que tu ne me croiras pas mais il faut que je te le dise. Au… au début c’est vrai que je venais à l’infirmerie pour mon plan... mais après… c’est devenu un besoin… J’avais envie de te voir, Sara… Tu es une femme formidable, ces moments passés avec toi étaient comme des rayons de soleil dans mes journées… Je… je crois que je me suis attaché à toi… et ça me fait très mal d’imaginer que tu ne me crois pas… » Sa voix était brisée et il pleurait à chaudes larmes.
Sara ne disait toujours rien. Elle était émue par les paroles de Michael mais elle avait trop souffert à cause de lui. Elle ne pouvait plus lui faire confiance.
Elle soupira et regarda Michael
« Je suis désolé Michael, tout ça est trop dur pour moi. Je … je ne peux pas… »
Michael, bouleversé, regarda Sara :
« Je comprends, Sara…. Je t’ai fait trop de mal pour que tu puisses me pardonner, même si je le souhaite au plus profond de mon cœur. Je ne veux plus te faire souffrir, je respecterais toujours tes choix… Mais … s’il te plaît, est-ce que je peux te demander une faveur, juste une dernière ? »
Sara soupira :
« Quoi, Michael ? »
Michael la fixa intensément, les larmes aux yeux :
« Reste avec moi Sara… Juste un petit moment… C’est la dernière fois que je te vois, et je veux garder ton visage gravé dans ma mémoire à jamais… ce… ce sera ce qui me permettre de tenir en prison… ton visage, et ton sourire… Je ne te demanderais rien d’autre, promis. »
Sara, profondément touchée par les mots de Michael et son regard qui la dévisageait, leva les yeux vers lui et esquissa un sourire :
« D’accord, Michael. Je vais rester un peu. »
Le jeune homme sentit alors son cœur s’emballer et l’émotion le gagner à nouveau. Il plongea son regard dans celui de Sara et lui dit tendrement :
« Merci, Sara. Tu es décidément une femme exceptionnelle… »
Elle sourit.
Michael poursuivit :
« Je crois qu’ils m’ont donné une sorte de somnifère ce matin. Je pense que je ne vais pas tarder à m’endormir… et la dernière chose que je verrais sera ton visage. C’es le plus beau cadeau que tu pouvais me faire… Je ne l’oublierais jamais Sara , je n’oublierais jamais tout ce que tu as fait pour moi. Merci »
Sara sourit et s’assit près de Michael, profondément émue.
Au bout d’un moment de silence, Michael sentit les effets des médicaments agir sur lui. Sara s’approcha alors. Il la fixa intensément et approcha lentement sa main de la sienne. Le cœur de Sara battait à la chamade. Michael posa alors ses doigts sur le poignet de Sara et commença à le caresser. Il entrelaça ses doigts aux siens et la regarda tendrement en murmurant :
« Merci »
Puis il s’endormit paisiblement, la main de Sara dans la sienne.
Sara contemplait Michael qui dormait… il avait l’air si … heureux… Elle soupira et resta ainsi à le fixer pendant une heure entière.
Mais elle savait qu’elle ne pouvait pas rester. Michael allait retourner en prison et elle avait trop souffert.
Elle se leva, lâcha à regret la main chaude et rassurante de Michael, ramassa ses affaires et se dirigea vers la porte.
Elle se retourna une dernière fois vers Michael et murmura, bouleversée :
« Adieu Michael »
Et elle sortit en fermant la porte.
Quelques heures plus tard, Michael se réveilla. Il constata tout de suite que Sara avait disparu… le contact de sa main contre la sienne lui manquait déjà… Il se rappelait encore la douceur de la peau de la jeune femme et son parfum fruité… Lorsqu’il lui avait pris la main, le cœur de Michael s’était mis à battre précipitamment…
Mon dieu, se disait-il… Cette femme allait lui manquer toute sa vie… Il soupira et les larmes vinrent à nouveau.
Quelques minutes plus tard, on frappa à la porte.
Etonné, Michel invita la personne à entrer, et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il vite qui se tenait sur le pas de la porte…
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
- Nombre de messages : 220
Age : 40
Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
Trop belle ta suite
J'espère que c'est Sara qui retourne voir Mike
Vite la suite STP
J'espère que c'est Sara qui retourne voir Mike
Vite la suite STP
sarah-scofield- Assistant(e) du Dr Tancredi
- Nombre de messages : 176
Date d'inscription : 23/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
voici comme promis le chapitre 8!
Bonne lecture!
M : « Henry !! »
Pope s’approcha du lit de Michael, qui était stupéfait de voir le directeur de la prison dans sa chambre.
P : « Bonjour Michael. Je suis ravi de voir que vous allez mieux. Vous nous avez fait très peur vous savez… Je n’ai jamais vu le Docteur Tancredi dans cet état. »
Michael ne disait rien,étonné de la tournure que prenait la conversation.
P : « Ecoutez Michael…. Je voulais vous dire que pendant votre coma , j’ai fait des recherches à propos de votre frère. J’ai contacté plusieurs de mes amis haut placés et… et je crois que vous avez raison Michael… Votre frère… me semble innocent »
Stupéfait, Michael ne trouvait pas ses mots et se contentait de fixer Pope.
M : « Mais… comment … comment avez-vous acquis la certitude qu’il est innocent ? Vous… vous avez des preuves ? »
Pope soupira et regarda Michael :
« Malheureusement non, Michael. Je suis vraiment désolé, j’aurais voulu amener des preuves pour innocenter votre frère mais … ces gens là sont trop puissants. En fait, dès que j’ai commencé à enquêter sur ce fameux meurtre, j’ai immédiatement reçu des menaces de mort : ils menaçaient de s’en prendre à ma famille si je continuais à fouiner dans ce dossier. J’ai alors commencé à avoir des soupçons, et, après avoir mis ma femme à l’abri, j’ai continué mes recherches. Et figurez vous que comme par hasard, au moment où j’allais mettre la main sur une preuve essentielle, prouvant notamment que l’enregistrement du meurtre est truqué, elle a comme par hasard brûlé, tout comme le bureau dans lequel elle a été rangée… Je ne crois pas au hasard Michael… Ces gens ont quelque chose à cacher, et je suis convaincu que c’est à propos de l’innocence de votre frère. »
Michael, complètement abasourdi par les révélations de Pope n’arrivait pas à réaliser ce qu’il venait d’entendre.
M : « Vous… Vous croyez donc vraiment à l’innocence de mon frère ? »
P : « Oui, Michael »
Michael, les larmes aux yeux :
M : « Merci, Henry… Je… Je vais me sentir un peu mois seul maintenant. Merci pour tout. »
Pope regarda alors Michael, prit son inspiration et déclara :
« Ecoutez Michael. Je suis un homme qui croit en la justice. Je refuse qu’un innocent soit tué pour un crime qu’il n’a pas commis. Malheureusement ces gens là sont trop puissants, je ne peux pas les faire tomber tout seul…. Michael… Vous seul pouvez déjouer ce complot. Vous êtes extrêmement intelligent et motivé, je sais que vous pouvez y arriver… »
Michael balbutia :
« Co… comment ça Henry ? »
« Michael, je vous ai apporté des habits civils pour que vous puissiez sortir sans être reconnu. Vous allez les enfiler et sortir de cet hôpital. Sur le parking, un pick up bleu vous attend, voici les clés. Je l’avais acheté pour les 18 ans de mon fils mais il n’a jamais eu l’occasion de s’en servir. Elle est pour vous Michael… »
M : « Henry...Je… »
P : « Ne dites rien Michael… Vous savez, vous me rappelez tellement mon fils… Je … Je crois que j’ai toujours su que vous étiez un type bien Michael… Vous allez faire tomber ces pourritures, j’ai confiance en vous…. »
Michael était bouleversé par les paroles du directeur. Il avait toujours eu une haute estime pour cet homme bon et courageux, qui faisait beaucoup pour ses prisonniers. Il regrettait tellement d’avoir trahi la confiance de Pope et d’avoir dû le frapper et l’enfermer dans son armoire… Et voilà que maintenant cet homme exceptionnel lui offrait la liberté au prix de sa carrière, et peut-être même de sa vie…
Pope poursuivit :
« Voici aussi l’adresse et les clés d’une maison qui m’appartient au Nouveau Mexique. C’est une vieille maison de famille dont tout le monde ignore l’existence. Vous y serez tranquille là-bas. »
Michael regarda alors cet homme pour qui il éprouvait tant de respect et lui déclara :
« Merci, Henry. Merci pour tout »
Pope, ému lui aussi, inspira un grand coup avant de regarder Michael dans les yeux :
« De rien, Michael. J’ai toujours voulu me battre pour la justice, et aujourd’hui j’en ai enfin l’occasion. Bien sûr ,je vous en veux quand même de m’avoir frappé et d’avoir trahi ma confiance, mais je sais que vous n’aviez pas le choix….
Ah… et encore une dernière chose... Votre frère et son ami Fernando Sucre auraient été aperçus dans une petite ville du Missouri, à Saint Louis, il y a quelques heures… »
Il s’approcha alors de Michael et l’étreignit comme un fils.
P : « Bonne chance Michael…. Oh… et j’allais oublier… »
Il sortit alors de sa poche un petit papier qu’il tendit à Michael, ainsi qu’un téléphone portable.
P : «Prenez ce téléphone portable. Et voici l’adresse et le numéro de téléphone de Sara Tancredi. Vous devriez l’appeler, je crois qu’elle tient à vous, et que vous l’aimez aussi… n’est-ce pas ? »
Michael soupira alors et baissa les yeux :
« Merci beaucoup Henry… Mais malheureusement je crois que j’ai fait trop souffrir Sara et qu’elle n’a plus confiance en moi. Elle ne peut pas éprouver des sentiments pour moi après tout ce que je lui ai fait »
P : « Eh bien, Michael, je crois que vous vous trompez. Certes, Sara a beaucoup souffert, mais je crois qu’elle vous a dans son cœur, elle tient à vous plus que tout au monde, je l’ai vu dans ses yeux. Elle vous aime Michael, il faut juste lui laisser le temps…Vous êtes la plus belle chose qui pouvait lui arriver dans sa vie. »
Michael esquissa un mince sourire et leva les yeux :
« Si seulement vous pouviez avoir raison, Henry… Si seulement… »
Pope se dirigea alors vers le fond de la pièce et montra les habits à Michael.
« Maintenant, il est temps d’y aller. Enfilez ça en vitesse et partez d’ici. J’ai éloigné le garde mais si il ne me voit pas revenir, il va venir voir ce qui se passe. Michael, il va falloir que vous me frappiez… »
M : « Vous…. Vous frapper mais comment… je ne peux pas faire ça Henry !! Je ne peux pas vous faire du mal ! »
P : « Vous n’avez pas le choix Michael. Si vous ne le faites pas, ils sauront tout de suite que je vous ai aidés. Et je pense que je vous serais plus utile si je n’ai pas le pays tout entier à mes trousses. Allez y Michael… Après tout, vous l’avez déjà fait le soir de votre évasion de Fox River. »
Michael était pétrifié, incapable de bouger
« Je ne peux pas Henry… »
Pope, désormais en colère commença à s’énerver
« Allez-y Michael… Maintenant !! Ne vous inquiétez pas pour moi, j’en ai vu d’autres ! Allez ! »
A regret et le cœur lourd, Michael saisit sa lampe de chevet et la souleva au dessus de Pope
« Je suis tellement désolé Henry… »
Et il frappa.
Après avoir enfilé les vêtements amenés par Pope, Michael sortit discrètement et arriva sur le parking. Il repéra tout de suite la voiture du fils de Pope, et il prit le volant pour s’éloigner vers la route qui menait hors de la ville.
Ce n’est qu’au bout d’un kilomètre environ qu’il entendit les sirènes d’alarme de l’hôpital.
Pope avait dû être découvert…
Michael Scofield était à nouveau un fugitif….
Bonne lecture!
Chapitre 8
M : « Henry !! »
Pope s’approcha du lit de Michael, qui était stupéfait de voir le directeur de la prison dans sa chambre.
P : « Bonjour Michael. Je suis ravi de voir que vous allez mieux. Vous nous avez fait très peur vous savez… Je n’ai jamais vu le Docteur Tancredi dans cet état. »
Michael ne disait rien,étonné de la tournure que prenait la conversation.
P : « Ecoutez Michael…. Je voulais vous dire que pendant votre coma , j’ai fait des recherches à propos de votre frère. J’ai contacté plusieurs de mes amis haut placés et… et je crois que vous avez raison Michael… Votre frère… me semble innocent »
Stupéfait, Michael ne trouvait pas ses mots et se contentait de fixer Pope.
M : « Mais… comment … comment avez-vous acquis la certitude qu’il est innocent ? Vous… vous avez des preuves ? »
Pope soupira et regarda Michael :
« Malheureusement non, Michael. Je suis vraiment désolé, j’aurais voulu amener des preuves pour innocenter votre frère mais … ces gens là sont trop puissants. En fait, dès que j’ai commencé à enquêter sur ce fameux meurtre, j’ai immédiatement reçu des menaces de mort : ils menaçaient de s’en prendre à ma famille si je continuais à fouiner dans ce dossier. J’ai alors commencé à avoir des soupçons, et, après avoir mis ma femme à l’abri, j’ai continué mes recherches. Et figurez vous que comme par hasard, au moment où j’allais mettre la main sur une preuve essentielle, prouvant notamment que l’enregistrement du meurtre est truqué, elle a comme par hasard brûlé, tout comme le bureau dans lequel elle a été rangée… Je ne crois pas au hasard Michael… Ces gens ont quelque chose à cacher, et je suis convaincu que c’est à propos de l’innocence de votre frère. »
Michael, complètement abasourdi par les révélations de Pope n’arrivait pas à réaliser ce qu’il venait d’entendre.
M : « Vous… Vous croyez donc vraiment à l’innocence de mon frère ? »
P : « Oui, Michael »
Michael, les larmes aux yeux :
M : « Merci, Henry… Je… Je vais me sentir un peu mois seul maintenant. Merci pour tout. »
Pope regarda alors Michael, prit son inspiration et déclara :
« Ecoutez Michael. Je suis un homme qui croit en la justice. Je refuse qu’un innocent soit tué pour un crime qu’il n’a pas commis. Malheureusement ces gens là sont trop puissants, je ne peux pas les faire tomber tout seul…. Michael… Vous seul pouvez déjouer ce complot. Vous êtes extrêmement intelligent et motivé, je sais que vous pouvez y arriver… »
Michael balbutia :
« Co… comment ça Henry ? »
« Michael, je vous ai apporté des habits civils pour que vous puissiez sortir sans être reconnu. Vous allez les enfiler et sortir de cet hôpital. Sur le parking, un pick up bleu vous attend, voici les clés. Je l’avais acheté pour les 18 ans de mon fils mais il n’a jamais eu l’occasion de s’en servir. Elle est pour vous Michael… »
M : « Henry...Je… »
P : « Ne dites rien Michael… Vous savez, vous me rappelez tellement mon fils… Je … Je crois que j’ai toujours su que vous étiez un type bien Michael… Vous allez faire tomber ces pourritures, j’ai confiance en vous…. »
Michael était bouleversé par les paroles du directeur. Il avait toujours eu une haute estime pour cet homme bon et courageux, qui faisait beaucoup pour ses prisonniers. Il regrettait tellement d’avoir trahi la confiance de Pope et d’avoir dû le frapper et l’enfermer dans son armoire… Et voilà que maintenant cet homme exceptionnel lui offrait la liberté au prix de sa carrière, et peut-être même de sa vie…
Pope poursuivit :
« Voici aussi l’adresse et les clés d’une maison qui m’appartient au Nouveau Mexique. C’est une vieille maison de famille dont tout le monde ignore l’existence. Vous y serez tranquille là-bas. »
Michael regarda alors cet homme pour qui il éprouvait tant de respect et lui déclara :
« Merci, Henry. Merci pour tout »
Pope, ému lui aussi, inspira un grand coup avant de regarder Michael dans les yeux :
« De rien, Michael. J’ai toujours voulu me battre pour la justice, et aujourd’hui j’en ai enfin l’occasion. Bien sûr ,je vous en veux quand même de m’avoir frappé et d’avoir trahi ma confiance, mais je sais que vous n’aviez pas le choix….
Ah… et encore une dernière chose... Votre frère et son ami Fernando Sucre auraient été aperçus dans une petite ville du Missouri, à Saint Louis, il y a quelques heures… »
Il s’approcha alors de Michael et l’étreignit comme un fils.
P : « Bonne chance Michael…. Oh… et j’allais oublier… »
Il sortit alors de sa poche un petit papier qu’il tendit à Michael, ainsi qu’un téléphone portable.
P : «Prenez ce téléphone portable. Et voici l’adresse et le numéro de téléphone de Sara Tancredi. Vous devriez l’appeler, je crois qu’elle tient à vous, et que vous l’aimez aussi… n’est-ce pas ? »
Michael soupira alors et baissa les yeux :
« Merci beaucoup Henry… Mais malheureusement je crois que j’ai fait trop souffrir Sara et qu’elle n’a plus confiance en moi. Elle ne peut pas éprouver des sentiments pour moi après tout ce que je lui ai fait »
P : « Eh bien, Michael, je crois que vous vous trompez. Certes, Sara a beaucoup souffert, mais je crois qu’elle vous a dans son cœur, elle tient à vous plus que tout au monde, je l’ai vu dans ses yeux. Elle vous aime Michael, il faut juste lui laisser le temps…Vous êtes la plus belle chose qui pouvait lui arriver dans sa vie. »
Michael esquissa un mince sourire et leva les yeux :
« Si seulement vous pouviez avoir raison, Henry… Si seulement… »
Pope se dirigea alors vers le fond de la pièce et montra les habits à Michael.
« Maintenant, il est temps d’y aller. Enfilez ça en vitesse et partez d’ici. J’ai éloigné le garde mais si il ne me voit pas revenir, il va venir voir ce qui se passe. Michael, il va falloir que vous me frappiez… »
M : « Vous…. Vous frapper mais comment… je ne peux pas faire ça Henry !! Je ne peux pas vous faire du mal ! »
P : « Vous n’avez pas le choix Michael. Si vous ne le faites pas, ils sauront tout de suite que je vous ai aidés. Et je pense que je vous serais plus utile si je n’ai pas le pays tout entier à mes trousses. Allez y Michael… Après tout, vous l’avez déjà fait le soir de votre évasion de Fox River. »
Michael était pétrifié, incapable de bouger
« Je ne peux pas Henry… »
Pope, désormais en colère commença à s’énerver
« Allez-y Michael… Maintenant !! Ne vous inquiétez pas pour moi, j’en ai vu d’autres ! Allez ! »
A regret et le cœur lourd, Michael saisit sa lampe de chevet et la souleva au dessus de Pope
« Je suis tellement désolé Henry… »
Et il frappa.
Après avoir enfilé les vêtements amenés par Pope, Michael sortit discrètement et arriva sur le parking. Il repéra tout de suite la voiture du fils de Pope, et il prit le volant pour s’éloigner vers la route qui menait hors de la ville.
Ce n’est qu’au bout d’un kilomètre environ qu’il entendit les sirènes d’alarme de l’hôpital.
Pope avait dû être découvert…
Michael Scofield était à nouveau un fugitif….
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
- Nombre de messages : 220
Age : 40
Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
trop triste la scene avec sara !!
j'espere qu'il va
aller retrouver link
saramike- Arrivé au Nouveau Mexique
- Nombre de messages : 399
Age : 31
Localisation : DERIIERE TOI
Date d'inscription : 23/07/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
tro beau michael et sara ensemble
maintenant qu'il est sortit j'espere qu'il va l'appeler
merci pour ses deux supers suites
encore une aujourd'hui
maintenant qu'il est sortit j'espere qu'il va l'appeler
merci pour ses deux supers suites
encore une aujourd'hui
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
merci vous êtes trop sympas!!
la suite ce soir, pas avant 20h...
la suite ce soir, pas avant 20h...
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
- Nombre de messages : 220
Age : 40
Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
ah vivement 20h00
de rien!
de rien!
saramike- Arrivé au Nouveau Mexique
- Nombre de messages : 399
Age : 31
Localisation : DERIIERE TOI
Date d'inscription : 23/07/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
Voilà la suite!! Bonne lecture!
Pendant ce temps là, quelque part dans la ville de Saint Louis, dans le Missouri…
Lincoln Burrows et Fernando Sucre déambulaient dans les rues de la petite ville, accablés par la capture de Michael et son sacrifice, et épuisés par leur fuite désespérée.
Lincoln se sentait tellement coupable de ce qu’avait dû subir son petit frère... Il n’avait pas su le protéger comme un vrai grand frère, et voilà qu’aujourd’hui, ce petit frère si doué et si bon envers les autres, allait finir sa vie en prison car il avait fait passé la vie de son frère avant la sienne…
Les larmes coulaient abondamment sur les joues de Lincoln, et Sucre préféra le laisser seul avec sa peine.
Soudain, alors qu’ils passaient devant un magasin de télévisions, le prénom de Michael fit sursauter les deux fugitifs…
Ils s’approchèrent de la vitrine, et Lincoln manqua de chanceler lorsqu’il entendit l’annonce de la présentatrice :
« Mesdames et Messieurs, nous interrompons ce programme pour vous faire part d’une nouvelle importante concernant l’un des 8 évadés de Fox River. En effet, nous venons d’apprendre à l’instant que Michael Scofield, qui avait été capturé hier par la police locale et emprisonné à Fox River, a une nouvelle fois réussi à s’échapper. Il semblerait que Michael Scofield était hospitalisé à l’Hôpital de Chicago après une tentative du suicide. Après être sorti du coma, il aurait réussi à tromper la vigilance des gardiens et à assommer le directeur de la prison, Henry Pope, venu lui rendre visite, avant de prendre la fuite, probablement au volant d’une voiture volée. Si vous apercevez cet homme, appelez immédiatement la police et surtout ne tentez rien, c’est un dangereux criminel. »
En entendant ces mots, Lincoln fut bouleversé au plus haut point…
Michael…. Son petit frère si brillant avait un nouvelle fois réussi à échapper à la police… Décidément, Michael était vraiment quelqu’un d’exceptionnel…
Puis son cœur se sera lorsqu’il se rappela les mots de la présentatrice… Ella avait dit que Michael avait tenté de se suicider… Les larmes coulèrent alors sur ses joues. Il était abattu…Son petit frère… son frère avait voulu mourir…. A cause de lui…
Michael devait être totalement désespéré pour en arriver là. Lincoln se sentait tellement coupable, jamais il n’aurait cru que Michael puisse ne plus rien espérer et vouloir partir à jamais… Il s’accroupit par terre et prit sa tête entre ses mains en murmurant…
« Oh mon Dieu Michael !!! Mon petit frère…pardonne moi…»
Sucre était aussi ému que Lincoln. Il avait toujours considéré Michael comme un homme fort et bon. Il n’avait jamais rencontré quelqu’un d’aussi exceptionnel avant… Jamais il n’aurait cru que Michael puisse vouloir en finir… Son ami devait être vraiment désespéré…
Mais il se ressaisit vite et s’approcha de Lincoln, en posant une main sur son épaule :
« Linc… Je…Je sais que c’est dur de penser que Michael a voulu mourir… mais maintenant il est libre…et c’est le plus important ! Vous allez vous retrouver et ça n’arrivera plus jamais »
Lincoln leva alors les yeux vers Sucre avec reconnaissance :
« Oui Sucre, tu as raison… L’essentiel c’est que Michael soit libre… Il faut absolument le retrouver ! »
Soudain, Lincoln se rappela ce que lui avait dit son frère, dans cette vieille maison abandonnée… « Si jamais on avait un problème, si on était séparés, va à cette adresse et je te retrouverais là bas… »
Le papier ! Michael lui avait donné un papier avec une adresse pour se retrouver !!! Il fouilla alors nerveusement ses poches, sous le regard stupéfait de Sucre. Enfin, au bout de quelques minutes, il ressortit triomphalement le petit papier de sa poche.
L : « Le voilà !!! C’est ici que nous devons retrouver Michael ! »
Il expliqua alors à Sucre ce que Michael lui avait dit ce soir là.
Puis il regardèrent ce qui était marqué et lurent : « Bolshoi Booze »
S : « Qu’est ce que ça peut bien vouloir dire ? C’est une adresse ? »
Lincoln réfléchit un instant puis son visage s’éclaira…
« Des coordonnées GPS !!! Ce sont des coordonnées GPS !!! Michael avait ces mots tatoués sur le corps ! Il avait tout prévu… il est vraiment très malin ! Il faut trouver un système GPS le plus vite possible ! »
S : « Oui … mais on le trouve où ce truc ? »
L : « Eh bien… on a pas le choix… On l’achète… »
S : « Mais… Linc ! On peut pas entrer dans un magasin, on va tout de suite se faire repérer ! »
L : « On a pas le choix, Sucre. C’est le seul moyen de retrouver Michael. »
Sucre soupira puis finit par acquiescer.
« D’accord, Linc… Il y a un magasin là bas… Je vais y aller, ma tête est un peu moins connue que la tienne. Donne-moi l’argent »
Lincoln lui tendit alors l’argent que Michael avait caché dans la vieille maison.
Sucre se dirigea vers le magasin et en ressortit quelques instants plus tard, une pochette en plastique à la main, tout sourire.
L : « Bravo Sucre ! Bien joué ! Maintenant il faut trouver un moyen de locomotion pour aller jusque là-bas. »
Sucre regarda Lincoln en souriant :
« T’inquiète pas pour ça mec ! Occupe toi de trouver cet endroit avec le GPS, moi je reviens avec un véhicule ! »
Et il partit vers la ville.
Lincoln sortit alors le GPS de sa pochette et entra les coordonnés donnés par Michael.
Une demi-heure plus tard, Sucre revenait triomphant au volant d’un vieux pick-up bleu.
S : « En voiture mon pote !!! On va où ? »
L : « Mais… où as-tu trouvé cette voiture ? »
S : « Eh bien… tu sais… avant d’être arrêté, j’étais le plus grand voleur de voitures de mon quartier ! »
Lincoln sourit alors et monta dans la voiture.
S : « On va où alors ? »
L : « Prends la direction de la Country Road 17. C’est par là bas que l’on retrouvera mon frère »
Et la voiture démarra, s’éloignant dans la poussière…
Chapitre 9
Pendant ce temps là, quelque part dans la ville de Saint Louis, dans le Missouri…
Lincoln Burrows et Fernando Sucre déambulaient dans les rues de la petite ville, accablés par la capture de Michael et son sacrifice, et épuisés par leur fuite désespérée.
Lincoln se sentait tellement coupable de ce qu’avait dû subir son petit frère... Il n’avait pas su le protéger comme un vrai grand frère, et voilà qu’aujourd’hui, ce petit frère si doué et si bon envers les autres, allait finir sa vie en prison car il avait fait passé la vie de son frère avant la sienne…
Les larmes coulaient abondamment sur les joues de Lincoln, et Sucre préféra le laisser seul avec sa peine.
Soudain, alors qu’ils passaient devant un magasin de télévisions, le prénom de Michael fit sursauter les deux fugitifs…
Ils s’approchèrent de la vitrine, et Lincoln manqua de chanceler lorsqu’il entendit l’annonce de la présentatrice :
« Mesdames et Messieurs, nous interrompons ce programme pour vous faire part d’une nouvelle importante concernant l’un des 8 évadés de Fox River. En effet, nous venons d’apprendre à l’instant que Michael Scofield, qui avait été capturé hier par la police locale et emprisonné à Fox River, a une nouvelle fois réussi à s’échapper. Il semblerait que Michael Scofield était hospitalisé à l’Hôpital de Chicago après une tentative du suicide. Après être sorti du coma, il aurait réussi à tromper la vigilance des gardiens et à assommer le directeur de la prison, Henry Pope, venu lui rendre visite, avant de prendre la fuite, probablement au volant d’une voiture volée. Si vous apercevez cet homme, appelez immédiatement la police et surtout ne tentez rien, c’est un dangereux criminel. »
En entendant ces mots, Lincoln fut bouleversé au plus haut point…
Michael…. Son petit frère si brillant avait un nouvelle fois réussi à échapper à la police… Décidément, Michael était vraiment quelqu’un d’exceptionnel…
Puis son cœur se sera lorsqu’il se rappela les mots de la présentatrice… Ella avait dit que Michael avait tenté de se suicider… Les larmes coulèrent alors sur ses joues. Il était abattu…Son petit frère… son frère avait voulu mourir…. A cause de lui…
Michael devait être totalement désespéré pour en arriver là. Lincoln se sentait tellement coupable, jamais il n’aurait cru que Michael puisse ne plus rien espérer et vouloir partir à jamais… Il s’accroupit par terre et prit sa tête entre ses mains en murmurant…
« Oh mon Dieu Michael !!! Mon petit frère…pardonne moi…»
Sucre était aussi ému que Lincoln. Il avait toujours considéré Michael comme un homme fort et bon. Il n’avait jamais rencontré quelqu’un d’aussi exceptionnel avant… Jamais il n’aurait cru que Michael puisse vouloir en finir… Son ami devait être vraiment désespéré…
Mais il se ressaisit vite et s’approcha de Lincoln, en posant une main sur son épaule :
« Linc… Je…Je sais que c’est dur de penser que Michael a voulu mourir… mais maintenant il est libre…et c’est le plus important ! Vous allez vous retrouver et ça n’arrivera plus jamais »
Lincoln leva alors les yeux vers Sucre avec reconnaissance :
« Oui Sucre, tu as raison… L’essentiel c’est que Michael soit libre… Il faut absolument le retrouver ! »
Soudain, Lincoln se rappela ce que lui avait dit son frère, dans cette vieille maison abandonnée… « Si jamais on avait un problème, si on était séparés, va à cette adresse et je te retrouverais là bas… »
Le papier ! Michael lui avait donné un papier avec une adresse pour se retrouver !!! Il fouilla alors nerveusement ses poches, sous le regard stupéfait de Sucre. Enfin, au bout de quelques minutes, il ressortit triomphalement le petit papier de sa poche.
L : « Le voilà !!! C’est ici que nous devons retrouver Michael ! »
Il expliqua alors à Sucre ce que Michael lui avait dit ce soir là.
Puis il regardèrent ce qui était marqué et lurent : « Bolshoi Booze »
S : « Qu’est ce que ça peut bien vouloir dire ? C’est une adresse ? »
Lincoln réfléchit un instant puis son visage s’éclaira…
« Des coordonnées GPS !!! Ce sont des coordonnées GPS !!! Michael avait ces mots tatoués sur le corps ! Il avait tout prévu… il est vraiment très malin ! Il faut trouver un système GPS le plus vite possible ! »
S : « Oui … mais on le trouve où ce truc ? »
L : « Eh bien… on a pas le choix… On l’achète… »
S : « Mais… Linc ! On peut pas entrer dans un magasin, on va tout de suite se faire repérer ! »
L : « On a pas le choix, Sucre. C’est le seul moyen de retrouver Michael. »
Sucre soupira puis finit par acquiescer.
« D’accord, Linc… Il y a un magasin là bas… Je vais y aller, ma tête est un peu moins connue que la tienne. Donne-moi l’argent »
Lincoln lui tendit alors l’argent que Michael avait caché dans la vieille maison.
Sucre se dirigea vers le magasin et en ressortit quelques instants plus tard, une pochette en plastique à la main, tout sourire.
L : « Bravo Sucre ! Bien joué ! Maintenant il faut trouver un moyen de locomotion pour aller jusque là-bas. »
Sucre regarda Lincoln en souriant :
« T’inquiète pas pour ça mec ! Occupe toi de trouver cet endroit avec le GPS, moi je reviens avec un véhicule ! »
Et il partit vers la ville.
Lincoln sortit alors le GPS de sa pochette et entra les coordonnés donnés par Michael.
Une demi-heure plus tard, Sucre revenait triomphant au volant d’un vieux pick-up bleu.
S : « En voiture mon pote !!! On va où ? »
L : « Mais… où as-tu trouvé cette voiture ? »
S : « Eh bien… tu sais… avant d’être arrêté, j’étais le plus grand voleur de voitures de mon quartier ! »
Lincoln sourit alors et monta dans la voiture.
S : « On va où alors ? »
L : « Prends la direction de la Country Road 17. C’est par là bas que l’on retrouvera mon frère »
Et la voiture démarra, s’éloignant dans la poussière…
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
- Nombre de messages : 220
Age : 40
Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
tro bien cette suite
avec l'amitie linc/sucre
tro triste linc quand il apprend pour mike
mais ils vont bientot se retrouver
la suite
avec l'amitie linc/sucre
tro triste linc quand il apprend pour mike
mais ils vont bientot se retrouver
la suite
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
Voici le chapitre 10... Bonne lecture!
Pendant ce temps, Michael roulait à vive allure en direction du Nouveau Mexique.
Une fois qu’il fut certain que la police ne le suivait pas et qu’il était en sécurité, il se gara sur un parking désert et sortit le portable ainsi que le numéro de Sara que Pope lui avait donnés.
Il voulait appeler Sara pour être sûr qu’elle allait bien, mais il avait très peur de sa réaction, surtout après ce qui s’était passé. Finalement, il prit une grande inspiration et composa le numéro.
Tut tuut tuuuuuuuuut….
« Bonjour, vous êtes bien sur le répondeur de Sara Tancredi. Je ne suis pas disponible, mais laissez moi un message, je vous rappellerais dès que possible. »
Oh mon Dieu…. Cette voix….. Rien qu’à l’entendre Michael en avait des frissons. Il attendit quelques instants… Son cœur battait à la chamade…
« Décroche Sara… Décroche je t’en supplie…. »
Mais au bout de 10 minutes à attendre, Michael renonça. Sara ne décrocherait pas…
Il se demandait ce que pouvait bien faire la jeune femme en ce moment, est-ce qu’elle allait bien ? Il aurait tout donné pour la serrer dans ses bras…rien qu’une seule fois. Mais ce n’était pas possible…
Il soupira et poursuivit sa route vers Bolshoi Booze.
Pendant ce temps, quelque part dans Chicago…
Sara venait juste de sortir de l’hôpital. Elle était encore bouleversée par ce que lui avait dit Michael. Elle savait bien qu’il l’avait fait souffrir mais… au souvenir de regard perçant de Michael plongé dans le sien, du contact de ses doigts sur sa peau, de ses yeux pleins de larmes… Sara ne put s’empêcher de frémir… Elle avait été très troublée par Michael, elle ne pouvait pas le nier.
Résistant à la tentation de faire demi-tour pour retourner voir Michael, Sara poursuivit sa route.
Arrivée devant son appartement, elle soupira. Elle n’y avait pas remis les pieds depuis son overdose, ce fameux soir de l’évasion…. Dès qu’elle ouvrit la porte, elle remarqua le désordre qu’elle avait laissé. Elle respira profondément puis attaqua le rangement.
Au bout de 2 heures, elle était épuisée, et décida de regarder la télévision pour se changer les idées.
A peine avait elle allumé que son cœur manqua de défaillir. Elle augmenta le son et fixa l’écran, stupéfaite et bouleversée…
« Mesdames et Messieurs, nous interrompons ce programme pour vous faire part d’une nouvelle importante concernant l’un des 8 évadés de Fox River. En effet, nous venons d’apprendre à l’instant que Michael Scofield, qui avait été capturé hier par la police locale et emprisonné à Fox River, a une nouvelle fois réussi à s’échapper…. »
« Oh mon dieu Michael…tu …tu as encore réussi »
Elle n’arrivait pas à réaliser que le jeune homme soit une nouvelle fois parvenu à s’échapper. Décidément, il la surprendrait toujours…
Il était libre ! Michael était libre !!!
Sara était tellement contente pour lui, mais aussi très inquiète. Maintenant qu’il était dehors, Michael était en danger de mort. Il allait devenir l’homme le plus recherché de tout le pays … Le seul prisonnier à avoir réussi à s’évader 2 fois de suite !
Elle soupira et se demanda où pouvait bien être Michael au moment même. Elle espérait qu’il parviendrait à retrouver son frère et à échapper à la police. Elle ne savait pas quel était son plan, mais elle avait très peur pour lui…
Elle finit par aller s’allonger et s’assoupit, sans cesser de penser à Michael.
Au même moment, à Bolshoi Booze…
Lincoln et Sucre roulaient sur la Country Road 17, après avoir échappé de justesse un barrage de police. Lincoln était au volant, et sur le siège passager, Sucre le guidait grâce au système GPS.
S : « Euh… à droite Linc … enfin non… à gauche… Oh et puis zut à la fin ! Je comprend rien à ce truc de GPS !!! Y a pleins de routes et de boutons partout on y voit rien ! »
Amusé par la mauvaise humeur de Sucre, Lincoln esquissa un sourire :
L : « Allez Sucre donne moi ça tu m’as l’air plus doué pour voler les voitures que pour manier les nouvelles technologies ! »
Sucre grommela et continua à pester :
S : « Ouais bon d’accord Mr je sais tout !!! C’est pas la peine d’en rajouter ! Et puis sans moi on serait pas dans cette bagnole ! »
Lincoln, amusé de voir Sucre s’énerver, continua à rire franchement.
Il prit le GPS des mains de Sucre et repéra rapidement la direction à suivre.
Quinze minutes plus tard, ils parvirent à l’endroit indiqué par les coordonnés. C’était une petite cabane en bois au milieu de nulle part, en plein désert….
Admiratif devant l’ingéniosité de son frère, Lincoln sourit intérieurement :
« Sacré Michael ! Tu as pensé à tout ! Tu savais bien qu’ici personne ne viendrait nous chercher… c’est bien trop inaccessible et personne n’aurait envie de s’y aventurer, surtout par cette chaleur ! Décidément Mich tu m’épates ! »
Mais peut-être avait il parlé un peu vite…
Chicago, siège du FBI
« Agent Mahone, c’est à vous »
Un homme grand et maigre, à la chevelure brune et au regard fatigué, s’approcha alors de l’estrade et fit face à la cinquantaine de journalistes présents dans la salle.
« Mesdames et messieurs, Bonjour. Je suis l’agent Alexander Mahone, du FBI. J’ai été chargé de la traque des 8 évadés de Fox River, et je ferais tout mon possible pour que ces dangereux criminels soient remis sous les verrous le plus rapidement possible. Mais pour cela, je vais avoir besoin de votre aide, citoyens américains. Je vais vous demande d’observer attentivement les 8 photos qui vont apparaître sur votre écran, et qui seront publiés dans tous les journaux du pays dès demain. Si jamais vous apercevez l’un de ces hommes, surtout ne tentez rien seul mais appelez immédiatement la police qui se chargera de leur arrestation. En agissant ainsi, vous aiderez grandement votre pays. Je vous demande de regarder plus particulièrement le visage de Michael Scofield, qui comme vous le savez a réussi à s’échapper par 2 fois. Cet homme est extrêmement intelligent et donc très dangereux. Soyez donc très prudents ! Je vous remercie de votre aide. »
Une heure plus tard, Mahone se trouvait dans son bureau, le dossier de Michael Scofield étalé devant lui. La veille, il avait rendu visite à la jeune femme qui avait tatoué le corps de Michael, et après avoir cogité toute la nuit, il avait enfin compris que le tatouage de Michael représentait le plan de la prison ainsi que plusieurs indications pour leur fuite.
Il était en train de contempler plusieurs photos du tatouage et commençait à perdre patience.
Soudain, l’une d’entre elle attira son attention. Il s’agissait d’un gros plan d’une des parties du tatouage de Michael.
Mahone l’observa attentivement : « Bolshoi Booze, Bolshoi Booze, Bolshoi Booze…. Qu’est ce que ça veut dire Michael ? Où comptes tu aller ? » Il tourna la photo dans tous les sens, consulta son ordinateur, retourna encore la photo, mais il ne voyait toujours pas ce que ces deux mots voulaient dire. Il n’existait nulle part en Amérique d’endroit appelé Bolshoi Booze… Il commença à perdre patience, la sueur perlait à son front. De rage, il envoya valser les photos et frappa du poing sur la table.
Il aperçut alors la fameuse photo qui avait atterri par-terre, à l’envers.
Soudain, il eut une illumination.
« Bolshoi Booze…. Mais oui ! bien sûr ! Ce n’est pas un nom de lieu, ce sont des coordonnées géographiques… Décidément Michael, tu es vraiment très malin… Mais la fin de la course est proche, très proche… »
Il saisit alors la photo, l’observa attentivement pendant quelques minutes et décrocha son téléphone
« Agent Wheeler, trouvez moi à quoi correspondent ces coordonnées géographiques :32°0′09″N, 104°57′09″O. Vous avez une minute »
Quelques instants plus tard, Wheeler lui donna la localisation exacte, et sans un mot de remerciement, Mahone raccrocha.
Il composa un nouveau numéro.
Voix : « Allo ? »
Ma : « Je pense avoir repéré l’endroit où Scofield et Burrows ont l’intention de se rendre. C’est au nouveau Mexique… Quels sont les ordres ? »
V : « Partez là bas sur le champ, et trouvez les ! »
Ma : « Et je fais quoi ? »
V : « Tuez les tous les deux »
Une demi-heure plus tard, Mahone roulait en direction du Nouveau Mexique, son système GPS avec lui.
« A très bientôt Michael ! »
Chapitre 10
Pendant ce temps, Michael roulait à vive allure en direction du Nouveau Mexique.
Une fois qu’il fut certain que la police ne le suivait pas et qu’il était en sécurité, il se gara sur un parking désert et sortit le portable ainsi que le numéro de Sara que Pope lui avait donnés.
Il voulait appeler Sara pour être sûr qu’elle allait bien, mais il avait très peur de sa réaction, surtout après ce qui s’était passé. Finalement, il prit une grande inspiration et composa le numéro.
Tut tuut tuuuuuuuuut….
« Bonjour, vous êtes bien sur le répondeur de Sara Tancredi. Je ne suis pas disponible, mais laissez moi un message, je vous rappellerais dès que possible. »
Oh mon Dieu…. Cette voix….. Rien qu’à l’entendre Michael en avait des frissons. Il attendit quelques instants… Son cœur battait à la chamade…
« Décroche Sara… Décroche je t’en supplie…. »
Mais au bout de 10 minutes à attendre, Michael renonça. Sara ne décrocherait pas…
Il se demandait ce que pouvait bien faire la jeune femme en ce moment, est-ce qu’elle allait bien ? Il aurait tout donné pour la serrer dans ses bras…rien qu’une seule fois. Mais ce n’était pas possible…
Il soupira et poursuivit sa route vers Bolshoi Booze.
Pendant ce temps, quelque part dans Chicago…
Sara venait juste de sortir de l’hôpital. Elle était encore bouleversée par ce que lui avait dit Michael. Elle savait bien qu’il l’avait fait souffrir mais… au souvenir de regard perçant de Michael plongé dans le sien, du contact de ses doigts sur sa peau, de ses yeux pleins de larmes… Sara ne put s’empêcher de frémir… Elle avait été très troublée par Michael, elle ne pouvait pas le nier.
Résistant à la tentation de faire demi-tour pour retourner voir Michael, Sara poursuivit sa route.
Arrivée devant son appartement, elle soupira. Elle n’y avait pas remis les pieds depuis son overdose, ce fameux soir de l’évasion…. Dès qu’elle ouvrit la porte, elle remarqua le désordre qu’elle avait laissé. Elle respira profondément puis attaqua le rangement.
Au bout de 2 heures, elle était épuisée, et décida de regarder la télévision pour se changer les idées.
A peine avait elle allumé que son cœur manqua de défaillir. Elle augmenta le son et fixa l’écran, stupéfaite et bouleversée…
« Mesdames et Messieurs, nous interrompons ce programme pour vous faire part d’une nouvelle importante concernant l’un des 8 évadés de Fox River. En effet, nous venons d’apprendre à l’instant que Michael Scofield, qui avait été capturé hier par la police locale et emprisonné à Fox River, a une nouvelle fois réussi à s’échapper…. »
« Oh mon dieu Michael…tu …tu as encore réussi »
Elle n’arrivait pas à réaliser que le jeune homme soit une nouvelle fois parvenu à s’échapper. Décidément, il la surprendrait toujours…
Il était libre ! Michael était libre !!!
Sara était tellement contente pour lui, mais aussi très inquiète. Maintenant qu’il était dehors, Michael était en danger de mort. Il allait devenir l’homme le plus recherché de tout le pays … Le seul prisonnier à avoir réussi à s’évader 2 fois de suite !
Elle soupira et se demanda où pouvait bien être Michael au moment même. Elle espérait qu’il parviendrait à retrouver son frère et à échapper à la police. Elle ne savait pas quel était son plan, mais elle avait très peur pour lui…
Elle finit par aller s’allonger et s’assoupit, sans cesser de penser à Michael.
Au même moment, à Bolshoi Booze…
Lincoln et Sucre roulaient sur la Country Road 17, après avoir échappé de justesse un barrage de police. Lincoln était au volant, et sur le siège passager, Sucre le guidait grâce au système GPS.
S : « Euh… à droite Linc … enfin non… à gauche… Oh et puis zut à la fin ! Je comprend rien à ce truc de GPS !!! Y a pleins de routes et de boutons partout on y voit rien ! »
Amusé par la mauvaise humeur de Sucre, Lincoln esquissa un sourire :
L : « Allez Sucre donne moi ça tu m’as l’air plus doué pour voler les voitures que pour manier les nouvelles technologies ! »
Sucre grommela et continua à pester :
S : « Ouais bon d’accord Mr je sais tout !!! C’est pas la peine d’en rajouter ! Et puis sans moi on serait pas dans cette bagnole ! »
Lincoln, amusé de voir Sucre s’énerver, continua à rire franchement.
Il prit le GPS des mains de Sucre et repéra rapidement la direction à suivre.
Quinze minutes plus tard, ils parvirent à l’endroit indiqué par les coordonnés. C’était une petite cabane en bois au milieu de nulle part, en plein désert….
Admiratif devant l’ingéniosité de son frère, Lincoln sourit intérieurement :
« Sacré Michael ! Tu as pensé à tout ! Tu savais bien qu’ici personne ne viendrait nous chercher… c’est bien trop inaccessible et personne n’aurait envie de s’y aventurer, surtout par cette chaleur ! Décidément Mich tu m’épates ! »
Mais peut-être avait il parlé un peu vite…
Chicago, siège du FBI
« Agent Mahone, c’est à vous »
Un homme grand et maigre, à la chevelure brune et au regard fatigué, s’approcha alors de l’estrade et fit face à la cinquantaine de journalistes présents dans la salle.
« Mesdames et messieurs, Bonjour. Je suis l’agent Alexander Mahone, du FBI. J’ai été chargé de la traque des 8 évadés de Fox River, et je ferais tout mon possible pour que ces dangereux criminels soient remis sous les verrous le plus rapidement possible. Mais pour cela, je vais avoir besoin de votre aide, citoyens américains. Je vais vous demande d’observer attentivement les 8 photos qui vont apparaître sur votre écran, et qui seront publiés dans tous les journaux du pays dès demain. Si jamais vous apercevez l’un de ces hommes, surtout ne tentez rien seul mais appelez immédiatement la police qui se chargera de leur arrestation. En agissant ainsi, vous aiderez grandement votre pays. Je vous demande de regarder plus particulièrement le visage de Michael Scofield, qui comme vous le savez a réussi à s’échapper par 2 fois. Cet homme est extrêmement intelligent et donc très dangereux. Soyez donc très prudents ! Je vous remercie de votre aide. »
Une heure plus tard, Mahone se trouvait dans son bureau, le dossier de Michael Scofield étalé devant lui. La veille, il avait rendu visite à la jeune femme qui avait tatoué le corps de Michael, et après avoir cogité toute la nuit, il avait enfin compris que le tatouage de Michael représentait le plan de la prison ainsi que plusieurs indications pour leur fuite.
Il était en train de contempler plusieurs photos du tatouage et commençait à perdre patience.
Soudain, l’une d’entre elle attira son attention. Il s’agissait d’un gros plan d’une des parties du tatouage de Michael.
Mahone l’observa attentivement : « Bolshoi Booze, Bolshoi Booze, Bolshoi Booze…. Qu’est ce que ça veut dire Michael ? Où comptes tu aller ? » Il tourna la photo dans tous les sens, consulta son ordinateur, retourna encore la photo, mais il ne voyait toujours pas ce que ces deux mots voulaient dire. Il n’existait nulle part en Amérique d’endroit appelé Bolshoi Booze… Il commença à perdre patience, la sueur perlait à son front. De rage, il envoya valser les photos et frappa du poing sur la table.
Il aperçut alors la fameuse photo qui avait atterri par-terre, à l’envers.
Soudain, il eut une illumination.
« Bolshoi Booze…. Mais oui ! bien sûr ! Ce n’est pas un nom de lieu, ce sont des coordonnées géographiques… Décidément Michael, tu es vraiment très malin… Mais la fin de la course est proche, très proche… »
Il saisit alors la photo, l’observa attentivement pendant quelques minutes et décrocha son téléphone
« Agent Wheeler, trouvez moi à quoi correspondent ces coordonnées géographiques :32°0′09″N, 104°57′09″O. Vous avez une minute »
Quelques instants plus tard, Wheeler lui donna la localisation exacte, et sans un mot de remerciement, Mahone raccrocha.
Il composa un nouveau numéro.
Voix : « Allo ? »
Ma : « Je pense avoir repéré l’endroit où Scofield et Burrows ont l’intention de se rendre. C’est au nouveau Mexique… Quels sont les ordres ? »
V : « Partez là bas sur le champ, et trouvez les ! »
Ma : « Et je fais quoi ? »
V : « Tuez les tous les deux »
Une demi-heure plus tard, Mahone roulait en direction du Nouveau Mexique, son système GPS avec lui.
« A très bientôt Michael ! »
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
- Nombre de messages : 220
Age : 40
Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
dacbc77 a écrit:oh non mahone
michael faut qu'il rappelle sara
encore une suite
oue mahone
mick qui a encore réussit !
la suite stp
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
- Nombre de messages : 6508
Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
Ca vous dit le chapitre 11 tout de suite?
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
- Nombre de messages : 220
Age : 40
Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
oui moi je veux bien un autre chapitre
Sara59- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3949
Age : 38
Date d'inscription : 03/04/2007
Page 2 sur 18 • 1, 2, 3 ... 10 ... 18
Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
Page 2 sur 18
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum