Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
fanancic a écrit:Ca vous dit le chapitre 11 tout de suite?
ouuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
alors le voilà!
Quelque part sur la route vers le Nouveau Mexique…
Cela faisait maintenant plusieurs heures que Michael roulait, la nuit était tombée depuis longtemps, et la fatigue commençait à se faire sentir. Incapable de continuer sans s’endormir, il décida de s’arrêter dormir quelques heures sur un parking désert.
Dès qu’il eut coupé le moteur, Michael s’écroula et s’endormit en rêvant à Sara.
Chicago, dans l’appartement de Sara
Sara se réveilla brusquement, sans savoir où elle était. Peu à peu, tout lui revint en mémoire. Michael, l’hôpital, son regard et ses excuses, son départ précipité de la chambre et surtout l’évasion de Michael aux informations… Michael… il lui manquait déjà… Elle espérait qu’il allait bien.
Elle soupira alors et constata qu’elle était affamée. Elle ouvrit son frigo et ses placards, mais malheureusement tous étaient vides. Elle décida alors de descendre acheter quelque chose à manger à l’épicerie au coin de sa rue.
Elle s’habilla donc et sortit quelques instants plus tard.
Mais à peine avait-elle franchit le pas de sa porte, qu’une main l’agrippa fermement et la bâillonna avant qu’elle ait eu le temps de faire le moindre geste. Elle sentit alors une très forte douleur à la tête, puis ce fut le trou noir.
Au même moment, Michael venait de se réveiller, et l’image de Sara continuait d’envahir son esprit. Il avait rêvé d’elle tout au long de sa courte nuit, et espérait qu’elle allait bien…
Il essaya une nouvelle fois de l’appeler, mais tomba une nouvelle fois sur son répondeur. Il commença à s’inquiéter sérieusement… Et si Sara avait un problème ? Si elle était en danger ? Fou d’angoisse, il pensa un moment faire demi-tour pour aller voir si tout allait bien pour elle, mais il finit par y renoncer… Après tout, se disait-il, Sara avait dit qu’elle ne voulait plus jamais le revoir… Elle n’avait donc sûrement pas envie de décrocher et de lui parler… Et puis, elle ne savait peut-être pas qu’il s’était à nouveau évadé…Il soupira une nouvelle fois, encore plus malheureux que la veille.
Il se décida alors à reprendre la direction de Bolshoi Booze, et il appellerait à nouveau Sara depuis là bas… en espérant qu’elle accepte de lui parler…
Il avait hâte de revoir son frère.
Pendant ce temps, au Nouveau Mexique…Lincoln et Sucre venaient juste de se réveiller après une nuit peu confortable. En effet, ils avaient tous deux dormi à même le sol de la cabane, et leurs muscles étaient tout endoloris. De plus, les ronflements incessants de Linc, la chaleur torride qui régnait dans la cabane et les cris des bêtes sauvages n’avaient pas arrangé les choses…
L’aube pointait son nez lorsque Lincoln sortit de la cabane et s’étira. Quelques minutes plus tard, Sucre le rejoignit. Ils mangèrent des barres de céréales que Michael avait dû laisser là en prévision de leur éventuelle venue, puis commencèrent à attendre Michael, assis devant la porte de la cabane, tout en parlant de leur enfance respective.
Au bout de 5 heures d’attente interminable, Lincoln commença à s’inquiéter sérieusement pour son frère. Normalement, vu l’heure de son évasion, et si il avait effectivement pu se procurer une voiture, Michael aurait dû être là depuis au moins 2 heures… Et si Lincoln avait mal compris ? Si Michael ne venait pas à Bolshoi Booze ? Et pire… si il s’était fait prendre à nouveau ? L’angoisse étreignait le cœur de Lincoln…. Il voulait tellement serrer à nouveau Michael dans ses bras…
Sucre, sentant l’inquiétude de son ami, tenta de le rassurer…
« Eh mec t’en fait pas ! Il va arriver Michael !! Tu sais bien que c’est le meilleur… il est bien plus malin que ces imbéciles de policiers… il va pas se laisser avoir comme ça ! Et puis de toutes façons ils ont rien dit à la radio à propos d’une nouvelle capture, donc t’en fait pas… Il va arriver… Laisse lui juste le temps… »
Un peu rassuré, Lincoln remercia Sucre et l’attente continua…
Une heure plus tard, alors qu’il commençaient à somnoler, il aperçurent soudain un nuage de poussière au loin. Sucre réveilla Lincoln.
S : « Linc ! Regarde ! »
L : « C’est lui ! Je suis sûr que c’est lui ! »
La voiture était à présent à quelques mètres de la cabane. Elle stoppa, le moteur s’arrêta, la porte s’ouvrit, et un homme sortit…
C’était Michael…
Fou de joie, Lincoln se précipita vers son frère et l’étreignit :
L : « Michael !! Oh mon dieu Michael ! J’ai… J’ai eu tellement peur… J’ai cru que Bellick t’avait tué... !Michael… ne me refais plus jamais ça ! Je t’aime trop petit frère ! Je ne supporterais de te perdre ! »
Les larmes coulaient abondamment sur les joues de Lincoln. Michael aussi pleurait et était très ému de ses retrouvailles…. Qu’il était bon de retrouver sa famille…
Il murmura :
« Linc… Je suis vraiment content de te revoir ! Tu m’as manqué mon frère ! Mais ne t’inquiète pas, à partir de maintenant, on ne se sépare plus ! C’est promis !! ». Les deux frères pleuraient à présent tous les deux.
Michael se retourna alors vers Sucre et l’étreignit à son tour.
M : « Hey, mon pote ! Tu m’as manqué… »
S : « Tu m’as manqué aussi Papi ! Tu nous as fait une de ces peurs !! On a bien cru qu’on te reverrait jamais mon pote ! Refais jamais ça Mick ! Tu sais… t’es mon meilleur ami, alors tâche de rester en vie… »
Michael, ému et touché par les paroles de Sucre, lui sourit :
M : « Toi aussi tu m’as manqué Sucre ! Je pensais pas rencontrer quelqu’un comme toi en prison… mais t’inquiète, j’ai pas l’intention de me faire tuer… »
Et ils s’étreignirent à nouveau.
Quelques instants plus tard, Michael expliqua tout ce qui s’était passé :son arrestation et les menaces de Bellick, l’intervention de Pope et son interrogatoire à Fox River, la cellule d’isolement, l’hôpital… et la stupéfiante arrivée de Pope qui l’avait aidé à s’échapper. Il n’évoqua cependant pas Sara et le rôle qu’elle avait joué, c’était une histoire entre elle et lui.
Lincoln regarda Michael, ébahi…
L : « Quoi ? tu veux dire que… Pope, le directeur de la prison t’a aidé à t’évader, car il pense que je suis innocent ? C’est dingue… »
M : « Oui, c’est grâce à lui que je suis ici en vie. C’est un homme formidable, je n’oublierais jamais tout ce qu’il a fait pour moi…Je lui dois tout. »
L : « Moi non plus, je ne l’oublierais jamais. Il y a donc encore des hommes justes et bons sur cette terre… Peut-être que tout n’est pas perdu finalement… »
Après quelques minutes de silence, Michael poursuivit et leur expliqua le plan :
« Maintenant, il faut que l’on aille en Utah, on y trouvera les 5 millions de Westmorland, et après on pourra fuir au Panama pour démarrer une nouvelle vie. »
L : « Mais… tu sais exactement où ils sont ces 5 millions ? »
M : « Oui… Charles me l’a confié juste avant de mourir… Ayez confiance. Là, nous partirons tous pour l’Utah avec la voiture de Pope. C’est plus prudent que votre voiture volée…Allons-y ! »
Soudain, une voix résonna dans le désert…
« Oh non Michael, vous n’allez nulle part ! C’est la fin du voyage… »
Chapitre 11
Quelque part sur la route vers le Nouveau Mexique…
Cela faisait maintenant plusieurs heures que Michael roulait, la nuit était tombée depuis longtemps, et la fatigue commençait à se faire sentir. Incapable de continuer sans s’endormir, il décida de s’arrêter dormir quelques heures sur un parking désert.
Dès qu’il eut coupé le moteur, Michael s’écroula et s’endormit en rêvant à Sara.
Chicago, dans l’appartement de Sara
Sara se réveilla brusquement, sans savoir où elle était. Peu à peu, tout lui revint en mémoire. Michael, l’hôpital, son regard et ses excuses, son départ précipité de la chambre et surtout l’évasion de Michael aux informations… Michael… il lui manquait déjà… Elle espérait qu’il allait bien.
Elle soupira alors et constata qu’elle était affamée. Elle ouvrit son frigo et ses placards, mais malheureusement tous étaient vides. Elle décida alors de descendre acheter quelque chose à manger à l’épicerie au coin de sa rue.
Elle s’habilla donc et sortit quelques instants plus tard.
Mais à peine avait-elle franchit le pas de sa porte, qu’une main l’agrippa fermement et la bâillonna avant qu’elle ait eu le temps de faire le moindre geste. Elle sentit alors une très forte douleur à la tête, puis ce fut le trou noir.
Au même moment, Michael venait de se réveiller, et l’image de Sara continuait d’envahir son esprit. Il avait rêvé d’elle tout au long de sa courte nuit, et espérait qu’elle allait bien…
Il essaya une nouvelle fois de l’appeler, mais tomba une nouvelle fois sur son répondeur. Il commença à s’inquiéter sérieusement… Et si Sara avait un problème ? Si elle était en danger ? Fou d’angoisse, il pensa un moment faire demi-tour pour aller voir si tout allait bien pour elle, mais il finit par y renoncer… Après tout, se disait-il, Sara avait dit qu’elle ne voulait plus jamais le revoir… Elle n’avait donc sûrement pas envie de décrocher et de lui parler… Et puis, elle ne savait peut-être pas qu’il s’était à nouveau évadé…Il soupira une nouvelle fois, encore plus malheureux que la veille.
Il se décida alors à reprendre la direction de Bolshoi Booze, et il appellerait à nouveau Sara depuis là bas… en espérant qu’elle accepte de lui parler…
Il avait hâte de revoir son frère.
Pendant ce temps, au Nouveau Mexique…Lincoln et Sucre venaient juste de se réveiller après une nuit peu confortable. En effet, ils avaient tous deux dormi à même le sol de la cabane, et leurs muscles étaient tout endoloris. De plus, les ronflements incessants de Linc, la chaleur torride qui régnait dans la cabane et les cris des bêtes sauvages n’avaient pas arrangé les choses…
L’aube pointait son nez lorsque Lincoln sortit de la cabane et s’étira. Quelques minutes plus tard, Sucre le rejoignit. Ils mangèrent des barres de céréales que Michael avait dû laisser là en prévision de leur éventuelle venue, puis commencèrent à attendre Michael, assis devant la porte de la cabane, tout en parlant de leur enfance respective.
Au bout de 5 heures d’attente interminable, Lincoln commença à s’inquiéter sérieusement pour son frère. Normalement, vu l’heure de son évasion, et si il avait effectivement pu se procurer une voiture, Michael aurait dû être là depuis au moins 2 heures… Et si Lincoln avait mal compris ? Si Michael ne venait pas à Bolshoi Booze ? Et pire… si il s’était fait prendre à nouveau ? L’angoisse étreignait le cœur de Lincoln…. Il voulait tellement serrer à nouveau Michael dans ses bras…
Sucre, sentant l’inquiétude de son ami, tenta de le rassurer…
« Eh mec t’en fait pas ! Il va arriver Michael !! Tu sais bien que c’est le meilleur… il est bien plus malin que ces imbéciles de policiers… il va pas se laisser avoir comme ça ! Et puis de toutes façons ils ont rien dit à la radio à propos d’une nouvelle capture, donc t’en fait pas… Il va arriver… Laisse lui juste le temps… »
Un peu rassuré, Lincoln remercia Sucre et l’attente continua…
Une heure plus tard, alors qu’il commençaient à somnoler, il aperçurent soudain un nuage de poussière au loin. Sucre réveilla Lincoln.
S : « Linc ! Regarde ! »
L : « C’est lui ! Je suis sûr que c’est lui ! »
La voiture était à présent à quelques mètres de la cabane. Elle stoppa, le moteur s’arrêta, la porte s’ouvrit, et un homme sortit…
C’était Michael…
Fou de joie, Lincoln se précipita vers son frère et l’étreignit :
L : « Michael !! Oh mon dieu Michael ! J’ai… J’ai eu tellement peur… J’ai cru que Bellick t’avait tué... !Michael… ne me refais plus jamais ça ! Je t’aime trop petit frère ! Je ne supporterais de te perdre ! »
Les larmes coulaient abondamment sur les joues de Lincoln. Michael aussi pleurait et était très ému de ses retrouvailles…. Qu’il était bon de retrouver sa famille…
Il murmura :
« Linc… Je suis vraiment content de te revoir ! Tu m’as manqué mon frère ! Mais ne t’inquiète pas, à partir de maintenant, on ne se sépare plus ! C’est promis !! ». Les deux frères pleuraient à présent tous les deux.
Michael se retourna alors vers Sucre et l’étreignit à son tour.
M : « Hey, mon pote ! Tu m’as manqué… »
S : « Tu m’as manqué aussi Papi ! Tu nous as fait une de ces peurs !! On a bien cru qu’on te reverrait jamais mon pote ! Refais jamais ça Mick ! Tu sais… t’es mon meilleur ami, alors tâche de rester en vie… »
Michael, ému et touché par les paroles de Sucre, lui sourit :
M : « Toi aussi tu m’as manqué Sucre ! Je pensais pas rencontrer quelqu’un comme toi en prison… mais t’inquiète, j’ai pas l’intention de me faire tuer… »
Et ils s’étreignirent à nouveau.
Quelques instants plus tard, Michael expliqua tout ce qui s’était passé :son arrestation et les menaces de Bellick, l’intervention de Pope et son interrogatoire à Fox River, la cellule d’isolement, l’hôpital… et la stupéfiante arrivée de Pope qui l’avait aidé à s’échapper. Il n’évoqua cependant pas Sara et le rôle qu’elle avait joué, c’était une histoire entre elle et lui.
Lincoln regarda Michael, ébahi…
L : « Quoi ? tu veux dire que… Pope, le directeur de la prison t’a aidé à t’évader, car il pense que je suis innocent ? C’est dingue… »
M : « Oui, c’est grâce à lui que je suis ici en vie. C’est un homme formidable, je n’oublierais jamais tout ce qu’il a fait pour moi…Je lui dois tout. »
L : « Moi non plus, je ne l’oublierais jamais. Il y a donc encore des hommes justes et bons sur cette terre… Peut-être que tout n’est pas perdu finalement… »
Après quelques minutes de silence, Michael poursuivit et leur expliqua le plan :
« Maintenant, il faut que l’on aille en Utah, on y trouvera les 5 millions de Westmorland, et après on pourra fuir au Panama pour démarrer une nouvelle vie. »
L : « Mais… tu sais exactement où ils sont ces 5 millions ? »
M : « Oui… Charles me l’a confié juste avant de mourir… Ayez confiance. Là, nous partirons tous pour l’Utah avec la voiture de Pope. C’est plus prudent que votre voiture volée…Allons-y ! »
Soudain, une voix résonna dans le désert…
« Oh non Michael, vous n’allez nulle part ! C’est la fin du voyage… »
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
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Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
non, je suis sur que c'est mahone
et qu'est-ce qui est arrivé a sara
tro bo les retrouvailles
encore une suite ce soir
stp
et qu'est-ce qui est arrivé a sara
tro bo les retrouvailles
encore une suite ce soir
stp
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
Sara elle a quoi ???
vite la suite stp
vite la suite stp
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
qu'est ce que tu nous prepeares ??
c'est mahone et il tient sara et il va y avoir de la bagarre???
ou alors c'est kellerman qui a enlev"e sara??
trop de questions met nous vite une suite stp!!!
tu cartonnes je suis fan et accro a ta fic!!!
c'est mahone et il tient sara et il va y avoir de la bagarre???
ou alors c'est kellerman qui a enlev"e sara??
trop de questions met nous vite une suite stp!!!
tu cartonnes je suis fan et accro a ta fic!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Date d'inscription : 01/01/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
merci pr vos coms!
La suite demain...pour une réponse à vos questions...
Au fait ma fic risque d'être longue, j'arrête pas d'avoir des idées!! J'espère que ça vous dérange pas...
La suite demain...pour une réponse à vos questions...
Au fait ma fic risque d'être longue, j'arrête pas d'avoir des idées!! J'espère que ça vous dérange pas...
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
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Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
Voici donc le chapitre 12! J'espèe qu'il vous plaira!
Un homme les tenait en joue…
Les trois fugitifs le regardèrent, stupéfaits et abattus…
M : « Qui êtes vous ? »
Ma : « Agent Alex Mahone, FBI…Enchanté de faire enfin votre connaissance, Scofield… Vous m’avez donné du fil à retordre… Vous êtes très intelligent, je dois avouer mon admiration… Mais toute bonne chose a une fin n’est-ce pas ? C’est fini pour vous, Michael… »
Michael se sentit alors terriblement malheureux. Il avait échoué, finalement. Tous ces efforts, toutes ces souffrances pour qu’au bout du compte ce soit la Compagnie qui triomphe… Il allait finir ses jours en prison, et son frère allait être exécuté pour un crime qu’il n’avait pas commis. Il était tellement désolé que les choses se passent ainsi… pour son frère… pour Sucre… pour Pope qui avait tout donné pour les aider…
Sucre et Lincoln semblaient aussi résignés et désespéré. Michael regarda alors Mahone.
M : « Je suppose que les renforts ne vont pas tarder à arriver… »
Mais Mahone le regarda alors avec une étrange lueur dans les yeux…
Ma : « Oh non, Michael… Les renforts ne viendront pas… Je suis venu seul… »
Il regarda alors Michael, pointant son arme sur lui.
Ma : « Je n’ai pas l’intention de vous arrêter Michael… »
M : « Mais… qu’allez vous faire de nous alors ? »
Soudain, Michael comprit. Ils allaient mourir. Cet homme était chargé de les tuer, et rien ne viendrait les sauver.
Il leva les yeux vers Mahone, désespéré…
M : « Vous….vous allez nous tuer… »
Ma : « Exact. Et je vais commencer par vous Michael, vous m’avez posé trop de problèmes… »
Il se sentit alors profondément désespéré.
Michael aurait donné sa vie pour sauver celle de son frère, mais à présent tout était fini… Ils allaient tous mourir ici, car d‘autres gens en avaient décidé ainsi. Des hommes avaient décidé qu’ils ne devaient plus vivre, et ils allaient donc mourir…
C’était tellement injuste, mais Michael savait qu’il n’y avait plus rien à faire. Il avait fait tout son possible pour gagner contre eux, mais il réalisa soudain que c’était perdu d’avance…
Personne ne peut gagner contre ces gens là… Même Michael Scofield…
Il sentit la colère et le désespoir monter en lui et s’approcha de Mahone.
M : « Vous travaillez pour eux, c’est ça ? La Compagnie ? Vous êtes comme eux… un salaud ! Un assassin ! »
Ma : « Voyez, Mr Scofield, que de vulgarités ! »
Michael, la rage au ventre, le regarda avec haine.
M : « Dites moi, Agent Mahone, vous pensez toujours que vous êtes du bon côté ? Le côté du bien ? Vous croyez toujours que vous êtes le gentil qui attrape les méchants ?... Allons, Mahone, nous savons tous les deux que vous avez franchi la ligne… Vous êtes du côté des méchants, des assassins… »
Ma : « La ferme ! Je ne veux plus t’entendre… »
Mais Michael poursuivit, aveuglé par la colère et le désespoir
M : « Non ! Je ne me tairais pas ! Vous allez me tuer de toute façon alors j’ai le droit de vouloir savoir…pourquoi Alex ? Pourquoi faites vous cela ? Comment en êtes vous arrivé là ? A quel moment avez-vous franchi cette ligne ? Que vous est il arrivé ? »
Mahone sembla un peu déconcerté par toutes ces questions, et l’espace d’un instant, Michael crut voir une profonde tristesse au fond de ses yeux. Mais il se ressaisit vite et soupira…
Ma : « Je n’ai pas eu le choix, Michael… Qu’est ce que vous croyez ? Ils m’ont forcé à le faire… »
M : « On a toujours le choix Mahone, on a toujours le choix… »
Ma : « Non, Michael, et vous le savez très bien… »
Michael sut alors que tout était fini… Cet homme allait les tuer.
Il vit alors toute sa vie défiler dans sa tête… son enfance, la mort de sa mère, les foyers, l’arrestation de Lincoln, les efforts désespérés qu’il avait fait pour l’innocenter, son propre emprisonnement à Fox River, l’évasion, Pope, Sucre, la cavale…. Et surtout Sara… Sara qui était entrée dans sa vie et l’avait changé à jamais, Sara qui avait fait de lui un autre homme, Sara et sa peau si douce, ses lèvres si sensuelles, Sara dont il était tombé éperdument amoureux à l’instant où il l’avait vue… Il aurait tellement voulu lui dire tout ce qu’il éprouvait pour elle… Il allait mourir sans avoir eu le temps de dire à la femme de sa vie qu’il l’aimait…
Il regarda alors son frère, qui avait les larmes aux yeux et lui murmura :
« Je… je suis tellement désolé Linc… »
Lincoln, bouleversé, pleurait à chaudes larmes :
L : « Non ! Michael ! Non !! Je t’aime ! Tu as tellement fait pour moi !! Je t’aime Michael !! Ne fais pas ça !»
Michael, les larmes coulant sur ses joues, regarda son frère une dernière fois…
M : « Je t’aime aussi Linc… »
Et après avoir adressé un dernier regard à Sucre, il soupira et s’avança vers Mahone, qui pointait toujours son arme sur lui.
« Adieu Linc, Adieu Sara… pardonnez moi… »
Le coup de feu retentit dans le désert.
Chapitre 12
Un homme les tenait en joue…
Les trois fugitifs le regardèrent, stupéfaits et abattus…
M : « Qui êtes vous ? »
Ma : « Agent Alex Mahone, FBI…Enchanté de faire enfin votre connaissance, Scofield… Vous m’avez donné du fil à retordre… Vous êtes très intelligent, je dois avouer mon admiration… Mais toute bonne chose a une fin n’est-ce pas ? C’est fini pour vous, Michael… »
Michael se sentit alors terriblement malheureux. Il avait échoué, finalement. Tous ces efforts, toutes ces souffrances pour qu’au bout du compte ce soit la Compagnie qui triomphe… Il allait finir ses jours en prison, et son frère allait être exécuté pour un crime qu’il n’avait pas commis. Il était tellement désolé que les choses se passent ainsi… pour son frère… pour Sucre… pour Pope qui avait tout donné pour les aider…
Sucre et Lincoln semblaient aussi résignés et désespéré. Michael regarda alors Mahone.
M : « Je suppose que les renforts ne vont pas tarder à arriver… »
Mais Mahone le regarda alors avec une étrange lueur dans les yeux…
Ma : « Oh non, Michael… Les renforts ne viendront pas… Je suis venu seul… »
Il regarda alors Michael, pointant son arme sur lui.
Ma : « Je n’ai pas l’intention de vous arrêter Michael… »
M : « Mais… qu’allez vous faire de nous alors ? »
Soudain, Michael comprit. Ils allaient mourir. Cet homme était chargé de les tuer, et rien ne viendrait les sauver.
Il leva les yeux vers Mahone, désespéré…
M : « Vous….vous allez nous tuer… »
Ma : « Exact. Et je vais commencer par vous Michael, vous m’avez posé trop de problèmes… »
Il se sentit alors profondément désespéré.
Michael aurait donné sa vie pour sauver celle de son frère, mais à présent tout était fini… Ils allaient tous mourir ici, car d‘autres gens en avaient décidé ainsi. Des hommes avaient décidé qu’ils ne devaient plus vivre, et ils allaient donc mourir…
C’était tellement injuste, mais Michael savait qu’il n’y avait plus rien à faire. Il avait fait tout son possible pour gagner contre eux, mais il réalisa soudain que c’était perdu d’avance…
Personne ne peut gagner contre ces gens là… Même Michael Scofield…
Il sentit la colère et le désespoir monter en lui et s’approcha de Mahone.
M : « Vous travaillez pour eux, c’est ça ? La Compagnie ? Vous êtes comme eux… un salaud ! Un assassin ! »
Ma : « Voyez, Mr Scofield, que de vulgarités ! »
Michael, la rage au ventre, le regarda avec haine.
M : « Dites moi, Agent Mahone, vous pensez toujours que vous êtes du bon côté ? Le côté du bien ? Vous croyez toujours que vous êtes le gentil qui attrape les méchants ?... Allons, Mahone, nous savons tous les deux que vous avez franchi la ligne… Vous êtes du côté des méchants, des assassins… »
Ma : « La ferme ! Je ne veux plus t’entendre… »
Mais Michael poursuivit, aveuglé par la colère et le désespoir
M : « Non ! Je ne me tairais pas ! Vous allez me tuer de toute façon alors j’ai le droit de vouloir savoir…pourquoi Alex ? Pourquoi faites vous cela ? Comment en êtes vous arrivé là ? A quel moment avez-vous franchi cette ligne ? Que vous est il arrivé ? »
Mahone sembla un peu déconcerté par toutes ces questions, et l’espace d’un instant, Michael crut voir une profonde tristesse au fond de ses yeux. Mais il se ressaisit vite et soupira…
Ma : « Je n’ai pas eu le choix, Michael… Qu’est ce que vous croyez ? Ils m’ont forcé à le faire… »
M : « On a toujours le choix Mahone, on a toujours le choix… »
Ma : « Non, Michael, et vous le savez très bien… »
Michael sut alors que tout était fini… Cet homme allait les tuer.
Il vit alors toute sa vie défiler dans sa tête… son enfance, la mort de sa mère, les foyers, l’arrestation de Lincoln, les efforts désespérés qu’il avait fait pour l’innocenter, son propre emprisonnement à Fox River, l’évasion, Pope, Sucre, la cavale…. Et surtout Sara… Sara qui était entrée dans sa vie et l’avait changé à jamais, Sara qui avait fait de lui un autre homme, Sara et sa peau si douce, ses lèvres si sensuelles, Sara dont il était tombé éperdument amoureux à l’instant où il l’avait vue… Il aurait tellement voulu lui dire tout ce qu’il éprouvait pour elle… Il allait mourir sans avoir eu le temps de dire à la femme de sa vie qu’il l’aimait…
Il regarda alors son frère, qui avait les larmes aux yeux et lui murmura :
« Je… je suis tellement désolé Linc… »
Lincoln, bouleversé, pleurait à chaudes larmes :
L : « Non ! Michael ! Non !! Je t’aime ! Tu as tellement fait pour moi !! Je t’aime Michael !! Ne fais pas ça !»
Michael, les larmes coulant sur ses joues, regarda son frère une dernière fois…
M : « Je t’aime aussi Linc… »
Et après avoir adressé un dernier regard à Sucre, il soupira et s’avança vers Mahone, qui pointait toujours son arme sur lui.
« Adieu Linc, Adieu Sara… pardonnez moi… »
Le coup de feu retentit dans le désert.
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
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Age : 40
Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
oh non, il faut pas couper maintenant
la suite en urgence
la suite en urgence
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
Ca vous plait?
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
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Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
su sa nous plait?? mais bien sur que oui!!!!
il nous faut la suite !!
tu sais que tu es braiment sadique!!!
au fait temps mieu si ta fic est longue sa va etre meilleur je suis pressée d'avoir la suite tu cartonnes!!!
il nous faut la suite !!
tu sais que tu es braiment sadique!!!
au fait temps mieu si ta fic est longue sa va etre meilleur je suis pressée d'avoir la suite tu cartonnes!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
merci julie scofield! c'est gentil!
La suite ce soir mais pas avant 19h... Courage!!
La suite ce soir mais pas avant 19h... Courage!!
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
- Nombre de messages : 220
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Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
je serais au RDV j'attendrais toute la nuit s'il le faut !!!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
Comme promis , voilà la suite!
Bonne lecture!
Lincoln hurla, en larmes : « Michael ! »
Un homme tomba à terre, en sang…
Le silence se fit alors dans le désert devant cette cabane abandonnée…
Soudain, un homme se leva, abasourdi par ce qui venait se passer. Il avait la chemise tachée de sang, et semblait perdu. Lincoln se précipita vers lui…
L : « Michael !! Oh mon dieu Michael ! Tu es blessé ? »
Ce dernier se remit sur ses pieds et étreignit son frère
M : « Tout… tout va bien Linc… Je n’ai rien… C’est Mahone qui a pris une balle…Tout va bien… Mais que…que s’est-il passé ? Qui a tiré ? »
L : « Je… Je n’en sais rien Mike… J’ai vu Mahone te menacer, tu nous a dis adieu, le coup de feu est parti et vous êtes tombés tous les deux… j’ai… J’ai eu tellement peur, Michael… J’ai cru que Mahone t’avait tué…»
M : « Moi aussi… J’ai cru que ma fin était venue…mais qui a tiré ? Qui m’a sauvé la vie ? »
Sucre, tout aussi abasourdi par ce qui venait de se passer, hurla tout à coup…
S : « Là ! Re… Regardez.. Il y a un homme qui s’approche ! »
Immédiatement, Michael et Lincoln se retournèrent et suivirent du regard la direction indiquée par Sucre.
Effectivement, un homme s’approchait d’eux, une arme à la main...
Michael réagit immédiatement :
« Il est armé Linc !! Il faut fuir en vitesse ! »
Mais Lincoln ne bougeait pas, comme pétrifié sur place.
Michael insista.
« Linc ! Qu’est ce que tu fous ? Faut se tirer ou il va nous faire la peau ! On sait pas qui est ce type !»
L’homme était maintenant à une dizaine de mètres de Lincoln, qui n’avait toujours pas bougé…
Il murmura :
« Ce… Ce n’est pas un inconnu Michael…c’est… c’est notre père… »
Pétrifié, Michael crut que son cœur allait cesser de battre…
« Mais … Mais c’est… c’est impossible Linc ! Il nous a abandonnés… »
L : « C’est lui, Mike. »
A présent, l’homme était à quelques centimètres de lincoln. Il avait l’air tout aussi ému, et des larmes coulaient sur ses joues.
Il murmura :
« Bonjour Lincoln, bonjour mon fils… »
Lincoln n’en revenait toujours pas
L : « Que fais tu là ? Comment as-tu su où nous étions ? … »
Aldo Burrows soupira puis regarda son fils :
A : « Je sais tout de votre histoire Lincoln. Tout ce qui vous arrive… c’est en partie à cause de moi… Je vous raconterais tout cela plus tard… »
Il se dirigea alors vers Michael, qui n’avait pas bougé, figé sur place. Les larmes coulaient abondamment sur ses joues.
Aldo Burrows s’approcha de lui et murmura
A : « Bonjour mon fils. Je … Je suis tellement heureux de te rencontrer enfin… »
Mais Michael avait reculé, en larmes…
M : « Pourquoi… Pourquoi nous as-tu abandonnés moi et Linc ? A… A cause de toi on a été placé dans des familles d’accueil horribles !… ils m’ont frappé, humilié, battu… et Linc a été en prison… Pourquoi as tu fais ça ? Tu as gâché toute mon enfance… j’espérais tellement que tu reviendrais me chercher… Comment… Comment as-tu pu faire ça ? »
Aldo Burrows pleurait lui aussi à présent.
A : « Oh Michael ! Je suis tellement désolé !! J’aurais tant voulu que tu aies une enfance heureuse… Je suis parti pour vous protéger, Michael… »
M : « Nous protéger ? Mais nous protéger de quoi ? Nous étions tes fils… »
A : « Je travaillais pour la Compagnie Michael… il y a si longtemps. Je pensais faire quelque chose de bien, agir dans l’intérêt de mon pays… Mais…un jour, peu avant ta naissance, j’ai découvert qui était vraiment la Compagnie… des fanatiques qui n’hésitent pas à tuer des innocents pour défendre leur cause ! J’ai alors quitté la Compagnie… mais ils m’ont traqué… Je savais de quoi ils étaient capables… Je ne voulais pas qu’ils s’en prennent à vous… alors… alors je suis parti. Je voulais seulement que vous soyez en sécurité… Ces gens là sont trop puissants Mike… tu le sais… »
Aldo Burrows s’était approché de son fils. Mais Michael réagit violemment et recula.
M : « Ne m’approche pas ! Ne me touche pas ! »
Il pleurait à chaudes larmes
Aldo d’arrêta et poursuivit.
A : « Le meurtre de Terrence Steadman était une mise en scène destinée à me piéger. Ils ont fait accuser Lincoln pour me forcer à réagir et à réapparaître. Ils savaient bien que je ne pourrais pas laisser mon fils mourir sans rien faire… »
Michael et Lincoln étaient bouleversés.
Lincoln s’approcha de son père.
L : « Alors.. tout ça.. le meurtre, Fox River… l’évasion… c’était… à cause de toi ? »
Michael était accablé
M : « C’est de ta faute ! Tout est de ta faute ! On a tellement souffert à cause de toi ! J’ai d’abandonner mon métier, braquer une banque, me faire incarcérer à Fox River, j’ai perdu 3 orteils, je me suis fait tabasser, j’ai vu mon frère sur la chaise électrique et… j’ai fait du mal… à des gens qui comptaient pour moi… Tout ça… à cause de toi !! »
Aldo Burrows était accablé par les reproches de son fils.
A : « Je suis tellement désolé Michael. Si j’avais pu empêcher tout ça, je l’aurais fait… mais ce n’était pas possible, ces gens là sont trop puissants… Je… Je suis tellement désolé… »
Michael, en larmes, regarda son père droit dans les yeux.
M : « Je ne te pardonnerais jamais. »
Et il s’en alla, tournant le dos à son père et à son frère.
Bonne lecture!
Chapitre 13
Lincoln hurla, en larmes : « Michael ! »
Un homme tomba à terre, en sang…
Le silence se fit alors dans le désert devant cette cabane abandonnée…
Soudain, un homme se leva, abasourdi par ce qui venait se passer. Il avait la chemise tachée de sang, et semblait perdu. Lincoln se précipita vers lui…
L : « Michael !! Oh mon dieu Michael ! Tu es blessé ? »
Ce dernier se remit sur ses pieds et étreignit son frère
M : « Tout… tout va bien Linc… Je n’ai rien… C’est Mahone qui a pris une balle…Tout va bien… Mais que…que s’est-il passé ? Qui a tiré ? »
L : « Je… Je n’en sais rien Mike… J’ai vu Mahone te menacer, tu nous a dis adieu, le coup de feu est parti et vous êtes tombés tous les deux… j’ai… J’ai eu tellement peur, Michael… J’ai cru que Mahone t’avait tué…»
M : « Moi aussi… J’ai cru que ma fin était venue…mais qui a tiré ? Qui m’a sauvé la vie ? »
Sucre, tout aussi abasourdi par ce qui venait de se passer, hurla tout à coup…
S : « Là ! Re… Regardez.. Il y a un homme qui s’approche ! »
Immédiatement, Michael et Lincoln se retournèrent et suivirent du regard la direction indiquée par Sucre.
Effectivement, un homme s’approchait d’eux, une arme à la main...
Michael réagit immédiatement :
« Il est armé Linc !! Il faut fuir en vitesse ! »
Mais Lincoln ne bougeait pas, comme pétrifié sur place.
Michael insista.
« Linc ! Qu’est ce que tu fous ? Faut se tirer ou il va nous faire la peau ! On sait pas qui est ce type !»
L’homme était maintenant à une dizaine de mètres de Lincoln, qui n’avait toujours pas bougé…
Il murmura :
« Ce… Ce n’est pas un inconnu Michael…c’est… c’est notre père… »
Pétrifié, Michael crut que son cœur allait cesser de battre…
« Mais … Mais c’est… c’est impossible Linc ! Il nous a abandonnés… »
L : « C’est lui, Mike. »
A présent, l’homme était à quelques centimètres de lincoln. Il avait l’air tout aussi ému, et des larmes coulaient sur ses joues.
Il murmura :
« Bonjour Lincoln, bonjour mon fils… »
Lincoln n’en revenait toujours pas
L : « Que fais tu là ? Comment as-tu su où nous étions ? … »
Aldo Burrows soupira puis regarda son fils :
A : « Je sais tout de votre histoire Lincoln. Tout ce qui vous arrive… c’est en partie à cause de moi… Je vous raconterais tout cela plus tard… »
Il se dirigea alors vers Michael, qui n’avait pas bougé, figé sur place. Les larmes coulaient abondamment sur ses joues.
Aldo Burrows s’approcha de lui et murmura
A : « Bonjour mon fils. Je … Je suis tellement heureux de te rencontrer enfin… »
Mais Michael avait reculé, en larmes…
M : « Pourquoi… Pourquoi nous as-tu abandonnés moi et Linc ? A… A cause de toi on a été placé dans des familles d’accueil horribles !… ils m’ont frappé, humilié, battu… et Linc a été en prison… Pourquoi as tu fais ça ? Tu as gâché toute mon enfance… j’espérais tellement que tu reviendrais me chercher… Comment… Comment as-tu pu faire ça ? »
Aldo Burrows pleurait lui aussi à présent.
A : « Oh Michael ! Je suis tellement désolé !! J’aurais tant voulu que tu aies une enfance heureuse… Je suis parti pour vous protéger, Michael… »
M : « Nous protéger ? Mais nous protéger de quoi ? Nous étions tes fils… »
A : « Je travaillais pour la Compagnie Michael… il y a si longtemps. Je pensais faire quelque chose de bien, agir dans l’intérêt de mon pays… Mais…un jour, peu avant ta naissance, j’ai découvert qui était vraiment la Compagnie… des fanatiques qui n’hésitent pas à tuer des innocents pour défendre leur cause ! J’ai alors quitté la Compagnie… mais ils m’ont traqué… Je savais de quoi ils étaient capables… Je ne voulais pas qu’ils s’en prennent à vous… alors… alors je suis parti. Je voulais seulement que vous soyez en sécurité… Ces gens là sont trop puissants Mike… tu le sais… »
Aldo Burrows s’était approché de son fils. Mais Michael réagit violemment et recula.
M : « Ne m’approche pas ! Ne me touche pas ! »
Il pleurait à chaudes larmes
Aldo d’arrêta et poursuivit.
A : « Le meurtre de Terrence Steadman était une mise en scène destinée à me piéger. Ils ont fait accuser Lincoln pour me forcer à réagir et à réapparaître. Ils savaient bien que je ne pourrais pas laisser mon fils mourir sans rien faire… »
Michael et Lincoln étaient bouleversés.
Lincoln s’approcha de son père.
L : « Alors.. tout ça.. le meurtre, Fox River… l’évasion… c’était… à cause de toi ? »
Michael était accablé
M : « C’est de ta faute ! Tout est de ta faute ! On a tellement souffert à cause de toi ! J’ai d’abandonner mon métier, braquer une banque, me faire incarcérer à Fox River, j’ai perdu 3 orteils, je me suis fait tabasser, j’ai vu mon frère sur la chaise électrique et… j’ai fait du mal… à des gens qui comptaient pour moi… Tout ça… à cause de toi !! »
Aldo Burrows était accablé par les reproches de son fils.
A : « Je suis tellement désolé Michael. Si j’avais pu empêcher tout ça, je l’aurais fait… mais ce n’était pas possible, ces gens là sont trop puissants… Je… Je suis tellement désolé… »
Michael, en larmes, regarda son père droit dans les yeux.
M : « Je ne te pardonnerais jamais. »
Et il s’en alla, tournant le dos à son père et à son frère.
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
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Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
ahhhhhhhhhhhhh j'adore toujours aussi grandiose miss!!!!
pourrait on avoir des nouvelle de melle tancredi stp??
j'en redemande je suis accro c'est bon je suis contaminer
tu cartonnes!!!
pourrait on avoir des nouvelle de melle tancredi stp??
j'en redemande je suis accro c'est bon je suis contaminer
tu cartonnes!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
les retrouvailles père/fils
tjr aussi bien ta fic
moi aussi j'aimerais bien savoir où est sara???
encore une suite ce soir
tjr aussi bien ta fic
moi aussi j'aimerais bien savoir où est sara???
encore une suite ce soir
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
et voici le chapitre 14!
Michael marchait, et repensait à tout ce qui venait de se passer.
Son père… son père était vivant… Il les avait abandonnés à cause de son métier, et c’était à cause de lui que la vie de Michael et Lincoln avait basculé… à cause de lui qu’ils étaient devenus les deux hommes les plus recherchés des Etats-Unis, les deux hommes dont la Compagnie avait décidé qu’ils devaient mourir… A cause de leur père, Michael et Lincoln étaient devenus des morts en sursis pour le reste de leur vie…
Les larmes coulaient sur les joues de Michael…Dans sa tête, ses pensées se bousculaient…
Pourquoi ? Pourquoi eux ? Pourquoi le sort s’acharnait-il ainsi sur leur famille ? Qu’avaient-ils donc fait pour mériter cela ? Toute sa vie, Michael avait espéré connaître son père… Il l’avait attendu chaque jour, lorsqu’il était enfant … Et son père n’était jamais venu…Jamais…
Jusqu’à ce jour… Son père qu’il n’avait jamais connu…Son père avait enfin fait son retour… Il était revenu et leur avait sauvé la vie…
Et malgré toute la colère que Michael éprouvait, au fond de lui il était heureux d’avoir enfin un père… Il allait pouvoir se décharger un peu sur lui de tout le poids et de toute la souffrance qui lui oppressait les épaules depuis Fox River… Oui, Michael allait pouvoir ne serait-ce qu’un instant, compter sur la présence rassurante de son père pour se sentir un peu moins seul…
Il était plongé dans ses pensées lorsqu’il entendit son frère s’approcher et poser une main sur son épaule.
L : « Mike… ça va ? »
Michael esquissa un faible sourire.
M : « Oui… T’inquiète pas Linc, ça va aller… C’est juste que… ça fait un choc… mais c’est bon maintenant… »
Lincoln poussa un soupir de soulagement. Son frère avait eu l’air de tellement souffrir lorsqu’il avait revu leur père.
Les deux frères se levèrent et allèrent rejoindre Sucre et Aldo Burrows.
En arrivant devant son père, Michael baissa les yeux. Mais ce dernier s’approcha de lui et murmura, les larmes aux yeux :
« Michael… tu es mon fils, et je … je t’aime… Il n’y a pas un jour de ma vie où je n’ai pas pensé à toi ou à Lincoln. Je vous aime tant, si vous saviez comme vous m’avez manqué … »
Michael, bouleversé par les paroles de son père, ce père qu’il avait enfin trouvé, leva les yeux vers lui et l’étreignit. Il ressentit une immense chaleur et un immense réconfort lorsque son père le prit dans ses bras. Il se sentait enfin protégé, à l’abri.
Il murmura, la voix saccadée par l’émotion.
M : « Je t’aime aussi, papa… »
Papa… ces quelques mots que Michael n’avait jamais prononcés et qui aujourd’hui prenaient enfin un sens… Aujourd’hui, Michael était heureux, il avait trouvé son père.
Aldo était tout aussi ému que lui. Il avait enfin rencontré son fils après toutes ces années ils se retrouvaient enfin.
A : « Si tu savais comme je suis fier de toi Michael.... Tu es devenu quelqu’un de bien, un homme bon, généreux et si brillant... Je suis sûrement le père du jeune homme le plus intelligent de tous les Etats-Unis… Et puis… tu es plutôt beau garçon mon fils…tu dois faire tourner la tête des filles avec tes yeux magnifiques qui te viennent de ta mère de ta mère… Tu dois être un bourreau des cœurs… »
A ces mots, Michael rougit et pensa immédiatement à Sara. Amusé, son père remarqua le changement d’attitude de son fils. Il est amoureux… pensa t’il… Mais il ne dit rien. Il ne connaissait pas encore très bien Michael, mais il savait que son fils n’était pas du genre à parler de sa vie privée aux autres.
De loin, Sucre observait avec attendrissement l’étreinte entre un père et son fils. Il était tellement heureux pour Michael. Ce dernier allait se sentir un peu moins seul à présent…
Michael méritait vraiment d’être heureux…
Quelques minutes plus tard, le jeune et son père les rejoignirent.
Sucre demanda :
« On fait quoi maintenant ? »
M : « Comme prévu, on va dans l’Utah chercher l’argent. »
S : « Et… Et ton père ? »
M : « Il vient avec nous. Lui aussi est danger. Et puis je viens juste de le retrouver, je vais pas le quitter maintenant. »
A ces mots, Sucre sourit et mis sa main sur l’épaule de Michael.
S : « Je suis content pour toi mon pote. Un père, c’est unique. »
M : « Merci, Sucre. »
S : « Et qu’est-ce qu’on fait de Mahone ? »
M : « Il n’est pas mort ? »
S : « Non… J’ai été le voir pendant que vous discutiez avec ton père... Il est bien vivant, la balle lui a juste effleuré l’épaule.
Michael réfléchit quelques instants puis déclara :
« On l’attache solidement et on s’en va. Quand on sera suffisamment éloignés, j’appellerais les secours pour qu’ils viennent le chercher. »
S « Quoi ? Mais t’es fou Mike ! Ce type voulait nous tuer ! Il va nous dénoncer ! Et dès qu’il sera guéri, il recommencera à nous traquer ! »
M : « Je ne le laisserais pas mourir ici Sucre. Même si c’est le pire des salauds. J’ai assez de morts sur la conscience… »
A regrets, Sucre finit par se ranger à l’avis de Michael.
Ils se dirigèrent vers Mahone, allongé sur le sol poussiéreux. Il semblait mal en point mais il était effectivement en vie, et conscient. Lorsqu’il vit Michael s’approcher, il leva les yeux et souffla :
« Alors, Scofield, tu vas me tuer ? »
Michael ne répondit pas. Il fixa Mahone d’un air noir et commença à l’attacher.
Il ne prononça pas un mot, et dès qu’il eut fini, il rejoignit Lincoln et son père.
Il leur expliqua rapidement son plan :
« Rassemblez les affaires, on y va. Attendez-moi dans la voiture, je passe un coup de fil et j’arrive. »
L : « Un coup de fil, mais à qui ? »
M : « A Sara »
Sans un regard pour son frère, il s’éloigna et composa le numéro de la jeune femme.
Soudain, une voix cruelle retentit à quelques mètres de Michael
« Elle ne te répondra pas Michael. »
Michael se retourna vers Mahone , qui jubilait.
« Ton cher Docteur Tancredi est en ce moment même enfermée quelque part à Chicago. Sans moi, tu ne la retrouveras jamais. »
Chapitre 14
Michael marchait, et repensait à tout ce qui venait de se passer.
Son père… son père était vivant… Il les avait abandonnés à cause de son métier, et c’était à cause de lui que la vie de Michael et Lincoln avait basculé… à cause de lui qu’ils étaient devenus les deux hommes les plus recherchés des Etats-Unis, les deux hommes dont la Compagnie avait décidé qu’ils devaient mourir… A cause de leur père, Michael et Lincoln étaient devenus des morts en sursis pour le reste de leur vie…
Les larmes coulaient sur les joues de Michael…Dans sa tête, ses pensées se bousculaient…
Pourquoi ? Pourquoi eux ? Pourquoi le sort s’acharnait-il ainsi sur leur famille ? Qu’avaient-ils donc fait pour mériter cela ? Toute sa vie, Michael avait espéré connaître son père… Il l’avait attendu chaque jour, lorsqu’il était enfant … Et son père n’était jamais venu…Jamais…
Jusqu’à ce jour… Son père qu’il n’avait jamais connu…Son père avait enfin fait son retour… Il était revenu et leur avait sauvé la vie…
Et malgré toute la colère que Michael éprouvait, au fond de lui il était heureux d’avoir enfin un père… Il allait pouvoir se décharger un peu sur lui de tout le poids et de toute la souffrance qui lui oppressait les épaules depuis Fox River… Oui, Michael allait pouvoir ne serait-ce qu’un instant, compter sur la présence rassurante de son père pour se sentir un peu moins seul…
Il était plongé dans ses pensées lorsqu’il entendit son frère s’approcher et poser une main sur son épaule.
L : « Mike… ça va ? »
Michael esquissa un faible sourire.
M : « Oui… T’inquiète pas Linc, ça va aller… C’est juste que… ça fait un choc… mais c’est bon maintenant… »
Lincoln poussa un soupir de soulagement. Son frère avait eu l’air de tellement souffrir lorsqu’il avait revu leur père.
Les deux frères se levèrent et allèrent rejoindre Sucre et Aldo Burrows.
En arrivant devant son père, Michael baissa les yeux. Mais ce dernier s’approcha de lui et murmura, les larmes aux yeux :
« Michael… tu es mon fils, et je … je t’aime… Il n’y a pas un jour de ma vie où je n’ai pas pensé à toi ou à Lincoln. Je vous aime tant, si vous saviez comme vous m’avez manqué … »
Michael, bouleversé par les paroles de son père, ce père qu’il avait enfin trouvé, leva les yeux vers lui et l’étreignit. Il ressentit une immense chaleur et un immense réconfort lorsque son père le prit dans ses bras. Il se sentait enfin protégé, à l’abri.
Il murmura, la voix saccadée par l’émotion.
M : « Je t’aime aussi, papa… »
Papa… ces quelques mots que Michael n’avait jamais prononcés et qui aujourd’hui prenaient enfin un sens… Aujourd’hui, Michael était heureux, il avait trouvé son père.
Aldo était tout aussi ému que lui. Il avait enfin rencontré son fils après toutes ces années ils se retrouvaient enfin.
A : « Si tu savais comme je suis fier de toi Michael.... Tu es devenu quelqu’un de bien, un homme bon, généreux et si brillant... Je suis sûrement le père du jeune homme le plus intelligent de tous les Etats-Unis… Et puis… tu es plutôt beau garçon mon fils…tu dois faire tourner la tête des filles avec tes yeux magnifiques qui te viennent de ta mère de ta mère… Tu dois être un bourreau des cœurs… »
A ces mots, Michael rougit et pensa immédiatement à Sara. Amusé, son père remarqua le changement d’attitude de son fils. Il est amoureux… pensa t’il… Mais il ne dit rien. Il ne connaissait pas encore très bien Michael, mais il savait que son fils n’était pas du genre à parler de sa vie privée aux autres.
De loin, Sucre observait avec attendrissement l’étreinte entre un père et son fils. Il était tellement heureux pour Michael. Ce dernier allait se sentir un peu moins seul à présent…
Michael méritait vraiment d’être heureux…
Quelques minutes plus tard, le jeune et son père les rejoignirent.
Sucre demanda :
« On fait quoi maintenant ? »
M : « Comme prévu, on va dans l’Utah chercher l’argent. »
S : « Et… Et ton père ? »
M : « Il vient avec nous. Lui aussi est danger. Et puis je viens juste de le retrouver, je vais pas le quitter maintenant. »
A ces mots, Sucre sourit et mis sa main sur l’épaule de Michael.
S : « Je suis content pour toi mon pote. Un père, c’est unique. »
M : « Merci, Sucre. »
S : « Et qu’est-ce qu’on fait de Mahone ? »
M : « Il n’est pas mort ? »
S : « Non… J’ai été le voir pendant que vous discutiez avec ton père... Il est bien vivant, la balle lui a juste effleuré l’épaule.
Michael réfléchit quelques instants puis déclara :
« On l’attache solidement et on s’en va. Quand on sera suffisamment éloignés, j’appellerais les secours pour qu’ils viennent le chercher. »
S « Quoi ? Mais t’es fou Mike ! Ce type voulait nous tuer ! Il va nous dénoncer ! Et dès qu’il sera guéri, il recommencera à nous traquer ! »
M : « Je ne le laisserais pas mourir ici Sucre. Même si c’est le pire des salauds. J’ai assez de morts sur la conscience… »
A regrets, Sucre finit par se ranger à l’avis de Michael.
Ils se dirigèrent vers Mahone, allongé sur le sol poussiéreux. Il semblait mal en point mais il était effectivement en vie, et conscient. Lorsqu’il vit Michael s’approcher, il leva les yeux et souffla :
« Alors, Scofield, tu vas me tuer ? »
Michael ne répondit pas. Il fixa Mahone d’un air noir et commença à l’attacher.
Il ne prononça pas un mot, et dès qu’il eut fini, il rejoignit Lincoln et son père.
Il leur expliqua rapidement son plan :
« Rassemblez les affaires, on y va. Attendez-moi dans la voiture, je passe un coup de fil et j’arrive. »
L : « Un coup de fil, mais à qui ? »
M : « A Sara »
Sans un regard pour son frère, il s’éloigna et composa le numéro de la jeune femme.
Soudain, une voix cruelle retentit à quelques mètres de Michael
« Elle ne te répondra pas Michael. »
Michael se retourna vers Mahone , qui jubilait.
« Ton cher Docteur Tancredi est en ce moment même enfermée quelque part à Chicago. Sans moi, tu ne la retrouveras jamais. »
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
- Nombre de messages : 220
Age : 40
Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
ahhhhhhh je vais faire un malheur mahone je vais te
il faut que mike retrouve sara il me faut des retrouvailles stp!!!
toujours aussi grandiose miss !!!
il faut que mike retrouve sara il me faut des retrouvailles stp!!!
toujours aussi grandiose miss !!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Date d'inscription : 01/01/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
wahouh je me suis rattrapée là
ah ils ont pas interet de faire de mal a sara !
une suite
ah ils ont pas interet de faire de mal a sara !
une suite
saramike- Arrivé au Nouveau Mexique
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Age : 31
Localisation : DERIIERE TOI
Date d'inscription : 23/07/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
J'ai une petite suite en stock... prête à être livrée...ça vous dit?
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
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Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
vite vite je ne tiens plus !!!!!!!!!!!!!!!!
vite vite je ne tiens plus !!!!!!!!!!!!!!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
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Date d'inscription : 01/01/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
fanancic a écrit:J'ai une petite suite en stock... prête à être livrée...ça vous dit?
ooooh que oui !!!!!!!!!!!!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
ba bien sur que oui moi je dit sa avec une grand OUI OUI OUI attend ta fic est super viven la suite
coco91220- Arrivé au Nouveau Mexique
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Age : 33
Localisation : dans la peau de michael scofield
Date d'inscription : 16/02/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
alors la voila!! bonne lecture!
Fou de rage, Michael se précipita vers Mahone et le saisit à la gorge.
M : « Qu’est ce que vous lui avez fait, espèce d’enflure ? Où est-elle ? »
Son regard était rempli de colère et de souffrance.
Il continua à hurler :
M : « Où est Sara ? Répondez … répondez ou je vous tue ! »
Mahone, à bout de souffle, regarda Michael avec un petit sourire en coin.
Ma : « Vous ne pouvez pas me tuer Michael ; vous avez besoin de moi pour retrouver Sara… Je suis le seul à savoir où il est. »
M : « Comment ça ? Qu’est ce que vous avez fait d’elle ? »
Ma : « Moi, rien. Mais un certain Paul Kellerman, qui travaille pour la Compagnie, la détient en ce moment même dans une planque à Chicago. C’était pour le cas où les choses se passeraient mal ici… pour avoir une monnaie d’échange en quelque sorte… »
M : « Comment ça ? »
Ma : « C’est vous qu’ils veulent Michael. Je ne sais pas pourquoi, mais ils vous veulent absolument mort. Tout comme votre frère d’ailleurs…Alors ils ont kidnappé Sara pour qu’elle leur dise où vous trouver… ou bien pour vous forcer à vous rendre… Car, vous l’aimez, n’est-ce pas ? Je le vois dans vos yeux…Vous êtes très fort, Michael… Mais cette femme est votre faiblesse. A cause d’elle vous êtes vulnérable… »
A ces mots, Michael blêmit. Aveuglé par la rage, il frappa Mahone d’un coup de poing violent à la tête. Il frappa, frappa, frappa encore, mettant dans ses coups tout la rage qu’il pouvait éprouver face à cet homme.
M : « Je vous interdit de parler d’elle comme ça, espèce d’ordure ! Ne parlez plus jamais d’elle ! Ne prononcez plus jamais son nom ! »
Ma : « Votre réaction confirme bien ce que je vous disait. Vous êtes amoureux Michael. »
Hors de lui, Michael s’apprêtait à frapper à nouveau Mahone, lorsqu’il sentit la main de son père lui retenir le bras. Il lui dit d’une voix douce :
A : « Arrête, Michael. Nous avons besoin de lui pour retrouver cette femme. Calme toi mon fils, je t’en supplie… »
Michael s’arrêta alors. Il laissa tomber son bras le long de son corps et se mit à pleurer.
M : « Pourquoi… Pourquoi font-ils tant de mal ? Pourquoi s’en prennent-ils à des innocents ? »
Aldo s’approcha alors de son fils et le prit dans ses bras.
A : « On va la retrouver, Michael. Je te le promet »
Michael, le regard plein de souffrance, leva les yeux vers son père mais ne dit rien.
Il s’avanca vers Mahone, et retrouvant son regard dur et froid, lui demanda :
M : « Si vous me livrez, ils laisseront Sara partir ? »
Ma : « Oui, ils vous veulent vous. Il se servent d’elle uniquement pour vous atteindre... »
Michael soupira, et regarda Mahone :
M « Très bien, alors livrez moi à eux. Allons à Chicago et faisons l’échange. Ma vie contre celle de Sara. Mais je vous jure que si il y a le moindre problème, je vous tue de mes propres mains… »
Mahone, étonné par la réaction de Michael, sembla s’adoucir un moment :
Ma : « Jamais je n’aurais cru que vous feriez ça Michael. Sacrifier votre propre vie pour la femme que vous aimez. Vous devez vraiment tenir à elle pour faire un telle chose. »
Pendant un instant, Michael crut voir un peu de tristesse dans les yeux de Mahone, mais celui-ci se ressaisit très vite.
Sans un regard pour lui, Michael le détacha et se dirigea vers ses frères, une arme pointée sur Mahone.
Ebahi, Lincoln courut vers son frère…
L : « Qu’est ce que tu fais Mike ? Où vas-tu comme ça ?»
M « Sauver la vie de Sara. C’est ma vie contre la sienne. Je ne peux pas la laisser mourir par ma faute. Je … Je suis désolé Linc…. »
A ces mots, Aldo et Sucre étaient aussi accourus.
S : « Non Mike !! Tu peux pas faire ça c’est pas possible ! Il doit bien avoir une autre solution. »
Michael soupira profondément
M : « Non, Sucre. C’est la seule manière de sauver la vie de Sara, il n’y a rien d’autre à faire. »
Aldo, bouleversé, regardait son fils, les larmes aux yeux.
A : « Non Michael ! Tu ne peux pas faire ça ! Moi, je vais me livrer ! Après tout, c’est moi qu’ils veulent depuis le départ ! Je ne supporterais pas que tu meures par ma faute Michael ! Tu as trop souffert à cause de moi ! Tu mérites de vivre ! »
Abattu, Michael sentait à présent aussi les larmes couler de ses joues.
M : « Non, Papa. C’est moi qu’ils veulent. Je dois sauver Sara. Je suis désolé… »
Ravagé par le chagrin, le père prit alors son fils dans ses bras. Ce fils qu’il n’avait connu que quelques heures dans sa vie, mais qu’il avait toujours aimé profondément. Ce fils qui allait maintenant mourir pour la femme qu’il aimait… La vie était tellement injuste pour lui… Il avait eu une enfance malheureuse et au moment où il trouvait enfin une personne qui fasse battre son cœur, sa vie allait cesser… Michael était trop jeune pour mourir…
Pendant ce temps, quelque part à Chicago…
Sara se réveilla brusquement, une violente douleur à la tête. Elle se sentait très faible et la nausée lui montait à la gorge. Elle regarda autour d’elle et ne reconnut pas l’endroit où elle se trouvait. Paniquée, elle sentit alors que des liens lui retenaient les mains et les chevilles. Elle essaya de se rappeler ce qui s’était passé… Elle était sortie de son appartement pour aller acheter à manger, elle avait descendu les escalier, elle avait soudain senti qu’on l’attrapait, puis une violente douleur à la tête… et… le trou noir.
Elle reprenait peu à peu ses esprits lorsqu’un homme entra dans la pièce où elle se trouvait et alluma la lumière.
H : « Bonjour, Docteur Tancredi. Je vois que vous êtes réveillée… »
Sara, apeurée, tenta de discerner les traits de son visage, mais sa vue était encore brouillée à la suite du choc qu’elle avait reçu.
Elle bredouilla :
« Qui… Qui êtes vous ? »
H : « Mon nom est Paul Kellerman, Je travaille pour la Compagnie. Et je vais avoir besoin de votre aide pour trouver votre ami Michael Scofield… »
Sara le regarda avec effroi. Elle ne comprenait rien à ce qui lui arrivait
S : « Mais… Je ne sais pas où est Michael ! Je vous le jure ! »
K : «Je n’ai pas besoin que tu nous dise où il est. Il va venir de lui-même jusqu’ici… pour te sauver. »
Mais Sara n’eut pas le temps d’en entendre davantage. Elle se sentit tout à coup très faible, sa vue se brouilla et elle n’entendit plus rien.
Elle hurla…
« Non !!! Michael ! »
Puis elle s’évanouit.
Chapitre 15
Fou de rage, Michael se précipita vers Mahone et le saisit à la gorge.
M : « Qu’est ce que vous lui avez fait, espèce d’enflure ? Où est-elle ? »
Son regard était rempli de colère et de souffrance.
Il continua à hurler :
M : « Où est Sara ? Répondez … répondez ou je vous tue ! »
Mahone, à bout de souffle, regarda Michael avec un petit sourire en coin.
Ma : « Vous ne pouvez pas me tuer Michael ; vous avez besoin de moi pour retrouver Sara… Je suis le seul à savoir où il est. »
M : « Comment ça ? Qu’est ce que vous avez fait d’elle ? »
Ma : « Moi, rien. Mais un certain Paul Kellerman, qui travaille pour la Compagnie, la détient en ce moment même dans une planque à Chicago. C’était pour le cas où les choses se passeraient mal ici… pour avoir une monnaie d’échange en quelque sorte… »
M : « Comment ça ? »
Ma : « C’est vous qu’ils veulent Michael. Je ne sais pas pourquoi, mais ils vous veulent absolument mort. Tout comme votre frère d’ailleurs…Alors ils ont kidnappé Sara pour qu’elle leur dise où vous trouver… ou bien pour vous forcer à vous rendre… Car, vous l’aimez, n’est-ce pas ? Je le vois dans vos yeux…Vous êtes très fort, Michael… Mais cette femme est votre faiblesse. A cause d’elle vous êtes vulnérable… »
A ces mots, Michael blêmit. Aveuglé par la rage, il frappa Mahone d’un coup de poing violent à la tête. Il frappa, frappa, frappa encore, mettant dans ses coups tout la rage qu’il pouvait éprouver face à cet homme.
M : « Je vous interdit de parler d’elle comme ça, espèce d’ordure ! Ne parlez plus jamais d’elle ! Ne prononcez plus jamais son nom ! »
Ma : « Votre réaction confirme bien ce que je vous disait. Vous êtes amoureux Michael. »
Hors de lui, Michael s’apprêtait à frapper à nouveau Mahone, lorsqu’il sentit la main de son père lui retenir le bras. Il lui dit d’une voix douce :
A : « Arrête, Michael. Nous avons besoin de lui pour retrouver cette femme. Calme toi mon fils, je t’en supplie… »
Michael s’arrêta alors. Il laissa tomber son bras le long de son corps et se mit à pleurer.
M : « Pourquoi… Pourquoi font-ils tant de mal ? Pourquoi s’en prennent-ils à des innocents ? »
Aldo s’approcha alors de son fils et le prit dans ses bras.
A : « On va la retrouver, Michael. Je te le promet »
Michael, le regard plein de souffrance, leva les yeux vers son père mais ne dit rien.
Il s’avanca vers Mahone, et retrouvant son regard dur et froid, lui demanda :
M : « Si vous me livrez, ils laisseront Sara partir ? »
Ma : « Oui, ils vous veulent vous. Il se servent d’elle uniquement pour vous atteindre... »
Michael soupira, et regarda Mahone :
M « Très bien, alors livrez moi à eux. Allons à Chicago et faisons l’échange. Ma vie contre celle de Sara. Mais je vous jure que si il y a le moindre problème, je vous tue de mes propres mains… »
Mahone, étonné par la réaction de Michael, sembla s’adoucir un moment :
Ma : « Jamais je n’aurais cru que vous feriez ça Michael. Sacrifier votre propre vie pour la femme que vous aimez. Vous devez vraiment tenir à elle pour faire un telle chose. »
Pendant un instant, Michael crut voir un peu de tristesse dans les yeux de Mahone, mais celui-ci se ressaisit très vite.
Sans un regard pour lui, Michael le détacha et se dirigea vers ses frères, une arme pointée sur Mahone.
Ebahi, Lincoln courut vers son frère…
L : « Qu’est ce que tu fais Mike ? Où vas-tu comme ça ?»
M « Sauver la vie de Sara. C’est ma vie contre la sienne. Je ne peux pas la laisser mourir par ma faute. Je … Je suis désolé Linc…. »
A ces mots, Aldo et Sucre étaient aussi accourus.
S : « Non Mike !! Tu peux pas faire ça c’est pas possible ! Il doit bien avoir une autre solution. »
Michael soupira profondément
M : « Non, Sucre. C’est la seule manière de sauver la vie de Sara, il n’y a rien d’autre à faire. »
Aldo, bouleversé, regardait son fils, les larmes aux yeux.
A : « Non Michael ! Tu ne peux pas faire ça ! Moi, je vais me livrer ! Après tout, c’est moi qu’ils veulent depuis le départ ! Je ne supporterais pas que tu meures par ma faute Michael ! Tu as trop souffert à cause de moi ! Tu mérites de vivre ! »
Abattu, Michael sentait à présent aussi les larmes couler de ses joues.
M : « Non, Papa. C’est moi qu’ils veulent. Je dois sauver Sara. Je suis désolé… »
Ravagé par le chagrin, le père prit alors son fils dans ses bras. Ce fils qu’il n’avait connu que quelques heures dans sa vie, mais qu’il avait toujours aimé profondément. Ce fils qui allait maintenant mourir pour la femme qu’il aimait… La vie était tellement injuste pour lui… Il avait eu une enfance malheureuse et au moment où il trouvait enfin une personne qui fasse battre son cœur, sa vie allait cesser… Michael était trop jeune pour mourir…
Pendant ce temps, quelque part à Chicago…
Sara se réveilla brusquement, une violente douleur à la tête. Elle se sentait très faible et la nausée lui montait à la gorge. Elle regarda autour d’elle et ne reconnut pas l’endroit où elle se trouvait. Paniquée, elle sentit alors que des liens lui retenaient les mains et les chevilles. Elle essaya de se rappeler ce qui s’était passé… Elle était sortie de son appartement pour aller acheter à manger, elle avait descendu les escalier, elle avait soudain senti qu’on l’attrapait, puis une violente douleur à la tête… et… le trou noir.
Elle reprenait peu à peu ses esprits lorsqu’un homme entra dans la pièce où elle se trouvait et alluma la lumière.
H : « Bonjour, Docteur Tancredi. Je vois que vous êtes réveillée… »
Sara, apeurée, tenta de discerner les traits de son visage, mais sa vue était encore brouillée à la suite du choc qu’elle avait reçu.
Elle bredouilla :
« Qui… Qui êtes vous ? »
H : « Mon nom est Paul Kellerman, Je travaille pour la Compagnie. Et je vais avoir besoin de votre aide pour trouver votre ami Michael Scofield… »
Sara le regarda avec effroi. Elle ne comprenait rien à ce qui lui arrivait
S : « Mais… Je ne sais pas où est Michael ! Je vous le jure ! »
K : «Je n’ai pas besoin que tu nous dise où il est. Il va venir de lui-même jusqu’ici… pour te sauver. »
Mais Sara n’eut pas le temps d’en entendre davantage. Elle se sentit tout à coup très faible, sa vue se brouilla et elle n’entendit plus rien.
Elle hurla…
« Non !!! Michael ! »
Puis elle s’évanouit.
fanancic- Membre de la thérapie avec Sara
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Age : 40
Date d'inscription : 16/10/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
ahhhhhhhhhhhhh tu peux pas nous laisser comme sa !!!!!!
stp met nous une autre suite!!!!
toujours aussi talentueuse miss!!!
stp met nous une autre suite!!!!
toujours aussi talentueuse miss!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: Il faut se quitter souvent pour s'aimer toujours...
vilaine sadik lol tu peu pas nous laisser comme sa c'est pas possible c'esi INTERDIT vite une suite s'il te plais te fic est super vivement la suite
coco91220- Arrivé au Nouveau Mexique
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Age : 33
Localisation : dans la peau de michael scofield
Date d'inscription : 16/02/2007
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