Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Doit-on continuer à pourrir le topic de Mili ou doit-on émigrer ailleurs ??
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
voilà je l'ai fini...
bon je suis moyennement satisfaite de la fin. je trouve qu'au finale la musique va aussi moyennement avec la fin mais je l'avais prévue depuis tellement longtemps que je la mets quand même en espérant que ça vous ira. (ya deux parties donc deux musiques et la première est un petit clin d'oeil à atonement)
donc petit récapitulatif de l'épisode précédent :
sara est de retour après un passage éclair à l'hosto et au moment où elle voulait parler de gretchen à michael, celle-ci accompagnée de padman et de deux hommes arrivent dans la pièce. padman fait une proposition à michael que celui-ci refuse et là trois coups de feu sont tirés !!!
edit@ poupi : quand tu liras ça et parce que j'oublie toujours de te le demander, tu pourras changer le titre de la fic et enlever la MAJ merci !!!
(Pensées de Sara)
S (affolée) : Je ne sens plus son poult !
La panique s’empare de moi peu à peu alors que j’essai de me contrôler, de retrouver mes esprits et d’agir un temps soit peu professionnellement. Mais c’est comme peine perdu. Ma respiration est forte et mes gestes tremblotants et peu assurés. Mes mains s’emplissent de sang et je n’entends même pas Lincoln me parler. Je suis perdue quelque part, quelques minutes plus tôt lorsque ces coups de feu on retenti dans cette pièce…
Flash back
https://www.youtube.com/watch?v=y_iljlyFFKM
Trois coups d’abord, violents et presque simultanés, suivis de deux autres. Je sens encore la pression de la main de Michael sur mon bras, ma chute sur le carrelage dur et froid puis mes yeux cherchant où la balle aurait bien pu m’atteindre car je ne ressens aucune douleur. Et c’est alors que j’aperçois Michael se vidant de son sang à quelques centimètres de moi à peine, les yeux humides et grimaçant de douleur. J’entends encore le cri que j’ai poussé provenant du plus profond de mon être quand en à peine deux secondes j’ai pu assimiler la situation devant moi et que j’ai compris qu’encore une fois, il s’était sacrifié pour moi.
La balle de l’un des hommes l’a touchée en plein thorax. A peine à quelques centimètres du cœur. Tout de suite je me suis précipitée sur lui, incapable de parler dans un premier temps alors que je voyais ses lèvres remuer, tentant de me dire quelque chose. Mes mains se sont approchées de la plaie et c’est en tremblant que j’ai défait les boutons de sa chemise pour y révéler une marre de sang. Des larmes que j’étais incapable de contenir en moi ce sont mêlées au flot de sang qui coulaient sur son corps jusqu’à ce que je sente sa main prendre délicatement la mienne, sa paume venant entourer mon poignet me caressant comme il l’a si souvent fait, dans le but de me rassurer.
M (parlant avec difficulté) : Je vais bien Sara. Je vais bien. Vas voir les autres.
S (paniquée) : NON ! Non, tu ne vas pas bien Michael.
M (suppliant) : Sara… je t’en pris… occupe toi des autres. Occupe-toi de Margaret.
Prise par la confusion qui régnait dans la pièce je ne m’étais pas aperçue des autres corps qui gisaient au sol. Celui de cet homme affreux et chauve et ses deux acolytes, et de l’autre côté au fond de la pièce, le corps de la vieille femme qui a recueillie Michael pour la nuit. Relevant la tête près des trois hommes inconscients j’aperçois aussi Gretchen tenant encore fermement son arme au creux de sa main et d’où une légère fumée s’évade de l’embout noir. Ses yeux encore emplis de fureur se ressaisissent bien vite pour dégainer son téléphone et appeler les secours. Lincoln s’apprête à courir dans sa direction mais je l’arrête lui faisant comprendre que je vais avoir besoin de lui. J’ôte mon tee-shirt, ne me retrouvant plus qu’avec un simple débardeur, pour le placer sur la plaie de Michael où je viens y déposer les mains de Lincoln en lui ordonnant de maintenir fermement le morceau de tissu.
S (à Michael) : Je vais revenir m’occuper de toi.
M (dans un grognement de douleur) : Je sais…
Je me dirige alors vers Margaret lançant au passage un regard à LJ qui se précipite à mes côtés pour m’aider. Elle a une plaie dans l’abdomen et l’hémorragie semble s’étendre très rapidement. Je jette un bref coup d’œil vers Gretchen toujours occupée au téléphone et à ses pieds, je vois cet homme, probablement le chef de l’opération, toujours vivant et essayant vainement de se relever mais c’est sans compter sur la réactivité de Gretchen pour l’arrêter. Lui lançant un coup vif et rapide dans le genou, là où il a été touché, il cri de douleur avant que Gretchen ne s’approche pour lui chuchoter quelque chose à l’oreille sous un regard menaçant. Lorsqu’elle se relève, nos yeux se croisent un instant avant que je ne m’attarde à nouveau sur le corps de Margaret. Pourtant en si peu de temps, j’ai vu tellement de choses dans ce simple regard : de la compassion, du regret, de la rage et en même temps le sentiment d’un devoir enfin accompli.
S (à LJ) : Essai de trouver quelque chose dans ses affaires qu’on puisse la soigner. Des bandages, des serviettes, n’importe quoi. (Pensant à voix haute) comment on-ils réussi à la toucher ?
G (hochant la tête en direction des hommes de main de Padman morts au sol) : L’un de ces manches à dû probablement mal viser.
L (le regard rempli de haine) : Vous la ferme ! Ce n’est pas parce que vous les avez tous descendus que vous êtes différentes ! Vous êtes comme eux et je vous assure que si je pouvais, là maintenant, il y aurait une autre tête en moins dans cette pièce.
G : Ok Lincoln, on se calme j’essai de sauver votre frère et (montrant Padman au sol) cet abruti.
L : C’est bon, on n’a pas besoin de votre aide et j’en ai rien à foutre de lui, il peut crever !
G : Au contraire, mort il ne nous sera d’aucune utilité. (avec un regard plein de rage) IL est la compagnie Lincoln.
L : Quoi ? Je ne…
S & M (lui proclamant de se taire) : Lincoln !
Alors que Lincoln et Gretchen continuent de se chamailler et qu’LJ reviens avec un nécessaire, trop primitif de premier secours, j’essais mais sans jamais pouvoir y arriver, d’arrêter l’hémorragie de Margaret mais sa condition physique et la profondeur de la plaie ne font rien pour m’aider, si bien que bientôt je vois son souffle disparaitre peu à peu. C’est le teint blafard et avec un léger sourire sur le visage, mixé de tendresse et de souffrance, qu’elle me prend le poignet dans ses dernières forces comme l’avait fait Michael quelques minutes plus tôt. Je comprends que je suis en train de la perde et je me retrouve face à ce corps blême, paniquée et ne sachant que faire comme lors de mes premiers jours d’internat. Tout va si vite et je n’ai pas le temps de réfléchir. Je sens les premiers troubles du manque s’installer en moi et je me revois soudainement face à ce gosse dans la rue, happée par la drogue et incapable de réagir pour le soigner correctement. J’entends encore les cris de cette femme qui m’implore de le sauver mais à laquelle je suis incapable de répondre ou même de faire le moindre geste cohérent. Je revois l’innexpression de mon visage et la honte que j’ai ressenti par la suite qui mon conduit à cesser définitivement la drogue.
La main sans vie de Margaret relâche mon poignet et me fait revenir à la dure réalité. Une nausée s’empare de moi mais que j’arrive à refouler dans un ultime sursaut et une volonté de survie. Alors sous les larmes et les tremblements, qui ne sont plus uniquement causés par ma fatigue et ma peur mais bien par l’angoisse du manque de drogue, j’entreprends un massage cardiaque pour la faire revenir à elle.
Fin du Flash back
S (affolée) : Je ne sens plus son poult !
La panique s’empare de moi peu à peu alors que j’essai de me contrôler, de retrouver mes esprits et d’agir un temps soit peu professionnellement. Mais c’est comme peine perdu. Ma respiration est forte et mes gestes tremblotants et peu assurés. Mes mains s’emplissent de sang et je n’entends même pas Lincoln me parler. Je suis absorbé par ce liquide rougeâtre et visqueux qui s’imprègne en moi comme d’une substance qui sera toujours présente et dont je n’arriverai jamais à me débarrasser.
https://www.youtube.com/watch?v=SiO_7LhPZFM
L : SARA !
Lincoln s’empare de mon corps comme pour me réveiller. Me prenant par les épaules, il me bouscule cherchant à me faire réagir.
L : Sara bon sang répond ! Elle est morte Sara et Michael est inconscient, il a besoin de toi Sara.
Au son du nom de Michael mon sang n’a fait qu’un tour dans mon corps et mon regard se précipite vers lui gisant à quelques mètres de moi, LJ occupant la place qu’avait son père il y a quelques minutes, essayant d’arrêter l’hémorragie de son oncle.
S (dans un murmure étouffé par des sanglots) : Michael…
Je m’agenouille brutalement à ses côtés sentant mes genoux rencontrer le sol violemment. D’une main je saisi la sienne se trouvant sur son ventre, la secouant légèrement pour lui faire reprendre connaissance, et de l’autre je répète le même mouvement sur sa joue. Très rapidement je sens ses doigts se crisper contre les miens. Il ouvre les yeux péniblement. Il essai d’approcher sa main toujours libre de mon visage mais je l’en empêche ne voulant pas qu’il gaspille ses forces. Au lieu de cela je m’approche de lui n’étant plus qu’à quelques centimètres de son visage.
S : J’ai besoin de toi Michael. J’ai besoin que tu restes éveillé. Reste avec moi Michael.
Aucun son vraiment cohérent ne sort de sa bouche mais je peux lire dans ses yeux son approbation et la confiance qu’il porte en moi. Fixant alors mon regard un dernier instant avec le sien, je lui envoi un léger sourire quelque peu forcé, pour l’encourager et lui prouvé, ou peut être plutôt pour me le prouver à moi-même, que tout ira bien.
Mes mains quittent les siennes pour venir s’attarder sur sa plaie. Je retire le tee-shirt que j’avais posé là sur son thorax quelques minutes plus tôt, pour voir que l’hémorragie est moins insistante que celle de Margaret mais qu’elle n’a pas cessée. Je tente de me dire qu’il est beaucoup plus jeune qu’elle, en bonne santé, et muni d’une force incroyable s’il l’on en croit le nombre de choses insensées qu’il a vécu ces derniers mois. Mais il y a toujours cette ombre qui plane sur nous, symbolisée par le corps sans vie de Margaret, cette ombre qui est prête à me l’arracher à tout instant et à tout jamais.
Lincoln m’aide à retourner le corps de Michael pour voir si la balle est toujours à l’intérieur alors qu’LJ est parti encore une fois à la recherche de tout ce qui pourrait servir pour soigner Michael. En effet, le peu de choses qu’il me reste des soins que j’ai apporté à Margaret ne sera pas suffisant. Nous le voyons revenir avec une simple serviette et une bouteille d’alcool.
On se rend compte avec horreur que la balle est toujours dans le corps de Michael. Pendant un instant je pense à l’éventualité de la lui retirer si elle n’est pas coincée trop profondément et essayer de stopper l’hémorragie au maximum avec le peu de choses à ma porté, mais à l’instant où mes mains s’approchent de la plaie et après que Lincoln ait fait boire quelques gorgées de la bouteille à son frère, j’arrête mes mains au dessus de sa plaie comprenant que l’hémorragie est probablement contenue par la balle qui est toujours présente dans le thorax de Michael.
Pendant l’espace d’une seconde je me dis qu’après tout il a peut être une chance de survivre puisque la balle à l’air de le protéger des dégâts plus qu’autre chose, mais en déviant mon visage vers son teint de plus en plus blanc et la quantité de sang qui s’est répandue sur le carrelage, mon soulagement est très vite remplacé par l’angoisse. L’angoisse de ne pouvoir rien faire et de le voir mourir ici en attendant cette foutue voiture d’urgence qui n’arrive pas. Mes yeux se portent alors à nouveau vers Michael quand je vois que les siens sont clos.
S & L (le secouant pour le tenir éveillé) : Michael !
L (à Gretchen) : Où sont les secours bordel ?!
G (se tenant la tête angoissée puis criant excédée) : Ils arrivent !
Je l’appelle plusieurs fois me rapprochant toujours plus de son visage, les larmes aux yeux. Tenant l’une de ses mains fermement entre les miennes, je l’apporte près de mes lèvres pour l’embrasser et sentir le contact de sa peau contre la mienne quand l’une de mes larmes vient rouler le long de ma joue pour terminer sa chute sur sa main. Ses yeux s’ouvrent enfin avec beaucoup de difficulté et je le vois murmurer.
M (murmurant) : Sara…
S (s’approchant un peu plus encore) : Michael je t’en prie tu dois…
M : Sara…
S (ravalant ses sanglots pour l’écouter) : …
M : C’était réel Sara… tu le sais ça ? … Nous c’était réel…
Ces paroles sont trop pour moi et je fonds en larmes me rappelant le jour où au téléphone, avec une voix brisée il me les avait dits pour la première fois. Cette fois où assise sur le parvis d’une église je tentais de réprimer mes sentiments pour cet homme, mais s’en est trop et fatiguée par notre lutte insensée et par la forme d’un amour que le destin semble nous interdire, ma tristesse et ma peur ne font que s’accroître.
Sa main vient essuyer mes larmes qui coulent inépuisablement. La froideur de ses doigts contraste avec la chaleur de ma joue enflammée et cette simple caresse me fait un bien fou, à tel point qu’en peu de temps j’arrive à me contrôler et à saisir son regard dans le mien pour lui faire comprendre que je ne veux pas de tout ceci, je ne veux pas de ces adieux, je le veux lui et je ne pourrai plus vivre sans lui. Mon angoisse se transforme bientôt en colère contre sa possibilité d’abandonner, de m’abandonner, de ne plus avoir la foi, de ne plus croire en nous jusqu’au bout. Ma force ne fait que redoubler lorsque que j’entends les premières sirènes de l’ambulance qui arrivent au loin.
S : C’est réel Michael. Je le sais et si tu le ressens toi aussi alors tu n’a pas le droit de tout laisser tomber. Pas après tout ce qu’on a sacrifié. Notre bonheur est à porté de main Michael et tu n’a pas le droit d’abandonner. Je ne te laisserai pas tout foutre en l’air comme ça et tu vas devoir me supporter encore très longtemps Michael, parce que je ne pourrai pas aimer quelqu’un d’autre que toi, parce qu’il n’y a personne d’autre qui me fasse rire et qui me comprennent comme toi. Alors maintenant bat toi ! Je t’interdis de me laisser tomber ! Je t’interdis de mourir ! Tu m’entends Michael, toi et moi c’est réel et ça le restera.
Je vois une larme couler au coin de ses yeux embués. Son regard est lourd et porteur de sens. M’implorant de lui pardonner. Me faisant comprendre qu’il voudrait y arriver, qu’il croit en nous mais qu’il est tellement fatiguer de lutter et de se battre sans arrêt. Mes lèvres s’approchent des siennes pour l’embrasser très légèrement et alors que je m’écarte à nouveau de lui, mon regard saisi le sien encore une fois.
M : Sara…
C’est avec ces dernières paroles, en prononçant mon nom, que je le vois perdre totalement connaissance. Autour de moi un silence des plus pesant s’installe alors que je l’implore de se réveiller en criant son nom.
S : Michael !
M : …
S : Michael !
M : …
S : Michael je t’en prie…
M : …
Ma main sur son cœur, mes yeux n’en peuvent plus et alors que je scrute la pièce autour de moi cherchant de l’aide, je suis confrontée à la réalité qui m’entoure par le regard pétrifier de Gretchen sur le corps immobile de Michael, celui d’LJ ahuri qui accompagne son geste en plaçant ses deux mains contre sa bouche pour étouffer ses sanglots ou encore le regard perdu de Lincoln, d’où coule quelques larmes qu’il n’essai pas de cacher lorsqu’il voit son petit frère, celui qui a tout fait pour lui, en train de s’éteindre.
bon alors ??? ...
bon je suis moyennement satisfaite de la fin. je trouve qu'au finale la musique va aussi moyennement avec la fin mais je l'avais prévue depuis tellement longtemps que je la mets quand même en espérant que ça vous ira. (ya deux parties donc deux musiques et la première est un petit clin d'oeil à atonement)
donc petit récapitulatif de l'épisode précédent :
sara est de retour après un passage éclair à l'hosto et au moment où elle voulait parler de gretchen à michael, celle-ci accompagnée de padman et de deux hommes arrivent dans la pièce. padman fait une proposition à michael que celui-ci refuse et là trois coups de feu sont tirés !!!
edit@ poupi : quand tu liras ça et parce que j'oublie toujours de te le demander, tu pourras changer le titre de la fic et enlever la MAJ merci !!!
(Pensées de Sara)
S (affolée) : Je ne sens plus son poult !
La panique s’empare de moi peu à peu alors que j’essai de me contrôler, de retrouver mes esprits et d’agir un temps soit peu professionnellement. Mais c’est comme peine perdu. Ma respiration est forte et mes gestes tremblotants et peu assurés. Mes mains s’emplissent de sang et je n’entends même pas Lincoln me parler. Je suis perdue quelque part, quelques minutes plus tôt lorsque ces coups de feu on retenti dans cette pièce…
Flash back
https://www.youtube.com/watch?v=y_iljlyFFKM
Trois coups d’abord, violents et presque simultanés, suivis de deux autres. Je sens encore la pression de la main de Michael sur mon bras, ma chute sur le carrelage dur et froid puis mes yeux cherchant où la balle aurait bien pu m’atteindre car je ne ressens aucune douleur. Et c’est alors que j’aperçois Michael se vidant de son sang à quelques centimètres de moi à peine, les yeux humides et grimaçant de douleur. J’entends encore le cri que j’ai poussé provenant du plus profond de mon être quand en à peine deux secondes j’ai pu assimiler la situation devant moi et que j’ai compris qu’encore une fois, il s’était sacrifié pour moi.
La balle de l’un des hommes l’a touchée en plein thorax. A peine à quelques centimètres du cœur. Tout de suite je me suis précipitée sur lui, incapable de parler dans un premier temps alors que je voyais ses lèvres remuer, tentant de me dire quelque chose. Mes mains se sont approchées de la plaie et c’est en tremblant que j’ai défait les boutons de sa chemise pour y révéler une marre de sang. Des larmes que j’étais incapable de contenir en moi ce sont mêlées au flot de sang qui coulaient sur son corps jusqu’à ce que je sente sa main prendre délicatement la mienne, sa paume venant entourer mon poignet me caressant comme il l’a si souvent fait, dans le but de me rassurer.
M (parlant avec difficulté) : Je vais bien Sara. Je vais bien. Vas voir les autres.
S (paniquée) : NON ! Non, tu ne vas pas bien Michael.
M (suppliant) : Sara… je t’en pris… occupe toi des autres. Occupe-toi de Margaret.
Prise par la confusion qui régnait dans la pièce je ne m’étais pas aperçue des autres corps qui gisaient au sol. Celui de cet homme affreux et chauve et ses deux acolytes, et de l’autre côté au fond de la pièce, le corps de la vieille femme qui a recueillie Michael pour la nuit. Relevant la tête près des trois hommes inconscients j’aperçois aussi Gretchen tenant encore fermement son arme au creux de sa main et d’où une légère fumée s’évade de l’embout noir. Ses yeux encore emplis de fureur se ressaisissent bien vite pour dégainer son téléphone et appeler les secours. Lincoln s’apprête à courir dans sa direction mais je l’arrête lui faisant comprendre que je vais avoir besoin de lui. J’ôte mon tee-shirt, ne me retrouvant plus qu’avec un simple débardeur, pour le placer sur la plaie de Michael où je viens y déposer les mains de Lincoln en lui ordonnant de maintenir fermement le morceau de tissu.
S (à Michael) : Je vais revenir m’occuper de toi.
M (dans un grognement de douleur) : Je sais…
Je me dirige alors vers Margaret lançant au passage un regard à LJ qui se précipite à mes côtés pour m’aider. Elle a une plaie dans l’abdomen et l’hémorragie semble s’étendre très rapidement. Je jette un bref coup d’œil vers Gretchen toujours occupée au téléphone et à ses pieds, je vois cet homme, probablement le chef de l’opération, toujours vivant et essayant vainement de se relever mais c’est sans compter sur la réactivité de Gretchen pour l’arrêter. Lui lançant un coup vif et rapide dans le genou, là où il a été touché, il cri de douleur avant que Gretchen ne s’approche pour lui chuchoter quelque chose à l’oreille sous un regard menaçant. Lorsqu’elle se relève, nos yeux se croisent un instant avant que je ne m’attarde à nouveau sur le corps de Margaret. Pourtant en si peu de temps, j’ai vu tellement de choses dans ce simple regard : de la compassion, du regret, de la rage et en même temps le sentiment d’un devoir enfin accompli.
S (à LJ) : Essai de trouver quelque chose dans ses affaires qu’on puisse la soigner. Des bandages, des serviettes, n’importe quoi. (Pensant à voix haute) comment on-ils réussi à la toucher ?
G (hochant la tête en direction des hommes de main de Padman morts au sol) : L’un de ces manches à dû probablement mal viser.
L (le regard rempli de haine) : Vous la ferme ! Ce n’est pas parce que vous les avez tous descendus que vous êtes différentes ! Vous êtes comme eux et je vous assure que si je pouvais, là maintenant, il y aurait une autre tête en moins dans cette pièce.
G : Ok Lincoln, on se calme j’essai de sauver votre frère et (montrant Padman au sol) cet abruti.
L : C’est bon, on n’a pas besoin de votre aide et j’en ai rien à foutre de lui, il peut crever !
G : Au contraire, mort il ne nous sera d’aucune utilité. (avec un regard plein de rage) IL est la compagnie Lincoln.
L : Quoi ? Je ne…
S & M (lui proclamant de se taire) : Lincoln !
Alors que Lincoln et Gretchen continuent de se chamailler et qu’LJ reviens avec un nécessaire, trop primitif de premier secours, j’essais mais sans jamais pouvoir y arriver, d’arrêter l’hémorragie de Margaret mais sa condition physique et la profondeur de la plaie ne font rien pour m’aider, si bien que bientôt je vois son souffle disparaitre peu à peu. C’est le teint blafard et avec un léger sourire sur le visage, mixé de tendresse et de souffrance, qu’elle me prend le poignet dans ses dernières forces comme l’avait fait Michael quelques minutes plus tôt. Je comprends que je suis en train de la perde et je me retrouve face à ce corps blême, paniquée et ne sachant que faire comme lors de mes premiers jours d’internat. Tout va si vite et je n’ai pas le temps de réfléchir. Je sens les premiers troubles du manque s’installer en moi et je me revois soudainement face à ce gosse dans la rue, happée par la drogue et incapable de réagir pour le soigner correctement. J’entends encore les cris de cette femme qui m’implore de le sauver mais à laquelle je suis incapable de répondre ou même de faire le moindre geste cohérent. Je revois l’innexpression de mon visage et la honte que j’ai ressenti par la suite qui mon conduit à cesser définitivement la drogue.
La main sans vie de Margaret relâche mon poignet et me fait revenir à la dure réalité. Une nausée s’empare de moi mais que j’arrive à refouler dans un ultime sursaut et une volonté de survie. Alors sous les larmes et les tremblements, qui ne sont plus uniquement causés par ma fatigue et ma peur mais bien par l’angoisse du manque de drogue, j’entreprends un massage cardiaque pour la faire revenir à elle.
Fin du Flash back
S (affolée) : Je ne sens plus son poult !
La panique s’empare de moi peu à peu alors que j’essai de me contrôler, de retrouver mes esprits et d’agir un temps soit peu professionnellement. Mais c’est comme peine perdu. Ma respiration est forte et mes gestes tremblotants et peu assurés. Mes mains s’emplissent de sang et je n’entends même pas Lincoln me parler. Je suis absorbé par ce liquide rougeâtre et visqueux qui s’imprègne en moi comme d’une substance qui sera toujours présente et dont je n’arriverai jamais à me débarrasser.
https://www.youtube.com/watch?v=SiO_7LhPZFM
L : SARA !
Lincoln s’empare de mon corps comme pour me réveiller. Me prenant par les épaules, il me bouscule cherchant à me faire réagir.
L : Sara bon sang répond ! Elle est morte Sara et Michael est inconscient, il a besoin de toi Sara.
Au son du nom de Michael mon sang n’a fait qu’un tour dans mon corps et mon regard se précipite vers lui gisant à quelques mètres de moi, LJ occupant la place qu’avait son père il y a quelques minutes, essayant d’arrêter l’hémorragie de son oncle.
S (dans un murmure étouffé par des sanglots) : Michael…
Je m’agenouille brutalement à ses côtés sentant mes genoux rencontrer le sol violemment. D’une main je saisi la sienne se trouvant sur son ventre, la secouant légèrement pour lui faire reprendre connaissance, et de l’autre je répète le même mouvement sur sa joue. Très rapidement je sens ses doigts se crisper contre les miens. Il ouvre les yeux péniblement. Il essai d’approcher sa main toujours libre de mon visage mais je l’en empêche ne voulant pas qu’il gaspille ses forces. Au lieu de cela je m’approche de lui n’étant plus qu’à quelques centimètres de son visage.
S : J’ai besoin de toi Michael. J’ai besoin que tu restes éveillé. Reste avec moi Michael.
Aucun son vraiment cohérent ne sort de sa bouche mais je peux lire dans ses yeux son approbation et la confiance qu’il porte en moi. Fixant alors mon regard un dernier instant avec le sien, je lui envoi un léger sourire quelque peu forcé, pour l’encourager et lui prouvé, ou peut être plutôt pour me le prouver à moi-même, que tout ira bien.
Mes mains quittent les siennes pour venir s’attarder sur sa plaie. Je retire le tee-shirt que j’avais posé là sur son thorax quelques minutes plus tôt, pour voir que l’hémorragie est moins insistante que celle de Margaret mais qu’elle n’a pas cessée. Je tente de me dire qu’il est beaucoup plus jeune qu’elle, en bonne santé, et muni d’une force incroyable s’il l’on en croit le nombre de choses insensées qu’il a vécu ces derniers mois. Mais il y a toujours cette ombre qui plane sur nous, symbolisée par le corps sans vie de Margaret, cette ombre qui est prête à me l’arracher à tout instant et à tout jamais.
Lincoln m’aide à retourner le corps de Michael pour voir si la balle est toujours à l’intérieur alors qu’LJ est parti encore une fois à la recherche de tout ce qui pourrait servir pour soigner Michael. En effet, le peu de choses qu’il me reste des soins que j’ai apporté à Margaret ne sera pas suffisant. Nous le voyons revenir avec une simple serviette et une bouteille d’alcool.
On se rend compte avec horreur que la balle est toujours dans le corps de Michael. Pendant un instant je pense à l’éventualité de la lui retirer si elle n’est pas coincée trop profondément et essayer de stopper l’hémorragie au maximum avec le peu de choses à ma porté, mais à l’instant où mes mains s’approchent de la plaie et après que Lincoln ait fait boire quelques gorgées de la bouteille à son frère, j’arrête mes mains au dessus de sa plaie comprenant que l’hémorragie est probablement contenue par la balle qui est toujours présente dans le thorax de Michael.
Pendant l’espace d’une seconde je me dis qu’après tout il a peut être une chance de survivre puisque la balle à l’air de le protéger des dégâts plus qu’autre chose, mais en déviant mon visage vers son teint de plus en plus blanc et la quantité de sang qui s’est répandue sur le carrelage, mon soulagement est très vite remplacé par l’angoisse. L’angoisse de ne pouvoir rien faire et de le voir mourir ici en attendant cette foutue voiture d’urgence qui n’arrive pas. Mes yeux se portent alors à nouveau vers Michael quand je vois que les siens sont clos.
S & L (le secouant pour le tenir éveillé) : Michael !
L (à Gretchen) : Où sont les secours bordel ?!
G (se tenant la tête angoissée puis criant excédée) : Ils arrivent !
Je l’appelle plusieurs fois me rapprochant toujours plus de son visage, les larmes aux yeux. Tenant l’une de ses mains fermement entre les miennes, je l’apporte près de mes lèvres pour l’embrasser et sentir le contact de sa peau contre la mienne quand l’une de mes larmes vient rouler le long de ma joue pour terminer sa chute sur sa main. Ses yeux s’ouvrent enfin avec beaucoup de difficulté et je le vois murmurer.
M (murmurant) : Sara…
S (s’approchant un peu plus encore) : Michael je t’en prie tu dois…
M : Sara…
S (ravalant ses sanglots pour l’écouter) : …
M : C’était réel Sara… tu le sais ça ? … Nous c’était réel…
Ces paroles sont trop pour moi et je fonds en larmes me rappelant le jour où au téléphone, avec une voix brisée il me les avait dits pour la première fois. Cette fois où assise sur le parvis d’une église je tentais de réprimer mes sentiments pour cet homme, mais s’en est trop et fatiguée par notre lutte insensée et par la forme d’un amour que le destin semble nous interdire, ma tristesse et ma peur ne font que s’accroître.
Sa main vient essuyer mes larmes qui coulent inépuisablement. La froideur de ses doigts contraste avec la chaleur de ma joue enflammée et cette simple caresse me fait un bien fou, à tel point qu’en peu de temps j’arrive à me contrôler et à saisir son regard dans le mien pour lui faire comprendre que je ne veux pas de tout ceci, je ne veux pas de ces adieux, je le veux lui et je ne pourrai plus vivre sans lui. Mon angoisse se transforme bientôt en colère contre sa possibilité d’abandonner, de m’abandonner, de ne plus avoir la foi, de ne plus croire en nous jusqu’au bout. Ma force ne fait que redoubler lorsque que j’entends les premières sirènes de l’ambulance qui arrivent au loin.
S : C’est réel Michael. Je le sais et si tu le ressens toi aussi alors tu n’a pas le droit de tout laisser tomber. Pas après tout ce qu’on a sacrifié. Notre bonheur est à porté de main Michael et tu n’a pas le droit d’abandonner. Je ne te laisserai pas tout foutre en l’air comme ça et tu vas devoir me supporter encore très longtemps Michael, parce que je ne pourrai pas aimer quelqu’un d’autre que toi, parce qu’il n’y a personne d’autre qui me fasse rire et qui me comprennent comme toi. Alors maintenant bat toi ! Je t’interdis de me laisser tomber ! Je t’interdis de mourir ! Tu m’entends Michael, toi et moi c’est réel et ça le restera.
Je vois une larme couler au coin de ses yeux embués. Son regard est lourd et porteur de sens. M’implorant de lui pardonner. Me faisant comprendre qu’il voudrait y arriver, qu’il croit en nous mais qu’il est tellement fatiguer de lutter et de se battre sans arrêt. Mes lèvres s’approchent des siennes pour l’embrasser très légèrement et alors que je m’écarte à nouveau de lui, mon regard saisi le sien encore une fois.
M : Sara…
C’est avec ces dernières paroles, en prononçant mon nom, que je le vois perdre totalement connaissance. Autour de moi un silence des plus pesant s’installe alors que je l’implore de se réveiller en criant son nom.
S : Michael !
M : …
S : Michael !
M : …
S : Michael je t’en prie…
M : …
Ma main sur son cœur, mes yeux n’en peuvent plus et alors que je scrute la pièce autour de moi cherchant de l’aide, je suis confrontée à la réalité qui m’entoure par le regard pétrifier de Gretchen sur le corps immobile de Michael, celui d’LJ ahuri qui accompagne son geste en plaçant ses deux mains contre sa bouche pour étouffer ses sanglots ou encore le regard perdu de Lincoln, d’où coule quelques larmes qu’il n’essai pas de cacher lorsqu’il voit son petit frère, celui qui a tout fait pour lui, en train de s’éteindre.
bon alors ??? ...
Dernière édition par miliibnb le Jeu 10 Juil - 22:24, édité 3 fois
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
alors???
alors c'est triste et je ne suis pas d'accord mike ne va pas mourir hein stp!!!!!
j'adore toujours autant miss vivement la suite stp
alors c'est triste et je ne suis pas d'accord mike ne va pas mourir hein stp!!!!!
j'adore toujours autant miss vivement la suite stp
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
nonnnnnnn mick reveilles toiiiiiiiiiiiii
la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite
gro c'est superbement ecrit
la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite
gro c'est superbement ecrit
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
oh mili que c'est beau, un des plus beau passage (je pense mais ils sont tous tellement captivant)
c'est vraiment décrit d'une façon très réaliste, tu gardes un peu de suspense au début mais on se rend très vite compte de qui est touché et ....................non pas Michael (ok Margaret aussi mais c'est différent ) et Sara qui essaie à tout prix de stopper l'hémorragie et après part vers la dame qui finalement décède
leur échange est si et alors pour "c'est réel et ça le restera" faut pas que Michael meurt
mili c'est super, je suis encore toute émue par ce chapitre, ça valait la peine de l'attendre
wou et dire que c'est bientôt la fin avant la saison 2 de strong and alive
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
oui bien sur la saison 2 de strong and alive ça serait pitoyable je crois parce que je vois pas ce que je pourrai écrire de plus après la fin que j'ai prévu !!! lol
sinon merci à toutes les trois pour vos coms !!!
mdr tinkerbel t'es sympa tu veux sacrifier margaret pour mike si je comprends bien??? lol
bon et pour toute la partie c'est réel forcément là je le voyais direct en anglais avec michael au téléphone... "it was real sara... you and me, it's real" tout simplement magnifique !!!! (je précise je parle bien de la scène dans PB là je m'autobalance pas des fleurs comme ça lol)
sinon merci à toutes les trois pour vos coms !!!
mdr tinkerbel t'es sympa tu veux sacrifier margaret pour mike si je comprends bien??? lol
bon et pour toute la partie c'est réel forcément là je le voyais direct en anglais avec michael au téléphone... "it was real sara... you and me, it's real" tout simplement magnifique !!!! (je précise je parle bien de la scène dans PB là je m'autobalance pas des fleurs comme ça lol)
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
miliibnb a écrit:oui bien sur la saison 2 de strong and alive ça serait pitoyable je crois parce que je vois pas ce que je pourrai écrire de plus après la fin que j'ai prévu !!! lol
sinon merci à toutes les trois pour vos coms !!!
mdr tinkerbel t'es sympa tu veux sacrifier margaret pour mike si je comprends bien??? lol
bon et pour toute la partie c'est réel forcément là je le voyais direct en anglais avec michael au téléphone... "it was real sara... you and me, it's real" tout simplement magnifique !!!! (je précise je parle bien de la scène dans PB là je m'autobalance pas des fleurs comme ça lol)
t'as prévue quelle genre de fin....................dramatique ou happy end
moi je veux sacrifier Margaret pour Michaël...........non pas vrai
et pour les fleurs, tu devrais t"en balancer car ta fic est extra en tout cas moi je t'en offre un gros bouquet
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
merci c'est gentil pour les fleurs lol !!
mais pas la peine de me faire de la lèche, tu ne sauras rien de la fin... happy ending ou dramatique... mystère et boule de gomme !!!!!
mais pas la peine de me faire de la lèche, tu ne sauras rien de la fin... happy ending ou dramatique... mystère et boule de gomme !!!!!
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
miliibnb a écrit:merci c'est gentil pour les fleurs lol !!
mais pas la peine de me faire de la lèche, tu ne sauras rien de la fin... happy ending ou dramatique... mystère et boule de gomme !!!!!
c'était même pas de la lèche
c'était sincère
tant pis si tu veux pas le dire de toute manière je continues à te lire donc je le serai bien assez tôt
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
Rooooh
Trop triste.
Je visualise trop la scène, alalala horrible.
En tout cas c'était trés beau et trés bien écrit ma cocotte.
Sur de sur qu'il va y avoir une suite hein?
Parce qu'avant de lire les coms moi je croyais que c'était LA fin.
Trop triste.
Je visualise trop la scène, alalala horrible.
En tout cas c'était trés beau et trés bien écrit ma cocotte.
Sur de sur qu'il va y avoir une suite hein?
Parce qu'avant de lire les coms moi je croyais que c'était LA fin.
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
ma dana !!!
oui oui sur de sur qu'il va y avoir une suite parce que c'est pas encore fini !!!!!
je suis contente que ça t'ai plus !!! merciiiii !!!!
oui oui sur de sur qu'il va y avoir une suite parce que c'est pas encore fini !!!!!
je suis contente que ça t'ai plus !!! merciiiii !!!!
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
- Spoiler:
attention après visualisation de cette image certains troubles visuels peuvent apparaitrent
mais si ça te perturbe trop pour écrire, ne regarde pas trop longtemps
je tiens a avoir une suite bientôt
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
Mélina a écrit:Excellent choix !
bin mélina tu commente la photo mais pas la dernière suite ??? t'as vu que t'en avais loupé une au moins lol ???
sinon là j'ai des amis chez moi ce week end mais ils s'en vont ce soir donc je pense que je vais commencé un petit quelque chose ce soir. par contre si je l'ai pas fini ce soir faudra attendre un peu parce que mardi je fais quelques CV + lettres de motiv pour mon stage d'octobre et je me prépare pour mon entretien de mercredi (à 11h pensez à moi !!!), l'aprèm je vais faire quelques soldes, et jeudi je vais à eurodisney (je suis une grande fan... ça sera ma 7ème fois au court de ma courte existance!!!)
sinon tinkerbel un grand merci pour cette photo où il est juste : et en plus je l'avais pas celle là !!!! merci !!!!!
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
miliibnb a écrit:Mélina a écrit:Excellent choix !
bin mélina tu commente la photo mais pas la dernière suite ??? t'as vu que t'en avais loupé une au moins lol ???
sinon là j'ai des amis chez moi ce week end mais ils s'en vont ce soir donc je pense que je vais commencé un petit quelque chose ce soir. par contre si je l'ai pas fini ce soir faudra attendre un peu parce que mardi je fais quelques CV + lettres de motiv pour mon stage d'octobre et je me prépare pour mon entretien de mercredi (à 11h pensez à moi !!!), l'aprèm je vais faire quelques soldes, et jeudi je vais à eurodisney (je suis une grande fan... ça sera ma 7ème fois au court de ma courte existance!!!)
sinon tinkerbel un grand merci pour cette photo où il est juste : et en plus je l'avais pas celle là !!!! merci !!!!!
jeudi tu vas à Disney, je te conseille la tour de la terreur, c'est SUPER
sinon pour la photo, c'est clair et tant mieux si tu ne l'avais pas
mercredi je penserai à toi BON COURAGE
et ne t'inquiète pas pour la suite mais on l'aura avant la semaine prochaine
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
tinkerbel a écrit:miliibnb a écrit:Mélina a écrit:Excellent choix !
bin mélina tu commente la photo mais pas la dernière suite ??? t'as vu que t'en avais loupé une au moins lol ???
sinon là j'ai des amis chez moi ce week end mais ils s'en vont ce soir donc je pense que je vais commencé un petit quelque chose ce soir. par contre si je l'ai pas fini ce soir faudra attendre un peu parce que mardi je fais quelques CV + lettres de motiv pour mon stage d'octobre et je me prépare pour mon entretien de mercredi (à 11h pensez à moi !!!), l'aprèm je vais faire quelques soldes, et jeudi je vais à eurodisney (je suis une grande fan... ça sera ma 7ème fois au court de ma courte existance!!!)
sinon tinkerbel un grand merci pour cette photo où il est juste : et en plus je l'avais pas celle là !!!! merci !!!!!
jeudi tu vas à Disney, je te conseille la tour de la terreur, c'est SUPER
sinon pour la photo, c'est clair et tant mieux si tu ne l'avais pas
mercredi je penserai à toi BON COURAGE
et ne t'inquiète pas pour la suite mais on l'aura avant la semaine prochaine
la tour de la terreur ça va vite ?? Parce que moi j'aime pas les trucs à sensation forte (sauf le train de la mine peut être parce qu'il y a pas de looping) parce qu'en général moi je fais que les trucs de gosses !!!
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
ne fais pas la tour de la terreur alors
quand je l'ai fait, j'étais avec ma nièce donc j'avais peur qu'elle pleure, vomisse ou .....des trucs de gosse de 7 ans quoi bah c'est moi qui ai le plus crier, je ne m'attendais pas à ça car ils laissent les enfants le faire et bah c'est ..........AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH j'ai cru m'évanouir mais j'ai adoré
tu es assise et attachée et t'as quand même les fesses qui se décollent du siège quand la cabine de l'ascenseur descend, tellement que ça va vite
maintenant je sais pas si je le referai
en tout cas bon séjour sur la région parisienne
de te demander la suite
quand je l'ai fait, j'étais avec ma nièce donc j'avais peur qu'elle pleure, vomisse ou .....des trucs de gosse de 7 ans quoi bah c'est moi qui ai le plus crier, je ne m'attendais pas à ça car ils laissent les enfants le faire et bah c'est ..........AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH j'ai cru m'évanouir mais j'ai adoré
tu es assise et attachée et t'as quand même les fesses qui se décollent du siège quand la cabine de l'ascenseur descend, tellement que ça va vite
maintenant je sais pas si je le referai
en tout cas bon séjour sur la région parisienne
de te demander la suite
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
ah oui c'est ça que ma meilleure amie m'a dit "heu c'est bien t'aime pas les trucs à sensations fortes ça m'arrange j'aurais pas à me forcer à faire le truc de l'ascenceur!!" non moi je vais faire que les trucs de bébé et aussi la maison hantée, le train de la mine et pirates des caraïbes qui me fait toujours marrer !!!
la suite je vais m'y mettre ce soir, là je vais aller me rafraichir un peu histoire de garder les yeux ouverts (j'ai commaté au soleil toute la journée !!)
la suite je vais m'y mettre ce soir, là je vais aller me rafraichir un peu histoire de garder les yeux ouverts (j'ai commaté au soleil toute la journée !!)
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
miliibnb a écrit:ah oui c'est ça que ma meilleure amie m'a dit "heu c'est bien t'aime pas les trucs à sensations fortes ça m'arrange j'aurais pas à me forcer à faire le truc de l'ascenceur!!" non moi je vais faire que les trucs de bébé et aussi la maison hantée, le train de la mine et pirates des caraïbes qui me fait toujours marrer !!!
la suite je vais m'y mettre ce soir, là je vais aller me rafraichir un peu histoire de garder les yeux ouverts (j'ai commaté au soleil toute la journée !!)
ok donc on ne vera pas mili (émilie???) sur les photos de l'ascenseur
moi aussi, j'adore le train de la mine et la maison hantée et pirates des caraibes mais quand on le fait tout le temps, on en a marre car il y a plus de surprises ) et puis je suis bloquée avec ma nièce car elle a pas toujours la taille réglementaire
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
non en effet on ne verra pas emilie sur les photos de l'ascenceur !! sinon moi ça me dérange absolument pas de refaire tout le temps les attractions que je connais par coeur (de toute façon c'est pas compliqué, c'est toujours les mêmes) et puis en arivant c'est direct direction la maison hantée sinon après ya trop de monde et aussi juste avant que ça ferme !!! c'est devenu un rituel lol !!!
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
Bon ma belle j'ai pas trop le temps de commenter ta fic à peine arriver que je dois repartir lol, cette suite est vraiment pleine d'émotion encore une fois le choix des musique c'est parfait et sa colle trés bien, tellement de choses m'ont plus dans cette suite on ressent toute la détresse de Sara et la musique ne fait qu'emplifier, Michael se sacrifiant une nouvelle fois, si il ne l'avait pas fait sa ne serait pas réellement Michael lol ensuite Sara qui essaie de sauver cette pauvre Margaret mais malheureusement elle succombe j'ai adoré que tu intègre le mini flash-back de Sara dans la rue avec le jeune garçon à l'époque ou c'était une drogué et ce que j'ai adoré aussi c'est quand Michael dit : " toi et moi...c'était réel" et là Sara qui se bat pour eux 2 et qui lui défend de dire de telles choses c'est trop beau c'est dans ces moments là qu'on voit à quel point leur amour est fort, Bon et je souhaite aussi te dire que faire mourir Michael c'est pas dans tes options donc tu vas railler de ta tête cette idée !!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
hey merci beaucoup ma petite sarascofield !!!
bon sinon voici la suite avec enfin le verdict : EST CE QUE MICHAEL EST MORT ?????
ou ????
bref, j'ai eu éneromément de mal à écrire la fin donc j'espère que ça vous plaire quand même !!!
edit à mélina : t'es sure que t'avais lu la dernière ???
https://www.youtube.com/watch?v=lWwFXH2NPJE
Chapitre 19 : Révélations.
(Trois mois plus tard soit début octobre – pensées de Sara)
Accoudée contre la fenêtre entre-ouverte du côté passager de la voiture, laissant flotter quelques mèches de cheveux dans le vent, je ressens enfin les prémisses d’un changement de temps. L’air lourd, parfois quasiment suffoquant, de l’été très sec que nous venons de vivre, commence enfin à arriver à son terme. Un changement attendu par tous les américains qui n’avaient pas connus un été aussi chaud et caniculaire depuis fort longtemps, mais aussi attendu de nous tous comme le tournant vers un nouveau chapitre. Le passage d’une vie qui s’achève, pleine de douleurs et de souffrances, pour laisser place à l’espoir d’un lendemain à reconstruire.
Le soleil, qui est encore très haut dans les rues de Chicago, illumine mon visage et le couvre d’une chaleur qui m’emplit d’une sensation de bien-être. Mais pourtant à la pensée du lieu vers lequel nous nous dirigeons, une larme pleine de nostalgie et de remord coule fraichement sur ma joue gauche. Un sentiment aigre-doux à l’assimilation de ces deux contradictions pour un endroit que j’ai évité bien trop souvent ces derniers temps sans vraiment savoir pourquoi, alors que pendant tellement d’années, j’y avais trouvé mon refuge.
Par la vitre j’observe les allées de pierres marbrées du Greceland Cemetery Chapel qui s’étendent de manière parfaitement rectiligne à mes côtés. Je ferme alors les yeux l’espace d’un instant pour me retrouver enfant lors de l’enterrement de ma mère, debout face à cette assemblée en costume sombre, où mes yeux emplis de larmes n’avaient pas le droit de couler. « Tu n’es plus une petite fille Sara. On attend de la fille du maire de Chicago d’avoir un comportement conforme à la position sociale qui lui est attribuée. Soit digne Sara et ne pleure pas ». J’entends encore les mots de mon père raisonner dans ma tête alors qu’une véritable déchirure vient de se créer dans mon cœur. J’ouvre les yeux. Ces dalles droites et fières défilent sans jamais pouvoir s’arrêter et me font penser à la prestance que tenait mon père le jour de l’enterrement de ma mère. C’est à peine si je pouvais lire une once de tristesse dans ses yeux alors qu’un air hautain et dédaigneux ornait son visage lorsque, tentant de glisser ma main dans la sienne, il me rejetait sévèrement. Mais sous ses sentiments renfermés et cachés au plus profond de lui-même, se trouvait un homme veuf et plus seul qu’il ne l’a jamais été.
Soudain, alors que j’étais perdue dans ces souvenirs lointains et funestes, la voiture se stoppe à l’angle de Greenwood et Lake avenue. La tension monte en moi et ma gorge se ressert alors que j’évacue un large soupire que je ne pensais pas contenir en moi. Les yeux toujours fixés vers les allées du cimetière, je sens une main sensée me réconfortée se poser sur mon épaule.
… : Tu es sure que tu ne veux pas que je t’accompagne ?
Je tourne enfin ma tête du côté conducteur hochant la tête et arborant un sourire quelque peu forcé.
S : Je dois le faire seule.
… : Bien. Comme tu veux.
S (hottant sa ceinture de sécurité): J’en ai pour quelques minutes seulement. (après un léger silence et avant de sortir du véhicule, le regardant profondément dans les yeux) Merci Bruce.
Il me retourne ce même sourire, comprenant parfaitement mes raisons et ne cherchant pas à insister plus longtemps avant que je ne claque la portière pour me tourner vers les centaines de tombes exposées devant moi comme de vulgaire cailloux entassés ici et là par la main de l’homme dans le but d’honorer ses proches. J’évacue un soupire avant d’entamer une marche assez lente en direction de la tombe où il repose.
La robe noire en satin que j’ai choisie de porter, faite d’épaisses bretelles et descendant sous mes genoux, glisse sur mes jambes au fur et à mesure de mes pas et, sans pour autant qu’elle ne soit soulevée par la moindre brise de vent, elle me donne une impression de légèreté alors que mon cœurs est lourd et que mes yeux commencent à s’humidifier.
Finalement j’arrive jusqu’à ta tombe où sont écrits ton nom et ton prénom, et comme pour me prouver que tout ceci est bien réel, je m’agenouille pour toucher la pierre froide sous laquelle ton corps est étendu. L’une de mes larmes tombe sur ma joue mais je viens rapidement l’essuyer avec la paume de ma main.
S : Je (s’éclaircissant la gorge)… Je suis désolée. J’aurai dû venir te voir plus tôt mais… mais je n’ai pas pu.
Le silence autour de moi pèse encore plus sur le poids de mes mots et un énorme sentiment de culpabilité envahi mon esprit à cet instant précis.
S (souriant de manière forcée) : Je n’arrive pas à croire que tu sois là. Si tu savais comme tu me manques… Tout est de ma faute, je suis désolée.
Je clos les yeux un moment et les souvenirs des mois passés me reviennent en mémoire venant alourdir ma peine.
S (étouffant un sanglot) : Si Seulement… Si seulement je n’avais pas laissé cette foutue porte ouverte, rien de tout ça ne serait arrivé. Tout est ma faute. J’espère que tu peux me pardonner. Je n’ai jamais voulu… Je n’ai jamais pensé que… que tout ça puisse arriver. Je ne pensais pas qu’on se verrait un jour pris dans une spirale comme celle-ci sans aucun moyen pour s’en sortir. Je sais que les choses n’ont pas toujours étaient simples entre nous. Tellement de mensonges… Et je m’en veux d’autant plus que les choses commençaient enfin à marcher normalement. Il y avait vraiment quelque chose en train de s’installer quand ils t’ont pris à moi… (après un instant de silence) Mais surtout je m’en veux d’avoir une petite partie au fond de moi qui ne regrette pas ce qui s’est passé car sans ça, je ne connaitrai pas le bonheur qu’il m’apportera, j’en suis convaincue… (soupirant) Oh comme j’aurai aimé que tu le connaisses…
Je me relève fixant encore une fois la pierre tombale comme pour la graver dans ma mémoire et mes yeux se ferment lorsque j’entends quelques pas derrière moi accompagnés d’une légère brise qui fait se soulever quelques feuilles ocre et dorées sur son passage. Une main vient se poser contre mon coude gauche et je sens ses doigts descendre délicatement par une caresse très légère jusqu’à mon poignet.
… : Sara.
Sa voix douce et rassurante me fait frissonner sous ces derniers jours d’été. J’ouvre les yeux fixant à nouveau la pierre tombale qui se dresse fièrement devant moi pour y lire à nouveau les quelques lettres de ton nom comme pour me convaincre que tout ceci est bien la réalité. « Frank Tancredi
7 mars 1945 – 1er juin 2005 ».
Je me tourne vers lui reniflant et essuyant mes larmes au passage pour lui adresser un léger sourire quand je vois quelques reflets d’inquiétude sur son visage. Les mêmes traits que ceux qui ornent mon visage depuis un peu plus de trois mois. Ceux qui l’ont accompagné dans l’ambulance qui l’a amené jusqu’à l’hôpital le plus proche, ma main constamment dans la sienne, sentant son poult s’affaiblir de plus en plus. Un sentiment d’inquiétude qui ne me quittait pas quand nous attentions qu’il sorte de la salle d’opération, faisant les cent pas d’un bout à l’autre de la salle, ingurgitant des tonnes de caféines, le tout dans un silence pesant. Une expression qui s’est intensifié quand le médecin est venu me dire qu’il était vivant mais trop faible et qu’ils avaient dû le placer dans un état comatique en attendant qu’il aille mieux. L’attente et l’espoir toujours présent mais de plus en plus faible quand pendant presque deux mois LJ, Lincoln et moi sommes venus lui rendre visite à l’hôpital alors qu’il était toujours inconscient et que le pays en dehors était en plein désordre confronté à l’avènement de deux frères qui s’étaient érigés au péril de leurs vies contre les conspirations du gouvernement. Mais enfin, un matin à la fin du mois d’Août, la chance nous a souri.
Flash back :
Comme chaque jour me voilà passant les portes de l’hôpital, les yeux fatigués et cernés mais tentant de les dissimilés sous un peu de maquillage pour paraitre présentable. Un grand café à la main, j’avance le long des couloirs, saluant timidement les infirmières du service de réanimation que je commence à mieux connaître, mais gardant la tête baissée comme si la probabilité d’être suivie ne pouvait plus me quitter, ainsi que pour éviter les éventuels paparazzis qui traineraient dans le coin.
En arrivant face à la chambre 444, j’adresse un bref sourire au gardien chargé de surveiller la chambre de Michael. Un suivi que j’ai d’abord pris comme un affront, ne supportant pas qu’après tout ce qu’il ait dû traverser le gouvernement ne puisse toujours pas lui foutre la paix, avant de le considérer comme un moyen de le protéger des journalistes en quête du moindre scoop, de la moindre photo de Michael Scofield inconscient dans un lit d’hôpital, ou encore d’éventuels partisans des actes meurtrier orchestrés par la Compagnie.
L’affaire est partout depuis l’arrestation de Michael et son envoi à Sona. Quand il était incarcéré nous avions fait en sorte d’alerter les médias pour voir la population se joindre à nos côtés et envisager la libération de Michael sans aucunes charges. Depuis qu’il a été blessé, on entend plus que parler de ça et de la canicule qui fait rage sur le pays. Avec l’arrestation du Général Padman, et les informations fournies par Gretchen qui avait réussi à s’infiltrer au sein du système mais que ses supérieurs croyaient avoir perdu, ont a pu démanteler la Compagnie. Tous ceux qui ont contribués de près ou de loin à ces actes terribles sont maintenant derrière les barreaux dans l’attente d’un procès qui devrait être l’affaire du siècle dès que le principal intéressé se décidera à se réveiller.
Prenant une grande inspiration je pose ma main libre contre la poignée de la porte, m’apprêtant à vivre une nouvelle journée à ses côtés à lui parler, à le regarder dormir de cet air si paisible qui m’a si souvent calmé et quand enfin Lincoln arriverait, apprendre à découvrir Michael un peu plus chaque jour sous les yeux de son frère et de son neveu avant que la chambre ne se transforme en véritable quartier général pour sa libération. Etant toujours accusé des actes qu’il a commis pour libérer Lincoln, dans un premier temps le principal sujet de conversation a été de trouver l’argent suffisant pour payer sa caution qui s’élevait à 500 000 dollars, pour lui éviter d’être envoyer en prison dès son réveil. L’affaire fut vite réglée quand j’ai pu signer les derniers papiers du notaire pour toucher l’héritage que mon père avait laissé derrière lui, quand j’ai revendu mon appartement et que grâce à quelques amis investisseurs de Bruce, nous avons trouvés les fonts qui nous manquaient. Aujourd’hui, entourés de nos avocats nous débattons principalement de la stratégie à appliquer pour son procès.
Le cœur battant, un sentiment étrange envahit mon esprit alors que je m’apprête à ouvrir la porte et que j’entends une voix qui ressemble à celle de Lincoln provenir de l’intérieur. Ma respiration s’accélère et une angoisse commence à monter en moi. Lincoln n’arrive jamais le premier : il s’est passé quelque chose.
J’ouvre la porte dans un mouvement second la peur au ventre et certainement pas prête à entendre de mauvaises nouvelles quand je vois dans un premier temps Lincoln se retourner vers moi, le sourire au visage, me posant mille questions puis à ses côtés, Michael assis dans son lit et bien éveillé, le teint encore un peu pale mais surtout : réveillé.
L : Sara où étais tu ? Ca fait une heure que je n’arrête pas de t’appeler. Ton portable est toujours sur messagerie.
Pendant une seconde qui me parait une éternité je reste statique n’écoutant même plus la voix de Lincoln pour me perdre dans les yeux de Michael. Ses yeux que je n’avais pas vus depuis presque deux mois et que pourtant je n’avais pas oubliés. Et finalement alors que quelques larmes commencent à envahir mes joues, je me précipite dans ses bras.
M (dans un murmure) : Sara…
Fin du flash back
M : Sara ?
S (reprenant ses esprits) : Hein ? heu… je vais bien Michael.
M : Bruce m’a dit que tu étais là, mais si tu préfères être seule…
S : Non… reste avec moi.
M (toujours inquiet) : Tu es sure que ça va ?
S (s’efforçant de redoubler son sourire) : Oui je t’assure. Il me manque et j’ai encore du mal à croire qu’il ne soit plus là c’est tout.
M : …
S : Et puis d’abord, ça devrait plutôt être à moi de te demander comment tu vas « Monsieur j’ai pris une balle en plein thorax suivit de deux mois de coma ».
M : Ca va.
S (ironique) : Hum hum… et tu penses que tu peux faire encore plus évasif ?
M : Je vais bien. La blessure cicatrice parfaitement. Finalement le kiné m’a dit que je n’avais pas besoin de plus de rééducation.
S : Je suis désolée de ne pas être venu avec toi à l’hôpital.
M : Ce n’est pas grave Sara. Tu étais à mes côtés pendant trois mois alors si un matin tu ressens le besoin d’aller rendre visite à ton père au cimetière je comprends parfaitement. (riant) Et puis si on dit que les médecins font de mauvais patients, ils font encore de plus mauvais soutient pour les patients. Pourquoi crois-tu que je suis resté à dormir pendant deux mois ?
S (le frappant doucement à l’épaule avec un air faussement méchant) : Scofield fais gaffe à toi.
M : Aïe.
S (reprenant son sérieux) : Ce que je voulais dire c’est que peut être j’aurais dû être là avec toi, c’est peut être notre dernier jours ensemble.
M (baissant la tête) : …
S (voyant qu’il évite son regard) : Tu as peur ?
Ils relèvent rapidement la tête confrontant mon regard avec un air blessé dans les yeux ne supportant pas qu’il puisse avoir peur de quelque chose et encore moins que je le sache. Il a beau être Michael Scofield, sensible, drôle, intelligent et prêt à tous pour ceux qu’il aime, il n’en est pas moins un homme avec un égo et des doutes.
S : Quoi qu’il arrive Michael, je t’attendrai.
Je peux lire dans ses yeux un regard soulagé et qui ne me comprend que trop bien. On a vécu trop de drame mais maintenant que tout est sur le point de se terminer, nous ferons tout notre possible pour reconstruire notre vie ensemble et créer la famille qu’on a jamais vraiment eu. Cet après-midi le verdict du procès sera rendu et nous connaîtrons enfin la sentence qui nous est réservé.
quoi ????? mais vous croyez tout de même pas que j'allais tuer Michael ??? bon ok j'adoooore les histoire triste et celles qui finissent mal sont souvent mes préférés mais bon... a quoi bon finir une fic d'autant de chapitre comme ça ??? oui ok ça donne de l'intensité mais bon je suis sure que personne ne m'en veut de ne pas l'avoir fais mourir me trompe-je ??? et puis en plus : MISAAA POWAAA !!!!
bon sinon voici la suite avec enfin le verdict : EST CE QUE MICHAEL EST MORT ?????
ou ????
bref, j'ai eu éneromément de mal à écrire la fin donc j'espère que ça vous plaire quand même !!!
edit à mélina : t'es sure que t'avais lu la dernière ???
https://www.youtube.com/watch?v=lWwFXH2NPJE
Chapitre 19 : Révélations.
(Trois mois plus tard soit début octobre – pensées de Sara)
Accoudée contre la fenêtre entre-ouverte du côté passager de la voiture, laissant flotter quelques mèches de cheveux dans le vent, je ressens enfin les prémisses d’un changement de temps. L’air lourd, parfois quasiment suffoquant, de l’été très sec que nous venons de vivre, commence enfin à arriver à son terme. Un changement attendu par tous les américains qui n’avaient pas connus un été aussi chaud et caniculaire depuis fort longtemps, mais aussi attendu de nous tous comme le tournant vers un nouveau chapitre. Le passage d’une vie qui s’achève, pleine de douleurs et de souffrances, pour laisser place à l’espoir d’un lendemain à reconstruire.
Le soleil, qui est encore très haut dans les rues de Chicago, illumine mon visage et le couvre d’une chaleur qui m’emplit d’une sensation de bien-être. Mais pourtant à la pensée du lieu vers lequel nous nous dirigeons, une larme pleine de nostalgie et de remord coule fraichement sur ma joue gauche. Un sentiment aigre-doux à l’assimilation de ces deux contradictions pour un endroit que j’ai évité bien trop souvent ces derniers temps sans vraiment savoir pourquoi, alors que pendant tellement d’années, j’y avais trouvé mon refuge.
Par la vitre j’observe les allées de pierres marbrées du Greceland Cemetery Chapel qui s’étendent de manière parfaitement rectiligne à mes côtés. Je ferme alors les yeux l’espace d’un instant pour me retrouver enfant lors de l’enterrement de ma mère, debout face à cette assemblée en costume sombre, où mes yeux emplis de larmes n’avaient pas le droit de couler. « Tu n’es plus une petite fille Sara. On attend de la fille du maire de Chicago d’avoir un comportement conforme à la position sociale qui lui est attribuée. Soit digne Sara et ne pleure pas ». J’entends encore les mots de mon père raisonner dans ma tête alors qu’une véritable déchirure vient de se créer dans mon cœur. J’ouvre les yeux. Ces dalles droites et fières défilent sans jamais pouvoir s’arrêter et me font penser à la prestance que tenait mon père le jour de l’enterrement de ma mère. C’est à peine si je pouvais lire une once de tristesse dans ses yeux alors qu’un air hautain et dédaigneux ornait son visage lorsque, tentant de glisser ma main dans la sienne, il me rejetait sévèrement. Mais sous ses sentiments renfermés et cachés au plus profond de lui-même, se trouvait un homme veuf et plus seul qu’il ne l’a jamais été.
Soudain, alors que j’étais perdue dans ces souvenirs lointains et funestes, la voiture se stoppe à l’angle de Greenwood et Lake avenue. La tension monte en moi et ma gorge se ressert alors que j’évacue un large soupire que je ne pensais pas contenir en moi. Les yeux toujours fixés vers les allées du cimetière, je sens une main sensée me réconfortée se poser sur mon épaule.
… : Tu es sure que tu ne veux pas que je t’accompagne ?
Je tourne enfin ma tête du côté conducteur hochant la tête et arborant un sourire quelque peu forcé.
S : Je dois le faire seule.
… : Bien. Comme tu veux.
S (hottant sa ceinture de sécurité): J’en ai pour quelques minutes seulement. (après un léger silence et avant de sortir du véhicule, le regardant profondément dans les yeux) Merci Bruce.
Il me retourne ce même sourire, comprenant parfaitement mes raisons et ne cherchant pas à insister plus longtemps avant que je ne claque la portière pour me tourner vers les centaines de tombes exposées devant moi comme de vulgaire cailloux entassés ici et là par la main de l’homme dans le but d’honorer ses proches. J’évacue un soupire avant d’entamer une marche assez lente en direction de la tombe où il repose.
La robe noire en satin que j’ai choisie de porter, faite d’épaisses bretelles et descendant sous mes genoux, glisse sur mes jambes au fur et à mesure de mes pas et, sans pour autant qu’elle ne soit soulevée par la moindre brise de vent, elle me donne une impression de légèreté alors que mon cœurs est lourd et que mes yeux commencent à s’humidifier.
Finalement j’arrive jusqu’à ta tombe où sont écrits ton nom et ton prénom, et comme pour me prouver que tout ceci est bien réel, je m’agenouille pour toucher la pierre froide sous laquelle ton corps est étendu. L’une de mes larmes tombe sur ma joue mais je viens rapidement l’essuyer avec la paume de ma main.
S : Je (s’éclaircissant la gorge)… Je suis désolée. J’aurai dû venir te voir plus tôt mais… mais je n’ai pas pu.
Le silence autour de moi pèse encore plus sur le poids de mes mots et un énorme sentiment de culpabilité envahi mon esprit à cet instant précis.
S (souriant de manière forcée) : Je n’arrive pas à croire que tu sois là. Si tu savais comme tu me manques… Tout est de ma faute, je suis désolée.
Je clos les yeux un moment et les souvenirs des mois passés me reviennent en mémoire venant alourdir ma peine.
S (étouffant un sanglot) : Si Seulement… Si seulement je n’avais pas laissé cette foutue porte ouverte, rien de tout ça ne serait arrivé. Tout est ma faute. J’espère que tu peux me pardonner. Je n’ai jamais voulu… Je n’ai jamais pensé que… que tout ça puisse arriver. Je ne pensais pas qu’on se verrait un jour pris dans une spirale comme celle-ci sans aucun moyen pour s’en sortir. Je sais que les choses n’ont pas toujours étaient simples entre nous. Tellement de mensonges… Et je m’en veux d’autant plus que les choses commençaient enfin à marcher normalement. Il y avait vraiment quelque chose en train de s’installer quand ils t’ont pris à moi… (après un instant de silence) Mais surtout je m’en veux d’avoir une petite partie au fond de moi qui ne regrette pas ce qui s’est passé car sans ça, je ne connaitrai pas le bonheur qu’il m’apportera, j’en suis convaincue… (soupirant) Oh comme j’aurai aimé que tu le connaisses…
Je me relève fixant encore une fois la pierre tombale comme pour la graver dans ma mémoire et mes yeux se ferment lorsque j’entends quelques pas derrière moi accompagnés d’une légère brise qui fait se soulever quelques feuilles ocre et dorées sur son passage. Une main vient se poser contre mon coude gauche et je sens ses doigts descendre délicatement par une caresse très légère jusqu’à mon poignet.
… : Sara.
Sa voix douce et rassurante me fait frissonner sous ces derniers jours d’été. J’ouvre les yeux fixant à nouveau la pierre tombale qui se dresse fièrement devant moi pour y lire à nouveau les quelques lettres de ton nom comme pour me convaincre que tout ceci est bien la réalité. « Frank Tancredi
7 mars 1945 – 1er juin 2005 ».
Je me tourne vers lui reniflant et essuyant mes larmes au passage pour lui adresser un léger sourire quand je vois quelques reflets d’inquiétude sur son visage. Les mêmes traits que ceux qui ornent mon visage depuis un peu plus de trois mois. Ceux qui l’ont accompagné dans l’ambulance qui l’a amené jusqu’à l’hôpital le plus proche, ma main constamment dans la sienne, sentant son poult s’affaiblir de plus en plus. Un sentiment d’inquiétude qui ne me quittait pas quand nous attentions qu’il sorte de la salle d’opération, faisant les cent pas d’un bout à l’autre de la salle, ingurgitant des tonnes de caféines, le tout dans un silence pesant. Une expression qui s’est intensifié quand le médecin est venu me dire qu’il était vivant mais trop faible et qu’ils avaient dû le placer dans un état comatique en attendant qu’il aille mieux. L’attente et l’espoir toujours présent mais de plus en plus faible quand pendant presque deux mois LJ, Lincoln et moi sommes venus lui rendre visite à l’hôpital alors qu’il était toujours inconscient et que le pays en dehors était en plein désordre confronté à l’avènement de deux frères qui s’étaient érigés au péril de leurs vies contre les conspirations du gouvernement. Mais enfin, un matin à la fin du mois d’Août, la chance nous a souri.
Flash back :
Comme chaque jour me voilà passant les portes de l’hôpital, les yeux fatigués et cernés mais tentant de les dissimilés sous un peu de maquillage pour paraitre présentable. Un grand café à la main, j’avance le long des couloirs, saluant timidement les infirmières du service de réanimation que je commence à mieux connaître, mais gardant la tête baissée comme si la probabilité d’être suivie ne pouvait plus me quitter, ainsi que pour éviter les éventuels paparazzis qui traineraient dans le coin.
En arrivant face à la chambre 444, j’adresse un bref sourire au gardien chargé de surveiller la chambre de Michael. Un suivi que j’ai d’abord pris comme un affront, ne supportant pas qu’après tout ce qu’il ait dû traverser le gouvernement ne puisse toujours pas lui foutre la paix, avant de le considérer comme un moyen de le protéger des journalistes en quête du moindre scoop, de la moindre photo de Michael Scofield inconscient dans un lit d’hôpital, ou encore d’éventuels partisans des actes meurtrier orchestrés par la Compagnie.
L’affaire est partout depuis l’arrestation de Michael et son envoi à Sona. Quand il était incarcéré nous avions fait en sorte d’alerter les médias pour voir la population se joindre à nos côtés et envisager la libération de Michael sans aucunes charges. Depuis qu’il a été blessé, on entend plus que parler de ça et de la canicule qui fait rage sur le pays. Avec l’arrestation du Général Padman, et les informations fournies par Gretchen qui avait réussi à s’infiltrer au sein du système mais que ses supérieurs croyaient avoir perdu, ont a pu démanteler la Compagnie. Tous ceux qui ont contribués de près ou de loin à ces actes terribles sont maintenant derrière les barreaux dans l’attente d’un procès qui devrait être l’affaire du siècle dès que le principal intéressé se décidera à se réveiller.
Prenant une grande inspiration je pose ma main libre contre la poignée de la porte, m’apprêtant à vivre une nouvelle journée à ses côtés à lui parler, à le regarder dormir de cet air si paisible qui m’a si souvent calmé et quand enfin Lincoln arriverait, apprendre à découvrir Michael un peu plus chaque jour sous les yeux de son frère et de son neveu avant que la chambre ne se transforme en véritable quartier général pour sa libération. Etant toujours accusé des actes qu’il a commis pour libérer Lincoln, dans un premier temps le principal sujet de conversation a été de trouver l’argent suffisant pour payer sa caution qui s’élevait à 500 000 dollars, pour lui éviter d’être envoyer en prison dès son réveil. L’affaire fut vite réglée quand j’ai pu signer les derniers papiers du notaire pour toucher l’héritage que mon père avait laissé derrière lui, quand j’ai revendu mon appartement et que grâce à quelques amis investisseurs de Bruce, nous avons trouvés les fonts qui nous manquaient. Aujourd’hui, entourés de nos avocats nous débattons principalement de la stratégie à appliquer pour son procès.
Le cœur battant, un sentiment étrange envahit mon esprit alors que je m’apprête à ouvrir la porte et que j’entends une voix qui ressemble à celle de Lincoln provenir de l’intérieur. Ma respiration s’accélère et une angoisse commence à monter en moi. Lincoln n’arrive jamais le premier : il s’est passé quelque chose.
J’ouvre la porte dans un mouvement second la peur au ventre et certainement pas prête à entendre de mauvaises nouvelles quand je vois dans un premier temps Lincoln se retourner vers moi, le sourire au visage, me posant mille questions puis à ses côtés, Michael assis dans son lit et bien éveillé, le teint encore un peu pale mais surtout : réveillé.
L : Sara où étais tu ? Ca fait une heure que je n’arrête pas de t’appeler. Ton portable est toujours sur messagerie.
Pendant une seconde qui me parait une éternité je reste statique n’écoutant même plus la voix de Lincoln pour me perdre dans les yeux de Michael. Ses yeux que je n’avais pas vus depuis presque deux mois et que pourtant je n’avais pas oubliés. Et finalement alors que quelques larmes commencent à envahir mes joues, je me précipite dans ses bras.
M (dans un murmure) : Sara…
Fin du flash back
M : Sara ?
S (reprenant ses esprits) : Hein ? heu… je vais bien Michael.
M : Bruce m’a dit que tu étais là, mais si tu préfères être seule…
S : Non… reste avec moi.
M (toujours inquiet) : Tu es sure que ça va ?
S (s’efforçant de redoubler son sourire) : Oui je t’assure. Il me manque et j’ai encore du mal à croire qu’il ne soit plus là c’est tout.
M : …
S : Et puis d’abord, ça devrait plutôt être à moi de te demander comment tu vas « Monsieur j’ai pris une balle en plein thorax suivit de deux mois de coma ».
M : Ca va.
S (ironique) : Hum hum… et tu penses que tu peux faire encore plus évasif ?
M : Je vais bien. La blessure cicatrice parfaitement. Finalement le kiné m’a dit que je n’avais pas besoin de plus de rééducation.
S : Je suis désolée de ne pas être venu avec toi à l’hôpital.
M : Ce n’est pas grave Sara. Tu étais à mes côtés pendant trois mois alors si un matin tu ressens le besoin d’aller rendre visite à ton père au cimetière je comprends parfaitement. (riant) Et puis si on dit que les médecins font de mauvais patients, ils font encore de plus mauvais soutient pour les patients. Pourquoi crois-tu que je suis resté à dormir pendant deux mois ?
S (le frappant doucement à l’épaule avec un air faussement méchant) : Scofield fais gaffe à toi.
M : Aïe.
S (reprenant son sérieux) : Ce que je voulais dire c’est que peut être j’aurais dû être là avec toi, c’est peut être notre dernier jours ensemble.
M (baissant la tête) : …
S (voyant qu’il évite son regard) : Tu as peur ?
Ils relèvent rapidement la tête confrontant mon regard avec un air blessé dans les yeux ne supportant pas qu’il puisse avoir peur de quelque chose et encore moins que je le sache. Il a beau être Michael Scofield, sensible, drôle, intelligent et prêt à tous pour ceux qu’il aime, il n’en est pas moins un homme avec un égo et des doutes.
S : Quoi qu’il arrive Michael, je t’attendrai.
Je peux lire dans ses yeux un regard soulagé et qui ne me comprend que trop bien. On a vécu trop de drame mais maintenant que tout est sur le point de se terminer, nous ferons tout notre possible pour reconstruire notre vie ensemble et créer la famille qu’on a jamais vraiment eu. Cet après-midi le verdict du procès sera rendu et nous connaîtrons enfin la sentence qui nous est réservé.
quoi ????? mais vous croyez tout de même pas que j'allais tuer Michael ??? bon ok j'adoooore les histoire triste et celles qui finissent mal sont souvent mes préférés mais bon... a quoi bon finir une fic d'autant de chapitre comme ça ??? oui ok ça donne de l'intensité mais bon je suis sure que personne ne m'en veut de ne pas l'avoir fais mourir me trompe-je ??? et puis en plus : MISAAA POWAAA !!!!
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
Ouuuuuuuuuuuuuuuuui MISA POWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Troooooooooooooooooooop bien
Je savais que tu pourrais pas le faire mourir
Troooooooooooooooooooop bien
Je savais que tu pourrais pas le faire mourir
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
non mais j'ai cru que mon coeur allait s'arrêter et ça plus d'une fois
mais ouf MICHAEL EST EN VIE
Sara qui est toute triste d'aller au cimetière voir la pierre tombale de son père
Michael qui est resté dans le coma pendant 2 mois mais ça va mieux et ils attendent impatiemment le verdict
et moi aussi
bon ma mili, je sais que je le dit à chaque chapitres, mais c'est vraiment trop bien écrit et là t'as fait durer le suspense un bon moment
bon courage pour ton RDV et bon séjour chez Mickey
à bientôt avec du MISA
gros
mais ouf MICHAEL EST EN VIE
Sara qui est toute triste d'aller au cimetière voir la pierre tombale de son père
Michael qui est resté dans le coma pendant 2 mois mais ça va mieux et ils attendent impatiemment le verdict
et moi aussi
bon ma mili, je sais que je le dit à chaque chapitres, mais c'est vraiment trop bien écrit et là t'as fait durer le suspense un bon moment
bon courage pour ton RDV et bon séjour chez Mickey
à bientôt avec du MISA
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3830
Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: Strong and Alive_Fic MiSa saison 3 [MAJ p 37]
Magnifique cette suite!!!
Emouvant moment quand Sara va au cimetiére
Et la scéne Misa elle était trés !!!
J'adore ta fic même si je ne laisse pas souvent de coms je continue à la lire !!!!
Continue c'est géniale
bious
Emouvant moment quand Sara va au cimetiére
Et la scéne Misa elle était trés !!!
J'adore ta fic même si je ne laisse pas souvent de coms je continue à la lire !!!!
Continue c'est géniale
bious
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