L'amant
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: L'amant
suite auj...
siam- Compagnon de Cellule de Michael
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Age : 37
Localisation : organise le rapt de went...
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: L'amant
Supeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeer
Je bouge plus de devant mon ordi jusqu'à la suite , en espérant qu'elle ne tarde pas trop
Je bouge plus de devant mon ordi jusqu'à la suite , en espérant qu'elle ne tarde pas trop
Re: L'amant
Bon la suite, je suis désolée pour l'attente mais pour l'instant ce sont vraiment des passages bouche-trous, alors c'est un peu une corvée...surtout que je n'en suis pas particulièrement fière!
Il ne vous reste plus qu'à lire.
Sara
Je suis avec Michael. Une de nos dernières entrevues. Après notre rendez-vous, il ne me restera plus qu’à présenter notre projet au Conseil d’Administration, et si j’ai leur aval, les travaux pourront commencer.
Fini les réunions hebdomadaires avec l’ingénieur.
J’ai du mal à l’admettre mais j’avoue que ça va me manquer nos petits flirts à peine déguisés.
Les plans sont parfaits et remplissent toutes les charges. Il ne me reste plus qu’à le raccompagner jusqu’à la porte et il sortira de ma vie.
Comme toujours il est poli, joli, attentionné et me gratifie d’un sourire fondant.
Il me dit que nous pouvons être fiers du travail abattu et qu’il n’a aucun doute concernant le succès de mon projet.
Il me serre la main un peu trop longtemps et se penche pour m’embrasser sur la joue. Je peux bien lui allouer ça, non ? Après tout je ne vais presque plus le revoir. Mais à l’instant où ses lèvres touchent ma joue, un frisson m’envahit et le désir se met à crépiter sous ma peau.
A ce moment là John est relégué au fin fond de mon esprit et peu importe l’heure ou l’endroit il faut que je prolonge ces adieux. A tout prix.
Alors je tourne la tête et ses lèvres se déposent sur les miennes. Le baiser est profond et doux. Lent mais érotique. Je me pends à son cou et j’approfondis encore ce baiser.
Et la situation dérape, à une vitesse folle, elle m’échappe. Et je suis entrain d’attribuer une toute nouvelle fonction à mon bureau.
Mais c’est alors qu’il s’écarte de moi…
Michael
Elle est devant moi, avec une lueur de défi dans le regard, plus désirable que jamais. Elle s’offre à moi.
Elle m’offre tout ce dont je rêve…mais pas comme ça.
Je ne veux pas d’une étreinte à la sauvette.
M- Même si dès que j’aurai franchi cette porte je vais me maudire, je ne peux pas Sara. J’ai déjà cédé une fois et encore aujourd’hui, à chaque fois que je te vois, j’ai ces flash qui m’assaillent, la sensation de ta peau sous mes doigts.
Ne te méprends pas, j’en ai envie, tellement envie que je ne marche plus droit, mais si ça ne me mène pas plus loin que la dernière fois alors, pour la survie de ma santé mentale, je me vois contraint de refuser.
S- Alors pars
M- C’est ce que je vais faire, mais tu n’es pas débarrassée de moi pour autant. J’espère plus pour nous deux.
S- N’espère pas trop Michael, j’aime John et il ne se passera jamais plus que ce que j’étais prête à t’offrir.
M- Il ne faut jamais dire jamais. Au revoir Sara.
Sara
Je vois cette porte se refermer sur lui, et je fulmine.
Je suis vexée d’avoir été repoussée, mais le pire c’est la frustration qui se dévide dans mon être.
Alors que je devrai être terrassée par la culpabilité d’avoir voulu tromper John, encore, et soulagée de ne pas l’avoir fait, je ne peux m’empêcher de le maudire pour avoir été un parfait gentleman, pour avoir été si parfaitement lui et de me laisser dans cet état d’excitation sans qu’il y ait mis fin.
J’imagine ce qu’aurait pu être cette nouvelle étreinte et ma peau commence à réagir aux réminiscences de nos derniers ébats. Ses mains sur moi, là,ici, et encore là, sur mon ventre, sur mes cuisses, dans mon dos, sur mon cou, beaucoup trop de mains à beaucoup trop d’endroits.
Un plaisir tentaculaire.
Je ferai mieux d’arrêter ça tout de suite ou je vais devenir cinglée. Et puis qu’est ce qu’il a à tout compliquer comme ça? Il ne peut pas se comporter comme l’archétype du goujat? Accepter toute partie de jambes en l’air qui se présente à lui et surtout, surtout, arrêter de tout compliquer avec des sentiments?
.
Il ne vous reste plus qu'à lire.
Sara
Je suis avec Michael. Une de nos dernières entrevues. Après notre rendez-vous, il ne me restera plus qu’à présenter notre projet au Conseil d’Administration, et si j’ai leur aval, les travaux pourront commencer.
Fini les réunions hebdomadaires avec l’ingénieur.
J’ai du mal à l’admettre mais j’avoue que ça va me manquer nos petits flirts à peine déguisés.
Les plans sont parfaits et remplissent toutes les charges. Il ne me reste plus qu’à le raccompagner jusqu’à la porte et il sortira de ma vie.
Comme toujours il est poli, joli, attentionné et me gratifie d’un sourire fondant.
Il me dit que nous pouvons être fiers du travail abattu et qu’il n’a aucun doute concernant le succès de mon projet.
Il me serre la main un peu trop longtemps et se penche pour m’embrasser sur la joue. Je peux bien lui allouer ça, non ? Après tout je ne vais presque plus le revoir. Mais à l’instant où ses lèvres touchent ma joue, un frisson m’envahit et le désir se met à crépiter sous ma peau.
A ce moment là John est relégué au fin fond de mon esprit et peu importe l’heure ou l’endroit il faut que je prolonge ces adieux. A tout prix.
Alors je tourne la tête et ses lèvres se déposent sur les miennes. Le baiser est profond et doux. Lent mais érotique. Je me pends à son cou et j’approfondis encore ce baiser.
Et la situation dérape, à une vitesse folle, elle m’échappe. Et je suis entrain d’attribuer une toute nouvelle fonction à mon bureau.
Mais c’est alors qu’il s’écarte de moi…
Michael
Elle est devant moi, avec une lueur de défi dans le regard, plus désirable que jamais. Elle s’offre à moi.
Elle m’offre tout ce dont je rêve…mais pas comme ça.
Je ne veux pas d’une étreinte à la sauvette.
M- Même si dès que j’aurai franchi cette porte je vais me maudire, je ne peux pas Sara. J’ai déjà cédé une fois et encore aujourd’hui, à chaque fois que je te vois, j’ai ces flash qui m’assaillent, la sensation de ta peau sous mes doigts.
Ne te méprends pas, j’en ai envie, tellement envie que je ne marche plus droit, mais si ça ne me mène pas plus loin que la dernière fois alors, pour la survie de ma santé mentale, je me vois contraint de refuser.
S- Alors pars
M- C’est ce que je vais faire, mais tu n’es pas débarrassée de moi pour autant. J’espère plus pour nous deux.
S- N’espère pas trop Michael, j’aime John et il ne se passera jamais plus que ce que j’étais prête à t’offrir.
M- Il ne faut jamais dire jamais. Au revoir Sara.
Sara
Je vois cette porte se refermer sur lui, et je fulmine.
Je suis vexée d’avoir été repoussée, mais le pire c’est la frustration qui se dévide dans mon être.
Alors que je devrai être terrassée par la culpabilité d’avoir voulu tromper John, encore, et soulagée de ne pas l’avoir fait, je ne peux m’empêcher de le maudire pour avoir été un parfait gentleman, pour avoir été si parfaitement lui et de me laisser dans cet état d’excitation sans qu’il y ait mis fin.
J’imagine ce qu’aurait pu être cette nouvelle étreinte et ma peau commence à réagir aux réminiscences de nos derniers ébats. Ses mains sur moi, là,ici, et encore là, sur mon ventre, sur mes cuisses, dans mon dos, sur mon cou, beaucoup trop de mains à beaucoup trop d’endroits.
Un plaisir tentaculaire.
Je ferai mieux d’arrêter ça tout de suite ou je vais devenir cinglée. Et puis qu’est ce qu’il a à tout compliquer comme ça? Il ne peut pas se comporter comme l’archétype du goujat? Accepter toute partie de jambes en l’air qui se présente à lui et surtout, surtout, arrêter de tout compliquer avec des sentiments?
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siam- Compagnon de Cellule de Michael
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Localisation : organise le rapt de went...
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Re: L'amant
alors je ne l'ai pas encore lu en entière mais comment résister à lire le dernier chapitre posté
alors voilà c'est finit ils ne vont plus travailler ensemble
Sara qui a essayé d'aller plus loin mais Michael l'a repoussé, comme un gentleman , comment pêut elle aimer son mari et avoir tellement envie d'un autre homme
oui c'est Michael c'est normal
sinon j'espère que tu vas bientôt poster la suite avec évidement une nouvelle rencontre et pas professionnelle
alors voilà c'est finit ils ne vont plus travailler ensemble
Sara qui a essayé d'aller plus loin mais Michael l'a repoussé, comme un gentleman , comment pêut elle aimer son mari et avoir tellement envie d'un autre homme
oui c'est Michael c'est normal
sinon j'espère que tu vas bientôt poster la suite avec évidement une nouvelle rencontre et pas professionnelle
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Date d'inscription : 02/12/2007
Re: L'amant
c'est toujours aussi bien Siam!!
le passage bouche trou comme tu l'appelles est plein d'intensité et toujours très bien écrit (comme d'hab).
J'ai adoré la réaction de Michael.
Vivement la suite!!!
le passage bouche trou comme tu l'appelles est plein d'intensité et toujours très bien écrit (comme d'hab).
J'ai adoré la réaction de Michael.
Vivement la suite!!!
KYLEA- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: L'amant
j'adore... tu écris divinement bien...
sam- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Date d'inscription : 14/10/2006
Re: L'amant
alala jadore la reaction de mick!!!!
ca fait trop plezir de te relire
gro
vite la suite stp
ca fait trop plezir de te relire
gro
vite la suite stp
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: L'amant
oh!!!! encore siam je t'en pris... ENCORE!!!
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: L'amant
la signature de Mélina m'empeche de descendre complétement la page précédente et donc de lire la suite de ta fic
stpMélina tu peux revérifier ta signature
stpMélina tu peux revérifier ta signature
super_cc- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Date d'inscription : 20/11/2006
Re: L'amant
Il a du se faire violence pour la repousser Michael.
Encore une suite écrite à merveille.
Je t'en prie ne nous fait pas attendre plus longtemps pour la suite.
Encore une suite écrite à merveille.
Je t'en prie ne nous fait pas attendre plus longtemps pour la suite.
priscou- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Age : 37
Date d'inscription : 14/10/2006
Re: L'amant
super fic
j'espere lire la suite très bientot (ps : regarde tesmess )
continue !!
j'espere lire la suite très bientot (ps : regarde tesmess )
continue !!
super_cc- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Date d'inscription : 20/11/2006
Re: L'amant
merci bcq pour ton message siam
très belle suite
ca me done encore plus l'eau a la bouche
la suite la suite la suite!!!!!!!!!!!!!
très belle suite
ca me done encore plus l'eau a la bouche
la suite la suite la suite!!!!!!!!!!!!!
super_cc- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Age : 40
Date d'inscription : 20/11/2006
Re: L'amant
je vous reposte la dernière suite qui est devenue illisible.. et si ça vous tente une nouvelle suite demain...
Sara:
Je suis avec Michael. Une de nos dernières entrevues. Après notre rendez-vous, il ne me restera plus qu’à présenter notre projet au Conseil d’Administration, et si j’ai leur aval, les travaux pourront commencer. Fini les réunions hebdomadaires avec l’ingénieur. J’ai du mal à l’admettre mais j’avoue que ça va me manquer nos petits flirts à peine déguisés. Les plans sont parfaits et remplissent toutes les charges. Il ne me reste plus qu’à le raccompagner jusqu’à la porte et il sortira de ma vie.
Comme toujours il est poli, joli, attentionné et me gratifie d’un sourire fondant. Il me dit que nous pouvons être fiers du travail abattu et qu’il n’a aucun doute concernant le succès de mon projet. Il me serre la main un peu trop longtemps et se penche pour m’embrasser sur la joue. Je peux bien lui allouer ça, non ? Après tout je ne vais presque plus le revoir. Mais à l’instant où ses lèvres touchent ma joue, un frisson m’envahit et le désir se met à crépiter sous ma peau. A ce moment là John est relégué au fin fond de mon esprit et peu importe l’heure ou l’endroit il faut que je prolonge ces adieux. A tout prix. Alors je tourne la tête et ses lèvres se déposent sur les miennes. Le baiser est profond et doux. Lent mais érotique. Je me pends à son cou et j’approfondis encore se baiser. Et la situation dérape, à une vitesse folle, elle m’échappe. Et je suis entrain d’attribuer une toute nouvelle fonction à mon bureau.
Mais c’est alors qu’il s’écarte de moi…
Michael:
Elle est devant moi, avec une lueur de défi dans le regard, plus désirable que jamais. Elle s’offre à moi. Elle m’offre tout ce dont je rêve…mais pas comme ça. Je ne veux pas d’une étreinte à la sauvette.
M- Même si dès que j’aurai franchi cette porte je vais me maudire, je ne peux pas Sara. J’ai déjà cédé une fois et encore aujourd’hui, à chaque fois que je te vois, j’ai ces flash qui m’assaillent. La sensation de ta peau sous mes doigts. Ne te méprends pas, j’en ai envie, tellement envie que je ne marche plus droit, mais si ça ne me mène pas plus loin que la dernière fois alors, la survie de ma santé mentale, je me vois contraint de refuser.
S- Alors pars
M- C’est ce que je vais faire, mais tu n’es pas débarrassée de moi pour autant. J’espère plus pour nous deux.
S- N’espère pas trop Michael, j’aime John et il ne se passera jamais plus que ce que j’étais prête à t’offrir.
M- Il ne faut jamais dire jamais. Au revoir Sara.
Sara:
Je vois cette porte se refermer sur lui, et je fulmine. Je suis vexée d’avoir été repoussée, mais le pire c’est la frustration qui se dévide dans mon être. Alors que je devrai être terrassée par la culpabilité d’avoir voulu tromper John, encore, et soulagée de ne pas l’avoir fait, je ne peux m’empêcher de le maudire pour avoir été un parfait gentleman, pour avoir été si parfaitement lui et de me laisser dans cet état d’excitation sans qu’il y ait mis fin. J’imagine ce qu’aurait pu être cette nouvelle étreinte et ma peau commence à réagir aux réminiscences de nos derniers ébats. Ses mains sur moi, là,ici, et encore là, sur mon ventre, sur mes cuisses, dans mon dos, sur mon cou, beaucoup trop de mains à beaucoup trop d’endroits. Un plaisir tentaculaire. Je ferai mieux d’arrêter ça tout de suite ou je vais devenir cinglée. Et puis qu’est ce qu’il a à tout compliquer comme ça? Il ne peut pas se comporter comme l’archétype du goujat? Accepter toute partie de jambes en l’air qui se présente à lui et surtout, surtout, arrêter de tout compliquer avec des sentiments?
Sara:
Je suis avec Michael. Une de nos dernières entrevues. Après notre rendez-vous, il ne me restera plus qu’à présenter notre projet au Conseil d’Administration, et si j’ai leur aval, les travaux pourront commencer. Fini les réunions hebdomadaires avec l’ingénieur. J’ai du mal à l’admettre mais j’avoue que ça va me manquer nos petits flirts à peine déguisés. Les plans sont parfaits et remplissent toutes les charges. Il ne me reste plus qu’à le raccompagner jusqu’à la porte et il sortira de ma vie.
Comme toujours il est poli, joli, attentionné et me gratifie d’un sourire fondant. Il me dit que nous pouvons être fiers du travail abattu et qu’il n’a aucun doute concernant le succès de mon projet. Il me serre la main un peu trop longtemps et se penche pour m’embrasser sur la joue. Je peux bien lui allouer ça, non ? Après tout je ne vais presque plus le revoir. Mais à l’instant où ses lèvres touchent ma joue, un frisson m’envahit et le désir se met à crépiter sous ma peau. A ce moment là John est relégué au fin fond de mon esprit et peu importe l’heure ou l’endroit il faut que je prolonge ces adieux. A tout prix. Alors je tourne la tête et ses lèvres se déposent sur les miennes. Le baiser est profond et doux. Lent mais érotique. Je me pends à son cou et j’approfondis encore se baiser. Et la situation dérape, à une vitesse folle, elle m’échappe. Et je suis entrain d’attribuer une toute nouvelle fonction à mon bureau.
Mais c’est alors qu’il s’écarte de moi…
Michael:
Elle est devant moi, avec une lueur de défi dans le regard, plus désirable que jamais. Elle s’offre à moi. Elle m’offre tout ce dont je rêve…mais pas comme ça. Je ne veux pas d’une étreinte à la sauvette.
M- Même si dès que j’aurai franchi cette porte je vais me maudire, je ne peux pas Sara. J’ai déjà cédé une fois et encore aujourd’hui, à chaque fois que je te vois, j’ai ces flash qui m’assaillent. La sensation de ta peau sous mes doigts. Ne te méprends pas, j’en ai envie, tellement envie que je ne marche plus droit, mais si ça ne me mène pas plus loin que la dernière fois alors, la survie de ma santé mentale, je me vois contraint de refuser.
S- Alors pars
M- C’est ce que je vais faire, mais tu n’es pas débarrassée de moi pour autant. J’espère plus pour nous deux.
S- N’espère pas trop Michael, j’aime John et il ne se passera jamais plus que ce que j’étais prête à t’offrir.
M- Il ne faut jamais dire jamais. Au revoir Sara.
Sara:
Je vois cette porte se refermer sur lui, et je fulmine. Je suis vexée d’avoir été repoussée, mais le pire c’est la frustration qui se dévide dans mon être. Alors que je devrai être terrassée par la culpabilité d’avoir voulu tromper John, encore, et soulagée de ne pas l’avoir fait, je ne peux m’empêcher de le maudire pour avoir été un parfait gentleman, pour avoir été si parfaitement lui et de me laisser dans cet état d’excitation sans qu’il y ait mis fin. J’imagine ce qu’aurait pu être cette nouvelle étreinte et ma peau commence à réagir aux réminiscences de nos derniers ébats. Ses mains sur moi, là,ici, et encore là, sur mon ventre, sur mes cuisses, dans mon dos, sur mon cou, beaucoup trop de mains à beaucoup trop d’endroits. Un plaisir tentaculaire. Je ferai mieux d’arrêter ça tout de suite ou je vais devenir cinglée. Et puis qu’est ce qu’il a à tout compliquer comme ça? Il ne peut pas se comporter comme l’archétype du goujat? Accepter toute partie de jambes en l’air qui se présente à lui et surtout, surtout, arrêter de tout compliquer avec des sentiments?
siam- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 31
Age : 37
Localisation : organise le rapt de went...
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: L'amant
je viens de lire ta fic d'une traite (en évitant les coms de Melina qui bloquent la page )
j'adore le rythme !
a y est je veux la suite !
j'adore le rythme !
a y est je veux la suite !
cend17- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1196
Date d'inscription : 01/01/2008
Re: L'amant
une suite siam... je t'en pris... rassure moi même si on attends tu vas mettre une suite!!!
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 474
Age : 46
Localisation : Dans les bras de Wentworth
Date d'inscription : 10/11/2006
Re: L'amant
Ca fait un bout de temps que je n'ai pas pu venir sur le fofo. Je suis contente de trouver une suite. Quel talent toujours! C'est marrant parce que Sara réagit presque comme...un mec! Il y a une sorte de renversement du schéma traditionnel entre homme et femme : là, Sara veut du sexe, rien que du sexe, Mike lui, veut une vraie relation et pas simplement un petit coup par ci par là.
J'adore ta fic. Mets-nous vite la suite.
J'adore ta fic. Mets-nous vite la suite.
LN- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 456
Age : 36
Date d'inscription : 11/11/2007
Re: L'amant
cend17 a écrit:je viens de lire ta fic d'une traite (en évitant les coms de Melina qui bloquent la page )
j'adore le rythme !
a y est je veux la suite !
comment tu fais pour les éviter lol !!! t'as du louper des trucs c'est pas possible !!!
moi j'ai hâte de voir la prochaine suite
Re: L'amant
elle est excellentissime ta fic !!! pitié, la suite
zounette- Déchiffre l'origami
- Nombre de messages : 267
Date d'inscription : 13/10/2006
Re: L'amant
tjr aussi géniale siam
pour une fois c'est pas le mec qui saute sur la fille
mais michael refuse en "parfait gentleman" tu sais se quite reste à faire sara: quitter john et courir chez mike pour lui dire
je suis tjr fan de ton style
vivement la suite
pour une fois c'est pas le mec qui saute sur la fille
mais michael refuse en "parfait gentleman" tu sais se quite reste à faire sara: quitter john et courir chez mike pour lui dire
je suis tjr fan de ton style
vivement la suite
Re: L'amant
j'ai des exams pour l'instant. La suite est écrite en gros, mais il faut que je la relise. Alors la suite bientôt mais je peux pas vous dire quand.
siam- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 31
Age : 37
Localisation : organise le rapt de went...
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: L'amant
alors alors toujours pas de suite..... tu nous manques? j'espère que tes exams se sont bien passé
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 474
Age : 46
Localisation : Dans les bras de Wentworth
Date d'inscription : 10/11/2006
Re: L'amant
Michael:
Quatre jours se sont écoulés depuis ce fameux soir où je l’ai repoussée et comme prévu le regret m’a assailli. J’ai beau me féliciter d’avoir fait la seule chose qui s’imposait, il n’empêche que je ne cesse d’imaginer ce qu’aurait pu être ce corps à corps. Torride à n’en pas douter, et doux et dévastateur. Surtout dévastateur. Je ne sais pas ce que je veux. Enfin si je la veux elle mais la profondeur de ce désir est encore insondable et c’est peut être ce qui me terrifie, qu’il soit sans fin et donc intarissable, que jamais je ne puisse me repaitre d’elle. Je voudrais qu’elle m’accorde tout un tas de chose mais essentiellement je voudrais un peu d’égard. Un peu de considération. Savoir que je ne suis pas l’envie qui la prend sur le vif, que je ne suis pas juste une distraction, que si elle n’est pas amoureuse de moi, qu’elle m’estime. Que moi ou un autre ça ne soit pas pareil. Je veux qu’elle tremble quand je l’approche, qu’elle m’abandonne un peu de son contrôle à mon contact. Mais plus les jours passent et plus je m’aperçois qu’avec ou sans estime, avec ou sans amour je la veux, elle m’obsède et que j’ai gâché une nouvelle occasion de la posséder. Quelques minutes entre ses bras valent bien tous les remords…et tous les efforts. Je vais devoir trouver un moyen de la faire céder.
Sara:
Je saute dans un taxi, je suis évidemment comme toujours en retard. La clinque organise une petite réception pour fêter le début des travaux.
Les plans ont été validés et les investisseurs sont ravis mais la victoire a un petit gout amère. John ne sera pas là ce soir. Il est en déplacement de plus en plus régulièrement, et entre mes heures impossibles à la clinique et ses voyages on se voit de moins en moins, et quand on se voit on s’engueule. Trop de stress, de boulot. Je peux être vraiment invivable et je comprends qu’il se refugie parfois dans le boulot. J’en suis même venue à me demander s’il n’y avait pas quelqu’un d’autre. C’est le comble, c’est moi qui le trompe et c’est moi qui le soupçonne. Je ne sais pas si Michael sera là ce soir. Il est invité mais vu notre dernière confrontation il se sera peut-être fait représenter par un collègue. Il vaut mieux car l’éloignement de John n’est pas pour me calmer, et son refus de l’autre soir n’a pas vraiment eut l’effet escompté. Il m’a mise au défit et j’adore les challenges et ça m’étonnerais beaucoup qu’il soit devenu bête et moche en trois semaines. Non mais Sara tu t’entends ?
J’arrive à la minute où le discours du président général commence. Je reste en retrait, à l’arrière de l’assemblée et me mets à scruter discrètement l’assemblée. Pas de beaux yeux clairs, pas de vision qui me fasse défaillir. Michael Scofield n’est pas de la partie et je ne sais pas si le soupir qui m’échappe est de frustration ou de soulagement. Le discours est un amoncellement de platitudes et je me réjouis qu’il se finisse pour aller noyer mon ennui dans une petite coupette. Old habits die hard…
Je suis sur le point de sombrer dans un coma profond suite à ce discours sans fin quand je sens une présence derrière moi. Sans me retourner je sais qui il est. Il s’est un faufilé derrière moi silencieusement, comme un félin, mais il émane de lui une chaleur que je pourrais reconnaitre entre mille. Il confirme mon intuition quand il se penche et me souffle à l’oreille :
M- Bonsoir docteur Tancredi.
S- Monsieur Scofield.
Tout compte fait j’aimerais que ce discours n’en finisse plus car la situation ne permet aucune conversation et cela me convient parfaitement. Parfaitement est peut-être excessif car il est beaucoup trop proche de moi. Pas assez proche pour que cela soit indécent mais plus que nécessaire et suffisamment pour que j’ai envie de me laisser aller contre lui. Comme un aimant mon dos prend une posture bizarre et se rapproche de plus en plus de lui.
P.G- Et maintenant j’appelle Monsieur Scofield, à qui nous devrons ce superbe bâtiment.
Sa main frôle mes reins, et le voilà parti dans la foule, englouti. Il se dirige vers l’estrade et je vois les regards se retourner sur lui. Envieux ou subjugués. Et la jalousie me transperce. Mais qu’est ce qu’il te prend Sara ?
Comme toujours il parle avec distinction et son humour nonchalant finit de conquérir le public. Le discours fini le groupe se disperse et lui descend de l’estrade. Il louvoie d’un groupe à l’autre, s’intéresse, souris, parfois avec un peu trop de sincérité à mon goût, renvoie les œillades qu’il reçoit.
Je suis presque sûre que c’est un petit jeu pervers car sans jamais pouvoir le prendre en flagrant délit, je sens son regard sur moi, toujours à la dérobée mais insistant.
Et moi je fulmine, je bous, je fonds,je me liquéfie sur place. D’ailleurs pour éviter tout geste embarrassant je me suis retirée dans un coin. Souvenir des vieilles boums à faire tapisserie.
Tient ! Le revoilà, toujours son sourire aux lèvres et ses yeux de velours, me proposant la bouche en cœur, une coupe de champagne. Il commence à faire la conversation, et là un phénomène des plus malvenus se produit. Ma conscience bug totalement.
Je ne sais pas de quoi il parle, ne perçoit rien de sa prose, je reste interdite, suspendue à ses lèvres charnues. Et rosées. Et légèrement entrouvertes. Et légèrement humides. Et absolument, entièrement, totalement, intégralement, complètement, viscéralement irrésistibles. Alors je plonge. Sur ses lèvres.
Et ce baiser est succulent, à la limite de l’obscéne.
A la limite de l’apoplexie, Michael se recule mais ne lâche pas mon visage et picore mes lèvres de baisers aussi doux que sensuels, et entre chaque baisers me fait la plus tentatrice des propositions :
M- Ce soir…chez moi…tous les deux…une nuit…un week-end…tout ce que tu veux…mais je t’en prie viens.
Et sur ce il était partit.
Je ne le vois même pas s’éloigné. Je reste dans mon quartier retranché, les lèvres meurtries et le rouge à lèvres filant. Et même si ma raison me crie, de toutes ses forces, qu’il n’est pas question que je lui accorde ça, je sais que ce soir je serai sur la pas de sa porte. Toute obligation conjugale violée.
Quatre jours se sont écoulés depuis ce fameux soir où je l’ai repoussée et comme prévu le regret m’a assailli. J’ai beau me féliciter d’avoir fait la seule chose qui s’imposait, il n’empêche que je ne cesse d’imaginer ce qu’aurait pu être ce corps à corps. Torride à n’en pas douter, et doux et dévastateur. Surtout dévastateur. Je ne sais pas ce que je veux. Enfin si je la veux elle mais la profondeur de ce désir est encore insondable et c’est peut être ce qui me terrifie, qu’il soit sans fin et donc intarissable, que jamais je ne puisse me repaitre d’elle. Je voudrais qu’elle m’accorde tout un tas de chose mais essentiellement je voudrais un peu d’égard. Un peu de considération. Savoir que je ne suis pas l’envie qui la prend sur le vif, que je ne suis pas juste une distraction, que si elle n’est pas amoureuse de moi, qu’elle m’estime. Que moi ou un autre ça ne soit pas pareil. Je veux qu’elle tremble quand je l’approche, qu’elle m’abandonne un peu de son contrôle à mon contact. Mais plus les jours passent et plus je m’aperçois qu’avec ou sans estime, avec ou sans amour je la veux, elle m’obsède et que j’ai gâché une nouvelle occasion de la posséder. Quelques minutes entre ses bras valent bien tous les remords…et tous les efforts. Je vais devoir trouver un moyen de la faire céder.
Sara:
Je saute dans un taxi, je suis évidemment comme toujours en retard. La clinque organise une petite réception pour fêter le début des travaux.
Les plans ont été validés et les investisseurs sont ravis mais la victoire a un petit gout amère. John ne sera pas là ce soir. Il est en déplacement de plus en plus régulièrement, et entre mes heures impossibles à la clinique et ses voyages on se voit de moins en moins, et quand on se voit on s’engueule. Trop de stress, de boulot. Je peux être vraiment invivable et je comprends qu’il se refugie parfois dans le boulot. J’en suis même venue à me demander s’il n’y avait pas quelqu’un d’autre. C’est le comble, c’est moi qui le trompe et c’est moi qui le soupçonne. Je ne sais pas si Michael sera là ce soir. Il est invité mais vu notre dernière confrontation il se sera peut-être fait représenter par un collègue. Il vaut mieux car l’éloignement de John n’est pas pour me calmer, et son refus de l’autre soir n’a pas vraiment eut l’effet escompté. Il m’a mise au défit et j’adore les challenges et ça m’étonnerais beaucoup qu’il soit devenu bête et moche en trois semaines. Non mais Sara tu t’entends ?
J’arrive à la minute où le discours du président général commence. Je reste en retrait, à l’arrière de l’assemblée et me mets à scruter discrètement l’assemblée. Pas de beaux yeux clairs, pas de vision qui me fasse défaillir. Michael Scofield n’est pas de la partie et je ne sais pas si le soupir qui m’échappe est de frustration ou de soulagement. Le discours est un amoncellement de platitudes et je me réjouis qu’il se finisse pour aller noyer mon ennui dans une petite coupette. Old habits die hard…
Je suis sur le point de sombrer dans un coma profond suite à ce discours sans fin quand je sens une présence derrière moi. Sans me retourner je sais qui il est. Il s’est un faufilé derrière moi silencieusement, comme un félin, mais il émane de lui une chaleur que je pourrais reconnaitre entre mille. Il confirme mon intuition quand il se penche et me souffle à l’oreille :
M- Bonsoir docteur Tancredi.
S- Monsieur Scofield.
Tout compte fait j’aimerais que ce discours n’en finisse plus car la situation ne permet aucune conversation et cela me convient parfaitement. Parfaitement est peut-être excessif car il est beaucoup trop proche de moi. Pas assez proche pour que cela soit indécent mais plus que nécessaire et suffisamment pour que j’ai envie de me laisser aller contre lui. Comme un aimant mon dos prend une posture bizarre et se rapproche de plus en plus de lui.
P.G- Et maintenant j’appelle Monsieur Scofield, à qui nous devrons ce superbe bâtiment.
Sa main frôle mes reins, et le voilà parti dans la foule, englouti. Il se dirige vers l’estrade et je vois les regards se retourner sur lui. Envieux ou subjugués. Et la jalousie me transperce. Mais qu’est ce qu’il te prend Sara ?
Comme toujours il parle avec distinction et son humour nonchalant finit de conquérir le public. Le discours fini le groupe se disperse et lui descend de l’estrade. Il louvoie d’un groupe à l’autre, s’intéresse, souris, parfois avec un peu trop de sincérité à mon goût, renvoie les œillades qu’il reçoit.
Je suis presque sûre que c’est un petit jeu pervers car sans jamais pouvoir le prendre en flagrant délit, je sens son regard sur moi, toujours à la dérobée mais insistant.
Et moi je fulmine, je bous, je fonds,je me liquéfie sur place. D’ailleurs pour éviter tout geste embarrassant je me suis retirée dans un coin. Souvenir des vieilles boums à faire tapisserie.
Tient ! Le revoilà, toujours son sourire aux lèvres et ses yeux de velours, me proposant la bouche en cœur, une coupe de champagne. Il commence à faire la conversation, et là un phénomène des plus malvenus se produit. Ma conscience bug totalement.
Je ne sais pas de quoi il parle, ne perçoit rien de sa prose, je reste interdite, suspendue à ses lèvres charnues. Et rosées. Et légèrement entrouvertes. Et légèrement humides. Et absolument, entièrement, totalement, intégralement, complètement, viscéralement irrésistibles. Alors je plonge. Sur ses lèvres.
Et ce baiser est succulent, à la limite de l’obscéne.
A la limite de l’apoplexie, Michael se recule mais ne lâche pas mon visage et picore mes lèvres de baisers aussi doux que sensuels, et entre chaque baisers me fait la plus tentatrice des propositions :
M- Ce soir…chez moi…tous les deux…une nuit…un week-end…tout ce que tu veux…mais je t’en prie viens.
Et sur ce il était partit.
Je ne le vois même pas s’éloigné. Je reste dans mon quartier retranché, les lèvres meurtries et le rouge à lèvres filant. Et même si ma raison me crie, de toutes ses forces, qu’il n’est pas question que je lui accorde ça, je sais que ce soir je serai sur la pas de sa porte. Toute obligation conjugale violée.
siam- Compagnon de Cellule de Michael
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Localisation : organise le rapt de went...
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Re: L'amant
ahh je suis ravie que tu es enfin posté... c'est quatre jours m'ont paru une éternité lol.
j'adore les voir comme ça, jouer au chat et à la souri, se défier, protester contre leurs emotions mais se désirant encore plus... et puis la prochaine suite est prometteuse !!! j'espère que tu l'as posteras vite.
j'adore cette fic même si on a pas de suite assez régulièrement à mon goût !!
j'adore les voir comme ça, jouer au chat et à la souri, se défier, protester contre leurs emotions mais se désirant encore plus... et puis la prochaine suite est prometteuse !!! j'espère que tu l'as posteras vite.
j'adore cette fic même si on a pas de suite assez régulièrement à mon goût !!
Re: L'amant
très belle suite et moi aussi je suis ravie que tu es postée
Michael regrette d'avoir repoussé Sara la fois dernière et de son côté, elle le veut
la réception devait être bien ennuyeuse mais un peu de la présence de l'autre et voilà
il lui propose une invitation et elle ne va pas refuser malgré "ses obligations"
et ya eut un baiser
j'espère bientôt avoir la suite
Michael regrette d'avoir repoussé Sara la fois dernière et de son côté, elle le veut
la réception devait être bien ennuyeuse mais un peu de la présence de l'autre et voilà
il lui propose une invitation et elle ne va pas refuser malgré "ses obligations"
et ya eut un baiser
j'espère bientôt avoir la suite
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: L'amant
merci pour cette suite, ct absolument génail... grandiose , beau , sensuel et tentateur....
Encore comme toujours du talent à lire il y en a jamais assez
Je ne cesse de relire et relire ce passage.. grandiiose à chaque fois... ça donne envie de voir cette fin de soirée et qui sait? le futur week-end qui s'annonce????
Encore comme toujours du talent à lire il y en a jamais assez
Je ne cesse de relire et relire ce passage.. grandiiose à chaque fois... ça donne envie de voir cette fin de soirée et qui sait? le futur week-end qui s'annonce????
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Localisation : Dans les bras de Wentworth
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