L'amant
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: L'amant
euh! désolé pour le double post mais j'ai vraiment envie d'avoir la suite.... dis tu vas la mettre quand la suite???? un dis.????? t'as pu d'exam... et pis je veux savoir moi ce qui va se passer une fois arrivé chez lui!!!!!!
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Localisation : Dans les bras de Wentworth
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Re: L'amant
c'est sur qu'apres cette suite, c'est difficile de na pas être impatiente !
pleaaaaaaaase
pleaaaaaaaase
cend17- Retrouve Steadman
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Re: L'amant
wouaaaaaaaaw !!! j'adore!
cette fic est grandiose (comme le dit si bien m@ ludi)... écrite d'une façon si spéciale... les thermes sont parfait sans tourner en rond! bref tu l'a compris...je kiff...
oui ... une suite !!! ne nous fait pas trop attendre... pitié!!!
cette fic est grandiose (comme le dit si bien m@ ludi)... écrite d'une façon si spéciale... les thermes sont parfait sans tourner en rond! bref tu l'a compris...je kiff...
oui ... une suite !!! ne nous fait pas trop attendre... pitié!!!
sam- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Date d'inscription : 14/10/2006
Re: L'amant
yououuuuuuuuuuuuuuuuuuuyou???
Y a quelqu'un????
Parce que moi je piétine d'impatience, j'espère que tu as quelques choses à nous mettre sous la dent rapidement????
Y a quelqu'un????
Parce que moi je piétine d'impatience, j'espère que tu as quelques choses à nous mettre sous la dent rapidement????
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Localisation : Dans les bras de Wentworth
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Re: L'amant
Superbe suite Michael qui est prêt à accepté ce qu'elle est prête à lui donné. Je ne dirais qu'une chose a quand la suite
scratoune- Compagnon de Cellule de Michael
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Re: L'amant
sauf imprévu la suite chaleureuse demain...
siam- Compagnon de Cellule de Michael
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Localisation : organise le rapt de went...
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Re: L'amant
Mélina a écrit:Choueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeette
Ouais, ca se voit pas mais je suis contente là
mdr je suis dans le meme etat que toi
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Date d'inscription : 26/12/2007
Re: L'amant
siam a écrit:sauf imprévu la suite chaleureuse demain...
cool car c'est aujourd'hui
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: L'amant
j'adore vraiment ta fic et j'espère qu'on aura vite une suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Localisation : dans les nuages...
Date d'inscription : 06/04/2007
Re: L'amant
miliibnb a écrit:bon bin on a rien eu !!!
mouaii
patience on l'aura bientot jen suis sur
patience on l'aura bientot jen suis sur
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Age : 34
Date d'inscription : 26/12/2007
sam- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Localisation : marseille
Date d'inscription : 14/10/2006
Re: L'amant
Michael:
Elle est sur le pas de ma porte et comme par magie une tonne d’angoisse s’envole de mes épaules. J’en pleurerai presque. Le silence nous enveloppe. Je suis maladroit et hésite sur la marche à suivre et puis opte pour la solution la plus évidente... je la prends simplement dans mes bras et elle vient s’y blottir le plus naturellement du monde. Pour la première fois depuis longtemps une douce chaleur revient étreindre mon être. Je la décolle légèrement de moi, mais nos corps restent en contact, et j’attrape doucement ses lèvres.
Le baiser est d’abord léger et voluptueux. Je ne précipite rien, je veux qu’elle s’abandonne et je ne dois pas attendre longtemps avant qu’elle ne croise ses bras autour de mon cou et qu’elle n’approfondisse notre baiser. Elle force mes lèvres et elle m’offre sa langue fraîche et agile. Je sens l’empressement s’emparer de moi et je me détache à regret avant de n’être plus en mesure de me contrôler.
Front contre front, elle me sourit.
S- Salut
M- Salut…
Je reprends ses lèvres délicatement et me sépare d’elle quelques secondes plus tard à bout de souffle mais elle s’agrippe à moi.
S- Après ton petit numéro de charme de toute à l’heure, tu ne vas pas t’en tirer comme ça Scofield.
M- C’est une menace ?
S- Une promesse
M- Et je suis sur que tu es une femme de parole mais je sais pas toi, mais moi je meurs de faim. Mon pauvre frigo de célibataire est vide mais on peut commander chez le chinois du coin.
S- Tu me l'as déjà fais ton plan de l'asiatique. C'était même accompagné d'une bouteille de Saint-Julien. Ca devient lassant.
M- Ho. Et est-ce que madame consentirai à manger ce modeste menu s'il est accompagné d'une bouteille de champagne?
S- Je sais pas trop...il est frais le champagne?
Je scelle donc cet accord d'un baiser furtif.
S- Commande je vais vite me changer. Cet étau de directrice d'hôpital m'asphyxie.
M- Vas y, la salle de bain c'est la première porte à droite.
Sara:
Je marche jusqu’à la salle de bain, plutôt je plane, mes pieds ne touchent plus le sol, Michael Scofield est toute à ma disposition pour la soirée. Vite j’enlève ce tailleur trop strict qui m’emprisonne et efface ce maquillage de mémère. Un jeans et un débardeur blanc, rien de tel, mais je vais peut-être choisir et assortir mes sous vêtements, sait on jamais… Plus aucune envie de me perdre dans des tergiversations sans fin, je n’envisage qu’une seule issue à cette soirée: à l’intersection de nos deux corps.
Je sors de la salle d'eau et repasse devant lui. Il est toujours aussi craquant, encore plus depuis qu’il a réinvestit ses fringues à lui. Je parie que son petit tee-shirt gris ne fera pas long feu… Tout doux Sara, on a toute la soirée.
La commande est passée, le champagne givré, il nous a installée une petite table sur sa superbe terrasse, chicago m'appartient. Et il me tend une coupe pour parfaire l'instant.
S- Alors à quoi trinque-t-on ?
M- A nous. C’est ce qu’on va célébrer ce soir non ?
S- Peut-être...
Si il continue à me sonder avec ce regard pénétrant, presque oppressant, le petit tee-shirt gris ne passera pas la deuxième coupette de champagne.
Michael:
Ce que j’aime dans cette soirée, c’est que nous en connaissons tous les deux l’issue. Il ne fait pas un pli que d’ici demain matin, Sara Tancredi et Michael Scofield se seront connus au sens biblique du terme. Encore. Quitte à rôtir en enfer autant que se soit par pêcher de luxure.
Maintenant reste à savoir quelles sont les limites de notre patience, si les hostilités vont commencer maintenant ou au milieu de la nuit. Chaque solution à ses avantages mais le supplice qu’inflige l’attente rend la délivrance encore plus…savoureuse.
Les cartons du chinois s'entassent peu à peu. Je souris en la voyant manger avec avidité mais je n’ai pas très faim.
Enfin si, je suis affamé, mais pas de ce pain là. C’est d’elle dont je veux me rassasier.
S- C’était délicieux.
M- Il va falloir penser à récompenser le chef alors.
S- Tu n'as rien cuisiné Michael.
M- Qui a commandé?
S- Très bien. Alors je crois que mardi prochain je suis libre sur le temps de midi. Des remerciements autour d’un café, cela vous convient-il ?
M- Ho vous savez les cafés c’est très surfaits finalement. Je pensais à des remerciements, comment dire? Plus artisanaux….
S- Ho je crois avoir saisi votre requête. Reste à savoir s’il me sied d’y accéder.
M- Faites moi signe quand vous aurez pris votre décision.
S- Vous serez le premier informé très cher.
S- Tu ne manges pas ?
M- C’est toi que je vais manger.
Elle rit, d’un rire cristallin qui finit d’effacer ces semaines d’attente et d’espoirs déchus.
Je m’approche plus près d’elle, comme un loup prêt à bondir sur sa proie et à n’en faire qu’une bouchée. Parce que à cet instant précis je suis presque sûr d’avoir renoncer à l’attente qui décuple le plaisir… mais elle m’arrête dans mon élan.
S- Vade retro satanas. Il n’est même pas vingt-trois heures. Cendrillon avait au moind jusqu'à minuit. Allons, je suis sûre que tu peux faire mieux que ça.
C’est vrai je peux, mais reste à voir si elle, elle peut le supporter.
M- Tu ne sais pas à quoi tu t’exposes, je suis très fort à ce jeu là.
Elle me défie du regard. Très bien, tu l’auras voulu Sara.
Je m'écarte d’elle, feingant le retrait mais mes mains peuvent encore la toucher. Très lentement, du bout des doigts, je commence à l’effleurer. D’abord le bombé du front, l’arrête du nez, l’alcôve entre le nez et les lèvres, les lèvres, elle essaye d’embrasser mes doigts mais je les retire.
Elle veut mieux ? Il va falloir le mériter.
Je continue mon chemin. Le menton, le cou, la gorge. Mes doigts viennent frôler le décolleter de son débardeur. Je suis l’arrondi de celui-ci et puis me promène sur ses clavicules, sur les salières saillantes.
Je descends la courbe de l’épaule et gambade sur son bras. Le gauche et puis le droit.
Elle frissonne. Premier cercle de l’enfer.
Elle se lève prête à m'échapper.
Je ceins sa taille de mes mains, mais les laissent à la lisière de son tee-shirt. La grande exploration est encore prématurée. Mes mains dansent horizontalement, allant de son nombril à ses reins.
Elle a la chair de poule. Deuxième cercle de l’enfer.
M- Tu as froid ?
S- Oui ça se rafraîchit, me répond t’elle narquoise.
Je pense que je vais rentrer.
Elle se dirige vers l’intérieur et évidemment je la suis. Alors qu’elle allait s’engager dans le salon, je l’attrape par la taille et la fait bifurquer à droite. On se retrouve dans ma chambre.
S- Je croyais que tu étais très fort à ce jeu là. Dix minutes de rab, c’est tout ce dont tu es capable ?
Non. Si elle croit que je vais lui faire l’amour à la sauvette, comme une mec qui sort de taule, elle se trompe lourdement. Cette nuit est un miracle qui mérite d’être honoré comme il se doit.
M- Crois moi, tu finiras par demander grâce…
La pulpe de mes doigts reprend son périple. La cambrure de la hanche, le plat de la cuisse, l’intérieur de la cuisse, à peine effleuré, le genou, la pente lisse du tibia... Après le coté face, le coté pile. Les cheveux se détachent, la nuque, le dos, les reins, les fesses, le molet.
Je la retourne face à moi, et je commence à parsemer son cou de baisers furtifs et brûlants.
Elle soupire. Troisième cercle de l’enfer.
Je remonte jusqu’au creux derrière les oreilles, suis l’angle et puis la ligne de la mâchoire et retrouve ses lèvres. Je l’embrasse mais ne cède pas lorsque sa langue tente de franchir mes lèvres.
M- Impatiente.
Je redescends dans son cou, suis la courbe de ses seins et mords doucement la pointe qui s’insinue malgré la lingerie.
Elle laisse échapper un râle. Quatrième cercle de l’enfer.
Ma bouche continue sa route sur son ventre qu’elle devine ferme et lisse. J’arrive à l’ourlet du débardeur, et ma bouche vient se poser sur la peau veloutée de sa taille. Je remonte légèrement pour que ma langue puisse pénétrer son nombril. Elle grogne. Toujours le quatrième cercle. Ensuite mes mains attrapent les bords de son tee-shirt et lui ôtent en prenant bien soin de frôler chaque parcelle de peau exposée avec une lenteur insoutenable.
Son cœur s’accélère et son souffle devient rauque. Cinquième cercle de l’enfer.
Je suis étourdi par la peau nue que j’ai devant moi. Elle est somptueuse. Je la vois rougir devant mon regard appréciateur et cela me fait fondre autant que cela m’exaspère : elle n’a pas conscience de la beauté et de la sensualité qu’elle dégage.
Mon regard a du transmettre ma totale dévotion car elle m’embrasse passionnément. Elle triche. Elle sait que si elle me prends par surprise je ne suis pas en mesure de lui résister. Mais je reprends vite mes esprits quand je sens ses mains délicates attraper les bords de mon tee-shirt gris.
M- Tssst..
Je lui prends les mains et les dégagent derrière elle.
M- N’oublie pas Sara, je suis l’homme au plan et tes mains sur moi n’en font pas partie pour l’instant.
A ces mots, je vois son regard chocolat s’illuminer d’un nouvel éclat et elle obtempère. Je dépose mes mains sur ses épaules et leur imprime une légère pression pour qu’elle s’asseye sur le lit. Sa peau est douce et satinée, le désir qui me ronge ne va pas pouvoir être contenu indéfiniment. Moi aussi je gravis les cercles de l’enfer et je les soupçonne d’être infiniment moins jouissifs.
Elle est assise et elle se demande quelle sera la prochaine torture que je vais lui infliger.
J’hésite… Mais ce jeans n’est décemment plus de mise…il fait bien trop chaud dans cette chambre pour être ainsi couverte. Je m’agenouille devant elle. Je passe mes doigts sur la boucle de la ceinture, fait glisser le pan de cuir hors de la boucle et toujours en la regardant dans les yeux, je défais le premier bouton de son jeans, puis le deuxième et enfin le troisième.
Elle ferme les yeux et attends, pantoise, la suite des opérations. Elle vient d’atteindre le pallier du sixième cercle de l’enfer.
Je fais glisser ce pantalon superflu et reporte alors mon regard sur ce corps magnifique, ses sous-vêtements en dentelle se marient parfaitement à la nuance ambrée de sa peau. Je la veux. Je la veux tellement que je serai prêt à laisser tomber ce petit jeu ridicule et à évacuer toute cette tension de la meilleure façon qui soit. Mais je résiste et ma bouche remonte ses jambes, ses cuisses, vient frôler le tissu précieux entre ses cuisses, remonte, s’attarde sur son nombril, encore.
Je sens ses dernière résistances tomber car elle fini par s’allonger et n’essaye plus d’entraver ma découverte du tendre. Septième Cercle de l’enfer.
Ma bouche toujours posée sur son nombril, mes mains partent à la rencontre de ses seins et abandonnent le joli balconnet. Je me déplace et viens poser ma bouche sur ses seins tendus par le plaisir qui la submerge peu à peu. La peau est fine et laisse entrevoir les veines au creux du décolleté. Je goûte à ses mamelons dressés, les titille de ma langue et les mords doucement. J’entends un râle de plaisir s’échapper de ses lèvres et je l’étouffe de me bouche. Elle répond à mon baiser comme une assoiffée se désaltère, et alors que notre baiser se fait plus profond et langoureux, je cale mes mains sur ses hanches. Ma main droite entreprend de se débarrasser du dernier morceau de tissu qui la protège. Doucement, je fais glisser le morceau de dentelle, lentement, mais Sara ne veut plus prendre son temps et soulève les hanches pour que je l’en débarrasse. Notre baiser reprend de plus belle, nos lèvres se soudent, nos dents s’entrechoquent et pendant que nos langues se livrent une danse endiablée, mes doigts descendent de plus en plus bas, venant s’insinuer en elle. Je repart à l’assaut de son cou et sens le sang battre le long de sa carotide.
Vaincue par mes intrusions diaboliques, Sara enfonce la tête plus profondément dans l’oreiller et ferme les yeux, incapable de maintenir une pensée cohérente. Huitième et dernier cercle de l’enfer.
Les yeux clos et la respiration erratique, elle me demande, presque comme une supplique :
S- Michael, maintenant. Tu as gagné, tu es le meilleur à ce jeu là.
Je remonte mon visage, le sourire victorieux et embrasse doucement ses yeux, son nez, ses joues, ses lèvres closes, puis redescends pour m’agenouiller devant elle et poser enfin mes lèvres sur le fruit tant désiré.
S- Bon dieu Michael, tu vas me tuer, c’est un enfer.
L’enfer est pavé de bonnes intentions mon amour.
Sara:
Bon dieu, il veut me tuer. Je sens ses lèvres sur moi et je m’enfonce un peu plus profondément dans le lit. Une onde de chaleur s’empare de moi et je suis incapable de bouger, de penser, de respirer même. Je sens que je ne vais plus tenir longtemps, mais je n’ai aucune envie de partir sans lui, pourtant je ne peux m’empêcher de guider sa tête de ma main. Il persévère et je ne réponds plus de rien. Je veux qu’il m’accompagne mais en même temps s’il s’arrête je me désagrège. Et ce petit tee-shirt gris qui n’a toujours pas bougé... Je tendrais bien les bras pour en attraper les bords mais trop tard…une délicieuse décharge vrille mon corps.
Alors que je commence à émerger de cette moelleuse volupté, et je le vois remonter peu à peu vers mon visage, embrassant au passage mon ventre et mes flancs. Il embrasse chacune de mes côtes avec une lenteur inadmissible. Il veut les compter ou quoi? Ce ne sont jamais que des côtes, il en possède autant que moi! Ca suffit, il a assez profité de son petit pouvoir, à mon tour. Je le retourne et me retrouve sur lui. Je vois dans ses yeux qu’il est fier de son petit effet mais que pour lui aussi l’attente a été rude. Assez tergiverser. Je me jette sur lui, de façon peu civilisée, je l’admet et fais enfin valser ce foutu tee-shirt. Je l’embrasse, me coule contre lui comme si nos peaux pouvaient fusionner. Son odeur masculine fini de m’enlever tout bon sens et je me débarrasse de ses derniers vêtements.
Je pourrais le torturer aussi mais ça n’aurait pas la même saveur, il aurait l’impression que je ne fais que lui rendre la politesse. Politesse étant l’euphémisme du siècle. De toute façon lui n’a pas l’air branché politesse non plus puisqu’il me prend dans ses bras et me plaque sous lui.
Il est tout contre moi mais se relève légèrement pour capter mon regard.
Qu’attend- t-il ? Mon autorisation ? Sa cause m’est acquise depuis le début! La voracité avec laquelle je me suis jetée sur le petit tee-shirt gris ne l’en a pas convaincu ?
Sa voix se fait suave et douce, rompant l’urgence du moment :
M- Merci 'être venue.
Je me serre un peu plus contre lui, je l’embrasse dans le cou puis retrouve son regard. Il n’est plus triomphant et sûr de lui comme quelques minutes plus tôt, il ne gère plus rien et cela m’émeut en pensant que je dois être la seule à le voir vulnérable. Toujours plongée dans son regard, je le sens enfin entrer en moi. Ses mouvements sont lents et mesurés, effectués du bout des hanches, comme pour ne pas me brusquer.
Mais je veux sentir son poids m’épingler au matelas, je veux qu’il m’envahisse, je veux qu’il s’abandonne et je resserre mes jambes autour de lui et le séquestre entre mes bras pour le lui faire comprendre. Intelligent et subtil jusqu’au bout, il accélère le rythme. Ses mots doux au creux de mon oreille me font plus d’effet que les pires obscénités. Je sens que l’apaisement final n’est pas loin. Les sensations m’assaillent de toute part, chaque pore de ma peau est repu de plaisir mais je l’attends. Je renoue le contact avec ses yeux et lui aussi est au bord de l’implosion. Ma vue se trouble tant le ravissement qui me submerge est insupportable. Je songe sérieusement à rendre les armes quand je le sens se tendre au-dessus de moi, m’autorisant à me laisser engloutir moi aussi. Il s’effondre contre moi, vaincu. J’entoure son corps dissolu de mes bras et enfouis mon visage dans son épaule.
Je lévite.
Elle est sur le pas de ma porte et comme par magie une tonne d’angoisse s’envole de mes épaules. J’en pleurerai presque. Le silence nous enveloppe. Je suis maladroit et hésite sur la marche à suivre et puis opte pour la solution la plus évidente... je la prends simplement dans mes bras et elle vient s’y blottir le plus naturellement du monde. Pour la première fois depuis longtemps une douce chaleur revient étreindre mon être. Je la décolle légèrement de moi, mais nos corps restent en contact, et j’attrape doucement ses lèvres.
Le baiser est d’abord léger et voluptueux. Je ne précipite rien, je veux qu’elle s’abandonne et je ne dois pas attendre longtemps avant qu’elle ne croise ses bras autour de mon cou et qu’elle n’approfondisse notre baiser. Elle force mes lèvres et elle m’offre sa langue fraîche et agile. Je sens l’empressement s’emparer de moi et je me détache à regret avant de n’être plus en mesure de me contrôler.
Front contre front, elle me sourit.
S- Salut
M- Salut…
Je reprends ses lèvres délicatement et me sépare d’elle quelques secondes plus tard à bout de souffle mais elle s’agrippe à moi.
S- Après ton petit numéro de charme de toute à l’heure, tu ne vas pas t’en tirer comme ça Scofield.
M- C’est une menace ?
S- Une promesse
M- Et je suis sur que tu es une femme de parole mais je sais pas toi, mais moi je meurs de faim. Mon pauvre frigo de célibataire est vide mais on peut commander chez le chinois du coin.
S- Tu me l'as déjà fais ton plan de l'asiatique. C'était même accompagné d'une bouteille de Saint-Julien. Ca devient lassant.
M- Ho. Et est-ce que madame consentirai à manger ce modeste menu s'il est accompagné d'une bouteille de champagne?
S- Je sais pas trop...il est frais le champagne?
Je scelle donc cet accord d'un baiser furtif.
S- Commande je vais vite me changer. Cet étau de directrice d'hôpital m'asphyxie.
M- Vas y, la salle de bain c'est la première porte à droite.
Sara:
Je marche jusqu’à la salle de bain, plutôt je plane, mes pieds ne touchent plus le sol, Michael Scofield est toute à ma disposition pour la soirée. Vite j’enlève ce tailleur trop strict qui m’emprisonne et efface ce maquillage de mémère. Un jeans et un débardeur blanc, rien de tel, mais je vais peut-être choisir et assortir mes sous vêtements, sait on jamais… Plus aucune envie de me perdre dans des tergiversations sans fin, je n’envisage qu’une seule issue à cette soirée: à l’intersection de nos deux corps.
Je sors de la salle d'eau et repasse devant lui. Il est toujours aussi craquant, encore plus depuis qu’il a réinvestit ses fringues à lui. Je parie que son petit tee-shirt gris ne fera pas long feu… Tout doux Sara, on a toute la soirée.
La commande est passée, le champagne givré, il nous a installée une petite table sur sa superbe terrasse, chicago m'appartient. Et il me tend une coupe pour parfaire l'instant.
S- Alors à quoi trinque-t-on ?
M- A nous. C’est ce qu’on va célébrer ce soir non ?
S- Peut-être...
Si il continue à me sonder avec ce regard pénétrant, presque oppressant, le petit tee-shirt gris ne passera pas la deuxième coupette de champagne.
Michael:
Ce que j’aime dans cette soirée, c’est que nous en connaissons tous les deux l’issue. Il ne fait pas un pli que d’ici demain matin, Sara Tancredi et Michael Scofield se seront connus au sens biblique du terme. Encore. Quitte à rôtir en enfer autant que se soit par pêcher de luxure.
Maintenant reste à savoir quelles sont les limites de notre patience, si les hostilités vont commencer maintenant ou au milieu de la nuit. Chaque solution à ses avantages mais le supplice qu’inflige l’attente rend la délivrance encore plus…savoureuse.
Les cartons du chinois s'entassent peu à peu. Je souris en la voyant manger avec avidité mais je n’ai pas très faim.
Enfin si, je suis affamé, mais pas de ce pain là. C’est d’elle dont je veux me rassasier.
S- C’était délicieux.
M- Il va falloir penser à récompenser le chef alors.
S- Tu n'as rien cuisiné Michael.
M- Qui a commandé?
S- Très bien. Alors je crois que mardi prochain je suis libre sur le temps de midi. Des remerciements autour d’un café, cela vous convient-il ?
M- Ho vous savez les cafés c’est très surfaits finalement. Je pensais à des remerciements, comment dire? Plus artisanaux….
S- Ho je crois avoir saisi votre requête. Reste à savoir s’il me sied d’y accéder.
M- Faites moi signe quand vous aurez pris votre décision.
S- Vous serez le premier informé très cher.
S- Tu ne manges pas ?
M- C’est toi que je vais manger.
Elle rit, d’un rire cristallin qui finit d’effacer ces semaines d’attente et d’espoirs déchus.
Je m’approche plus près d’elle, comme un loup prêt à bondir sur sa proie et à n’en faire qu’une bouchée. Parce que à cet instant précis je suis presque sûr d’avoir renoncer à l’attente qui décuple le plaisir… mais elle m’arrête dans mon élan.
S- Vade retro satanas. Il n’est même pas vingt-trois heures. Cendrillon avait au moind jusqu'à minuit. Allons, je suis sûre que tu peux faire mieux que ça.
C’est vrai je peux, mais reste à voir si elle, elle peut le supporter.
M- Tu ne sais pas à quoi tu t’exposes, je suis très fort à ce jeu là.
Elle me défie du regard. Très bien, tu l’auras voulu Sara.
Je m'écarte d’elle, feingant le retrait mais mes mains peuvent encore la toucher. Très lentement, du bout des doigts, je commence à l’effleurer. D’abord le bombé du front, l’arrête du nez, l’alcôve entre le nez et les lèvres, les lèvres, elle essaye d’embrasser mes doigts mais je les retire.
Elle veut mieux ? Il va falloir le mériter.
Je continue mon chemin. Le menton, le cou, la gorge. Mes doigts viennent frôler le décolleter de son débardeur. Je suis l’arrondi de celui-ci et puis me promène sur ses clavicules, sur les salières saillantes.
Je descends la courbe de l’épaule et gambade sur son bras. Le gauche et puis le droit.
Elle frissonne. Premier cercle de l’enfer.
Elle se lève prête à m'échapper.
Je ceins sa taille de mes mains, mais les laissent à la lisière de son tee-shirt. La grande exploration est encore prématurée. Mes mains dansent horizontalement, allant de son nombril à ses reins.
Elle a la chair de poule. Deuxième cercle de l’enfer.
M- Tu as froid ?
S- Oui ça se rafraîchit, me répond t’elle narquoise.
Je pense que je vais rentrer.
Elle se dirige vers l’intérieur et évidemment je la suis. Alors qu’elle allait s’engager dans le salon, je l’attrape par la taille et la fait bifurquer à droite. On se retrouve dans ma chambre.
S- Je croyais que tu étais très fort à ce jeu là. Dix minutes de rab, c’est tout ce dont tu es capable ?
Non. Si elle croit que je vais lui faire l’amour à la sauvette, comme une mec qui sort de taule, elle se trompe lourdement. Cette nuit est un miracle qui mérite d’être honoré comme il se doit.
M- Crois moi, tu finiras par demander grâce…
La pulpe de mes doigts reprend son périple. La cambrure de la hanche, le plat de la cuisse, l’intérieur de la cuisse, à peine effleuré, le genou, la pente lisse du tibia... Après le coté face, le coté pile. Les cheveux se détachent, la nuque, le dos, les reins, les fesses, le molet.
Je la retourne face à moi, et je commence à parsemer son cou de baisers furtifs et brûlants.
Elle soupire. Troisième cercle de l’enfer.
Je remonte jusqu’au creux derrière les oreilles, suis l’angle et puis la ligne de la mâchoire et retrouve ses lèvres. Je l’embrasse mais ne cède pas lorsque sa langue tente de franchir mes lèvres.
M- Impatiente.
Je redescends dans son cou, suis la courbe de ses seins et mords doucement la pointe qui s’insinue malgré la lingerie.
Elle laisse échapper un râle. Quatrième cercle de l’enfer.
Ma bouche continue sa route sur son ventre qu’elle devine ferme et lisse. J’arrive à l’ourlet du débardeur, et ma bouche vient se poser sur la peau veloutée de sa taille. Je remonte légèrement pour que ma langue puisse pénétrer son nombril. Elle grogne. Toujours le quatrième cercle. Ensuite mes mains attrapent les bords de son tee-shirt et lui ôtent en prenant bien soin de frôler chaque parcelle de peau exposée avec une lenteur insoutenable.
Son cœur s’accélère et son souffle devient rauque. Cinquième cercle de l’enfer.
Je suis étourdi par la peau nue que j’ai devant moi. Elle est somptueuse. Je la vois rougir devant mon regard appréciateur et cela me fait fondre autant que cela m’exaspère : elle n’a pas conscience de la beauté et de la sensualité qu’elle dégage.
Mon regard a du transmettre ma totale dévotion car elle m’embrasse passionnément. Elle triche. Elle sait que si elle me prends par surprise je ne suis pas en mesure de lui résister. Mais je reprends vite mes esprits quand je sens ses mains délicates attraper les bords de mon tee-shirt gris.
M- Tssst..
Je lui prends les mains et les dégagent derrière elle.
M- N’oublie pas Sara, je suis l’homme au plan et tes mains sur moi n’en font pas partie pour l’instant.
A ces mots, je vois son regard chocolat s’illuminer d’un nouvel éclat et elle obtempère. Je dépose mes mains sur ses épaules et leur imprime une légère pression pour qu’elle s’asseye sur le lit. Sa peau est douce et satinée, le désir qui me ronge ne va pas pouvoir être contenu indéfiniment. Moi aussi je gravis les cercles de l’enfer et je les soupçonne d’être infiniment moins jouissifs.
Elle est assise et elle se demande quelle sera la prochaine torture que je vais lui infliger.
J’hésite… Mais ce jeans n’est décemment plus de mise…il fait bien trop chaud dans cette chambre pour être ainsi couverte. Je m’agenouille devant elle. Je passe mes doigts sur la boucle de la ceinture, fait glisser le pan de cuir hors de la boucle et toujours en la regardant dans les yeux, je défais le premier bouton de son jeans, puis le deuxième et enfin le troisième.
Elle ferme les yeux et attends, pantoise, la suite des opérations. Elle vient d’atteindre le pallier du sixième cercle de l’enfer.
Je fais glisser ce pantalon superflu et reporte alors mon regard sur ce corps magnifique, ses sous-vêtements en dentelle se marient parfaitement à la nuance ambrée de sa peau. Je la veux. Je la veux tellement que je serai prêt à laisser tomber ce petit jeu ridicule et à évacuer toute cette tension de la meilleure façon qui soit. Mais je résiste et ma bouche remonte ses jambes, ses cuisses, vient frôler le tissu précieux entre ses cuisses, remonte, s’attarde sur son nombril, encore.
Je sens ses dernière résistances tomber car elle fini par s’allonger et n’essaye plus d’entraver ma découverte du tendre. Septième Cercle de l’enfer.
Ma bouche toujours posée sur son nombril, mes mains partent à la rencontre de ses seins et abandonnent le joli balconnet. Je me déplace et viens poser ma bouche sur ses seins tendus par le plaisir qui la submerge peu à peu. La peau est fine et laisse entrevoir les veines au creux du décolleté. Je goûte à ses mamelons dressés, les titille de ma langue et les mords doucement. J’entends un râle de plaisir s’échapper de ses lèvres et je l’étouffe de me bouche. Elle répond à mon baiser comme une assoiffée se désaltère, et alors que notre baiser se fait plus profond et langoureux, je cale mes mains sur ses hanches. Ma main droite entreprend de se débarrasser du dernier morceau de tissu qui la protège. Doucement, je fais glisser le morceau de dentelle, lentement, mais Sara ne veut plus prendre son temps et soulève les hanches pour que je l’en débarrasse. Notre baiser reprend de plus belle, nos lèvres se soudent, nos dents s’entrechoquent et pendant que nos langues se livrent une danse endiablée, mes doigts descendent de plus en plus bas, venant s’insinuer en elle. Je repart à l’assaut de son cou et sens le sang battre le long de sa carotide.
Vaincue par mes intrusions diaboliques, Sara enfonce la tête plus profondément dans l’oreiller et ferme les yeux, incapable de maintenir une pensée cohérente. Huitième et dernier cercle de l’enfer.
Les yeux clos et la respiration erratique, elle me demande, presque comme une supplique :
S- Michael, maintenant. Tu as gagné, tu es le meilleur à ce jeu là.
Je remonte mon visage, le sourire victorieux et embrasse doucement ses yeux, son nez, ses joues, ses lèvres closes, puis redescends pour m’agenouiller devant elle et poser enfin mes lèvres sur le fruit tant désiré.
S- Bon dieu Michael, tu vas me tuer, c’est un enfer.
L’enfer est pavé de bonnes intentions mon amour.
Sara:
Bon dieu, il veut me tuer. Je sens ses lèvres sur moi et je m’enfonce un peu plus profondément dans le lit. Une onde de chaleur s’empare de moi et je suis incapable de bouger, de penser, de respirer même. Je sens que je ne vais plus tenir longtemps, mais je n’ai aucune envie de partir sans lui, pourtant je ne peux m’empêcher de guider sa tête de ma main. Il persévère et je ne réponds plus de rien. Je veux qu’il m’accompagne mais en même temps s’il s’arrête je me désagrège. Et ce petit tee-shirt gris qui n’a toujours pas bougé... Je tendrais bien les bras pour en attraper les bords mais trop tard…une délicieuse décharge vrille mon corps.
Alors que je commence à émerger de cette moelleuse volupté, et je le vois remonter peu à peu vers mon visage, embrassant au passage mon ventre et mes flancs. Il embrasse chacune de mes côtes avec une lenteur inadmissible. Il veut les compter ou quoi? Ce ne sont jamais que des côtes, il en possède autant que moi! Ca suffit, il a assez profité de son petit pouvoir, à mon tour. Je le retourne et me retrouve sur lui. Je vois dans ses yeux qu’il est fier de son petit effet mais que pour lui aussi l’attente a été rude. Assez tergiverser. Je me jette sur lui, de façon peu civilisée, je l’admet et fais enfin valser ce foutu tee-shirt. Je l’embrasse, me coule contre lui comme si nos peaux pouvaient fusionner. Son odeur masculine fini de m’enlever tout bon sens et je me débarrasse de ses derniers vêtements.
Je pourrais le torturer aussi mais ça n’aurait pas la même saveur, il aurait l’impression que je ne fais que lui rendre la politesse. Politesse étant l’euphémisme du siècle. De toute façon lui n’a pas l’air branché politesse non plus puisqu’il me prend dans ses bras et me plaque sous lui.
Il est tout contre moi mais se relève légèrement pour capter mon regard.
Qu’attend- t-il ? Mon autorisation ? Sa cause m’est acquise depuis le début! La voracité avec laquelle je me suis jetée sur le petit tee-shirt gris ne l’en a pas convaincu ?
Sa voix se fait suave et douce, rompant l’urgence du moment :
M- Merci 'être venue.
Je me serre un peu plus contre lui, je l’embrasse dans le cou puis retrouve son regard. Il n’est plus triomphant et sûr de lui comme quelques minutes plus tôt, il ne gère plus rien et cela m’émeut en pensant que je dois être la seule à le voir vulnérable. Toujours plongée dans son regard, je le sens enfin entrer en moi. Ses mouvements sont lents et mesurés, effectués du bout des hanches, comme pour ne pas me brusquer.
Mais je veux sentir son poids m’épingler au matelas, je veux qu’il m’envahisse, je veux qu’il s’abandonne et je resserre mes jambes autour de lui et le séquestre entre mes bras pour le lui faire comprendre. Intelligent et subtil jusqu’au bout, il accélère le rythme. Ses mots doux au creux de mon oreille me font plus d’effet que les pires obscénités. Je sens que l’apaisement final n’est pas loin. Les sensations m’assaillent de toute part, chaque pore de ma peau est repu de plaisir mais je l’attends. Je renoue le contact avec ses yeux et lui aussi est au bord de l’implosion. Ma vue se trouble tant le ravissement qui me submerge est insupportable. Je songe sérieusement à rendre les armes quand je le sens se tendre au-dessus de moi, m’autorisant à me laisser engloutir moi aussi. Il s’effondre contre moi, vaincu. J’entoure son corps dissolu de mes bras et enfouis mon visage dans son épaule.
Je lévite.
siam- Compagnon de Cellule de Michael
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Localisation : organise le rapt de went...
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: L'amant
et bien dis dont....je crois que j'ai besoin d'une douche froide!!!
vraiment très bien écrite cette scène
on a l'impression qu'elle se déroule sous nos yeux car tu ne laisses échapper aucun détails
franchement chapeau
il me tarde de lire la suite
vraiment très bien écrite cette scène
on a l'impression qu'elle se déroule sous nos yeux car tu ne laisses échapper aucun détails
franchement chapeau
il me tarde de lire la suite
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Age : 41
Localisation : dans les nuages...
Date d'inscription : 06/04/2007
Re: L'amant
MAGNIFIQUE et GRANDIOSE .... JE N'ai pas d'autres mots!!!
sam- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Localisation : marseille
Date d'inscription : 14/10/2006
Re: L'amant
sam a écrit:
MAGNIFIQUE et GRANDIOSE .... JE N'ai pas d'autres mots!!!
où se trouvent les pompiers, je suis en feu
quelle suite
et très bien écrite
il a gagné son petit jeu
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3830
Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: L'amant
Pour ce genre de prestation... ça vaut le coup d'attendre mais du coup on a envie d'encore plus tout comme eux...
Félictation c'est magnifique...
MERCI
Félictation c'est magnifique...
MERCI
ludiivne1978- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 474
Age : 46
Localisation : Dans les bras de Wentworth
Date d'inscription : 10/11/2006
Re: L'amant
Alors là, je reste sans voix, j'ai adoré. Chaque phrase, chaque geste, chaque échange, oral ou autre, tout était parfait.
Cette suite était sublime, vraiment.
Cette suite était sublime, vraiment.
Re: L'amant
Ta fic est magnifique!!
Les descriptions sont tellement réelles qu'on vit à plein temps toute ton hiistoire !
J'adore ce qui se passe, cette attraction "undéniable" ( on peut le dire ) qui existe entre eux.
J'attends avec impatience la suite.
Les descriptions sont tellement réelles qu'on vit à plein temps toute ton hiistoire !
J'adore ce qui se passe, cette attraction "undéniable" ( on peut le dire ) qui existe entre eux.
J'attends avec impatience la suite.
micko- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1073
Localisation : dans la loge de Mr Miller
Date d'inscription : 21/11/2006
Re: L'amant
coucou
dit moi, tu aurais pas unepetite longue suite pour nous STPPPPPPP
dit moi, tu aurais pas une
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: L'amant
tinkerbel a écrit:coucou
dit moi, tu aurais pas unepetitelongue suite pour nous STPPPPPPP
coucou
toujours pas
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
- Nombre de messages : 3830
Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: L'amant
miliibnb a écrit:bin j'avais manqué la dernière suite... vraiment magnifique !!!
idem
la suite stp
la suite stp
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Age : 34
Date d'inscription : 26/12/2007
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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