Milie87's staff² [MAJ : 20\02\07]

[color=black]excellent ! vraiment super !
ce que j'adore dans ton histoire c'est la manière dont laquelle se déroule les évènements, tout n'est pas si simple pour nos petits aventuriers exactement comme dans la réei !

et puis il n'y a pas que du misa, moi j'aime bien aussi l'action ! et après touts les périples nos deux petits amoureux sont bien contents de se reposer rien de que tout les deux ! enfin, pas forcément se reposer...

mais c'est vrai que leur relation est assez ambiguë...
michael n'ose pas aller de l'avant avec Sara de peur qu'elle ne soit pas encore prête à lui pardonner complètement, ou qu'elle le repousse.
et Sara est pour l'instant un peu trop perturbé par les évènements récent


et linc ! heureusement qu'il n' pas descendu ce steadman ! même s'il voulait venger véronica

dommage que ce soit bientôt la fin, mais tt bonne chose à bien une fin !

la suite ! la suite ! la suite !

bravo pour cet excellentisime ( et je j'exagère pas loin de là même) fic !

excellente suite comme d'habitude vivement la prochaine

j'ai trop hate de lire la suite

c'est génial

vivement la suite j'espère qu'on aura le droit à une fin heureuse

Hello !
Merci pour vos feed'
Voici la chapitre 11 (pas aussi long que je ne l'aurai voulu), avant dernier je pense.
J'espère qu'il vous plaira !

Chapitre 11.

Les yeux cachés derrière ses éternelles lunettes de soleil, Kellerman observait discrètement ses compagnons de route. Lincoln était en train de somnoler dans son coin, étant donné qu’il n’avait pratiquement pas dormi – tout au plus une dizaine d’heures - depuis qu’ils avaient quittés tous les deux leur hôtel avant de se rendre dans le Montana. Deux ou trois jours auparavant. Quant à son frère, il ne disait pas un mot mais ne cessait de fixer la jeune femme qui lui faisait face, désirant probablement se retrouver seul avec elle durant quelques instants. Sara s’obstinait à éviter le regard de Michael, comme si elle s’était disputée avec lui, mais il pensait plutôt que c’était parce qu’elle était en pleine réflexion. Elle devait sans doute être anxieuse à l’idée de retourner à Chicago, là où tout avait commencé. Sa rencontre avec les fugitifs, leur évasion et l’assassinat de son père. La boucle allait être bouclée.
Ceci dit, il devait avouer qu’il était également soucieux. Retourner à Chicago signifiait retrouver Kim et sa bande, et donc la Présidente. Or il n’était pas sûr d’être prêt pour cela. Caroline l’avait blessé en l’ignorant depuis qu’elle était montée en grade à la tête du pays américain, après tout ce qu’il avait fait pour elle. Des années auparavant, il aurait donné son âme au diable – si ce n’était pas déjà fait – si cela pouvait faire plaisir à la femme dont il avait été éperdument amoureux. Seulement les choses avaient changé. Il avait changé.
Sara se leva brusquement de son siège, passant tout près de lui non lui avoir jeté un regard noir, et disparut dans le couloir menant à la salle de bain de leur wagon. Kellerman était conscient qu’elle ne le portait pas dans son cœur et qu’elle désirait plus que tout qu’il sorte de sa vie. Mais il estimait qu’elle devait lui être tout de même reconnaissante. Sans lui, Michael et Lincoln seraient à Fox River ; Steadman serait toujours en train de se terrer dans son chalet et ils ne seraient pas tous assis confortablement dans un train les menant vers Chicago. Il avait fait joué son statut d’agent du FBI, menaçant le responsable du train de le faire virer s’il n’acceptait pas de faire monter un prisonnier – Michael – avec lui. Voyant que l’homme doutait fortement, il avait pris son téléphone, avait appeler sa messagerie et avait bluffé en prétextant vouloir parler au patron de la compagnie ‘Illinois Trains Service’. Et cela avait marché comme sur des roulettes.
Voyant Michael quitter sa place, sans doute pour retrouver la jeune médecin, Kellerman émit un rire à l’attention du fugitif.

« Vous êtes vraiment pathétique Michael vous savez. »
« Tant mieux si ça vous fait rire. » répondit froidement Michael avant d’ouvrir la porte du compartiment.

*****
La jeune femme ferma à clef la porte derrière elle et s’y appuya en respirant profondément. Elle n’arriverait jamais à finir ce voyage sans perdre les pédales. Elle supportait de moins en moins la présence de Kellerman parce qu’à chaque fois qu’elle le dévisageait, elle revoyait le fond de la baignoire quand elle avait manqué de se noyer ; et le regard de Michael sur elle la mettait de plus en plus mal à l’aise. Non pas qu’elle n’appréciait pas qu’il la regarde – au contraire – mais depuis qu’elle avait eu une peur monstre qu’il ne revienne pas vivant de la ‘capture’ de Steadman, son désir pour lui s’était sensiblement accru. Et elle n’était pas sûre de contrôler ses émotions bien longtemps s’il n’arrêtait pas son petit manège étant donné qu'elle avait déjà commencé à perdre la tête dans la voiture avant qu’il ne parte chercher Steadman.
Sara sursauta lorsqu’elle entendit derrière la cloison la voix de Michael, lui demandant si tout allait bien.

« Ca va Michael. J’ai juste besoin de rester seule un moment. »
« Est-ce que je peux faire quelque chose ? »

Elle ferma les yeux et s’entendit répondre qu’il ne pouvait pas faire grand-chose, hormis la laisser tranquille, parole qu’elle regretta aussitôt. Elle perçut un soupir de l’autre côté de la porte, signe que le jeune homme s’était attendu à une autre réponse.
En vérité, elle ne voulait pas qu’il la laisse seule. Mais elle n’en pouvait plus de cette situation de fuite et de stress permanent parce qu’elle n’était pas faite pour être une fugitive. Elle avait peur de penser que toute cette histoire pourrait se finir mal et que l’ancien détenu disparaisse de sa vie en raison d’une éventuelle balle dans le crâne. Alors sa raison lui dictait sa conduite, la forçant à ne pas s’attacher à lui afin de ne pas souffrir si Michael venait à mourir ultérieurement.
Seulement parfois, il était peut-être bon de ne pas écouter sa raison.
Se retournant en quatrième vitesse, elle ouvrit brutalement la porte de la ‘salle de bain’ et se planta au milieu du couloir.

« Michael ?! » cria-t-elle à moitié avant de l’apercevoir plus loin devant elle.

L’intéressé n’hésita pas une seconde avant de rebrousser chemin et, sans échanger un mot, les deux jeunes gens s’embrassèrent en laissant libre à leur désir respectif. Ils pénétrèrent dans la pièce que Sara venait de quitter, enlevant un à un les vêtements qu’ils portaient et ne souciant pas de savoir s’ils étaient bientôt arriver ou non à Chicago. Tout ce qui comptait était eux et cet instant qu’ils s’accordaient pour évacuer toute la frustration qui s’était accumulée depuis des jours. Sara laissa échapper un rire lorsque Michael ferma tant bien que mal la porte avec son pied tandis qu’à l’autre bout du couloir, Kellerman, Lincoln et Steadman attendait impatiemment que le voyage se finisse.

*****
Jetant un regard à l’extérieur du train, Lincoln sauta agilement depuis le rebord et se força à continuer sa marche d’un pas nonchalant afin d’éviter que quelqu’un remarque sa nervosité. Il entendit derrière lui que son frère, Sara, Kellerman et Steadman l’avaient imité et espéra que ce dernier ne fasse pas tomber leur plan à l’eau. Depuis le départ, Terrence n’avait cessé de s’agiter et de lancer des remarques pessimistes sur le plan de Kellerman.

« Nous ne ferons pas cent mètres avant d’être rattrapés par les autorités de Chicago Paul. Tout le monde connaît les visages des frères et de Mlle Tancredi. Et vous savez bien que la délation est un comportement caractéristique de l’homme dans une situation pareille. »

Bien sûr, ces paroles n’avaient rien arrangé à l’atmosphère qui avait régné dans le train, amplifiant l’appréhension de tout le monde, et Kellerman n’avait su répondre que d’une manière vaseuse, ne sachant pas lui-même si son plan allait fonctionner. En d’autres termes, plus ils étaient sur le point de mettre fin au complot, plus le doute s’était accru dans leur esprit.
Tandis que Kellerman tenait fermement le frère de la Présidente par le bras, Michael attrapa la main de Sara dans la sienne d’un geste rassurant. La jeune femme plongea ses yeux noirs dans ceux du fugitif, le gratifiant d’un bref mais chaleureux sourire, puis elle reporta son attention sur le lieu dans lequel ils se trouvaient.
La gare de train, du fait de se trouver dans une grande ville, était fréquentée par toutes sortes de voyageurs, allant des étrangers reconnaissables avec leur accent aux retraités traînant à bout de bras des immenses sacs de voyage. Pas l’ombre d’un policier ou d’un agent de sécurité, ce que remarqua en premier Kellerman. Celui-ci leur demanda de continuer à marcher jusqu’à la sortie sans précipitation et de l’attendre à l’extérieur, le temps qu’il ramène la voiture qu’il avait louée quelques heures plus tôt par téléphone.
Alors que l’ancien agent de sécurité s’éloignait d’eux, le groupe bifurqua dans la direction opposée afin de trouver un endroit isolé en attendant le retour de Kellerman. Laissant Lincoln et Steadman partirent devant, Sara stoppa Michael et se planta devant lui.

« Michael, pour ce qui s’est passé tout à l’heure … » commença-t-elle avant de rire nerveusement. « Mon Dieu, j’ai l’impression d’être une adolescente. Ce que je veux te dire, c’est que, qu’il y a deux choses qui me font avancer dans cette histoire. La première est que je veux retrouver ceux qui ont tué mon père. Et la deuxième … ironiquement, je ne dirais probablement pas ça si je ne l’avais pas perdu mais … je veux que, euh, que tu saches que la première chose qu’on nous dit quand on commence ce boulot, c’est de ne jamais tomber amoureux d’un détenu. »

La jeune femme leva enfin les yeux vers lui pour découvrir qu’il ne cessait de la fixer sans prononcer un seul mot, comme si cette quasi-déclaration lui avait fait perdre la parole. Alors qu’il ouvrait enfin la bouche, la jeune femme coupa court à toute tentative de réponse.

« Michael, nous devons partir. Maintenant. »

Le jeune homme se retourna et découvrit avec stupéfaction une silhouette familière se dirigeant vers eux. Comment avait-il pu les retrouver ? Ils avaient fait en sorte de ne laisser aucun indice derrière eux.
Petit à petit, Lincoln, Sara et Michael distinguèrent autour d’eux une dizaine d’agents fédéraux qui les encerclaient et qui ne leur laissaient aucune possibilité d’échappatoire.

j'adore ,

c'est génial ,

vivement la suite

met la vite s t p

Ca fait un moment que je n'étais pas venu lire ta/tes fics! Et je dois dire que je suis passser à coté de quelque choses elles sont splendides!!!

oh oh! problèmes à l'horizon

c'est génial

vivement la suite

C'est superbe, j'ai adoré te lire - comme d'habitude - J'ai vraiment hâte de voir la suite des évènements, continue ainsi en tout cas !

Non non nooooooooooooooooon mais ou est la suite?? où??????? tu t'es arrêter trop vite là c''est innacceptable jeune fille il faut toujours quelqu'un pour venir foutre en l'air les bon moments trop bien la suite stp

Merci pour ces commentaires qui me font très plaisir .
J'ai commencé à écrire le début du dernier chapitre hier soir, si j'ai le temps, j'essaierai de le finir aujourd'hui. J'espère en tout cas que je le mettrai en ligne avant le week-end prochain !
J'ai repris les cours depuis deux semaines, donc c'est beaucoup moins facile de trouver du temps pour écrire ...

C'est super ta fic , vivement la suite !

Bon, j'aurais aimé ne jamais dire cela mais je n'ai pas vraiment le choix. Et puis, c'est mauvais de faire poireauter les gens.
Bref. Je tiens à dire que non, je ne suis pas morte, et que oui, je suis toujours fan de PB et du couple.
Seulement la fac me prend énormément de temps, j'ai du boulot et je n'ai plus vraiment le temps d'écrire. Ou alors cinq lignes tous les quinzes jours.
Le dernier chapitre est commencé, je vous assure, mais je tarde à écrire la fin. Donc je la posterai un jour, prochain, mais pas pour le moment. Même chose pour mes créations graphiques. *sight*
Désolée pour ce manque de temps. Et je vous jure, je préfèrerais (et de loin) faire autre chose que passer mes journées à faire des TD de Droit administratif ou de Droit civil des obligations.
Mmm, je pense que c'est à peu près tout ce que j'avais à dire.
See you soon !

Milie87 a écrit:Bon, j'aurais aimé ne jamais dire cela mais je n'ai pas vraiment le choix. Et puis, c'est mauvais de faire poireauter les gens.
Bref. Je tiens à dire que non, je ne suis pas morte, et que oui, je suis toujours fan de PB et du couple.
Seulement la fac me prend énormément de temps, j'ai du boulot et je n'ai plus vraiment le temps d'écrire. Ou alors cinq lignes tous les quinzes jours.
Le dernier chapitre est commencé, je vous assure, mais je tarde à écrire la fin. Donc je la posterai un jour, prochain, mais pas pour le moment. Même chose pour mes créations graphiques. *sight*
Désolée pour ce manque de temps. Et je vous jure, je préfèrerais (et de loin) faire autre chose que passer mes journées à faire des TD de Droit administratif ou de Droit civil des obligations.
Mmm, je pense que c'est à peu près tout ce que j'avais à dire.
See you soon !

C'est pas grave au moins on sait que tu n'es pas morte lol les études avant tout on patientera bien quelque temps encore see you soon!

Je passe en coup de vent pour poster ce que je viens juste de finir il y a quelques minutes. Il me semble qu'il a de nombreuses fautes de temps, mais je suis trop fatiguée pour les corriger^^. Je le ferai plus tard !
En espérant que ça vous plaise !

The first time

La première fois que sa vie a basculé, elle avait cinq ans. Elle était en train de jouer dans la cour d'école quand sa maîtresse l'avait appelée pour lui annoncer qu'elle devait rentrer à la maison. Son père n'avait même pas pris la peine de se déplacer pour venir la chercher, mais avait préféré envoyer un de ces hommes en noir qui lui avait toujours fait peur. Il lui avait appris par téléphone qu'elle ne reverrait plus sa mère, parce que celle-ci avait rejoint le monde d'en haut.

La seconde fois que sa vie a basculé, elle avait quinze ans. Elle rentrait du lycée en compagnie de sa meilleure amie qui habitait trois rues à côté et n'avait pas remarqué les trois hommes au loin. Son esprit était trop occupé à penser à Pete McField, un garçon très mignon qui lui avait envoyé en mot doux en classe de biologie. Elle n'avait réagi qu'au moment où Emy lui avait presque arraché le bras en l'empoignant pour lui signaler le problème. Deux hommes s'enfuyaient en courant alors qu'un autre était à terre, dans une mare de sang. Un règlement de compte entre dealers. Elle n'avait pas pu détaché ses yeux du visage de l'homme à l'agonie qui lui murmurait qu'il avait besoin de soins. Seulement elle n'était qu'une adolescente énamourachée d'un garçon de sa classe et elle n'avait pu rien faire pour le sauver. Mais elle s'était jurée de ne plus se retrouver dans cette situation.

La troisième fois que sa vie a basculé, elle avait vingt-quatre ans. Elle se trouvait devant des centaines de personnes la regardant et buvant toutes ses paroles. Le doyen de l'université était postée à côté d'elle et ne cessait de lui faire un grand sourire, comme s'il avait passé sa vie à s'exercer à cela. Sans doute était-il content de voir que presque toute la promotion avait réussi cette année. Elle était là, à parler dans un micro, habillée d'une espèce de tunique verte propre aux diplômés et elle tenait dans sa main ce qu'elle s'était promis d'avoir neuf ans auparavant.

La quatrième fois que sa vie a basculé, elle avait vingt-cinq ans. Son coeur s'était emballer à la vue de tout l'attirail disposé sur la table basse d'un type qu'elle ne connaissait même pas. Elle avait légèrement tressailli quand Thomas lui avait présenté la seringue et la petite fiole. Elle avait hésité une seconde puis elle s'était vue allonger le bras et hocher la tête en guise de réponse. Elle s'était sentie libérée de tous ses problèmes personnels et de toute l'animosité qu'elle ressentait pour son père lorsque la drogue avait commencé à faire effet sur son organisme.

La cinquième fois que sa vie a basculé, elle avait vingt-six ans. Sa vue s'était brouillée quand elle s'était jetée à genoux sur le sol, devant cet homme mourant d'une crise cardiaque. Les paroles de la femme à côté lui avait sembler venir en décalé et elle avait eu du mal à comprendre ce qu'elle devait faire. Puis elle avait compris mais son corps avait refusé de bouger et elle était restée là, sans rien faire, à attendre que l'homme décède. Elle avait alors sentie des bras la soulevant et l'emmenant loin de ce drame auquel elle avait assisté passivement. Encore une fois.

Sa vie avait basculé encore une sixième, une septième, une huitième et une neuvième fois. Elle avait vingt-neuf ans.

La dixième fois que sa vie a basculé, elle se trouvait dans un train. Elle avait manqué d'un cheveux de tuer un homme par vengeance mais elle était soulagée d'avoir été arrêtée dans son geste. Ses mains avaient trembler alors qu'elle avait fermer les yeux pour tenter de calmer les battements de son coeur et qu'elle avait entendu une voix l'appeler à travers la porte.

Son existence semblait à nouveau sur le point de prendre un nouveau tournant tandis qu'elle révélait ce qu'elle avait compris la sixième fois où sa vie avait basculé. De simples mots mais lourds de sens, de conséquences pour eux deux.
Elle sut que les choses allaient être différentes quand Michael posa une main contre sa joue et qu'il approcha son visage du sien. Ce n'était peut-être pas la réponse qu'elle avait attendue, mais elle s'en moquait. Elle ferma les yeux et se laissa simplement aller.


*Quant au dernier chapitre de ma fic, j'avoue que je n'ai aucune idée du moment où je le finirai ...*

J A DORE

VIVEMENT LA SUITE

MET LA VITE

S T P

super je suis admirative, on se croirait etre avec elle dans toute ces moments intense

bravo et met nous une super longue suite

C'est vraiment génial !!!!!

Trop bien !! pauvre Sara elle en a vécu des choses quand même!!
la suite!