Jeunesse
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Jeunesse
Suite :
- Je dois dire que c’est la première fois qu’un de mes patients s’éclipse pour régler ses comptes. Redressez-vous !
Michael releva ses épaules voûtées, son médecin lui rappelait étrangement son institutrice sévère du cours préparatoire.
- Je ne suis pas très doué pour tout ce qui touche au relationnel, concéda Michael, fataliste.
- C’est le moins qu’on puisse dire. Allez-vous pleurnicher toute la sainte journée ? s’enquit la soignante en enfonçant rageusement une aiguille dans le bras de Michael.
- Je ne saisis pas ce à quoi vous faîtes allusion, rétorqua Michael la fusillant du regard et massant sa peau endolorie.
- De mon temps les hommes se battaient pour nous avoir, du romanesque à l’état pur. Désormais faîtes moi le plaisir d’aller botter le derrière de ce malotru et de récupérer la charmante demoiselle qui se pâmait à votre bras. Exécution.
Michael rassembla ses affaires et sortit sans demander son reste. Un collègue de la doctoresse s’immobilisa devant la porte et constata :
- Tu ne changeras jamais décidément !
- C’est mon côté fleur bleue qui ne peut s’empêcher de faire des siennes. Un si beau couple, j’ai horreur du gâchis.
- Dr. Je me suis permise d’insister auprès de votre secrétaire, mais je devais impérativement vous parler.
- Asseyons-nous. Que se passe-t-il ?
- Voilà. J’ai vu Michael. Deux fois.
- En êtes-vous sûre Sara ?
- Pratiquement oui. Aussi beau que dans mon souvenir. Je me sens si bien en sa présence. Je crois que nos séances ne sont plus d’aucune utilité à présent que je l’ai retrouvé. Il doit se senti coupable de m’avoir abandonnée une première fois.
- Doucement, ce n’est pas parce que vous êtes dans une période de bien-être relatif que la thérapie doit cesser. Y avait-il une tierce personne en votre compagnie.
- Heu, oui. Mon ami Tim était présent.
- Avez-vous assisté à l’une de leurs confrontations ? Quelle attitude avaient-ils ?
- Assez hostile.
- Sara. J’ai le regret de vous dire que vous êtes dans la confusion la plus totale. Nous allons revoir le dosage de vos antidépresseurs. Vous allez en prendre tout de suite, j’en ai en réserve. Vous verrez vous vous sentirez mieux.
- Si vous le dites. Mais j’aimerais en parler avec mon père pour qu’il constate les progrès que j’ai faits.
- Bien sûr.
Sara avala les pilules et se sentit plus légère. L’effet était radical. Elle vit la silhouette déformée du thérapeute approcher et sentit ses mains pataudes lui caresser la gorge. Mais ses membres étaient lourds, trop lourds pour le repousser. Puis plus rien et elle crut comprendre qu’il lui conseillait de rentrer se reposer. Ce qu’elle fit avec difficulté. En bas des marches elle vit Tim, il semblait l’attendre. Lorsqu’il s’aperçut qu’elle venait il l’attira dans ses bras. Tim était son confident des derniers jours, il la comprenait et elle avait besoin de réconfort. Sara était dans un état trop comateux pour lui relater son indicible bonheur provoqué par Michael. Aussi lui rappela-t-elle leur séance du lendemain aux Alcooliques Anonymes puis entra dans son appartement et sombra dans le sommeil à la vue de son sofa. Tim était tout sourire, il se remémorait la douceur de Sara tout contre lui. L’instant d’après, il poussa un juron indescriptible. Michael Scofield se tenait face à lui.
- Je viens voir Sara, vous ne m’en empêcherez pas, dit celui-ci.
Tim tenta de lui barrer la route mais Michael avait l’avantage de la taille. D’une main, qu’il avait large, il lui enserra le cou, l’autre en suffoquait. Puis il grimpa les marches et sonna. Sara était là, il l’avait vu pénétrer à l’intérieur à l’instant. Les secondes s’égrenaient sans que Michael ne voie s’ouvrir la porte. Il sonna. Encore et encore. Tambourina. Mais la porte demeurait désespérément close. Déçu il rebroussa chemin, non sans remarquer le rictus satisfait de Tim. Michael avait espéré que le rêve de l’hôpital se poursuive. Mais apparemment Sara avait choisi son camp.
- Je dois dire que c’est la première fois qu’un de mes patients s’éclipse pour régler ses comptes. Redressez-vous !
Michael releva ses épaules voûtées, son médecin lui rappelait étrangement son institutrice sévère du cours préparatoire.
- Je ne suis pas très doué pour tout ce qui touche au relationnel, concéda Michael, fataliste.
- C’est le moins qu’on puisse dire. Allez-vous pleurnicher toute la sainte journée ? s’enquit la soignante en enfonçant rageusement une aiguille dans le bras de Michael.
- Je ne saisis pas ce à quoi vous faîtes allusion, rétorqua Michael la fusillant du regard et massant sa peau endolorie.
- De mon temps les hommes se battaient pour nous avoir, du romanesque à l’état pur. Désormais faîtes moi le plaisir d’aller botter le derrière de ce malotru et de récupérer la charmante demoiselle qui se pâmait à votre bras. Exécution.
Michael rassembla ses affaires et sortit sans demander son reste. Un collègue de la doctoresse s’immobilisa devant la porte et constata :
- Tu ne changeras jamais décidément !
- C’est mon côté fleur bleue qui ne peut s’empêcher de faire des siennes. Un si beau couple, j’ai horreur du gâchis.
- Dr. Je me suis permise d’insister auprès de votre secrétaire, mais je devais impérativement vous parler.
- Asseyons-nous. Que se passe-t-il ?
- Voilà. J’ai vu Michael. Deux fois.
- En êtes-vous sûre Sara ?
- Pratiquement oui. Aussi beau que dans mon souvenir. Je me sens si bien en sa présence. Je crois que nos séances ne sont plus d’aucune utilité à présent que je l’ai retrouvé. Il doit se senti coupable de m’avoir abandonnée une première fois.
- Doucement, ce n’est pas parce que vous êtes dans une période de bien-être relatif que la thérapie doit cesser. Y avait-il une tierce personne en votre compagnie.
- Heu, oui. Mon ami Tim était présent.
- Avez-vous assisté à l’une de leurs confrontations ? Quelle attitude avaient-ils ?
- Assez hostile.
- Sara. J’ai le regret de vous dire que vous êtes dans la confusion la plus totale. Nous allons revoir le dosage de vos antidépresseurs. Vous allez en prendre tout de suite, j’en ai en réserve. Vous verrez vous vous sentirez mieux.
- Si vous le dites. Mais j’aimerais en parler avec mon père pour qu’il constate les progrès que j’ai faits.
- Bien sûr.
Sara avala les pilules et se sentit plus légère. L’effet était radical. Elle vit la silhouette déformée du thérapeute approcher et sentit ses mains pataudes lui caresser la gorge. Mais ses membres étaient lourds, trop lourds pour le repousser. Puis plus rien et elle crut comprendre qu’il lui conseillait de rentrer se reposer. Ce qu’elle fit avec difficulté. En bas des marches elle vit Tim, il semblait l’attendre. Lorsqu’il s’aperçut qu’elle venait il l’attira dans ses bras. Tim était son confident des derniers jours, il la comprenait et elle avait besoin de réconfort. Sara était dans un état trop comateux pour lui relater son indicible bonheur provoqué par Michael. Aussi lui rappela-t-elle leur séance du lendemain aux Alcooliques Anonymes puis entra dans son appartement et sombra dans le sommeil à la vue de son sofa. Tim était tout sourire, il se remémorait la douceur de Sara tout contre lui. L’instant d’après, il poussa un juron indescriptible. Michael Scofield se tenait face à lui.
- Je viens voir Sara, vous ne m’en empêcherez pas, dit celui-ci.
Tim tenta de lui barrer la route mais Michael avait l’avantage de la taille. D’une main, qu’il avait large, il lui enserra le cou, l’autre en suffoquait. Puis il grimpa les marches et sonna. Sara était là, il l’avait vu pénétrer à l’intérieur à l’instant. Les secondes s’égrenaient sans que Michael ne voie s’ouvrir la porte. Il sonna. Encore et encore. Tambourina. Mais la porte demeurait désespérément close. Déçu il rebroussa chemin, non sans remarquer le rictus satisfait de Tim. Michael avait espéré que le rêve de l’hôpital se poursuive. Mais apparemment Sara avait choisi son camp.
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magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
génial
vivement la suite
j'ai hate de lire la suivante et meme tres impatiente
met vite la suite
s t p , s t p
vivement la suite
j'ai hate de lire la suivante et meme tres impatiente
met vite la suite
s t p , s t p
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Jeunesse
Oh noooooooooooon
Mais c'est pasa vrai ils peuvent pas etre heureux un peu
Vite une suite
Mais c'est pasa vrai ils peuvent pas etre heureux un peu
Vite une suite
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Jeunesse
sare tu attends quoi
vivement la suite
vivement la suite
lizevans- A la recherche de Bolshoi Booze
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Re: Jeunesse
Quoi nan!!!!!!!!
Tu lé rapproche pour pouvoir mieux les séparé, nan nan je suis pas daccord!!!
Tu devien sadike lààààà!!!
Met vite une suite stp...
Et une suite misa de préférence!!!!!
Ta fic est géniale je l'adore toujours autant!
Tu lé rapproche pour pouvoir mieux les séparé, nan nan je suis pas daccord!!!
Tu devien sadike lààààà!!!
Met vite une suite stp...
Et une suite misa de préférence!!!!!
Ta fic est géniale je l'adore toujours autant!
Re: Jeunesse
Mea culpa. N'oubliez pas qu'il s'agit d'un flash back !
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
Je suis désolé j'ai bo relire ta dernière suite je ne voi pas de quel flach back tu parle... t'essaye de dire quand faite ils ne se son pas revu?????
Re: Jeunesse
En fait le flash back correspond aux années qu'ils ont vécues séparément depuis que le père Tancredi a mis sa menace a execution. En fait, Franck a mis un coup de pression à Michael pour qu'il ne perturbe pas Sara davantage, il pense qu'il fait partie de sa bande de potes toxico. Michael se voit donc contraint de disparaitre de sa vie. Ensuite on les retrouve 8 ans plus tard à Fox River : Sara est médecin et Michael s'est volontairement fait emprisonner, et Sara se dit qu'elle l'a déjà vu quelquepart. Pourquoi doute-t-elle ? Parce que son père est influent et qu'il met la pression à tout le monde donc il paye les médecins et tous les potes de Sara en manque de thune pour qu'ils lui mentent et qu'elle oublie que Michael a fait partie de sa vie. Les tranquilisants ça aide à bousiller le cerveau. Et donc mon flash back se situe dans cette période de flou complet pour Sara où Michael ne l'a jamais vraiment oubliée. Il l'aime mais le rapprochement n'est pas facile entre eux puisque d'autres personnes sont intéressées (Kristin et Tim) et le médecin psychopathe corrompu en kiff sur Sara n'est pas réjoui de leurs retrouvailles. Mais c'est pas sa faute là, elle était assomée par les psychotropes qu'il lui a prescrits, donc elle pouvait pas lui ouvrir la porte.
C'est vrai que vu sous cet angle c'est pas si évident
C'est vrai que vu sous cet angle c'est pas si évident
Dernière édition par le Mar 6 Fév - 22:25, édité 3 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
Suite :
Hmm. Que c’est bon de se reposer se dit Sara en émergeant du cocon de son sommeil. Etrange comme la lumière filtrait dans la pièce. Quelle heure était-il donc ? Sara se redressa déboussolée, il n’était pas dans ses habitudes de dormir autant. Puis elle se pelotonna dans son sofa et sourit a son reflet épanoui. Michael et elle avaient eu des hauts et des bas dans leur relation, mais ils s’étaient enfin retrouvés. Sara se souvint des promenades main dans la main, des regards lourds de sens échangés. Un bien-être ineffable envahissait la jeune femme. Elle voulait le partager avec quelqu’un.
- Allo, Tim ? C’est Sara. J’te dérange pas ?
- En fait j’allais à l’hôpital chercher des comprimés, j’ai égaré mon ordonnance, ils pourront me dépanner là-bas.
- Je viens avec toi. J’ai des choses à te dire.
Sara raccrocha, heureuse. Le pauvre Tim quant à lui ne se doutait pas que son amour était à sens unique.
Michael Scofield. Indisponible car le monde est vaste. Laissez un message.
Bonjour Michael. Ca ne s’est pas très bien passé la dernière fois, je nous laisse une autre chance. J’arrive dans trente minutes.
Michael s’était assoupi, les journées de travail se faisaient sentir. Il prit une douche rapide et vivifiante. Se prépara, s’aspergeant de l’après-rasage que Sara lui avait offert durant leur liaison pendant les années fac. Un doute subsistait, comment Sara s’était-elle procuré ses coordonnées ? L’entreprise qui l’embauchait l’avait retiré de l’annuaire pour illustrer leur politique de protection des employés. Mais sa bonne humeur surpassait sa lucidité, aussi se dirigea-t-il impatiemment vers sa porte quand on sonna.
- Je suis tellement content de te… Kristin ? Que faîtes-vous ici ?
- Je vais me sentir vexée de cet accueil, vous avez cinq secondes pour vous rattraper Michael.
- Kristin, pas maintenant, j’ai rendez-vous.
- Oui et c’est avec moi, j’ai laissé un message sur votre répondeur.
- C’était vous ? Cela ne vous vient jamais à l’esprit de décliner votre identité ! Je vous ai prise pour quelqu’un d’autre.
Michael semblait hors de lui comme si on l’avait usurpé. Surprise Kristin tenta de se justifier :
- Mais…
- Vous n’êtes qu’une manipulatrice, j’en aime une autre alors sortez de ma vie.
Le message était bien passé constata Michael à la vue de la mine déconfite de Kristin. Celle-ci recula puis dévala les marches souhaitant établir la plus grande distance possible. Ne plus voir cet homme qui venait de lui briser le cœur à une étape charnière de sa vie. Elle démarra en trombe, passa chez le doyen pour lui expliquer, dans un flot de larmes, la raison de son départ précipité puis se rendit au cottage afin de boucler ses valises. Mais trop d’efforts avaient été fournis ; Kristin Von Felten s’effondra sur le sol, son cœur était trop faible.
Sara alla à la rencontre de Tim. Ensembles ils grimpèrent les marches de l’hôpital tout en parlant.
- J’ai retrouvé Michael, on s’aime. Comme avant, peut-être même plus. Je compte le retrouver plus tard dans la soirée. C’est le plus beau jour de ma vie, je suis si heureuse. J’ai l’impression que tu désirais parler. Je t’écoute.
Mais Tim souffrait en silence. Les mots d’amour tant ressassés ne franchiraient pas ses lèvres. Sara lui échappait. C’était douloureux. L’amour faisait mal.
- Ah, jeunes gens, entrez donc, je dois m’entretenir avec vous, dit le Dr. Charles Philips dans le couloir.
Sara et Tim pénétrèrent dans son bureau surpris.
- Mlle Tancredi m’a informé des progrès qu’elle effectue à chaque réunion et il semblerait que vous fassiez désormais partie de son cercle d’amis jeune homme, est-ce exact ?
- Oui.
- Bien. Il est important n’est-ce pas de pouvoir compter sur ses amis. C’est pourquoi j’aurais besoin de votre témoignage. Sara a de lourds antécédents psychiatriques, la vie n’a pas été tendre avec elle. Connaissez-vous un certain Michael Scofield ? L’avez-vous déjà rencontré ?
Tiraillé, Tim hésitait à répondre. Si pour récupérer Sara il lui fallait mentir, alors c’était un moindre mal.
- Non, j’ignore de qui il s’agit.
- Tim. Pourquoi mens-tu ? Tu nous as vus dans le couloir, tu lui a parlé devant la porte de ton amie Kristin. Dis lui la vérité, dis lui que je n’ai pas rêvé tous ces moments.
- Sara, tu étais fatiguée. C’est tout ce que j’ai à dire.
Sara regarda alternativement le Dr. et Tim, écoeurée par tant de duplicité.
Hmm. Que c’est bon de se reposer se dit Sara en émergeant du cocon de son sommeil. Etrange comme la lumière filtrait dans la pièce. Quelle heure était-il donc ? Sara se redressa déboussolée, il n’était pas dans ses habitudes de dormir autant. Puis elle se pelotonna dans son sofa et sourit a son reflet épanoui. Michael et elle avaient eu des hauts et des bas dans leur relation, mais ils s’étaient enfin retrouvés. Sara se souvint des promenades main dans la main, des regards lourds de sens échangés. Un bien-être ineffable envahissait la jeune femme. Elle voulait le partager avec quelqu’un.
- Allo, Tim ? C’est Sara. J’te dérange pas ?
- En fait j’allais à l’hôpital chercher des comprimés, j’ai égaré mon ordonnance, ils pourront me dépanner là-bas.
- Je viens avec toi. J’ai des choses à te dire.
Sara raccrocha, heureuse. Le pauvre Tim quant à lui ne se doutait pas que son amour était à sens unique.
Michael Scofield. Indisponible car le monde est vaste. Laissez un message.
Bonjour Michael. Ca ne s’est pas très bien passé la dernière fois, je nous laisse une autre chance. J’arrive dans trente minutes.
Michael s’était assoupi, les journées de travail se faisaient sentir. Il prit une douche rapide et vivifiante. Se prépara, s’aspergeant de l’après-rasage que Sara lui avait offert durant leur liaison pendant les années fac. Un doute subsistait, comment Sara s’était-elle procuré ses coordonnées ? L’entreprise qui l’embauchait l’avait retiré de l’annuaire pour illustrer leur politique de protection des employés. Mais sa bonne humeur surpassait sa lucidité, aussi se dirigea-t-il impatiemment vers sa porte quand on sonna.
- Je suis tellement content de te… Kristin ? Que faîtes-vous ici ?
- Je vais me sentir vexée de cet accueil, vous avez cinq secondes pour vous rattraper Michael.
- Kristin, pas maintenant, j’ai rendez-vous.
- Oui et c’est avec moi, j’ai laissé un message sur votre répondeur.
- C’était vous ? Cela ne vous vient jamais à l’esprit de décliner votre identité ! Je vous ai prise pour quelqu’un d’autre.
Michael semblait hors de lui comme si on l’avait usurpé. Surprise Kristin tenta de se justifier :
- Mais…
- Vous n’êtes qu’une manipulatrice, j’en aime une autre alors sortez de ma vie.
Le message était bien passé constata Michael à la vue de la mine déconfite de Kristin. Celle-ci recula puis dévala les marches souhaitant établir la plus grande distance possible. Ne plus voir cet homme qui venait de lui briser le cœur à une étape charnière de sa vie. Elle démarra en trombe, passa chez le doyen pour lui expliquer, dans un flot de larmes, la raison de son départ précipité puis se rendit au cottage afin de boucler ses valises. Mais trop d’efforts avaient été fournis ; Kristin Von Felten s’effondra sur le sol, son cœur était trop faible.
Sara alla à la rencontre de Tim. Ensembles ils grimpèrent les marches de l’hôpital tout en parlant.
- J’ai retrouvé Michael, on s’aime. Comme avant, peut-être même plus. Je compte le retrouver plus tard dans la soirée. C’est le plus beau jour de ma vie, je suis si heureuse. J’ai l’impression que tu désirais parler. Je t’écoute.
Mais Tim souffrait en silence. Les mots d’amour tant ressassés ne franchiraient pas ses lèvres. Sara lui échappait. C’était douloureux. L’amour faisait mal.
- Ah, jeunes gens, entrez donc, je dois m’entretenir avec vous, dit le Dr. Charles Philips dans le couloir.
Sara et Tim pénétrèrent dans son bureau surpris.
- Mlle Tancredi m’a informé des progrès qu’elle effectue à chaque réunion et il semblerait que vous fassiez désormais partie de son cercle d’amis jeune homme, est-ce exact ?
- Oui.
- Bien. Il est important n’est-ce pas de pouvoir compter sur ses amis. C’est pourquoi j’aurais besoin de votre témoignage. Sara a de lourds antécédents psychiatriques, la vie n’a pas été tendre avec elle. Connaissez-vous un certain Michael Scofield ? L’avez-vous déjà rencontré ?
Tiraillé, Tim hésitait à répondre. Si pour récupérer Sara il lui fallait mentir, alors c’était un moindre mal.
- Non, j’ignore de qui il s’agit.
- Tim. Pourquoi mens-tu ? Tu nous as vus dans le couloir, tu lui a parlé devant la porte de ton amie Kristin. Dis lui la vérité, dis lui que je n’ai pas rêvé tous ces moments.
- Sara, tu étais fatiguée. C’est tout ce que j’ai à dire.
Sara regarda alternativement le Dr. et Tim, écoeurée par tant de duplicité.
Dernière édition par le Ven 23 Mar - 20:47, édité 5 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
Grrrrrr!!!!!!! méchant Tim
c'est bien Michael tu as fait un grand bond et tu es remonté dans mon estime je te félicite!!!
Vivement la suite c'est toujours aussi bien continue
c'est bien Michael tu as fait un grand bond et tu es remonté dans mon estime je te félicite!!!
Vivement la suite c'est toujours aussi bien continue
Re: Jeunesse
Mais ils sont chiant ces deux là
Toujours aussi bien ta fic , vivement la prochaine suite
Toujours aussi bien ta fic , vivement la prochaine suite
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: Jeunesse
génial , j'adore ,
j'ai hate de lire la suivante, meme impatiente desavoir la suite
s t p, la suite s t p ,
j'ai hate de lire la suivante, meme impatiente desavoir la suite
s t p, la suite s t p ,
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Jeunesse
Vivement une suite
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Jeunesse
et bien pauvre sara personne la croit
et ce tim juste par fierté...
vivement la suite
et ce tim juste par fierté...
vivement la suite
lizevans- A la recherche de Bolshoi Booze
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Re: Jeunesse
c'est dommage même tim ne récupérait pas sara !!!!
son coeur est à michael
son coeur est à michael
anso26- Retrouve Steadman
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Re: Jeunesse
Suite :
Michael se rendait à l’hôpital. Comme Sara ne lui avait pas ouvert sa porte la dernière fois, il espérait pouvoir la rencontrer au seul autre endroit qu’il lui connaissait. Sara lui manquait horriblement et maintenant qu’il l’avait retrouvée il ferait tout pour que rien ne les sépare. Michael grimaça, ses pensées étaient décidément empreintes de désespoir et de passion. Lui si rationnel d’habitude. Michael se gara sur le parking, prêt à pénétrer l’enceinte de l’hôpital quand il vit une ambulance arriver en trombe. Les secouristes sortirent le brancard sur lequel reposait une personne inanimée. Tous s’affairaient autour, un membre de la famille lui serrait la main. Michael reconnut le doyen Twence. Intrigué, il s’approcha et reconnu les mèches folles de Kristin qui auréolaient autour de son visage d’une blancheur crayeuse, alarmante. Michael déglutit difficilement et demanda :
- Que se passe-t-il, que lui arrive-t-il ?
- Monsieur, vous nuisez au bon déroulement de notre travail, veuillez vous écarter, répondit un homme en blanc.
- Je connais cette femme, dîtes moi de quoi elle souffre, insista Michael.
- Sécurité, éloignez cet individu. Il nous retarde.
Michael se mit en retrait puis apostropha Scherman Twence. L’air grave il le questionna :
- Scherman, ne me laissez pas dans l’ignorance. J’apprécie Kristin. S’il vous plaît.
- Vraiment ? Si vous l’estimiez à sa juste valeur, vous ne lui auriez pas fait subir cette mascarade. Regardez dans quel état vous l’avez mise ! Moi qui vous croyais distingué, vous n’êtes même pas fichu de ménager son cœur. Kristin souffre d’une malformation congénitale. Elle est arrivée totalement bouleversée chez moi. Je l’ai suivi en voiture et je l’ai découverte évanouie.
- Je ne savais pas qu’elle était malade. Je suis désolé, confia Michael, désarmé.
- Vous pouvez. Sortez de nos vies, Scofield.
Michael, se trouvait dans le hall des urgences, au milieu d’un tourbillon de gestes rapides, de sonneries stridentes, de cris de douleur. Lui semblait tétanisé. Il n’apportait que la souffrance. Mais tout n’était pas perdu, se dit-il. A défaut de servir Kristin, il pouvait tenter sa chance auprès de Sara. Ragaillardi à cette pensée, Michael se dirigea vers les escaliers.
- Vous voyez Sara, même votre ami Tim n’accorde pas foi à vos allégations. Votre petit ami n’existe que dans vos rêves. Je vais donc vous donner d’autres comprimés. Le traitement sera à prolonger, ajouta le Dr. Philips.
Sara soupira et fit un pas pour saisir les pilules. Tim l’arrêta, suspicieux en désignant les médicaments :
- C’est quoi ces trucs ?
- Un nouveau traitement que Charles me recommande, ça m’apaise. Tu veux essayer ? Proposa la jeune femme à Tim.
- Sara ne les avale pas, ces pilules ne sont pas conformes, je n’en ai jamais vu de pareilles. Pas étonnant que tu sois épuisée à chaque fois. Viens on s’en va, ordonna Tim en lui prenant la main, se dirigeant vers la porte.
- Vous n’irez nulle part.
Sara et Tim se retournèrent et virent avec incrédulité le Dr. Philips avancer avec dans la main droite une seringue remplie et dans l’autre un canif à la lame aiguisée.
Michael se rendait à l’hôpital. Comme Sara ne lui avait pas ouvert sa porte la dernière fois, il espérait pouvoir la rencontrer au seul autre endroit qu’il lui connaissait. Sara lui manquait horriblement et maintenant qu’il l’avait retrouvée il ferait tout pour que rien ne les sépare. Michael grimaça, ses pensées étaient décidément empreintes de désespoir et de passion. Lui si rationnel d’habitude. Michael se gara sur le parking, prêt à pénétrer l’enceinte de l’hôpital quand il vit une ambulance arriver en trombe. Les secouristes sortirent le brancard sur lequel reposait une personne inanimée. Tous s’affairaient autour, un membre de la famille lui serrait la main. Michael reconnut le doyen Twence. Intrigué, il s’approcha et reconnu les mèches folles de Kristin qui auréolaient autour de son visage d’une blancheur crayeuse, alarmante. Michael déglutit difficilement et demanda :
- Que se passe-t-il, que lui arrive-t-il ?
- Monsieur, vous nuisez au bon déroulement de notre travail, veuillez vous écarter, répondit un homme en blanc.
- Je connais cette femme, dîtes moi de quoi elle souffre, insista Michael.
- Sécurité, éloignez cet individu. Il nous retarde.
Michael se mit en retrait puis apostropha Scherman Twence. L’air grave il le questionna :
- Scherman, ne me laissez pas dans l’ignorance. J’apprécie Kristin. S’il vous plaît.
- Vraiment ? Si vous l’estimiez à sa juste valeur, vous ne lui auriez pas fait subir cette mascarade. Regardez dans quel état vous l’avez mise ! Moi qui vous croyais distingué, vous n’êtes même pas fichu de ménager son cœur. Kristin souffre d’une malformation congénitale. Elle est arrivée totalement bouleversée chez moi. Je l’ai suivi en voiture et je l’ai découverte évanouie.
- Je ne savais pas qu’elle était malade. Je suis désolé, confia Michael, désarmé.
- Vous pouvez. Sortez de nos vies, Scofield.
Michael, se trouvait dans le hall des urgences, au milieu d’un tourbillon de gestes rapides, de sonneries stridentes, de cris de douleur. Lui semblait tétanisé. Il n’apportait que la souffrance. Mais tout n’était pas perdu, se dit-il. A défaut de servir Kristin, il pouvait tenter sa chance auprès de Sara. Ragaillardi à cette pensée, Michael se dirigea vers les escaliers.
- Vous voyez Sara, même votre ami Tim n’accorde pas foi à vos allégations. Votre petit ami n’existe que dans vos rêves. Je vais donc vous donner d’autres comprimés. Le traitement sera à prolonger, ajouta le Dr. Philips.
Sara soupira et fit un pas pour saisir les pilules. Tim l’arrêta, suspicieux en désignant les médicaments :
- C’est quoi ces trucs ?
- Un nouveau traitement que Charles me recommande, ça m’apaise. Tu veux essayer ? Proposa la jeune femme à Tim.
- Sara ne les avale pas, ces pilules ne sont pas conformes, je n’en ai jamais vu de pareilles. Pas étonnant que tu sois épuisée à chaque fois. Viens on s’en va, ordonna Tim en lui prenant la main, se dirigeant vers la porte.
- Vous n’irez nulle part.
Sara et Tim se retournèrent et virent avec incrédulité le Dr. Philips avancer avec dans la main droite une seringue remplie et dans l’autre un canif à la lame aiguisée.
magalie- Parti au secours de Sara
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Date d'inscription : 12/12/2006
Re: Jeunesse
Non!!
N'arrête pas là!!!
Pitié que Michael vienne a la rescousse!!!!!!!
Je veux la suite stp!!!!!!!!!!!!!!
Stp
N'arrête pas là!!!
Pitié que Michael vienne a la rescousse!!!!!!!
Je veux la suite stp!!!!!!!!!!!!!!
Stp
Re: Jeunesse
faites qu'il y ait michaell !!!!
ohh la le psycopathe
ohh la le psycopathe
anso26- Retrouve Steadman
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Localisation : à los angeles avec went et sarah
Date d'inscription : 30/12/2006
Re: Jeunesse
Arghhhh c'est affreux de nous laisser comme ça!!!
Tim est un type bien finalement... Mais c'est quand même Michael qu'il faut à Sara...^^
J'attends la suite avec impatience!
Tim est un type bien finalement... Mais c'est quand même Michael qu'il faut à Sara...^^
J'attends la suite avec impatience!
mickara- Parti au secours de Sara
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Localisation : En ballade sur l'Ile Mouton...
Date d'inscription : 19/10/2006
Re: Jeunesse
c'est quoi ce docteur????
et michael si désemparé
vivement la suite
et michael si désemparé
vivement la suite
lizevans- A la recherche de Bolshoi Booze
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Date d'inscription : 24/11/2006
Re: Jeunesse
Wow c'est quoi ce bordel!
Mais nous vite une suite
Mais nous vite une suite
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Age : 37
Date d'inscription : 04/11/2006
Re: Jeunesse
C'est quoi ce medecin ? Vivement la suite !
zenaide- Retrouve Steadman
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Age : 32
Localisation : en plein coeur d'un homme.......
Date d'inscription : 20/11/2006
Re: Jeunesse
un taret je pense lol
anso26- Retrouve Steadman
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Age : 32
Localisation : à los angeles avec went et sarah
Date d'inscription : 30/12/2006
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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