Jeunesse
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: Jeunesse
je suis contente de te relire a nouveau
et bien michael faut pas oublier sara
et bien michael faut pas oublier sara
lizevans- A la recherche de Bolshoi Booze
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Re: Jeunesse
Moi aussi je suis contente de réécrire.
Suite :
- Ma chère Kristin, quelle merveilleuse surprise. Assieds-toi, je suis sûr que tu as le ventre vide. Tu prendras bien le petit-déjeuner avec nous ?
- Merci Scherman, répondit Kristin en abdiquant. Toute tentative d’esquive de repas était inutile et vaine chez les Twence.
Du café volontiers.
- Fadaises ! Il te faut quelque de consistant. Chérie, peux-tu rajouter une tranche de bacon à frire, Kristin nous fait l’honneur de sa présence.
- Pas de souci, Scherman adoré, répondit Marla Twence depuis la cuisine. Krissie chérie, tu as disparu si vite hier à la réception, tu t’es sentie mal ?
- Rien de bien méchant, une petite migraine. Je viens prendre des nouvelles de Candace. Nous n’avons pas eu l’occasion de discuter.
- C’est très gentil de ta part. Mais figure-toi que ma paresseuse de nièce se trouve encore sous la couette. Il est vrai que ça ne s’est pas très bien passé hier, ajouta Scherman Twence, la mine désolée.
- De quoi parles-tu, demanda Kristin sur le qui-vive.
- J’avais dans l’idée de l’acoquiner avec ce jeune premier : Michael scofield. Tu l’as certainement croisé à la soirée, il ne passe pas inaperçu, gloussa le doyen.
- Si j’avais trente ans de moins Krissie chérie, je n’hésiterais pas une seule seconde, ajouta Marla. Mais naturellement je remercie chaque jour le ciel pour m’avour fait croiser le chemin de mon doux Scherman.
Amoureux comme au premier jour, le couple Twence échangea une œillade énamourée que Kristin leur envia.
- Tu vois Kristin, c’est ce bonheur que je veux pour Candace. Et Michael Scofield est le parti idéal : il est brillant, courtois et ne court pas le jupon à tout va.
Tiens ? Aurait-il le cœur brisé par une histoire d’amour impossible ? S’interrogea Kristin. Cela expliquerait bien des choses. Décidemment, le sort se mettait de la partie. En effet, comment pouvait-elle savoir qu’elle marchait sur les plates-bandes de Candace qu’elle connaissait depuis presque toujours. La jeune femme ne put retenir un frisson au souvenir de la délicieuse nuit passée. Seul bémol : l’absence du prince charmant au réveil, se rappela-t-elle dépitée.
- Il semble… intéressant, concéda Kristin qui ne trouvait pas de qualificatif adéquat. J’ai l’impression que quelque chose vous tracasse, je me trompe ?
- On ne peut rien te cacher. Je…
Scherman avala une gorgée de café comme s’il lui en coûtait d’annoncer l’information.
- Cette nuit, reprit-il, je suis allé au commissariat récupérer Tim.
- Oh non, que s’est-il passé ? s’exclama Kristin.
- Les patrouilleurs du quartier nord l’ont repéré hier pendant que nous étions au dîner. Il était complètement ivre. Il a replongé.
- Scherman, ce n’est pas ta faute, murmura Marla, émue de voir son mari désemparé.
- Parfois, je me le demande, se désola le doyen. Tim et Candace, mes neveux se sentent à l’aise chez moi, me font confiance. J’aurais aimé prendre soin d’eux de la meilleure façon qui soit.
- Que comptes-tu faire ? Demanda Kristin attristée.
- Je vais déléguer quelque peu mes fonctions et l’accompagner aux réunions des alcooliques anonymes. Je tiens à être présent s’il a besoin de moi.
- Eh bien, je vais vous laisser. Merci de me laisser disposer du cottage, merci pour le café, merci pour tout.
- Où cours-tu si coquette ?
- Je vais m’entretenir avec des entrepreneurs, les mettre en relation avec mes contacts, répondit Kristin.
- Pense à te reposer. On se fait du souci pour toi. Tes parents nous ont dit que tu devais ralentir le rythme.
- Je ferai un effort, promis. Et si je peux être utile d’une quelconque manière pour Tim, n’hésitez pas à m’en faire part.
Kristin embrassa ses hôtes et sortit, perdue dans ses pensées. Elle se sentait lasse. Fatiguée de montrer aux autres une fausse image d’elle. Mais n’était-ce pas la seule et unique façon de se protéger dans ce monde hostile ? Autant s’avouer la vérité, elle rechignait à l’idée d’abandonner la partie avec Michael Scofield. Il avait aiguisé sa curiosité et surtout passé la nuit avec elle. Ce qui pouvait peut-être signifier quelque chose, espéra-t-elle. Opération séduction enclenchée.
Suite :
- Ma chère Kristin, quelle merveilleuse surprise. Assieds-toi, je suis sûr que tu as le ventre vide. Tu prendras bien le petit-déjeuner avec nous ?
- Merci Scherman, répondit Kristin en abdiquant. Toute tentative d’esquive de repas était inutile et vaine chez les Twence.
Du café volontiers.
- Fadaises ! Il te faut quelque de consistant. Chérie, peux-tu rajouter une tranche de bacon à frire, Kristin nous fait l’honneur de sa présence.
- Pas de souci, Scherman adoré, répondit Marla Twence depuis la cuisine. Krissie chérie, tu as disparu si vite hier à la réception, tu t’es sentie mal ?
- Rien de bien méchant, une petite migraine. Je viens prendre des nouvelles de Candace. Nous n’avons pas eu l’occasion de discuter.
- C’est très gentil de ta part. Mais figure-toi que ma paresseuse de nièce se trouve encore sous la couette. Il est vrai que ça ne s’est pas très bien passé hier, ajouta Scherman Twence, la mine désolée.
- De quoi parles-tu, demanda Kristin sur le qui-vive.
- J’avais dans l’idée de l’acoquiner avec ce jeune premier : Michael scofield. Tu l’as certainement croisé à la soirée, il ne passe pas inaperçu, gloussa le doyen.
- Si j’avais trente ans de moins Krissie chérie, je n’hésiterais pas une seule seconde, ajouta Marla. Mais naturellement je remercie chaque jour le ciel pour m’avour fait croiser le chemin de mon doux Scherman.
Amoureux comme au premier jour, le couple Twence échangea une œillade énamourée que Kristin leur envia.
- Tu vois Kristin, c’est ce bonheur que je veux pour Candace. Et Michael Scofield est le parti idéal : il est brillant, courtois et ne court pas le jupon à tout va.
Tiens ? Aurait-il le cœur brisé par une histoire d’amour impossible ? S’interrogea Kristin. Cela expliquerait bien des choses. Décidemment, le sort se mettait de la partie. En effet, comment pouvait-elle savoir qu’elle marchait sur les plates-bandes de Candace qu’elle connaissait depuis presque toujours. La jeune femme ne put retenir un frisson au souvenir de la délicieuse nuit passée. Seul bémol : l’absence du prince charmant au réveil, se rappela-t-elle dépitée.
- Il semble… intéressant, concéda Kristin qui ne trouvait pas de qualificatif adéquat. J’ai l’impression que quelque chose vous tracasse, je me trompe ?
- On ne peut rien te cacher. Je…
Scherman avala une gorgée de café comme s’il lui en coûtait d’annoncer l’information.
- Cette nuit, reprit-il, je suis allé au commissariat récupérer Tim.
- Oh non, que s’est-il passé ? s’exclama Kristin.
- Les patrouilleurs du quartier nord l’ont repéré hier pendant que nous étions au dîner. Il était complètement ivre. Il a replongé.
- Scherman, ce n’est pas ta faute, murmura Marla, émue de voir son mari désemparé.
- Parfois, je me le demande, se désola le doyen. Tim et Candace, mes neveux se sentent à l’aise chez moi, me font confiance. J’aurais aimé prendre soin d’eux de la meilleure façon qui soit.
- Que comptes-tu faire ? Demanda Kristin attristée.
- Je vais déléguer quelque peu mes fonctions et l’accompagner aux réunions des alcooliques anonymes. Je tiens à être présent s’il a besoin de moi.
- Eh bien, je vais vous laisser. Merci de me laisser disposer du cottage, merci pour le café, merci pour tout.
- Où cours-tu si coquette ?
- Je vais m’entretenir avec des entrepreneurs, les mettre en relation avec mes contacts, répondit Kristin.
- Pense à te reposer. On se fait du souci pour toi. Tes parents nous ont dit que tu devais ralentir le rythme.
- Je ferai un effort, promis. Et si je peux être utile d’une quelconque manière pour Tim, n’hésitez pas à m’en faire part.
Kristin embrassa ses hôtes et sortit, perdue dans ses pensées. Elle se sentait lasse. Fatiguée de montrer aux autres une fausse image d’elle. Mais n’était-ce pas la seule et unique façon de se protéger dans ce monde hostile ? Autant s’avouer la vérité, elle rechignait à l’idée d’abandonner la partie avec Michael Scofield. Il avait aiguisé sa curiosité et surtout passé la nuit avec elle. Ce qui pouvait peut-être signifier quelque chose, espéra-t-elle. Opération séduction enclenchée.
Dernière édition par le Ven 23 Mar - 20:25, édité 3 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
quelle opération séduction?? Te laisse pas avoir Michael pense à Sara!!!
j'adore toujours
Vivement la suite
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Re: Jeunesse
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vivement la suivante que j'ai hate de lire
meme impatiente
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virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Jeunesse
Suite :
- Je m’appelle Sara et je suis alcoolique.
- Bonjour Sara.
- J’ai l’impression que je fais des progrès en venant ici d’autant plus que j’ai eu des problèmes avec les substances illicites. Je pense que le problème réside surtout dans le manque de communication au sein de ma famille. Et le décès de ma mère n’a pas arrangé les choses. Je préfère ne pas bousculer les choses, je ne sais pas si j’arriverai à en parler aujourd’hui. Je laisse la parole à quelqu’un d’autre.
- Très bien Sara, dit l’animatrice du groupe de paroles des Alcooliques Anonymes. Maintenant je vous demande à tous d’accueillir chaleureusement un nouveau partenaire : Tim. N’ayez pas peur Tim, c’est à vous.
- Je… je… j-je m’appelle Tim. Et… je suis alcoolique.
- Bonjour Tim.
Sara, à sa droite exerça sur son bras une légère pression en signe d’encouragement, ce qui lui valut un sourire en retour du concerné.
Je me suis longtemps voilé la face. Mais j’ai réalisé que j’avais un problème et que j’avais besoin d’aide.
- Nous sommes là pour ça, Tim. Tous ensembles nous nous aidons mutuellement, poursuivez.
- J’ai la chance d’avoir autour de moi des gens qui me soutiennent…
Et tous écoutèrent son récit avec attention.
- Bonjour vous, vous allez bien ?
Michael fut surpris mais ne ralentit pas l’allure, cherchant une excuse à fournir. Kristin avait revêtu une tenue de joggeuse et l’avait rejoint dans son footing matinal quotidien.
- Bien, répondit stoïquement Michael. Je suppose que j’ai décroché la palme d’or du parfait goujat ?
- En quelque sorte, acquiesça Kristin. Vous n’aimez pas les lits à baldaquins ?
- Ecoutez Kristin, je suis vraiment désolé, je…
- Je vous taquine pour le lit. C’est juste que, ce n’est jamais agréable de se sentir utilisée.
- Je réitère mes excuses bien que ma conduite soit inqualifiable.
- Vous avez l’air sincère. On passe l’éponge. Mais je vous pardonnerai totalement que lorsque je recevrai une invitation à sortir. A bientôt.
Et Kristin le planta au milieu du trottoir, il paraissait complètement ahuri constata-t-elle d’un air satisfait. Elle s’arrêta derrière un buisson tentant de reprendre son souffle. Satanés effets secondaires.
Veuillez laisser un message après le bip sonore.
Kristin ? C’est Michael Scofield. Auriez-vous la soirée de libre ? Ca fait longtemps que je ne suis pas sorti, ça me changera les idées. Et j’en apprendrai plus sur vous. Rendez-vous au Partener’s ce soir à 20h.
- Je m’appelle Sara et je suis alcoolique.
- Bonjour Sara.
- J’ai l’impression que je fais des progrès en venant ici d’autant plus que j’ai eu des problèmes avec les substances illicites. Je pense que le problème réside surtout dans le manque de communication au sein de ma famille. Et le décès de ma mère n’a pas arrangé les choses. Je préfère ne pas bousculer les choses, je ne sais pas si j’arriverai à en parler aujourd’hui. Je laisse la parole à quelqu’un d’autre.
- Très bien Sara, dit l’animatrice du groupe de paroles des Alcooliques Anonymes. Maintenant je vous demande à tous d’accueillir chaleureusement un nouveau partenaire : Tim. N’ayez pas peur Tim, c’est à vous.
- Je… je… j-je m’appelle Tim. Et… je suis alcoolique.
- Bonjour Tim.
Sara, à sa droite exerça sur son bras une légère pression en signe d’encouragement, ce qui lui valut un sourire en retour du concerné.
Je me suis longtemps voilé la face. Mais j’ai réalisé que j’avais un problème et que j’avais besoin d’aide.
- Nous sommes là pour ça, Tim. Tous ensembles nous nous aidons mutuellement, poursuivez.
- J’ai la chance d’avoir autour de moi des gens qui me soutiennent…
Et tous écoutèrent son récit avec attention.
- Bonjour vous, vous allez bien ?
Michael fut surpris mais ne ralentit pas l’allure, cherchant une excuse à fournir. Kristin avait revêtu une tenue de joggeuse et l’avait rejoint dans son footing matinal quotidien.
- Bien, répondit stoïquement Michael. Je suppose que j’ai décroché la palme d’or du parfait goujat ?
- En quelque sorte, acquiesça Kristin. Vous n’aimez pas les lits à baldaquins ?
- Ecoutez Kristin, je suis vraiment désolé, je…
- Je vous taquine pour le lit. C’est juste que, ce n’est jamais agréable de se sentir utilisée.
- Je réitère mes excuses bien que ma conduite soit inqualifiable.
- Vous avez l’air sincère. On passe l’éponge. Mais je vous pardonnerai totalement que lorsque je recevrai une invitation à sortir. A bientôt.
Et Kristin le planta au milieu du trottoir, il paraissait complètement ahuri constata-t-elle d’un air satisfait. Elle s’arrêta derrière un buisson tentant de reprendre son souffle. Satanés effets secondaires.
Veuillez laisser un message après le bip sonore.
Kristin ? C’est Michael Scofield. Auriez-vous la soirée de libre ? Ca fait longtemps que je ne suis pas sorti, ça me changera les idées. Et j’en apprendrai plus sur vous. Rendez-vous au Partener’s ce soir à 20h.
Dernière édition par le Dim 4 Fév - 1:59, édité 1 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
heennnnnn pas bien Michael je te félicite pas!!!
j'adore
vivement la suite et peut être que Mike et Sara vont se retrouver par pur hasard biensûr!!!!
j'adore
vivement la suite et peut être que Mike et Sara vont se retrouver par pur hasard biensûr!!!!
Re: Jeunesse
Bien sûr !
(Pour l'instant ça cogite doucement dans ma tête, advienne que pourra)
(Pour l'instant ça cogite doucement dans ma tête, advienne que pourra)
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
super ta suite j'adore
j'ai hate d'avoir la suivante ,
pas de felicitation pour michael , c'est pas tres bien ce que tu fait a sara
meme tres impatiente de la lire
met la vite s t p
s t p
j'ai hate d'avoir la suivante ,
pas de felicitation pour michael , c'est pas tres bien ce que tu fait a sara
meme tres impatiente de la lire
met la vite s t p
s t p
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Jeunesse
Hi, hi, vous êtes trop marrantes.
Suite :
Le lendemain
- Bonjour Dr.
- Bonjour Sara. Que d’euphorie, dîtes-moi !
- C’est exact. J’ai fait la connaissance d’un homme adorable au groupe de paroles. Il s’appelle Tim. On s’est découvert de nombreux points communs : nos pères sont tous deux très influents, nous aimons le même genre de littérature.
- Etes-vous sûre que c’est une bonne idée de fréquenter cet individu ?
Sara ne manqua pas de noter le ton désapprobateur de son thérapeute.
- Mais Charles, c’est vous-même qui m’avez conseillé de nouer des relations.
- Je ne pensais pas que vous réagiriez au quart de tour. Je ne cherche que votre bien Sara, et vous le savez rétorque le Dr Philips en la serrant dans ses bras. Il se délectait tellement de cet instant qu’il ne remarqua pas la crispation de Sara.
Le reste du rendez-vous se déroula dans une atmosphère plus tendue qu’à l’habitude. Sara fut soulagée de rejoindre Tim par la suite.
20h15. Qu’est-ce qui peut bien l’occuper ainsi ? Pas de quoi stresser, elle n’a qu’un quart d’heure de retard. Les femmes mettent toujours un temps infini à se préparer. Pas Sara. Michael se rappela à l’ordre, il était temps d’aller de l’avant. Une demi-heure plus tard, toujours pas de nouvelle de la belle. Michael annula la réservation tout en s’excusant auprès de la direction du restaurant. Kristin n’avait fait que lui rendre la monnaie de sa pièce mais son orgueil de mâle en prit un coup. Excédé, il se rendit au cottage que les Twence proposaient à Kristin, dans l’attente d’une explication.
- J’aimerais te présenter quelqu’un de très spécial, Sara. Il s’agit de Kristin, la fille d’amis européens de mes parents. On se connaît depuis toujours. Elle est formidable, tu vas l’adorer. Elle est presque aussi belle que toi.
Sara rit du compliment et monta dans la voiture de Tim. Ils roulèrent au son de la pluie et de la musique country que délivrait la radio puis débouchèrent sur un terrain herbu si différent de la ville. Puis Tim parut surpris.
- Reste ici, Sara. Il y a une autre voiture, c’est bizarre. Je reviens tout de suite.
- D’accord mais fais attention.
Toc. Toc. Toc.
- Kristin, je sais que vous êtes là ! Inutile de vous cacher ! Vociféra Michael à la porte close. Kristin, ouvrez cette porte, j’ai à vous parler.
Michael tendit l’oreille malgré le pluie battante et perçut le bruit de pieds qu’on traînait. Enfin la porte s’ouvrit.
- Enfin, que signifie cette attitude…
Michael s’interrompit à la vue du visage émacié de Kristin. Son teint était blafard et de gros cernes bleutés en accaparaient l’ovale parfait.
Si elle n’avait pas été aussi fatiguée, Kristin aurait ri du comique de la situation. Elle demanderait à Michael de reproduire son hoquet de stupeur une autre fois.
- Que vous arrive-t-il ? Parvint à articuler le jeune homme.
- Rien de bien grave. Vous savez, ce genre de migraine est très spectaculaire. Mais pour qui dispose des médicaments, cela s’arrange aisément. Désolée de ne pas vous avoir prévenu, j’étais trop mal en point.
Michael écarta ses excuses d’un signe agacé.
- Oubliez ça. L’important est que vous vous sentiez mieux. Puis-je faire quelque chose pour vous ?
- Non.
Un léger silence s’installa.
Puis Kristin ajouta malicieusement :
- A la réflexion si.
Sans crier gare, elle attrapa Michael par la nuque et lui donna un baiser aussi bref qu’intense. Puis elle s’écarta, livide et se précipita dans le couloir.
- Que faîtes-vous ici ? demanda une voix masculine.
Michael n’avait pas entendu le bruit du moteur et se trouvait en face d’un jeune homme brun.
- Je suis Michael Scofield. J’ai rencontré cette personne au dîner du doyen Twence et je poursuivais notre conversation inachevée.
- Alors c’est vous ce fameux Michael dont Oncle Scherman nous rebat les oreilles à longueur de journée. Vous avez une sacrée touche avec ma sœur. Moi c’est Tim.
- C’est cela. Concentrons-nous sur Kristin, voulez-vous. Elle à l’air de souffrir horriblement, dit Michael, inquiet.
Le visage de Tim s’assombrit et sans le réaliser, il murmura :
- Oh non, ça a repris.
- De quoi parlez-vous ?
- De rien. Ecoutez, rentrez chez vous. Vous parlerez à Kristin une autre fois.
- Mais…
- Pas le temps de discuter, je vais m’occuper d’elle. Partez s’il vous plaît.
Impuissant, Michael retourna à sa voiture et rentra chez lui pendant que Tim annulait sa soirée prévue initialement avec Sara.
- Kristin est souffrante. Désolé pour cet imprévu, je vais m’occuper d’elle mais ce n’est que partie remise, n’est-ce pas ? Demanda Tim, s’attendant à une réaction négative.
- D’accord, je comprends. Tu récupèreras ta voiture demain en bas de chez moi.
- Ca marche.
Sara avait à peine écouté ce que lui avait dit Tim. Cet homme. Il ressemblait tellement à Michael. Mais ce ne pouvait être lui. Combien de fois devrait-on le lui répéter jusqu’à ce qu’elle comprenne. Sara conduisit, les larmes l’aveuglaient, mais sa visibilité était déjà réduite par la pluie qui ruisselait sur le pare-brise, aussi ne s’en rendit-elle pas compte.
Suite :
Le lendemain
- Bonjour Dr.
- Bonjour Sara. Que d’euphorie, dîtes-moi !
- C’est exact. J’ai fait la connaissance d’un homme adorable au groupe de paroles. Il s’appelle Tim. On s’est découvert de nombreux points communs : nos pères sont tous deux très influents, nous aimons le même genre de littérature.
- Etes-vous sûre que c’est une bonne idée de fréquenter cet individu ?
Sara ne manqua pas de noter le ton désapprobateur de son thérapeute.
- Mais Charles, c’est vous-même qui m’avez conseillé de nouer des relations.
- Je ne pensais pas que vous réagiriez au quart de tour. Je ne cherche que votre bien Sara, et vous le savez rétorque le Dr Philips en la serrant dans ses bras. Il se délectait tellement de cet instant qu’il ne remarqua pas la crispation de Sara.
Le reste du rendez-vous se déroula dans une atmosphère plus tendue qu’à l’habitude. Sara fut soulagée de rejoindre Tim par la suite.
20h15. Qu’est-ce qui peut bien l’occuper ainsi ? Pas de quoi stresser, elle n’a qu’un quart d’heure de retard. Les femmes mettent toujours un temps infini à se préparer. Pas Sara. Michael se rappela à l’ordre, il était temps d’aller de l’avant. Une demi-heure plus tard, toujours pas de nouvelle de la belle. Michael annula la réservation tout en s’excusant auprès de la direction du restaurant. Kristin n’avait fait que lui rendre la monnaie de sa pièce mais son orgueil de mâle en prit un coup. Excédé, il se rendit au cottage que les Twence proposaient à Kristin, dans l’attente d’une explication.
- J’aimerais te présenter quelqu’un de très spécial, Sara. Il s’agit de Kristin, la fille d’amis européens de mes parents. On se connaît depuis toujours. Elle est formidable, tu vas l’adorer. Elle est presque aussi belle que toi.
Sara rit du compliment et monta dans la voiture de Tim. Ils roulèrent au son de la pluie et de la musique country que délivrait la radio puis débouchèrent sur un terrain herbu si différent de la ville. Puis Tim parut surpris.
- Reste ici, Sara. Il y a une autre voiture, c’est bizarre. Je reviens tout de suite.
- D’accord mais fais attention.
Toc. Toc. Toc.
- Kristin, je sais que vous êtes là ! Inutile de vous cacher ! Vociféra Michael à la porte close. Kristin, ouvrez cette porte, j’ai à vous parler.
Michael tendit l’oreille malgré le pluie battante et perçut le bruit de pieds qu’on traînait. Enfin la porte s’ouvrit.
- Enfin, que signifie cette attitude…
Michael s’interrompit à la vue du visage émacié de Kristin. Son teint était blafard et de gros cernes bleutés en accaparaient l’ovale parfait.
Si elle n’avait pas été aussi fatiguée, Kristin aurait ri du comique de la situation. Elle demanderait à Michael de reproduire son hoquet de stupeur une autre fois.
- Que vous arrive-t-il ? Parvint à articuler le jeune homme.
- Rien de bien grave. Vous savez, ce genre de migraine est très spectaculaire. Mais pour qui dispose des médicaments, cela s’arrange aisément. Désolée de ne pas vous avoir prévenu, j’étais trop mal en point.
Michael écarta ses excuses d’un signe agacé.
- Oubliez ça. L’important est que vous vous sentiez mieux. Puis-je faire quelque chose pour vous ?
- Non.
Un léger silence s’installa.
Puis Kristin ajouta malicieusement :
- A la réflexion si.
Sans crier gare, elle attrapa Michael par la nuque et lui donna un baiser aussi bref qu’intense. Puis elle s’écarta, livide et se précipita dans le couloir.
- Que faîtes-vous ici ? demanda une voix masculine.
Michael n’avait pas entendu le bruit du moteur et se trouvait en face d’un jeune homme brun.
- Je suis Michael Scofield. J’ai rencontré cette personne au dîner du doyen Twence et je poursuivais notre conversation inachevée.
- Alors c’est vous ce fameux Michael dont Oncle Scherman nous rebat les oreilles à longueur de journée. Vous avez une sacrée touche avec ma sœur. Moi c’est Tim.
- C’est cela. Concentrons-nous sur Kristin, voulez-vous. Elle à l’air de souffrir horriblement, dit Michael, inquiet.
Le visage de Tim s’assombrit et sans le réaliser, il murmura :
- Oh non, ça a repris.
- De quoi parlez-vous ?
- De rien. Ecoutez, rentrez chez vous. Vous parlerez à Kristin une autre fois.
- Mais…
- Pas le temps de discuter, je vais m’occuper d’elle. Partez s’il vous plaît.
Impuissant, Michael retourna à sa voiture et rentra chez lui pendant que Tim annulait sa soirée prévue initialement avec Sara.
- Kristin est souffrante. Désolé pour cet imprévu, je vais m’occuper d’elle mais ce n’est que partie remise, n’est-ce pas ? Demanda Tim, s’attendant à une réaction négative.
- D’accord, je comprends. Tu récupèreras ta voiture demain en bas de chez moi.
- Ca marche.
Sara avait à peine écouté ce que lui avait dit Tim. Cet homme. Il ressemblait tellement à Michael. Mais ce ne pouvait être lui. Combien de fois devrait-on le lui répéter jusqu’à ce qu’elle comprenne. Sara conduisit, les larmes l’aveuglaient, mais sa visibilité était déjà réduite par la pluie qui ruisselait sur le pare-brise, aussi ne s’en rendit-elle pas compte.
Dernière édition par le Ven 13 Avr - 14:35, édité 2 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Re: Jeunesse
j'adore
super ta suite
j'ai hate d'avoir la suivante ,
pour michael toujours pas de felicitation pas bien !
tu pourrais penser a sara !
meme tres impatiente de la lire
met la vite s t p
s t p
super ta suite
j'ai hate d'avoir la suivante ,
pour michael toujours pas de felicitation pas bien !
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virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: Jeunesse
Vite une suite c'est trop bien
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: Jeunesse
tu peux pas nous laisser comme ca
vivement la suite
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lizevans- A la recherche de Bolshoi Booze
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Re: Jeunesse
rah je veux une suite pour que Michael et Sara se rencontrent stp !!!!!!!!!!!
Toujours aussi bien écrit
Toujours aussi bien écrit
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Localisation : devant mon écran d'ordi entrain de mater PB
Date d'inscription : 05/01/2007
Re: Jeunesse
OH NON!!
Michael n'a pa vu Sara....dommage!!!
Allez met nous vite une suite qu'on puisse enfin lire leur retrouvaille
stp
ps: ta fic est vraiment super j'adore!!!!
Michael n'a pa vu Sara....dommage!!!
Allez met nous vite une suite qu'on puisse enfin lire leur retrouvaille
stp
ps: ta fic est vraiment super j'adore!!!!
Re: Jeunesse
Sra la vut mais Michael non ? Il es aveugle ou quoi ? Continue comme cela, je suis accro !
zenaide- Retrouve Steadman
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Localisation : en plein coeur d'un homme.......
Date d'inscription : 20/11/2006
Re: Jeunesse
continue comme ça
j'adore
vivement la suite
(pour Michael, je prefère m'abstenir de tous commentaire que je pourrait regretter pffff quel c** celui là!! oups ça m'a echapper )
j'adore
vivement la suite
(pour Michael, je prefère m'abstenir de tous commentaire que je pourrait regretter pffff quel c** celui là!! oups ça m'a echapper )
Re: Jeunesse
J'vais voir ce que je peux faire pour qu'il remonte dans votre estime. Mais vous comprenez bien qu'il ne peut pas rester seul indéfiniment ?
(Aïe aïe aïe, je vois se profiler à l'horizon, une masse de tomates prêtes à être lancées)
(Aïe aïe aïe, je vois se profiler à l'horizon, une masse de tomates prêtes à être lancées)
magalie- Parti au secours de Sara
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Date d'inscription : 12/12/2006
Re: Jeunesse
tiens tu l'as cherché attention la prochaine fois
je suis d'accord qu'il doit pas rester seule mais il est bien avec Sara
donc il choisit c'est Sara ou le célibat na!!!!
je suis d'accord qu'il doit pas rester seule mais il est bien avec Sara
donc il choisit c'est Sara ou le célibat na!!!!
Re: Jeunesse
Suite :
Quelques jours plus tard.
- Allo ?
- Monsieur Scofield ? Ici, la secrétaire du doyen Twence.
- Que puis-je faire pour vous ?
- Je suis chargée de vous dire que vos vaccins antitétanique et antituberculeux ainsi que votre suivi antipaludéen doivent être à jour. Vous serez amené à voyager avec le doyen à travers le monde pour tester les matériaux. Un rendez-vous a été pris pour vous dans la matinée.
- Très bien, merci.
Et Michael se rendit donc à l’hôpital du centre afin d’effectuer les vaccins manquants. Alors que le médecin s’éloignait pour chercher un supplément de compresses lorsqu’il vit une silhouette passer dans le couloir devant l’entrebâillement de la porte. Michael se redressa, oubliant qu’il avait le torse dénudé et sortit en trombe.
- Sara ?
La jeune femme se retourna et le regarda l’air interdit. Michael approcha lentement et se tint à sa hauteur.
- Sara, c’est toi ?
Sara parut sortir de sa léthargie mais secoua la tête en signe de dénégation.
- Qui es-tu ?
- Sara, c’est moi Michael. Regarde je n’ai pas changé.
Et il saisit sa main pour la poser sur son visage, se laissant explorer, tâchant de faire remonter les souvenirs à la surface.
- Michael, je ne sais plus. Je t’ai fabriqué de toutes pièces, tu n’es pas réel.
- Et ça, ce n’est pas réel peut-être ?
Michael venait de poser sa paume contre son cœur qui battait furieusement dans sa poitrine prêt à jaillir. Les doutes qui subsistaient chez Sara fondirent comme neige au soleil et la joie transfigura la physionomie de son visage.
- Tu m’as tellement manqué Michael, dit-elle dans un souffle.
Leurs retrouvailles étaient à la hauteur de leurs rêves. Tous deux s’embrassaient éperdument craignant sans doute que le charme prenne fin. Michael prenait les lèvres de la jeune femme avec gourmandise tout en plongeant ses mains dans sa chevelure de feu avec ravissement. Sara de son côté appréciait de sentir la nuque de son compagnon dans le creux de sa main ; elle ne cessait de tracer les contours de son visage, souhaitant emmagasiner un maximum de souvenirs tactiles. Rien ne semblait les atteindre. Mais des voix les firent retomber sur terre.
- Que se passe-t-il ici ?
Les amoureux s’interrompirent et virent d’un côté le médecin chargé de vacciner Michael, de l’autre Tim qui cherchait Sara depuis dix bonnes minutes. Stupéfaite, Sara s’éloigna et disparut au détour d’un couloir. Tim s‘approcha de Michael et lui envoya un direct du droit. Michael vacilla puis se redressa en essuyant le sang de sa mâchoire. Il ne poursuivit pas le combat pour ne pas affoler le médecin à leurs côtés.
- C’est quoi votre problème Mike briseur de cœur ? Ca ne vous suffit pas de rendre ma sœur malheureuse et d’insupporter Kristin, il faut en plus que vous vous en preniez à Sara.
- Mêlez- vous de ce qui vous regarde, ceci ne vous concerne en rien.
- Si, justement. Sara et moi sommes très proches et je vous interdis de lui faire du mal.
Renonçant à s’expliquer au vu et au su du personnel hospitalier Michael retourna dans la salle de consultation en disant d’une voix cinglante : « Nous n’en avons pas terminé. »
Sara était directement retournée chez elle. Elle présenterait des excuses à Tim plus tard. Pour l’instant il fallait qu’elle se maîtrise et calme le tremblement de ses mains. Elle s’empara ensuite de l’annuaire et se laissa tomber sur le fauteuil, dépitée. Michael n’y figurait pas. Michael avait eu des déboires dans sa jeunesse et ne jetait pas l’argent par la fenêtre. Sara doutait fortement qu’il ait pris la peine de souscrire à une liste pour retirer ses coordonnées. Quel tour son cerveau lui jouait-il encore ? Elle apercevait Michael un peu trop souvent depuis quelque temps. Pourquoi ? Et ses sensations tout à l’heure à l’hôpital, étaient-elles fausses ? Pour plus de sécurité, il faudrait en parler au Dr Philips.
Quelques jours plus tard.
- Allo ?
- Monsieur Scofield ? Ici, la secrétaire du doyen Twence.
- Que puis-je faire pour vous ?
- Je suis chargée de vous dire que vos vaccins antitétanique et antituberculeux ainsi que votre suivi antipaludéen doivent être à jour. Vous serez amené à voyager avec le doyen à travers le monde pour tester les matériaux. Un rendez-vous a été pris pour vous dans la matinée.
- Très bien, merci.
Et Michael se rendit donc à l’hôpital du centre afin d’effectuer les vaccins manquants. Alors que le médecin s’éloignait pour chercher un supplément de compresses lorsqu’il vit une silhouette passer dans le couloir devant l’entrebâillement de la porte. Michael se redressa, oubliant qu’il avait le torse dénudé et sortit en trombe.
- Sara ?
La jeune femme se retourna et le regarda l’air interdit. Michael approcha lentement et se tint à sa hauteur.
- Sara, c’est toi ?
Sara parut sortir de sa léthargie mais secoua la tête en signe de dénégation.
- Qui es-tu ?
- Sara, c’est moi Michael. Regarde je n’ai pas changé.
Et il saisit sa main pour la poser sur son visage, se laissant explorer, tâchant de faire remonter les souvenirs à la surface.
- Michael, je ne sais plus. Je t’ai fabriqué de toutes pièces, tu n’es pas réel.
- Et ça, ce n’est pas réel peut-être ?
Michael venait de poser sa paume contre son cœur qui battait furieusement dans sa poitrine prêt à jaillir. Les doutes qui subsistaient chez Sara fondirent comme neige au soleil et la joie transfigura la physionomie de son visage.
- Tu m’as tellement manqué Michael, dit-elle dans un souffle.
Leurs retrouvailles étaient à la hauteur de leurs rêves. Tous deux s’embrassaient éperdument craignant sans doute que le charme prenne fin. Michael prenait les lèvres de la jeune femme avec gourmandise tout en plongeant ses mains dans sa chevelure de feu avec ravissement. Sara de son côté appréciait de sentir la nuque de son compagnon dans le creux de sa main ; elle ne cessait de tracer les contours de son visage, souhaitant emmagasiner un maximum de souvenirs tactiles. Rien ne semblait les atteindre. Mais des voix les firent retomber sur terre.
- Que se passe-t-il ici ?
Les amoureux s’interrompirent et virent d’un côté le médecin chargé de vacciner Michael, de l’autre Tim qui cherchait Sara depuis dix bonnes minutes. Stupéfaite, Sara s’éloigna et disparut au détour d’un couloir. Tim s‘approcha de Michael et lui envoya un direct du droit. Michael vacilla puis se redressa en essuyant le sang de sa mâchoire. Il ne poursuivit pas le combat pour ne pas affoler le médecin à leurs côtés.
- C’est quoi votre problème Mike briseur de cœur ? Ca ne vous suffit pas de rendre ma sœur malheureuse et d’insupporter Kristin, il faut en plus que vous vous en preniez à Sara.
- Mêlez- vous de ce qui vous regarde, ceci ne vous concerne en rien.
- Si, justement. Sara et moi sommes très proches et je vous interdis de lui faire du mal.
Renonçant à s’expliquer au vu et au su du personnel hospitalier Michael retourna dans la salle de consultation en disant d’une voix cinglante : « Nous n’en avons pas terminé. »
Sara était directement retournée chez elle. Elle présenterait des excuses à Tim plus tard. Pour l’instant il fallait qu’elle se maîtrise et calme le tremblement de ses mains. Elle s’empara ensuite de l’annuaire et se laissa tomber sur le fauteuil, dépitée. Michael n’y figurait pas. Michael avait eu des déboires dans sa jeunesse et ne jetait pas l’argent par la fenêtre. Sara doutait fortement qu’il ait pris la peine de souscrire à une liste pour retirer ses coordonnées. Quel tour son cerveau lui jouait-il encore ? Elle apercevait Michael un peu trop souvent depuis quelque temps. Pourquoi ? Et ses sensations tout à l’heure à l’hôpital, étaient-elles fausses ? Pour plus de sécurité, il faudrait en parler au Dr Philips.
Dernière édition par le Ven 23 Mar - 20:43, édité 4 fois
magalie- Parti au secours de Sara
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Localisation : dans mes pensées
Date d'inscription : 12/12/2006
Re: Jeunesse
génial ,
j'adore ta suite ,
tres impatiente de lire la suivante ,
meme hate de savoir ce qui va se passer avec sara
et le probleme de michael avec tim
met vite la suite s t p
j'adore ta suite ,
tres impatiente de lire la suivante ,
meme hate de savoir ce qui va se passer avec sara
et le probleme de michael avec tim
met vite la suite s t p
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Age : 45
Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: Jeunesse
Oh non pas le docteur!
Faut paaaaaaaaas
Vite une suite c'est de mieux en mieux
Faut paaaaaaaaas
Vite une suite c'est de mieux en mieux
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Age : 37
Date d'inscription : 04/11/2006
Re: Jeunesse
ouuuuuiiiiiii!!!!!!
enfin des "micro" retrouvailles mais des retrouvailles quand même
Noonnn Sara fait pas ça parle pas au Dr Philips il est trop méchant c'est un menteur
vivement la suite
enfin des "micro" retrouvailles mais des retrouvailles quand même
Noonnn Sara fait pas ça parle pas au Dr Philips il est trop méchant c'est un menteur
vivement la suite
Re: Jeunesse
j'adore !!!!!!!!!!!!!
vite une suite stp !!!
ponou- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Age : 34
Localisation : devant mon écran d'ordi entrain de mater PB
Date d'inscription : 05/01/2007
Re: Jeunesse
Enfin les retrouvailles!!!!!!
Ta suite était superbe!!!
Et tout ce que je peux te dire ou plutôt te demander c'est de mettre une suite vite!!!
J'éspère que Michael va chercher à revoir Sara!!!!!!
Ta suite était superbe!!!
Et tout ce que je peux te dire ou plutôt te demander c'est de mettre une suite vite!!!
J'éspère que Michael va chercher à revoir Sara!!!!!!
Re: Jeunesse
C'est génial !!!!!!!!!!
zenaide- Retrouve Steadman
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Localisation : en plein coeur d'un homme.......
Date d'inscription : 20/11/2006
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