saurons-nous nous retrouver?

non non non non continu tu t'arette au movais moment!!

Superbe audrey, l'attente jusque mardi va être désespérément longue mais on on va prendre notre mal en patience !

je viens de la decouvrir et j'ai adoré vivement la suite

je viens la decouvrir et j'adore

vivement la suite

met la vite s t p s t p

hey non mais couper la ! Je vous jure y'a que des sadiques ici, toujours couper la ou il faut pas
Suiteeeeeeeeee

elle est génial ta fic

je veux la suite je peux plus attendre tu m'as coupé dans mon élan

Et voilà, comme promis, je vous mets une suite. Merci pour tous les comm de ce week-end, ça fait du bien de voir ça de bon matin... J'ai essayé de décrire des retrouvailles misa un peu différentes de ce que j'ai pu voir. Evidemment, c'est pas non plus radicalement nouveau mais bon... J'espère que ça vous plaira.


Voilà, je me retrouve face à une porte, je dois avoir l’air fine !! Je ne sais pas comment me retourner, ni quand. Le temps me semble avoir été suspendu, je ferme les yeux, j’appuie mon front contre le bois de la porte et me concentre. C’est à ce moment que je l’entends. Il vient de prendre une profonde inspiration et le bruit de son souffle arrive jusqu’à moi. Je me sens défaillir, mes jambes ne me tiennent plus, j’ai l’impression que le néant va s’emparer de moi. Je suis en détresse, je ne sais plus quoi faire, je me sens disparaître et c’est à ce moment que je revois Jane me dire d’un regard : « c’est maintenant où jamais, chérie ! Tu ne seras jamais assez prête, alors lance toi ! »
La voilà, ma force. Je me sens appartenir à cette famille, plus qu’à n’importe quoi, plus qu’à la mienne. Alors je reprends confiance et je me retourne, le cherchant des yeux.

Il est là, debout, devant moi, les mains dans les poches. Ces 5 années l’ont un peu changé. Il a perdu le peu du ventre que la nourriture peu saine de notre fuite lui avait provoqué. Il a prit des muscles, aux pectoraux, aux bras et je devine qu’il en a prit aux cuisses, grâce aux formes que son pantalon me laisse deviner. Il porte le t-shirt gris appartenant à la prison, ça lui met les yeux en valeur. Ses traits ont durci, ses cernes se sont un peu accentuées. Je suis là, à l’inspecter sous toutes les coutures et je me rends compte qu’il fait pareil. Je le vois parcourir mon corps du regard, ses yeux s’agrandissent et je vois naître un petit sourire en coin sur son visage. Je réalise que c’est ma robe qui lui fait cet effet et je rougis comme une gamine. Je crois que c’est cette tête que Lincoln voulait voir.

- C’est Lincoln qui m’a forcé… je voulais pas … j’aurais été mieux en jean… enfin…je veux dire… (je balbutie, génial, maintenant, je deviens définitivement bête à mourir…)
- Tu es parfaite

Cette voix… je ferme les yeux et cette phrase se répète encore et encore dans ma tête. Tout d’un coup, j’ai envie de lui sauter dans les bras et de lui dire que je l’aime toujours. Non, j’ai plutôt envie qu’il me saute dessus et qu’il me dise qu’il m’aime toujours.

- Sara ? tu te sens bien ?

Mon dieu, cette façon de prononcer mon nom. Jamais personne ne l’avait fait résonner de cette manière. Je réalise que je dois être ridicule alors je rouvre les yeux et lui répond

- Ca va, t’inquiète pas.
- Viens t’asseoir
- Ca va, je t’assure !
- Tu veux rester debout toute la journée ?

Je lui souris, et je m’avance vers la chaise la plus proche. Il en prend une autre, l’installe en face de moi, s’assied et se penche vers moi.

- Tu es toujours aussi belle
- Et toi, tu es toujours aussi flatteur ! (il me sourit, puis inspire profondément et se passe les mains dans les cheveux. Je sais qu’il est nerveux, il fait toujours ça quand il est nerveux)
- Raconte moi, puisque nous avons du temps avant ma sortie. Raconte moi, comment va ta vie ?

Je le regarde, incrédule. Croit-il vraiment que j’ai fait table rase ? Ou est-ce seulement un moyen d’entamer la conversation ?

- Hum… Ma vie ? Que veux-tu que je te dise ?
- Je sais pas… où est-ce que tu travailles ? Comment tu vas ? Est-ce que tu es heureuse ? (il baisse la tête et baisse la voix) Est-ce que tu as rencontré quelqu’un ?
- (je souris et attend qu’il me regarde) J’ai rencontré quelqu’un, effectivement. (je sens son cœur se briser, ses yeux n’ont jamais su trahir ses sentiments.) Michael ? Michael… regarde moi ! (il lève enfin les yeux vers moi) Je croyais que tu voulais que je ne perde pas de temps à t’attendre ?
- Tu as bien fait (il prononce ces mots un peu trop vite, je vois qu’il souffre). Alors, dis moi. Il s’appelle comment ? Il fait quoi dans la vie ?
- Tu veux vraiment le savoir ? (lui dis-je d’un air narquois)
- Bien sûr ! je veux savoir s’il te rend heureuse !
- Plus heureuse que tu ne pourrais l’avoir fait ? (je sens que mes mots s’enfoncent dans son cœur comme un sabre)
- Tu ne veux pas parler de lui ? (je le sens sur la défensive, son ton devient froid)
- C’est ce que je suis en train de faire. (il ne sait plus quoi penser, il ne comprend pas ce que je viens de lui dire) Crois-tu vraiment que j’aurais pu rencontrer quelqu’un d’autre que toi ? que j’aurais pu « passer à autre chose » ? Michael (je lui relève le visage avec ma main droite), Michael, tu n’as quand même pas oublié la gifle que je t’ai donnée il y a 5 ans ? (il me sourit à nouveau, je le sens reprendre son souffle à mesure qu’il comprend que je l’ai attendu)
- Je ne risque pas, je la sens toujours !

Il me regarde, se frotte la joue comme si cette gifle avait encore laissé sa trace sur sa peau. Cette fois-ci, c’est mon tour de baisser la tête

- Et toi, comment tu vas ?
- Hum… disons que je vais aussi bien qu’il soit possible après avoir passé 5 années entre ces murs.
- Tu n’as pas trop martyrisé les infirmières ? (ma remarque le fait rire)
- Katie s’est un peu plaint de devoir me soigner, mais elle m’a avoué être contente de ne pas avoir à me faire des piqûres tous les jours comme tu l’avais fait. Et elle m’a dit de but en blanc qu’elle ne laisserait aucune porte ouverte pour mes beaux yeux, même pas celle des toilettes !
- Katie… Elle t’aime bien, on dirait
- Mouais… on est comme qui dirait, devenu copains tous les deux… (il marque une pause) Sara ?
- … hum hum ? (je regarde le sol avec passion depuis plusieurs minutes)
- Est-ce qu’on va passer tout le temps qu’il nous reste à parler de tout et de rien ?
- Pourquoi pas ? (ma nouvelle passion pour le sol m’empêche toujours de lever les yeux vers lui)
- Sara ?
- Je t’écoute, Michael
- Tu ne veux pas me regarder ?
- (je me sens subitement encore plus idiote que je ne l’ai jamais été) J’avais jamais remarqué la couleur de ce sol, c’est pas le même que…

Je préfère ne pas finir ma phrase, de peur de mourir sur place devant ma bêtise. Je le sens sourire, il sait ce que sa présence me fait. Il voit que je perds pied et que je tremble comme une feuille. Il s’avance un peu plus vers moi et me prend une main. Ses doigts glissent sur ma peau et dessinent des caresses plus douces que dans mes rêves. Le contact de sa peau sur la mienne me fait quitter la terre ferme, mes yeux se ferment, et soudain, le sol n’a plus aucun intérêt. Je laisse ma main à sa merci, incapable de faire le moindre mouvement.

- Pourquoi tu m’as dit que tu avais rencontré quelqu’un ?
- …C’était stupide, je sais. Mais quand tu m’as posé la question, j’ai trouvé ça tellement ridicule que j’ai voulu voir ce que ça donnerait… (je lève enfin les yeux sur lui, les siens me transpercent de son bleu unique au monde pour atterrir directement sur mon cœur)
- Et tu as aimé le résultat ?
- … je t’aime bien en amant jaloux ! (ça y est, je retrouve un peu de mon culot, je le regarde bien en face et je vois ses pupilles pétiller. Il tremble un peu, mais ne me quitte pas des yeux. Je sens qu’il veut soudainement plus que ma main, je sens qu’il veut me prendre dans ses bras, et je panique, alors je me lève et lui tourne le dos pour me mettre face à la fenêtre) Qu’est-ce que tu comptes faire maintenant ?
- (je l’entends se lever et s’approcher de moi) Tu veux dire, maintenant… tout de suite ? (je sens son souffle dans mon dos, il est tout prêt de moi, et j’ai l’impression de me noyer de sa présence)
- Tu sais très bien ce que je veux dire…
- C’est vrai! En fait, je compte m’approcher encore et te prendre dans mes bras
- (je me retourne) Tu sais très bien que ce n’est pas de ça que je parlais !

Je me retrouve à quelques centimètres de lui, il se tient droit devant moi et fixe mes lèvres. Je le sens lever les bras et déposer les mains sur le mur de chaque côté de mes épaules, m’emprisonnant de son corps.

- Alors, tu ne réponds pas ? (ma voix est tellement faible qu’il l’entendit à peine)
- Est-ce que tu veux que je m’éloigne ? (il me demande cela comme on pourrait craindre un supplice, sa voix est douce et suppliante)
- … Non… non, ne t’éloigne pas

la suite elle est grandiose cette histoire

SUPER SUPER SUPER !!!! Quelles sensations, continue, ça devient chaud ,chaud, chaud là!!!!!!

kel suite du tonnerre,jadore jsuis en extase total
respet ca déchire

Di donc sa vallait largement le coup d'attendre tout ce temps ta suite est vraiment super!!!!
J'ai vraiment adoré les retrouvailles Misa et je suis impatiente de lire la suite!!!

Wow c'est magnifique
Mais enfin ne t'arrete pas la
Trop hate d'avoir la suite

quand la suitre ??

eh bien eh bien eh bien cela fait plaisir d'avoir une nouvelle suite j'espère que michael va dévoré sara lol

vivement une suite

whaouuuuuuuuuu

j'adore

c'est toujours aussi bien

vivement la suite

Voilà une petite suite pour vous faire languir un peu...

Ma voix s’éteint, je ne sais plus où nous sommes, ni quel jour. Je ne sens que son corps à quelques centimètres du mien. Mon regard oscille entre ses yeux et ses lèvres et je perds totalement pied. Je n’ai qu’une envie, c’est de me blottir dans ses bras, de me sentir sienne, de me fondre en lui pour que nous ne formions plus qu’une seule personne. Ses bras me frôlent et mon souffle se coupe, mon cœur résonne en moi comme dans une cathédrale, mes yeux s’emplissent de lui, mes narines aspirent son odeur comme pour m’en imprégner à vie. Il me faut ma dose, cela fait trop longtemps que je ne me suis pas nourrie de lui.
Je le sens hésitant, je vois dans ses yeux qu’il ne sait plus où il est, lui non plus. Il me regarde et semble revivre ses dernières années, nos dernières années, à nous fuir, à nous chercher, à nous retrouver et finalement à nous perdre. Je le sens paniquer un peu, puis ouvrir la bouche

- Tu as pu retrouver ton appartement ?
- (sa question me semble tellement incongrue que je ne sais pas trop quoi répondre) euh… oui. Je l’ai récupéré quand l’innocence de ton frère a été reconnue, pourquoi ?
- Pour rien… je voulais juste savoir… et ton boulot ? qu’est-ce que tu fais ?
- Michael… ? Est-ce qu’on va passer tout le temps qu’il nous reste à parler de tout et de rien ?
-… pourquoi pas ?

Il me sourit à nouveau, je vois qu’il reprend pied peu à peu. Il semble toujours être ce petit garçon apeuré, malgré ses airs de héro. Je dépose ma main droite sur son buste et plonge dans ses yeux. Je crois qu’il peut voir dans mon cœur comme dans un livre ouvert, jamais personne ne m’a donné cette impression. C’est comme si ses yeux étaient fait pour les miens, comme s’ils étaient l’unique décodeur de mon âme. Lui seul peut entrer en moi de cette manière, lui seul y est autorisé, lui seul sait interpréter mes gestes et mes regards. Je ne peux rien lui cacher, je ne peux pas lui mentir. Et lui non plus. Je sais qu’il m’a ouvert son cœur et qu’il n’a jamais laissé entrer personne d’autre que moi et son frère. Cela le rend vulnérable envers moi et c’est précisément ce qui le fait paniquer. Il sait que je pourrais lui briser le cœur en une seconde, il sait que j’ai un pouvoir sur lui que peu de personnes ont eu et qu’il ne pourra pas se relever si je le rejette en ce moment. Alors je décide de lui montrer que je ne compte pas le rejeter, je lève ma main posée sur son torse pour la déposer sur sa joue, délicatement, et je lui effleure la peau.

Lentement, mes doigts passent sur sa joue pour atteindre la commissure de ses lèvres, je remonte ma main vers sa tempe et dessine les traits de son visage telle une aveugle qui viendrait de recouvrer la vue, j’ai besoin de le toucher pour m’assurer qu’il est bien là, qu’il est bien réel, pour reconnaître mon Michael, celui que j’attends depuis 5 ans, celui que j’attends depuis toujours, celui pour lequel je suis faite. Bientôt, mon autre main imite sa semblable et englobe son visage dans une étreinte douce mais fébrile. Je sens ses bras se refermer peu à peu sur moi, d’un geste mal assuré.

trop trop beauuuuuuuuuuuuuuuuuuuu

Ta suite est comme la précédente géniale!!!
Et je ne peux que demander la suite!!!
Je veux la suite!!!!
Tes moments Misa sont vraiment trop bien écrit et trop !!
Bravo et met vite la suite stp

SADIQUE

Moi.... Sadique?????? Non, non.......................................... enfin, peut-être un peu....

Ho non j'ai cru que c'était une suite!!!!!
Tu c'est quand est ce que tu la mettra en ligne??

une suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

audrey91 a écrit:Moi.... Sadique?????? Non, non.......................................... enfin, peut-être un peu....

un ptit peu bcq,mais tu es pardonné si nous avon une suite lol

Oh oui il faut une suite la

J ADOREEEEEEEEEEEEE


JE VEUX UNE SUITEEEEEEEEEEEEEEEEE

MET LA VITE S T P