les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
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ENNEADE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
oui une suite stp
saramike- Arrivé au Nouveau Mexique
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Localisation : DERIIERE TOI
Date d'inscription : 23/07/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
suite ?
c'est une supêrbe fanfic
j'espêre que tu ne l'as pas arreté
bisoux
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gilette- Compagnon de Cellule de Michael
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Date d'inscription : 02/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Oyé oyé brave lectrice...
je sais je me suis faite désirer mais un choix cornélien c'est présenté à moi et je devais réfléchir longuement avant d'écrire cette suite.
que vous dire mes bichettes mes mamours.... je sais que vous vous attendez à tout de ma part et je me dois de vous surprendre donc... je vous laisserai juger.
CHAP 89 :
que pensée de Mike
Cela fait un moment déjà que tout le monde est parti. Il est tard, la nuit est plus qu’avancée. Je suis dans la chambre des enfants et je contemple Christina-Rose. Elle si petite, si précieuse. La fille de Lorène, de celle que je considère comme une partie de moi-même. Elle parait si paisible dans son berceau. On dirait que tout ceci ne l’atteindra jamais. Vivre sans ses parents, en sachant qu’une partie de soi nous fasse défaut. Jamais je n’aurais crut lui imposer cette souffrance, ce calvaire. Aïdan lui aussi est profondément endormis. Il est si petit, mais déjà si fort, je le sens au plus profond de moi. Ils seront élevés ensemble, grandiront ensemble tel un frère et une sœur comme Lorène le voudrait. Que dois-je faire ? Partir avec Kellerman retrouver ses hommes, ou bien rester ici et veiller sur ce petit bout. Mais je sais que jamais je ne pourrais être en phase avec moi-même en laissant ses hommes vivre. Mais dois-je me perdre moi-même ? Car je le sais, si jamais je pars à la poursuite de ses hommes, j’y perdrais mon âme. Je ne serai plus en paix, plus jamais je ne pourrais retrouver un sommeil du juste si je vais au bout de cette quête. Mais au fond de moi, de mon cœur, je sais que ma décision est prise, que je ne peux rester ici, à ne rien faire. Si seulement je n’étais pas ainsi. J’ai l’impression de me retrouver des années en arrière, le jour est j’ai décidé de tout quitter pour sauver mon frère.
Mais comment dire tout ceci à Sara ? Dois-je lui dire ? Ces questions me martèlent la tête mais je n’y trouve malheureusement aucunes réponses censées. Jamais elle ne me laissera partir, jamais elle ne me laissera me mettre en danger surtout avec une famille. Mais pour les protéger je suis obligé de les tenir à l’écart, tous même Linc. Je sais pertinemment qu’il ne me laissera pas partir, entreprendre ceci seul. Mais Lincoln ne doit pas se mêler de cette histoire. Il doit continuer sa vie, ici au Panama, veiller sur la famille que l’on forme à présent. Jamais je ne pourrais supporter qu’il se mette en danger alors que la vie lui sourie enfin, qu’il a tout ce dont il espérait, tout ce à quoi un homme peut aspirer. Jane et lui ont une famille de rêve, LJ est brillant, son travail l’épanouit. Même si je sais qu’il ne pourra pas rester de marbre face à ceci, face à cette perte. Il va m’en vouloir de partir sans lui, de vouloir régler cette affaire sans lui, mais je ne pourrais jamais accepter qu’il se mette en danger, pas après avoir failli le perdre, pas après lui avoir rendu son honneur, sa vie…
La maison est entièrement plongée dans le silence, tous le monde est endormis. Je déambule dans le couloir de l’étage tel un félin, sans lumière, à pas de velours. Ne faire aucun bruit, ne pas troubler le calme apparent. Les craquements du parquet pourraient me trahir mais je fais attention comme jamais, je connais les moindres recoins de celte maison. J’avance à pas de loup vers notre chambre et Sara est endormie. Je distingue sur ses joues les sillons formés par ses larmes. Je reste un moment immobile à figer son visage dans ma mémoire. Elle est tout ce que j’espérais, tout ce dont j’ai toujours rêvé. Prostré dans cette chambre, dans la pénombre je ne peux que la contempler en silence. Tout autour de moi a disparu, les meubles, la décoration, les murs…. Il n’y a qu’elle et moi. J’aimerai passer la main sur sa joue, voir son sourire espiègle, ses grands yeux noisette. Dans ma tête je lui dépose un milliers de baisers dans ses cheveux, mais dans mon imaginaire. Je ne voudrais pas la réveiller.
J’enfile un jeans, un t-shirt à manche longue bleu-marine. Il ne faut pas que l’on puisse voir mes tatouages, ils sont trop voyants. Je serais d’autant plus reconnaissable aux yeux de tous s’ils venaient à se voir. Je prends un sac à dos avec quelques vêtements jetés à l’intérieur, histoire de … J’ai bien conscience que je m’enfuis tel un voleur, tel un coupable mais jamais je ne pourrais affronter le regard de ma femme remplis de doutes, de peurs… Je prends le bloc de papier qui est posé sur la coiffeuse de Sara. Je passe mes mains dessus comme si c’était un chef d’œuvre. Je me souviens comme si c’était hier qu’on l’avait acheté. On était allé fouiner dans une sorte de vide grenier organisé dans le quartier ou se trouve le dispensaire. Tu avais été interpelé par cette coiffeuse rustique. Elle était dans un état lamentable mais toi tu t’en moquais, tu la trouvais parfaite. J’ai passé des heures à poncer le bois, à redonner vie à cette splendeur. Elle est simple, sobre mais le travail minutieux de ciselage d’arabesque lui donne tout son charme.
Debout, adossé au mur de la chambre je ne cesse de la fixer. Je sais que je devrais leur parler mais je ne peux pas. Je ne me vois pas les affronter mais surtout comment leur expliquer que je me décide à tous laisser pour un certain temps. Je me dois de venger celle que je considère comme mon âme sœur. Comment pourrais-je regarder Christina dans les yeux, l’élever si je ne faisais rien ? À cet instant je comprends que je risque de ne plus revenir, si Steve c’est fait avoir c’est que les personnes en face sont coriaces. Je dois m’évanouir dans la nature pour pas que l’on fasse le lien avec Sara et Linc. Je dois être prudent comme jamais, je ne dois pas céder à la facilité… Mon plan se forme dans mon esprit au fur et à mesure que les minutes s’écoulent. C’est comme si tout avait déjà été noté dans une partie de moi. Comme si tout avait un sens : faire le sacrifice ultime pour pouvoir être un homme, pour pouvoir me regarder en face.
Je quitte la pièce en laissant un mot pour ma belle et tendre Sara. Je m’en veux de partir ainsi mais comment faire autrement. Alors que je me retrouve dans le hall d’entrée de la maison, je vois posée sur une commode en teck une boite en marqueterie. Elle me semble familière, une réminiscence du passée. Cette petite boite rectangulaire avec une rosace en nacre sur le couvercle me projette littéralement dans le passé. Je ne peux m’empêcher de l’ouvrir. A ma grande surprise, j’y trouve pêle-mêle des photos, des mots, des origamis… Tous les souvenirs de Lorène sont concentrés ici. Je sens les sanglots m’envahir, je n’arrive pas à les réfréner, ils remontent le long de ma gorge. Je me sens mal, je m’en veux. J’aurais put l’aider, j’aurais dû la protéger…. Mon corps s’écroule au sol alors que je tiens toujours entre mes mains ces précieux objets. Ils ne sont rien en fait, mais ils sont à présent Lorène. Ils ne me restent plus que ça et mes souvenirs. Et mon dieu quel souvenirs… je l’ai quitté, elle a perdu mon enfant… je l’ai mise en danger constamment et maintenant je suis seul.
La seule chose que je peux faire à présent c’est la venger. Sans un dernier regard pour ce qui m’entoure, je quitte la maison, ma maison…mes pas sont lourds mais décidés. Je m’écroule presque dans la voiture. D’un geste vif et assuré je tourne la clé et démarre la voiture. Je pris intérieurement pour que cela ne réveille pas Sara. Je reste un moment, feux éteints à vérifier si quelque chose bouge à l’intérieur de la maison, mais rien. Je suppose qu’elle dort d’un sommeil profond, elle doit avoir tellement de mal à assimilé tout ceci déjà, et moi qui en rajoute. Je reste un petit moment, la tête posée sur le volant à me mordiller les lèvres. Je fixe la fenêtre de notre chambre et je ne cesse de me dire que je suis stupide. Après un long soupir, j’engage la première vitesse et toujours feux éteints la voiture s’éloigne de la maison, de chez moi.
Cela fait des heures que je roule le long de la côte panaméenne. J’ai changé maintes fois de voitures. J’ai laissé la mienne devant le dispensaire de Sara. J’ai vite repris mes instincts de survie, les habitudes de fugitif : changer de voiture, voler, regarder derrière soi constamment…
Assis dans cette voiture qui m’emmène vers l’inconnu, j’ai cessé de réfléchir. Je n’ai plus ce luxe. Je dois regarder droit devant moi, sans me soucier des conséquences. Mon regard ne quitte la route que pour fixer le siège passager du véhicule où sont posés une arme et un bout de papier où est dessiné un anneau. La bague de fiançailles que j’avais dessinée quelques années auparavant pour celle qui occupait alors mon cœur et qui aujourd’hui occupe mon esprit…
Kellerman et moi allons nous retrouver à Chicago. Je n’y suis jamais retourné depuis Fox river. Je n’en avais jamais ressenti le besoin, l’envie…Mais là aujourd’hui je le dois, je le lui dois. Même si cela sera dur, même si cela devait me conduire à ma perte … je dois y aller. Ma vie entière repose à présent sur Kellerman et moi. Je doute que Sara ou Linc effectue une quelconque recherche vu la lettre que je leur aie laissé. Je les supplie littéralement de me laisser faire, de rester en dehors de tout ceci. Il ne faudrait pas qu’ils apprennent la résurrection de Paul, cela pourrait le mettre en danger ainsi que sa famille. Tout devient maintenant si complexe. Je dois épargner tout le monde.
Je me perds un peu plus dans mes souvenirs alors que le soleil commence à se lever et se reflète dans l’océan dont je suis les courbes. Sara doit être levée à présent, ils doivent tous être au courant de mon départ. J’espère juste qu’elle comprendra, qu’un jour ils pourront me pardonner cette trahison. Cela en est une pour moi, je trahi Linc, Sara, Fernando… ma famille. Je les trahi pour venger celle qui représentait tellement pour moi.
Nos vies avaient été parsemées de choix, d’actes de foi et les conséquences qui en ont d’écoulées nous ont marquées à jamais.
je sais je me suis faite désirer mais un choix cornélien c'est présenté à moi et je devais réfléchir longuement avant d'écrire cette suite.
que vous dire mes bichettes mes mamours.... je sais que vous vous attendez à tout de ma part et je me dois de vous surprendre donc... je vous laisserai juger.
CHAP 89 :
que pensée de Mike
Cela fait un moment déjà que tout le monde est parti. Il est tard, la nuit est plus qu’avancée. Je suis dans la chambre des enfants et je contemple Christina-Rose. Elle si petite, si précieuse. La fille de Lorène, de celle que je considère comme une partie de moi-même. Elle parait si paisible dans son berceau. On dirait que tout ceci ne l’atteindra jamais. Vivre sans ses parents, en sachant qu’une partie de soi nous fasse défaut. Jamais je n’aurais crut lui imposer cette souffrance, ce calvaire. Aïdan lui aussi est profondément endormis. Il est si petit, mais déjà si fort, je le sens au plus profond de moi. Ils seront élevés ensemble, grandiront ensemble tel un frère et une sœur comme Lorène le voudrait. Que dois-je faire ? Partir avec Kellerman retrouver ses hommes, ou bien rester ici et veiller sur ce petit bout. Mais je sais que jamais je ne pourrais être en phase avec moi-même en laissant ses hommes vivre. Mais dois-je me perdre moi-même ? Car je le sais, si jamais je pars à la poursuite de ses hommes, j’y perdrais mon âme. Je ne serai plus en paix, plus jamais je ne pourrais retrouver un sommeil du juste si je vais au bout de cette quête. Mais au fond de moi, de mon cœur, je sais que ma décision est prise, que je ne peux rester ici, à ne rien faire. Si seulement je n’étais pas ainsi. J’ai l’impression de me retrouver des années en arrière, le jour est j’ai décidé de tout quitter pour sauver mon frère.
Mais comment dire tout ceci à Sara ? Dois-je lui dire ? Ces questions me martèlent la tête mais je n’y trouve malheureusement aucunes réponses censées. Jamais elle ne me laissera partir, jamais elle ne me laissera me mettre en danger surtout avec une famille. Mais pour les protéger je suis obligé de les tenir à l’écart, tous même Linc. Je sais pertinemment qu’il ne me laissera pas partir, entreprendre ceci seul. Mais Lincoln ne doit pas se mêler de cette histoire. Il doit continuer sa vie, ici au Panama, veiller sur la famille que l’on forme à présent. Jamais je ne pourrais supporter qu’il se mette en danger alors que la vie lui sourie enfin, qu’il a tout ce dont il espérait, tout ce à quoi un homme peut aspirer. Jane et lui ont une famille de rêve, LJ est brillant, son travail l’épanouit. Même si je sais qu’il ne pourra pas rester de marbre face à ceci, face à cette perte. Il va m’en vouloir de partir sans lui, de vouloir régler cette affaire sans lui, mais je ne pourrais jamais accepter qu’il se mette en danger, pas après avoir failli le perdre, pas après lui avoir rendu son honneur, sa vie…
La maison est entièrement plongée dans le silence, tous le monde est endormis. Je déambule dans le couloir de l’étage tel un félin, sans lumière, à pas de velours. Ne faire aucun bruit, ne pas troubler le calme apparent. Les craquements du parquet pourraient me trahir mais je fais attention comme jamais, je connais les moindres recoins de celte maison. J’avance à pas de loup vers notre chambre et Sara est endormie. Je distingue sur ses joues les sillons formés par ses larmes. Je reste un moment immobile à figer son visage dans ma mémoire. Elle est tout ce que j’espérais, tout ce dont j’ai toujours rêvé. Prostré dans cette chambre, dans la pénombre je ne peux que la contempler en silence. Tout autour de moi a disparu, les meubles, la décoration, les murs…. Il n’y a qu’elle et moi. J’aimerai passer la main sur sa joue, voir son sourire espiègle, ses grands yeux noisette. Dans ma tête je lui dépose un milliers de baisers dans ses cheveux, mais dans mon imaginaire. Je ne voudrais pas la réveiller.
J’enfile un jeans, un t-shirt à manche longue bleu-marine. Il ne faut pas que l’on puisse voir mes tatouages, ils sont trop voyants. Je serais d’autant plus reconnaissable aux yeux de tous s’ils venaient à se voir. Je prends un sac à dos avec quelques vêtements jetés à l’intérieur, histoire de … J’ai bien conscience que je m’enfuis tel un voleur, tel un coupable mais jamais je ne pourrais affronter le regard de ma femme remplis de doutes, de peurs… Je prends le bloc de papier qui est posé sur la coiffeuse de Sara. Je passe mes mains dessus comme si c’était un chef d’œuvre. Je me souviens comme si c’était hier qu’on l’avait acheté. On était allé fouiner dans une sorte de vide grenier organisé dans le quartier ou se trouve le dispensaire. Tu avais été interpelé par cette coiffeuse rustique. Elle était dans un état lamentable mais toi tu t’en moquais, tu la trouvais parfaite. J’ai passé des heures à poncer le bois, à redonner vie à cette splendeur. Elle est simple, sobre mais le travail minutieux de ciselage d’arabesque lui donne tout son charme.
Debout, adossé au mur de la chambre je ne cesse de la fixer. Je sais que je devrais leur parler mais je ne peux pas. Je ne me vois pas les affronter mais surtout comment leur expliquer que je me décide à tous laisser pour un certain temps. Je me dois de venger celle que je considère comme mon âme sœur. Comment pourrais-je regarder Christina dans les yeux, l’élever si je ne faisais rien ? À cet instant je comprends que je risque de ne plus revenir, si Steve c’est fait avoir c’est que les personnes en face sont coriaces. Je dois m’évanouir dans la nature pour pas que l’on fasse le lien avec Sara et Linc. Je dois être prudent comme jamais, je ne dois pas céder à la facilité… Mon plan se forme dans mon esprit au fur et à mesure que les minutes s’écoulent. C’est comme si tout avait déjà été noté dans une partie de moi. Comme si tout avait un sens : faire le sacrifice ultime pour pouvoir être un homme, pour pouvoir me regarder en face.
Je quitte la pièce en laissant un mot pour ma belle et tendre Sara. Je m’en veux de partir ainsi mais comment faire autrement. Alors que je me retrouve dans le hall d’entrée de la maison, je vois posée sur une commode en teck une boite en marqueterie. Elle me semble familière, une réminiscence du passée. Cette petite boite rectangulaire avec une rosace en nacre sur le couvercle me projette littéralement dans le passé. Je ne peux m’empêcher de l’ouvrir. A ma grande surprise, j’y trouve pêle-mêle des photos, des mots, des origamis… Tous les souvenirs de Lorène sont concentrés ici. Je sens les sanglots m’envahir, je n’arrive pas à les réfréner, ils remontent le long de ma gorge. Je me sens mal, je m’en veux. J’aurais put l’aider, j’aurais dû la protéger…. Mon corps s’écroule au sol alors que je tiens toujours entre mes mains ces précieux objets. Ils ne sont rien en fait, mais ils sont à présent Lorène. Ils ne me restent plus que ça et mes souvenirs. Et mon dieu quel souvenirs… je l’ai quitté, elle a perdu mon enfant… je l’ai mise en danger constamment et maintenant je suis seul.
La seule chose que je peux faire à présent c’est la venger. Sans un dernier regard pour ce qui m’entoure, je quitte la maison, ma maison…mes pas sont lourds mais décidés. Je m’écroule presque dans la voiture. D’un geste vif et assuré je tourne la clé et démarre la voiture. Je pris intérieurement pour que cela ne réveille pas Sara. Je reste un moment, feux éteints à vérifier si quelque chose bouge à l’intérieur de la maison, mais rien. Je suppose qu’elle dort d’un sommeil profond, elle doit avoir tellement de mal à assimilé tout ceci déjà, et moi qui en rajoute. Je reste un petit moment, la tête posée sur le volant à me mordiller les lèvres. Je fixe la fenêtre de notre chambre et je ne cesse de me dire que je suis stupide. Après un long soupir, j’engage la première vitesse et toujours feux éteints la voiture s’éloigne de la maison, de chez moi.
Cela fait des heures que je roule le long de la côte panaméenne. J’ai changé maintes fois de voitures. J’ai laissé la mienne devant le dispensaire de Sara. J’ai vite repris mes instincts de survie, les habitudes de fugitif : changer de voiture, voler, regarder derrière soi constamment…
Assis dans cette voiture qui m’emmène vers l’inconnu, j’ai cessé de réfléchir. Je n’ai plus ce luxe. Je dois regarder droit devant moi, sans me soucier des conséquences. Mon regard ne quitte la route que pour fixer le siège passager du véhicule où sont posés une arme et un bout de papier où est dessiné un anneau. La bague de fiançailles que j’avais dessinée quelques années auparavant pour celle qui occupait alors mon cœur et qui aujourd’hui occupe mon esprit…
Kellerman et moi allons nous retrouver à Chicago. Je n’y suis jamais retourné depuis Fox river. Je n’en avais jamais ressenti le besoin, l’envie…Mais là aujourd’hui je le dois, je le lui dois. Même si cela sera dur, même si cela devait me conduire à ma perte … je dois y aller. Ma vie entière repose à présent sur Kellerman et moi. Je doute que Sara ou Linc effectue une quelconque recherche vu la lettre que je leur aie laissé. Je les supplie littéralement de me laisser faire, de rester en dehors de tout ceci. Il ne faudrait pas qu’ils apprennent la résurrection de Paul, cela pourrait le mettre en danger ainsi que sa famille. Tout devient maintenant si complexe. Je dois épargner tout le monde.
Je me perds un peu plus dans mes souvenirs alors que le soleil commence à se lever et se reflète dans l’océan dont je suis les courbes. Sara doit être levée à présent, ils doivent tous être au courant de mon départ. J’espère juste qu’elle comprendra, qu’un jour ils pourront me pardonner cette trahison. Cela en est une pour moi, je trahi Linc, Sara, Fernando… ma famille. Je les trahi pour venger celle qui représentait tellement pour moi.
Nos vies avaient été parsemées de choix, d’actes de foi et les conséquences qui en ont d’écoulées nous ont marquées à jamais.
- Spoiler:
- THE END
oui mais amours, vous avez bien lu... on est à la fin !!
j'ai commencé à écrire cette fic le 29 mars 2007 à 15h23...
et depuis je laisse mon bébé voguer suivant mes humeurs, mes envies...
mais il est tant que je le laisse grandir et s'épanouir seul...
Voilà, je vous laisse la suite, chacune pouvant s'imaginer ce qu'il adviendra à nos chers héros.
Il y a peut être une chose que j'ai oublié de vous dire, ce n'est pas en réalité une fic PB...mais la fic de Lorène...
un grand merci à vous toutes qui m'avait suivis de fofo en fofo, sans jamais me laisser seule avec mes doutes et mes turpitudes.
Sans vous toutes jamais je n'aurais écrit ders choses pareilles, jamais je n'aurais osé faire tout ceci.
car pour une fois je vais me la pêter un peu mais je suis fière du résultat...
je vous adore mes minettes
et c'est qui qui chiale comme une connasse sur son clavier... c'est moi... mais quelle cruche je fais parfois
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
NON C'EST PAS POSSIBLE
ça peux pas etre fini alors la je suis trop triste et puis je voulais un happy end, qu'est qui va se passer apres est qu'il va retourner vers Sara , ils ont quand meme un enfant. et puis je voulais voir la reaction de sara.
c'est vraiment pas possible tu peux pas t'arreter, je suit ta fic depuis le début et c'est une de mes preferer, tu viens de briser mon petit coeur , j'espere pouvoir surmonter cette perte
ça peux pas etre fini alors la je suis trop triste et puis je voulais un happy end, qu'est qui va se passer apres est qu'il va retourner vers Sara , ils ont quand meme un enfant. et puis je voulais voir la reaction de sara.
c'est vraiment pas possible tu peux pas t'arreter, je suit ta fic depuis le début et c'est une de mes preferer, tu viens de briser mon petit coeur , j'espere pouvoir surmonter cette perte
Sara59- Dr Tancredi you are free
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Age : 38
Date d'inscription : 03/04/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
oh non
c'est pas deja la fin
oh non
c'est trop triste
oh non
c'est triste
oh non
chui pas daccord ^^
oh non
stp stp stp
un épilogue
stp du style : mickael revient.... il a fait ce qu'il avait a faire sarah et les autres cocos crisent mais tt le monde ala fin est heureux
stp stp
c'est trop triste
c'est pas deja la fin
oh non
c'est trop triste
oh non
c'est triste
oh non
chui pas daccord ^^
oh non
stp stp stp
un épilogue
stp du style : mickael revient.... il a fait ce qu'il avait a faire sarah et les autres cocos crisent mais tt le monde ala fin est heureux
stp stp
c'est trop triste
gilette- Compagnon de Cellule de Michael
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