Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)

ponou Mar 12 Juin - 18:22

Toujours aussi bien les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Invisio3

La suite stp Very Happy

Erin Mar 12 Juin - 18:23

LA SUITE ....... VITE......je veux aussi du misa vite........

les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Yahoo

lily24 Mar 12 Juin - 18:25

encore encore encore
une suite stp les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Icon_clu

chachou18 Mar 12 Juin - 18:27

alors,?? alors j'en redemande!!! j'en veux encore!!! c'est trop bien!!

la suite stp!!!!!!!!!!!!!! les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Applaudi

les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Amoureux

virginie Mar 12 Juin - 18:38

chachou18 a écrit:alors,?? alors j'en redemande!!! j'en veux encore!!! c'est trop bien!!

la suite stp!!!!!!!!!!!!!!

encore encore , j ' en redemande la suite

met la vite !!!!!!!! please !!!!!!!!

les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Amoureux

nestella Mar 12 Juin - 19:38

virginie a écrit:
chachou18 a écrit:alors,?? alors j'en redemande!!! j'en veux encore!!! c'est trop bien!!

la suite stp!!!!!!!!!!!!!!

encore encore , j ' en redemande la suite

met la vite !!!!!!!! please !!!!!!!!

Tu n'a plus qu'a les ecouter car je suis entièrement de leur avis!!!!!!!!!!!!! les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Invisio3

WentSarah Mar 12 Juin - 23:30

Du MiSa du MiSa du MiSa du MiSa du MiSa du MiSa!!!!!!! les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Invisio3

miss_sa_69 Mer 13 Juin - 10:52

WentSarah a écrit:

Du MiSa du MiSa du MiSa du MiSa du MiSa du MiSa!!!!!!!

heureusement que jai lue ta fiiic cette nuit maos je pouvais pas laisser de méssage je pouvais pas taper sur les touches du clavier aux risques de réveiller ma pote Sleep

aloooooors moi je dis comme dis WENTSARAH DU MISA hihihihihih suis encor et toujours en manque king

jadooooore ta saison trois encor une fois les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Applaudi

ENNEADE Ven 15 Juin - 20:37

promis je ne la délaisse pas!!! au contraire je ne fais que y penser!!!et y repenser!!!

peut-ête la suite demain ...

ça dépendra si je finis ou pas "rencontres..." lol!

miss_sa_69 Dim 17 Juin - 21:18

Hum hum je crois que demain cétait hier non??? les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 00000035

ATTENTION TIENS A TA VIE PLUS QUE SA JE POURRAIS DEVENIR MECHANTE les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 10363152

Ps: non en fait peux pas t'm trop lol!

ENNEADE Dim 17 Juin - 21:30

je croyais que personne avait vu...

personne n'a rien dit!!!

la suite mardi au plus tard!! promis

miss_sa_69 Dim 17 Juin - 21:40

Mdr ouais mais moi je vois quand meme les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Mdr72ki

jai des snoeils de Linx Suspect

ENNEADE Mar 19 Juin - 19:54

alors voici la suite tant attendu :

pensée de Lorène : vert
pensée de Mike : bleu

study

Une porte s’ouvre sur un côté de cette cour. Je m’avance d’un pas décidé. Je ne sais pas vraiment ce qui va se passer mais je j’ai appris une chose ici, il faut aller de l’avant, ne jamais reculer. J’entends au loin un gardien, toujours lui avec cet accent qui m’inssuporte de plus en plus.

Gardien : allez Ángel caído(ange déchu) avances toi…
M : oui.

Je soupire de soulagement en voyant qu’il s’agit bel et bien de la douche. Je m’avance et remarque que comme d’habitude il n’y a personne. A peine un morceau de savon qui traîne. Parfois je me demande à quoi cela peut bien servir de prendre une douche alors que j’ai toujours les mêmes habits ! ! Par-dessus tout je déteste le ton de leur voix quand il m’appelle ainsi. L’ange déchu. Depuis le jour de notre tentative d’évasion, il m’en on affublé. Je le déteste. L’eau froide coule le long de mon corps. Ce sont les seuls moments ou j’ai l’impression d’être un être humain. Cette eau qui parcoure ma peau me fait comme à chaque fois penser à tout ce que j’ai perdu ici, me fait penser à Linc, Sara, Lorène… je me demande s’ils sont encore en vie, si la compagnie ne les a pas rattraper alors que je suis ici impuissant ! ! Les deux mains posées sur le carrelage face à moi, je ne cesse de penser à l’extérieur, comme tout à chaque fois que je me trouve au dehors de ma pièce. Je l’aime bien pour ça, elle me fait oublier qu’il y a un monde au dehors, que je ne suis pas seul ! ! ! Tout est si simple dans je suis dans ma pièce, je l’étudie, le dissèque jusqu’à la connaître par cœur. Le claquement de la matraque dans mon dos me ramène à la réalité. J’essaye tant bien que mal de résister, seulement je sais pertinemment ce qui va se passer. Un deuxième coup se fait ressentir, un troisième… j’ai de plus en plus de mal à me tenir debout… un autre dans la nuque, je m’écroule par terre. Ce sont à présent leurs pieds qui me martèlent. J’ai appris une autre chose à Sona, encaisser et ne pas rendre, du moins pas quand ce sont les gardiens.

Gardien : juste un petit souvenir Ángel caído.

J’ai du mal à comprendre ce qu’il vient de me dire. Je suis sonné par ce que je viens d’encaisser. Des gouttes de sang se mélangent à l’eau. Je me relève pour me rincer un peu. J’ai la vague impression qu’un bus m’est passé dessus. Ils n’y sont pas aller de main morte cette fois-ci. Ils s’étaient pourtant calmer ces derniers temps. Bon je me sèche comme je peu. La serviette est tachée de sang. Mon nez continu toujours à saigner. Un bout de coton traîne sur un lavabo, cela fera bien l’affaire. Parfois j’avais de quoi me raser, me tondre les cheveux, pas cette fois, dommage. J’aurais pu encore une fois sonder mon esprit, me remettre en question, savoir si j’allais ou non utiliser cette lame pour autre chose que ma barbe. Mais je sais que je ne pourrais pas, je n’y suis jamais arrivé. Je me rhabille et rejoint le couloir de manière assez gauche. Les regards complices des gardiens m’inquiètent légèrement. Je me redirige automatiquement vers le couloir qui me mène à ma pièce.

Gardien : Ángel caído s’est par ici !
M : hein !
Gardien : cherche pas c’est de ce côté !

Je les suis presque tremblant. Je marche assez mal mais j’essaye de me tenir du mieux possible. Pourvu que je ne retourne pas avec les autres détenus. Si je retourne là-bas, dans moins d’une minute je serai mort. J’ai voulu m’évader, sans eux… là-bas ce n’est pas ainsi que ça marche. Si j’ai un moyen de sortir c’est pour tout le monde ou personne ! !Je vois au loin la cour, quelques détenus ! ! Ce couloir d’enceinte me semble interminable. Tout d’un coup il ouvre une porte qui m’emmène devant les deux grandes portes d’entrée. Je les reconnaîtrais entre mille. Il avait faire nuit et pleuvoir, jamais je n’oublierai ce soir là ! Je les regarde sans trop comprendre ce que je fais ici. Ils n’ont pas l’air super heureux, comme s’ils avaient bien voulu me garder mais qu’ils ne pouvaient pas.

Gardien : on n’a pas la journée, tu avances ! Ouvrez les portes !
M : je…
Gardien : dehors Scofield !

Je le regarde incrédule, ce n’est pas possible ! C’est un moyen de m’éliminer, de me tuer encore plus facilement. Je prends une grande inspiration et je m’avance vers les portes. De toute façon si mon avenir et ainsi autant y faire face. Les portes s’entrouvrent sur mon passage. La lumière du jour m’aveugle toujours légèrement. Je regarde droit devant moi, ce n’est pas possible je ne peux pas être libre, je ne peux pas sortir d’ici. Les portes ont à peine le temps de se refermer derrière moi, que je distingue de l’autre côté de la route cette allure quoi m’est si familière. Je ne la voie à peine. Je dois être en plein rêve, c’est ça c’est encore un rêve ! Je rouvre mes yeux et elle est toujours là. Elle n’est plus assise sur le capot de sa voiture mais elle est là devant moi, terrifiée.

Oh mon dieu, ce n’est pas possible ! Mes mains viennent recouvrir ma bouche avec hâte pour étouffer les cris d’horreur que je pourrais prononcer. Il est là, devant moi, si faible, si déboussoler…mais il est là. Je m’avance timidement vers lui comme pour voir si c’est vraiment lui. Je suis comme pétrifié. Deux ans que j’attends ce moment, deux ans que j’angoisse. On se retrouve face à face. Mes yeux sont remplis de larmes alors que lui est figé tel une statue. Naturellement j’essaye de lui sourire mais il est si différent. On ne dirait plus que l’ombre de lui-même. Mes bras viennent instinctivement se resserrer autour de sa taille alors que je pose ma tête contre son torse. Je me sens si bien… c’est comme si tout ceci n’était plus qu’un mauvais cauchemar.

Lo : tu es libre Mike !

Il ne me répond pas. Il reste là, les bras le long du corps. Je m’écarte de lui à regret mais il semble si froid, que je ne veux pas le brusquer davantage ; je remarque à cet instant, qu’il porte les mêmes vêtements que la dernières fois, que son visage est creusé, tuméfiés…son regard est plongé au loin vers l’horizon.

Lo : Mike, on ferait mieux de partir d’ici. On a pas mal de route à faire.
M : oui.

Je me sens si nauséeuse de la voir si détruit. J’ai l’impression d’avoir un jouet cassé. Tout semble désordonné dans sa tête. Il me suit automatiquement dans la voiture et s’assoit du côté passager. Mes mains tremblantes mettent le contact. Je ne me sens pas bien, je pensais que j’aurais pas mal de choses à affronter en le revoyant mais là… je crois que l’on rentrera demain… il n’est pas prêt à affronter le monde extérieur. Il faut d’abord qu’il se retrouve.

Lo : si tu n’y vois pas d’inconvénient on va couper le voyage en deux. Comme ça tu pourras te reposer. On va prendre une chambre pour cette nuit. D’accord Mike ?
M : si tu veux.

Je regarde le paysage défilé devant moi sans trop comprendre ce que je fais dehors je me doute que Lorène y est pour beaucoup. Seulement pourquoi est-elle venue seule ? Je me sens désorienter, tous ces nouveaux paysages, ces couleurs, ces reliefs me demandent énormément d’effort. Tout se confond dans ma tête. J’ai l’impression de ne plus savoir qui je suis. On roule sans s’arrêter… il est presque 18h quand je me reconnecte avec le monde. En réalité, j’émerge car elle se gare sur le parking d’un hôtel, sinon j’aurais pu rester des heures entières bloquées dans mes pensées. Je la suis tel un chien qui aurait perdu ses repères. Je la regarde à peine. C’est comme si je n’étais que spectateur.

Lo : bonjour, il nous faudrait une chambre avec deux lits, s’il vous plaît !
Homme : ben ma petite dame ! Il me reste qu’une chambre avec un lit pour 2 personnes.
Lo (lançant un regard vers Mike) : bon Ok ça ira. Merci.

Je prends la clé en souriant. Je ne vois pas le problème qu’il pourrait y avoir. Ce n’est pas un inconnu quoique depuis tout à l’heure il est si différent, mais quoi de plus normal. Je monte suivi de Mike. J’ouvre sans hésité la porte. J’essaye d’être la plus enthousiaste possible, la plus décontracté… d’être la plus ressemblante avec celle qu’il connaît. Je vois bien son petit sourire se dessiner faiblement alors que je saute à pied joint sur le lit, pour voir s’il est confortable ; j’ai toujours fait ça. A chaque fois que l’on partait en vacances, à l‘hôtel je faisais ainsi. Cela avait toujours le don de le faire rire. Même là je crois avoir réussi. Il s’assoit sur le fauteuil face à moi. Je m’étale sans vergogne sur le lit. Allongé sur le ventre, la tête appuyée sur mes mains.

Lo : je suis contente de te voir.
M : moi aussi.
Lo : bon je ferai mieux d’aller t’acheter de quoi t’habiller car il est hors de question que tu ressembles à n’importe quoi… dans la valise tu trouveras tout ce dont t’as besoin pour … tu as besoin de quelque chose ?
M : Non-merci.
Lo : je ne serai pas longue. Tu veux manger dehors ou ici ?
M : ici.

Je lui dépose un léger baiser sur sa joue. Je le sens tressaillir sous l’effleurement de sa joue. Ses yeux se ferment comme pour s’excuser de sa réaction. Je n’y prête pas attention. Je le laisse ainsi un peu seul pour qu’il se retrouve.

Elle sort enfin. Je ne sais pas pourquoi mais sa présence m’oppresse. Je ne suis plus habitué à être en contact avec quelqu’un. Je ne sais pas combien de temps je reste ainsi sur ce fauteuil à méditer. Au bout d’un moment je m’avance vers la salle de bain… mon reflet dans le miroir est loin de me renvoyer le visage que je pensais avoir. Cela fait si longtemps que je ne me suis pas vu. Là-bas, j’avais à peine un bout de miroir pour me raser quand je pouvais. Je passe mes mains sur mon visage, comme pour vérifier que c’est bien celui-là. Je me retourne vers la valise. Je vois qu’elle a presque pensé à tout… gel douche, déo, rasoir, tondeuse même mon parfum. Celui que je portais avant que tout ceci ne commence. Je ne peux m’empêcher de sourire sous l’effet de ce doux souvenir. Tellement de souvenirs se bousculent maintenant. J’ai voulu les refréner pour ne pas souffrir mais là je me retrouve libre et avec tellement de questions. Je jette mes habits par terre et me dirige satisfait sous l’eau de la douche. Deux douches en une journée, cela me semble bien irréel. L’odeur du gel douche… elle a pensé à tous, elle s’est souvenue de tout. L’eau ruisselle sur mon corps et son contact me rappelle les derniers souvenirs des gardiens. Mais cela me semble si loin tout d’un coup. J’ai du rester un bon moment sous l’eau compte tenu de la buée qu’il y a ici ! Je prends tel un automate le rasoir pour m’enlever cette foutu barbe… peu à peu je me retrouve. Je sais bien que je suis loin de ressembler à celui que j’étais avant mais je m’en rapproche. Je me concentre sur mon visage, je me regarde sous toutes les coutures… jamais je n’aurais fait ça avant !
J’entends Lorène rentré dans la pièce alors qu’elle n’est plus qu’à quelques centimètres de moi. Je déteste ces moments ou je me déconnecte de la réalité. Elle est là, le visage toujours aussi radieux.

Lo : mais oui t’es beau !
M : ce n’est pas ça.
Lo : tu veux peut-être que je m’occupe de tes cheveux ?
M : j’aimerai bien.

Je le vois simplement vêtu d’une serviette sur la taille, s’asseoir sur un tabouret. J’ai l’impression d’être des années en arrière. J’essaye tant bien que mal de le faire revenir parmi nous en douceur. Je crois que tout cela aurait été trop brutal pour lui. Je passe tel un automate la tondeuse sur son crâne, laissant tombé ses cheveux par terre. Une fois finie, je passe ma main sur son crâne. Je sais que je n’aurai pas du, mais je l’ai toujours fais ! Je le vois se regarder de nouveau dans la glace, comme s’il redécouvrait son visage. Je m’avance vers lui. Il se recul avec un mouvement d’effroi qui me tétanise tout comme lui. J’ai du lui faire peur, moi ! Je lui tends les pansements et de quoi le soigner. Il acquiesce faisant croire que tout va bien, seulement la lueur de ces yeux m’indique bien le contraire. Je ne suis pas dupe, les coups qu’il a sont récents. Tout son corps semble constellé de bleus. Ils sont disséminés ici ou là. Je suis horrifié de le voir ainsi.

Lo : vaudrait mieux que je soigne tout ceci.
M : ce n’est pas très beau à voir !
Lo : t’inquiètes, tu me dis si je te fais mal.

Question

chachou18 Mar 19 Juin - 20:07

enfin la suite!! Twisted Evil

et ils sont où les autres??? scratch

pourquoi Sara et Linc sont pas venu??

je veux la suite!! c'est la meilleure façon de répondre à ses questions!!! Surprised

la suite stp!! encore!!!!!!!! les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Invisio3

ponou Mar 19 Juin - 21:30

Ouai pourquoi elle est pas là Sara, c'est elle son médecin lool

toujours aussi bien tes suites, vivement la prochaine, j'ai hâte de voir les retrouvailles avec Linc et Sara

WentSarah Mar 19 Juin - 21:50

vous avez tout dit les filles les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Yahoo

Mais un autre petit truc je le sens mal le un lit pour 2

vivement la suite pour avoir toutes les réponses!!!! les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Icon_clu

virginie Mar 19 Juin - 21:58

WentSarah a écrit:
vous avez tout dit les filles

Mais un autre petit truc je le sens mal le un lit pour 2

vivement la suite pour avoir toutes les réponses!!!!

tout a ete tous dit , moi aussi , je veux la suite !!!!!!!!

met la tres vite !!!!! please !!!

bounce

nestella Mar 19 Juin - 22:02

C'sst vrai qu'un lit pour 2 sa me pertube cette histoire!!!! scratch

Ou sont Sara et Lins??????????????? Suspect

Trop impatiente de lire la suiteeeeeeeeeeee les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Icon_clu

miss_sa_69 Mer 20 Juin - 3:10

MA TITINE TA FAIS DISPARAITRE MA SARA ET MON LINC ILS SONT OU????

affraid

LA SUIIIIITE Sad

^pS: un LIT pour DEUX °O

ENNEADE Mer 20 Juin - 19:09

contente que vous soyez toujours là!!!
vos questions auront des réponses mais un peu de patiente!!!

pensée de Lorène : vert
pensée de Mike : bleu

study

Je suis de plus en plus inquiète. Les heures passent sans que Mike ne prononce un mot, c’est à peine s’il me répond par la positive quand je lui pose une question. Mais plus que tout il ne m’a demandé des nouvelles de personne. Comme si le monde extérieur n’avait plus d’importance pour lui. Je suis comme désemparé par l’homme qui est en face de moi. Il semble si lointain de celui que j’avais connu. Il ne s’intéresse à rien, il reste là bloqué sur un point invisible. Il ne m’a pas demandé comment j’ai réussi à le sortir de là ? Pourquoi suis-je ici et seule ? Comment se passe ma vie ? Quels sont mes projets ? Mes rêves ? Je le vois ingurgité à une vitesse remarquable son dîner. Je me demande depuis quand il n’a pas manger. Je le regarde presque amusé de le voir ainsi, si enfantin. Je me demande si j’ai bien fait de ne pas le forcer à dîner dehors, j’aurais peut-être dû. J’ai peur qu’il veuille s’isoler, se couper du monde plus qu’il ne l’est. Bon faut que j’essaye de rétablir le contact.

Lo : ça va, tu aimes ?
M : oui.
Lo : on va dormir ici et demain je te ramène chez toi.
M : OK.
Lo (inquiète) : tu ne veux pas savoir où c’est ? Mike, tu n’as aucune questions à me poser ?
M : non.
Lo : Mike, je ne veux pas te brusquer. Je sais ce que tu as pu traverser mais…
M (froid) : tu ne sais pas.
Lo (en colère) : tu crois que tu es le seul à avoir souffert. Tu crois que c’était facile pour nous ?
M : nous ?
Lo : Mike je suis là, parle-moi !
M : ils sont morts ? La compagnie les a eut ?
Lo (rassurante) : non Mike. Ils vont bien. On a pensé que c’était mieux pour toi que l’on ne t’étouffe pas trop. Qu’il fallait y aller doucement.
M : pourquoi toi ?
Lo (lui prenant les mains) : je devais venir. Je suis ton avocate. Les gardiens allaient me demander des papiers. Je devais venir, je suis désolé. Tu aurais préféré que les autres soient là ?
M : non. C’est bien ainsi.
Lo : il ne faut pas que tu te fasses de soucis. Tout est fini. La Compagnie est tombée. C’est assez long donc je vais te faire le résumé.
M : j’aimerai bien savoir.
Lo : bon, à Chicago ton acquittement a été prononcé 6 mois après ton incarcération à Sona. Le fait que tu sois condamné ici a un peu ralenti le dossier. En parallèle avec Steve, Linc et Jane on a tout mis en œuvre pour faire tomber la Compagnie. On se doutait qu’en la détruisant, tu serais libre. L’instruction du dossier à pris presque 2 ans. Les mois derniers, l’ultime procès a eut lieu. En fait, tous les cerveaux de l’organisation ont été exécutés. Mais il fallait anéantir le système pour qu’il ne se remonte pas. Une fois cela fait, il a été plus simple de faire pression ici pour te libérer. Si tu m’avais écouter ce jour là ! Le jour ou je suis venu te voir à Sona… cela aurait été beaucoup plus rapide Mike !
M : je suis désolé. Mais je devais essayer.
Lo : pourquoi Mike ?
M (changeant de conversation) : tu dois avoir beaucoup d’influence ici pour arriver à faire tout ceci ?
Lo : ben ! Je suis désormais procureur à Chicago et en deux ans on a le temps de tisser des relations, pas toujours honnête mais bon !
M : je te remercie.
Lo : je suis désolé de n’être pas arrivé plus tôt !
M (plongeant son regard dans celui de Lorène): ce n’est pas grave. J’ai purger pour mes fautes Lorène et si c’était à refaire j’agirai de la même manière.
Lo (soupirant) : je sais. Bon je vais prendre ma douche et ensuite au lit. La journée de demain sera longue.

Je la vois disparaître sous la douche. Je sais bien que je devrais être plus enthousiaste, plus communicatif seulement je n’y arrive pas. Apparemment tout le monde va bien. Mais qui est tout le monde, est-ce que cela englobe Sara, Linc… j’ai si peur de connaître la vérité que je n’ose pas la demander. Ce serait normal que Sara est refait sa vie. Après tout elle mérite d’être heureuse et si tel est le cas, je serais content aussi. La seule chose que je désire c’est son bonheur et il n’est pas compatible avec moi, pas avec ces dernières années en… enfer. Je me suis gavé comme peu auparavant. J’avais oublié le goût que pouvait avoir de la vraie nourriture, des tacos, des buritos… heureusement que j’ai toujours aimé manger mexicain car là… je me suis gavé. Je ne sais vraiment depuis combien de temps je n’ai pas manger un vrai repas. Mais je sens presque mes joues ce re-remplir au fur et à mesure que je mangeais. Je souris devant ce constat alarmant. Je ne suis plus qu’un ombre, j’ai tout à réapprendre, à commencer par être moi-même. J’essaye de canaliser mon esprit pour qu’il ne divague pas de nouveau. Tout d’un coup je me sens anxieux. Une véritable crise d’angoisse alors que je vois la nuit tombée au dehors. Un lit pour deux… je ne peux pas, ce n’est pas normal, je ne suis plus avec elle et si elle était seule. Elle ne m’a pas parlé ce Steve, oui c’est son nom. Cela me semble si lointain, comme enfoui au plus profond de mon esprit. Si Sara à refait sa vie, si Lorène est seule… non Mike arrête tes bêtises, si tel était le cas tu le saurais, tu l’aurais vu. Elle semble épanouie, heureuse et ce n’est pas seulement à cause de toi voir au contraire. Je me relève pour débarrasser les restes de nourritures. Ces gestes simples me semblent aujourd’hui comme irréel, j’ai tellement réfréner ces moments de la vie quotidienne qu’ils me semblent dorénavant presque magiques. Je prends un des oreillers pour le balancer à terre. Ce n’est pas l’envie qui me manque de dormir sur quelque chose de doux mets je sens que le sol dur de cette chambre me sera plus confortable, plus habituel. J’essaye de voir dans la penderie s’il n’y avait pas des draps en plus. Ah ! En voilà un. Je me déshabille presque à regret. Le fait d’avoir des vêtements propres et neufs est un réel bonheur. Cela me conforte dans l’idée que je suis bel et bien libre. Tout comme le fait d’enlever ses habits pour dormir. Deux ans que je n’avais pas eut ce rituel. Je souris devant ce constat. Mes yeux se portent sur Lorène qui sort au même instant de la salle de bain, vêtue d’un grand t-shirt… qui n’est pas à moi. Je souris de la voir ainsi, si décontracté. Je présume qu’elle l’a volé à Steve. Elle a toujours porté mes vieux t-shirts ou mes vieilles chemises pour dormir. Donc ils doivent être ensemble. Cette pensée me fait un bien infini. Elle a trouvé le bonheur auprès de quelqu’un, elle est heureuse. Si j’ai bien compris, elle est maintenant procureur. J’aimerai tellement lui dire à cet instant à quel point je suis fier d’elle mais aucun son ne sort de ma bouche, comme s’ils étaient bloqués. Elle me regarde avec insistance, presque avec méchanceté.

Lo (effarée) : tu ne comptes pas dormir par terre tout de même ?
M (dur) : je préfère.
Lo : je ne suis pas d’accord. Tu dors dans ce lit !
M : et toi ?
Lo : ben ! Moi je dormirais par terre ou sur le canapé ! !
M (s’allongeant) : prends le lit. Je dormirai mieux à même le sol.
Lo : Mike !
M : bonne nuit !
Lo : bonne nuit.

Cela me fait bizarre de l’entendre me dire ces mots. C’est comme si on était des années en arrière. Je me sens bête d’être dans ce lit alors qu’il est là par terre. Je me sens si mal ! Je n’arrête pas de me retourner alors que je l’entends à peine respirer. Mon cerveau fuse tellement que je n’arrive pas à dormir. C’est comme si toutes les connections se faisaient en même temps ; J’essaye de comprendre ce qu’il a put vivre, de le ménager, de lui amener les choses en douceur, mais je me sens bien impuissante. Alors qu’avant on aurait batailler des heures entières pour qu’il me laisse dormir dans ce lit, là ce n’est plus le cas. Le son de sa voix est si différent, si tranchant. Par moments je vois en lui un regard sombre, presque morbide. Je ne sais pas ce qui m’inquiète le plus, de ne pas savoir ce qui peut le tourmenter à ce point ou la peur de le découvrir un jour !
Je me relève brusquement dans le lit alors que j’entends un bruit venant de l’extérieur. Mon cœur ne cesse de faire des bons dès que je mets les pieds dans ce pays. Tellement de choses se sont passées ici, tellement de peurs. Je me rends compte par la même occasion qu’il est là, allongé sur le dos, les bras derrière la tête ; les yeux grands ouverts mais comme toujours dans le vide. Je soupire devant ce constat. J’ai si peur, je le connais mieux que quiconque et je sais de quoi il est capable, à quel point il peut se refermer sur lui-même.

Son soupir me sort de mes songes. Je l’entends de manière assez lointaine se retourner constamment dans le lit. Ce bruit de draps froissé me fait frémir, c’est comme un retour à la réalité puissant. Je tourne ma tête pour la voir me fixer intensément. Ces yeux sont remplis de larmes. Je sens mon cœur se serrer devant cette vision. A travers la pénombre, je discerne ses larmes perlées le long de ses joues. Je sais que c’est à cause de moi et je n’arrive pas à le supporter. J’entends son souffle se faire de plus en plus court pour étouffer ses sanglots. Je ne sais pas quoi faire. De nombreuses images se bousculent dans ma tête, toutes ses années à ses côtés, nos vacances, ses anniversaires, notre rupture, son désarroi face à la perte de notre enfant, elle allongée dans son lit au bord du précipice… j’arrive de plus en plus difficilement à soutenir son regard qui me fixe. Je me lève d’un bond et je m’avance vers elle. J’agis juste en écoutant mon cœur, sans penser, sans réfléchir. Je me glisse sous les draps à son côté pour la prendre dans mes bras. Elle se laisse tomber sur moi. Elle laisse éclater ses larmes sans retenue. Sans vraiment comprendre, je la serre de plus en plus contre moi, comme si plus qu’elle, j’avais besoin de ce contact. Sa peau douce contre la mienne, son odeur.. Les réminiscences de notre passé se bousculent dans ma tête. J’ai tellement envie de la consoler, d’être auprès d’elle.

Nos corps se détachent au bout de quelques minutes. Je me sens déconcertée. Je ne pensais pas craquer ainsi. C’est comme si je m’étais effondrée. je ne pensais pas qu’il allait venir, qu’il allait me prendre dans ses bras. Ce moment si proche de lui m’a fait du bien. C’est comme si tout avait disparu pendant quelques instants.

Lo : dors là.
M : tu es sûr ?
Lo : j’ai tellement rêvé a ce jour que j’ai peur que ce ne soit qu’un rêve de plus.
M : bon. Fais de beau de rêve.

Je le sens se glisser dans les draps. Allongé tous les deux de chaque côté du lit, je sens nos respirations se mélanger. Elles sont pesantes. Je crois qu’aussi bien l’un que l’autre on est mort de peur. Je l’entends s’endormir au fur et à mesure que sa respiration se ralentit. Je me retourne pour vérifier. On dirait un ange. Ses traits sont tirés mais il semble apaisé. Pour la première fois je le vois de nouveau sourire avant de tomber de manière irrépressible dans les bras de Morphée.
Des bruits sourds me sortent de mon sommeil. Les yeux hagards je me retourne pour voir Mike en plein combat avec ses démons. Je passe ma main doucement sur sa joue, pour le calmer un peu. Je vois ses yeux s’ouvrir en grand alors que les miens sont mi-clos. Je me retourne instantanément pour retrouver mes songes. Je sens son corps se blottir contre le mien tel un aimant. Ses mains passant autour de ma taille, je me sens comme prise au piège. Il se serre de plus en plus à moi. Je ne sais pas trop comment réagir ; je suis plus surprise qu’autre chose. Lui, qui était si distant il y a encore quelques heures, se trouve collé à moi. Je sens son corps se pressé contre le mien, nos jambes s’entrelacent sans qui je n’y puisse rien. Sa tête enfouie dans mes cheveux, je sens son souffle haletant se noyer dans ma nuque. Mon cœur se crispe sans crier gare alors que je sens ses larmes ruisseler le long de mon cou. Je ne sais plus quoi faire. Il est là contre moi, en larme. J’essaye tant bien que mal de lui dire que tout est fini, que l’avenir est devant lui. Mes mains ne cessent de caresser les siennes pour le réconforter mais rien n’y fait. Il s’endort ainsi, lové contre moi, murmurant sans cesse « j’ai tué, je l’ai tué, je suis un meurtrier ».

Question

virginie Mer 20 Juin - 19:25

magnifique suite

whouuuuuuuu c' est flipant de le voir comme sa !!!!!!!!

j' en redemande encore

met la vite !!!!! please

les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Amoureux

chachou18 Mer 20 Juin - 19:59

pauvre mick... Crying or Very sad

il a vraiment beaucoup souffert...

mais rassure moi... ils vont pas se remettre ensemble?? confused

je pensais qu'il aimait Sara moi??!! affraid

je suis perdue.. pale

la suite la suite la suite la suite!!!!stpppp!!!! les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Applaudi

miss_sa_69 Mer 20 Juin - 20:14

Bon ok MICk a souffert mais si il ne retourne pas avec Sara il va souffrir encor pluus les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 00000035

Lorene, Lorene ok pour cette suite elle est en galère mais bon quand meme SARA SARA et encor SARA lol!

Ps: comment tu le sais sui dingue quand ze lis tes fics look ce message de psychopate quand même

WentSarah Mer 20 Juin - 22:52

Génial ta suite les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Yahoo

Moi non plus je veux pas que Lorène et Mike se remettent ensemble

c'est Mike et Sara ou RIEN!!!!! Mad

Pauvre Mikey Sad

faut qu'il retrouve Sara les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Invisio3

suite suite suite les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Icon_clu

nestella Jeu 21 Juin - 12:02

chachou18 a écrit:pauvre mick... il a vraiment beaucoup souffert...

mais rassure moi... ils vont pas se remettre ensemble?? je pensais qu'il aimait Sara moi??!! je suis perdue..

la suite la suite la suite la suite!!!!stpppp!!!!

je suis aussi perdue que toi!!!!!! pale

Mais il faut qu'il retrouve Sara!!!! les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89) - Page 23 Invisio3

La suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

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