les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
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ENNEADE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Tres bien cette suite!
Mais j'ai eu du mal a comprendre avec les pensées de plusieurs persos (tu pourrais pas les mettres en couleur ou jsais pas pour savoir qui parle )
Par contre je n'aime pas Lo en meme temps c'est normal je prefere Sara
La suiteee
Mais j'ai eu du mal a comprendre avec les pensées de plusieurs persos (tu pourrais pas les mettres en couleur ou jsais pas pour savoir qui parle )
Par contre je n'aime pas Lo en meme temps c'est normal je prefere Sara
La suiteee
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Date d'inscription : 04/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
les couleurs je savais bien que j'avais oublié quelquechose...sorry
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
c'est tip top
bravo
j'atends la suite....
bravo
j'atends la suite....
gilette- Compagnon de Cellule de Michael
- Nombre de messages : 12
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
J'aime beaucoup ta fic, très original bravo
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
je suis nouvelle sur ce forum et j'adore ta fic elle est geniale.
VITE LA SUITE
VITE LA SUITE
Sara59- Dr Tancredi you are free
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fanfic enneade
la suiiiiiiiiitttttteeeeeeeeeee, je suis vraiement impatiente de savoir ce qui se passe !!!!!!!!!!!
Erin- Admis à l'infirmerie
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Date d'inscription : 20/02/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
merci pour les comms. Bon, petite suite...
pensée Mickaël :bleu
pensée Lorène : vert
pensée Sara : rouge foncé
pensée Paul : jaune, je sais pas très lisible donc surligné...
Mickaël et Lincoln, sont dehors. La discussion semble plus que houleuse et sérieuse. J’aide Jane et L.J. à préparer la table et le repas mais le cœur n’y est pas. Mon cerveau est torturé de questions sur cette femme. Depuis tout à l’heure elle travaille à son bureau. Elle semble plus que concentrée, elle ne parle pas, s’enfouit derrière une tonne de dossier…Mes yeux ne cessent de regarder par la fenêtre pour comprendre ce qui se passe… mais tous ce que je vois ne me réconforte guère… Mickaël semble si fragile, on dirait un enfant pris en faute et la position dominante de Lincoln n’arrange rien.
J : vous êtes médecin, c’est cela Sara ?
S : oui. Allez, je me lance, faut que je sache[/]. Vous vous connaissez depuis longtemps ?
L.J. sur un ton enthousiaste : Jane nous a sauvé papa et moi, il y quelques semaines. Pendant la fuite. Quant à tante Lorène, je la connais depuis toujours. Je crois qu’oncle Mike et elle étaient au jardin d’enfants ensemble, c’est pour vous dire !
Jane en donnant un coup de coude à L.J : vous verrez, on est bien ici. Ce soir, c’est soirée entre filles pour Lorène et moi, vous serez avec nous ?
S avec étonnement : soirée entre filles ?
L.J. : oui, en fait elle profite de m’évincer de la maison, pour s’empiffrer de glaces et de gâteaux…
J les deux mains sur les hanches : Lincoln junior ? La connivence entre eux deux est belle. Tout semble, si naturelle. Ils n’arrêtent pas de se chercher, se taquiner…
L.J. : c’est pas vrai, peut-être ?
J : tu oublis un bon vieux film en noir et blanc…
L.J. : désolé, je ne savais pas, moi je sais juste que le lendemain le congèle est vide…
S : cela serait avec plaisir, mais je ne veux pas….
J : non, arrêtez, il n’y aura pas de souci. Se tournant vers la mezzanine. Eh ! Lorène ce soir nous sommes trois devant notre film ! Lorène, sors ta tête de tes dossiers, on te parle…
Lo sans nous regarder : oui, non j’ai pas mal de boulot !
J : je m’en fous je te traînerai devant la télé s’il le faut, de toute façon elle est dans ta chambre…
Lo : j’ai une affaire importante pour demain matin…
J faisant un clin d’œil à L.J. : encore un innocent à sauver…
Lo sur un ton sec : Jane…
J : bon vaut mieux que je m’arrête, sinon Sara on aura besoin de vos talents de médecin.
Lincoln rentre, son regard est occupé, sombre… ses yeux sont rouges… Mickaël est resté dehors, il fait les cent pas devant la fenêtre en passant ses mains dans ses cheveux.
L.J. : bon on peut manger ?
J : on va peut-être attendre Paul, peut-être ?
L.J. : l’invité mystère ! J’ai hâte de voir qui c’est !
Je dois descendre, cela fait plus de dix minutes que je repousse ce moment, de toute façon faut y aller.
P : vous devrez essayer cela fait du bien une bonne douche !
Je suis en bas de l’escalier, L.J. s’est retourné, il me fait face. Il est bien le fils de Lincoln, à cet instant il a le même regard sombre et glacial que son père. Jane me sourit.
S : vous avez passer du temps. Faut dire que cela doit être dur d’enlever le sang que vous avez sur les mains.
Elle ne peut s’empêcher de m’asticoter, mais la phrase, si elle est innocente et plus que mal venue. Il n’a toujours pas bouger, je peux sentir bouillonner son sang dans ses veines. Tout d’un coup, en une fraction de seconde, il me tombe littéralement dessus, je ne vois que ses yeux rouges de rage. Des larmes coulent le long de ses joues rougies par la colère qui l’anime. Des mots incompréhensibles émanent de lui. Ses poings ne cessent de heurter mon visage. Je me laisse faire, de toute façon une fois qu’il se sera défoulé, il comprendra que je suis la seule personne qui puisse aider son père. Le destin est bien ironique, j’ai tué sa mère et je suis la seule personne qui peut sauver son père.
J hurlant : lâche-le, L.J. se rapprochant mais n’osant le toucher. Ecoutes moi, arrêtes…
Un bruit venant de la maison, me sort de mes pensées. Lincoln et Sara sont là au milieu de la pièce. Ils ne cillent pas. L.J. est en train de ruer de coup Paul, qui ne semble guère se défendre. J’essaye de faire céder L.J. mais tous ses muscles sont raidis au maximum. On dirait une boule de nerf. Jane, hurle à mes côtés pour que L.J. se reconnecte avec la réalité, mais rien n’y fait. J’essaye de toutes mes forces de le tirer vers moi. J’ai passer mes bras autour de sa taille, mais il semble complètement enragé.
Lo lance d’une voix calme, clair depuis son bureau : Lincoln Junior Burrows ! !
Il lance un regard vers elle, son poing en l’air. J’arrive à l’attirer vers moi. Je le serre dans mes bras, son visage est déformé par la douleur, la rage…
L.J. d’une voie hésitante et vibrante : c’est lui
Lo d’une voie toujours aussi calme descendant à notre hauteur : je sais.
Lorène pointe une arme, sur la tempe de Paul. Jamais elle n’en a eut, comment cela se fait-il ?
Lo : L.J. dehors. Il ne bouge pas et fixe l’arme pointée sur Paul. L’incompréhension est totale. Que fait-elle avec une arme ?
J stupéfaite : Rend moi cette arme tout de suite. Tu ne sais pas t’en servir ?
Lo penchant légèrement la tête pour mieux capter le regard de l’homme qu’elle tient en joue : ne t’inquiètes pas, Jane, au contraire. L.J. je t’ai dis quelque chose il me semble.
M hésitant : pose cette arme…
L : Lorène, cela n’arrangera rien, on a besoin de lui
Lo plongeant son regard dans celui de l’adolescent : Lincoln Junior sors immédiatement de cette pièce.
Le jeune homme s’arrache sans forcer des bras de son oncle et monte dans sa chambre. Il enjambe au passage, Paul complètement étalé au pied de l’escalier. Il prend soin de ne pas le toucher comme s’il était la peste en personne.
Lo toujours aussi sereine : Paul Kellerman c’est cela ? Ecoutez-moi bien je ne me répéterai pas.
Paul étourdi : je suis tout ouï.
Lo : Si vous touchez à un cheveu des personnes qui sont dans cette pièce, la prochaine fois que vous verrez votre sœur Kristine ce sera pour ses funérailles. Suis-je assez claire ?
P ayant du mal à avaler sa salive : on ne peut plus ! Vous avez ma parole.
Je tends l’arme à Jane. Rester concentrer et sérieuse, qu’il ne se rende pas compte que l’arme n’est pas chargée.
J : tenez de la glace, Paul, vous en avez bien besoin !
S sous le choc : quelqu’un pourrait m’expliquer ?
Lo : Linc assois-toi, vaudrait mieux. Quand tout le monde est installé dans les canapés. Je ne vais pas tourner autour du pot : Ce brave Paul, à tuer Lisa et son mari.
L : je m’en doutais…
J : la liste s’allonge de minutes en minutes, mon cher Paul !
Lo : pourquoi ?
M tête baissée : il a essayé de tuer Linc et a torturé Sara pour lui soutirer des informations.
Lo dubitative : bon, faut faire avec je présume sinon il ne serai pas avec vous ? Se tournant vers Linc. Je monte voir L.J.
J : on va commencer à manger peut-être, Paul passer à table.
P : j’y suis encore inviter.
Lo s’arrêtant dans l’escalier : si vous respecter notre accord, vous êtes ici chez vous.
P retirant sa poche la glace de son visage : merci.
Dans la chambre de L.J. :
Il est assis sur son lit, regardant ses mains…
Lo avec douceur : je peux
Lj s'égosillant : pourquoi ? Tu me prends pour un gamin ? Il à tuer ma mère.
Lo se voulant rassurante et s’agenouillant devant lui : L.J. ne t’inquiètes pas tout ira bien.
Lj : j’aurais dut le tuer, c’est la seule chose qu’il mérite.
Lo : tu n‘es pas comme lui et tu ne le seras jamais.
Lj les yeux toujours souillés : et toi ? Cette arme ? Tante Lorène, cela ne te ressemble pas ? Tu détestes les armes. T’as même demandé à Jane que les siennes soient hors de ta vue.
Lo : c’était une des siennes. Et, baissant la tête soupirs, elle n’était pas chargée. Ne t’en fais pas, on a besoin de lui.
L j. : elle n’était pas… tu es la meilleure…se jetant à son cou. J’ai entendu ce que tu lui as dis… comment tu sais qu’il a une sœur ?
Lo : quand tu m’as montré la photo que tu avais prise avec ton portable… j’ai fais quelques recherches, je me suis dis que cela pouvait toujours être utile.
Lj ; immergeant son regard dans le sien : elle me manque…
Lo s’installant à ses côtés et le serrant dans ses bras : allez viens… L.J. s’était entièrement réfugié dans ses bras. Je ne te lâcherais pas. Passant dans sa main dans ses cheveux. Je suis là. Les minutes passèrent et il ne cessait de répandre ses larmes. La tête celée dans son épaule. Elle ne cessait de passer sa main dan son dos. Doucement, chut, calmes-toi. Pour lui rendre le sourire : Tu lui as mis une sacrée raclé.
Lj : je n’ai aucune confiance en lui.
Lo sachant qu’elle devait lui expliquer le reste. Elle renforçât son étreinte, pour lui montrer que jamais il ne serait seul. : comme personne ici. Elle prend une grande inspiration. Faut que tu te calmes un peu, j’ai deux petites choses à t’expliquer. Bon, soupirs… il a aussi essayer de tuer ton père…
Lj levant la tête, comme pour vérifier dans son regard si elle disait la vérité : non mais c’est pas possible. Ils restent avec lui…
Lo : calmes-toi, ils savent ceux qu’ils font. D’accord. Il a aussi essayé d’arracher des renseignements à Sara. Il l’a torturer apparemment. Se détachant un petit peu de L.J..
Ne t’inquiète pas, j’ai une petite idée derrière la tête. D’accord. Quand soudain dans l’encadrement de la porte elle l’aperçut. Linc !
L : je veux pas vous déranger, je voulais voir si ça va ?
LJ se relevant et essuyant ses pleurs : ouais.
L : je vous laisse alors.
LJ : non, s’il te plaît, viens.
Lo qui avait laissée L.J. : Je descends travailler.
Lj plongeant son regard dans celui de son père alors que celui-ci prenait la place de Lorène : je suis désolé, j’aurais du me contrôler… comme toi.
L ouvrant ses bras : non, viens. Les minutes passent mais aucun des deux ne veux rompre le charme de ce moment.
Lj avec un grand sourire : je commence à avoir faim, pas toi ?
L : Si. Jane fais bien à manger j’espère !
Lj : bien, est un grand mot, mais je suis encore vivant !
Je redescends, m’installe à se maudit bureau, qui est devenue ma deuxième raison de me lever le matin. La première étant L.J.. Mon regard est attiré à l’extérieur. Mickaël et Sara sont assis sous le porche, il lui prend la main… ils forment un joli couple…pourvu qu’elle comprenne.
la suite demain...
pensée Mickaël :bleu
pensée Lorène : vert
pensée Sara : rouge foncé
pensée Paul : jaune, je sais pas très lisible donc surligné...
Mickaël et Lincoln, sont dehors. La discussion semble plus que houleuse et sérieuse. J’aide Jane et L.J. à préparer la table et le repas mais le cœur n’y est pas. Mon cerveau est torturé de questions sur cette femme. Depuis tout à l’heure elle travaille à son bureau. Elle semble plus que concentrée, elle ne parle pas, s’enfouit derrière une tonne de dossier…Mes yeux ne cessent de regarder par la fenêtre pour comprendre ce qui se passe… mais tous ce que je vois ne me réconforte guère… Mickaël semble si fragile, on dirait un enfant pris en faute et la position dominante de Lincoln n’arrange rien.
J : vous êtes médecin, c’est cela Sara ?
S : oui. Allez, je me lance, faut que je sache[/]. Vous vous connaissez depuis longtemps ?
L.J. sur un ton enthousiaste : Jane nous a sauvé papa et moi, il y quelques semaines. Pendant la fuite. Quant à tante Lorène, je la connais depuis toujours. Je crois qu’oncle Mike et elle étaient au jardin d’enfants ensemble, c’est pour vous dire !
Jane en donnant un coup de coude à L.J : vous verrez, on est bien ici. Ce soir, c’est soirée entre filles pour Lorène et moi, vous serez avec nous ?
S avec étonnement : soirée entre filles ?
L.J. : oui, en fait elle profite de m’évincer de la maison, pour s’empiffrer de glaces et de gâteaux…
J les deux mains sur les hanches : Lincoln junior ? La connivence entre eux deux est belle. Tout semble, si naturelle. Ils n’arrêtent pas de se chercher, se taquiner…
L.J. : c’est pas vrai, peut-être ?
J : tu oublis un bon vieux film en noir et blanc…
L.J. : désolé, je ne savais pas, moi je sais juste que le lendemain le congèle est vide…
S : cela serait avec plaisir, mais je ne veux pas….
J : non, arrêtez, il n’y aura pas de souci. Se tournant vers la mezzanine. Eh ! Lorène ce soir nous sommes trois devant notre film ! Lorène, sors ta tête de tes dossiers, on te parle…
Lo sans nous regarder : oui, non j’ai pas mal de boulot !
J : je m’en fous je te traînerai devant la télé s’il le faut, de toute façon elle est dans ta chambre…
Lo : j’ai une affaire importante pour demain matin…
J faisant un clin d’œil à L.J. : encore un innocent à sauver…
Lo sur un ton sec : Jane…
J : bon vaut mieux que je m’arrête, sinon Sara on aura besoin de vos talents de médecin.
Lincoln rentre, son regard est occupé, sombre… ses yeux sont rouges… Mickaël est resté dehors, il fait les cent pas devant la fenêtre en passant ses mains dans ses cheveux.
L.J. : bon on peut manger ?
J : on va peut-être attendre Paul, peut-être ?
L.J. : l’invité mystère ! J’ai hâte de voir qui c’est !
Je dois descendre, cela fait plus de dix minutes que je repousse ce moment, de toute façon faut y aller.
P : vous devrez essayer cela fait du bien une bonne douche !
Je suis en bas de l’escalier, L.J. s’est retourné, il me fait face. Il est bien le fils de Lincoln, à cet instant il a le même regard sombre et glacial que son père. Jane me sourit.
S : vous avez passer du temps. Faut dire que cela doit être dur d’enlever le sang que vous avez sur les mains.
Elle ne peut s’empêcher de m’asticoter, mais la phrase, si elle est innocente et plus que mal venue. Il n’a toujours pas bouger, je peux sentir bouillonner son sang dans ses veines. Tout d’un coup, en une fraction de seconde, il me tombe littéralement dessus, je ne vois que ses yeux rouges de rage. Des larmes coulent le long de ses joues rougies par la colère qui l’anime. Des mots incompréhensibles émanent de lui. Ses poings ne cessent de heurter mon visage. Je me laisse faire, de toute façon une fois qu’il se sera défoulé, il comprendra que je suis la seule personne qui puisse aider son père. Le destin est bien ironique, j’ai tué sa mère et je suis la seule personne qui peut sauver son père.
J hurlant : lâche-le, L.J. se rapprochant mais n’osant le toucher. Ecoutes moi, arrêtes…
Un bruit venant de la maison, me sort de mes pensées. Lincoln et Sara sont là au milieu de la pièce. Ils ne cillent pas. L.J. est en train de ruer de coup Paul, qui ne semble guère se défendre. J’essaye de faire céder L.J. mais tous ses muscles sont raidis au maximum. On dirait une boule de nerf. Jane, hurle à mes côtés pour que L.J. se reconnecte avec la réalité, mais rien n’y fait. J’essaye de toutes mes forces de le tirer vers moi. J’ai passer mes bras autour de sa taille, mais il semble complètement enragé.
Lo lance d’une voix calme, clair depuis son bureau : Lincoln Junior Burrows ! !
Il lance un regard vers elle, son poing en l’air. J’arrive à l’attirer vers moi. Je le serre dans mes bras, son visage est déformé par la douleur, la rage…
L.J. d’une voie hésitante et vibrante : c’est lui
Lo d’une voie toujours aussi calme descendant à notre hauteur : je sais.
Lorène pointe une arme, sur la tempe de Paul. Jamais elle n’en a eut, comment cela se fait-il ?
Lo : L.J. dehors. Il ne bouge pas et fixe l’arme pointée sur Paul. L’incompréhension est totale. Que fait-elle avec une arme ?
J stupéfaite : Rend moi cette arme tout de suite. Tu ne sais pas t’en servir ?
Lo penchant légèrement la tête pour mieux capter le regard de l’homme qu’elle tient en joue : ne t’inquiètes pas, Jane, au contraire. L.J. je t’ai dis quelque chose il me semble.
M hésitant : pose cette arme…
L : Lorène, cela n’arrangera rien, on a besoin de lui
Lo plongeant son regard dans celui de l’adolescent : Lincoln Junior sors immédiatement de cette pièce.
Le jeune homme s’arrache sans forcer des bras de son oncle et monte dans sa chambre. Il enjambe au passage, Paul complètement étalé au pied de l’escalier. Il prend soin de ne pas le toucher comme s’il était la peste en personne.
Lo toujours aussi sereine : Paul Kellerman c’est cela ? Ecoutez-moi bien je ne me répéterai pas.
Paul étourdi : je suis tout ouï.
Lo : Si vous touchez à un cheveu des personnes qui sont dans cette pièce, la prochaine fois que vous verrez votre sœur Kristine ce sera pour ses funérailles. Suis-je assez claire ?
P ayant du mal à avaler sa salive : on ne peut plus ! Vous avez ma parole.
Je tends l’arme à Jane. Rester concentrer et sérieuse, qu’il ne se rende pas compte que l’arme n’est pas chargée.
J : tenez de la glace, Paul, vous en avez bien besoin !
S sous le choc : quelqu’un pourrait m’expliquer ?
Lo : Linc assois-toi, vaudrait mieux. Quand tout le monde est installé dans les canapés. Je ne vais pas tourner autour du pot : Ce brave Paul, à tuer Lisa et son mari.
L : je m’en doutais…
J : la liste s’allonge de minutes en minutes, mon cher Paul !
Lo : pourquoi ?
M tête baissée : il a essayé de tuer Linc et a torturé Sara pour lui soutirer des informations.
Lo dubitative : bon, faut faire avec je présume sinon il ne serai pas avec vous ? Se tournant vers Linc. Je monte voir L.J.
J : on va commencer à manger peut-être, Paul passer à table.
P : j’y suis encore inviter.
Lo s’arrêtant dans l’escalier : si vous respecter notre accord, vous êtes ici chez vous.
P retirant sa poche la glace de son visage : merci.
Dans la chambre de L.J. :
Il est assis sur son lit, regardant ses mains…
Lo avec douceur : je peux
Lj s'égosillant : pourquoi ? Tu me prends pour un gamin ? Il à tuer ma mère.
Lo se voulant rassurante et s’agenouillant devant lui : L.J. ne t’inquiètes pas tout ira bien.
Lj : j’aurais dut le tuer, c’est la seule chose qu’il mérite.
Lo : tu n‘es pas comme lui et tu ne le seras jamais.
Lj les yeux toujours souillés : et toi ? Cette arme ? Tante Lorène, cela ne te ressemble pas ? Tu détestes les armes. T’as même demandé à Jane que les siennes soient hors de ta vue.
Lo : c’était une des siennes. Et, baissant la tête soupirs, elle n’était pas chargée. Ne t’en fais pas, on a besoin de lui.
L j. : elle n’était pas… tu es la meilleure…se jetant à son cou. J’ai entendu ce que tu lui as dis… comment tu sais qu’il a une sœur ?
Lo : quand tu m’as montré la photo que tu avais prise avec ton portable… j’ai fais quelques recherches, je me suis dis que cela pouvait toujours être utile.
Lj ; immergeant son regard dans le sien : elle me manque…
Lo s’installant à ses côtés et le serrant dans ses bras : allez viens… L.J. s’était entièrement réfugié dans ses bras. Je ne te lâcherais pas. Passant dans sa main dans ses cheveux. Je suis là. Les minutes passèrent et il ne cessait de répandre ses larmes. La tête celée dans son épaule. Elle ne cessait de passer sa main dan son dos. Doucement, chut, calmes-toi. Pour lui rendre le sourire : Tu lui as mis une sacrée raclé.
Lj : je n’ai aucune confiance en lui.
Lo sachant qu’elle devait lui expliquer le reste. Elle renforçât son étreinte, pour lui montrer que jamais il ne serait seul. : comme personne ici. Elle prend une grande inspiration. Faut que tu te calmes un peu, j’ai deux petites choses à t’expliquer. Bon, soupirs… il a aussi essayer de tuer ton père…
Lj levant la tête, comme pour vérifier dans son regard si elle disait la vérité : non mais c’est pas possible. Ils restent avec lui…
Lo : calmes-toi, ils savent ceux qu’ils font. D’accord. Il a aussi essayé d’arracher des renseignements à Sara. Il l’a torturer apparemment. Se détachant un petit peu de L.J..
Ne t’inquiète pas, j’ai une petite idée derrière la tête. D’accord. Quand soudain dans l’encadrement de la porte elle l’aperçut. Linc !
L : je veux pas vous déranger, je voulais voir si ça va ?
LJ se relevant et essuyant ses pleurs : ouais.
L : je vous laisse alors.
LJ : non, s’il te plaît, viens.
Lo qui avait laissée L.J. : Je descends travailler.
Lj plongeant son regard dans celui de son père alors que celui-ci prenait la place de Lorène : je suis désolé, j’aurais du me contrôler… comme toi.
L ouvrant ses bras : non, viens. Les minutes passent mais aucun des deux ne veux rompre le charme de ce moment.
Lj avec un grand sourire : je commence à avoir faim, pas toi ?
L : Si. Jane fais bien à manger j’espère !
Lj : bien, est un grand mot, mais je suis encore vivant !
Je redescends, m’installe à se maudit bureau, qui est devenue ma deuxième raison de me lever le matin. La première étant L.J.. Mon regard est attiré à l’extérieur. Mickaël et Sara sont assis sous le porche, il lui prend la main… ils forment un joli couple…pourvu qu’elle comprenne.
la suite demain...
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
J'ai hate d'avoir la suite
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Date d'inscription : 04/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
magnifique , suite , j' adore
j'attend avec impatience , meme hate de savoir la suite
vite la suite s t p
j'attend avec impatience , meme hate de savoir la suite
vite la suite s t p
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Date d'inscription : 05/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Ta fic est GENIAL !!!! Jsui carrément accro !!! A quand la suite ?????????
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
J'adore! !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J'aime bien cette Lorène, je commence même à l'adorer, mais Michael va devoir choisir entre les deux, laquelle choisir ?????
J'aime bien cette Lorène, je commence même à l'adorer, mais Michael va devoir choisir entre les deux, laquelle choisir ?????
zenaide- Retrouve Steadman
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Age : 32
Localisation : en plein coeur d'un homme.......
Date d'inscription : 20/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
c'est génial j'espère que Mick va choisir Sara (éh c'est mon côté MiSa qui parle )
vivement la suite
vivement la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Biensûr qu'il va choisir Sara ! Hein oui,tu vas choisir Sara (Fait gaffe à ta réponse Mike ) !
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Lorène ou Sara ????
bleu : pensée de mickaël
rouge : pensée de Sara
C'est parti !! bonne lecture
Mickaël est assis à mes côtés, Jane et Lincoln, dans le canapé d’en face… la cheminé crépite… nous avons tous la tête baissée… comment faire autrement… l’homme qui a tué l’ex-femme de Lincoln et son mari est dans la même pièce que nous et nous devons nous en accommoder. La tension est à son comble. J’ai l’impression que nos corps sont parcourus de décharges électriques. Il me regarde, ses yeux n’ont jamais été aussi perçant. Il veut sonder mon esprit comme jamais auparavant. Je ne dois pas me laisser faire, je dois résister et avoir des explications.
Je dois prendre mon courage à deux mains. Il faut que j’explique la situation à Sara. Lui faire comprendre mes priorités. Elle semble si perdue. J’essaye de capter son regard mais elle me semble hermétique. Comment pourrait-elle admettre tout ce qui vient de se passer ? On l’emmène dans cette maison où se trouve la seule femme que j’ai aimé, pour qui j’ai sacrifié mes sentiments, mon âme… Elle sent que quelque chose est différent. J’ai pris mes distances envers elle. Surtout ne pas lui faire encore plus de mal. Je lui en est tellement fait, si j’avais su… j’aurais fait pareil en réalité, je n’aurais rien changé à part peut-être un peu plus d’honnêteté… faut que je saisisse l’occasion…
M prenant sa main dans la mienne, dans un murmure : Sara, on peut sortir s’il te plaît
S étonnée : Oui, bien sur.
On reste sous le porche, je l’invite à s’asseoir. Je prends une chaise et m’installe face à elle. J’ai l’impression que je vais défaillir. Les reflets de la Lune sur sa peau, les lueurs de roux dans ses cheveux… on dirait une sculpture grecque. Elle semble si forte et fragile à la fois. Je prends ses mains dans les miennes.
M d’une voix douce : Sara, je voudrai qu’on mette tout à plat, je…
elle se dérobe, pose ses mains à plats sur ses genoux.
S : je crois avoir droit à des explications, la situation est plus que gênante, Mickaël.
j’essaye toujours de gagner son regard mais rien
M : s’il te plaît ne m’interrompt pas, je te dirais tout ce que tu veux savoir mais avant tout il faut que tu saches que …
S : tu es désolé, ça devient une habitude. Son ton est sec, son regard austère.
M d’une voix suave : Sara je t’en pris. Laisse moi t’expliquer.
J’effleure ses doigts. J’ai besoin d’être en contact. De la sentir.
Lorène et moi, on se connaît depuis longtemps comme tu as put t’en douter. Je relève ma tête en précipitant mes yeux dans les siens. Faut qu’elle sache.
En réalité, on a vécu ensemble. J’ai du mal à déglutir, les mots ont du mal à sortir de ma bouche.
On était fiancé, Sara.
Elle perd pied, je le sens. Ses yeux brillent, elle repousse mes mains, j’ai besoin de ce contact.
Je l’ai quitté de manière assez violente, quand j’ai élaboré le plan pour Linc. Silence. Je ne lui aie pas laissé le choix. Elle ne savait rien et il ne le fallait pas. Si elle avait été au courant, elle en serait complètement devenue folle. Elle ne m’aurait jamais laissé faire. Mais surtout je voulais la mettre à l’abri car si on avait piégé Linc, je me doutais qu’on pouvait lui faire du mal et cela est complètement inconcevable. Même lors de mon procès, elle n’était pas au courant. Elle m’aurait défendue bec et ongle, elle aurait sacrifier sa réputation pour me sortir de là. Je ne voulais pas.
Je suis en train de m’effondrer devant elle, comme un château de carte. Elle ne bouge plus, elle est pétrifiée. Pourvu qu’elle m’écoute.
Depuis, ce jour là je me suis efforcé, non sans mal de l’oublier, d’effacer les moments qu’on a eut ensemble. Mais je dois t’avouer que dans ma cellule, j’ai souvent pensé à elle. Son souvenir, m’a fait tenir dans cet enfer. Pour être entièrement franc il y avait son souvenir et le fait de te voir à l’infirmerie. A la première seconde ou je t’ai vu, j’ai compris Sara… j’ai su que tu étais différente… tu m’as complètement chambouler. Ce que je croyais, ma vision de la vie après l’évasion était entièrement remise en cause à la fraction de seconde ou je t’ai vu. J’aurais tellement voulu que cela se passe autrement, plus simplement…en fait…
j'ai besoin d’être au plus près, au fur et à mesure je me rapproche jusqu’à coller mon front au sien, les mots ont de plus en plus de peine à venir.
Les sentiments que j’ai pour toi Sara sont sincères et profonds il ne faut pas que tu en doutes.
Je l’ai laissé se mettre à nu devant moi, il a posé son cœur à mes pieds. Jamais je n’aurais cru… je suis déconcerté. Cette femme, son ex… je m’en doutais, mais je suis quoi au milieu de cet échiquier ? je n’ai pas bouger depuis tout à l’heure, je hume ses paroles, pour être sur de ce que j’entends, mes doutes grandissent au fur et à mesure…
S au bord des larmes : oui, mais Lorène ?
M : je ne veux surtout pas te mentir. Resserrant la pression sur les mains de la jeune femme. C’est assez ambigu car on n'en a jamais parlés, elle aura toujours une place privilégiée dans mon cœur, c’est indéniable. Elle a tellement été, je ne peux pas renier mes sentiments pour elle. Seulement, ils ne sont plus les mêmes. Elle n’est pas toi Sara. Tu incarnes tant de choses, que je ne saurais exprimer avec des mots. Je ne vois pas mon avenir sans toi.
Voilà c’est dis. Elle précipite son regard dans le mien…ses larmes perlent le long de ses joues alors que les commissures de ces lèvres se retroussent.
S : moi, non plus Mickaël mais il y a tellement …silence tu comptes faire quoi, lui parler ?
M frôlant le visage de Sara de ses lèvres pour éponger les pleurs de celle-ci : je ne sais pas ou elle en est. Je me demande comment elle arrive à m’accepter encore chez elle ? Donc pour des explications, je ne sais pas ! Si elle est prête à m’entendre, bien sur. Je ne veux pas qu’il ait de quiproquo. Je ne lui mentirais pas sur nous, soit en certaine. Encore faut-il que cela l’intéresse ?
S : elle semble beaucoup souffrir, Mickaël. Je crois qu’elle a besoin de t’entendre ; Que tu lui expliques tes motivations ! Sinon, je veux savoir a quel moment tu as arrêté de jouer la comédie ? Sincèrement !
Elle me surprendra toujours. Rare ont été les fois où nous avons été si proches l’un de l’autre. Je meurs d’envie de la serrer dans mes bras. Nos mains se sont entrelacées, posées sur ses genoux. Mon front soudé au sien. Je ne le quitte que pour saisir les larmes que j’ai put lui faire verser.
M : je plaide coupable, pour les deux premiers jours. Jouer est peut-être un grand mot. Je ne me suis pas forcer. Je lui souris.
Le déclic ça a été pendant l’émeute, quand je t’ai vu sur les écrans, j’ai foncé sans réfléchir.
S : si je ne l'avais pas laisser ouvert ?
M : je ne t’en aurais pas voulu, j’aurai fait mes 5 ans et je t’aurais fait la cour à chaques piqûres.
Il ne cesse de plaisanter, il me fait son petit regard taquin et son petit sourire mais j’ai d’autres demandes M. Scofield.
S : les piqûres, tu manges beaucoup de sucre, je trouve et l’insuline je n’en aie pas vu ?
M : fallait que je sois dans l’infirmerie… je prenais du pugnac.
S : d’accord, je vois… t’es cinglé ! Tu le sais. Autres questions : à l’infirmerie, quand tu m’as embrassée…
M : je n’ai pas le souvenir que tu y étais opposé. Je n’ai jamais étais aussi sincère envers quelqu’un, Sara. Ce que je t’ai demandé ce jour là, je le voulais plus que tout, je n’ai peut-être pas choisi les bons mots, mais … je voulais que tu comprennes à quel point tu m’étais devenu indispensable. Indispensable à ma vie.
S : Dans le train,
M : heureusement que l’on s’est embrassé que deux fois.
Ses yeux se figent.
J’arrête. Je suis content qu’il y ait eut cette secousse dans le train. Vu l’allure que cela prenait entre nous. Je ne veux de ça, j’aimerai que se ne soit pas les toilettes d’un train. Tu mérites mieux, Sara, j’ai conscience que je n’ai rien à t’offrir.
depuis tout à l’heure, ses yeux scintillent. Il semble tellement vulnérable, le Mickaël si intrépide est tellement lointain
s : si, bien au contraire. Sans toi…quand j’étais avec Paul, c’est toi qui m’as sauvé. Tu m’as donné envie de vivre comme jamais avant.
M : j’ai ruiné ta vie.
Non, ne fais pas cela, tu n’as pas le droit. Tu es plus fort que cela.
S : bon, d’accord. Si tu veux bien, arrêtes de te reprocher mes erreurs et mes faiblesses. Ce sont les miennes et je les acceptent.
Puisque c’est cartes sur table, autant faire de même.
Faut que je t’avoue un petit quelque chose : J’ai vu ton psy, il m’a expliqué ton problème.
Il sursaute sur sa chaise. Il m’observe, comme si… et oui Mickaël moi aussi je peux faire des recherches.
M : je vois.
Je me rapproche de toi, je veux qu’on retrouve l’osmose de ces derniers instants. J’ai besoin de toi.
S : Tu ne peux pas sauver le monde, mais surtout je ne veux pas que tu t’attaches à moi pour de mauvaises raisons.
M : tu crois que c’est une mauvaise raison ?
Il étreint les lèvres de Sara, un effleurement de sa bouche. Elle répond instinctivement à ce doux baiser. Il saisit tout d’abord sa lèvre inférieure, puis la supérieure. Leurs mains se détachent les unes des autres. Mickaël caresse la nuque de Sara alors que celle-ci ne cesse de faire parcourir ses doigts sur le torse de l’homme qu’elle désire plus que tout. Elle veut plus, elle veut fusionner entièrement avec lui. Leur baiser s’approfondit. Leurs langues se cherchent, se trouvent, se séparent pour mieux se reconnaître. Ils reprennent leurs souffles. Ils ne peuvent dissimuler leurs sourires.
S : tu veux bien recommencer, je ne sais pas trop…
sans se faire prier plus, il l’enlaçât, passât son bras autour de sa taille, la fit s’asseoir sur ces genoux. L’hilarité de Sara le remplit de joie. Il l’embrassât comme jamais il n’aurait osé, comme si c’était l’ultime moment qu’ils partageaient. Le plus intense.
S se recroquevillant contre Mickaël : on ferait mieux de rentrer. S’il te plaît, essaye de parler à Lorène. Je ne veux pas me cacher.
Mickaël choyait sa belle, comme jamais auparavant. Une main dans ses cheveux, la seconde parcourait minutieusement son dos : je le ferais, promis. On peut rester deux secondes encore.
S : je resterai ainsi toute ma vie si je pouvais.
bleu : pensée de mickaël
rouge : pensée de Sara
C'est parti !! bonne lecture
Mickaël est assis à mes côtés, Jane et Lincoln, dans le canapé d’en face… la cheminé crépite… nous avons tous la tête baissée… comment faire autrement… l’homme qui a tué l’ex-femme de Lincoln et son mari est dans la même pièce que nous et nous devons nous en accommoder. La tension est à son comble. J’ai l’impression que nos corps sont parcourus de décharges électriques. Il me regarde, ses yeux n’ont jamais été aussi perçant. Il veut sonder mon esprit comme jamais auparavant. Je ne dois pas me laisser faire, je dois résister et avoir des explications.
Je dois prendre mon courage à deux mains. Il faut que j’explique la situation à Sara. Lui faire comprendre mes priorités. Elle semble si perdue. J’essaye de capter son regard mais elle me semble hermétique. Comment pourrait-elle admettre tout ce qui vient de se passer ? On l’emmène dans cette maison où se trouve la seule femme que j’ai aimé, pour qui j’ai sacrifié mes sentiments, mon âme… Elle sent que quelque chose est différent. J’ai pris mes distances envers elle. Surtout ne pas lui faire encore plus de mal. Je lui en est tellement fait, si j’avais su… j’aurais fait pareil en réalité, je n’aurais rien changé à part peut-être un peu plus d’honnêteté… faut que je saisisse l’occasion…
M prenant sa main dans la mienne, dans un murmure : Sara, on peut sortir s’il te plaît
S étonnée : Oui, bien sur.
On reste sous le porche, je l’invite à s’asseoir. Je prends une chaise et m’installe face à elle. J’ai l’impression que je vais défaillir. Les reflets de la Lune sur sa peau, les lueurs de roux dans ses cheveux… on dirait une sculpture grecque. Elle semble si forte et fragile à la fois. Je prends ses mains dans les miennes.
M d’une voix douce : Sara, je voudrai qu’on mette tout à plat, je…
elle se dérobe, pose ses mains à plats sur ses genoux.
S : je crois avoir droit à des explications, la situation est plus que gênante, Mickaël.
j’essaye toujours de gagner son regard mais rien
M : s’il te plaît ne m’interrompt pas, je te dirais tout ce que tu veux savoir mais avant tout il faut que tu saches que …
S : tu es désolé, ça devient une habitude. Son ton est sec, son regard austère.
M d’une voix suave : Sara je t’en pris. Laisse moi t’expliquer.
J’effleure ses doigts. J’ai besoin d’être en contact. De la sentir.
Lorène et moi, on se connaît depuis longtemps comme tu as put t’en douter. Je relève ma tête en précipitant mes yeux dans les siens. Faut qu’elle sache.
En réalité, on a vécu ensemble. J’ai du mal à déglutir, les mots ont du mal à sortir de ma bouche.
On était fiancé, Sara.
Elle perd pied, je le sens. Ses yeux brillent, elle repousse mes mains, j’ai besoin de ce contact.
Je l’ai quitté de manière assez violente, quand j’ai élaboré le plan pour Linc. Silence. Je ne lui aie pas laissé le choix. Elle ne savait rien et il ne le fallait pas. Si elle avait été au courant, elle en serait complètement devenue folle. Elle ne m’aurait jamais laissé faire. Mais surtout je voulais la mettre à l’abri car si on avait piégé Linc, je me doutais qu’on pouvait lui faire du mal et cela est complètement inconcevable. Même lors de mon procès, elle n’était pas au courant. Elle m’aurait défendue bec et ongle, elle aurait sacrifier sa réputation pour me sortir de là. Je ne voulais pas.
Je suis en train de m’effondrer devant elle, comme un château de carte. Elle ne bouge plus, elle est pétrifiée. Pourvu qu’elle m’écoute.
Depuis, ce jour là je me suis efforcé, non sans mal de l’oublier, d’effacer les moments qu’on a eut ensemble. Mais je dois t’avouer que dans ma cellule, j’ai souvent pensé à elle. Son souvenir, m’a fait tenir dans cet enfer. Pour être entièrement franc il y avait son souvenir et le fait de te voir à l’infirmerie. A la première seconde ou je t’ai vu, j’ai compris Sara… j’ai su que tu étais différente… tu m’as complètement chambouler. Ce que je croyais, ma vision de la vie après l’évasion était entièrement remise en cause à la fraction de seconde ou je t’ai vu. J’aurais tellement voulu que cela se passe autrement, plus simplement…en fait…
j'ai besoin d’être au plus près, au fur et à mesure je me rapproche jusqu’à coller mon front au sien, les mots ont de plus en plus de peine à venir.
Les sentiments que j’ai pour toi Sara sont sincères et profonds il ne faut pas que tu en doutes.
Je l’ai laissé se mettre à nu devant moi, il a posé son cœur à mes pieds. Jamais je n’aurais cru… je suis déconcerté. Cette femme, son ex… je m’en doutais, mais je suis quoi au milieu de cet échiquier ? je n’ai pas bouger depuis tout à l’heure, je hume ses paroles, pour être sur de ce que j’entends, mes doutes grandissent au fur et à mesure…
S au bord des larmes : oui, mais Lorène ?
M : je ne veux surtout pas te mentir. Resserrant la pression sur les mains de la jeune femme. C’est assez ambigu car on n'en a jamais parlés, elle aura toujours une place privilégiée dans mon cœur, c’est indéniable. Elle a tellement été, je ne peux pas renier mes sentiments pour elle. Seulement, ils ne sont plus les mêmes. Elle n’est pas toi Sara. Tu incarnes tant de choses, que je ne saurais exprimer avec des mots. Je ne vois pas mon avenir sans toi.
Voilà c’est dis. Elle précipite son regard dans le mien…ses larmes perlent le long de ses joues alors que les commissures de ces lèvres se retroussent.
S : moi, non plus Mickaël mais il y a tellement …silence tu comptes faire quoi, lui parler ?
M frôlant le visage de Sara de ses lèvres pour éponger les pleurs de celle-ci : je ne sais pas ou elle en est. Je me demande comment elle arrive à m’accepter encore chez elle ? Donc pour des explications, je ne sais pas ! Si elle est prête à m’entendre, bien sur. Je ne veux pas qu’il ait de quiproquo. Je ne lui mentirais pas sur nous, soit en certaine. Encore faut-il que cela l’intéresse ?
S : elle semble beaucoup souffrir, Mickaël. Je crois qu’elle a besoin de t’entendre ; Que tu lui expliques tes motivations ! Sinon, je veux savoir a quel moment tu as arrêté de jouer la comédie ? Sincèrement !
Elle me surprendra toujours. Rare ont été les fois où nous avons été si proches l’un de l’autre. Je meurs d’envie de la serrer dans mes bras. Nos mains se sont entrelacées, posées sur ses genoux. Mon front soudé au sien. Je ne le quitte que pour saisir les larmes que j’ai put lui faire verser.
M : je plaide coupable, pour les deux premiers jours. Jouer est peut-être un grand mot. Je ne me suis pas forcer. Je lui souris.
Le déclic ça a été pendant l’émeute, quand je t’ai vu sur les écrans, j’ai foncé sans réfléchir.
S : si je ne l'avais pas laisser ouvert ?
M : je ne t’en aurais pas voulu, j’aurai fait mes 5 ans et je t’aurais fait la cour à chaques piqûres.
Il ne cesse de plaisanter, il me fait son petit regard taquin et son petit sourire mais j’ai d’autres demandes M. Scofield.
S : les piqûres, tu manges beaucoup de sucre, je trouve et l’insuline je n’en aie pas vu ?
M : fallait que je sois dans l’infirmerie… je prenais du pugnac.
S : d’accord, je vois… t’es cinglé ! Tu le sais. Autres questions : à l’infirmerie, quand tu m’as embrassée…
M : je n’ai pas le souvenir que tu y étais opposé. Je n’ai jamais étais aussi sincère envers quelqu’un, Sara. Ce que je t’ai demandé ce jour là, je le voulais plus que tout, je n’ai peut-être pas choisi les bons mots, mais … je voulais que tu comprennes à quel point tu m’étais devenu indispensable. Indispensable à ma vie.
S : Dans le train,
M : heureusement que l’on s’est embrassé que deux fois.
Ses yeux se figent.
J’arrête. Je suis content qu’il y ait eut cette secousse dans le train. Vu l’allure que cela prenait entre nous. Je ne veux de ça, j’aimerai que se ne soit pas les toilettes d’un train. Tu mérites mieux, Sara, j’ai conscience que je n’ai rien à t’offrir.
depuis tout à l’heure, ses yeux scintillent. Il semble tellement vulnérable, le Mickaël si intrépide est tellement lointain
s : si, bien au contraire. Sans toi…quand j’étais avec Paul, c’est toi qui m’as sauvé. Tu m’as donné envie de vivre comme jamais avant.
M : j’ai ruiné ta vie.
Non, ne fais pas cela, tu n’as pas le droit. Tu es plus fort que cela.
S : bon, d’accord. Si tu veux bien, arrêtes de te reprocher mes erreurs et mes faiblesses. Ce sont les miennes et je les acceptent.
Puisque c’est cartes sur table, autant faire de même.
Faut que je t’avoue un petit quelque chose : J’ai vu ton psy, il m’a expliqué ton problème.
Il sursaute sur sa chaise. Il m’observe, comme si… et oui Mickaël moi aussi je peux faire des recherches.
M : je vois.
Je me rapproche de toi, je veux qu’on retrouve l’osmose de ces derniers instants. J’ai besoin de toi.
S : Tu ne peux pas sauver le monde, mais surtout je ne veux pas que tu t’attaches à moi pour de mauvaises raisons.
M : tu crois que c’est une mauvaise raison ?
Il étreint les lèvres de Sara, un effleurement de sa bouche. Elle répond instinctivement à ce doux baiser. Il saisit tout d’abord sa lèvre inférieure, puis la supérieure. Leurs mains se détachent les unes des autres. Mickaël caresse la nuque de Sara alors que celle-ci ne cesse de faire parcourir ses doigts sur le torse de l’homme qu’elle désire plus que tout. Elle veut plus, elle veut fusionner entièrement avec lui. Leur baiser s’approfondit. Leurs langues se cherchent, se trouvent, se séparent pour mieux se reconnaître. Ils reprennent leurs souffles. Ils ne peuvent dissimuler leurs sourires.
S : tu veux bien recommencer, je ne sais pas trop…
sans se faire prier plus, il l’enlaçât, passât son bras autour de sa taille, la fit s’asseoir sur ces genoux. L’hilarité de Sara le remplit de joie. Il l’embrassât comme jamais il n’aurait osé, comme si c’était l’ultime moment qu’ils partageaient. Le plus intense.
S se recroquevillant contre Mickaël : on ferait mieux de rentrer. S’il te plaît, essaye de parler à Lorène. Je ne veux pas me cacher.
Mickaël choyait sa belle, comme jamais auparavant. Une main dans ses cheveux, la seconde parcourait minutieusement son dos : je le ferais, promis. On peut rester deux secondes encore.
S : je resterai ainsi toute ma vie si je pouvais.
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
genial ,
merci pour cette merveilleuse suite
tout sont tres bien transcrit, les doutes , les sentiments , la tension dans le salon a cause de kellerman
je te felicite , bravo
j'espere que ca va bien se passer entre michael et lorene au niveau des explications qu'il a lui donner !!!
j'attend avec impatience la suivante , meme hate de la lire
LA SUITE , LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEE
VITE LA SUITE S T P , S T P , S T P
merci pour cette merveilleuse suite
tout sont tres bien transcrit, les doutes , les sentiments , la tension dans le salon a cause de kellerman
je te felicite , bravo
j'espere que ca va bien se passer entre michael et lorene au niveau des explications qu'il a lui donner !!!
j'attend avec impatience la suivante , meme hate de la lire
LA SUITE , LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEE
VITE LA SUITE S T P , S T P , S T P
Dernière édition par le Jeu 5 Avr - 20:58, édité 1 fois
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Localisation : je suis toujours en fuite
Date d'inscription : 05/12/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Sublime!!
J'ai adoré ta facon de décrire leur explication!!
Et pui mick ki confi ses sentiment c tro mignon!!!!!!
C'etai obliger kil choississe sara ils peuven pa vivre l'un san lotre!!!
vivemen la suite
J'ai adoré ta facon de décrire leur explication!!
Et pui mick ki confi ses sentiment c tro mignon!!!!!!
C'etai obliger kil choississe sara ils peuven pa vivre l'un san lotre!!!
vivemen la suite
nestella- Rendez vous avec Pope
- Nombre de messages : 3476
Age : 35
Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
Date d'inscription : 05/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Ha heureusement qu'il a choisit Sara
La suite la suiteee
La suite la suiteee
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 451
Age : 37
Date d'inscription : 04/11/2006
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
super triste le fait qu'il en ait aimer una autre mais bon ta fic est super continu
sosam66- Kellerman my friend!
- Nombre de messages : 961
Age : 35
Date d'inscription : 18/02/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
oue moi aussi sa m'avait refroidi qu'il ait pu en aimait une autre ... mais bon il aime vraiment sara !! la suite stp
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
- Nombre de messages : 6508
Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
MAGNIFIQUE!!
il a choisit Sara bravo Michael ta fait le bon choix
vivement la suite
il a choisit Sara bravo Michael ta fait le bon choix
vivement la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Désolé de vous avoir refroidi mais il approche de la trentaine donc il avait une vie avant. Je pars du principe qu'il ne vivait pas en hermite et qu'il ne s'était pas réservé à Sara...
Merci pour vos comms en tout cas çà motive grave, j'espère mettre la suite dans l'arprès-midi... avec d'autres rebondissement...
Merci pour vos comms en tout cas çà motive grave, j'espère mettre la suite dans l'arprès-midi... avec d'autres rebondissement...
ENNEADE- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1292
Age : 45
Localisation : sous la couette avec ....
Date d'inscription : 28/03/2007
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
JVAIS CREVER SI TU NOUS METS PAS LA SUITE !!!!!!!!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
bon pas beaucoup de comms donc si la fic ne vous plait pas...
Je sais que ce n'est pas du MISA pur et dur mais il y en aura.... promis mais faut être patient
pensée Lorène : vert
Tout le monde est assis autour de la table… je suis à mon bureau, je les observe. Mickaël et Sara étaient dehors, leur discussion a été fructueuse, il me semble. Leurs baisers en est la preuve. Ils sont rentrés, leurs mains entrelacées. Je sens depuis cet instant, les regards de mike se poser sur moi, constamment. Il veut s’excuser, je le sens. Je ne suis pas prête à l’affronter, lui dire tout ce qu’il s’est passé depuis ce jour-là, les conséquences de sa décision. J’ai appris une chose avec le temps, ne rien dire est des fois préférable. Seulement faire mentir L.J. et Jane est quelque chose qui va devenir de plus en plus dure. Je dois le protéger. Les répercussions sur Mike pourrait être désastreuse, surtout pour lui et Sara. Me concentrer sur mon travail, pour ne pas être autour de cette table, c’est la seule chose qui compte vraiment.
L : elle mange de temps en temps ?
J sur la défensive : ça va, son travail lui demande pas mal de temps.
S : quel travail peut-être aussi prenant ?
M d’un ton neutre sans lever le nez de son assiette : avocate.
L avec une fierté a peine dissimuler : une des meilleures. Elle a eut une promotion pour travailler autant ? son bureau va bientôt crouler sous les dossiers ?
L.J. : t’as pas vu celui de Chicago… c’est Beyrouth, après on dis de ma chambre…
J : c’est différent, je crois. Et non, Lincoln, pas de promotions. Vous la connaissez mieux que moi, elle adore son boulot. Elle ne sait pas dire non.
S : elle a travaillé sur votre dossier, Lincoln ?
L : non, et c’est pas son domaine, de toute façon.
l.J. : papa, elle a aidé Véronica tout de même !
L les yeux ténébreux : c’est une blague !
L.J. voulant tempérer son père : elle l’a fait pour t’aider…je croyais que tu le savais !
L : faut toujours qu’elle fasse le contraire de ce qu’on lui dit ! c’est pas vrai.
S : je vois pas ou est le problème ?
L sèchement: il n’y en a pas.
La sonnerie de téléphone coupa court à la conversation. L.J. décrocha immédiatement.
l.J. : je vous la passe, tante Lorène, c’est pour toi, Phil.
Et merde, il peut pas me laisser une heure tranquille. Je descends, prend ce maudit téléphone. Il m’explique, comme d’habitude que je dois traiter un dossier en urgence et que je suis la seule à le pouvoir, blabla blabla…je picore dans l’assiette de L.J., j’ai un peu faim en réalité…
lo : oui, bien sur…d’accord demain 14h. j’y serai. Vous me rappelez son nom ; ok c’est noté. A demain.
L.J. malicieux : tu veux mon assiette, peut-être ?
Lo : non, désolé. Faut vraiment que je corrige cette sale habitude.
J : ça va, encore un dossier urgent ?
L sur un ton inquisiteur : Phil, c’est qui ?
Lo : Linc commence pas le questionnaire du grand-frère, c’est assez déplacé.
Il ne me lâche pas du regard, le même qu’auparavant, celui de mon ange gardien, je lutte, nos regards s’affrontent et comme d’habitude, je cède.
Lo : Bon, c’est mon supérieur.
L : et il t’appelle chez toi ?
L.J. : il est cool.
J : ça ne pouvait pas attendre demain.
Lo : non, il me fax le dossier.
Mais c’est pas vrai, cela fait à peine une heure qu’il est chez moi et déjà il commence. Me protéger, comme si j’étais en sucre, me préserver de tout et de rien à la fois. Je ne dois pas me laisser faire et en même temps il faut que je dise à Jane où j’ai rendez-vous demain. Elle ne va pas apprécier, que dire de Linc et Mike. Bon soyons claire et sans appel.
Lo : Vous avez un petit bonjour à passer à quelqu’un à fox River ?
L : ta blague est nullemanquant de s'étouffer.
Lo : j’y vais demain.
Linc se relève et projette par la même occasion la chaise. Mike est abasourdi par ma phrase. Linc se tend de toute sa hauteur pour me surplomber. Seulement je ne suis plus cette jeune fille apeurée, la vie s’est chargée de m’endurcir. Je sais que tu as toujours voulu m’éloigner de cette prison. C’est pour ne pas me faire souffrir que tu m’as interdis trois ans auparavant de te défendre ou de te rendre visite. Et maintenant, j’y vais seule…
L : non, mais c’est pas vrai, qu’est-ce que tu vas y foutre ?
M sur le même ton protecteur : tu n’as rien à y faire. Je crois…
Ne pas les laisser prendre le dessus. Je ne les ait jamais vus dans une telle colère. J’ai l’impression que tout est inexistant dans cette pièce sauf nous trois. Ils feront tous pour comprendre mais comment leur expliquer que maintenant ma vie se résume à écumer les prisons des environs. Que j’ai du quitter mon magnifique bureau avec vue sur le lac ;une situation plus que confortable, rythmée par des dîners d’affaires, des réunions formelles et des accords entre les personnes les plus influentes de la ville. Je sens la pression montée, une boule dans le ventre qui ne cesse de me ronger de l’intérieure. Eux, les hommes les plus importants de ma vie. Comment leurs expliquer de manière posée, sereine… je n’y arriverai jamais, j’ai la sensation d’exploser. Leurs regards ténébreux me transpercent de part en part. Leurs faire comprendre que je suis indépendante, que je suis plus forte qu’eux deux réunis. Je ressens au plus profond de moi cette angoisse grandir, seule la colère peut le faire disparaître.
Lo : Mike, ce que tu penses je m’en contre fou, c’est clair ! et toi, Linc je vais y faire mon boulot !
M : arrêtes tes conneries, tu es avocate spécialisée en assurance et en immobilier… je ne vois pas le rapport avec Fox river.
Mon ton est de plus en plus sanguin, je ne me domine plus.
Lo: j’ai changé d’orientation, tu vois. Comment faire simple, ah oui, une avocate d’un grand cabinet, dont l’ex, à braquer une banque à main armer, n’est pas la meilleure chose qui soit pour la renommé. Tu comprends mieux… mes conneries…
L effaré : ils t’ont viré ?
Lo : restructuration, c’est mieux. Je fais parti du bureau d’assistante juridique maintenant. Je suis un commis d’office. Un de mes clients se trouve là-bas et je dois y aller. silence.Je monte travailler dans ma chambre.
M : Lorène, faut…
Lo : Toi, fermes là avant que je te foute dehors…
M’enfermer dans ma chambre, c’est la seule chose que je veux faire. Ne plus voir personne. Fuir. Ne plus affronter leurs regards de chiens battus. Surtout un besoin urgent de me retrouver seule avec mes démons, ne pas leurs montrer que je ne contrôle plus rien, ne pas pleurer, ne pas éclater … tant de choses ont changer, tant de choses qu'ils n'ont pas besoin de savoir. J’emprunte cet escalier, sans me retourner. Je sais que Linc et Mike sont toujours figés debout… Je le sens. Ils ne m’ont jamais vus ainsi, moi la douce et insouciante Lorène. Je dois leur sembler bien lointaine, maintenant. J’attrape au passage mon Fax, ne pas me retourner pour qu’ils ne voient pas mes larmes…
envie d'une suite ???
Je sais que ce n'est pas du MISA pur et dur mais il y en aura.... promis mais faut être patient
pensée Lorène : vert
Tout le monde est assis autour de la table… je suis à mon bureau, je les observe. Mickaël et Sara étaient dehors, leur discussion a été fructueuse, il me semble. Leurs baisers en est la preuve. Ils sont rentrés, leurs mains entrelacées. Je sens depuis cet instant, les regards de mike se poser sur moi, constamment. Il veut s’excuser, je le sens. Je ne suis pas prête à l’affronter, lui dire tout ce qu’il s’est passé depuis ce jour-là, les conséquences de sa décision. J’ai appris une chose avec le temps, ne rien dire est des fois préférable. Seulement faire mentir L.J. et Jane est quelque chose qui va devenir de plus en plus dure. Je dois le protéger. Les répercussions sur Mike pourrait être désastreuse, surtout pour lui et Sara. Me concentrer sur mon travail, pour ne pas être autour de cette table, c’est la seule chose qui compte vraiment.
L : elle mange de temps en temps ?
J sur la défensive : ça va, son travail lui demande pas mal de temps.
S : quel travail peut-être aussi prenant ?
M d’un ton neutre sans lever le nez de son assiette : avocate.
L avec une fierté a peine dissimuler : une des meilleures. Elle a eut une promotion pour travailler autant ? son bureau va bientôt crouler sous les dossiers ?
L.J. : t’as pas vu celui de Chicago… c’est Beyrouth, après on dis de ma chambre…
J : c’est différent, je crois. Et non, Lincoln, pas de promotions. Vous la connaissez mieux que moi, elle adore son boulot. Elle ne sait pas dire non.
S : elle a travaillé sur votre dossier, Lincoln ?
L : non, et c’est pas son domaine, de toute façon.
l.J. : papa, elle a aidé Véronica tout de même !
L les yeux ténébreux : c’est une blague !
L.J. voulant tempérer son père : elle l’a fait pour t’aider…je croyais que tu le savais !
L : faut toujours qu’elle fasse le contraire de ce qu’on lui dit ! c’est pas vrai.
S : je vois pas ou est le problème ?
L sèchement: il n’y en a pas.
La sonnerie de téléphone coupa court à la conversation. L.J. décrocha immédiatement.
l.J. : je vous la passe, tante Lorène, c’est pour toi, Phil.
Et merde, il peut pas me laisser une heure tranquille. Je descends, prend ce maudit téléphone. Il m’explique, comme d’habitude que je dois traiter un dossier en urgence et que je suis la seule à le pouvoir, blabla blabla…je picore dans l’assiette de L.J., j’ai un peu faim en réalité…
lo : oui, bien sur…d’accord demain 14h. j’y serai. Vous me rappelez son nom ; ok c’est noté. A demain.
L.J. malicieux : tu veux mon assiette, peut-être ?
Lo : non, désolé. Faut vraiment que je corrige cette sale habitude.
J : ça va, encore un dossier urgent ?
L sur un ton inquisiteur : Phil, c’est qui ?
Lo : Linc commence pas le questionnaire du grand-frère, c’est assez déplacé.
Il ne me lâche pas du regard, le même qu’auparavant, celui de mon ange gardien, je lutte, nos regards s’affrontent et comme d’habitude, je cède.
Lo : Bon, c’est mon supérieur.
L : et il t’appelle chez toi ?
L.J. : il est cool.
J : ça ne pouvait pas attendre demain.
Lo : non, il me fax le dossier.
Mais c’est pas vrai, cela fait à peine une heure qu’il est chez moi et déjà il commence. Me protéger, comme si j’étais en sucre, me préserver de tout et de rien à la fois. Je ne dois pas me laisser faire et en même temps il faut que je dise à Jane où j’ai rendez-vous demain. Elle ne va pas apprécier, que dire de Linc et Mike. Bon soyons claire et sans appel.
Lo : Vous avez un petit bonjour à passer à quelqu’un à fox River ?
L : ta blague est nullemanquant de s'étouffer.
Lo : j’y vais demain.
Linc se relève et projette par la même occasion la chaise. Mike est abasourdi par ma phrase. Linc se tend de toute sa hauteur pour me surplomber. Seulement je ne suis plus cette jeune fille apeurée, la vie s’est chargée de m’endurcir. Je sais que tu as toujours voulu m’éloigner de cette prison. C’est pour ne pas me faire souffrir que tu m’as interdis trois ans auparavant de te défendre ou de te rendre visite. Et maintenant, j’y vais seule…
L : non, mais c’est pas vrai, qu’est-ce que tu vas y foutre ?
M sur le même ton protecteur : tu n’as rien à y faire. Je crois…
Ne pas les laisser prendre le dessus. Je ne les ait jamais vus dans une telle colère. J’ai l’impression que tout est inexistant dans cette pièce sauf nous trois. Ils feront tous pour comprendre mais comment leur expliquer que maintenant ma vie se résume à écumer les prisons des environs. Que j’ai du quitter mon magnifique bureau avec vue sur le lac ;une situation plus que confortable, rythmée par des dîners d’affaires, des réunions formelles et des accords entre les personnes les plus influentes de la ville. Je sens la pression montée, une boule dans le ventre qui ne cesse de me ronger de l’intérieure. Eux, les hommes les plus importants de ma vie. Comment leurs expliquer de manière posée, sereine… je n’y arriverai jamais, j’ai la sensation d’exploser. Leurs regards ténébreux me transpercent de part en part. Leurs faire comprendre que je suis indépendante, que je suis plus forte qu’eux deux réunis. Je ressens au plus profond de moi cette angoisse grandir, seule la colère peut le faire disparaître.
Lo : Mike, ce que tu penses je m’en contre fou, c’est clair ! et toi, Linc je vais y faire mon boulot !
M : arrêtes tes conneries, tu es avocate spécialisée en assurance et en immobilier… je ne vois pas le rapport avec Fox river.
Mon ton est de plus en plus sanguin, je ne me domine plus.
Lo: j’ai changé d’orientation, tu vois. Comment faire simple, ah oui, une avocate d’un grand cabinet, dont l’ex, à braquer une banque à main armer, n’est pas la meilleure chose qui soit pour la renommé. Tu comprends mieux… mes conneries…
L effaré : ils t’ont viré ?
Lo : restructuration, c’est mieux. Je fais parti du bureau d’assistante juridique maintenant. Je suis un commis d’office. Un de mes clients se trouve là-bas et je dois y aller. silence.Je monte travailler dans ma chambre.
M : Lorène, faut…
Lo : Toi, fermes là avant que je te foute dehors…
M’enfermer dans ma chambre, c’est la seule chose que je veux faire. Ne plus voir personne. Fuir. Ne plus affronter leurs regards de chiens battus. Surtout un besoin urgent de me retrouver seule avec mes démons, ne pas leurs montrer que je ne contrôle plus rien, ne pas pleurer, ne pas éclater … tant de choses ont changer, tant de choses qu'ils n'ont pas besoin de savoir. J’emprunte cet escalier, sans me retourner. Je sais que Linc et Mike sont toujours figés debout… Je le sens. Ils ne m’ont jamais vus ainsi, moi la douce et insouciante Lorène. Je dois leur sembler bien lointaine, maintenant. J’attrape au passage mon Fax, ne pas me retourner pour qu’ils ne voient pas mes larmes…
envie d'une suite ???
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Localisation : sous la couette avec ....
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
oui la suite stp
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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