les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
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ENNEADE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
merci pour vos comms
Au fait Amaria... tu dis qu'il ya des raineuz de suites, moi je dis que parfois il y a des radineuz de comms...
comme d'hab : le spensée de Lorène
Une peur s’immisce ne moi, peur que se ne soit pas Mike, peur que se soit lui. Dans quel état, il va être, voudra-t-il me parler… trop de questions fusent dans mon pauvre petit cerveau. Il faut que je le défende, que je fasse tout mon possible pour le sortir de là, donc vaux mieux éviter de prendre trop à cœur son bien-être. Seulement je ne pense pas en être capable. La porte s’ouvre ce qui laisse passer un semblant de lumière. Je le vois, un soulagement se répand en moi quand je vois sa silhouette. Je pourrais la reconnaître entre mille. Il est là face à moi ? Je le distingue à peine, je suis à contre jour. Il s’approche timidement sans un bruit. On dirait un fantôme. J’entends les gardes qui nous hurlent : vous avez une demi-heure !
Ils me rendent dingue. On dirait que … même un animal à plus de considération. Je le sens hésitant, je n’ose dire un mot, jusqu’à ce que le gardien lui assène un violent coup de pied dans le dos pour le faire rentrer plus vite. Je le vois vaciller mais il tient debout.
Lo : mais vous êtes dingues !
Les rires des gardiens me glacent le sang. Mike ne dit rien, aucun son n’est sorti de sa bouche. Ils referment la porte derrières nous. Mais toujours aucune lumière. Je m’avance vers la porte. Ils ne peuvent pas nous laisser dans le noir total. Ce n’est pas concevable.
Lo : gardien, la lumière s’il vous plaît ?
Gardien : OK OK.
Tout d’un coup, une faible lumière émane du plafond. Je me retourne vers Mike. Je ne peux contenir un mouvement d’effroi. Il est là devant moi. Il est presque entièrement contusionné. Son visage est tuméfié. Mes mains viennent se loger immédiatement devant ma bouche pour contenir ma stupeur. Il est là devant moi, impassible, froid… comme si je n’étais pas là. J’essaye de m’approcher de lui, il fait un pas en arrière. Non, ne fais pas cela, je t’en pris. Il s’assoit sur la chaise qui est au centre de la pièce. Je prends sur moi pour contenir mes larmes, pour ne pas le secouer dans tous les sens. Il a toujours ces habits civils. Je présume qu’ils n’ont pas d’uniforme. Il semble comme affaibli d’un certain côté mais il est aussi si déterminé, si froid… on dirait un autre homme. Comme s’il n’était devenu que haine.
Lo : bon, je suis là pour te défendre Mike. Je vais te sortir d’ici. Mike ? Faudrait que tu me parles ?
Il est assis face à moi, tête baissé. Il ne dit rien. Je me sens si inutile, si désemparé par son désarroi. Bon, je vais faire comme si c’était un client ordinaire. Allez ce n’est pas Mike, ce n’est pas Mike..
Lo : bon, ton procès aux Etats-Unis s’engage super bien. J’ai confiance. Tu devrais être blanchi de cette affaire. Pour ici, les choses sont un peu plus lentes. Mais on fait tous ce qui est possible pour que tu sortes d’ici. Mike ? J’ai besoin que tu me parles. Purée, Mike, tu n’es pas comme cela ? Tu n’es pas un lâche ? Tu ne mérites pas d’être ici ? C’est un coup monté ? Mike ?
J’essaye de prendre ses mains mais il les retire aussi tôt de la table. Il refuse tout contact. Il reste prostré sur sa chaise, tête baissée, les mains sur ses cuisses. Je ne sais pas quoi faire. C’est vrai que le peu que j’ai vu ressemble à l’enfer mais le Mike que je connais se bat toujours et contre tout.
Lo : Mike, on n'a pas beaucoup de temps. Linc et Sara sont resté en ville. Ils ne pouvaient pas venir. Ils t’embrassent très fort, ils t’aiment Mike. Soupirs. Merde, mais tu crois que c’est simple de venir te voir. J’ai remué la moitié du Panama pour obtenir cette visite et toi tu ne dis rien. Mais qu’est-ce que tu veux Mike ?
M (hurlant de plus en plus fort) : dégages ! va-t-en ! Va-t-en !
Lo : tu rêves, je ne partirais pas, Mike. Tu sais à qui tu parles là, ou ils ont réussi à te rendre complètement con !
M (articulant à outrance) : va-t-en !
Lo : Mike. Tu n’as pas le droit, pas après …
M : Laisse-moi …
Lo (lui tenant le visage) : non, Mike je ne te laisserai mourir ici, tu m’entends !
M (croisant enfin son regard) : ce serai plus simple.
Gardien (ouvrant la porte) : c’est fini.
Lo : cela ne fait pas une demi-heure !
M (résigné) : laisse tomber. Je vous suis !
Lo : Mike ! Tout ira bien, je te le promets !
M (lui souriant) : si tu le dis !
Je le laisse s’éloigner sans même pourvoir le serrer dans mes bras.
Lo (lui faisant des grands yeux de biches) : gardien, s’il vous plaît, je n’ai pas lui faire signer un papier ! S’il vous plaît !
Gardien : bon, OK vous avez encore 5 min on laisse la porte ouverte.
Lo : merci.
Je m‘avance timidement vers Mike. Je passe mes mains sans négocier autour de sa taille. J’ai besoin de le savoir un instant près de moi. De savoir qu’il est en vie, de savoir qu’il est là, face à moi, de savoir que ce n’est pas un mirage. Je me colle littéralement à lui. Il ne bouge pas d’un millimètre. Ses mains restent le long de son corps. Je m’engouffre au fond de son torse. J’essaye de retenir mes sanglots, même si j’ai du mal. Seulement je ne peux pas permettre de craquer, pas alors que lui vit cet enfer. Ses mains se posent enfin dans mon dos. C’est comme une libération. Il me serre si fort puis défais assez vite notre étreinte. Son visage paraît beaucoup moins torturé.
M (relavant son visage) : c’est bien, tu ne pleures pas !
Lo : je t’aime Mike, je…
M : chut… arrêtes tout …
Lo : je ne peux pas…
M : et moi je ne peux pas te demander de continuer !
Lo : Mike… je connais trop bien ce regard. Il a quelque chose derrière la tête. Ne fais pas de bêtises !
Il me dépose un baiser sur la joue puis retourne auprès des gardiens. Je le vois s’en aller dans la pénombre du couloir. Je me sens si mal, si fatiguée. Je ne sais pas ce qu’il prépare. Mais cela ne me semble pas de bon augure. Mike n’est pas le genre d’homme à mettre fin à ses jours… pourvu qu’il ne pense pas à sortir d’ici tout seul, jamais il n’y arrivera ! ! Je rejoins l’air libre. Une fois à l’extérieur, je remarque que le gardien est déjà reparti dans l’autre sens. Je sais que je n’étais pas la bienvenue mais là… j’ai peur qu’il s’en prenne à Mike à cause de ma venue ici ! ! ! Depuis le début je savais que c’était un risque, il ne faut pas avoir de remords maintenant. Je cours en direction de la voiture. Steve me regarde avec tellement d’inquiétude. Je rentre directement.
Lo : vas-y roule, je ne veux pas rester ici !
St : ça va ?
Lo : oui.
Il roule sans même me demander plus d’explication. Il sait très bien que je ne peux pas aller bien. Que j’ai vu des choses inimaginables, que j’ai vu l’enfer. J’essaye tant bien que mal à me concentrer sur le paysage qui défile sous mes yeux. L’ironie du sort c’est que c’est tout simplement à couper le souffle. Ce qui me rend de plus en plu malade. A la seule pensée de Sona, des hauts le cœur me font presque vaciller. Je ne sais pas vraiment c que je vais pouvoir dire à Sara et Linc. Ils doivent attendre avec impatience. Comment leur expliquer l’inimaginable ? Comment leur dire que Mike s’est perdu lui-même ?
Lo : arrêtes la voiture.
J’arrive péniblement à sortir de la voiture. Je vomis tripes et boyaux. J’ai si mal, mal de partout. J’ai à peine le temps d me relever que je suis dans les bras de Steve. Il me prend dans ses bras comme pour apaiser mes souffrances. Je le sens si protecteur. Il me porte de l’autre côté de la route. Je colle ma tête et mon corps contre lui. Mes larmes viennent tel des torrents. Je n’arrive plus à me contrôler, mon corps tremble dans tous les sens. Plus je frémi et plus il me sert fort. Au moment ou j’ouvre enfin les yeux. On est assis tous les deux sur le sable. La plage est immense et déserte. Je sens le sable chaud se glisser sous mes pieds.
St : hé !
Lo : merci
St : allez, je suis là.
Lo : c’était si…
St : chut, on va le sortir…je te le promets.
Lo : j’ai peur qu’il ne nous attende pas.
St : tu crois qu’il voudra s’évader ?
Lo : S’il y a bien une chose qu’il ne supporte pas c’est d’être enfermé, les endroits exigus…
St : il avait eut de temps à Fox River de tout mettre au point, il avait les plans…
Lo : c’est bien ce qui me fait peur !
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
j'adore!!!
mais michael qui pete un cable....
je trouve ça trop court!
je veux la suite!!!!!!!
mais michael qui pete un cable....
je trouve ça trop court!
je veux la suite!!!!!!!
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Mais qu'est ce qui lui arrive a Mick??????
Il a prévu de s'évader????
TROP TROP PRESSER DE LIRE LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
Il a prévu de s'évader????
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nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
mon dieu !!!!!!!!! voir michael dans cette etat , me fait peur !!!!!!!!
j ' ai peur pour lui !!!!!!!
je suis trop presser de lire la suite !!!!!!!!!! en urgence la suite
met la tres tres vite !!!!!!!!
j ' ai peur pour lui !!!!!!!
je suis trop presser de lire la suite !!!!!!!!!! en urgence la suite
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ENNEADE a écrit:[size=12]
merci pour vos comms
Au fait Amaria... tu dis qu'il ya des raineuz de suites, moi je dis que parfois il y a des radineuz de comms...
Hum Hum Hum Hum Hum je ne me sens pas visé du tout mais je te soutient c'est vrai qu'il ya des radineuz de comms mais pas moi hein pas vrai?? leche bottes que je suis
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
au non pas toi... tu es dans le cast en plus
mais j'ai l'impression que les fidèles sont de plus en plus rares... voir exceptionelles
mais j'ai l'impression que les fidèles sont de plus en plus rares... voir exceptionelles
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Paaauuuuvvvvrrrreeeee MMiccchaaaeelllll
faut qu'il se batte allez courage
faut qu'il se batte allez courage
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ça me fait mal au coeur de voir michael comme ça
vite mets nous une suite
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lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ENNEADE a écrit:au non pas toi... tu es dans le cast en plus
mais j'ai l'impression que les fidèles sont de plus en plus rares... voir exceptionelles
Moi en tout cas je suis là plus pour longtemps parce que la semaine prochain les exams commence,mais je te soutient,
Amaria- Emprisonné(e) à Sona
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
désolé mais surement pas aujourd'hui acr j'ai du boulot par dessus la tête!!!!
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ENNEADE a écrit:désolé mais surement pas aujourd'hui acr j'ai du boulot par dessus la tête!!!!
non......;
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Déja té encor une méchante comme pour lotre fic mais atten Mickey nous pète un cable la
vivement la suiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
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miss_sa_69- De retour à Chicago
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
et aujourd'hui?? une suite?? dit que oui stp!!!!!
meme questions qu'hier!!!stp!!!! la suiteeeeeeeeeeeeeeeeee
meme questions qu'hier!!!stp!!!! la suiteeeeeeeeeeeeeeeeee
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
chachou18 a écrit:et aujourd'hui?? une suite?? dit que oui stp!!!!!
meme questions qu'hier!!!stp!!!! la suiteeeeeeeeeeeeeeeeee
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
LA SUITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!PITIEEE!!!!!!!!!!!!!!!!
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
alors comme promis, et devant le désaroi de Chachou : voilà une suite
pensée de Sara : violet
pensée de Lorène : vert
Lorène et Steve reviennent enfin. Il est presque 20h. mais qu’a-t-il put se passer pour qu’ils soient aussi long. Je ne pense pas que l’entrevue avec Mickaël ait durer aussi longtemps. L’ambassade n’a put lui obtenir qu’une demi-heure. Je ne suis pas certaine que les gardiens lui ont octroyé un peu plus. Je les observe par la fenêtre. Ils semblent tous deux dépités, préoccupés. Ils avancent têtes baissées, sans se regarder. J’ai l’impression que les nouvelles ne sont pas bonnes. La mauvaise sensation que tout va s’arrêter, que nos espoirs vont partir en fumée. Cette boule d’angoisse qui revient encore et encore me ronger. Je me sens si coupable, jamais je n’aurais du le laisser faire, j’aurais du prévoir ses intentions… je comprends que Lincoln m’en veuille un peu. Il est si anxieux que je peux sentir d’ici ses angoisses. Il sait lui aussi que cela aurait dur être plus court… on a eut beau essayer de se rassurer en se disant qu’ils en avaient profiter pour prendre un peu de temps pour eux, qu’ils ont peut être fait une ballade… mais on sait bien que ce n’est pas le cas… Lincoln à la tête enfouie entre ses mains. J’ai l’impression de voir Mickaël quand il fait ceci. Ils se ressemblent tellement dans leurs attitudes… ils entrent dans la chambre sans faire de bruit. Leurs visages sont si tendus, si fermés. Quelque chose ne va pas ! !
L : alors, tu l’as vu ?
Lo : oui
Je suis décontenancé. J’arrive à peine à me concentrer. Comment lui dire, comment ne pas les faire souffrir ? Je sais que Mike ne veut pas de ça, il ne veut plus que les autres souffre pour lui, à cause de lui. Je n’ai pas envie de faire compliquer, pour une fois je n’ai pas envie d’arrondir les angles… quand je vois Linc devant moi si torturé, je n’ai qu’une envie, redevenir la petite fille qu’il berçait quand je faisais des cauchemars. Je m’avance vers lui. Je peux à peine soutenir son regard. Je le vois si inquiet. Sans rien dire, je m’assois sur ses genoux, engouffrant ma tête dans son épaule. Ses bras se resserrent autour de moi, tel un étau. Je me sens si bête mais cela me fait tellement de bien.
L : alors ?
Lo : les gardiens on écourtés ma visite !
S : mais ils n’ont pas le droit ! tu… eh …
L : c’est si horrible qu’on le dit ?
J’ai du mal à répondre à sa question. C’est peut-être celle que je redoutais le plus. Ce que j’ai vu est indéfinissable. Elle fait passer Fox River pour un centre de vacances. Je me sens si mal.
Lo ( en pleurs) : Linc…faut le voir pour le croire, c’est… c’est l’enfer !
Je sens leurs regards incrédules se poser sur moi. Leurs larmes montantes aussi à leurs yeux. Linc resserre son étreinte comme si cela pouvait faire sortir Mike de Sona, ou comme si cela pouvait effacer ce que je viens de dire.
S : il va bien… il a repris un peu espoir ?
Lo : il ne veut pas que je le défende !
L : quoi, mais c’est… une vraie tête de mule… ce n’est pas possible !
St : avec Lorène on pense qu’il veut peut-être essayer de sortir !
L : quoi ? vous voulez dire…
St : qu’on pense qu’il veut s’évader !
S : mais c’est une maladie chez lui ! Il est complètement fou !
L : c’est pas vrai Lorène, regarde-moi dans les yeux et dis-moi que ce n’est pas vrai !
Lo : il m’a demandé de partir, de le laisser… si tu l’avais vu Linc…
L : oh non !
Linc me serre un peu plus dans ses bras… je me sens si seule à cet instant… le visage de Mike me revient sans cesse en tête, la pensée de cet endroit me fait des hauts le cœur incessant… j’ai l’impression que depuis que j’ai mis les pieds là-bas, qu’un venin se répand dans mon sang. Je n’arrive pas à en vouloir à Mike d’avoir fait ceci. D’avoir sacrifié sa vie pour Sara, de me dire de partir, de vouloir qu’on le laisse, de vouloir s’évader… si je n’avais vu l’intérieur de Sona, jamais je n’aurais put comprendre, mais là-bas, il n’est qu’un ombre, un côté que je n’avais jamais vu en lui à fait surface… et je ne suis pas sûr qu’il voudrait qu’on le découvre. Je me desserre à regret de Linc. C’est comme si on m’arrachait le cœur une fois de plus. Je ne me sens pas prête à avoir une discussion censée. La seule chose que je dois faire c’est aider Mike, faire pression sur l’ambassade, le sortir de là, le plus vite possible et légalement ! Sans un mot de plus Steve et moi sortons de la chambre pour se réfugier dans la notre.
Je sens un malaise intenable. Il est là assis sur le lit, le visage défais. Je m’assois à son côté. J’ai envie de lui dire tant de choses mais tout me paraît si futile, si inconvenant. Son bras passe autour de mes épaules pour m’attirer à lui. Je le sens si fragile, si seul… je me retrouve propulser dans ses bras, ses larmes coulant le long de son visage. J’ai envie d’être forte pour lui, pour eux… mais je me laisse peu à peu aller moi aussi à ma mélancolie. Je trouve dans ses bras, un refuge que jamais je n’aurais pensé. Je me sens comme protéger de nouveau… tout d’un coup ces derniers jours remontent à la surface, ma captivité, mes journées seules enfermées dans cette pièce… je me jette un peu plus à corps perdu conte ce torse… mes larmes ne peuvent pus s’arrêter. Il resserre un peu plus son étreinte… comme si j’étais sa nouvelle raison d’être là, vivant… je m’épuise littéralement en larme avec lui, nos deux visages sont détrempés, mais on n’arrive plus à se contrôler comme si on nous avait enlever notre oxygène, notre vie…je sens mon corps peu à peu m’abandonner, mes forces sont de plus en plus restreinte et mes paupières de plus en plus lourdes. Je ne fais qu’un chose depuis trop de temps maintenant : espérer que Mickaël aille bien !
pensée de Sara : violet
pensée de Lorène : vert
Lorène et Steve reviennent enfin. Il est presque 20h. mais qu’a-t-il put se passer pour qu’ils soient aussi long. Je ne pense pas que l’entrevue avec Mickaël ait durer aussi longtemps. L’ambassade n’a put lui obtenir qu’une demi-heure. Je ne suis pas certaine que les gardiens lui ont octroyé un peu plus. Je les observe par la fenêtre. Ils semblent tous deux dépités, préoccupés. Ils avancent têtes baissées, sans se regarder. J’ai l’impression que les nouvelles ne sont pas bonnes. La mauvaise sensation que tout va s’arrêter, que nos espoirs vont partir en fumée. Cette boule d’angoisse qui revient encore et encore me ronger. Je me sens si coupable, jamais je n’aurais du le laisser faire, j’aurais du prévoir ses intentions… je comprends que Lincoln m’en veuille un peu. Il est si anxieux que je peux sentir d’ici ses angoisses. Il sait lui aussi que cela aurait dur être plus court… on a eut beau essayer de se rassurer en se disant qu’ils en avaient profiter pour prendre un peu de temps pour eux, qu’ils ont peut être fait une ballade… mais on sait bien que ce n’est pas le cas… Lincoln à la tête enfouie entre ses mains. J’ai l’impression de voir Mickaël quand il fait ceci. Ils se ressemblent tellement dans leurs attitudes… ils entrent dans la chambre sans faire de bruit. Leurs visages sont si tendus, si fermés. Quelque chose ne va pas ! !
L : alors, tu l’as vu ?
Lo : oui
Je suis décontenancé. J’arrive à peine à me concentrer. Comment lui dire, comment ne pas les faire souffrir ? Je sais que Mike ne veut pas de ça, il ne veut plus que les autres souffre pour lui, à cause de lui. Je n’ai pas envie de faire compliquer, pour une fois je n’ai pas envie d’arrondir les angles… quand je vois Linc devant moi si torturé, je n’ai qu’une envie, redevenir la petite fille qu’il berçait quand je faisais des cauchemars. Je m’avance vers lui. Je peux à peine soutenir son regard. Je le vois si inquiet. Sans rien dire, je m’assois sur ses genoux, engouffrant ma tête dans son épaule. Ses bras se resserrent autour de moi, tel un étau. Je me sens si bête mais cela me fait tellement de bien.
L : alors ?
Lo : les gardiens on écourtés ma visite !
S : mais ils n’ont pas le droit ! tu… eh …
L : c’est si horrible qu’on le dit ?
J’ai du mal à répondre à sa question. C’est peut-être celle que je redoutais le plus. Ce que j’ai vu est indéfinissable. Elle fait passer Fox River pour un centre de vacances. Je me sens si mal.
Lo ( en pleurs) : Linc…faut le voir pour le croire, c’est… c’est l’enfer !
Je sens leurs regards incrédules se poser sur moi. Leurs larmes montantes aussi à leurs yeux. Linc resserre son étreinte comme si cela pouvait faire sortir Mike de Sona, ou comme si cela pouvait effacer ce que je viens de dire.
S : il va bien… il a repris un peu espoir ?
Lo : il ne veut pas que je le défende !
L : quoi, mais c’est… une vraie tête de mule… ce n’est pas possible !
St : avec Lorène on pense qu’il veut peut-être essayer de sortir !
L : quoi ? vous voulez dire…
St : qu’on pense qu’il veut s’évader !
S : mais c’est une maladie chez lui ! Il est complètement fou !
L : c’est pas vrai Lorène, regarde-moi dans les yeux et dis-moi que ce n’est pas vrai !
Lo : il m’a demandé de partir, de le laisser… si tu l’avais vu Linc…
L : oh non !
Linc me serre un peu plus dans ses bras… je me sens si seule à cet instant… le visage de Mike me revient sans cesse en tête, la pensée de cet endroit me fait des hauts le cœur incessant… j’ai l’impression que depuis que j’ai mis les pieds là-bas, qu’un venin se répand dans mon sang. Je n’arrive pas à en vouloir à Mike d’avoir fait ceci. D’avoir sacrifié sa vie pour Sara, de me dire de partir, de vouloir qu’on le laisse, de vouloir s’évader… si je n’avais vu l’intérieur de Sona, jamais je n’aurais put comprendre, mais là-bas, il n’est qu’un ombre, un côté que je n’avais jamais vu en lui à fait surface… et je ne suis pas sûr qu’il voudrait qu’on le découvre. Je me desserre à regret de Linc. C’est comme si on m’arrachait le cœur une fois de plus. Je ne me sens pas prête à avoir une discussion censée. La seule chose que je dois faire c’est aider Mike, faire pression sur l’ambassade, le sortir de là, le plus vite possible et légalement ! Sans un mot de plus Steve et moi sortons de la chambre pour se réfugier dans la notre.
Je sens un malaise intenable. Il est là assis sur le lit, le visage défais. Je m’assois à son côté. J’ai envie de lui dire tant de choses mais tout me paraît si futile, si inconvenant. Son bras passe autour de mes épaules pour m’attirer à lui. Je le sens si fragile, si seul… je me retrouve propulser dans ses bras, ses larmes coulant le long de son visage. J’ai envie d’être forte pour lui, pour eux… mais je me laisse peu à peu aller moi aussi à ma mélancolie. Je trouve dans ses bras, un refuge que jamais je n’aurais pensé. Je me sens comme protéger de nouveau… tout d’un coup ces derniers jours remontent à la surface, ma captivité, mes journées seules enfermées dans cette pièce… je me jette un peu plus à corps perdu conte ce torse… mes larmes ne peuvent pus s’arrêter. Il resserre un peu plus son étreinte… comme si j’étais sa nouvelle raison d’être là, vivant… je m’épuise littéralement en larme avec lui, nos deux visages sont détrempés, mais on n’arrive plus à se contrôler comme si on nous avait enlever notre oxygène, notre vie…je sens mon corps peu à peu m’abandonner, mes forces sont de plus en plus restreinte et mes paupières de plus en plus lourdes. Je ne fais qu’un chose depuis trop de temps maintenant : espérer que Mickaël aille bien !
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
magnifique , trop triste
dit nous michael va bien dit !!!!!!!!!!
met vite une autre !!!!!!!
please !!!!!!! , j ' en peux plus la !!!!!!!
dit nous michael va bien dit !!!!!!!!!!
met vite une autre !!!!!!!
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
ouéééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé merci merci merci merci merci!!!!!!!!!!!
faut que mick se reprenne!! il faut qu'il le fasse sortir de la!!!!!!!
vite vite encore!!!!!!!!!!!!!!!pitiééééééééééééééééééé
faut que mick se reprenne!! il faut qu'il le fasse sortir de la!!!!!!!
vite vite encore!!!!!!!!!!!!!!!pitiééééééééééééééééééé
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
please encore une suitechachou18 a écrit:ouéééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé merci merci merci merci merci!!!!!!!!!!!
faut que mick se reprenne!! il faut qu'il le fasse sortir de la!!!!!!!
vite vite encore!!!!!!!!!!!!!!!pitiééééééééééééééééééé
elle est trop bien ta fic
lily24- Rattrapé par Mahone et Kellerman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
bon... je retrouve un peu mon inspiration donc voici une deuxième pour aujourd'hui
merci pour vos comms vous êtes des amours
pensée de Lorène: vert
pensée de Mike : bleu
Deux ans plus tard :
Me voici de nouveau à la lumière du jour. J’ai mal aux yeux. Je ne sais pas pourquoi on m’a sortis du mitar. Cela fait plus de 18 mois que j’y suis… du moins je crois. Mes jambes sont comme ankylosées. J’ai la plus grande peine du monde à me tenir debout, surtout avec cette lumière qui m’aveugle. Mes poumons se gorgent d’air frais, comme jamais. Je n’aurais pensé que respirer de l’air pouvait être aussi jouissif. Je savoure chaque particule qui entre moi, chaque parcelle de ma peau au contact avec le soleil… je me sens revivre. Je me retrouve dans cette minuscule cour. Personne. Il n’y a que moi… je ne comprends pas ce que je fais là, peut-être que ce sera la fin, si cela pouvait être vrai… ou alors est-ce un moyen de faire encore un peu plus de mal. Me faire revoir l’extérieur, le ciel avant de me renfermer dans cette pièce, dans cette cave, sans fenêtre, sans lumière, qui fait exactement 1,99m par 2,20m. l’air frais apporte son lot de satisfaction. Il n’est ni vicié, ni humide, ni nauséabond… quoique tout ceci on s’y habitue au bout d’un moment…cela doit faire 20 jours que je ne suis pas sorti de ma pièce, oui depuis la dernière douche à laquelle j’ai eut droit… peut-être que c’est ceci… j’attends la douche… de manière générale, j’y aie droit mais seul… aucun contact avec les autres détenus…bon arrêtes de réfléchir et savoure juste cet instant. Tu ne sais pas quand tu pourras revoir la lumière du jour.
Il y a eut une bonne chose à mon isolement, c’est que je suis toujours en vie, je n’ai pas à me battre avec les autres détenus… mais les matons ne se gênent pas… quand ils pensent à m’amener ma nourriture. Je commence à marcher un peu, fébrilement… c’est toujours comme ça… dans ma pièce comme je l’appelle, je suis toujours assis, recroquevillé… du coup mes muscles s’atrophient. Les premières minutes où je dois marcher sont toujours les plus dures… et c’est souvent dans ce cas, à cause de ma lenteur, que les gardiens me font comprendre qu’il vaudrait mieux pour moi d’aller un peu plus vite.
Cette chaleur sur mon visage, je tourne sur moi-même pour apprécier au mieux cette sensation…
Cela fait au moins une heure que j’attends. Assise sur le capot de ma voiture, j’attends comme toujours. Depuis deux ans j’ai l’impression de ne faire que ça attendre. Cela fait deux années que je n’avais remis les pieds ici, pas devant ces portes. Souvent pris ma voiture dans l’intention de venir, mais jamais je n’ai réussi à faire la route. Comme si c’était infranchissable ! Je me sens si bête en ce moment. J’avais si peur d’arriver en retard que je suis parti de bonne heure ce matin, prétextant des papiers urgents à enregistrer, des personnes à remercier. Alors que j’avais déjà fais tout ceci. Ils le savaient tous mais ils m’avaient laissés faire. On aurait pu tous venir mais on était tous d’accord sur le fait que son retour serait difficile… de plus on ne sait pas dans quel état il se trouve, on ne sait même pas si la seule chose que je vais voir n’est pas une grande housse en plastique noire. Cette peur n’arrête pas de me tétaniser. J’ai fais les cent pas autour de la voiture mais depuis que je suis assise cette pensée m’obsède. Je n’arrive pas à la faire partir de mon esprit. On a passé la nuit dernière à polémiquer sur ce rendez-vous. On est tout tombé d’accord sur le fait qu’il était mieux pour nous tous que je vienne seule. Que je le ramènerai chez lui ce soir ou demain matin suivant son état. Pareil, on ne veut pas qu’il revienne en charpie. Il doit revenir chez lui, comme il en est parti… si pour cela il nous faut une journée de plus, on la prendra… on est plus à une journée. Si seulement il n’avait pas voulu s’évader, si seulement il ne s’était pas fait prendre… je me souviendrais toute ma vie de ce jour… jamais je n’avais autant voulu le tuer qu’avant ce jour ! J’étais revenu à Panama City. Deux mois qu’il était en prison, un mois d’angoisse… j’avais de nouveau l’autorisation de m’entretenir avec lui, avec la possibilité de pouvoir entamer une procédure devant un tribunal… j’étais excité comme une puce, tout semblait se dérouler au mieux. Son procès à Chicago était prévu pour dans 15 jours, la presse et la population étaient derrière lui, il avait sauvé son frère, sacrifié sa vie, son nom, sa dignité pour l’amour de son frère… tout le monde ne parler que de cela…j’arrivais à l’ambassade quand un dignitaire voulu me parler en privé. Je ne comprenais pas bien, ce qui se passait. D’habitude l’ambassadeur ne voyait inconvénient à s’entretenir avec moi. Mais là, l’ambiance semblait tendue. Je me rappellerai toute ma vie ces mots.
Flash-back :
H : Melle Mossé, on a une mauvaise nouvelle !
Lo : non, Mike ! il est…
H : non, rassurez-vous. Mais c’est peut-être pire dans un certain sens. Il a mis au point une évasion. Mais celle-ci a échouée
Lo : comment il va, il est blessé ?
H : on ne sait pas. Un homme qui était avec lui, un américain du nom de Mahone est mort dans la fusillade. On ne sait pas trop ce qui s’est passé.
Lo : faut que je le voit !
H : c’est impossible. Le gouvernement panaméen ne veut plus coopérer. Scofield représente un danger pour eux. Toutes les négociations sont rompues.
Lo : ce n’est pas possible. Qu’est-ce que je vais faire ?
H : il aurait mieux fallu qu’il y pense avant. Maintenant son sort dépend du gouvernement panaméen.
Lo (hurlant sa rage ) vous l’abandonnez, mais vous ne pouvez pas ! C’est inhumain !
H : mademoiselle, si vous voulez bien. Je dois vous laisser.
Fin Flash-back.
Je me suis battue depuis pour savoir si tu étais en vie, pour t’innocenter. J’ai du faire plus compliquer, plus tordu… j’ai du faire des concessions que je n’ai pas aimées mais pour toi je les ai faites. Moi le procureur de Chicago en train de verser des pots de vin au système judiciaire panaméen pour ouvrir ton dossier, pour t’offrir un procès. Tout ceci a été si chaotique, que je ne peux pas arriver à croire que cela va bien se passer. Cette boule d’angoisse n’arrête pas de m’oppresser. Je vois un gardien sortir d par la petite porte. Cette même porte que j’avais emprunter deux ans auparavant. Il se dirige vers moi. Je ne suis pas confiante mais va falloir faire semblant.
Gardien : mademoiselle, vous feriez mieux de partir ! Vous êtes devant une prison fédérale !
Lo : oui, Sona, je sais ! J’attends quelqu’un !
Gardien : vous êtes son avocate ?
Lo : sûrement ! Pourquoi ?
Gardien : vous n’en avez pas l’air ! Vous avez les papiers de sa libération ?
Lo : bien sur.
Je lui tends les papiers mais sans les lâcher. Jamais je ne serai aussi bête. La Panama m’a appris une chose, rester toujours sur ces gardes. Il essaye de me les prendre de mes mains, seulement il remarque bien vite à mon regard que je n’en ferai rien.
Gardien : bon tout est en règle. On vous amène Scofield. Cela prendra encore une bonne vingtaine de minutes.
Lo : pourquoi ? Vous l’avez perdu ?
Gardien : non, faut juste qu’on lui fasse une visite de contrôle. On ne voudrait pas qu’ils vous refilent une maladie.
Lo : trop aimable, mais un docteur l’attend donc…
Gardien : faut suivre les procédures !
Le voilà qui s’éloigne. J’entends encore son rire glauque me transpercer les oreilles. Cet endroit me glace le sang. Et puis, merde, je ne ressemble pas à une avocate ! ! Quel toupet, quoi je suis en jean, débardeur et en tong… il a vu la chaleur qu’il fait ici… le costume c’est pour le tribunal… et puis, je ne me voyais pas l’accueillir solennellement, je préfère être à l’aise et qu’il le soit ! !
alors
ENNEADE- Retrouve Steadman
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