les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
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ENNEADE
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
oui moi aussi j'ai envie d'une suite!!!!!!
Mais que cache Lorène à Michael et Lincoln
Et pourquoi Lincoln est si dur avec Sara???
Ta fic est vraiment super je suis préssée de lire la suite
Mais que cache Lorène à Michael et Lincoln
Et pourquoi Lincoln est si dur avec Sara???
Ta fic est vraiment super je suis préssée de lire la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Bon ben enfaite j'ai les meme questions que Sara60 alors je veux la suite
hayley- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Vivement la suite!!!!!
La situation est en train de se Dégrader!!!!!!!!
J'ai hate de voir comment va se derouler la suite!!!!!
La situation est en train de se Dégrader!!!!!!!!
J'ai hate de voir comment va se derouler la suite!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Localisation : Dans la cuisine.....sous le tablier de Went.....
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
une petite!!!
pensée Sara : bleu
pensée Lorène : vert
J’étais abasourdie. Lorène était rentrée dans une colère terrible quand Mickaël et Lincoln ont essayés de parler avec elle. C’est vrai que le ton de Lincoln est très protecteur mais il me semblait plus affectueux que persécuteur. Nous étions tous figés sur place. Elle apparaissait comme une jeune femme de grande classe. Toujours maîtresse de ces émotions, un brin farfelue, peut-être, mais pondérée, réfléchie. Je m’étais bien trompée, apparemment. Un volcan en éruption aurait mieux collé à ce que je venais de voir. En réalité, j’avais l’impression que sa carapace avait de frondes fissures et que devant ces deux hommes elle préférait être irascible… une chose est sûr, ils n’ont pas l’habitude de la voir ainsi, c’est une évidence.
Depuis que nous étions ici, Lincoln semblait plus distant avec moi. Il m’avait semblé qu’il s’était peut-être pas rapproché mais la distance entre nous avait rétrécis. On avait ris, plaisantés ensemble… mais dans cette maison, il semble plus réservé. Je présume que pour lui aussi la situation est délicate. Il semble porter un attachement profond à Lorène. L.J. m’a dit qu’ils se connaissaient depuis très longtemps. Je suppose que Linc à développer un sentiment fraternel envers elle. Et ma présence aux côtés de Mickaël doit lui paraître bouleversante.
P sur un ton perfide : Enfin quelqu’un qui arrive à dompter les frères Burrows/Scofield. Faut que je sois dans ces petits papiers !
J : Rassurez-vous Paul, vous êtes loin d’y être. Pour que cela arrive un jour, vous pouvez tout de suite commencer vos prières.
Lincoln et Mike se rassirent tous deux. Lincoln ne touchait plus son assiette tout comme son frère qui faisait bouger les aliments dans son assiette plus qu’il ne mangeait. Ils semblaient tous deux perdus, comme si le monde s’était arrêté de tourner. Un malaise profond était en train de s’installer. Personne ne savait que faire. L.J. et Jane se regardaient sans cesse. Ils échangeaient des regards inquiets, remplis d’incertitude.
J : Bon, si tout le monde à fini, je vais débarrasser.
S : Je vais vous aider.
J’empile les assiettes, ramasse les plats… ces petits gestes me font un bien énorme, des gestes ordinaires, mais qui font penser pendant quelques secondes que je ne suis pas cette fugitive…
Comme un volcan, Lincoln se dresse, passe les mains sur son crâne. Il balaye du regard la pièce pour voir si personne ne s’interpose.
L durement : Mike, sa chambre s’est toujours la même ?
M ébahi : Lorène? Je suppose !
L se tournant vers son fils : L.J. ?
LJ complètement décontenancé et tiraillé entre la volonté de son père et la protection de Lorène : Oui, mais laisse là, elle va se calmer toute seule.
L :T’as pas des devoirs ?
Jane se rapprochait de la table : et, on se calme, d’accord… Mais Lincoln était déjà en train de monter l’escalier.
Je suis enfin dans cette chambre. Seule, enfin. Ne plus supporter leurs regards sur moi. Il ne s’agit que d’une nuit, une seule nuit sous le même toit. Je sens que tous mes muscles se tétanisent, mes larmes ne cessent ce couler, si seulement je savais pourquoi ? Pourquoi maintenant ?
Une douche, voilà ce qui me fera du bien. Je laisse couler l’eau chaude sur mon dos complètement endolori. Mes muscles sont tendus à l’extrême… L’eau chaude me fait du bien, mais en n’y repensant un peut mieux un bain aurait pas été mal non plus ! L’eau ne cesse de couler se mêlant à mes larmes, les deux se confondent. Je ne sais plus si je pleurs encore, en réalité je veux juste oublier, tout oublier. Comment ai-je pu leur parler ainsi ! Jamais je n’aurai fais ceci, auparavant. Tant d’arrogance, de férocité, ceci ne me correspond pas. Ils sont toute ma vie, je les aime plus que tout. Je leur fais tellement de mal. Je sais qu’en parlant de cette manière à Lincoln, il se braquera. Il ne va pas aller au conflit, il va me laisser faire ma tête de cochon…
Bon, faut que je m’occupe un peu de ce dossier, sinon je vais encore me faire virer ! Merde où est la serviette, je pensais l’avoir posée sur le rebord…j’ai du passer un sacré bout de temps sous la douche, une buée épaisse englobe toute la salle de bain, je n’y vois rien…
L : C’est ça que tu cherches ?
peut-être la suite ce soir!
pensée Sara : bleu
pensée Lorène : vert
J’étais abasourdie. Lorène était rentrée dans une colère terrible quand Mickaël et Lincoln ont essayés de parler avec elle. C’est vrai que le ton de Lincoln est très protecteur mais il me semblait plus affectueux que persécuteur. Nous étions tous figés sur place. Elle apparaissait comme une jeune femme de grande classe. Toujours maîtresse de ces émotions, un brin farfelue, peut-être, mais pondérée, réfléchie. Je m’étais bien trompée, apparemment. Un volcan en éruption aurait mieux collé à ce que je venais de voir. En réalité, j’avais l’impression que sa carapace avait de frondes fissures et que devant ces deux hommes elle préférait être irascible… une chose est sûr, ils n’ont pas l’habitude de la voir ainsi, c’est une évidence.
Depuis que nous étions ici, Lincoln semblait plus distant avec moi. Il m’avait semblé qu’il s’était peut-être pas rapproché mais la distance entre nous avait rétrécis. On avait ris, plaisantés ensemble… mais dans cette maison, il semble plus réservé. Je présume que pour lui aussi la situation est délicate. Il semble porter un attachement profond à Lorène. L.J. m’a dit qu’ils se connaissaient depuis très longtemps. Je suppose que Linc à développer un sentiment fraternel envers elle. Et ma présence aux côtés de Mickaël doit lui paraître bouleversante.
P sur un ton perfide : Enfin quelqu’un qui arrive à dompter les frères Burrows/Scofield. Faut que je sois dans ces petits papiers !
J : Rassurez-vous Paul, vous êtes loin d’y être. Pour que cela arrive un jour, vous pouvez tout de suite commencer vos prières.
Lincoln et Mike se rassirent tous deux. Lincoln ne touchait plus son assiette tout comme son frère qui faisait bouger les aliments dans son assiette plus qu’il ne mangeait. Ils semblaient tous deux perdus, comme si le monde s’était arrêté de tourner. Un malaise profond était en train de s’installer. Personne ne savait que faire. L.J. et Jane se regardaient sans cesse. Ils échangeaient des regards inquiets, remplis d’incertitude.
J : Bon, si tout le monde à fini, je vais débarrasser.
S : Je vais vous aider.
J’empile les assiettes, ramasse les plats… ces petits gestes me font un bien énorme, des gestes ordinaires, mais qui font penser pendant quelques secondes que je ne suis pas cette fugitive…
Comme un volcan, Lincoln se dresse, passe les mains sur son crâne. Il balaye du regard la pièce pour voir si personne ne s’interpose.
L durement : Mike, sa chambre s’est toujours la même ?
M ébahi : Lorène? Je suppose !
L se tournant vers son fils : L.J. ?
LJ complètement décontenancé et tiraillé entre la volonté de son père et la protection de Lorène : Oui, mais laisse là, elle va se calmer toute seule.
L :T’as pas des devoirs ?
Jane se rapprochait de la table : et, on se calme, d’accord… Mais Lincoln était déjà en train de monter l’escalier.
Je suis enfin dans cette chambre. Seule, enfin. Ne plus supporter leurs regards sur moi. Il ne s’agit que d’une nuit, une seule nuit sous le même toit. Je sens que tous mes muscles se tétanisent, mes larmes ne cessent ce couler, si seulement je savais pourquoi ? Pourquoi maintenant ?
Une douche, voilà ce qui me fera du bien. Je laisse couler l’eau chaude sur mon dos complètement endolori. Mes muscles sont tendus à l’extrême… L’eau chaude me fait du bien, mais en n’y repensant un peut mieux un bain aurait pas été mal non plus ! L’eau ne cesse de couler se mêlant à mes larmes, les deux se confondent. Je ne sais plus si je pleurs encore, en réalité je veux juste oublier, tout oublier. Comment ai-je pu leur parler ainsi ! Jamais je n’aurai fais ceci, auparavant. Tant d’arrogance, de férocité, ceci ne me correspond pas. Ils sont toute ma vie, je les aime plus que tout. Je leur fais tellement de mal. Je sais qu’en parlant de cette manière à Lincoln, il se braquera. Il ne va pas aller au conflit, il va me laisser faire ma tête de cochon…
Bon, faut que je m’occupe un peu de ce dossier, sinon je vais encore me faire virer ! Merde où est la serviette, je pensais l’avoir posée sur le rebord…j’ai du passer un sacré bout de temps sous la douche, une buée épaisse englobe toute la salle de bain, je n’y vois rien…
L : C’est ça que tu cherches ?
peut-être la suite ce soir!
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
sublime suite
linc qui rentre comme une fleur en tenant la serviette de lorene !!! comme de rien etait , trop mignon !!!
j' ai hate de savoir ce que va repondre lorene , se retrouvant a walper devant linc !!!! ca promet c'est deux la !!!
j' attend avec baeucoups de hate et aussi impatiente de savoir la suite
met la vite s t p
linc qui rentre comme une fleur en tenant la serviette de lorene !!! comme de rien etait , trop mignon !!!
j' ai hate de savoir ce que va repondre lorene , se retrouvant a walper devant linc !!!! ca promet c'est deux la !!!
j' attend avec baeucoups de hate et aussi impatiente de savoir la suite
met la vite s t p
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
génial !! la suite stp!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Excellente suite!!!
Linc jouerait-il les voyeur???????
J'aimerais voir la réaction de lorène??
IMPATIENTE DE LIRE LA SUITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Linc jouerait-il les voyeur???????
J'aimerais voir la réaction de lorène??
IMPATIENTE DE LIRE LA SUITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
nestella- Rendez vous avec Pope
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Géniale, je veut une suite et vite
je suis intrigué des vrais relations entre Linc et Lorène
je suis intrigué des vrais relations entre Linc et Lorène
nol59- Déchiffre l'origami
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
moi aussi ça m'intrigue tous ça??!!!
vivement la suite
vivement la suite
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
désolé pour le retard...
Mais du coup elle est un peu plus longue... on se fait pardonner comme on peut...
Merci les filles pour les comms, ça motive vraiment...
pensée de Lorène
Lo : Linc, ...tournes toi ! putain mais…
L : j’ai besoin que tu allumes mes lumière !
Lo : ça ne te permets pas de rentrer dans ma salle de bains, et tournes toi au moins !
L : je t’attends de l’autre côté…
Je n'y crois pas, il ose rentrer alors que je sors à peine de ma douche. Mais depuis combien de temps est-il là ? Jamais je ne me suis sentie plus gênée. Comme si on s’était introduit au plus profond de ma tête, de mes pensées…J’espère juste que je n’aie pas pensé à voix haute. Je prends les premiers habits devant moi…je rassemble mes esprits…Linc, vient de moi voir nue, comme un vers. Plus jamais je n’oserai le regarder dans les yeux. Je n'y crois toujours pas, il s’est infiltré dans la pièce sans que je m’en rende compte, pas le moindre bruit. Si je ne connaissais pas mieux Linc je me poserai de sérieuses questions, 3 ans de prisons et me surprendre de cette façon ? Non, c’est Linc, même si cela fait 3 ans qu’il n’a pas vu une femme…non. J’assemble mes esprits. Cela fait au moins trois minutes qu’il m’attend. Je l’entends faire les cent pas dans ma chambre. Tout ce que j’ai pour m’habiller se résume à une chemise bien trop grande pour moi et un short de pyjama…super …
Lo : qu’est-ce qui peut être aussi urgent ?
Je suis face à lui. Droit dans les yeux. Je dois être pitoyable, les yeux rouges, les cheveux en l’air… je suis au comble du glamour!!
L : je ne te comprends pas !
Tu m’étonnes si je me comprenais moi-même, cela serait plus simple. Mais je dois vous éloigner. On va essayer d’écourter la discussion. Moi qui pensais qu’elle n’aurait pas lieu.
Lo : c’est le comble, c’est toi qui me mates sous la douche et tu ne me comprends pas ?
Et le voilà le grand Lincoln Burrows, rouge comme une tomate, les yeux malicieux. Devant moi comme avant. Ne pas s’attendrir sur le passé. Il a l’air surpris de ma remarque.
L : je ne t’ai pas matée !
Lo : tu n'avais pas les yeux fermés il me semble ?
L : bon, je suis rentré quand tu sortais. D’accord. Faut avouer que tu as pas mal changé, tout de même.
Non mais il se faut de moi, trois qu’il ne m’a pas vu. Il est assis sur le rebord de mon lit, il est calme. Je fais face à la fenêtre, pour mieux lui tourner le dos. Je sens que je ne tiendrais pas longtemps. Il a toujours était mon confident. Celui chez qui je me réfugiais aux moindres pépins. Mais j’ai appris à faire sans et maintenant il est bien trop tard. Je discerne son reflet dans la vitre. Je ne le lâche pas, je l’étudie. Faut qu’il perde et le plus vite sera le mieux.
Lo : je dois prendre çà pour un compliment ?
L : pourquoi es-tu aussi agressive ? Je plaisante, Je vois son visage se contracter. Il sourit. Tu crois quoi ? Je ne te veux aucun mal. Mais je ne te reconnais plus ? Tu te protèges de nous ?
Lo : Tu te donnes beaucoup trop d’importance, Linc. J’ai du boulot donc si c’est tout ce que tu as me dire…Tout va bien, Linc.
Il est juste derrière moi. Je sens sa chaleur. Il m’encercle de ses bras. Un passe autour de ma taille, l’autre devant mes épaules. Il est tellement proche. Je dois sortir de ses bras puissants, par tous les moyens.
L dans un murmure : c’est moi,ce bon vieux Lincoln. Tu peux tout me dire, tu le sais.
Lo : lâche-moi ! Je vais bien.
Je crie bien plus que de raison. Je sens mes yeux se mouiller. Non, je ne dois pas. J’enlève ses bras de mon corps, à contre cœur. Je réinstalle une distance de sécurité, pour moi, pour ma tête avant qu’elle n’explose et moi par la même occasion. Je ressens son incompréhension.
L : alors pourquoi t’es aussi tendue, tu es complètement crispée. Si tu veux que je m’en aille, je partirais mais je suis là.
Sa voix tremble, Linc ne me fais pas ça. Si tu te montres faible, comment faire ? Je fais un pas en arrière, vers toi en réalité. Tes bras tombants. J’ai besoin d’être près de toi, dans ses bras qui sont les seuls à me réconforter. Dans ce havre de paix.
Lo : pourquoi ?
Je pose ma tête contre ton torse, tu ré-enroules tes bras autour de moi, comme il y une minute. Seulement je sens que je me rends, si tu ne me tenais pas, je m’écroulerais au sol. Mes sanglots sont bloqués dans ma gorge. J’ai la sensation que si je m’abandonne à tout te dire, non ne dire que ce qu’il peut entendre. Je retrouve instantanément la protection de ses bras. Je me sens partir.
L : Laisse-toi aller un peu.
J’éclate littéralement. J’avais tellement besoin de me retrouver ici, protéger. Des sons émanent de ma bouche, mais rien de compréhensible, je le sais.
L : quoi ?
Lo : j’aurai voulu te voir ?
Je le sens lui aussi fondre sous le poids de mes paroles. C’était tellement simple et évident. Son absence m’avait meurtri, j’aurais tant voulu partager mes joies et mes peines avec lui. Il resserre son étreinte. Je perçois sa voix qui tremble.
L dans le creux de mon oreille : Lorène, je t’en ai déjà parlé. Cela t’aurai fait plus de mal qu’autre chose. Je voulais que tu me voies là-bas, t’entraîner dans le fond avec moi. J’avais besoin de savoir que tu suivais ta vie.
Lo : parce que ne pas te voir était une vie, Linc. Le jour de ton exécution, même ce jour là tu as refusé de me voir. Je suis quoi, je croyais compter un peu.
Mes larmes ne cessent de se répandre sur mon visage. Ma coquille éclate en mille morceaux. Je sens Linc si protecteur, il passe sa main dans mes cheveux. J’ai l’impression d’être une enfant.
L : Lorène, chut, allez tout va bien. Silence. Je ne voulais pas de faire de la peine. T’es la personne avec Mike qui compte le plus. C’est comme si tu faisais partie de moi. Je te connais depuis toujours. C’est moi qui venais te défendre quand on te tirait les couettes au jardin d’enfants. T’as pas oubliée ?
Et voilà, il n’a pas changé, maintenant il essaye de me faire rire. J’essaye tant bien que mal de sécher mes pleurs.
Lo : D’abord il y avait que Mike qui me tirait les cheveux et deuxièmement c’était pour attirer ton attention quand tu venais le chercher.
L : tu me surprendras toujours.
Je devine son sourire. Je discerne ses bras qui s’enlacent plus fort contre moi. Son visage enfoui dans le creux de mon épaule. J'ai l’étrange sensation que ses larmes se mêlent aux miennes. Comme si nous ne faisions plus qu’un !
L : Cela aurait été insupportable pour moi de te voir dans cet enfer. J’étais attaché, dans une cage… jamais je n’aurai pu affronter ces grands yeux dans ces conditions. Je devais tenir et pour cela fallait que je t’éloigne.
Lo : j’aurai pu t’aider, j’avais besoin de toi.
L : allez. Je suis là maintenant.
Je sais que tu ne vas pas aimer mais faut que tu parles avec Mickaël. Vous en avez besoin.
Lo : je peux pas.
L : je sais ce qui s’est passé et crois-moi que…allez calme-toi…eh eh qu’est-ce qu’il y a ? Je… Lorène parles moi, sinon je ne pourrais rien faire…tu as besoin de parler, je ne comprends rien moi. Tu n’as pas besoin de te préserver de nous, de moi.
Je veux m’éloigner de lui, de ses bras. A la seule évocation du nom du Mike, je sens une brèche s’ouvrir dans mon cœur. Faut que je me contienne.
Lo : Linc, s’il te plaît, crois-moi. Je n’ai rien contre toi.
L : tu crois tromper qui là ? Tu t'imagines que je ne vois pas que tu souffres ? Je suis là pour t’aider mais je ne peux rien faire si tu livres pas.
Lo : je te promets de faire un effort, mais laisse-moi un peu de temps, c’est la seule chose dont j’ai besoin.
L : du temps et de mouchoirs ?
Lo : dans mon sac
L : j’le vois
Son visage est sillonné par les larmes. Jamais je n’avais vu de Linc comme cela. Il se dirige vers mon sac, je le sens hésitant, sa main s’engouffre à l’intérieur. Non, faut pas qu’il tombe dessus, sinon il comprendra et là je ne serrais pas apte à lui fournir des explications. Mon âme est complètement disloquer.
Lo : fouille pas, laisse, je...
L : c’est bon, je peux encore...
Il brandit le sac devant lui, je vois son regard provocant refaire surface, il veut en faire un jeu. Mais non, si …il sait pertinemment que j’aurais beau sauter pour attraper mon sac, il sera trop haut, je le bouscule, on se chamaille…
L : tu caches des photos ? Alors c’est qui moi ou Mike ?
Lo : personne. Lâche, Linc je t’en supplie ! N’y touche pas !
Il agite cette photo, je me décompose. C’est yeux ne comprennent pas. Il ne saisit pas pourquoi, je suis tombé à ses pieds et que je l’implore de lâcher ce bout de papier. Il s’accroupit pour se mettre à ma hauteur, je suis complètement tétanisée, ankylosée… il est obligé de voir que je tremble de tout mon être. Il retourne ce petit bout de papier, pas plus grand qu’une photo. Ces yeux m’interrogent, il sait ce que cela veut dire.
L : je…c’est pas vrai. Pourquoi tu ne l’as pas dis ?
Lo : rend moi ça !
L : une échographie, Lorène.
Il ne cesse de me fixer, je perçois ses yeux se plisser tellement il semble content pour moi, il n’arrête pas de regarder cette photo et mon ventre, mon visage…plus il me regarde et plus j’ai l’impression de m’enfoncer dans le sol. Un sentiment que j’ai voulu tant de fois refouler et qui surgit maintenant comme une bombe, que je ne peux pas contrôler.
Lo : s’il te plaît, Linc.
L : c’est qui le père ? ouha ça ne se voit pas encore ? Il fixe l’image, oui c’est bien ton nom, mais…elle date de 6mois environ. Lorène…
Son visage s’est assombrit, je comprends à cet instant que je ne pourrai pas lui mentir pas à lui, mon confident, le meilleur ami que je n’ai jamais eut, mon frère de cœur… je me jette littéralement dans ces bras qui me font face, je sens ses larmes couler de nouveau, je fonds littéralement sur lui…
Lo : je l’ai perdu, Linc…mon bébé…
Il me sert comme jamais auparavant. Il comprend toute la douleur qui est en moi sans que j’aie besoin de lui expliquer. Il ne dit rien, j’entends qu’il à du mal à déglutir, ses larmes qui tombent sur mes joues. Des sons plus que des mots sortent de ma bouche.
L : je suis là, ma princesse…
Ma princesse cela fait une éternité que personne ne m’a appelée ainsi. Il m’avait donné ce surnom, toute petite. Lui seul m’interpelle de la sorte. Je m’abandonne complètement dans ses bras, je suis à la limite de l’inconscience. Je n’ai aucune idée de combien de temps on est resté là ainsi, assis par terre, recroquevillé dans ses bras. Je m’éveille peu à peu, il me dépose des baiser sur les cheveux, je relève ma tête, ses yeux sont littéralement congestionnés.
L : il n’est pas au courant ?
Lo : non. Silence. Je l’ai appris le jour où il m’a quitter.
Les mots ont du mal à sortir, comme si à chaque fois c’étaient des bouts de vers qui sortaient de ma gorge. Tous ce que je dis est morcelé par mes sanglots. Linc s’efforce de paraître le roc qu’il prétend mais ces yeux le trahissent.
Lo : si L.J. n’avait pas été là, je sais pas…
L : arrêtes un peu…me relevant la tête. L.J. et Jane sont au courant ?
Lo : par la force des choses, quand L.J. était chez Véro il m’a vu assez souvent et c’était assez flagrant…
L : si j’avais su, je m’en veux tellement…
Lo : tu ne pouvais rien.
L : j’ai gâché la vie de mon frère, de mon fils, la tienne, Véro est morte, mon père aussi
Lo : Linc, tu n’as rien à voir là dedans.
L : si j’avais été en prison, Mike et toi seraient toujours ensemble et avec un enfant…
Lo : ce n’est pas ainsi. Fais-moi une promesse, ne lui en parle pas ?
L : je ne sais pas. C’est tellement important.
Lo : c’est bien pour ça. Je lui en parlerai, je te le promets, mais quand toute cette histoire sera finie.
Lo : Serre-moi dans tes bras, je me sens si vide…
L : çà fait, euh c’est arrivé quand ?
Lo : un peu après que L.J. vienne à la maison.
L : désolé, je ne voulais pas…je le comprends mieux maintenant.
Lo : il est formidable, il te ressemble beaucoup. Il est resté avec moi à l’hôpital, il ne voulait pas me laisser seule un instant. Et depuis, il est au petit soin, il est vraiment très protecteur. Il est la seule chose que fait que je me lève tous les matins.
La porte s’entrouvre et nous sort du cocon que nous nous étions formés. Je vois la tête de L.J. dépasser.
L dans un murmure : entre
L.J. : tout va bien ?
Lo : oui
L.J. : alors, je monte faire mes devoirs.
Il n’est même pas rentré. Comme s’il se sentait trop ! J’essaye de me ressaisir. Je me décroche à contrecœur de Linc, essaye de remettre mes cheveux en ordre.
L : c’est pas une chemise de Mike ?
Lo : qu’est-ce que tu veux ! Il l’a oublié.
L : je descends. Repose-toi un peu, d’accord.
Il me dépose un baiser sur le front. Pars sans se retourner. Je me retrouve seule, avec mes démons. Ne pas me confier à Linc, voilà ce qui m’a ronger pendant ces trois dernières années.
Mais du coup elle est un peu plus longue... on se fait pardonner comme on peut...
Merci les filles pour les comms, ça motive vraiment...
pensée de Lorène
Lo : Linc, ...tournes toi ! putain mais…
L : j’ai besoin que tu allumes mes lumière !
Lo : ça ne te permets pas de rentrer dans ma salle de bains, et tournes toi au moins !
L : je t’attends de l’autre côté…
Je n'y crois pas, il ose rentrer alors que je sors à peine de ma douche. Mais depuis combien de temps est-il là ? Jamais je ne me suis sentie plus gênée. Comme si on s’était introduit au plus profond de ma tête, de mes pensées…J’espère juste que je n’aie pas pensé à voix haute. Je prends les premiers habits devant moi…je rassemble mes esprits…Linc, vient de moi voir nue, comme un vers. Plus jamais je n’oserai le regarder dans les yeux. Je n'y crois toujours pas, il s’est infiltré dans la pièce sans que je m’en rende compte, pas le moindre bruit. Si je ne connaissais pas mieux Linc je me poserai de sérieuses questions, 3 ans de prisons et me surprendre de cette façon ? Non, c’est Linc, même si cela fait 3 ans qu’il n’a pas vu une femme…non. J’assemble mes esprits. Cela fait au moins trois minutes qu’il m’attend. Je l’entends faire les cent pas dans ma chambre. Tout ce que j’ai pour m’habiller se résume à une chemise bien trop grande pour moi et un short de pyjama…super …
Lo : qu’est-ce qui peut être aussi urgent ?
Je suis face à lui. Droit dans les yeux. Je dois être pitoyable, les yeux rouges, les cheveux en l’air… je suis au comble du glamour!!
L : je ne te comprends pas !
Tu m’étonnes si je me comprenais moi-même, cela serait plus simple. Mais je dois vous éloigner. On va essayer d’écourter la discussion. Moi qui pensais qu’elle n’aurait pas lieu.
Lo : c’est le comble, c’est toi qui me mates sous la douche et tu ne me comprends pas ?
Et le voilà le grand Lincoln Burrows, rouge comme une tomate, les yeux malicieux. Devant moi comme avant. Ne pas s’attendrir sur le passé. Il a l’air surpris de ma remarque.
L : je ne t’ai pas matée !
Lo : tu n'avais pas les yeux fermés il me semble ?
L : bon, je suis rentré quand tu sortais. D’accord. Faut avouer que tu as pas mal changé, tout de même.
Non mais il se faut de moi, trois qu’il ne m’a pas vu. Il est assis sur le rebord de mon lit, il est calme. Je fais face à la fenêtre, pour mieux lui tourner le dos. Je sens que je ne tiendrais pas longtemps. Il a toujours était mon confident. Celui chez qui je me réfugiais aux moindres pépins. Mais j’ai appris à faire sans et maintenant il est bien trop tard. Je discerne son reflet dans la vitre. Je ne le lâche pas, je l’étudie. Faut qu’il perde et le plus vite sera le mieux.
Lo : je dois prendre çà pour un compliment ?
L : pourquoi es-tu aussi agressive ? Je plaisante, Je vois son visage se contracter. Il sourit. Tu crois quoi ? Je ne te veux aucun mal. Mais je ne te reconnais plus ? Tu te protèges de nous ?
Lo : Tu te donnes beaucoup trop d’importance, Linc. J’ai du boulot donc si c’est tout ce que tu as me dire…Tout va bien, Linc.
Il est juste derrière moi. Je sens sa chaleur. Il m’encercle de ses bras. Un passe autour de ma taille, l’autre devant mes épaules. Il est tellement proche. Je dois sortir de ses bras puissants, par tous les moyens.
L dans un murmure : c’est moi,ce bon vieux Lincoln. Tu peux tout me dire, tu le sais.
Lo : lâche-moi ! Je vais bien.
Je crie bien plus que de raison. Je sens mes yeux se mouiller. Non, je ne dois pas. J’enlève ses bras de mon corps, à contre cœur. Je réinstalle une distance de sécurité, pour moi, pour ma tête avant qu’elle n’explose et moi par la même occasion. Je ressens son incompréhension.
L : alors pourquoi t’es aussi tendue, tu es complètement crispée. Si tu veux que je m’en aille, je partirais mais je suis là.
Sa voix tremble, Linc ne me fais pas ça. Si tu te montres faible, comment faire ? Je fais un pas en arrière, vers toi en réalité. Tes bras tombants. J’ai besoin d’être près de toi, dans ses bras qui sont les seuls à me réconforter. Dans ce havre de paix.
Lo : pourquoi ?
Je pose ma tête contre ton torse, tu ré-enroules tes bras autour de moi, comme il y une minute. Seulement je sens que je me rends, si tu ne me tenais pas, je m’écroulerais au sol. Mes sanglots sont bloqués dans ma gorge. J’ai la sensation que si je m’abandonne à tout te dire, non ne dire que ce qu’il peut entendre. Je retrouve instantanément la protection de ses bras. Je me sens partir.
L : Laisse-toi aller un peu.
J’éclate littéralement. J’avais tellement besoin de me retrouver ici, protéger. Des sons émanent de ma bouche, mais rien de compréhensible, je le sais.
L : quoi ?
Lo : j’aurai voulu te voir ?
Je le sens lui aussi fondre sous le poids de mes paroles. C’était tellement simple et évident. Son absence m’avait meurtri, j’aurais tant voulu partager mes joies et mes peines avec lui. Il resserre son étreinte. Je perçois sa voix qui tremble.
L dans le creux de mon oreille : Lorène, je t’en ai déjà parlé. Cela t’aurai fait plus de mal qu’autre chose. Je voulais que tu me voies là-bas, t’entraîner dans le fond avec moi. J’avais besoin de savoir que tu suivais ta vie.
Lo : parce que ne pas te voir était une vie, Linc. Le jour de ton exécution, même ce jour là tu as refusé de me voir. Je suis quoi, je croyais compter un peu.
Mes larmes ne cessent de se répandre sur mon visage. Ma coquille éclate en mille morceaux. Je sens Linc si protecteur, il passe sa main dans mes cheveux. J’ai l’impression d’être une enfant.
L : Lorène, chut, allez tout va bien. Silence. Je ne voulais pas de faire de la peine. T’es la personne avec Mike qui compte le plus. C’est comme si tu faisais partie de moi. Je te connais depuis toujours. C’est moi qui venais te défendre quand on te tirait les couettes au jardin d’enfants. T’as pas oubliée ?
Et voilà, il n’a pas changé, maintenant il essaye de me faire rire. J’essaye tant bien que mal de sécher mes pleurs.
Lo : D’abord il y avait que Mike qui me tirait les cheveux et deuxièmement c’était pour attirer ton attention quand tu venais le chercher.
L : tu me surprendras toujours.
Je devine son sourire. Je discerne ses bras qui s’enlacent plus fort contre moi. Son visage enfoui dans le creux de mon épaule. J'ai l’étrange sensation que ses larmes se mêlent aux miennes. Comme si nous ne faisions plus qu’un !
L : Cela aurait été insupportable pour moi de te voir dans cet enfer. J’étais attaché, dans une cage… jamais je n’aurai pu affronter ces grands yeux dans ces conditions. Je devais tenir et pour cela fallait que je t’éloigne.
Lo : j’aurai pu t’aider, j’avais besoin de toi.
L : allez. Je suis là maintenant.
Je sais que tu ne vas pas aimer mais faut que tu parles avec Mickaël. Vous en avez besoin.
Lo : je peux pas.
L : je sais ce qui s’est passé et crois-moi que…allez calme-toi…eh eh qu’est-ce qu’il y a ? Je… Lorène parles moi, sinon je ne pourrais rien faire…tu as besoin de parler, je ne comprends rien moi. Tu n’as pas besoin de te préserver de nous, de moi.
Je veux m’éloigner de lui, de ses bras. A la seule évocation du nom du Mike, je sens une brèche s’ouvrir dans mon cœur. Faut que je me contienne.
Lo : Linc, s’il te plaît, crois-moi. Je n’ai rien contre toi.
L : tu crois tromper qui là ? Tu t'imagines que je ne vois pas que tu souffres ? Je suis là pour t’aider mais je ne peux rien faire si tu livres pas.
Lo : je te promets de faire un effort, mais laisse-moi un peu de temps, c’est la seule chose dont j’ai besoin.
L : du temps et de mouchoirs ?
Lo : dans mon sac
L : j’le vois
Son visage est sillonné par les larmes. Jamais je n’avais vu de Linc comme cela. Il se dirige vers mon sac, je le sens hésitant, sa main s’engouffre à l’intérieur. Non, faut pas qu’il tombe dessus, sinon il comprendra et là je ne serrais pas apte à lui fournir des explications. Mon âme est complètement disloquer.
Lo : fouille pas, laisse, je...
L : c’est bon, je peux encore...
Il brandit le sac devant lui, je vois son regard provocant refaire surface, il veut en faire un jeu. Mais non, si …il sait pertinemment que j’aurais beau sauter pour attraper mon sac, il sera trop haut, je le bouscule, on se chamaille…
L : tu caches des photos ? Alors c’est qui moi ou Mike ?
Lo : personne. Lâche, Linc je t’en supplie ! N’y touche pas !
Il agite cette photo, je me décompose. C’est yeux ne comprennent pas. Il ne saisit pas pourquoi, je suis tombé à ses pieds et que je l’implore de lâcher ce bout de papier. Il s’accroupit pour se mettre à ma hauteur, je suis complètement tétanisée, ankylosée… il est obligé de voir que je tremble de tout mon être. Il retourne ce petit bout de papier, pas plus grand qu’une photo. Ces yeux m’interrogent, il sait ce que cela veut dire.
L : je…c’est pas vrai. Pourquoi tu ne l’as pas dis ?
Lo : rend moi ça !
L : une échographie, Lorène.
Il ne cesse de me fixer, je perçois ses yeux se plisser tellement il semble content pour moi, il n’arrête pas de regarder cette photo et mon ventre, mon visage…plus il me regarde et plus j’ai l’impression de m’enfoncer dans le sol. Un sentiment que j’ai voulu tant de fois refouler et qui surgit maintenant comme une bombe, que je ne peux pas contrôler.
Lo : s’il te plaît, Linc.
L : c’est qui le père ? ouha ça ne se voit pas encore ? Il fixe l’image, oui c’est bien ton nom, mais…elle date de 6mois environ. Lorène…
Son visage s’est assombrit, je comprends à cet instant que je ne pourrai pas lui mentir pas à lui, mon confident, le meilleur ami que je n’ai jamais eut, mon frère de cœur… je me jette littéralement dans ces bras qui me font face, je sens ses larmes couler de nouveau, je fonds littéralement sur lui…
Lo : je l’ai perdu, Linc…mon bébé…
Il me sert comme jamais auparavant. Il comprend toute la douleur qui est en moi sans que j’aie besoin de lui expliquer. Il ne dit rien, j’entends qu’il à du mal à déglutir, ses larmes qui tombent sur mes joues. Des sons plus que des mots sortent de ma bouche.
L : je suis là, ma princesse…
Ma princesse cela fait une éternité que personne ne m’a appelée ainsi. Il m’avait donné ce surnom, toute petite. Lui seul m’interpelle de la sorte. Je m’abandonne complètement dans ses bras, je suis à la limite de l’inconscience. Je n’ai aucune idée de combien de temps on est resté là ainsi, assis par terre, recroquevillé dans ses bras. Je m’éveille peu à peu, il me dépose des baiser sur les cheveux, je relève ma tête, ses yeux sont littéralement congestionnés.
L : il n’est pas au courant ?
Lo : non. Silence. Je l’ai appris le jour où il m’a quitter.
Les mots ont du mal à sortir, comme si à chaque fois c’étaient des bouts de vers qui sortaient de ma gorge. Tous ce que je dis est morcelé par mes sanglots. Linc s’efforce de paraître le roc qu’il prétend mais ces yeux le trahissent.
Lo : si L.J. n’avait pas été là, je sais pas…
L : arrêtes un peu…me relevant la tête. L.J. et Jane sont au courant ?
Lo : par la force des choses, quand L.J. était chez Véro il m’a vu assez souvent et c’était assez flagrant…
L : si j’avais su, je m’en veux tellement…
Lo : tu ne pouvais rien.
L : j’ai gâché la vie de mon frère, de mon fils, la tienne, Véro est morte, mon père aussi
Lo : Linc, tu n’as rien à voir là dedans.
L : si j’avais été en prison, Mike et toi seraient toujours ensemble et avec un enfant…
Lo : ce n’est pas ainsi. Fais-moi une promesse, ne lui en parle pas ?
L : je ne sais pas. C’est tellement important.
Lo : c’est bien pour ça. Je lui en parlerai, je te le promets, mais quand toute cette histoire sera finie.
Lo : Serre-moi dans tes bras, je me sens si vide…
L : çà fait, euh c’est arrivé quand ?
Lo : un peu après que L.J. vienne à la maison.
L : désolé, je ne voulais pas…je le comprends mieux maintenant.
Lo : il est formidable, il te ressemble beaucoup. Il est resté avec moi à l’hôpital, il ne voulait pas me laisser seule un instant. Et depuis, il est au petit soin, il est vraiment très protecteur. Il est la seule chose que fait que je me lève tous les matins.
La porte s’entrouvre et nous sort du cocon que nous nous étions formés. Je vois la tête de L.J. dépasser.
L dans un murmure : entre
L.J. : tout va bien ?
Lo : oui
L.J. : alors, je monte faire mes devoirs.
Il n’est même pas rentré. Comme s’il se sentait trop ! J’essaye de me ressaisir. Je me décroche à contrecœur de Linc, essaye de remettre mes cheveux en ordre.
L : c’est pas une chemise de Mike ?
Lo : qu’est-ce que tu veux ! Il l’a oublié.
L : je descends. Repose-toi un peu, d’accord.
Il me dépose un baiser sur le front. Pars sans se retourner. Je me retrouve seule, avec mes démons. Ne pas me confier à Linc, voilà ce qui m’a ronger pendant ces trois dernières années.
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
Olalala je viens de lire ta fic dune traite je suis en manque tout le monde le sais lol mais olalalala jai deux choses a te dire BRAVO et une suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! stipi!!!!!merki alalalalalala LInc trop azrbies de le voir comme ça mais tellement bien!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
la suite stp !!
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
GENIAL !!!!Trop belle la scène Lorène-Lincoln !! A quand la suite ???
Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
genial ; magnifique
super scene avec linc et lorene
hate et impatiente de lire la suite:yaou: ,
met la suite vite s t p
super scene avec linc et lorene
hate et impatiente de lire la suite:yaou: ,
met la suite vite s t p
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
on continue...
pensée Mickaël : bleu
Sinon c'est Sara
Cela fait au moins une heure que Lincoln est monté. Aucun sons, aucun cris ne nous sont parvenus. Je suppose que l’insonorisation des pièces est excellente. Vu comme Lincoln avait l’air remonté je pense que le clash fut violent entre eux deux. Elle n’a pas du se laisser faire. J’ai eut le temps de prendre une douche, de me changer. Cela m’a fait un bien fou.
En passant dans le couloir qui mène aux chambres, je ne me suis pas attardé. Je n’avais pas envie, je crois t’entendre leurs explications. Cette douche j’en avais rêver… mon dieu cela faisait au moins trois jours. Jane m’avait préparé des vêtements sur mon lit. Je pense qu’en réalité ils sont à Lorène, Jane étant plus grande que moi. Ils sont parfaits, un débardeur, un jean…royal. Une veste en laine au cas où, elle pense à tout.
Je les rejoins au salon, Jane, Paul et Mickaël discutent. Ils élaborent des plans, de toute façon ils ne savent faire que cela…Vu les tensions qui règnent dans cette maison autant faire dans le tact et la douceur, même envers Paul.
S : vous aviez raison Paul, cela fait vraiment du bien.
P : heureux de vous l’entendre dire.
J : je suis contente que les vêtements vous aillent.
S : merci, c’est exactement ma taille… et ils sont supers confortables. Vous êtes une vraie mère !
J : Pourquoi ? Je vois, vous les avez trouvés sur votre lit ?
S : oui, ce n’est pas vous ?
J avec un petit sourire : j’ai bien peur que non, faudra remercier Lorène !
S : je n’y manquerais pas.
Je sens Mickaël qui se rapproche de moi, ses mains retrouvent les miennes. Nos doigts s’entrelacent. Je succombe devant son charme destructeur. Je ne veux pas me cacher, mais la situation me dicte la plus grande prudence. Ne pas dépasser les limites. J’ai besoin d’êtres auprès de lui. Il passe son bras autour de mes épaules, pour mieux m’approcher de lui. Je laisse ma tête négligemment tombée au creux de son épaule. Je me sens protégé, à l’abri. je devine la tête de Mickaël pivoter sur le côté. Lincoln apparaît, la tête ravagée, il ne cesse de passer ses mains sur la figure.
M : Linc, tout va bien ?
L sortant à peine de son mutisme : je sors prendre l’air.
J déjà debout : je vous accompagne, personne dehors sans surveillance après 21h, ce sont les ordres.
L : si ce sont les ordres et tant que je ne suis pas obligé de répondre à vos questions.
On reste ainsi un bon moment, à ne rien dire. Paul est complètement absorbé dans un bouquin sur la résistance française… mais dans ses lectures, il est morbide…
Mickaël et moi, restons immobiles à contempler les flammes de la cheminée, je perçois de furtifs mais néanmoins doux baisers se déposer régulièrement dans mes cheveux.
Cette osmose totale, n’est rompu que par des bruits de pas émanant de cet immense escalier en bois. Je tourne la tête et entrevois Lorène. La discussion avec Linc, si on peut dénommer cela ainsi, à l’air d’avoir rude. Son visage porte encore de nombreux stigmates de leur lutte morale, ces yeux sont bouffis, injectés de sang…
Je me détache de Mickaël, pour la rejoindre dans la cuisine. Je n’ai pas envie de la laisser seule. Une force étrange me signale que cette femme est loin d’être mon ennemie. Bien au contraire. mais comment engager la cnversation.
S : je voulais vous remercier pour les vêtements.
Lo : de rien, mais faites-moi plaisir, pas de vouvoiement entre nous. D’accord ?
S : d’accord. Vous, tu vas bien ? Linc est dehors avec Jane, si tu veux lui parler ?
Lo : non, tout va bien. Avec Jane…pourvu qu’il ne la frappe pas encore ?
S : je..
Lo les yeux rieurs : il n'a pas du s’en vanter, mais lors de leur première rencontre il lui a mis une sacrée droite et il lui à ouvert la lèvre. Autant te dire qu’entre eux deux c’est explosif.
S : tu m’en apprends. J’ai fait du café, je t’en sers.
Lo : oui, merci. Il y en a pour Paul ?
S : oui, pourquoi ?
Lo à voix basse : je pensais faire faire une grasse matinée à ce cher monsieur, mais vaut mieux que se soit toi qui dose. Si c’est moi il risque de ne pas se réveiller.
Elle me sort un flacon de médicaments. Un somnifère puissant. Son regard en dit long, elle n’est pas prête à courir de risque et à laisser cet homme sans surveillance. Celle de Morphée semble la plus sûr en effet.
S : je ne suis pas sur d’avoir envie qu’il se réveille !
Lo avec un petit sourire : tu es médecin, non. ?
S : fais voir. Mépronizine. Bon cela devrait aller.
Je verse plusieurs goutte dans sa tasse, on sera tranquille jusqu’à demain matin. Je remue son café pour être sur qu’il n’y ait aucun goût. Je me rapproche de lui.
Lo : tenez Paul, buvez-le temps qu’il est chaud !
P : merci.
Linc et Jane rentrent, ils semblent tous deux préoccupés. Mickaël est complètement spectateur, il ne veut pas brusquer Lorène même s’il meurt d’envie de lui parler, je le sens. Il ne cesse de la fixer, en effet, elle semble absolument en vrac. Elle a le visage rouge, limite bouffie. Ses yeux ressemble à ceux de Droppy. Ses cheveux sont tasser en chignon déstructuré…une chemise d’homme sur le dos, un short… elle semble à l’aise, en réalité…comme si une partie de sa carapace était tombée. Jane comme à son habitude prend son air de bout en train…
J : ah Lorène, on se la fait cette soirée vidéo ! Ce n’est pas parce que ces messieurs sont là qu’ils vont nous distraire de nos petits rituels. En prenant Lorène par les épaules.
Lo : je…
J : allez ne te fais pas prier, Sara a déjà accepter…
Lo : bon, d’accord.
Jane se dirige dans la cuisine : alors le pop-corn, de la glace et une vidéo…
Lorène regarde amusé Jane sortir ce qu’elle avait déjà tous préparée. Ses yeux pétillent, un sourire grandissant apparaît sur son visage.
Lo : qu’est-ce que tu nous as dégotés… encore un film à l’eau de rose !
J : vous allez m’en dire des nouvelles, il est super… et en plus il y a de quoi se rincer l’œil les filles ! ! La couleur du mensonge, alors ! !
S perplexe : connaît pas !
Lo : moi non plus, j’ai peur ! !
On monte toutes les trois, laissant les garçons affalés dans le canapé. Je lance un regard vers Mickaël, il me sourit et me fait un bisou lointain, certes mais qui réchauffe mon cœur… dans le fond c’est très bien comme cela, je me doute que Mickaël va vouloir avoir des détails sur la conversation le Lincoln et Lorène et je ne suis pas sur qu’ils se confieront si je suis là. Et une soirée entre filles, autant dire que cela fait une éternité que je n’en aie pas fait, la dernière, cela remonte… tellement loin…que je ne m’en souviens même pas…
On croise L.J. dans l’escalier, ses bouquins sous le bras.
LJ : je vais travailler en bas.
Lo avec un large sourire, regardant les livres qu’il tenait : des maths à faire ?
LJ : non… résigné. bon d’accord, oncle Mike pourra m’expliquer au moins…
Lo : expliquer…vas-y !
LJ dépose une fugace bise sur la joue de Lorène. Ils semblent si proches, on pourrait croire que rien ne peut les ébranler, ils feront toujours face à l’adversité, l’un à côté de l’autre. Je me demande si L.J. n’a pas transférer l’affection maternelle vers Lorène.
Jane et moi allons nous mettre à l’aise dans des habits plus amples…on rejoint Lorène dans sa chambre, on s’étale toutes les trois sur son lit…La vidéo commence…Jane avait raison, le plaisir des yeux est satisfait.
Je laisse Sara partir. Partir, elle ne monte que d’un étage. Je suis persuadé que ce semblant de normalité lui fait un bien fou. Je redoute un peu qu’elle discute avec Lorène mais j’ai confiance en elle. Elle m’en veut à moi et non à Sara. Je la sais assez intelligente pour qu’elle fasse la part des choses. Paul est en train de tomber littéralement de fatigue dans son livre. Je crois qu’il vaut mieux ne pas boire son café. Elles sont redoutables. Il s’éclipse du salon, sans rien dire. Lincoln est absorbé. L.J arrive et veut que je l’aide pour ses maths…une belle feinte.
alors???? on continue
pensée Mickaël : bleu
Sinon c'est Sara
Cela fait au moins une heure que Lincoln est monté. Aucun sons, aucun cris ne nous sont parvenus. Je suppose que l’insonorisation des pièces est excellente. Vu comme Lincoln avait l’air remonté je pense que le clash fut violent entre eux deux. Elle n’a pas du se laisser faire. J’ai eut le temps de prendre une douche, de me changer. Cela m’a fait un bien fou.
En passant dans le couloir qui mène aux chambres, je ne me suis pas attardé. Je n’avais pas envie, je crois t’entendre leurs explications. Cette douche j’en avais rêver… mon dieu cela faisait au moins trois jours. Jane m’avait préparé des vêtements sur mon lit. Je pense qu’en réalité ils sont à Lorène, Jane étant plus grande que moi. Ils sont parfaits, un débardeur, un jean…royal. Une veste en laine au cas où, elle pense à tout.
Je les rejoins au salon, Jane, Paul et Mickaël discutent. Ils élaborent des plans, de toute façon ils ne savent faire que cela…Vu les tensions qui règnent dans cette maison autant faire dans le tact et la douceur, même envers Paul.
S : vous aviez raison Paul, cela fait vraiment du bien.
P : heureux de vous l’entendre dire.
J : je suis contente que les vêtements vous aillent.
S : merci, c’est exactement ma taille… et ils sont supers confortables. Vous êtes une vraie mère !
J : Pourquoi ? Je vois, vous les avez trouvés sur votre lit ?
S : oui, ce n’est pas vous ?
J avec un petit sourire : j’ai bien peur que non, faudra remercier Lorène !
S : je n’y manquerais pas.
Je sens Mickaël qui se rapproche de moi, ses mains retrouvent les miennes. Nos doigts s’entrelacent. Je succombe devant son charme destructeur. Je ne veux pas me cacher, mais la situation me dicte la plus grande prudence. Ne pas dépasser les limites. J’ai besoin d’êtres auprès de lui. Il passe son bras autour de mes épaules, pour mieux m’approcher de lui. Je laisse ma tête négligemment tombée au creux de son épaule. Je me sens protégé, à l’abri. je devine la tête de Mickaël pivoter sur le côté. Lincoln apparaît, la tête ravagée, il ne cesse de passer ses mains sur la figure.
M : Linc, tout va bien ?
L sortant à peine de son mutisme : je sors prendre l’air.
J déjà debout : je vous accompagne, personne dehors sans surveillance après 21h, ce sont les ordres.
L : si ce sont les ordres et tant que je ne suis pas obligé de répondre à vos questions.
On reste ainsi un bon moment, à ne rien dire. Paul est complètement absorbé dans un bouquin sur la résistance française… mais dans ses lectures, il est morbide…
Mickaël et moi, restons immobiles à contempler les flammes de la cheminée, je perçois de furtifs mais néanmoins doux baisers se déposer régulièrement dans mes cheveux.
Cette osmose totale, n’est rompu que par des bruits de pas émanant de cet immense escalier en bois. Je tourne la tête et entrevois Lorène. La discussion avec Linc, si on peut dénommer cela ainsi, à l’air d’avoir rude. Son visage porte encore de nombreux stigmates de leur lutte morale, ces yeux sont bouffis, injectés de sang…
Je me détache de Mickaël, pour la rejoindre dans la cuisine. Je n’ai pas envie de la laisser seule. Une force étrange me signale que cette femme est loin d’être mon ennemie. Bien au contraire. mais comment engager la cnversation.
S : je voulais vous remercier pour les vêtements.
Lo : de rien, mais faites-moi plaisir, pas de vouvoiement entre nous. D’accord ?
S : d’accord. Vous, tu vas bien ? Linc est dehors avec Jane, si tu veux lui parler ?
Lo : non, tout va bien. Avec Jane…pourvu qu’il ne la frappe pas encore ?
S : je..
Lo les yeux rieurs : il n'a pas du s’en vanter, mais lors de leur première rencontre il lui a mis une sacrée droite et il lui à ouvert la lèvre. Autant te dire qu’entre eux deux c’est explosif.
S : tu m’en apprends. J’ai fait du café, je t’en sers.
Lo : oui, merci. Il y en a pour Paul ?
S : oui, pourquoi ?
Lo à voix basse : je pensais faire faire une grasse matinée à ce cher monsieur, mais vaut mieux que se soit toi qui dose. Si c’est moi il risque de ne pas se réveiller.
Elle me sort un flacon de médicaments. Un somnifère puissant. Son regard en dit long, elle n’est pas prête à courir de risque et à laisser cet homme sans surveillance. Celle de Morphée semble la plus sûr en effet.
S : je ne suis pas sur d’avoir envie qu’il se réveille !
Lo avec un petit sourire : tu es médecin, non. ?
S : fais voir. Mépronizine. Bon cela devrait aller.
Je verse plusieurs goutte dans sa tasse, on sera tranquille jusqu’à demain matin. Je remue son café pour être sur qu’il n’y ait aucun goût. Je me rapproche de lui.
Lo : tenez Paul, buvez-le temps qu’il est chaud !
P : merci.
Linc et Jane rentrent, ils semblent tous deux préoccupés. Mickaël est complètement spectateur, il ne veut pas brusquer Lorène même s’il meurt d’envie de lui parler, je le sens. Il ne cesse de la fixer, en effet, elle semble absolument en vrac. Elle a le visage rouge, limite bouffie. Ses yeux ressemble à ceux de Droppy. Ses cheveux sont tasser en chignon déstructuré…une chemise d’homme sur le dos, un short… elle semble à l’aise, en réalité…comme si une partie de sa carapace était tombée. Jane comme à son habitude prend son air de bout en train…
J : ah Lorène, on se la fait cette soirée vidéo ! Ce n’est pas parce que ces messieurs sont là qu’ils vont nous distraire de nos petits rituels. En prenant Lorène par les épaules.
Lo : je…
J : allez ne te fais pas prier, Sara a déjà accepter…
Lo : bon, d’accord.
Jane se dirige dans la cuisine : alors le pop-corn, de la glace et une vidéo…
Lorène regarde amusé Jane sortir ce qu’elle avait déjà tous préparée. Ses yeux pétillent, un sourire grandissant apparaît sur son visage.
Lo : qu’est-ce que tu nous as dégotés… encore un film à l’eau de rose !
J : vous allez m’en dire des nouvelles, il est super… et en plus il y a de quoi se rincer l’œil les filles ! ! La couleur du mensonge, alors ! !
S perplexe : connaît pas !
Lo : moi non plus, j’ai peur ! !
On monte toutes les trois, laissant les garçons affalés dans le canapé. Je lance un regard vers Mickaël, il me sourit et me fait un bisou lointain, certes mais qui réchauffe mon cœur… dans le fond c’est très bien comme cela, je me doute que Mickaël va vouloir avoir des détails sur la conversation le Lincoln et Lorène et je ne suis pas sur qu’ils se confieront si je suis là. Et une soirée entre filles, autant dire que cela fait une éternité que je n’en aie pas fait, la dernière, cela remonte… tellement loin…que je ne m’en souviens même pas…
On croise L.J. dans l’escalier, ses bouquins sous le bras.
LJ : je vais travailler en bas.
Lo avec un large sourire, regardant les livres qu’il tenait : des maths à faire ?
LJ : non… résigné. bon d’accord, oncle Mike pourra m’expliquer au moins…
Lo : expliquer…vas-y !
LJ dépose une fugace bise sur la joue de Lorène. Ils semblent si proches, on pourrait croire que rien ne peut les ébranler, ils feront toujours face à l’adversité, l’un à côté de l’autre. Je me demande si L.J. n’a pas transférer l’affection maternelle vers Lorène.
Jane et moi allons nous mettre à l’aise dans des habits plus amples…on rejoint Lorène dans sa chambre, on s’étale toutes les trois sur son lit…La vidéo commence…Jane avait raison, le plaisir des yeux est satisfait.
Je laisse Sara partir. Partir, elle ne monte que d’un étage. Je suis persuadé que ce semblant de normalité lui fait un bien fou. Je redoute un peu qu’elle discute avec Lorène mais j’ai confiance en elle. Elle m’en veut à moi et non à Sara. Je la sais assez intelligente pour qu’elle fasse la part des choses. Paul est en train de tomber littéralement de fatigue dans son livre. Je crois qu’il vaut mieux ne pas boire son café. Elles sont redoutables. Il s’éclipse du salon, sans rien dire. Lincoln est absorbé. L.J arrive et veut que je l’aide pour ses maths…une belle feinte.
alors???? on continue
ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
bien sur que tu continu !!
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
BRAVO GENIAL MAGNIFIQUE
tu ma fait peter de rire avec le titre du film que les fille allais voir " LA COULEUR DU MENSONGE " = LA TACHE " le livre que c'est inspirer , je croit que c'est ca "
les filles sont redoutable " prend ca tekel " un marteau sur la tete aurai fait pareil " que le somnifère dans le café
UNE SUITE VITE S T P IMPATIENTE ET HATE
tu ma fait peter de rire avec le titre du film que les fille allais voir " LA COULEUR DU MENSONGE " = LA TACHE " le livre que c'est inspirer , je croit que c'est ca "
les filles sont redoutable " prend ca tekel " un marteau sur la tete aurai fait pareil " que le somnifère dans le café
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Dernière édition par le Jeu 12 Avr - 20:17, édité 2 fois
virginie- Mr Crane you have a phone call...
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
2 dans l'après-midi, je suis pas Wonder woman... snifff
Demain, si tout se pass bien, elle est dans la tête donc déjà
ça fait super plaisir
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ENNEADE- Retrouve Steadman
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Re: les actes ont des conséquences (MAJ 2/4 chap89)
trop bien j'adore c genial une suite??
mach- Compagnon de Cellule de Michael
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