ma toute première fic : 2 ans déjà...

vite une suite

oh my god!!!!

c'est magistral....

je veux la suite, je vais pas tenir longtemps

stp met la suite !!!

yep^^

merci à tous pour vos coms


bon alors j'ai changé un peu ma manière d'écrire vu les circonstances




allez, voilà une petite suite j'espère qu'elle vous plaira










Pendant ce temps, à 8670 kilomètres de là, en Europe, en France, à l’aéroport « Charles de gaules » de Paris, un homme, après avoir eu une discussion très mouvementée avec son frère, attendait un vol qui devait le ramener au Panama le soir même.



J’entendis une voix lointaine :

-Mlle vous m’entendez?? Restez avec nous, nous vous emmenons à l’hôpital, vous avez été touchez par balle. Est-ce que vous m’entendez??

Pour toutes réponses, je bougeai le petit doigt!!

-Très bien Mlle, essayez de rester éveillé jusqu’à notre arrivée à l’hôpital.

Je luttais plus que tout au monde pour rester éveillée, pour restée en vie. Je voulais vivre pour moi, pour toi, pour nous, désormais, tout était encore possible. Il me suffirait de t’expliquer ce qu’il s’était réellement passé et que je ne voulais en aucuns cas faire un break, t’abandonner. C’est-ce qui me donna la force de tenir quelques minutes.

-Mlle vous m’entendez toujours??? Tenez bon, nous arrivons à l’hôpital.

Je perçu alors une autre voix :

-Préparez le bloc, qu’est-ce que nous avons???

-Femme d’une trentaine d’année, blessures par balles au niveau de l’abdomen, elle a perdu beaucoup de sang durant le trajet.

-« Allez me chercher Karev et Grey » furent les derniers mots que j’entendis avant de sombrer à nouveau vers le néant.





A cet instant précis, au panama, à l’hôpital privé de Green Foster, une femme se battait pour vivre tandis qu’aux Etat-Unis, dans une ruelle sombre de Time Square, un homme voulait mourir.
Le destin répondra-t-il aux désires de ces 2 âmes où bien fera-t-il à sa manière????
Laquelle de ces deux personnes est la plus digne de continuer à vivre????
Seul l’avenir nous le dira.





24 décembre 2009, 23h31, à l’aéroport de panama city:

L’avion en provenance de Paris venait d’atterrir, un homme en descendis, les larmes aux yeux, anéantit, culpabilisant terriblement pour ce qu‘il venait d’apprendre. Il s’en voulait de ne pas avoir été là. Quelques minutes auparavant, son téléphone avait sonné, il avait décroché. A l’annonce du drame, son visage souriant s’était décomposé. Il avait ensuite raccroché et pleuré le reste du vol.
L’homme se dirigeais maintenant vers le bord de la route, héla un taxis et emprunta une route qui menait tout droit à Green Foster.






25 décembre 2009, 7h59, à New-York City :

Un étranger lisait le New-York Times. On pouvait clairement deviner en 1ère page les articles suivants :



25 Décembre : rien ne va plus à la Bourse, du jamais vu pour le jour de Noël.

Cambriolage, hier dans le plus grand magasin de jouet de la ville : les malfrats on emporté plus de 30000 dollars.

Santa-Claus fait le bonheur des enfants et … des parents : une distribution de cadeaux est programmée ce matin au centre commercial stop & shop.

Sauvetage miraculeux : hier soir, un passant à découvert le corps inanimé d’un homme dans une ruelle de Time Square, il a été immédiatement transporté à l’hôpital. A l’heure qu’il est,ses jours ne sont plus en danger.






Le destin semblait avoir fait son choix. Une seule personne devait vivre et il avait choisit. Il en avait décidé ainsi. Pénible réalité, mais nous ne pouvons rien y faire.
La vie est injuste. Même pour le jour de Noël, elle pouvait être cruelle.
L’avenir s’annonçait rude.




25 Décembre, 7h59, au même moment à l’hôpital de Green Foster, un homme faisait irruption dans la salle d’attente, perdu, dépité, réclamant une infirmière du nom de Katie. Il voulait lui parler d’ELLE, il voulait LA voir sur le champs, il voulait savoir comment ELLE allait. Il était désemparé. Il transpirait de peur, faisait les aller-retour dans l’entrée, triturait ses doigts, se prenait la tête entre les main puis au bout de quelques minutes, finit par se calmer, s’assit et s’endormit, épuisé par cette épreuve dont la fin était proche.







voilà

super !!!

met nous vite la suite stp !!!

Faut que Sarah s'en sorte!!!!!!
Vite une suite et au plus vite stp stp

Vraiment trop bien ta suite !!!
Mais qu'est ce que tu veut dire par une épreuve dont la fin était proche!!
Dit moi que sza veut dire qu'ELLE va se réveiller !!
Viiiiiiiiiiiiiiiiiiiite une suite!!!

SUPER SUITE !!!

stp met très vite une suite stp !!!!!

stp vite une suite

à quand la suite???
met nous vite une suite stp!!

chachou18 a écrit:à quand la suite???
met nous vite une suite stp!!

tout a fait !!!!

J'veux la suite !!!

yep le monde^^

merci pour vos coms


voilà la suite










Je ne voyais que le néant quand tout d’un coup, des flash de ma vie défilèrent devant mes yeux. Je n’avais pas vécu ça les fois précédentes.

Je me revis à 5 ans dans les bras de ma mère, elle était tout sourire, mon père était à nos côtés et respirait de bonheur, nous étions heureux. A cette époque, nous formions encore une famille.

Puis je me revoyais à 10 ans, le jour de la mort de ma mère. Nous étions au cimetière, mon père et moi. C’est alors que je compris que c’était à cette époque que tout avait changé entre moi et mon paternel.

Ensuite, mes années d’adolescence mouvementé, arrosée de drogue, de joints, d’interdits.
Je me revis ensuite à mes 18 ans, pauvre Junkie que mon père ne voulait plus voir.

Ma jeunesse me passait sous les yeux, mes fréquentations en centre de désintoxe, mes dépressions, mes addictions à la drogue, à l’alcool, mes tentatives pour m’en sortir, mes études que je réussis brillamment malgré tout ça, mon 1èr job à 27 ans dans l’hôpital privé de Chicago, ma rechute quelques temps après dans la drogue, la mort de cet enfant que je n’avais pu sauver parce que je n’étais pas clean, ma démission, mes réunions de soutient, ma rencontre avec Bellick qui me proposa un poste de médecin à Fox River, ma 1ère année dans cette prison puis enfin, la meilleure chose qu’il me soit jamais arrivé dans la vie: ta rencontre.

Je revis tout nos moments passés ensembles, ton regard, tes caresses, ton « joyeux anniversaire », ton acte héroïque durant l’émeute, ta rose en origami, notre baiser, la porte laissée ouverte, ton évasion, ma 1ère overdose, ton coup de fil émouvant, les origamis codés que tu me laissais, nos retrouvailles à Gila, ma capture par kellerman ainsi que ma lutte pour rester en vie, ton message vidéo, nos retrouvailles à la gare d’Evansville dans l’Indianna, la sensation de ton étreinte, notre baiser passionné, ta révélation ainsi que la mienne, la frayeur de te perdre quand j’ai su que tu n’étais pas avec le véritable Bruce, mon sacrifice, mon 1ère je t’aime à un homme, cette semaine passée en prison, la sentence de 12 ans que je devais écoper, mon sauvetage in extrémiste par Paul, nos retrouvailles sur le bateau, cet homme que j’avais tué, nos adieu dans cette cabane abandonnée où l’on s’était enfin avoué clairement nos sentiments, ton sacrifice, mon impuissance, ta libération, ta mine perdue et à la fois impressionné quand tu m’avais aperçu, notre 1ère fois ce soir là, nos retrouvailles avec Lincoln, notre fuite pour échapper à padman pendant 2 ans, notre exile ici au Panama, notre vie plus ou moins tranquille pendant un ans, puis le fameux soir de ce drame, ton opération, puis ces 2 années de souffrances sans toi, la mort de ton frère, ton réveil alors que je t’avais cru mort, nos retrouvailles riches en émotions mais bien trop courtes à mon goût, mon failli 2ème suicide, mes retrouvailles avec Lincoln, la conversation téléphonique avec Padman, ma terrible décision de me sacrifier encore, ma survie sans toi pendant un mois, puis ma confrontation avec Padman, nos coup de feu, mes dernières minutes dans ce monde en saccadé et enfin le vide, le gouffre le néant.








25 Décembre, 8h57, a peine 1h après son arrivée, déjà 15h après le drame, à l‘hôpital privé de Green Foster :

Une infirmière avançait dans le couloir des bloc opératoires, les yeux rougis par les larmes. Elle se dirigea vers l’entrée. Quand elle aperçu l’homme endormi, elle s’avança vers lui et le réveilla pour lui annoncer la nouvelle.
A chaque mots qu’elle prononçait, le visage de l’homme changeait. Chaque mots, était un fardeau.
La dernière phrase le fit éclater en sanglot. Il se jeta alors dans les bras de cette femme. Il se vidait totalement de toutes les larmes qu’il aurait du verser durant ces 5 dernières années. La femme souffrait également.
A cet instant précis, l’homme venait d’apprendre la nouvelle qui changera à jamais sa vie et il en prenait conscience.









25 Décembre, 9h01, quelques minutes après l’annonce :

Ils se dirigèrent tout deux vers le 1èr étage : celui des états critiques ou des cas sans retour. Cela ne présageait rien de bon.
Il y avait là 3 portes, celle des blocs opératoires, celle de la morgue et celle des soins intensifs.
La dernière était sans espoirs, la seconde permettait d’espérer à court terme et la 1ère était interdite au public.
L’homme et l’infirmière se dirigèrent vers le fond du couloir, ils passèrent la 1ère porte, puis la seconde et s’arrêtèrent devant la 3ème.






voilà

encore met nous la suite stp!!!!!!

STP METS VITE LA SUITE OU JVAIS FAIRE DES INSOMNIES !!!

Superbe suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Mais ne fait pas mourrir notre Sara je t'en prie!!!!!

suite ! suite ! suite !

C'est super!!

si je comprend bien la troisième c'est la morgue
stp pas ça
vite une suite

Noon.. Sara est pas morte???? L'homme c'est un gars qu'on connaît pas qui vient pour quelqu'un qu'on ne connaît pas non? ^^

Super bien écrit!

Vivement trop la suiiite

Sara nest pas morte tu plaisante la ??????

hier soir je tes lue mais jai oublier de te laisser un chti coum!!!!!!!!!!


veut une suiiiiiiiiiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!!!!!!!!!!!!!!

super !! mais stp fait pas mourrir sara je t'en suplie !!

stp met vite la suite !!!!

yep le monde^^

hummmmmm pour Sara, je ne sais pas!!!

merci pour vos coms


voilà la suite







25 Décembre, 9h01, quelques minutes après l’annonce :

Ils se dirigèrent tout deux vers le 1èr étage : celui des états critiques ou des cas sans retour. Cela ne présageait rien de bon.
Il y avait là 3 portes, celle des blocs opératoires, celle de la morgue et celle des soins intensifs.
La dernière était sans espoirs, la seconde permettait d’espérer à court terme et la 1ère était interdite au public.
L’homme et l’infirmière se dirigèrent vers le fond du couloir, ils passèrent la 1ère porte, puis la seconde et s’arrêtèrent devant la 3ème. Mais seule la femme la franchit. Elle revint quelques minutes plus tard, une autre veste blanche sur le dos. Ils rebroussèrent chemin et finirent par passer la 2ème porte. Ils pénétrèrent alors tout deux dans une chambre où s’étendait sur un lit, une jeune femme au visage blanc comme un linge. Des tuyaux la reliaient à de multiples machines. A cette vue, l’homme s’effondra au sol et se mit à pleurer. Il savait pertinemment que tout était fini. Si elle ne se réveillait pas avant 10 h, il n’y avait plus rien à faire.





25 Décembre 2009, 9h13, aux soins intensifs :

Je t’entendais, je savais que tu étais là. Oh mon dieu, tu étais revenu, tu savais ce qu’il m’était arrivé. Tu ne m’avais pas oublié. Je t’entendais vaguement pleurer à mes côtés, mais je ne pouvais te voir. Je ne pouvais ouvrir les yeux. Des flash défilaient toujours devant mes yeux. Je ne voulais pas. Je ne voulais pas m’en aller maintenant. Non pas si près du but. Il fallait que je chasse ses images. Je devais repousser l’échéance. Mais le seul moyen qu’il me restait, c’était de me réveiller. Je sentais la chaleur de ta main dans la mienne, mais je ne pouvais répondre à tes caresses. J’étais paralysée, je ne pouvais faire le moindre mouvement.








Au même moment sur le parking de l’hôpital, une femme et un adolescent descendaient d‘une voiture. A l’annonce de la nouvelle, ils s’étaient immédiatement précipité à Green Foster. Leurs yeux étaient rougis par les larmes, ils avaient énormément pleuré durant le trajet. Ils prenaient conscience que cette visite serait la dernière. Leur amie allait mourir, il ne lui restait à peine 45 minutes à vivre. Ils allaient perdre une personne chère à leur cœur. C’était l’ultime visite. Le jour de Noël s’annonçait vraiment pénible pour cette famille qui avait déjà perdu un mari, un père, un frère, du moins, c’est-ce que ces 2 jeunes gens pensaient.






25 Décembre 2009, 9h16, 44 minutes avant le… :

Je t’entendis me murmurer :

-Sara si tu m’entend, réveille toi ma puce. Il ne te reste que 44 minutes à vivre, après ils débrancheront les machines. Je t’en supplie, ne me laisse pas. Je t’aime Sara.
Je t’en prie bébé, reste avec moi.

Je distinguais parfaitement tes pleures.

-Je ne t’en veux pas, Lincoln m’as tout expliqué depuis le début. Jamais je ne te remercierai assez pour ce que tu as fait pour moi ces derniers mois. Je suis vraiment désolé mon amour pour tout ce que tu as du endurer par ma faute. Je suis vraiment désolé. Mais s’il te plait, ne m’abandonne pas, je ne pourrai pas survivre sans toi.


Quoi 44 minutes à vivre??? Non ce n’était pas possible. Je ne voulais pas mourir, Il fallait que je me batte pour moi, pour toi, pour nous, pour notre avenir.
Je devais me réveiller par tout les moyens possible et inimaginable.


-Sara mon amour je t’en prie, je ne veux pas te perdre. Je te promet qu’un jour, je t’emmènerai à Paris. C’est une très belle ville mais sans toi, elle était sans saveur, sans charmes. Tu verras un jour la tout Effel je t’en fais la promesse.
Il parait que raconter des souvenir aux personnes proche de la mort, permet de les raccrocher à la vie. Je peux toujours essayer.


Je ne t’avais jamais sentis aussi faible, ta voix se serrait à chaque phrases, tes mots étaient entrecouper de hoquets et de pleures. Tu essayais de résister mais cette épreuve était trop cruelle pour toi.

-Pardonne moi Sara, je ne peux pas, c’est trop pénible. Je n’en trouve pas la force. Pardonne moi ma puce.






25 Décembre, 9h19, devant la porte des soins intensifs :

Une femme et un adolescent venaient de pénétrer dans la chambre. Quand l’homme les vit, il se précipita dans leur bras, éclatant en sanglot et hurlant à la mort. La femme essayait de le consoler mais ne pouvait elle-même plus retenir les larmes qui coulaient désormais en masse le long de son visage. Ils étaient anéantit. Pour eux, c’était terminé, ils ne pouvaient plus intervenir. Ce n’était pas dans leurs pouvoirs. Ils ne leur restait plus qu’une chose à faire : prier.








voilà

allez sara réveille toi C'EST UN ORDRE!!!!!!
vite la suite

génial !! c'est supert émouvant ! stp fait que sara se réveille je t'en suplie !!!! je sais que tu faira le bon choix !!!!!!!

stp met vite la suite !!!!