Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE

vite une suite

Voilà la suite !

CHAPITRE 4

Amaury appuyait fort sur la pédale d'accélérateur pour que Sandra ne soit pas trop en retard, il n'arrivait pas a se concentrer et était un peu dégouté que leur soirée se termine si vite. Sandra était furax, mais le boulot, c'est le boulot pensa t-elle.

S : j'espère qu'il vont passer une bonne soirée quand même, sans nous pour mettre l'ambiance ! ?
A : t'inquiètes, je connais Went, il va pas s'ennuyer avec elle.
S : pourquoi tu dis çà ?
A : parce que Lilie est exactement la fille qu'il lui faut j'te dis ! Je l'ai bien vu hier soir quand il l'a vue pour la première fois, dans son regard. Il y avait un p'tit truc. Je suis sur que lui même n'en est même pas conscient mais moi je sais, fait moi confiance.
S : je peux pas être méchante pour Lilie, mais t'as vu les nanas qui lui tournent autour ? Pourquoi est-ce qu'il s'intéresserait à elle plutot qu'a une autre ?
A : parce qu'elle est justement pas "ces autres" ! Tu vois franchement Went avec une bimbo ?
S : j'ai pas dit çà mais entre les deux il y a un juste milieu. Et c'est sans compter sur Marianna, ils ont beau démentir autant qu'ils veulent, quand elle est avec lui, y'a pas besoin d'être psy pour voir les yeux qu'elle lance aux filles qui s'approchent d'un peu trop près de Went !
A : Il m'a juré qu'entre eux c'était purement amical.
S : peut être mais le dernier point c'est aussi que Lilie ne sera plus là dans trois semaines et vu la rapidité de Went pour se rendre compte de ses sentiments, elle sera déjà partie !
A : peut -être qu'on peut essayer d'accélérer les choses ?
S : sans moi !
A : allez !
S : Amaury, s'il doit se passer quelques chose, laisse faire le destin !

La voiture se gara devant la maison de Kelly, elle le remercia, l'embrassa et lui promit que si cela ne finissait pas trop tard elle le rejoindrai pour un dernier verre.

Au même moment, Ixtapa Café - Dallas

- Bonjour Monsieur, vous désirez ?
W : une table pour deux personnes, dans un endroit discret si possible.
- bien sûr Mr Miller !
L : je vois que tu es connu partout !
W : c'est sympa au début, mais pour sortir c'est vrai que c'est pas toujours idéal, surtout avec une fille, je suis souvent la cible des paparazzis ! Mais je suis un bon client , je serais tranquille ici !
L : tu viens souvent avec des filles c'est çà ?!
Wentworth se retourna dans sa direction le regard décidé et convainquant.
W : tu es la première.
Lilie ne put empecher son visage de se roser légèrement. Went remarqua son trouble et lui sourit chaleureusement.
W : tu sais il ne faut pas croire que les gens célèbres sont plus entourés. Il y a peut-être la quantité mais rarement la qualité ! Oui je viens souvent mais soit nous sommes toute une bande soit je suis tout seul et je prends à emporter !
L : alors je te remercie, je suis flatée !

Ils s'installèrent à une petite table ronde qui donnait sur la rue. L'endroit était très sympathique, magnifiquement décoré et la petite musique traditionnelle qui s'envolait dans la pièce détendait beaucoup l'atmosphère.
W : tu connais la cuisine mexicaine ?
L : bof !
W : bof ?
L : oui c'est une expression française qui veut dire "moyen".
W : ok je comprends mieux ! Je te conseille les burritos du chef, ils sont extras !
L : alors c'est parti pour les burritos du chef !
Went rappella le serveur et passa commande. Au loin, quelques personnes se retournaient de manière plus ou moins discrète et commencaient à parler en les regardant discrètement du coin de l'oeil. Lilie le remarque tout de suite et commencait a se sentir mal à l'aise.

W : c'est rien, n'y fais pas attention, d'ici quelques minutes ils se seront lassés.
L : si tu le dis !
W : d'ou tu viens exactement en France ?
L : de Paris ! rien de très original ! Mais j'ai de la famille en Bourgogne.
W : le pays du vin !
L : connaisseur ?
W : légèrement ! Tu fais quoi dans cette magnifique ville ?
L : je suis assistante de production dans la Japanimation. Tu sais ces dessins animés japonnais, les mangas !
W : je vois, passionnant non ?
L : disons que pour une passionnée de cinéma qui rêvait d'intégrer une grosse boite de production c'est un peu raté, mais je fais quand même le métier que j'aime et çà me permet d'avoir quelques connections avec le cinéma.
W : faut pas te décourager, tu sais moi j'ai mis 10 ans avant d'arriver où je suis aujourd'hui. Ma mère voyait rouge et pensait que je finirai clochard. Ne jamais désespérer !
L : je sais, je n'hésiterais pas à tenter ma chance si elle se présente.
W : tu pourrais la provoquer un peu aussi !

Le serveur leur apporta deux bières et leurs burritos et les laissa déguster leur repas.
Ils échangait quelques banalités morsque ils furent ous les deux éblouis par le flash puissant d'un appareil photo venant de la rue.
W : c'est pas vrai ! C'est infernal ! Je suis désolé.
L : ce n'est rien ne t'en fais pas !
W : tu diras çà si demain ta tête est dans les journaux ? Ma meilleure amie en a fait les frais et c'est pas marrant !
L : je ne suis pas connue tu sais et crois y'a pire dans la vie ! Tiens je te propose une chose, on se dépêche de partir et tu me ramène chez moi pour déguster une bonne crème glacée !
W : tu as raison, c'est parfait !

Went règla la note, accepta de signer quelques autographes au fans qu'il croisat et ils se précipitèrent vers l'extérieur. Arrivés sous l'auvant du restaurant, quelle ne fut pas leur surprise, il pleuvait à verses et la voiture de Went n'était pas proche.

L : ce n'est pas grave, on va courir !
Sans réfléchir, elle l'attrapa par la main et ils se retrouvèrent tous les deux à courir dans les rues désertées de Dallas. Went se laissa prendre au jeu, c'était si bon de se laisser un peu aller ! Lilie riait aux éclats, malgré la pluie froide qui contrastait avec la chaleur ennivrante de cette journée. Elle sentait une fièvre monter en elle, elle était heureuse. En plein milieu d'une rue, elle s'arrêta, leva les bras au ciel et s'adressant à Wentworth "tu vois, dieu t'a entendu, cette rue est déserte, nous sommes tranquilles ici."

Went s'approcha d'elle, dégoulinant de pluie, le visage détendu, amusé et charmé.

W : tu as raison mais si on reste trop, demain c'est la grippe assurée !
Il attrapa sa main et se remit à courir de toutes ses forces. Lilie avait du mal à le suivre et ses cheveux complètement mouillés se collaient sur son visage doré. Son mascara avait coulé et laissait de grandes traînées grisâtres sur ses joues. Après 5 bonnes minutes de course effrénée, ils arrivèrent enfin à la voiture de Wentworth.
Il lui ouvrit la porte et avant qu'elle ne monte attrapa un mouchoir pour enlever délicatement le surplus de noir sur ses joues.
W : ce sera mieux comme çà !
L : merci

Tout le long du chemin, ils se racontèrent des banalités, des blagues, des anecdotes de tournage comme de vieux amis.
W : tu sais cela faisait longtemps que je n'avais pas passé une si bonne soirée. Vraiment.
L : merci, c'est pareil pour moi, cette pluie était merveilleuse !
W : seulement maintenant ce n'est plus une crème glacée qu'il me faut, c'est un chocolat chaud !

Went se gara devant son pavillon ,la pluir était visiblement restée à Dallas, tout était sec ici. Lilie le suivit dans son antre.
W : fais comme chez toi, je reviens, je vais chercher des serviettes pour qu'on se sèche.
L : je t'attends.
Wentworth ne fut pas long et revint avec de grands draps de bain. Il se sécha et enfila un tee shirt propre et remarqua la gêne de Lilie.
W : excuses moi, je suis idiot, monte il y a la salle de bain la haut et sert toi, il y a des tas de tee shirts dans l'armoire du couloir...

sublime j'adore trop...

ben oui Went un peu d'intimité tout de même

et ces paparazzi

voilà la suite !




Wentworth se tenait derrière le bar et préparait des cappucinos lorsque Lilie descendit les escaliers, en tee shirt une serviette autout des hanches.

L : qu'est-ce que tu fais ?
W : je nous ai préparé des boissons chaudes, je crois qu'on en a bien besoin ! Des cappucinos maison façon Miller !
L : j'ai hâte de découvrir çà !
Il prépara un plateau avec un immense bol de pop corns et proposa à Lilie de s'installer sur la petite table du salon. Went se sentait heureux, il passait enfin une vrai soirée, une bonne soirée
W : çà te fait quoi d'être ici loin de tout tes amis ?
L : j'ai pas encore eu trop le temps d'y penser, j'ai été tellement occupée ces dernières 48 heures ! J'ai juste appellé ma meilleure amie pour la rassurer, mais tout cela leur semble complètement irréel !
W : que penses-tu de ce que tu as vu jusqu'a maintenant ?
L : je suis assez étonnée à vrai dire
W : pourquoi ?
L : je suis venue avec beaucoup d'a priori sur vous et je me rends compte que les acteurs ne sont pas leur personnage. J'ai connu Michael et Sucre grâce à mon écran de télévision et grâce à ce voyage j'apprends maintenant à connaître Amaury et Wentworth.
W : il y a une si grande différence ?
L : je penses oui, je m'attendais à rencontrer quelqun de plus "star", inabordable, je suis là depuis 72 heures et je suis dans ton appartement, seule avec toi, tu ne trouves pas çà irréel ?
W : non, je suis content. Je suis souvent seul ou avec des personnes qui parlent, parlent, parlent sans intérêt, avec toi c'est différent.

Lilie commença à se sentir gênée. La sincérité des derniers mots échangés lui faisait perdre la tête. Elle allait se pincer et se réveiller, cela n'était pas possible autrement ! Elle se trouvait seule, chez l'homme élu le plus sexy de l'année, mondialement connu, en petite culotte sous une serviette de bain et un tee shirt. Cela ne pouvait âtre réel ! Et pourtant, même après s'être pincée, après avoir rouvert les yeux elle ne vit que ceux de Went, irréels eux aussi, qui la fixait. Elle se sentait si peu sure d'elle en cet instant ! Complètement démaquillée, les cheveux humides et en bataille, à moitié nue.
Pourtant, aux yeux de Went rien ne paraissait plus magique que l'ambiance parfumée que Lilie laissait sur son passage. Son appartement reprenait vie de sa présence. Elle avait quelque chose de si spécial. Une petite fossette sur la joue gauche quand elle souriait doucement, de ce sourire si expressif qu'elle s'éfforcait toujours de contenir pour ne pas donner l'impression d'en faire trop. Ses cheveux bouclés qui tombaient en cascade, indisciplinés et rebelles qui la forcait constament à basculer sa tête en arrière en un geste obsessionnel, ce tout lui paraissait un ensemble parfait. Lilie n'était pas sure d'elle et pourtant une classe naturelle s'échappait d'elle et attirait le regard.
Le silence qui s'était installé devenait pesant.

W : tu veux regarder un film ?
L : si tu veux
W : regardes dans la vidéothèque, ton choix sera le mien

Lilie s'empara d'un vieux film des années 50 en noir et blanc et ils s'installèrent l'un à coté de l'autre, à bonne distance.
A peine quelques minutes plus tard Went fit un commentaire élogieux sur le réalisateur et s'apperçut au manque de réaction de Lilie qu'elle s'était endormie.
Il ne savait quoi faire, la réveiller et la raccompagner ? Dans cette tenue ? Non elle attraperait froid !
Il se décida finalement à la transporter dans sa chambre d'ami du haut en espérant ne pas la réveiller. Il l'agrippa délicatement par le dos et le dessous des cuisses. La serviette de Lilie glissa de ses hanches et le petit tee shirt de Went couvrait à peine ce qu'il y avait à couvrir. De si près, il pouvait sentir encore plus son odeur, sa respiration et les battements de son coeur. Le contact de sa peau avec la sienne lui procura une étrange sensation. Arrivé dans la chambre il la déposa délicatement sur le lit et la couvrit. Il se rapprocha et déposa un baiser sur son front tout en lui chuchotant bonne nuit. Lilie se retourna légèrement et ronchonna dans son sommeil.

Redescendu, il ne débarassa même pas, se contenta de d'éteindre la télé et grimpa dans sa chambre se reposer. Il peina à trouver le sommeil malgré la fatigue. Chaque fois qu'il fermait les yeux, le visage de Lilie lui souriant lui apparaissait et chaque fois qu'il les ouvrait c'était son odeur qu'il sentait imprégnée sur son tee shirt. Il n'arrivait pas à la chasser, cette fille le troublait, il se sentait si étrange, elle était si proche, dans la pièce juste de l'autre coté du couloir. Il entendit la pluie se mettre à tomber à l'extérieur, aussi fort qu'a Dallas, se laissa bercer et s'endormit paisiblement de longues minutes après...


Mercredi 29 Août 2007 - 08:00 heure locale

Sandra s'éveillait d'une nuit qui avait été agitée. Après sa longue soirée de travail qui s'était éternisée jusqu'a tard dans la nuit, elle avait rejoint Amaury et se réveillait au petit matin dans ses bras.

A : bien dormi ?
S : comme une tombe !
A : un pt'it dej çà te branche ?
S : avec plaisir !
A : alors bouge pas, je vais faire mon jogging et je te ramène tout ce que tu veux !
S : parfait à tout à l'heure !

Il l'embrassa furtivement et habillé en deux deux, dévala les escaliers et sorti précipitament du pavillon. Au loin, une voiture se garait devant chez Wentworth ou tout était encore fermé. Il se rapprocha et reconnu Alicia et Franck les deux attachés de presse de Went, il les salua.

A : salut, vous êtes matinaux ! Je crois qu'il est pas encore levé cette fois, il est sorti hier soir.
F : justement !
Al : c'est pour çà qu'on est ici.
A : ?
Alicia lui tendit 3 magazines sur lesquels Went et Lilie faisait la première page avec une photo sur laquelle leurs regards en disaient longs. Les titres étaient plus racoleurs les uns que les autres : "Wentworth et une jeune inconnue" , "Encore une simple amie ?" ou "L'homme le plus sexy de l'année ne se cache plus ".
A : et vous venez le réveiller pour çà ?
F : c'est notre travail de veiller à son image et de l'informer de ce qui se dit sur lui .
A : se dit ? Mais ce ne sont que des ragots pour faire vendre du papier, il a quand même le droit de vivre sans se cacher non ? Je prends les magazines, il vous rappelle, vous voyez bien qu'il dort !

Franck et Alicia se regardèrent et acquiescèrent en regagnant leur voiture. Une fois partis, Amaury cogna à la porte de Went pour qu'il vienne lui ouvrir. Quelques minutes plus tard, il apparut derrière la porte d'entrée tandis que les rideaux électriques s'ouvraient sur la grande baie vitrée.

A : eh mec, t'a pris un somnifère ou quoi ?
W : qu'est-ce que tu racontes ?
A : çà fait 5 minutes que je frappe, tu fais quoi là ?
W : rien, je me suis couché tard et je récupère....

Le ton d'Amaury changea du tout au tout, tu récupère ? Ta soirée a été aussi éprouvante que çà ?

W : non mais je me suis endormi tard !
A : Tiens, j'allais faire un jogging et j'ai croisé Franck et Alicia qui venait te faire le petit dej avec de la lecture. Je les ai virés en leur disant que tu dormais mais j'ai gardé leurs torchons.
W : de quoi tu parles ?
A : vise par toi même !

Went attrapa les magazines et à la vue du premier lacha tout en rage sur le canapé du salon.

W : les salauds ! Jamais je n'aurais la paix ! Jamais !
A : calme toi ! çà ne veut rien dire !
W : le problème n'est pas là Amaury, si Marianna tombe sur ces magazines çà va être très dur pour elle !
A : là je te suis pas
W : hier soir, avant de vous rejoindre, elle m'a appelé et parlé. Elle m'a déballé tout son sac, qu'elle était amoureuse de moi, qu'elle savait que je ne partageais pas ses sentiments et qu'elle était désespérée, si elle voit çà elle va vraiment me détester !
A : ouah, tu as le don de te mettre dans des situations !
W : je ne veux pas qu'elle soit plus malheureuse qu'elle ne l'est déjà !

Au même moment, Amaury releva les yeux vers le haut des escaliers ou un craquement avait attiré son attention. Lilie se tenait en haut, dans le tee shirt de Went, le regard perdu et embué de sommeil.

Amaury n'eut aucune paroles mais n'en eut pas besoin. Son regard surpris fit un va et vien naturel de Went à Lilie, sans pouvoir comprendre...

Voila la suite !






Amaury roulait de grands yeux à Went et ne savait trop quoi dire, la situation devenait réellement gênante. Lilie rompi le silence d'elle même.

L : Bonjour Amaury, Went, je peux aller prendre une douche ?
W : je t'en prie, fais comme chez toi.

Lilie retourna d'où elle était venue, laissant ainsi à Wentworth la possibilité de s'expliquer avec Amaury. Elle se demandait comment régirai Went et était elle même un peu anxieuse de ce qui en découlerait. Elle avit passé une magnifique soirée mais n'avait pas prévu de s'endormir ici ni de s'y réveiller d'ailleurs !

W : ne t'immagines rien, c'est un pur hasard si Lilie est ici.
A : tu vas me dire qu'elle est venue te voir tot ce matin alors que tout tes volets sont fermés et qu'elle descend dans un de tes tee shirts car elle s'est renversé du café sur elle ?
W : écoutes tu vas pas t'y mettre aussi !
A : non mais moi çà ne me pose aucun souci, je pensais pas que tu irais si vite, là tu m'as scié !
W : tu te trompes, même si j'avoue que les circonstances sont étranges. Hier soir on est allés mangés des burritos et nous avons été flashé par un paparazzo qui est l'auteur de ces torchons. Lilie m'a proposé de prendre une crème glacée chez elle et nous sommes partis. En sortant il pleuvait des cordes et la voiture était loin, on a couru mais on est arrivés tripés. Je l'ai ramené ici, on s'est séché, on a bu un cappuccino et Lilie s'est endormie pendant qu'on regardait un film. Je n'allais pas la réveiller et la laisser sortir comme çà alors je l'ai transporté dans la chambre d'amis et ce matin tu t'es pointé et voilà, je me suis levé et elle après !
A : t'es sérieux là ?
W : crois moi s'il s'était passé quelque chose tu serais le premier à le savoir !
A : çà craint !
W : quoi ?
A : vous seriez super tous les deux !
W : je ne dis pas le contraire !
Amaury roula ses gros yeux et fixa Wentworth d'un regard étonné.
A : T'en pince alors ?!
W : j'irai pas jusque là mais cette fille est spéciale...
A : ben alors, fonce !
W : voyons, Amaury, tu sais comme moi que dans 3 semaines elle est plus là, tu veux que je la fasse souffrir ?
A : à toi de savoir si tu veux vraiment qu'elle parte !
W : on se connait à peine !
A : écoutes mon pote, va pt'être falloir que tu prennes un peu des initiatives et des risques. Tu te plains de ta vie trop bien rangée, change là un peu !

A cet instant Lilie réapparut, cheveux humides et visage réveillé. Went ne put s'empecher d'admirer cet ensemble de beauté naturelle devant ses yeux: son léger bronzage doré, ses minuscules tâches de rousseur, ses boucles brunes aux reflets dorés qui s'accordait parfaitement aux noisettes de ses yeux. Amaury remarqua l'attitude de Went et ne put s'empecher de penser comme lui.

L : je t'ai emprunté ce peignoir, tu ne m'en veux pas ?

A : très honnêtement je trouve qu'il te va mieux qu'a lui !

Lilie lui sourit et descendit les escaliers.

W : tu as bien fait, sans cela aurait fait désordre !

Amaury se retourna vers lui et lui fit les gros yeux gênés.
Went lui lança un franc sourire et lui chuchota à l'oreille

W : tu m'as dit de prendre des risques !

A : oui ben pas en ma présence s't'plait !

L : qu'est ce que vous marmonnez ?

W : rien, tu veux un café ?

L : avec plaisir !

A : bon je vais vous laissez, je suis attendu, à cet après midi !

W : à tout à l'heure...soit pas en retard !

L : a plus tard !

Amaury les laissa et lança un clin d'oeil filou à Wentworth en sortant.

W : tu as bien dormi ?

L : oui, merci de m'avoir transporté dans un lit si confortable.

W : je n'ai pas osé te réveiller, tu ne m'en veux pas ?

L : pas du tout !

W : tu vas peut être changé d'avis alors...
Il se dirigea en direction du salon et ramassa les magazines qu'il avait lancer tout à l'heure, rageur.

W : tiens voilà...

Lilie attrapa le 1er magazine et son visage changea d'expression, rien de négatif, juste une expression amusée et un fou rire étouffé.

L : c'est çà qui t'inquiètes ?

W : tu ne le prends pas mal ?

L : non je trouve çà drôle, tu parles d'un souvenir à ramener aux copines !

W : j'aurais vraiment pas cru que çà te mettrait de bonne humeur !

L : personellement, je suis rien ici, alors pour moi çà change rien...

W : nuance, tu n'étais personne, mais là, il vont chercher, crois moi !

L : eh bien ils vont devoir en parcourir des kilomètres !

Wentworth était assez décontenancé par la réaction de Lilie, il ne pensait pas qu'elle serait fachée mais de là à ce qu'elle en rit !

L : tu pourrais me raccompagner en voiture, je vais remettre mes affaires mouillées et je reviens

W : ok !

Ils sautèrent dans la voiture et en 1 minutes ils étaient devant le pavillon de Lilie. Il était tôt et elle proposa à Went de venir prendre le petit déjeuner.

L : bon tu viens ?

W : avec plaisir !

Il entra dans ce pavillon beaucoup plus modeste que le sien ou des affaires éparpillées deci delà lui prouvait la présence féminine. Il s'installa dans le sofa.

L : je reviens, je vais enfiler des affaires sèches et propres !

W : va -y je t'attends !

Lilie grimpa les escaliers et s'engouffra dans sa chambre. Au même moment la sonnette du bas retentit.

L : va-y Went tu peux ouvrir

Il s'approcha de la porte d'entré et avant qu'il n'ai pi faire quoi que ce soit il entenfit Sandra s'adresser à lui croyant que c'était Lilie.

S : alors ma poule, il parait que t'a dormi avec ton prince charmant ? Heureuse ?

Sur ces paroles, Went lui ouvrit la porte et lui adressa un large sourire amusé.

S : Went ? ....euh, je ne savais pas que tu étais là...euh, c'était pour rire, je veux dire...euh... je blaguais....

Trop excellente cette suite!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il a raison Amaury, faut provoquer les choses Went!!!!!
C'est vrai qu'il ferait un tres joli couple!!!!!
vivement la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

j'adore toujour autant ta fic!!!

Je suis une grande fan de toi et de ta fic . elle est vraiment géniale alors je veut encore plein de suite comme ca quand j'irai me coucher ce soir je ferai de beau reve.

voilà la suite ! bonne lecture !






Sandra se sentait bête d'avoir joué d'autant de malchance. Lorsqu'Amaury - qui ne savait tenir sa langue - lui avait raconté sa découverte matinale, elle était tombée de haut, mais là, en se rendant chez Lilie, elle s'attendait encore moins à tomber nez à nez avec lui. Ells s'était plus d'une fois rendue ridicule devant les personnes de la série en raison de son tempérament, mais ce qui l'inquiétait là, c'était qu'elle se ferait litteréalement assassiner par Lilie si celle-ci l'apprenait !

W : je t'en prie, entres !

S : merci Went, je me sens toute bête...

W : tu n'as pas à l'être, c'est plutôt flatteur de se savoir apprécié par une personne comme Lilie.

S : apprécier oui, mais disons qu'elle te trouvait charmant quand elle est arrivée et qu'elle avait hâte de te rencontrer, étant donné que tu étais le seul qu'elle n'ai pas vu à sa soirée d'accueil !

W : ne t'entartre pas dans des explications, je te rassure, elle n'en sauras rien.

S : peut-être, mais çà m'embêtes que toi tu le saches maintenant !

Lilie apparut a ce moment là.

L : Sandra ? Qu'est-ce que tu fais là ?

S : bonjour Lilie, j'étais juste venue te dire que je ne pourrais pas t'accompagner sur le tournage aujourd'hui, tu sauras t'y rendre ?

L : euh...je pense, mais pourquoi ?

S : Paul souhaite nous voir un peu plus tôt, malgré notre boulot d'hier soir, il trouve qu'il y a quelque chose qui cloche, donc rebelotte, re réunion de travail et probablement pour la journée voire plus, donc je ne veux pas te gâcher la journée !

L : je pourrais peu-être venir avec toi ? J'ai très envie d'assister à vos réunions de travail, après tout sans vous, pas d'intrigue !

S : c'est une idée, mais je pars dans 1/4 d'heure !

Lilie se retourna vers Wentworth, un regard désolé dans les yeux.

W : on remet ce p'tit dej si je comprends bien ?

L : tu n'es pas vexé ?

W : un peu...mais je m'en remettrais !

Il attrapa son sweet shirt et salua les deux amies en s'éclipsant. Sandra, encore un peu penaude en profita pour sauter sur Lilie.

S : non mais toi t'es gonflée ! Vous êtes toutes comme çà en France ?

L : pourquoi tu dis çà ?

S : pourquoi je dis çà ? Non mais attends, je connais Went depuis un moment maintenant et je ne l'ai JAMAIS vu avec une fille comme il est avec toi ! Tu l'a hypnotisé ma parole !

L : tu exagères Sandra, nous avons terminé la soirée ensemble de votre fait et je me suis endormie sur son canapé ! Un paparazzo nous as surpris au restau hier soir et nous faisons la couverture de la presse à scandale ! çà fait un peu beaucoup pour moi, certes, mais y'a pas de quoi tirer des plans sur la comète, je te signales que dans 3 semaines je serais de retour à Paris !

S : non mais je ne te parles pas de la presse ou du fait que tu étais chez lui tôt ce matin, je te parle de lui, de comment il est avec toi !

L : qu'est-ce que tu veux dire ?

S : écoutes Lilie, Went est quelqun qui a beaucoup de succès auprès de la gent féminine, là je ne t'apprends rien ; par contre ce que tu ne sais pas, c'est que quand il connaît une fille qui s'intéresse à lui et que ce n'est pas réciproque, croi moi, elle le comprends !

L : c'est vrai qu'on s'apprécie beaucoup et qu'en quelques heures de conversation j'ai l'impression qu'on se connait depuis longtemps mais, je crois qu'il n'y a rien à aller chercher plus loin !

S : comme tu veux, mais laisse moi te dire une dernière chose à ce sujet, s'il te prenait l'envie subite de l'embrasser, je ne sais pas, comme çà au cours d'une soirée où vous êtes ensembles, eh bien , n'hésites pas, il te rendra ton baiser, sois en sure, çà ne t'engage à rien et Went est très timide, çà te fera au pire de bons souvenirs !

L : tu es incorrigible ! Mais je crois qu'on ferait mieux d'y aller.

S : tu as raison, en route !

Après avoir pris soin de bien fermer la porte derrière elles, elles se rendirent à la réunion de travail avec Paul et toute l'équipe scénaristique, à coté du lieu de tournage.



Banlieue de Dallas, 03:00 pm, heure locale.

Le tournage avait démarré depuis un moment et devait s'éterniser jusque tard dans la soirée selon les prévisions de Brett Ratner, en raison du retard pris le premier jour du tournage. Les conditions idéales de lumières en avait décidé ainsi. Trois scènes étaient déjà bouclées et léquipe de réalisateur accordait enfin une pause aux acteurs, quasiment tous réunis sur le plateau.
Wentworth n'arrêtait pas de jeter un oeil à tout ce qui l'entourait comme s'il cherchait quelq'un.
Amaury et Rockmond avaient bien remarqué son petit manège et rigolaient dans leur coin quand Went se rapprocha d'eux, un café à la main.

W : çà rigole hein ! Je peux en profiter ?

R : pas sûr que çà te fasse rire ! Mais où est ta Belle au Bois dormant ?

A ces paroles Went fusilla Amaury du regard.

W : tu peux vraiment pas tenir ta langue hein ! Combien de personnes sont au courant ?

R ; oh, ho ,oh, du calme, il m'a rien dit avant que je lui dise que j'étais au courant, je vous ai vu sortir de chez toi tôt ce matin !

W : je vois...

R : je te comprends mec, elle est plutot pas mal la française ! Et puis dans 3 semaines t'es tranquille, pas de soucis de ce coté là !

Wentworth leva les yeux au ciel, il se sentait tellement différent du genre de type que décrivait Rockmond ! Tout ce qu'il aurait voulu c'est trouvé enfin une fille avec qui çà colle, vraiment !

A : alors, elle devait pas venir cet aprem ?

W : non, changements de plans, elle est partie avec Sandra travailler avec l'équipe de production sur le scénario du prochain épisode. Il doit être bouclé ce soir et Paul n'est toujours pas d'accord sur certains points du script, donc réunion de crise !

A : non mais je rêve, elle t'a laissé en plan pour ... un scénario ?

W : çà te fais rire !

A : a voir ta tête oui, c'est de pire en pire, elle t'a envouté ou quoi ?

W : je ne sais pas mais je me sens bizarre ! Je n'ai jamais été comme çà

A : tu veux dire qu'a 35 piges t'a jamias été amoureux ? C'est pire que ce que je croyais ! Assume mec, parles lui !

W : lui parler de quoi ?

A : non mais t'es drôle ! File lui un rencard, un vrai et fonce !

W : je ne pense pas que ce soit une bonne idée...

Une voix au loin : fin de la pause les gars, en place ! Amaury et Wentworth vous vous placez derrière la voiture, Rockmond tu prends l'arme et tu montes à l'arrière.

Ils s'exécutèrent instantanément, coupant court à la discussion au grand soulagement de Went.



Banlieue de Dallas - 08:00 pm, heure locale.

Cela faisait plusieurs heures que l'équipe travaillait sur les différents points du script qui posaient problème. De nombreuses propositions et idées avaient été écartées, Paul voulait du nouveau, quelque chose qui donne un souffle à l'épisode, son crédo, ne pas s'emmitoufler de monotonie. Mais pour les scénaristes et leur équipes, baignés de Prison Break depuis 3 ans, il devenait parfois difficile de réinventer constamment. Lilie était installée depuis toutes ces heures et écoutait patiemment les différents échanges de l'équipe.
Paul semblait toujours sceptique et harassé lui aussi par autant de travail, il accroda enfin une pause à l'équipe. Sandra sauta sur la machine à café tandis que Paul se dirigea vers Lilie.

P : alors, qu'en penses-tu ?

L : je trouve que ce travail est formidable ! C'est vraiment super intéressant de suivre tout çà, autant que le tournage en lui même !

P : je suis vraiment ravi que tu t'intéresse à cette partie du travail, ce n'est pas le devant de la scène et ici pas d ebeaux acteurs !

L : je suis passionnée d'écriture, çà peut s'expliquer aussi !

P : tu as raison, cet épisode t'inspires ?

L : j'ai quelques idées mais...

P : mais quoi ?

L : c'est ridicule...

P : et pourquoi ? Ecoutes, je crois visiblement que je n'obtiendrais rien de plus de l'équipe aujourd'hui, écris tes idées et donne moi tout çà demain pour 01:00, on verra si c'est si ridicule !

L : je n'oserais jamais !

P : tu aimes les défis ? Alors tiens-le ! C'est en forgeant que l'on devient forgeron ! Je n'ai pas fait d'écoles de Cinéma, tu pourrais avoir ta place dans l'équipe, qui sait ?

Lilie ne bougeait plus, les dernières paroles de Paul l'avaient fixée sur place, telle une statuette...

trop fort une place dans l'équipe!!!!

Moi aussi je voudrais une place dans l'équipe, elle a trop de la chance!!!!!!
Allez Went bouge toi les fesses si elle te plait en plsu elle va peut etre rester plus de 3 semaines!!!!!!!!!!!!
LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Quartier résidentiel de la Banlieue de Dallas - 10:00 pm, heure locale

Lilie était accoudé au bar, un Lapsang Souchong fumant dans un mug. Sandra venait de s'éclipser, la félicitant de la proposition et du défi que lui avait lancé Paul. Lilie se sentait survoltée par cette épreuve, tout autant qu'elle flippait. Un paquet de feuilles blanches posées devant elle et un critérium dans la main droite, elle se pencha sur l'ouvarge et laissa ses doigts poser sur le papier ce que son esprit lui dictait.

Au même moment - à quelques kilomètres du quartier résidentiel

Wentworth était au volant de son 4x4 et rejoignait son pavillon. La journée avait été longue et riche en rebondissements, il se sentait claqué. Brett avait voulu rattraper tout le retard et grâce à quelques bonnes prises en début d'après-midi, c'était réussi. Leur week end n'en serait donc pas affecté.
Son téléphone, posé sur le siège passager s'alluma et se mit à vibrer laissant s'afficher le prénom de l'appellant, "Marianna".
Went n'eu aucune réaction, il avait presque oublié ce qui s'était passé la veille et ce grâce à quoi il s'était retrouvé à passer une agréable soirée en compagnie de Lilie.
Concentré sur la route, il laissa sa messagerie se mettre en route, il écouterait le message plus tard et rappellerait si necessaire.
Il passa devant le pavillon de Lilie et apperçut de la lumière. Malgré une irrépressible envie de s'arrêter et d'aller frapper à sa porte, il continua tout droit en direction de son propre pavillon, une bonne nuit de sommeil lui porterai certainement conseil.

Plusieurs heures plus tard, Lilie ne dormait toujours pas et le flot de ses pensées continuait à noircir les pages blanches maintenant éparpillées tout autour du bar au fur et à mesures de l'écriture et des corrections.
Exténuée, elle se décidé quand même à aller se coucher et s'endormit presque instantanément sans avoir réfléchi à ses sentiments et émotions des derniers jours.

Le Lendemain - 07:00 am, heure locale

Lilie sauta du lit après cette courte nuit de sommeil, elle venait seulement d'ouvrir les yeux, mais surexcitée par ce qui l'attendait aujourd'hui, elle était bien incapable de grapiller une once de sommeil supplémentaire.
Elle enfila rapidement une tenue de sport et ses runnings et se précipita à l'extérieur ou le quartier était encore endormi, pour un jogging matinal. Dans à peine une heure, le soleil radieu de cette journée de fin d'été mettrait fin à la fraîcheur matinale et la quartier commencerait à retrouver son agitation quotidienne.

Quelques centaines de mètres plus loin, Wentworth se réveillai lentement. Couché depuis la veille 10:30, il avait dormi comme un bébé et comme jamais depuis longtemps. Il descendit dans la cuisine et se prépara un café. En voyant son portable posé sur le bar, il réalisa qu'il n'avait pas encore écouté le message laissé par Marianna. Il empoigna l'appareil et composa alors le numéro de sa messagerie...

"Went, c'est moi, je voulais m'excuser pour ce que je t'ai dit hier, non pas que je ne le pensais pas, mais je n'aurais pas du te l'annoncer comme çà, ni raccrocher aussi vite. J'ai vu les journaux ce matin et j'ai réalisé malgré moi que tu n'avais jamais été ambigue avec moi, je me suis trop immaginé de choses toute seule. J'ai compris grâce à ce regard que tu as sur cette photo quand tu la regardes. Je te connais, je vois bien ce qu'il se passe là, j'aurais juste aimé que tu me dises que tu avais rencontré quelqun. Je ne t'en veux pas, j'espère que c'est partagé, je t'embrasse, peut-être à ce week end."

Le message que lui avait laissé Marianna le soulagea, elle avait l'air d'aller bien, mais ce qui l'inquiétait c'est que tout le monde avait l'air de connaître mieux que lui ce qu'il pensait et ressnetait.
Après un petit déjeuner léger, il se prépara et rejoint le tournage.

Dallas - lieu du tournage - 10:00 heure locale

Lilie venait d'arriver et se dirigeant vers la salle de réunion des scénariste, elle demanda si Paul était déjà là. La réponse affirmative ne se fit pas attendre et elle accéléra le pas. Lorsqu'elle arriva, elle frappa puis entra instantanément pour le trouver seul, en train de travailler sur le script à voix haute.

L : bonjour paul !

P : Lilie ? Tu es déjà là ?

L : oui, et j'ai ce que tu m'as demandé, je ne pouvais pas attendre, c'est pour çà que je suis déjà là.

P : bon et bien, voyons çà !

Lilie s'approcha et lui tendit le script peaufiné durant la nuit passée.

P : dis moi, tu étais inspirée !

L : depuis le temps que je m'invente les suites de PB en attendant chaque nouvel épisode à chaque fin de semaine !

P : bien, je m'y mets tout de suite.

Il se réinstalla à sa place initiale.
Lilie, anxieuse, sortit de la pièce et se dirigea vers les machines à café. Sandra y était déjà et lui fit de grands signes lorsqu'elle l'apperçut.

S : alors, tu es tombée du lit ?

L : oui, on peut dire çà comme çà...

S : il l'a ?

L : oui, il est en train de le lire !

S : je ne me fait aucun souci, tu es douée pour çà !

L : on verra...

Au même moment, Sandra vit arriver Wentworth au loin qui lorsqu'il apperçut Lilie de dos, se dirigea vers elles. Celle-ci fit instantanément mine d'avoir quelque chose de très important à faire.

S : je...je vais te laisser, je dois voir le reste de l'équipe c'est très urgent...

L : mais...Sandra !

Elle ne comprit rien à sa réaction, sauf quand 1/4 de seconde plus tard elle entendit une voix derrière elle.

W : Lilie, bonjour, çà commencait à faire un bail !

L : bonjour Wentworth !

W : tu m'évites ?

L : pourquoi dis-tu cela ?

W : d'abord tu sèches un jour de tournage pour le passer avec les scénaristes puis hier soir tu es restée planquée chez toi et aujourd'hui tu disparait du quartier avant tout le monde !

L : non, je ne te fuis pas le moins du monde, mais Paul m'a proposé de lui écrire un bout d'essai sur une partie su scénario du prochain épidose qui ne lui plaît pas. Dès que je suis rentrée hier soir j'ai bossé dessus et je n'ai pas vu le temps passer.

W : c'est génial !

L : oui, je me sens toute bizarre ! Je viens de lui donner et il le lis en ce moment même ! J'ai l'impression de passer un oral !

W : félicitations, vraiment !

L : merci, mais avant je préfère attendre son verdict.

W : Lilie...je voulais te demander...

L : oui ????

W : est-ce que tu accepterais de dîner avec moi, d'aller se faire un ciné tous les deux, je veux dire, un vrai rendez-vous ?

Lilie n'en croyais pas ses oreilles, quelle journée ! Wentworth était devant elle, timide, limite gêné en train de lui demander si elle accepterait un rendez-vous ! Sa réponse ne se fit pas attendre et fut aussi soudaine qu'elle s'en étonna elle-même.

L : je serais ravie Went

W : bien, alors ce soir, je passe te chercher à 7:00 ?

L : parfait, à tout à l'heure !

Au loin, Paul venait de sortir de la pièce et appela Lilie pour qu'elle vienne le rejoindre.

W : bonne chance

Lilie remercia Went et lui adressa un grand sourire cramoisi, la chaleur de son visage et les tremblements de ses jambes n'amméliorant en rien son état physique, quel verdict allait-il lui annoncer ?

oh vite la suite
je veux savoir le verdict

Super suite Bravo !!!

enfin un petit diner

C'est bien Went tu t'est enfin decider!!!!!!!!!!!!!!
J'espère que sa a plu a Paul les scipts de Lilie!!!!
la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

la suite va être riche... un verdict un rendez-vous j'ai trop hate

je suis total fan de ta fic

Voila la suite ! Merci de vos coms...heureuse que çà continue à vous plaire...car y' a de quoi faire !







Jeudi 30 Août 2007 - lieu du tournage - Banlieue de Dallas - 10:30 am, heure locale
Lilie était instalée face à Paul, les deux mains cachées entre ses deux cuisses, signe de son anxiété et de sa gêne à l'attente du verdict qu'il s'apprêtait à lui donner sur son travail.

P : Lilie, tout d'abord, saches que je vais te parler en professionnel, donc de ne pas te sentir blessée si je te fais une remarque désobligeante.

Après ces premières paroles, le peu d'assurance qui lui restait encore s'envola et son coeur qui battait déjà la chamade semblait s'envoler de plus belle et vouloir sortir de sa poitrine.

P : Voilà, je viens de tout lire d'un premier jet et...je suis surpris ! Bien sur, tu manques de technique et ton style d'écriture reste trop littéraire pour du script mais je suis bluffé Lilie. Il y a plus d'idées et d'inspiration dans ces quelques feuilles de papier que dans ce que j'ai pu réunir du travail commun de toute l'équipe en ce début de semaine. Tu peux être fière de toi Lilie.

L : merci.

P : ce n'est pas parfait, loin de là, mais tu as l'essentiel, les idées, pour le reste, quelques techniques et du travail en commun pourront t'aider à peaufiner ton style. Si tu veux te lancer dans le métier, tu réussiras sans problèmes, crois-en mon expérience.

Le coeur de Lilie se dessera et son visage bouillait d'émotion, elle devait être écarlate de soulagement et de reconnaissance. Jusqu'a aujourd'hui, elle avait toujours écrit pour elle même, ne faisant lire ses oeuvres qu'a Sofia qui n'était pas spécialiste pour juger. Aujourd'hui, le créateur d'une des séries les plus courtisée au monde lui parlait de son travail comme d'un diamant brut à travailler. Paul la regardait amusé, il la sentait incapable de répondre quoi que ce soit aux affirmations qu'il venait de lui lancer et se contenta de lui sourire en secouant la tête pour lui faire comprendre qu'il approuvait. Il lui relut les passges sur lesquels il souhaitait retravailler et commença à aborder un autre sujet.

P :Lilie, ces papiers, je ne peux m'en servir que si tu m'en donnes les droits, autrement dit, si tu travailles pour moi ou que tu me les vends.

L : je comprends.

P : alors j'ai une proposition à te faire, je te laisse quelques jours pour y réfléchir. Si tu le souhaites, je te propose de t'engager dès maintenant avec une période d'essai de 3 semaines, c'est à dire le temps de ton séjour prévu ici. Si tout se passe bien, je t'embauche définitivement à l'issue et tu auras la possibilité de rester après. La seule chose qui changera c'est que tu devras travailler avec l'équipe scénaristique durant ton séjour. Sinon, je te rachètes juste les droits du script que tu viens d'écrire et tout continue comme avant, à savoir pendant 2 semaines et demies. Surtout ne me donnes pas dé réponse maintenant, refléchis-y bien, j'attends ta réponse d'ici la fin de semaine.

L : merci Paul, je ne sais pas quoi dire...

P : ne dis rien, je crois que tu es attendue.

Il se leva et la raccompagna tout sourire à l'entrée. Sandra, Amaury et Wentworth faisaient le pied de grue en l'attendant. Lorsquelle les apperçut, elle ne put s'empêcher de leur sauter de joie dans les bras.

S : pas besoin de nous dire que çà c'est bien passé alors !

L : c'était super, il a aimé, il m'a fait une proposition !

A : c'est génial !

S : super !

W : félicitations !

Ils furent coupés par deux assistants plateaux qui cherchait Went et Amaury depuis plusieurs minutes.

Assitant : eh ! On tourne, on attends plus que vous deux !

Amaury et Wentworth répondirent qu'ils arrivaient tout de suite et laissèrent les filles entre elles. Went se contenta juste d'envoyer un clin d'oeil subtil à Lilie pour qu'elle n'oublie pas leur rendez-vous de ce soir.

S : dis donc, çà se précise vous deux !

L : pourquoi tu dis çà, c'est amical !

S : oui et bien crois-moi, ce n'est jamais juste amical quand Wentworth invite une fille à sortir comme çà à deux pour un "vrai rendez-vous".

L : comment tu le sais ?

S: il nous l'as dit et nous a même demandé notre avis !

L : je vois, une de plus dans le panier !

S : arrêtes un peu de te trouver des excuses pour ne pas craquer !

L : je me demande juste pourquoi moi ? Qu'est-ce que j'ai pu faire pour mériter tout çà ?

S : arrêtés Lilie, bon je vais m'occuper de toi ! Grâce à toi Paul m'as donnée mon après midi. Tu as eu une carte de crédit à ton arrivée je crois ?

L : euh...oui

S : bon et bien, il ne faudrait pas que tu ailles à ton super rendez-vous mal habillée, alors après midi shopping à Dallas çà te branches ?

L : et comment !

En se dirigeant vers la voiture, elle aperçurent l'équipe du tournage en plein travail avec Amaury et Went au loin en pleine action. Lilie ne put s'empêcher de stopper son avancée et de bloquer sur sa sihlouette qu'elle apercevait au loin. Le voir en vrai avait complètement changé son regard sur l'acteur qu'elle avait pu découvrir dans les interwiews télé. Il avait encore quelque chose en plus, une beauté naturelle, une gentillesse, une douceur, du charme, mais un magnétisme qui n'était palpable qu'en sa présence. Elle commencait enfin à s'avouer que cet homme lui faisait de l'effet, et c'est avec lui justement qu'elle avait rendez vous !

Quartier résidentiel, Banlieue de dallas - 06:00 pm, heure locale

Lilie venait de pousser la porte de son pavillon les bras chargés de sacs de boutiques de mode. Pressée, elle devait encore se préparer car dans une heure à peine Went viendrait la chercher !

Au même moment, à quelques centaines de mètres...

A : hé mon pote, la classe ! Tu vas être top comme çà !

W : tu crois ? En dehors des photos de mode et des festivités professionneles, je ne suis pas "très fashion victim" tu le sais !

A : non mais attends, c'est juste une tenue créateur, et pour un premier rencard officiel faut quand même mettre un peu la dose, çà lui montrera que tu lui accordes de l'importance ! Crois-moi, à mon avis elle en fera autant ! Sinon, on s'occupe de tes cheveux ?

W : ok, je te laisse faire ! Depuis le temps que Paul le demande !

A : c'est parti !

Wentworth se déshabilla et Amaury s'occupa de lui raser les cheveux qu'ils portaient beaucoup plus longs depuis le milieu de la saison 2.

A : voilà c'est fait !

Went se leva et alla se doucher. Lorsqu'il ressortit il fut étonné de se revoir les cheveux si courts, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas revu cette tête de jeune premier du début de la série !

W : merci Amaury, je vais finir de me préparer...

A : ok, je te laisse, je dois rejoindre des potes de toute façon, bonne chance.

W : c'est çà merci !

Il s'éloigna et Went, de plus en plus anxieux s'habilla de la tenue que lui avait conseillé Amaury mais pris néanmoins soin d'ôter un ou deux accessoires qui chargait un peu trop l'ensemble à son goût.

07:00, heure locale

Lilie terminait de peaufiner son maquillage, elle avait choisi une petite robe fluide aux genoux et légèrement décolletée de couleur turquoise qui faisait ressortir son bronzage et le doré naturel de sa peau. Elle portait de simples bijoux en or, une bague et un petit collier ras du cou ainsi que le bracelet assorti. Pour maquillage, elle s'était auréolée les yeux d'une ombre à paupière taupe et d'un khôl brun ce qui lui donnait un regard perçant cependant emprunt de naturel. Se regardant une dernière fois dans la glace, elle se trouva très féminine sans en avoir fait des tonnes, elle restait égale à elle même, ce qui était le plus important à ses yeux. Elle n'avait rien céder à Sandra et s'était acheter contre son avis une paire de nus pieds extras plats aux brides de cuir qui s'entrelacaient et laissait largement apparaitre des doigts de pieds fins et soignés .
Un petit sac en cuir marron assortis à ses nus pieds et une veste en jean cintrée lui donnait une allure incroyable. Elle s'était rarement sentie aussi sure d'elle et aussi bien malgré la sacré soirée qui l'attendait. Elle rigola en pensant qu'il ne lui manquait plus que le chapeau de cow boy !

Elle sursauta et le sourire sur son visage disparut lorsqu'elle entendit 3 coups frappés sur sa porte, Wentworth devait être en bas, çà y est, il était là ! Elle attrapa nerveusement son tube de labello qu'elle appliqua sur ses lèvres et descendit les marches pour rejoindre le salon et ouvrir à son invité...

trop fort la prposition de Paul, c'est le pied total

ah le rencard!!! j'ai trop hate de savoir ce qu'il a prévu!!!

j'adore le côté penaud de Went... tout maladroit!!! je craque complet!!!

et Lilie qui essaye de réfréner ses sentiments c'est trop réaliste!!!

bravo mets nous vite la suite!!!

Sa c'est une super proposition qu'il lui a fait Paul!!!!! Trop heureuse pour Lilie!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J'ai hate de lire leur rendez-vous car a mon avis il va etre ........??????
Presser de lire la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Voilà la suite ! Bonne





Lilie était derrière la porte, finalement bien moins sure d'elle qu'il y a quelques minutes, elle replaca une mèche de cheveux, souffla un bon coup et ouvrit la porte...

W : Lilie !

L : Went ! Tes cheveux !

W : tu es...magnifique ! Il n'y as pas d'autre mot !

Lilie explosa d'un rire nerveux pour éviter de devenir cramoisie ou de s'évanouir définitivement.

L : tu n'es pas mal non plus !

W : bon, je t'enmènes ?

L : je te suis.
Il lui ouvrit délicatement la porte de son 4x4 et la referma derrière elle.
Elle était a couper le souffle ! Ses longs cheveux bruns ondulés qui tombait en cascade sur ses épaules à peine surmontées de fines bretelles retenait un décoleté étourdissant. Mon dieu Went, il faut que tu te reprennes se dit-il intérieurement.

W : tu as une envie particulière ?

L : oui, mais je suis déjà comblée...

W : tu ne m'aides pas beaucoup...

L : désolée...

W : alors je t'enmènes au Fifty Vox, c'est un cinéma ou ils diffusent de vieux films américains des années 50, j'ai cru comprendre que tu adorais çà ! J'espère que cela sera moins soporifique que la dernière fois tout de même !

L : ce n'est pas gentil de se moquer ! çà me va !

W : tu est partie tôt du tournage ce matin !

L : oui, Paul nous a laissé partir et Sandra m'a entraîné dans une folle virée shopping ! Elle est incontrôlable !

W : mais j'ai l'impression que tu ne t'es pas laissée influencée ! Cette tenue, ce n'est pas vraiment son genre !

L : çà se voit tant que çà ? Moi qui voulait être un peu originale !! Tout est si démesurée ici ! Elle m'a fait essayer de ces trucs ! Mais je n'avais ni la poitrine ni le corps de déesse nécéssaire à tout çà !

W : t'inquiètes, je préfère...voilà, nous y sommes, je vais tenter de me garer à proximité, je ne voudrais pas qu'une pluie torrentielle abîme le tableau !

Lilie se tourna vers lui et lui lança un petit sourire ironique.

L : c'est pourtant bien la pluie !

Après que la voiture fut garée dans un parking souterrain, Lilie s'apprêtait à sortir quand il vint à sa rencontre lui ouvrir la porte et la fermer derrière elle.

L : je ne suis pas habituée à tant d'attentions !

W : on dit pourtant que les français sont les rois pour çà !

L : légende...

Wentworth la laissa passer devant lui et remarqua ses petites chaussures, plates qui laissaient apparaitre ses minuscules petits pieds fins.

W : mon dieu, mais tes pieds sont minuscules, je trouve çà trop mignon !

L : je sais , je fais seulement du 39 pour mes 1,78 m, ridicule, c'est à se demander comment je tiens debout !

W : tu sais moi je fais du 45 pour 1,85 m, c'est pas très glamour !

L : arrêtes de me faire rire, tu crois que les filles regardent tes pieds, je te signale quand même que tu as été élu homme le plus sexy de l'année !

W : oui mais celle qui m'ont élues ne me connaissent pas et je ne les connais pas non plus...tout s'est alors basé sur le physique et sur tout ce qu'il en transparait de derrière la télé ou l'objectif. Je sais très bien que ce n'est pas suffisant.

L : je suis d'accord.

W : bon, prête à te jeter dans la gueule du loup ? Je ne pense pas que l'on passera inapercus, tu le sais ?

L : je vais essayer de m'y faire !

W : tu sais, je crois que même sans moi, tu ne passerais pas innaperçue ce soir !

L : beau parleur !

Il ouvrit la porte qui reliait le parking souterrain au complexe cinématographique et laissa Lilie passer. Ils se dirigèrent directement près de l'accueil et Wentworth pris Lilie par la taille pour l'entraîner près de la caisse. Il n'avait aucune peur que les gens autour tire des plans sur la comète, il était effectivement en galante compagnie et en avait ras le bol de faire attention à tous ses actes. Faire attention ne lui avait rien rapporté et plutot beaucoup couté ! Ce soir, Lilie passerai avant tout le reste.
La population qui fréquentait ce lieu était variée et à cette heure, même en pleine semaine, le cinéma était assez bondé. De nombreuses personnes le reconnurent, les filles l'épiait, il était particulièrement élégant et charmant dans cette tenue et cheveux ultra courts. Elle ne mirent pas longtemps à toiser aussi celle sui l'accompagnait et qui faisait également se retourner les hommes sur son passage.

W : ti vois je te l'avais dit...

L : je suis mal à l'aise.

W : je suis là, tu n'as rien à craindre.

Ils se dirigèrent dans la salle déjà plongée dans le noir pour leur plus grand plaisir. Lilie s'installa quelques rangs devant l'écran et Went à coté d'elle.

W : tu veux grignoter quelque chose ?

L : non merci.

Le cinéma diffusait quelques bandes annonces des prochains vieux standards qui seraient à l'affiche. Lilie se tourna vers Went qui la fixait intensément. Elle sentait ses mains se mettre à trembler. L'éclairage de l'écran se reflétait dans ses yeux et son coeur battait à tout rompre, elle avait l'impression que la rangée de sièges tremblait avec elle. Elle soutint son regard et cela dura un temps qui lui parut infini.
Le film commenca enfin et ils se plongèrent tous les deux dans la comtenplation de l'interprétation des acteurs.

Deux heures plus tard...

L : c'était très beau...

W : content que çà t'ai plu ! Je t'ai vu renifler !

L : moqueur !

Ils se dirigèrent vers la sortie en essayant d'être les plus discrets possibles, mais une seconde séance avait lieu et le hall était blindé de monde. Même si personne ne vint les déranger, une bonne partie de Dallas serait demain au courant que Wentworth Miller avait eu un rendez vous galant.

De nouveau dans la voiture, Went proposa à Lilie d'aller dîner.

W : un restaurant français çà te dit ?

L : la cuisine française vue par les américains, çà c'est une très bonne idée !

W : c'est parti ! Au fait, au cas ou j'oublierai de te le dire plus tard, tu as de très jolies jambes, tu devrais les montrer plus souvent !

Lilie empoigna sa cuisse et serra le tissu pour le pincer. Il déplaca instinctivement sa main du levier de vitesse pour se poser sur celle de Lilie en poussant un "aiie" de douleur.

L : répètes un peu çà pour voir !

La main de Lilie avait laché sa cuisse mais se trouvait toujours prisonnière de celle de Wentworth qui entrelaça ses doigts dans ceux de Lilie. Elle sentit une vague de chaleur lui parcourir le corps, descendant jusqu'au bout des orteils puis remontant jusqu'a la pointe de ses oreilles.
L'arrêt du moteur et l'arrivée devant le restaurant qu'avait choisi Went brisa la magie de l'instant. Un portier vint ouvrir à Lilie et Went céda les clés pour qu'on s'occupe de garer sa voiture.

L : ce n'est pas exactement le genre d'endroit auquel je m'attendais...

W : tous les restaurants français sont comme çà ici, mais si tu veux, on peut revenir en arrière.

L : pas question !

Après les avoir confortablement installés, le serveur leur apporta les cartes. Wentworth se laissa conduire par Lilie qui commanda chaque plat pour eux deux. Elle lui réserva un merveilleux éventail des spécialités de son cher pays natal.

L : alors, en entrée, huitres chaudes et escargots, foie gras poelé et pommes salardaises, fromages de terroir et salade verte suivi d'un croquant macaron framboise !

W : je te fais confiance !

L : tu es courageux ! Un américain d'origine anglaise, tu pars avec un sacré handicap !

W : je tiens le défi.

Les plats se succèdèrent et au grand étonement de Lilie Went sembla tout apprécier en dehors bien évidemmment des fromages qui puent. Went apprécia beaucoup les grands vins qu'il avait lui même choisi et proposa du champagne à Lilie pour accompagner le dessert.

L : très bonne idée !

Grisée par leur merveilleuse entente, l'humour de went et l'alcool, ils riaient aux éclats tout en se jetant des regards qui en disaient longs.

- Je vous ressert mademoiselle ?

L : non merci ! Went, je crois qu'il faut que je sorte dehors, j'ai très chaud tout à coup.

W : ok, l'addition s'il vous plaît !

- tout de suite Mr Miller

Il paya et s'en allèrent d'un pas rapide vers l'extérieur. Une légère brise volait dans l'air doux de cette fin de soirée. Un petit air de Jazz dans la tête Lilie se laissait griser par la volupté du moment.

- Votre voiture Mr Miller ?

W : non merci, nous allons faire quelques pas, merci.

Il se rapprocha de Lilie qui l'entraîna sur le trottoir d'en face. A égale distance l'un de l'autre, ils admiraient les lumières de la ville se refléter dans le regard de l'autre. Lilie s'adressa à lui en reprenant la même phrase ironique qu'il avait utilisé il y a quelques heures.

L : au cas ou j'oublierai de le dire tout à l'heure, j'ai vraiment passé une très agréable soirée !

Went stoppa sa progression pour la contempler un sourire mi-satisfait mi-amusé, qui continuait à avancer totalement décontractée, si belle et désirable en cet instant. Elle se retourna et voyant qu'il était quelques mètres avant, se stoppa à son tour. Lilie le regardait un petit sourire aux lèvres, attendrie par la douceur de son regard et la tendresse qu'elle y lisait. Les mains dans les poches, il restait immobile et se contentait impassible, de la comtempler. Lilie se laissa faire, immobile et souriante, les yeux pétillants de bonheur. Sa robe se soulevait et laissait entrevoir de temps à autres lde jolies jambes fuselées. Wentworth était très séduisant quand il prenait cet air détaché et mystérieux. Ses cheveux courts donnait encore plus d'expression à son visage.
Il se rapprocha doucement, le regard plongé dans celui de Lilie et attrapa délicatement ses hanches pour l'attirer contre lui. Elle se laissa porter contre son épaule et pouvait sentir son parfum et entendre les battements de son coeur qui s'embalait autant que le sien. Porté par l'effluve du parfum des cheveux de Lilie, il se dégagea doucement pour regarder au fond de ses yeux si un signe lui permettait d'aller plus loin...
Il n'eut pas longtemps à attendre, Lilie se dressa sur la pointe des pieds et s'approcha doucement de ses lèvres pour les effleurer d'abord et s'adonner à un jeu subtil de j ete prends et je te laisse. Wentworth en eu vite assez de ce supplice et attrapa le visage de Lilie entre ses mains pour lui donner un véritable baiser passioné. Il laissa ses mains descendre le long du cou de Lilie puis sur ses épaules et enfin le long de son dos et de ses hanches qu'il serra pour la tenir encore plus près de lui. Il s'embrassèrent de longues minutes faisant abstraction de tout ce qui les entourait. Lilie frissonnai de plaisir. Wentworth se détacha d'elle a regret lorsqu'il s'en rendit compte.

W : tu as froid ?

L : non, mais j'aimerais rentrer.

Il l'embrassa furtivement à nouveau avant le l'entraîner main dans la main vers l'entrée du restaurant récupérer sa voiture.
Il s'installa au volant et de nombreuses minutes restèrent silencieuses, la main de Lilie dans la sienne sur le levier de vitesse, aucun d'eux n'avaient besoin de parler, leurs regards communiquaient très bien tous seuls.

La voiture s'immobillisa devant chez Lilie. Il coupa le contact et la raccompagna jusque devant sa porte. Le quartier semblait parfaitement endormi en cette heure avancée. Lilie inséra sa clé dans la serrure et se retourna vers Went.

L : pour la seconde fois, j'ai passé une excellente soirée.

Went ne répondit rien et se contenta de conquérir à nouveau ses lèvres. Ecrasée contre la porte d'entré, Lilie tentait de respirer, les bras autour du cou de son assaillant.

L : Went, je crois que tu devrais rentrer chez toi.

Il se recula visiblement surpris de la réaction de Lilie.

L : ne m'en veux pas, mais je préfère que nous en restions là ce soir, si je te propose un dernier verre, je ne suis pas sure de pouvoir te laisser partir. Je préfère y aller doucement, apprécier, tu comprends ?

Malgré sa surprise, il ne put s'empecher de laisser un sourire éclairer son visage, il était encore plus touché à cet instant que si elle lui avait instantanément ouvert sa porte.

W : bien sur que je comprends, même si c'est dur de te quitter.

Elle répondit à son sourire par un chaleureux baiser immobile, lèvres contre lèvres l'espace de quelques secondes pour clore ce rendez vous exceptionnel, sa rencontre exceptionnelle.
Went l'abandonna en regagnant son véhicule a reculons pour ne pas briser le contact de leurs regards. Elle le salua une dernière fois de la main avant de le voir s'éloigner chez lui, quelques centaines de mètres plus loin...
La nuit allait être longue à passer, chacun de leur coté....

Magnifique, Sublime je n'ai aps de mots pour décrire ce moment si intense et si romantique!!!!!!!!
Ils osnt ADORABLES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
LA SUITE ET VITE STP STP!!!!!!!!!!!!!!!!

Cette suite est super j'adore . quand es kon aura le droit a une petite suite? Bientot j'espere

Et bien c'est si gentiment demandé !






Vendredi 31 Août 2007 - lieu du tournage - 10:00 am, heure locale.

Lilie était arrivée tôt pour voir Paul avant que tout le monde n'arrive. Elle avait très peu dormie, n'avait pas arrêté de repenser à cette soirée et en avait profiter pour contacter Sofia par mail pour tout lui raconter en lui demandant tout de même de rester discrète - autant demander à un singe de ne pas faire la grimace- ce qui l'avait quand même soulagée. Réveillée de bonne heure, elle s'était préparée et enfuie de peur de croiser Wentworth et de se rendre compte que tout cela n'était qu'un rêve. Elle se sentait tomber amoureux de ce grand brun métis et cela l'effrayait au plus haut point. Incapable de réfléchir à la proposition de Paul, elle venait lui demander un délai supplémentaire.
Elle l'aperçut dans le couloir et se dirigea directement vers lui.

P : bonjour Lilie, tu es bien matinale !

L : oui, il fallait que je te vois avant que tu sois trop occupé.

P : je t'écoutes.

L : je voudrais attendre lundi matin pour te donner ma réponsé définitive, ce n'est pas trop demandé ?

P : tu es venue si tôt exprès pour çà ? Un sms aurai suffit tu sais !

L : je préfèrais te voir en personne.

P : pas de problème Lilie, prends ton temps, je conçois que ce genre de décision ne se prenne pas à la légère, c'est tout à ton honneur !

L : merci Paul, vraiment.

Il la salua et s'éloigna. Le couloir était désespérément vide et lilie se dirigea vers la machine à café, cela ne lui ferait pas de mal, le peu d'heures de sommeil qu'elle avait réussi à grapiller entre deux pensées pour Wentworth n'avait pas permis de reposer tous ses muscles. Lilie alla s'installer dans la salle de réunion pour écrire un script, un bout d'histoire et se changer les idées, penser à autre chose...

Même moment, quartier résidentiel de Dallas

A : entres, je t'en prie, je t'attendais.

W : salut, tu as l'air reposé pour quelqun qui sortait entre potes hier !

A : on ne s'est pas éternisés, je me garde pour notre week end à LA mec ! Mais on peux pas en dire autant de toi, t'as une mine ! Ta soirée s'est bien passée j'espère ?

W : un seul mot, PARFAIT ! Je me sens tout bizarre Amaury, je crois que je suis en train de tomber amoureux. C'est indescriptible l'effet que me fait cette fille, on s'entend à merveille, on a le même humour, elle est physiquement tout ce que j'apprécie chez une femme.

A : oui, bon , c'est bon j'ai compris t'es accro !

W : justement, pour notre week end; je comptais l'inviter à venir le passer avec moi ?

A : oui ben je crois que j'avais compris ! Sympa !

W : Amaury !

A : je blague ! Je suis super content que t'ai enfin trouver chaussure à ton pied mon pote ! Elle a accepté ?

W : euh...je lui ai pas encore demandé...

A : mais elle est où, elle n'est pas avec toi ?

W : non, elle est rentrée dormir chez elle après notre soirée.

A : ah, c'est resté très soft alors...

W : elle préfère aller doucement

A : quel gentleman !

Lieu du tournage - Banlieue de Dallas - 12:30 am, heure locale

Wentworth arpentait les couloirs et endroits dans lesquels il aurait pu trouver Lilie, il était à la fois anxieux et crevait d'envie de la voir. Un espoir le gagna lorsqu'il apperçut sandra au loin. Il se précipita à sa rencontre.

W : Sandra, bonjour, tu as vue Lilie ?

S : oui...elle est dans la seconde salle de réunion...çà va ?

W : oui, merci...

Il coupa court à la discussion et se dirigea vers la porte de la salle de réunion. Il frappa. Aucune réponse. Il entra. Lilie était appliquée la tête inclinée au dessus d'un bloc de papier, ses longs cheveus relevés avec des épingles.
Il toussa et elle sursauta et se retourna

W : désolé, je ne voulais pas te faire peur, bonjour

L : c'est de ma faute, je suis tellement concentrée que j'oublie ce qui m'entoure.
Il s'approcha et elle se leva pour l'acceuillir.

W : tu m'as manquée, je n'ai pas beaucoup dormi tu sais.

L : moi non plus, j'ai failli venir te retrouver mais une ou deux claques et une bonne douche froide ont réussi à me calmer.

Went lacha un rire étouffé et s'empara des épaules de Lilie pour qu'elle vienne se blottir contre lui.

W : je voudrais te proposer quelque chose...

L : oui ?

W : ce soir, je pars en week end chez moi à L.A et je voulais te proposer de venir avec moi, j'ai deux places sur le vol de 06:00, çà te branches ?

Lilie ne répondit rien et se contenta de déposer un petit baiser dans son cou.

W : çà me va comme réponse !

Il l'attira contre lui et l'embrassa tendrement. Sandra entra comme une furie à ce moment là.

S : ouh là désolée, j'ai rien vu !!!

L : Sandra reste, nous avions terminé, j'ai quelques chose à te montrer.

Elle fit un clin d'oeil à Went qui s'éclipsa discrètement en lui rappelant l'heure ou il passerait la chercher.

S : dis-moi, çà roule vous deux !

L : je suis comblée ! Bon sinon, tiens, c'est une ébauche de ce sur quoi j'ai travaillé ce matin, tu peut le lire et me dire ce que tu en penses ?

S : çà marche !

L : je rentres, je prépare mes affaires, Went m'emmènes passer le week end chez lui à L.A !

S : bon courage alors !

L : merci, à mardi !

S : à mardi !

Lilie quitta les studios afin de regagner son pavillon et de préparer quelques affaires pour le week end qui l'attendait.

Aéroport de Los Angeles 06:30 pm, heure locale

Went et Lilie se dépêchèrent de récupérer leurs sacs et de foncer trouver un taxi avant que Wentworth ne soit assailli par les fans. Quelques malheureux autographes cédés et ils arrivèrent enfin à s'immiscer dans un taxi.

30 minutes plus tard, Went glissait sa clé dans la serrure de son immense villa loft californien, laissant Lilie apprécier la vue qui s'étendait à perte.

L : c'est magnifique !

W : je suis content que çà te plaise. Je dépose tes affaires dans la chambre d'amis ?

L : merci.

Il revint presque instantanément, Lilie était toujours plongée dans la contemplation du paysage.

W : tu veux boire quelque chose ? Un thé glacé ?

L : parfait, merci.

W : tu veux faire quelque chose de particulier ?

L : je t'avoues que je suis exténuée !

W : ok, une pizza et au lit, çà te branches ?

L : tu es mon sauveur !

Il attrapa une brochure et proposa à Lilie de choisr.

L : une napolitaine pour moi

W : ok, alors une napolitaine et une peperroni !

Il décrocha le téléphone et commanda, les pizzas seraient livrées dans 30 minutes. Lilie était très lasse. Wentworth s'approcha d'elle et commença à lui masser le cou.

L : je crois que je vais aller prendre une douche, çà me réveillera un peu.

W : je t'en prie, la salle de bain est là haut.

Elle grimpa péniblement les marches et se faufila sous la douche ou elle s'arrangea pour que l'eau ne soit pas trop chaude pour que l'effet soit vivifiant. Elle ressortit de longues minutes plus tard et attrapa une charmante petite robe fluide et colorée à motifs fleuris qui lui arrivait à mi-cuisse et se couvriet avec un cache coeur en dentelle. Elle descendit les marches pour rejoindre Went qui l'attendait et qui avait improvisé un pique nique pizza par terre au milieu des tapis coussins et canapés.
Lorsqu'il apperçut Lilie il en eut el souffle coupé, et n'avait plus très faim.

W : tu es magnifique !

L : arrêtes ! je meurs de faim !

W : moi aussi, mais je n'ai plus trop envie de pizzas !
Il se releva et avança à sa hauteur pour déposer un baiser passioné sur se lèvres. Lilie se sentait défaillir et ses sens en ébulition au contact prolongé de Wentworth n'avaient plus aucune connection avec sa raison. Elle essaya de luter pour se dégager mais son désir lui fit perdre toute tentative de résistance face à cet ennemi impitoyable.
Elle lutta dans un dernier effort pour se dégager.

L : Went je ne vais pas pouvoir...

W : tu ne vas pas pouvoir quoi ?

L : aller plus loin si je ne mange pas quelque chose tout de suite...

W : bon...je reviens, je dois avoir ce qu'il faut au frigo pour accompagner ces pizzas.

L : tu profites de la situation, méchant garçon !

W : c'est de ta faute, tu m'aguiches avec cette robe et tout le reste !

L : comment çà, tu exagères, elle est toute simple cette robe !

Lilie croqua voracement dans sa pizza et poussa un soupir de soulagement.

L : je suis affamée !

Went revint à ses cotés, deux verres de rosé italiens bien frais dans les mains.

W : mademoiselle est servie lui dit -il en français.

L : merci !

Ils mangèrent avec appétit. Lilie se sentait bien mieux à présent, après un bon repas et cete douche vivifiante. Elle sentait le regard de Went posé sur elle et les vapeurs d'alcool de l'unique verre qu'elle avait bu ne l'aidait pas à se concentrer sur autre chose.

W : tu veux une crème glacée ?

L : pourquoi pas ?

Il se lava et retourna en cuisine chercher un pot de Ben & Jerry's à grignoter à deux. Il vint s'installer à coté de Lilie, une seule cuiller à la main et ouvrit le pot.

W : je te fais manger ?

L : si çà t'amuses...

W : mauvaise réponse !
Il badigeonna le nez de Lilie de crème glacée avant de venir la retirer d'un baiser. Lilie lui confisqua la cuiller et déposa la glace sur ses lèvres à peine entrouvertes. Un large filet de crème glacé dessinait le contour de ses lèvres et Lilie s'empressa de venir le retirer avec les siennes.
Wentworth ne se fit pas prier et enlaça Lilie pour la maintenir prisonnière de ses bras. Elle s'empara de son visage au creux de ses mains et lui rendit son baiser passioné au gout de caramel. Elle sentait en cet instant que toute raison l'abandonnait, qu'elle ne pourrait pas lutter contre le désir de son corps pour celui de Went et inversement. Ils se réclamaient intensément. Went se releva et entraîna Lilie dans les escaliers, puis dans sa chambre. Il referma la porte délicatement derrière lui et se rapprocha d'elle, restée debout, stoique, le regard emplit de désir pour cet homme que des millions de femmes adulaient.
Il embrassa doucement ses épaules puis son cou et déposa de nombreux baisers sur chaque recoin de son visage. Lilie lui enleva machinalement son tee shirt et embrassa son torse puissant. Ils basculèrent en arrière sur le lit et Lilie sentit les dernières barrières de raison qu'elle possédait l'abandonner définitement au contact du corps musclé de wentworth...
Il se redressa un instant pour chercher dans son regard un signe, une approbation, une autorisation de continuer mais le regard de Lilie était sans équivoque, elel voulait plus, elle le voulait tout entier et ne souhaitait plus attendre.
Went se décida et l'embrassa plus impétueusement encore qu'auparavent mais ce fut sans compter sur la sonnerie de la porte d'entrée qui retentit à ce moment là...