Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE

bon moi je te suis dans l'autre fofo mais je tiens à te dire que j'adore vraiment !
c'est super !

et j'adore lilie ! la fille parfaite pour went !
et elle et sofia, qui se raconte tour à tour leurs petites moments de bonheur respectifs ! c'est génial !

mm si je connais déjà la suite, chargée en surprise ( )ça ne m'enpêche pas de te relire !

c'est tellement bien ! bravo encore !

et bonnes vacances ! moi aussi faut que je prépare mes valises je pars demain aussi

Super!

L'amour, l'amour, l'amour...

Quelle bonne idée de partir en vacances en même temps que moi!

Sauf que j'ai un petit espoir de décrocher pendant les vacances, si j'arrive à me sortir Wentworth Miller de la tête , peut-être que je réussirais à ne plus venir prendre ma dose quotidienne sur ce forum...

Pour ne replonger que le 17 septembre

Bonnes vacances!

Je suis vraimenet contente pour eux, ils vont enfin pouvoir vivre tranquilles

J'ai hâte de lire la suite de ce soir, surtout qu'on en aura plus d'ici un bout de temps alors

Voilà la suite de l'après midi...vu que je pars en vacances, j'en mettrrais une autre ce soir !

CHAP 32 Retrouvailles

Samedi 10 Mai 2008 –Aéroport de Los Angeles - 04 :00 pm, heure locale

Sandra était venue attendre Lilie à l’aéroport car Went avait été retenu par un photoshoot imprévu. Lilie avait été un peu déçue lorsqu’il lui avait dit la veille mais elle savait qu’elle était là pour longtemps et qu’elle ne le quitterait plus, alors cette pensée s’était un peu atténuée. Quitter Sofia et ses amis avait été un vrai pincement au cœur...elle n’aurait pas imaginé une telle chose il y a encore un an...
A cette époque, elle passait son temps à écrire des petit scénarios devant son pc, snobant toutes les sorties que lui proposaient ses amis et envoyant balader tout prétendant possible. Une seule chose retenait son attention, le cinéma et la télévision.
Sa vie avait basculé en septembre dernier, quand grâce à ce voyage et ce concours gagné ; elle avait eu la possibilité de rencontrer les vedettes de sa série télé préférée et de travailler avec de brillants scénaristes.
Elle n’avait pas prémédité de tomber amoureuse de « la star » de la série mais avait pourtant succombé dès le premier regard. Elle aurait pu deviner qu’un regard de Wentworth Miller était enivrant mais elle n’aurait pu s’imaginer lui faire le même effet. Elle, petite parisienne pas du tout fashion victim qui se la joue plutôt au feeling allait intéresser Wentworth Miller !
Elle fut sortie de sa rêverie par Sandra qui lui parlait depuis 20 bonnes secondes sans obtenir aucune réaction de sa part.

S : ou ou ? Y’ a quelqu'un ?

Elle passait ses mains devant le visage perdu de Lilie.

L : excuses-moi, je suis crevée et j’étais perdue dans mes pensées...

S : tu es sûre que çà va ?

L : non, pas vraiment...j’ai été malade ces deux derniers jours ! çà m’a vraiment retournée de devoir quitté Sofia !

S : elle viendra te voir non ?

L : oui...mais la France, tout çà...çà fait quand même bizarre de quitter son pays...

S : pense au dingue qui doit se mordre les doigts de ne pas être là à ma place...

L : il t’a dit à quelle heure il serait là ?

S : non, mais il m’a assuré être là ce soir...

Sandra conduisit Lilie chez elle et Amaury et elles en profitèrent pour parler un peu des changements que Paul voulait opérer pour la fin de la saison.
Lilie tomba de fatigue sur le canapé alors que Sandra lui avait proposé un café. Le téléphone sonna à ce moment là et Sandra décrocha.

S : Went !

W : Lilie est avec toi, je n’arrive pas à la joindre !

S : oui, elle est ici mais elle dort...

W : je vient d’arriver, je serais là dans une petite demi-heure...elle va bien ?

S : oui, ne t’inquiète pas, elle est juste un peu chamboulée par ses voyages successifs, le décalage horaire et le fait d’avoir quitté ses amis et son pays...

W : j’ai peur qu’elle m’en veuille pour çà, tu ne crois pas ?

S : arrêtes avec çà...elle a choisi de venir ici pour être avec toi parce qu’elle en meure d’envie et pas pour te faire plaisir !

Ils continuèrent sur quelques banalités et il ne tarda pas à pousser la porte de chez Amaury.

W : il n’est pas là ?

S : non, il avait une course à faire.

Went se rapprocha doucement du canapé et déposa un baiser sur le front de Lilie qui sursauta.

W : je ne voulais pas te faire peur...

Elle se releva et se jeta dans ses bras. Elle sentait son odeur, sa chaleur et son souffle dans son cou alors que ses mains parcouraient le creux de son dos. Des milliards de sensations faisaient palpiter ses veines et battre son cœur. Elle se détacha alors que Sandra se raclait la gorge pour que l’on n’oublie pas sa présence.

S : je vais dans la cuisine...si vous avez besoin de moi...

Elle s’éclipsa sans que ni Went ni Lilie ne réagissent, trop occupés à contempler leur propre flamme dans les yeux de l’autre.

W : tu m’as manqué...

L : et moi donc...

W : tu es heureuse d’être citoyenne américaine maintenant ?

L : je suis ravie d’être ici avec toi surtout...je n’ai pas choisi ce pays...je t’ai choisi toi, ce n’est pas tout à fait la même chose...

Went se rapproche et emprisonne ses lèvres pour un baiser dont il rêve depuis une semaine. Lilie se laisse docilement faire...succombant à son propre désir, entrouvrant ses lèvres pour une exploration plus poussée de sa bouche. Les mains de Went glissent de son dos à ses reins pour finir sur ses fesses qu’il maintient dans chaque main fermement. Elle se colle du mieux qu’elle peut contre lui et sent leurs corps se raidir sous l’impact du désir naissant.

L : je crois qu’on devrait se calmer et reprendre nos esprits...

Sa tête tourne encore et elle se rassoit alors que son estomac semble de plus en plus capricieux.

W : tu ne te sens pas bien ?

L : je supporte mal les voyages ces derniers temps...çà va passer...je suis juste fatiguée et un peu contrariée d’avoir quitté Sofia...tu comprends ?

W : bien sûr, ne t’inquiètes pas...on rentre ?

L : je veux bien...

Ils saluent Sandra, pas surprise de cette soudaine envie de partir et de se retrouver en tête à tête et rentrent chez Went.
A peine arriver, il sent son estomac faire des bons.

W : tu as faim ?

L : je suis barbouillée et je crois que j’ai du manger un truc pas clair dans l’avion alors non merci...

W : Ok ; qu’est-ce qui te ferait plaisir ?

Lilie s’écroule sur le sofa, jambes et bras pendants, épuisée.

L : dormir....avec toi contre moi...

Il s’approche et commence à lui masser les épaules et a nuque en parsemant son dos de baisers enflammés. Après dix minutes d’un massage à la fois relaxant et sensuel, ses caresses se font plus insistantes, laissant ses doigts traverser l’étoffe du pantalon et chatouiller la dentelle de sa lingerie fine. Malgré sa faiblesse, Lilie ne peut s’empêcher de répondre à ses assauts...son corps et son cœur se réveillent d’un désir nouveau qui s’empare d’elle toute entière.
Elle attrape sa nuque et l’oblige à la regarder dans les yeux alors u’il continue l’exploration de ce corps.

L : je t’aime...

Sans répondre, il s’approche et reprends possession de sa bouche avec détermination, laissant échapper de petits gémissements quand il sent les mains de Lilie batailler contre les boutons de son jean. Une fois débarrassée de l’étoffe, elle entreprend de le mettre au supplice en l’immobilisant et en caressant chaque partie de son corps.
Leurs lèvres se rejoignent et le ballet incessant de leu corps l’un contre l’autre recommence. Lilie entreprend e prendre les choses en main cette fois ci, à cheval sur Went. Il se laisse faire et se mord la lèvre quand il se sent enfin en elle. Leur étreinte commence en douceur, les yeux dans les yeux, le cœur battant à tout rompre. Elle se penche sur lui et emprisonne ses lèvres à nouveau, lui faisant comprendre d’accélérer le mouvement...qu’elle l’attend.
Il la fait basculer sur le dos et entame de puissants coups de reins alors que Lilie gémit sans retenue contre lui sous le plaisir qu’il lui procure. Terrassé peu après lui aussi par le plaisir, il dépose un lourd baiser dans son cou avant de s’effondrer sur elle.

Ils reprennent leur souffle doucement et Went se tourne vers elle visiblement amusé.

L : je peux savoir ce qui te fais sourire comme çà ?

W : promets-moi de me faire vérifier la bonne isolation phonique de notre futur nid d’amour...

L : pourquoi ?

W : je ne voudrais pas de problèmes avec les voisins...tu crie fort...

Lilie ne se laisse pas démonter.

L : oui, c’est vrai les françaises sont de merveilleuse simulatrices... !

W : tu insinue quoi là ?

L : mais absolument rien !

Ils partent tous les deux dans un fou rire suivit de baisers appelant un autre corps à corps...



çà remontera peut-être un peu le moral à ceux qui suivent aussi misa !

çà remontera peut-être un peu le moral à ceux qui suivent aussi misa !

c'est clair que c'est plus joyeux!!!

ah ils sont trop mignons!!

Très coquines retrouvailles

L : je peux savoir ce qui te fait sourire comme çà ?
W : promets-moi de me faire vérifier la bonne isolation phonique de notre futur nid d’amour...
L : pourquoi ?
W : je ne voudrais pas de problèmes avec les voisins...tu cries fort..

S : pense au dingue qui doit se mordre les doigts de ne pas être là à ma place..

Sa tête tourne encore et elle se rassoit alors que son estomac semble de plus en plus capricieux.
L : je suis barbouillée et je crois que j’ai du manger un truc pas clair dans l’avion alors non merci...

C'est juste la fatigue, le voyage, la nourriture de l'avion ou y a-t-il autre chose ?

Allez, un peu de piquant maintenant !



30 mai 2008 – West Hollywood – 02 pm, heure locale

Un dernier carton, un dernier effort et enfin toutes ses affaires personnelles vont être réunies. L’appartement est grand mais pas immense. De grandes baies vitrées donnant sur une terrasse ombragée à la végétation luxuriante adoucissent les grands murs blancs et encore nus du salon. Un grand salon salle à manger donnant sur une cuisine américaine, trois chambres un bureau, deux salles de bains le composent ainsi que deux pièces non aménagées. S’y rajoutent deux places de parking en sous sol au sein d’une résidence surveillée.
Ils ont visités de nombreux appartements tous plus luxueux les uns que les autres mais Lilie ne voulait pas s’un endroit impersonnel et trop grand ni de trop de sécurité.
Faisant le sacrifice de la superficie, Went exigea tout de même un minimum de sécurité, prétextant sa popularité et les paparazzis.
Après une semaine de menus travaux réalisés par eux-mêmes, ils posaient leurs affaires et s’apprêtaient à passer leur première nuit chez eux.

Went apparaît dans l’encadrure de la porte, un gros carton dans les bras, dégoulinant de sueur.

W : tu avais oublié celui là ! Tu peux me dire ce que c’est ?

L : c’est écrit dessus !

W : je ne lis pas le français !

L : ce sont mes livres…merci !

Elle s’approche et dépose un baiser malicieux sur ses lèvres.

W : première soirée chez nous ? Tu es contente ?

L : et comment…j’étais très bien chez toi mais là je me sens vraiment chez nous…en parlant de çà Dom t’a confirmé sa présence pour demain soir ?

W : oui, ils sont rentrés plus tôt de vacances car elle est sans arrêt malade à cause du bébé…donc ils seront bien là. Sofia arrive à quelle heure ?

L : je vais la chercher demain à l’aéroport à 04 :00.

W : ok…je suis vraiment content qu’elle ai pu venir.

Ils terminèrent de déballer quelques cartons, commandèrent à dîner et passèrent leur première nuit romantique dans leur petit nid ‘amour.
Le lendemain, Lilie alla chez le traiteur récupérer ce qu’elle avait commandé pour leur pendaison de crémaillère et se prépara avant d’aller chercher Sofia à l’aéroport.

Went resta seul, rangeant quelques cartons qui traînaient encore et Amaury qui s’était proposé de l’aider à préparer la soirée ne tarda pas à arriver.

A : salut mec, çà va ? C’est la classe ici…on voit que ta Lilie t’a mis le grappin dessus !

W : çà va Amaury n’en rajoutes pas…

A : elle est pas là ?

W : elle est partie chercher Sofia à l’aéroport…

A : la Sofia qui vous as séparé ?

W : oui…mais elle n’a fait que faire ce que lui avait demandé Lilie…

A : et Dom, il sera là ?

W : oui mais peut-être tout seul car sa femme est malade à cause du bébé…

A : ok…et Lilie…çà a l’air d’aller mieux à ce propos ?

W : oui...elle prends les vitamines et complément alimentaires que lui a prescrit le médecin alors elle se sent beaucoup mieux.

A : on dirait que t’es déçu ma parole !

W : je suis heureux qu’elle aille mieux mais je me surprends à m’imaginer heureux d’apprendre qu’elle aurait été enceinte...quand elle est arrivée il y a trois semaines et qu’elle a fait ses malaises à répétition, j’ai du batailler pour la conduire chez le médecin...

Flashback

Déjà trois jours que Lilie est arrivée chez Wentworth et ses nausées et vertiges ne cessent pas. Elle n’avale quasiment rien, n’à aucune force et passe son temps à dormir, le teint blafard. Went s’inquiète de plus en plus et réussi à la traîner au bout d’une semaine chez le médecin.
Arrivés dans son cabinet, il lui pose tout un tas de question.

- pouvez-vous me détailler vos malaises ?

L : je vomis sans arrêt dès que je mange, je suis fatiguée et j’ai des vertiges avec perte d’équilibre.

- bien...alors étant donné les symptômes, je fais vous faire une prise de sang. Avez-vous une contraception ?

L : la pilule et le préservatif...

- un oubli ?

L : non.

- vos symptômes ressemblent étrangement à un début de grossesse...tenez, l’infirmière va vous faire une prise de sang et nous aurons les résultats en fin de journée.

Lilie sortit du cabinet du médecin le visage livide...enceinte ? Non ce n’était pas possible ! Went était resté près d’elle, silencieux et compatissant. Elle se plia aux tests et ils rentrèrent passer la journée la plus longue de leur vie.
A l’annonce de sa possible grossesse, Went avait senti son cœur faire un bon dans sa poitrine, surpris certes, mais agréablement car il se rendait compte qu’une telle nouvelle ne l’aurait absolument pas dérangé.
Alors que l’heure approchait, il tournait de plus en plus en rond, nerveux et impatient d’appeler le cabinet du médecin.

L : tu me donnes le tournis là...

W : excuse moi mais cette attente est insoutenable...

L : tu sais si vraiment je suis enceinte ne t’en fais pas...il y a des solutions aujourd’hui...alors arrêtes de t’inquiéter !

W : tu crois franchement que je pense à des choses pareilles en ce moment ????

Il roulait des yeux ronds, étonné et choqué par les propos de Lilie.
Elle vit sa tête et comprit qu’elle y était peut-être allée un peu fort et qu’elle n’avait visiblement pas bien interprété sa réaction.

L : je...je...je pensais qu’avec tout çà qui arrive si vite tu...

W : çà ne t’es pas venu à l’esprit que je pourrais être heureux d’être père ?

L : excuses moi...ne t’emballe pas mais...ce serait peut-être un peu précipité...

Le téléphone sonna à l’instant et Lilie décrocha.

- Melle Etura ?

L : oui

- nous avons vos résultats sanguins.

L : je vous écoute ?

- vos analyses montrent d’importantes carences en fer et en magnésium ainsi qu’un léger dérèglement hormonal, sans doute du à vos nombreux voyages si vous ne prenez la pilule à heures fixes. Le médecin vous a prescrit des compléments et vitamines, vous pouvez passer prendre l’ordonnance demain.

L : c’est tout ? Vous n’oubliez rien là ?

- non, je ne pense pas...vous aviez d’autres analyses ?

L : le docteur m’avait parlé d’une possible grossesse... ?

- c’est négatif Melle.

Elle raccrocha peu après alors que son cœur commençait doucement à se calmer. Ouf elle n’était pas enceinte pensa t-elle.


Fin du flash back


A : tu lui en a parlé ?

W : je n’ai pas osé...elle n’a pas tort, nous sommes à nouveau ensembles depuis 3 mois et nous emménageons dans notre premier appart...vu sa réaction de soulagement quand elle a appris qu’elle ne l’était pas...je ne suis pas sûr qu’elle veuille un enfant de moi...



Ben oui...faut bien quelques rebondissmenents qd même !

Faut pas penser comme ca Went

Lilie rêve sûrement d'avoir des enfants de toi mais pas aussi vite, elle a pas 35 ans comme toi tout de même

Ben oui...faut bien quelques rebondissmenents qd même !

je ne suis pas sûr qu’elle veuille un enfant de moi...

Je crois simplement qu'elle a besoin de temps, qu'elle veut vivre pleinement leur vie de couple avant. J'espère qu'il en est conscient ou qu'elle saura lui faire comprendre.
ça va être dur d'attendre la suite mais profite bien de tes vacances et reviens-nous en pleine forme avec plein d'idées en tête pour les suites de tes fics.

bon Valscof... on est encore sur la même longueur d'ondes...

faut d'abord qu'ils aient leur vie avant d'être 3!!!

bonnes vacances

Comment ça elle ne veut pas un enfant de lui?? jsuis sur qu'elle veut encore profité de lui avant CE QUE TROUVE NORMAL,faut réfléchire un peu Went!!
ça va être long d'attendre maintenant pour la suite

Voilà la suite, bibis à toutes et j'espère que vous en voulez toujours !
Si c'est le cas, suite un peu plus tard !

CHAP 34 Dilemme

La soirée de leur pendaison de crémaillère avait commencée depuis une heure, et tout le monde était arrivé au fur et à mesure. Sarah était venue avec Josh et leur petite fille, Dom avec sa femme, il y avait Amaury et Sandra, William, Paul, Brett, Robert et de nombreuses autres personnes de l’équipe du tournage.

Lilie était dans un coin du salon avec Sarah et Sandra et elles riaient à gorges déployées à la vue des singeries d’Amaury.

Lilie se proposa d’aller remplir leurs verres au bar et s’y dirigea, suivie de près par Sarah. Elle commença à verser le nectar alcoolisé dans les coupes et le vit quand elle releva la tête.

Au fond de la pièce, à quelques mètres devant elle, Went était en grande discussion avec Josh et tenait leur petite dans se bras, le visage détendu et radieux. Elle eut un pincement au cœur en le découvrant ainsi. Il avait l’air de se sentir à l’aise avec les enfants, si petits soient-ils. Il souriait, riait, visiblement heureux avec cette petite fille dans les bras.
Sarah la secoua alors qu’elle versait ) coté des verres.

S : et Lilie ? tu rêves ?

Elle suivit du regard la direction dans laquelle Lilie regardait.

S : tu y repenses ?

Lilie sursauta et tenta vainement de se reprendre et de se concentrer sur sa tâche.

L : de quoi tu parles ?

S : du bébé...

L : il n’y a jamais eu de bébé Sarah ! Ces malaises n’étaient du qu’a mes carences !

S : peut-être...mais ta réaction prouve que tu doutes...et quand tu regardes Went avec ma fille çà te fais cogiter...ou je me trompe ?

Lilie soupire et inspire ensuite profondément comme pour chasser ses pensées qui l’assaillent et l’empêche d’être objective.

L : je ne serais jamais une bonne mère Sarah...je n’ai pas eu de famille et je ne serais sûrement pas à la hauteur. Il mérite mieux pour la mère de ses enfants !

S : tu penses vraiment ce que tu dis ??? Went est dingue de toi ! Tu es la première et seule femme avec laquelle je le vois comme çà ! Il t’aime et tu es certainement la seule avec laquelle il aura envie de construire une famille. Il me tuerait s’il savait ce que je vais te dire...mais je prends le risque...il m’a avoué que s’il n’avait pas peur de te brusquer et de te faire fuir en te le demandant, il t’aurait déjà demandé en mariage !

Lilie sentait les larmes lui monter aux yeux et sa vue se brouiller alors même que Went avait relevé ses yeux sur elle.

La surprise et l’incompréhension laissèrent place à l’inquiétude dans le regard de Went lorsqu’il aperçut le torrent de larmes qui perlait à ses joues. Il déposa la petite dans les bras de son père et accourut vers Lilie qui cachait maintenant son visage entre ses mains, dos à l’assemblée.
Il approcha et la prit dans ses bras en frottant son dos un moment avant de relever son visage vers lui.

W : qu’est-ce qui t’arrives Lilie ? Qu’est-ce qui ne va pas ? Parle moi !

Il l’attira sur la terrasse pour qu’ils parlent en privé.

W : dis-moi ce qui te met dans cet état Lilie, tu me fais peur.

L : je ne suis pas sûre d’être à la hauteur pour toi...Went, tu attends tellement de notre relation ! quand je t’ai vu avec la fille de Sarah dans les bras, si conquis, si heureux de porter cet enfant dans tes bras, je me suis dis que je ne pourrais peut-être jamais t’offrir ce bonheur...je ne sais pas si je serais capable de çà...

Il s’approcha doucement et sans quitter son regard, caressa doucement la joue de Lilie avec son pouce tandis qu’il maintenait son menton face à lui.

W : je t’aime et j’attendrai Lilie...c’est avec toi que je veux être...j’ai l’air malheureux ?

L : non, mais tu le deviendras peut-être !

W : permets-moi d’en douter...je t’aime et je veux vivre avec toi, me marier avec toi, avoir des enfants avec toi ! Tu ne peux pas me refuser çà !

L : si j’avais été enceinte tu aurais voulu de cet enfant ???

W : comment peux-tu en douter ?? J’ai même presque souhaité cet enfant quand le médecin a dit qu’il y avait un risque...

Lilie sentait son cœur se serrer et ses forces l’abandonner. Elle ne pouvait lui mentir plus longtemps. Sa raison avait tenté maintes fois de cacher cette vérité, tenter d’étouffer ses vieilles rancoeurs, ses craintes et angoisses...pensant que tout rentrerait dans l’ordre après.

Mais elle avait perdu ce courage, n’avait rien fait, s’était laissé aller, repoussant toujours les limites jusqu’à se mettre dans une situation irréversibles. Il était trop tard aujourd’hui.

Pourquoi n’avait-elle pas sauté le pas...pourquoi n’avait-elle pas écoutée sa raison ?
Il était évident que maintenant, elle devait lui avouer...même si cela lui coûterait certainement sa séparation avec l’homme qu’elle aimait.

Elle avait toujours eu peur de perdre les personnes importantes dans sa vie et avait donc systématiquement l’occasion de mentir pour les préserver et se faire du mal...jusqu’a ne plus pouvoir revenir en arrière.
C’était le cas aujourd’hui...

Ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis t'es revenue (heu t'es bien revenue?? ) trop contente d'avoir eu la suite, j'en reveux encore et toujours Pauvre Lilie faut pas qu'elle angoisse comme ça,Went est quelqu'un de formidable,allez marions les, il est temps!

Voilà la seconde suite de la journée !




Lilie restait prostrée sur la terrasse, paralysée, apeurée mais n souhaitant plus reculer. Il fallait qu’elle lui dise, qu’elle lui avoue cette terrible et cruelle vérité.

W : j’aimerais beaucoup que tu me parles Lilie...qu’est-ce qui peux te mettre dans un tel état ?

L : te voir avec cet enfant dans les bras m’a bouleversée Went...

W : j’ai bien compris que tu ne voulais pas d’enfant pour le moment...çà n’a rien d’anormal tu sais...je rêverais d’être père mais je peux attendre que tu sois prête !

L : je le pensais aussi quand l’infirmière m’a annoncé que le test était négatif...mais en te voyant avec la fille de Sarah dans les bras...je n’en suis plus aussi sûre...

W : je ne te suis pas là...tu n’es plus vraiment sûre de ne pas vouloir un enfant maintenant ? C’est ce que tu veux me dire ?

L ! Je...je...n’ai pas été tout à fait honnête avec toi Went...

W : j’aimerais que tu m’expliques...vraiment !

L : à douze ans...j’ai fait une grave infection qui m’a beaucoup affaiblie...les médecins m’ont fait faire des tests supplémentaires pour s’assurer des séquelles qu’elle provoquerait dans mon corps et ils m’ont assurés que jamais je ne pourrais avoir d’enfant ! J’ai espérer Wentworth qu’il se produise un petit miracle la dernière fois...mais ce n’est pas possible...je ne pourrais ni maintenant ni jamais te faire ce plaisir...

Les larmes de Lilie envahissaient son visage, au fur et à mesure qu’elle débitait ses paroles. Sa respiration devenait de plus en plus saccadée, ses mains se mirent à trembler et elle ne tarda pas à se reposer sur le muret de la terrasse tant ses jambes chancelaient.
Went se rapprocha et la soutint dans ses bras.

W : je suis vraiment désolé Lilie...je n’aurais pas du me montrer si pressant...et ma mère...je suis désolé.

Lilie tentait de calmer sa respiration pour répondre à Went qui caressait ses cheveux en même temps qu’il la soutenait.

L : je pourrais comprendre que tu te lasses de moi Went...tu finiras par en avoir marre et par vouloir une femme normalement constituée...

W : ne dis pas de bêtises...tu sais que c’est toi que j’aime...et il y a bien d’autres moyens d’avoir des enfants !

Sarah entra sur la terrasse au même moment et surpris les larmes et le visage bouffi de Lilie.

S : je peux demander à vos invités de partir... ?

W : merci Sarah...je pense que Lilie et moi avons besoin d’être un peu seuls...

Elle s’exécuta et raccompagna tout le monde afin qu’ils se retrouvent seuls.

Went aida Lilie à se déshabiller et la déposa tendrement sur le lit. Il resta à coté d’elle et la serra dans ses bras.

W : j’ai une question peut-être débile mais...pourquoi prends-tu une pilule contraceptive alors ?

L : pour me donner un semblant de vie normale...psychologiquement tu sais, c’est dur de ne pas avoir de règles...de ne pas se sentir comme les autres...

Went se rapprocha et la serra plus fort contre lui. Elle se laissa bercer pas ses caresses, tendrement lovée au creux de ses bras.

L : tu sais...même Sofia n’est pas au courant de çà...tu es la première personne à qui j’en parle...mais je comprendrais que tu m’en veuille...

W : je ne peux pas t’en vouloir de rêver d’une vie normale...mais je veux être avec toi Lilie. Je ne veux pas d’un conte de fée, je veux juste t’aimer et la vie nous donnera le reste. J’ai toujours imaginé ma vie avec des enfants, plus tard, mais aujourd’hui je ne l’imagine plus sans toi !

L : je t’aime...

Il rapprocha ses lèvres des siennes et la serra plus fort. Leurs lèvres se frôlèrent et s’entrouvrirent pour donner naissance à un baiser des plus passionné. Les deux mains de Went maintenait le visage de Lilie face au sien le temps de ce baiser qui laissa rapidement place à des caresses plus prononcées. Pris dans la volupté de l’instant, ils laissèrent voler leurs vêtements aux quatre coins de la pièce et restèrent nus l’un contre l’autre à se caresser amoureusement.

W : je crois que j’aurais besoin d’une petite remise à niveau...car de toute façon je ne sais pas comment on fait les bébés...

Lilie lui sourit et il se dit intérieurement qu’il a visé juste...son sourire le prouve, alors qu’elle entame déjà des mouvements laissant paraître son impatience.

L : je peux te montrer Miller...

Il se laisse faire et elle l’incite à venir en elle ne tenant plus face à cette douce torture qu’il lui impose. Il attrape machinalement un préservatif comme à son habitude mais Lilie lui arrche des mains et le balance à travers la pièce.

W : qu’est ce que tu fais ?

L : je crois que ce n’est plus nécessaire...je veux te sentir tout entier en moi...

Pour toute réponse, il attrape rageusement ses lèvres et la pénètre tendrement, savourant la douce sensation de ce corps chaud qui l’entoure. Leur étreinte se fait douce et câline jusqu’à ce que Lilie l’incite à se lâcher complètement. Des milliers de sensations s’emparent de son corps et il lui semble presque sentir la terre trembler sous elle quand il gémit à son tour.
Ils restent un moment l’un contre l’autre dans la félicité de l’instant qu’ils ont partagé.

W : je n’avais encore jamais ressenti çà...

L : je peux en dire autant...je crois que la remise à niveau à porter ses fruits...



Alors ??? Vous aimez toujours ????

C'est un vrai plaisir de te retrouver et de retrouver Went et Lilie

J’ai espéré Wentworth qu’il se produise un petit miracle la dernière fois...mais ce n’est pas possible...je ne pourrais ni maintenant ni jamais te faire ce plaisir...

Je comprends mieux maintenant. Les réticences de Lilie pour s'attacher à un homme ne devaient pas être étrangères au fait qu'elle ne peut pas avoir d'enfant. Elle ne voulait pas faire endurer ça à Wentworth, par amour, et elle a préféré l'éloigner de sa vie pendant plusieurs mois. Elle préférait se sacrifier mais je crois qu'il trouve vraiment les mots qu'il faut pour la rassurer, la consoler et lui dire à quel point il l'aime

W : je ne peux pas t’en vouloir de rêver d’une vie normale...mais je veux être avec toi Lilie. Je ne veux pas d’un conte de fée, je veux juste t’aimer et la vie nous donnera le reste. J’ai toujours imaginé ma vie avec des enfants, plus tard, mais aujourd’hui je ne l’imagine plus sans toi !

W : je crois que j’aurais besoin d’une petite remise à niveau...car de toute façon je ne sais pas comment on fait les bébés...
Lilie lui sourit et il se dit intérieurement qu’il a visé juste...son sourire le prouve, alors qu’elle entame déjà des mouvements laissant paraître son impatience.
L : je peux te montrer Miller...
W : je n’avais encore jamais ressenti çà...
L : je peux en dire autant...je crois que la remise à niveau à porter ses fruits...

Il lui fait aussi retrouver le sourire et même plus

W : qu’est ce que tu fais ?
L : je crois que ce n’est plus nécessaire...je veux te sentir tout entier en moi...
Des milliers de sensations s’emparent de son corps et il lui semble presque sentir la terre trembler sous elle quand il gémit à son tour.
Ils restent un moment l’un contre l’autre dans la félicité de l’instant qu’ils ont partagé.

Maintenant, je me demande si pour Lilie cette situation est vraiment définitive et si à la longue, leur couple tiendra tout de même...

Bien sur qu'on aime toujous en tout cas moi j'adore, la pauvre Lilie elle est stérile, je la comprend maintenant mais Went ça lui pose pas de probleme, comme il la dit ya d'autres moyen je suis sur que ça va s'arranger pour eux ils sont tellement mignons

la suite !




Vendredi 4 Juillet 2008 – 10 :00 am – Los Angeles

Lilie sent la chaleur du soleil sur sa peau alors que ses yeux encore collés de sommeil tentent de s’habituer à la luminosité. Elle tâte le drap du lit qui l’entoure mais aucun objet n’entre en contact avec sa paume. Elle est seule dans ce grand lit. Elle se redresse et enfile un fin peignoir de soie. A peine a-t-elle passé la porte de la chambre qu’une agréable odeur lui emplit les narines. Elle se dit que non, elle n’est pas seule, il est là, bien là et elle s’amuse, accoudée à la balustrade à le regarder s’affairer en cuisine. Il est un peu gauche mais se donne du mal et c’est ce qui le rend tellement touchant à ses yeux...
Elle descend lentement les escaliers avec un large sourire conquis aux lèvres. Il la regarde s’approcher doucement et passer ses mains autour de sa taille avant de prendre ses lèvres. Il pousse un petit gémissement de plaisir et esquisse un large sourire alors qu’il se dégage.

W : je voulais t’emmener le petit déjeuner au lit...c’est raté !

L : tu es charmant...mais qu’est-ce que tu m’a préparé de bon ?

W : des pancakes, du café français et un jus d’orange maison...çà te vas ?

L : miam miam ! Mais que veux-tu dire par « café français » ?

Elle rie intérieurement en attendant sa réponse...

W : tu sais très bien...ne fais pas ta maligne !

Ils éclatent de rire tous les deux alors qu’elle s’en verse une tasse et avale une gorgée.

W : bahhh ! Je ne sais vraiment pas comment tu fais pour avaler çà...et non sucré en plus !

L : il est délicieux...merci.

Il lui sert un verre de jus d’orange et des pancakes tout sourire.

W : J’ai dit à Dom que nous serions là vers 12 :00...çà nous laisse le temps d’une douche...ensembles ?

L : Dom...mais...c’est vrai j’avais complètement oublié ! C’est le jour de la fête nationale ! C’est barbecue c’est çà ?

W : oui...çà t’embêtes d’y aller ?

L : non pas du tout mais j’avais un peu oublié...tu n’es rentré qu’hier soir et...

W : et nous n’avons pas beaucoup parlé c’est vrai !

Il se rapproche, pose délicatement sa tasse sur le bar, lui arrache sa petite cuiller des mains et emprisonne ses lèvres dans un long et doux baiser.

W : promets-moi de venir en Floride avec moi la prochaine fois...

L : tu sais très bien que je ne peux pas Went...j’ai du travail ici...et puis avec toi dans les parages je ne peux pas me concentrer !

W : c’est quand même pas de ma faute si je suis irrésistible !

Elle lui tapote le bras en levant les yeux au ciel. Il est vraiment irrattrapable avec son numéro de charme à deux balles pense-t-elle...mais même comme çà elle ne peut lui résister.

L : je vais aller me doucher...

W : je peux t’acc...

L : non ! Je vais prendre une douche Miller !


1h15 plus tard...


Alors que Went est déjà sorti de la douche depuis une heure et tourne en ronds en attendant, Lilie reste postée devant sa glace, indécise quant à la tenue à adopter. Elle ne veut pas paraître trop pomponnée mais sait très bien qu’à Hollywood rien n’est fait au hasard.
Elle finit par opter pour une petite robe blanche à fleurs, moulante jusqu’aux hanches et évasée au dessus du genou. Un petit coup de blush aux joue et un peu de khôl aux coins des yeux et la voilà prête.
Elle descend les marches de l’escalier en tirant la grimace, insatisfaite malgré tout du résultat.

W : tu es magnifique...cette robe te va à ravir !

L : oui...parmi toutes les robes dans lesquelles je ne rentre plus !

W : comment çà ?

L : ne fais pas l’innocent...j’ai pris 4 kilos en peu de temps...t’as vu mes hanches ?

W : et cette robe comment çà se fait qu’elle te va si bien alors ?

L : je l’ai depuis un moment...c’est la taille que je mettais il y a un an.

W : la taille que tu faisais quand je t’ai rencontré alors ?

L : oui...et alors ????

W : alors moi c’est comme çà que je t’aime ! Tes hanches, ta poitrine, tes fesses, t’es pas obligée de me croire mais je préfère avec ces 4 kilos. Quand je t’ai retrouvée il y a 4 mois tu faisais peine à voir...

L : c’est de ta faute aussi, ici tout est gras et déséquilibré ! Regardes moi çà ! (elle lui désigne ses hanches) je refais du 40 maintenant !

Il la regarde de son air le plus sérieux possible.
W : tu peux me rappeler ta taille ?

L : 1,76 mètres.

W : et ton poids ?

L : 59/60 kilos !

W : t’as raison, c’est énorme !

Il se rapproche et attrape voluptueusement ses hanches pour la coller contre lui. Il enserre sa nuque et dépose un baiser dans le creux de son cou qui vibre de milles frissons à ce contact.
Lilie tente de se détacher et de retrouver son calme alors que son ventre gargouille de milles frissons

L : on y va ?

W : on est partis !


Une demi-heure plus tard...

Went et Dom s’occupent du barbecue dans le jardin, entourés des enfants qui gesticulent et se jettent sur lui pour qu’il leur fasse faire l’avion.
Lilie est restée avec Jenny dans le salon climatisé car elle ne supporte plus la chaleur avec sa grossesse. Elle est maintenant enceinte de 6 mois et son ventre est plus rond qu’un ballon de basket.

L : comment te sens-tu ?

J : çà va...mais les enfants sont épuisants...je dis çà mais je ne peux pas m’empêcher d’être ravie d’attendre ce cinquième enfant, c’est tellement fort de...

A ce moment, Lilie baisse la tête et tourne son regard vers l’extérieur ou elle aperçoit Went au jardin, en pleine révision de chat perché.

J : je suis désolée Lilie...je ne voulais pas...

L : tu n’as pas à être désolée. Je ne veux pas que les gens évitent de parler de bébés en ma présence...je peux quand même être ravie pour toi...

J : c’est gentil...mais Went il le prend comment ?

L : il est adorable...je ne peux rien lui reprocher...chacune de ses paroles est apaisante pour moi. Il m’a assuré que cela ne lui poserait aucun problème d’adopter un enfant quand je serais prête...

J : tout va pour le mieux alors ?

L : tout est parfait...cela m’a beaucoup libérée d’en parler avec lui et je me rend compte aujourd’hui que ce n’est pas que je ne voulais pas d’enfant mais que je luttais contre cette vérité. En claironnant haut et fort que je n’en voulais pas je me protégeais et m’évitait l’affrontement de ma stérilité.

J : mais tu as consulté un spécialiste depuis ?

L : non...je ne veux pas espérer pour rien...tu comprends ? Qu’on me le dise une fois de plus...et j’ai tout arrêté, contraception etc...

J : si vous êtes heureux ensemble c’est le principal...

L : merci Jenny...de me parler franchement...c’est bon d’avoir des personnes à qui se confier. J’ai vraiment beaucoup de chance ! Entre toi, Sarah et Sandra...

J : je t’en prie, si tu as besoin, je serais toujours là...

Les autres invités ne tardèrent pas à arriver et la journée se déroula sans problèmes. Amaury amusa la galerie avec Dom, Sarah n’en revenait pas que sa fille marche déjà et tout ce petit monde resta ensemble le soir même pour participer au feu d’artifice géant que Rockmond avait préparé.

Plus tard dans la soirée, Lilie se tenait assise sur la terrasse en bois un peu à l’écart et regardait les enfants jouer ensemble. Après de longues heures à courir, ils étaient encore debout et infatigables ! Went avait remarqué l’attitude de Lilie et s’approcha doucement d’elle en passant ses mains autour de sa taille.

W : qu’est-ce que tu fais ?

L : je regardes les enfants jouer...ils ont l’air si heureux !

Il se rapproche et craint déceler une pointe de tristesse dans sa voix.

W : tu es sûre que çà va ?

Elle se retourne vers lui et lui adresse un franc sourire.

L : j’ai passé une merveilleuse journée Wentworth...j’apprécie beaucoup toutes ces personnes qui sont devenus mes amis aussi...et j’ai réalisé aujourd’hui que ce qui m’arrivait n’était pas une fatalité. Cela ne m’empêcheras pas d’avoir des enfants même s’ils ne seront pas de mon sang...il y a bien pire...et je t’ai toi...c’est bien plus important que tout le reste...

Il n’avait pas su quoi lui répondre...sa franchise habituelle avait été stoppée par l’aveu de la femme qui se tenait devant lui. Il avait un instant craint que son attitude enjouée avec les enfants durant la journée lui ai pesée...mais cette femme était bien au dessus de tout çà...il avait envie de la prendre dans ses bras, de l’embrasser et de lui dire combien il l’aimait sans toutefois arriver à émettre un son ou même faire un mouvement.
Elle le regardait incrédule, consciente que sa déclaration avait fait son petit effet. Elle commençait à le connaître et savait qu’il devait se sentir à la fois soulagé et ému. Elle se rapprocha un peu plus et se tourna vers lui pour être bien en face. Caressant sa joue avec la paume de ses mains, elle effleure ses lèvres délicatement du bout des doigts et détaille chaque parcelle de son visage amoureusement. Il attrape sa main et dépose un baiser sur sa paume. Sans quitter des yeux le regard profond de Lilie, ses lèvres bougent toutes seules sous le poids de la déclaration qu’il s’apprête à lui faire.

W : promets-moi de m’épouser...

Lilie écarquille de grands yeux, et feint de ne pas avoir bien compris sa demande.
Sous sa réaction, il insiste et réitère sa demande de manière plus explicite.

W : épouse moi...



Alors, heureuses ???

pauvre Lilie, elle peut pas tomber enceinte

Mais c'est pas grave tant qu'ils s'aiment elle et Wentworth.

J'éspère qu'elle va lui dire "oui je veux t'épouser"

Mets vite la suite!!!!!!!!!

Cette scène est superbe, sa ma toute retournée lol

W : J’ai dit à Dom que nous serions là vers 12 :00...çà nous laisse le temps d’une douche...ensemble ?

Toujours aussi coquin

L : tu sais très bien que je ne peux pas Went...j’ai du travail ici...et puis avec toi dans les parages je ne peux pas me concentrer !
W : c’est quand même pas de ma faute si je suis irrésistible !

et très charmeur Lilie et lui ont franchi un cap après l'annonce de la stérilité de Lilie et je pense qu'une prochaine heureuse étape s'annonce

Il n’avait pas su quoi lui répondre...sa franchise habituelle avait été stoppée par l’aveu de la femme qui se tenait devant lui. Il avait un instant craint que son attitude enjouée avec les enfants durant la journée lui ai pesée...mais cette femme était bien au dessus de tout çà...il avait envie de la prendre dans ses bras, de l’embrasser et de lui dire combien il l’aimait sans toutefois arriver à émettre un son ou même faire un mouvement.
W : épouse moi...

Je crois bien Lilie va dire oui à moins que de nouveaux rebondissements ne se présentent
Je me demande aussi si la stérilité de Lilie est aussi définitive que ça

En claironnant haut et fort que je n’en voulais pas je me protégeais et m’évitait l’affrontement de ma stérilité.
J : mais tu as consulté un spécialiste depuis ?
L : non...je ne veux pas espérer pour rien...tu comprends ? Qu’on me le dise une fois de plus...et j’ai tout arrêté, contraception etc...

hum ca l'air bien !!!

allez...un petit rebondissement...




Lilie n’arrivait toujours pas à réagir. Les mots sortit de la bouche de Wentworth résonnaient maintenant en elle dans un écho infini. Elle sentait sa tête vriller et son cœur marteler sans sa poitrine à un rythme qui aurait pu lui être fatal. Tout était allé si vite. Leurs improbables retrouvailles il y a quatre mois après ce malentendu arrangé, leur engagement avoué l’un envers l’autre, son déménagement pour vivre avec lui, ses aveux sur sa stérilité et cette demande, si inattendue, si spontanée, si....aucun qualificatif n’aurait pu l’aider à mettre un mot sur ce qu’elle ressentait à cet instant ou chaque seconde la rapprochait indéniablement du regard interrogateur et avide de Went.

L : je....je ne sais pas quoi te dire...je ne m’y attendais pas...

W : tu pourrais juste me dire oui...ce serait déjà un bon début...

Lilie eu un petit rire nerveux. Elle se sentait ridicule de ne pas être capable de répondre du tac au tac à une réponse aussi évidente. Il y a encore quelques mois elle aurait fui devant une telle demande. Aujourd’hui, c’est sans craintes et sans arrières pensées qu’elle imaginait sa vie auprès de lui. Rien n’avait jamais été aussi évident pour elle, comme pour lui. Oui, elle le voulais lui et personne d’autre alors pourquoi tourner un peu plus autour du pot ?

Went cherchait toujours au fond de ses yeux une étincelle, un semblant de réponse qui ne tarda pas à se manifester.
Elle s’approcha délicatement et s’empara de ses lèvres doucement avec une infinie tendresse. Il se laissa bercer par cette étreinte et émit une légère plainte sonore lorsqu’il la sentit s’éloigner.

L : oui Wentworth, je veux t’épouser...

Il ne réagissait plus. Ses tempes étaient devenues brûlantes et il sentait ses jambes chanceler. Elle venait de répondre à sa question par l’affirmative, elle venait de lui dire oui. Un large sourire s’esquissa sur son visage et ses mains enveloppèrent ses hanches et la soulevèrent presque à bout de bras pour la laisser redescendre le long de son corps jusqu’à sa bouche. Une joie immense s’était emparée d’eux.
Aujourd’hui, ils s’étaient fait la promesse de sceller leur amour, peu importe les épreuves à venir ou celles passées, ils iraient de l’avant, encore et toujours mais ensemble...

Au même moment Dominic débarque sur la terrasse et annonça que le feu d’artifice serait bientôt prêt.

D : oups ! Désolé...je repasserais plus tard....

W : non...Dom, restes...

Il se tourna vers Lilie et la questionna du regard, un seul coup d’œil et il savait qu’elle approuvait.

W : Dom...on aurait quelque chose à vous annoncer...

D : très bien...alors je vous suit, ils sont tous au salon...

Ils entrèrent tous les deux mains dans la main sous le regard amusé de Rockmond.

R : et les amoureux...vous pourriez pensez aux pauvres célibataires que nous sommes ! Çà va pas de vous pavaner comme çà devant nous, c’est dégoûtant !

W : nous avons quelque chose à vous annoncer, çà tombe bien...

L’assemblée d’amis finit par se taire et mettre fin aux sarcasmes et attends devant la mine sérieuse et concentrée que Wentworth arbore face à eux.

W : voilà...Lilie est moi...non, je viens de demander à Lilie de m’épouser et elle a accepté.

Sarah et Jenny se sautent dans les bras comme des hystériques et Sandra vient les féliciter chaleureusement. Tous applaudissent et Dom ne tarde pas à revenir avec les bouteilles de champagne.
Ils portent tous un toast à la grande nouvelle qu’ils viennent d’apprendre mais Lilie refuse le verre que lui tend Amaury.

L : non merci...je ne me sens pas en super forme alors je préfère éviter...

A : ohhh, tu serais pas enceinte toi ?

Jenny reste blême et manque un battement alors que Lilie se sent défaillir.

L : non, aucun risque mais je me sens un peu faible.

Amaury s’éloigne lentement, ayant bien compris qu’il ne sait pas pourquoi mais il aurait commis comme un impair...
Jenny et Sarah se rapprochent de Lilie et lui frotte chaleureusement le dos.

J : je crois que tu va devoir t’habituer à ce genre de réactions...mais çà n’a pas l’air d’aller...tu te sens bien ?

Jenny n’a pas le temps de continuer sa phrase que Lilie sombre sur le sol, sa chute amortie par les bras de Jenny et Sandra.

S : mon dieu ! Went ! Went !

Il accoure, suivit de près par Amaury Dom et Rockmond.
Il la redresse et demande de l’alcool de menthe à Jenny avec un sucre. Les mains de Lilie tremblent et sont toutes moites.

J : qu’est-ce qui lui arrive ???

W : je crois qu’elle fait une nouvelle crise...si elle n’a pas pris ses compléments alimentaires çà arrive souvent...

S : tu veux qu’on appelle un médecin ?

W : on va attendre cinq minutes et çà devrait aller mieux...

Petit à petit Lilie émerge et ouvre les yeux comme après un long sommeil.

L : mon dieu...mais qu’est-il arrivé ?

W : calme toi, ce n’est rien...tu as encore fait un malaise...çà v aller calme toi...mais...tu as pris tes comprimés ???

L : j’ai peut-être oublié....

W : Lilie !!!!

J : je crois que ce n’est pas le moment Went...

Il l’aide à se relever mais elle vacille a nouveau alors que tout tangue autour d’elle.
Went l’aide à s’asseoir dans le sofa et part lui chercher un verre d’eau. Jenny reste pour la soutenir mais sent bien que quelque chose ne tourne pas rond.

J : tu es sûre que ce ne sont que tes problèmes de vitamines ??? Je ne t’ai jamais vu comme çà avant...

L : qu’est-ce que tu veux que ce soit ???

J : je ne sais pas mais tu devrais faire des examens plus poussés ! Tu es sure que çà va ???

Alors que le visage de Lilie se décompose devant elle, elle a juste le temps de récupérer un plat vide dans lequel Lilie vomit tout son repas sous les yeux ébahis de Sarah.
Jenny n’a pas le temps de réagir qu’elle est à son tour prise d’une irrépressible envie de vomir et se dirige d’un pas pressé vers le cabinet de toilettes le plus proche.

S : mais c’est pas possible Lilie...tu es sûre que tu ne veux pas qu’on appelle un médecin ?

Lorsque Went arrive et constate avec stupeur dans quel état elle se trouve il ne peut que réagir.

W : je t’emmène à l’hôpital !

L : mais je vais bien ! J’ai juste mal digéré le repas !

W : c’est ce que nous allons voir...je veux en avoir le cœur net ! En route !



A vos coms, je les attends et je poste la suite !

j'espère qu'en faites lili est enceinte ce serait vraiment génial !!! j'attend la suite avec impatience !!!

Elle serait pas enceinte par hasard????

Mets vite la suite!!!!!!!!!!!!!!!!