Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE

C’est une très belle suite ! Très touchante !

Avec l’aide de Tom, j’ai voulu que nous ayons notre propre pied à terre ici car je sais que tu voudras y revenir régulièrement, c’est ta vie, çà fait partie de toi et c’est aussi ce que j’aime en toi. Je sais que tu as peu de racine familiale alors je voulais te montrer que je crois en nous, en toi et dans notre future famille.

J’ai particulièrement aimé ce passage là !

Et je vois que Lilie n’est pas au bout de ses surprises !

Voilà la suite les filles...comme promis !

Et j'ai bein cru que j'allais passer le week end sans mon pc car j'vais des rpoblèmes d'alimentation avec mon écran mais c'est réglé !

Voilà !



Lilie reste prostrée dans l’entrée, la main gauche sur la bouche et les yeux sortis de leurs orbites. Là, après avoir découverts un merveilleux appartement pensé pour elle, elle trouve ses amis de Los Angeles derrière la porte d’entrée.
Comment est-ce possible se dit-elle.

L : Mais...Amaury ? Tracy ? Dom et Rebecca ? Sarah ! Mais...

Voyant son effarement, ses amis se décident à s’approcher et enserre son petit ventre en l’embrassant chaleureusement.

A : ma ! Chiquita ! Tu as l’air en pleine forme ! Mas guapa !

Il regarde Went derrière elle et lui fait un clin d’œil complice.

T : tu nous laisses entrer ou on s’embrasse sur le pallier ??

La franchise de Tracy et son fort accent québécois fait sursauter Lilie qui ne réalise encore pas.

L : je vais me réveiller, ce n’est pas possible, vous tous, ici ! Et cet appartement, c’est trop pour moi et en une soirée !

Elle les invite à entrer et les serre tous – du mieux qu’elle peut vu son état- dans ses bras. Une petite larme s’échappe au coin de ses yeux, preuve irréfutable de son émotion vive des dernières minutes passées.

Sa : je suis vraiment ravie de voir que tu vas si bien ! Tu as profité depuis la dernière fois que je t’ai vue, tu es vraiment magnifique, la grossesse te va à ravir !

L : merci, ce n’est pourtant pas sans mal !

Dom : c’est derrière vous maintenant non ?

L : oui...et avec Went comme futur père et futur mari, je crois que je n’ai vraiment rien à envier à personne !

Sofia : oui, mais des millions de femmes qui t’envient, il y en a, crois-moi !

Lilie et Went les invitent à rentrer et à visiter leur future « résidence secondaire » comme se plait à le dire Went en français.
Sa tête posée sur les épaules de Lilie, son torse contre son dos, les doigts écartés posés en étoile sur son ventre arrondi, il s’amuse à caresser doucement l’étoffe fine de la robe qui dévoile avec splendeur ses formes de future maman.

W : tu es merveilleuse !

Lilie se retourne et lui fais face, les yeux humides et le sourire crispé aux lèvres. Elle ne sait quoi dire, ni comment le remercier pour toutes ces attentions, tous ces petits bonheurs qu’il sait si bien lui distribuer.

L : je...je ne sais vraiment pas quoi te dire pour toutes ces merveilleuses surprises...comment fais-tu pour arriver à organiser tout çà dans mon dos et en si peu de temps ?

W : je suis comme le père Noël ! J’ai mes petits lutins pour m’aider !

L : Très drôle !

W : et puis ils voulaient tous te revoir avant que nous soyons trois !

L : merci Went...vraiment...merci pour tout ce que tu fais pour me changer les idées, me rendre heureuse...

W : du moment que çà marche et que tu t’amuses, c’est tout ce qui m’importe tu sais...

Leurs amis reviennent près d’eux après un rapide tour du propriétaire.

Dom : c’est vraiment un très bel appart, vous avez décroché le gros lot !

A : il est plut^to là le gros lot !

Amaury pointe son doigt en direction du ventre de Lilie et tout le monde éclate de rire. Il sourie, fidèle à lui-même...

L : je vois que tu n’as pas changé toi en tous cas !

A : pour vous servir Chiquita !

W : bon...c’est pas tout çà, mais Pizza, çà vous va ?

Ils acquiescent tous et Went fait livrer une dizaine de pizzas et ils mangent sur place dans les éclats de rire et la bonne humeur.

Deux heures plus tard, repus, Went se lève pour aller chercher de quoi boire à la cuisine. Amaury et Dom le suive de près et se faufilent derrière lui après s’être fait un clin d’œil complice.

Went sursaute et se retourne.

W : vous m’avez fait peur les mecs !

A : désolé le cardiaque !

D : dis donc ta petit femme a pris de belles formes en quelques temps !

W : oui...c’est vrai que tous les deux on en a traversé des épreuves pour arriver jusque ici ! Y’a un moment, j’ai vraiment cru qu’on y arriverai jamais...et j’ai été égoïste, j’avais besoin de partir, de retrouver mon monde, j’étouffais ici.
Mais je me suis aussi bien vite rendu compte que sans elle je n’étais plus rien...

D : c’est vrai que c’est jamais facile ce genre de situation, ce qui compte c’est que vous soyez ensembles et que vous vous souteniez...

A : çà va aller maintenant, encore deux mois à tenir c’est çà ?

W : oui...j’espère vraiment que tout ira bien jusqu’à l’accouchement ! On a une visite chez le médecin la semaine prochaine pour savoir si tout est ok.

D : y’a pas de raisons...

W : j’espère...

D : bon...à vrai dire, on est pas venus que pour çà...

W : ?

A : tu sais que tu nous manque et pas seulement comme ami...

W : je ne reviendrais pas sur ma décision les gars !

D : tu ne peux pas arrêter ta carrière et la série comme çà Went ! Réfléchis un peu ! Paul est désespéré...depuis que tu es parti il écume les castings pour te trouver un remplaçant car la prod est impitoyable, mais c’est peine perdue !

W : personne n’est irremplaçable !

A : tu sais que dans ton cas c’est faux !

W : et alors, même si c’est le cas, il peut comprendre que ma femme et mon enfant compte à mes yeux non ?

D : justement, il propose quelque chose pour que tu puisses revenir...

A : il veut repousser le tournage si tu acceptes de revenir après la naissance du bébé !

W : mais c’est pas possible ! Lilie aura besoin de moi, elle sera fatiguée, on ne pourra pas revenir tout de suite et çà veut aussi dire que je vais retarder tout le monde avec mes problèmes !

D : tu sais qu’on est tous prêts à prendre ce risque...

W : c’est vraiment gentil mais...

D : non, ne dis rien ce soir...réfléchie et rappelle Paul la semaine prochaine...

W : je crois que c’est tout vu !

D : promets moi d’y réfléchir s’il te plait...

W : ok...mai je ne te promets rien...

A : bon, c’est pas tout çà mais on mange quoi en dessert ?

W : toi alors ! De la crème glacée çà te va ?

A : perfect !

Les trois amis repartent les bras chargés de pots de glaces aux différents parfums tandis que la salle à manger résonne des rires de Sarah et Lilie.

MAGNIFIQUE suite miss!!!

lilie a la meilleur soirée de sa vie avec tout ses amies!!!!

went a en faite carrement quitter la serie tu m'etonne que paul doit se tirer les cheveux a cherecher un autre scofield!!!

il faut qu'il en parle a lilie elle va lui dire de retourner au tournage et elle elle va aller habiter pas loin de ce tournage!!!

vivement la suite miss tu cartonnes!!!

Là, après avoir découverts un merveilleux appartement pensé pour elle, elle trouve ses amis de Los Angeles derrière la porte d’entrée.

C'est encore une belle surprise

Elle les invite à entrer et les serre tous – du mieux qu’elle peut vu son état- dans ses bras. Une petite larme s’échappe au coin de ses yeux, preuve irréfutable de son émotion vive des dernières minutes passées.

Lilie est très émue par toutes ces jolies attentions

L : oui...et avec Went comme futur père et futur mari, je crois que je n’ai vraiment rien à envier à personne !

Lilie sait qu'elle a de la chance malgré les épreuves qu'elle a dû traverser. Elle en a plus conscience qu'avant.

Sa tête posée sur les épaules de Lilie, son torse contre son dos, les doigts écartés posés en étoile sur son ventre arrondi, il s’amuse à caresser doucement l’étoffe fine de la robe qui dévoile avec splendeur ses formes de future maman.
W : tu es merveilleuse !
Lilie se retourne et lui fait face, les yeux humides et le sourire crispé aux lèvres. Elle ne sait quoi dire, ni comment le remercier pour toutes ces attentions, tous ces petits bonheurs qu’il sait si bien lui distribuer.
L : je...je ne sais vraiment pas quoi te dire pour toutes ces merveilleuses surprises...comment fais-tu pour arriver à organiser tout çà dans mon dos et en si peu de temps ?
W : je suis comme le père Noël ! J’ai mes petits lutins pour m’aider !
L : Très drôle !
L : merci Went...vraiment...merci pour tout ce que tu fais pour me changer les idées, me rendre heureuse...
W : du moment que çà marche et que tu t’amuses, c’est tout ce qui m’importe tu sais...

Wentworth n'a qu'un objectif : faire le bonheur de Lilie. Il veut la rendre heureuse et lui ôter toutes craintes de l'avenir. Il veut lui montrer qu'il est présent. Il sait qu'elle est encore fragile.

A : il veut repousser le tournage si tu acceptes de revenir après la naissance du bébé !
W : mais c’est pas possible ! Lilie aura besoin de moi, elle sera fatiguée, on ne pourra pas revenir tout de suite et çà veut aussi dire que je vais retarder tout le monde avec mes problèmes !
D : tu sais qu’on est tous prêts à prendre ce risque...
W : c’est vraiment gentil mais...
D : non, ne dis rien ce soir...réfléchis et rappelle Paul la semaine prochaine...
W : je crois que c’est tout vu !

Wentworth a l'air sûr de sa décision, pour le moment, en tout cas. Il veut donner la priorité à Lilie, à leur enfant qui va naître, en mettant sa carrière entre parenthèses. En même temps, il aime son métier avec passion. Je crois que le mieux serait qu'il en parle franchement avec Lilie. Il ne faut pas qu'il lui reproche ensuite, même inconsciemment, d'avoir fait ce choix.
J'espère que l'on va vite savoir ce qu'il va décider

je le savais!!!!!!!!!

Je savais bien que que ses amis allaient venir lui faire une petite surprise à Lilie!

Vivement la suite!!!!!!!!

Désolée du retard mais qq problèmes de connection résolus pr longtemps je l'espère et un week end en province et voilà le résultat !

Alors sans plus attendre, la suite !



Went referme la porte de la chambre derrière lui. Il se sent harassé par tous les évènements de ces dernières heures mais aussi par tous les préparatifs de cette semaine. Pour que tout soit prêt ce soir, il s’est démené comme un dingue toute la semaine et peux sincèrement remercier tom d’avoir été là, car tout seul, il n’y serait jamais arrivé, surtout avec son mauvais français et son accent New-Yorkais.

Lilie est dans la salle de bain et se prépare, se met à l’aise avant d’aller se faufiler sous la couette et se pelotonner dans les bras de son homme. Elle se sent fatiguée, mais tellement heureuse. Went c’est vraiment démené pour qu’elle retrouve le sourire et sa confiance en elle. C’est vrai que ces derniers jours ont étés compliqués pour leur couple. Elle a toujours su qu’elle l’aimait mais elle ne savait plus quoi faire pour être bien. Un rien la chagrinait, elle doutait en permanence sur ses capacités, et pas seulement d’être une bonne mère, mais aussi de rester « la » femme de Wentworth après être devenue une mère. Elle n’arrêtait pas de se demander si les deux seraient compatibles et si elle parviendrait à tout gérer.

Légèrement vêtue, elle sort et fait son apparition dans la chambre.
Went lui tourne le dos, face à la fenêtre. Il semble perdu dans ses pensées. Elle s’approche doucement et serre son torse puis pose sa joue droite contre ses omoplates.

Il sourie lorsqu’il la sent tout contre lui. Son odeur vient lui chatouiller les narines et il se sent bien, tout simplement et sans artifices. Il sait qu’il en sera toujours ainsi avec elle, que c’est comme çà, comme une alchimie qui opère et qui jamais ne s’arrêtera.

W : c’est agréable...

L : pour moi aussi...

W : tu aimes notre nouvel appart ?

L : comment je pourrais ne pas l’aimer Went ? Il est grandiose et merveilleusement aménagé, je serais bien difficile pour penser le contraire !

W : j’avais peur que tu sois fâchée que j’ai pris cette décision tout seul...

L : je sais pourquoi tu l’as fait et surtout pour qui et je suis touchée, vraiment...alors je ne suis pas fâchée le moins du monde ! Je te remercie au contraire de toujours savoir me surprendre ! Cette soirée était parfaite Went, tout était parfait !

W : alors je suis content...et puis çà t’as fait un bien fou de revoir nos amis on dirait...

L : oui...cela faisait tellement longtemps ! Sandra et Amaury ont des projets eux aussi tu sais !

W : j’attends de voir çà ! Notre Amaury rangé ?? J’ai du mal à m’imaginer quand même !

L : tu y es bien arrivé toi ? Pourquoi pas lui ?

W : je n’ai jamais été un tombeur moi !

L : çà c’est ce que tu me dis mais ta mère...

W : tss tss tss ! Ma mère dis n’importe quoi et est persuadée que toutes les filles sont amoureuses de moi depuis que je suis tout petit !

L : je crois que c’est quand même un tout petit peu vrai tu vois...

W : oui et bien çà ne veux pas dire que j’en ai profité !

L : Went ?

W : oui ?

L : tu crois que çà sera toujours comme çà ?

W : comme çà quoi ?

L : nous deux ? Notre amour ?

W : je n’ai aucun souci là dessus...

Went se retourne et lui fais face, un mince sourire aux lèvres, son regard profond et perçant posé sur elle tandis que son pouce caresse doucement sa joue. Il ne prononce aucune parole mais ses yeux en disent long sur ses sentiments et leur profondeur.

Lilie soutiens son regard de braise et sens ses jambes fondre de plaisir tant le message passe tout seul. Elle sait que ce qu’elle ressent est partagé et ne peut se sentir plus apaisée qu’en ce moment.

Saisie d’un irrésistible envie, elle se hisse sur la pointe des pieds et pose tendrement ses lèvres sur celles de Went. Il ferme les yeux et se laisse faire, savourant le douceur de ce baiser et le chaleur de leurs peaux qui se touchent.
Elle laisse doucement ses lèvres courir sur celles de Went qui se laisse chavirer de plaisir tout contre elle. Les yeux fermés, il ne tarde pas à y répondre et abat la dernière barrière de sa langue près de laquelle la sienne s’immisce pour rendre le baiser plus fiévreux. De longues secondes s’écoulent dans la volupté de l’instant qui les réunit comme rarement depuis longtemps.
L’amour ne s’était pas éteint, loin de là, mais Lilie ne se sentait plus elle-même, n’avait plus confiance, chose qui a bien changé depuis quelques heures. Elle comprend une fois de plus que quoi qu’il puisse se passer dans leur vie, went est là, l’aime et sera toujours là pour la soutenir.

Leur baiser se prolonge inlassablement et la fine barbe de Went commence à l’irriter. Il sent le désir naître en lui dès qu’elle a posé ses lèvres et c’est maintenant un volcan sous tension qui lui martèle les entrailles.
Il se détache doucement, en soupirant.

W : tu me torture...si je m’écoutais je te sauterais dessus tout de suite...

L : alors écoutes toi...tu sais j’en ai terriblement envie aussi...

Le regard espiègle et provocateur, Lilie déboutonne lentement son col de chemise en le fixant droit dans les yeux.
Went est amusé mais il tente de se contenir. Il sait qu’ils doivent être prudent, que Lilie est fragile et que ce rapprochement dont ils ont terriblement envie l’un comme l’autre pourrait être dangereux aussi bien pour Lilie que pour le bébé.

Il se dégage doucement en stoppant les mouvements de Lilie sur les boutons de sa chemise.

W : Lilie...je...on ne peux pas...

L : j’ai envie de toi Went, tu me manques de trop...

W : je sais, moi aussi j’ai terriblement envie de toi, mais c’est dangereux ! Pour le bébé mais aussi pour toi...je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose, je ne veux pas te perdre, tu comprends ?

Lilie baisse les yeux, frustrée. Elle sait qu’il a raison. Malgré tout le plaisir que pourrait lui procurer cette étreinte, elle sait aussi que c’est extrêmement risqué pour son petit corps fragile et pour leur bébé.
Elle se résigne et vient plonger sa tête au creux de l’épaule de Went.

L : c’est trop dur !

Went sourie et caresse tendrement son dos, lui procurant milles frissons délicieux.

L : tu veux me rendre cinglée ma parole ?

W : tu ne veux plus que je te touche ?

L : ce sera à tes risques et périls alors !

Elle attrape sa main et recommence à déboutonner les boutons de sa chemise. Il tente de la faire renoncer, elle semble si décidée...

W : Lilie...ce n’est pas...

L : chut...

Elle pose son doigt sur ses lèvres et embrasse son cou en terminant son forfait. Il frisonne et soupire de plaisir sous la torture qu’elle lui inflige.

W : Lilie, si tu continues je ne pourrais pas...

L : chut...alors laisse toi faire...

Elle reprend possession de ses lèvres et le débarrasse de son jean encombrant avant de l’inciter à rejoindre leur lit. Il lui obéit et se laisse faire.
Allongé sur le lit, il entrouvre ses bras où Lilie vient se nicher doucement, langoureuse et elle colle son corps contre le torse nu et chaud de Went.
Elle se redresse doucement et embrasse sa peau, partant de son ventre jusqu’au creux de son cou sans oublier les lobes de ses oreilles. Elle l’entend soupirer de plaisir en même temps qu’elle sent qu’il se retient. Ses lèvres continuent leur voyage sur son corps pendant que Went resserre son étreinte et laisse ses doigts courir sur la peau douce du dos de Lilie

W : Lilie...je...tu...

Sans le laisser finir sa phrase, elle prend possession de ses lèvres et ils se livrent un ballet incessant qui brûle leurs corps autant que leurs cœurs qui battent à l’unisson.
Lilie se dégage un peu et recommence son petit manège, laissant sur le corps de Went des traînées brûlantes de son désir qui s’exprime.
Elle laisse ses lèvres descendre plus bas, le long de son corps, en suivant l’infime ligne de poils noirs qui descendent à son nombril et plus bas...
Elle embrasse son ventre et Went se cambre. Elle descend toujours plus bas, bien trop bas à son goût et il lui fait comprendre.

W : Lilie...j’ai trop envie...tu...tu ne peux pas...

L : chuuutt ! Laisses moi faire...

Elle écarte le drap et s’installe à coté de lui, laissant ses lèvres descendre plus bas et rencontrer son objet de plaisir.

W : ohhh....Lilie...je...

Elle laisse ses mains et sa bouche lui prouver tout son amour dans les caresses qu’elle lui procure. Au début, elle sent sa retenue puis ses soupirs viennent à bout de toute réticence et il finit par se laisser aller aux caresses et aux baisers de la femme qui l’aime et qui lui procure tant de plaisir.
Si faire l’amour est trop risqué pour elle à ce stade de la grossesse, elle ne veut pas le priver de ce plaisir charnel qui lui semble si naturel avec lui.
Elle continue de le caresser et de l’embrasser et sent son ventre se contracter quand son plaisir approche...

W : oh Lilie je vais...oh...oui...

Elle lui sourie et le regarde s’envoler vers le plaisir dans un râle presque étouffé.
Elle se sent heureuse, vivante et comblée d’avoir pu elle aussi lui procurer un moment de pur bonheur...

Went redescend peu à peu de son nuage et la regarde gêné.

W : je suis désolé...je vais essuyer...

Lilie le regarde, amusée mais si comblée...elle sait maintenant qu’elle peut combler son homme par bien d’autres moyens...

L : ce n’est rien...

W : pourquoi tu ries ?

L : parce que je te trouve si mignon d’être gêné comme çà...c’est rien...on va juste aller prendre une douche tout les deux...

W : tu n’étais pas obligée...je veux dire...

L : je sais ce que tu veux dire...mais je ne me suis pas sentie obligée tu sais...j’en avais autant envie que toi !

C’est vrai que ces derniers jours ont étés compliqués pour leur couple. Elle a toujours su qu’elle l’aimait mais elle ne savait plus quoi faire pour être bien. Un rien la chagrinait, elle doutait en permanence sur ses capacités, et pas seulement d’être une bonne mère, mais aussi de rester « la » femme de Wentworth après être devenue une mère. Elle n’arrêtait pas de se demander si les deux seraient compatibles et si elle parviendrait à tout gérer.

Lilie est encore fragile. Elle doute d'elle, de l'avenir de son couple sur le long terme. J'ai l'impression qu'au fond d'elle, ces craintes là seront toujours plus ou moins présentes. Elle n'a pas eu de parents et a besoin de sentir rassurée et protégée, constamment.
Le fait que Wentworth ait acheté cet appartement lui prouve qu'il veut que Lilie conserve un contact régulier avec ses racines. Il sait que c'est important pour eux 2.

L : oui...cela faisait tellement longtemps ! Sandra et Amaury ont des projets eux aussi tu sais !
W : j’attends de voir çà ! Notre Amaury rangé ?? J’ai du mal à m’imaginer quand même !
L : tu y es bien arrivé toi ? Pourquoi pas lui ?
W : je n’ai jamais été un tombeur moi !
L : ça c’est ce que tu me dis mais ta mère...
W : tss tss tss ! Ma mère dis n’importe quoi et est persuadée que toutes les filles sont amoureuses de moi depuis que je suis tout petit !

On dirait que Went a du mal à s'imaginer que son partenaire à l'écran se case définitivement, lui aussi.
C'est mignon ce que pense la maman de Went. On voit qu'elle aime profondément son fils et imagine que toutes les filles sont à ses pieds depuis toujours et qu'il est même impossible qu'il en soit autrement

L’amour ne s’était pas éteint, loin de là, mais Lilie ne se sentait plus elle-même, n’avait plus confiance, chose qui a bien changé depuis quelques heures. Elle comprend une fois de plus que quoi qu’il puisse se passer dans leur vie, went est là, l’aime et sera toujours là pour la soutenir.

L'achat de cet appartement est très symbolique pour Lilie. Elle est heureuse de pouvoir avoir son petit "chez soi" avec Went à Paris et bientôt avec leur bout de chou

Lilie baisse les yeux, frustrée. Elle sait qu’il a raison. Malgré tout le plaisir que pourrait lui procurer cette étreinte, elle sait aussi que c’est extrêmement risqué pour son petit corps fragile et pour leur bébé.
Elle se résigne et vient plonger sa tête au creux de l’épaule de Went.
L : c’est trop dur !
Went sourit et caresse tendrement son dos, lui procurant mille frissons délicieux.
L : tu veux me rendre cinglée ma parole ?
W : tu ne veux plus que je te touche ?
L : ce sera à tes risques et périls alors !

ça ne doit pas être facile à gérer pour eux et très frustrant.

Elle embrasse son ventre et Went se cambre. Elle descend toujours plus bas, bien trop bas à son goût et il lui fait comprendre.
W : Lilie...j’ai trop envie...tu...tu ne peux pas...

On dirait que Went est au bord du gouffre et prêt à déposer les armes

L : chuuutt ! Laisse-moi faire...
Elle écarte le drap et s’installe à coté de lui, laissant ses lèvres descendre plus bas et rencontrer son objet de plaisir.
W : ohhh....Lilie...je...

Là, c'est tout. Plus aucun retour en arrière possible

Went redescend peu à peu de son nuage et la regarde gêné.
W : je suis désolé...je vais essuyer...
Lilie le regarde, amusée mais si comblée...elle sait maintenant qu’elle peut combler son homme par bien d’autres moyens...
L : ce n’est rien...
W : pourquoi tu ris ?
L : parce que je te trouve si mignon d’être gêné comme çà...c’est rien...on va juste aller prendre une douche tout les deux...
W : tu n’étais pas obligée...je veux dire...
L : je sais ce que tu veux dire...mais je ne me suis pas sentie obligée tu sais...j’en avais autant envie que toi !

Lilie a trouvé un autre moyen de prendre du plaisir avec Went. Elle est heureuse de lui avoir faire vivre cet instant; heureuse d'avoir vu le plaisir qu'elle lui donnait
J'adore le fait qu'il soit tout gêné Il respecte Lilie et ne veut pas lui infliger des choses qui pourraient la mettre mal à l'aise.

merci ma soso sa fait plaisir!!!

toujours aussui bien tu cartonnes j'adore
je suis fan !!!!

vivement la suite

Et alors tu as toujours pas mis de suite qu'est qui ce passe encore tes probleme de connexion ??? j'espere qu'on aura une suite tres bientot ca fait trop longtemps qu'on attend.

Une suite stp

Suite ce soir les filles !

Merci pour vos coms !

gros bisous !

genial enfin une suite ca fesait longtemps.

trop cool lilie va accoucher j'espere qu'elle aura une fille pour faire plaisir a went. et lui qui ai tout paniquer, il est trop chou.

vivement la suite pour la naissance du petit bébé et essaye d'etre moins longue cette fois.

Went, persuadé que ce serait une fille aurait aimé décorer la chambre en parme, mais Lilie a finalement réussie à l’en dissuader en lui faisant s’imaginer son petit garçon dans une chambre décorée pour une fille !

Depuis le départ, Went est persuadé qu'ils auront une petite fille Est-ce que ce sera vraiment le cas ? Je crois qu'ils vont très vite le savoir (et nous aussi)

Lilie sort de la douche, harassée par ce ventre qui l’encombre plus qu’autre chose maintenant. Elle adore être enceinte, porter la vie et sentir son petit bout bouger en elle, mais là, arrivée à ce stade, elle ne souhaite qu’une chose, être libérée et retrouver son corps car elle ne peut plus faire grand-chose et se sent presque handicapée par son corps.

Non seulement, Lilie doit en avoir un peu marre de ventre proéminant qui l'empêche de faire ce qu'elle veut, mais elle doit aussi être très impatiente de faire connaissance avec ce petit bout qu'elle porte en elle depuis maintenant 8 mois.

S : oh...Lilie, tu m’as fait peur, je ne t’avais pas entendue arriver...
L : pourtant, ce n’est pas la masse corporelle qui manque chez moi !

L : c’est juste que je ne veux pas me retrouver toute seule ici à Paris si Went doit repartir travailler là-bas.
Déjà de nombreuses semaines qu’il est resté là, près d’elle alors que des rôles en or ont du lui être proposé. Il ne dit rien et garde çà secret, pour lui pour ne pas la blesser et qu’elle se sente coupable de l’éloigner de tout ça, mais combien de temps cela va-t-il encore durer ?

Lilie est prise entre 2 sentiments, encore une fois. Elle veut que Went soit heureux avec elle et sur le plan professionnel. Elle ne veut pas qu'il regrette un jour d'avoir dit non à un projet pour rester avec elle. En même temps, elle a peur qu'il finisse par accepter une proposition. Elle a peur de devoir se retrouver à nouveau seule enceinte ou seule avec leur bébé.
La naissance s'annonce. Wentworth et Lilie sont sur la route de la maternité.
Il ne manque plus que la suite de ton histoire

Bonjour les filles !

Merci à vous deux pour les coms...


45 minutes plus tard...

Assise sur une chaise roulante dans le couloir de la clinique, Lilie attend, se tordant de douleur et criant à chaque contraction qui la laisse sans force.

S : çà va aller ma puce, le médecin va arriver et Went en devrait plus tarder !

Au même moment, le médecin qui a suivi sa grossesse et tout ces désagréments fait son apparition au bout du couloir et s’approche d’un pas pressé.

Dr : Melle Etura ! Alors çà y est, c’est le grand jour on dirait !

L : j’ai trop mal ! Faites quelque chose !

Dr : Très bien...

Il appelle deux infirmiers qui la transportent dans une salle de travail au troisième étage quand une nouvelle contraction la saisit dans l’ascenseur.

Dr : depuis quand le travail a-t-il commencé ?

S : çà fait une heure maintenant ?

Dr : elle a perdu les eaux ?

S : oui, tout de suite à la maison...

Dr : ok, alors on va se dépêcher, çà peut être rapide...

Il mesure la distance entre deux contractions et aménage la salle de travail quand ils y arrivent, déshabillant Lilie le plus vite possible afin de la mettre à l’aise et de pouvoir constater l’avancée du travail.

Dr : hum...effectivement, c’est pour très bientôt !

Entre deux souffles, Lilie essaie de le questionner, elle ne veut pas que le bébé arrive avant que Went en soit là.

L : Dr...mon...le papa devrait arriver bientôt...je...j’ai mal...

Dr : je suis désolé, mais je crains qu’il soit déjà trop tard pour la péridurale...d’ici le temps que ce soit fait et efficace, vous aurez accouché...



Au même moment, quelques étages plus bas...

Sofia est descendue fumer une cigarette et attendre Wentworth qui devrait arriver d’une minute à l’autre. Malgré tout, elle a peur. Elle connaît les problèmes de santé de Lilie et ce que cette grossesse implique pour elle. Cet accouchement, comme cette grossesse comporte un risque et elle ne pense qu’à une chose, faire un bon dans le temps, passer ses prochaines vingt-quatre heures et retrouver sa meilleure amie en parfaite santé.

Au détour d’un regard, elle croise celui de Went qui vient de descendre d’un taxi et se dirige d’un pas pressé vers elle, le regard affolé.

W : ou est –elle ? Comment va-t-elle ?

S : Went, calme toi...reste tranquille, tout va bien...

W : ou est-elle ?

S : en salle de travail, elle t’attend...

W : j’y vais !

Sofia le retiens un instant.

S : Went...promets-moi de rester calme...garde ton sang froid, elle va avoir besoin de toi...

Il acquiesce d’un signe de tête et s’enfuie presque aussitôt vers le sas de la clinique. Il demande à l’accueil sa direction.

W : bonjour Mademoiselle, je cherche ma femme qui est en train d’accoucher...Melle Etura...

La jeune femme, impressionnée de se retrouver face à lui, tente tant bien que mal de lui cacher son trouble et rougie en lui donnant sa réponse.

- Troisième étage...allez voir les infirmières, elles vous prépareront...

W : merci...

Il s’engouffre alors dans les escaliers et grimpe les marches quatre à quatre pour aller au plus vite. Il ouvre la porte avec une telle rapidité qu’il manque d’assommer une infirmière qui se trouvait derrière.

- eh bien, on peut dire que vous êtes pressé vous !

W : excusez-moi, je recherche Melle ETURA, je suis le papa !

- bien...suivez moi, on peut dire que vous arrivez à temps !

Went la suit docilement et enfile une blouse, des chaussons et un masque avant de se voir autoriser à rejoindre la salle de travail où les choses sérieuses semblent prêtent à commencer...

Quand Lilie l’aperçoit après que la porte se soir ouverte, c’est comme si un énorme poids venait de la libérer alors que pourtant le plus dur reste à faire...

L : Wentworth !

Il accourt au plus vite près d’elle et caresse son front perlé de sueur avant d’y déposer un baiser.

W : ma chérie...je suis là, çà va aller, je te le promets !

L : j’ai peur Went, tellement peur ! Et j’ai si mal !

W : tu n’as pas eu de péridurale ????

Dr : ce n’est pas possible, c’est beaucoup trop imminent Monsieur...

Lilie serre la main de Went de toutes ses forces quand une contraction vient la terrasser et la laisse sans voix. Son visage est crispé et ses yeux larmoient tant les contractions se font de plus en plus violentes.

L : j’ai besoin de pousser, j’ai mal...

Dr : à la prochaine contraction nous y allons...vous êtes prêtes ?

W : çà va aller ma puce, je suis là, je ne bouge pas, serre ma main...

Lilie tente de lui sourire quand une nouvelle contraction s’annonce et que son visage se déforme sous l’impact de la douleur.

Dr : allez-y pousser, souffler, poussez ! C’est bien encore !

Après plusieurs contractions et une effroyable douleur, le médecin aperçoit une petite touffe de cheveux noirs.

Dr : c’est bon, je le vois, il arrive, c’est bientôt fini...encore un dernier effort...

W : allez ma puce, tu y es presque !

L : je te déteste Miller, tu le sais çà !

Went embrasses la paume de sa main et lui sourie. Une nouvelle contraction arrive et Lilie se tord à nouveau.

Dr : allez-y, poussez ! Encore ! Poussez !

Lilie prend une profonde inspiration et pousse de toutes ses forces...

Toute la douleur de l’enfantement résonne dans la pièce tandis que Went ouvre de grands yeux craintifs vers les bras du médecin et de la sage femme qui tiennent dans leurs bras un petit être tout bleu. Pas de cris, plus de bruit et un étonnant silence, un quart de seconde après ce rafut incroyable.
Un linge autour du corps, la sage femme l’emporte rapidement pour réchauffer le petit corps.
Lilie sent que son cœur s’est arrêté, elle n’a rien entendu, pas le moindre cri.

L : Went...pourquoi il ne pleure pas ? Went qu’est-ce qui se passe ?

Went n’a pas le temps de répondre qu’un petit cri strident se fait entendre du fond de la pièce.

Le visage de Went se détend alors que celui de Lilie s’illumine d’une douce lueur de bonheur...

Dr : ne vous inquiétez pas...çà arrive de temps en temps...tout ira bien maintenant...

Il fait signe à Wentworth qu’il peut aller rejoindre la puéricultrice pour l’aider à donner son premier bain au bébé.

Il la rejoint après avoir donné un baiser à Lilie qui récupère doucement de ses dernières émotions.
La puéricultrice l’accueille avec un chaleureux sourire alors que le bébé ouvre de grands yeux éveillés.

- vous voulez prendre votre fille ?

W : ma fille...euh...c’est à dire que...je ne saurais pas...

- bien sur que si vous allez savoir, ce n’est pas compliqué...

Went sourie et accueille au creux de ses bras cette merveille tant désirée. Leur premier échange de regard est riche en intensité. Il a tellement désiré cet instant, si souvent imaginé ce moment et aujourd’hui tout lui semble presque irréel...
Il caresse délicatement les joues pleines et rondes et détaille les formes du visage si fin et délicat de sa fille...

- Monsieur, je crois que votre femme vous attends...

W : oui...c’est vrai, merci

Il se retourne et repars en direction du lit ou Lilie, étendue, attends qu’il revienne avec leur bébé.
Il s’approche doucement, un sourire radieux aux lèvres, une étrange lueur dans le regard. Le cœur de Lilie bat à cent à l’heure.

Il se penche au dessus d’elle et lui présente leur fille.

W : je te présente notre fille Lilie, notre merveilleuse petite chose...

Lilie a un rire nerveux, presque aussitôt suivi de toutes les larmes de son corps si longtemps refoulées. Son corps est parcouru de sanglots nerveux.

W : ne pleure pas ma chérie, je suis si heureux, tu te rend compte tu y es arrivée !

L : non Went, nous y sommes arrivés !

Went se penche délicatement vers elle et se saisit de ses lèvres avec passion. Il n’a jamais autant aimé cette femme qu’en cet instant et pourtant dieu sait qu’il y a neuf mois, c’était loin d’être gagné entre eux...

W : merci pour çà Lilie, elle est magnifique...je t’aime, si tu savais comme je t’aime, comme je vous aime toutes les deux !

Elle caresse sa joue et il dépose tendrement dans ses bras leur petite fille...

L : mon dieu ! Elle est si petite !

W : elle a ta bouche je trouve...elle est magnifique !

L : tu as vu comme elle ouvre les yeux ! Elle nous cherche...elle a les mêmes yeux bleus que toi !

W : çà peut changer tu sais...

L : non, çà ne changeras pas...

W : ...

L : Went ?

W : oui ?

L : est-ce que çà te dérange si nous l’appelons Anna comme ma mère ?

W : bien sûr que non et c’est un très joli nom, il lui va déjà à ravir ! Anna Miller, c’est parfait !

L : merci...

Il lui caresse la joue tandis qu’une dernière larme vient s’échouer sur son visage.

W : je suis sûr que de là ou elle est elle est très fière de toi chérie...

Toute la douleur de l’enfantement résonne dans la pièce tandis que Went ouvre de grands yeux craintifs vers les bras du médecin et de la sage femme qui tiennent dans leurs bras un petit être tout bleu. Pas de cris, plus de bruit et un étonnant silence, un quart de seconde après ce rafut incroyable.
Un linge autour du corps, la sage femme l’emporte rapidement pour réchauffer le petit corps.

j'ai eu trop peur en lisant ce passage j'ai cru que le bébé respirer pas .

je suis trop contente pour eux une belle petite fille, je crois qu'elle va etre chouchouter par son papa. il est tres emouvant ce chapitre bravo .

J'attend la prochaine suite avec impatience

S : Went...promets-moi de rester calme...garde ton sang froid, elle va avoir besoin de toi...

Apparemment, cet accouchement ne rend pas anxieux uniquement Went et Lilile mais aussi Sofia, mais il ne faut pas qu'elle transmette son stress à Wentworth, tout de même.

La jeune femme, impressionnée de se retrouver face à lui, tente tant bien que mal de lui cacher son trouble et rougit en lui donnant sa réponse.

Troisième étage...allez voir les infirmières, elles vous prépareront...

A mon avis, elles seront même très heureuses de l'aider à se préparer

Il s’engouffre alors dans les escaliers et grimpe les marches quatre à quatre pour aller au plus vite. Il ouvre la porte avec une telle rapidité qu’il manque d’assommer une infirmière qui se trouvait derrière.

On sent qu'il est pressé et ne veut surtout pas manquer la naissance de leur enfant. Il sait qu'il doit être présent aux côtés de Lilie.

Quand Lilie l’aperçoit après que la porte se soir ouverte, c’est comme si un énorme poids venait de la libérer alors que pourtant le plus dur reste à faire...
L : Wentworth !
Il accourt au plus vite près d’elle et caresse son front perlé de sueur avant d’y déposer un baiser.
W : ma chérie...je suis là, ça va aller, je te le promets !
L : j’ai peur Went, tellement peur ! Et j’ai si mal !

Wentworth est là pour rassurer et soutenir Lilie. Il sait qu'elle va devoir faire preuve de courage, qu'elle risque de souffrir mais que, dans très peu de temps, ils vont enfin découvrir leur petite merveille.
C'est un soulagement pour Lilie de voir que Went est enfin là pour vivre à ses côtés ce moment unique.

W : allez ma puce, tu y es presque !
L : je te déteste Miller, tu le sais ça !

Je crois qu'il n'est ni le premier futur père, ni le dernier à entendre ça

Went n’a pas le temps de répondre qu’un petit cri strident se fait entendre du fond de la pièce.
Le visage de Went se détend alors que celui de Lilie s’illumine d’une douce lueur de bonheur...

Ouf, après quelques secondes de flottement, qui ont dû paraître une éternité pour eux, ce petit bout pousse un cri salvateur

W : ma fille...euh...c’est à dire que...je ne saurai pas...
- bien sûr que si vous allez savoir, ce n’est pas compliqué...

C'est mignon de voir Went un peu inquiet face à ce petit être. Il n'ose pas la prendre de peur de lui faire mal, mais il va vite devenir un pro en la matière.

Went sourit et accueille au creux de ses bras cette merveille tant désirée. Leur premier échange de regards est riche en intensité. Il a tellement désiré cet instant, si souvent imaginé ce moment et aujourd’hui tout lui semble presque irréel...
Il caresse délicatement les joues pleines et rondes et détaille les formes du visage si fin et délicat de sa fille...

Enfin, il fait connaissance avec sa fille. C'est un moment très tendre. Il savait que ce serait une fille. Il ne s'était pas trompée.

W : je te présente notre fille Lilie, notre merveilleuse petite chose...
Lilie a un rire nerveux, presque aussitôt suivi de toutes les larmes de son corps si longtemps refoulées. Son corps est parcouru de sanglots nerveux.
W : ne pleure pas ma chérie, je suis si heureux, tu te rend compte tu y es arrivée !
L : non Went, nous y sommes arrivés !
Went se penche délicatement vers elle et se saisit de ses lèvres avec passion. Il n’a jamais autant aimé cette femme qu’en cet instant et pourtant dieu sait qu’il y a neuf mois, c’était loin d’être gagné entre eux...
W : merci pour çà Lilie, elle est magnifique...je t’aime, si tu savais comme je t’aime, comme je vous aime toutes les deux !
W : bien sûr que non et c’est un très joli nom, il lui va déjà à ravir ! Anna Miller, c’est parfait !
L : merci...
Il lui caresse la joue tandis qu’une dernière larme vient s’échouer sur son visage.
W : je suis sûr que de là ou elle est elle est très fière de toi chérie...

ça y est : ils partagent leur premier moment ensemble; un moment rempli d'émotion et de douceur Ils forment une famille, maintenant. Ils ont parcouru tant de chemin, tant d'épreuves ensemble et maintenant voilà qu'est née leur petite fille. Ils sont restés soudés et ont réussi à y parvenir, tous les 2. L'un sans l'autre, ils n'auraient pas pu. Désormais, un nouveau lien les unit, à tout jamais.
C'est un bel hommage que Lilie rend à sa maman disparue en donnant à sa première fille, le même prénom.
Went trouve les mots pour la remercier et lui dire qu'elle peut être fière de ce qu'elle a accompli.

ca commence a faire longtemps qu'on a pas eu de suite ca va pas du tout ca. je suis tres impatiente et j'ai horreur d'attendre, alors je veux une SUITE.

stp ne nous oublie pas

Oui ça serait bien si tu pouvais nous poster une suite

ah enfin une suite mais je suis triste que ce soit finie mais bon toute bonne chose a une fin.

J'ai adorer cette suite avec un happy end comme je l'ai aime.

L : on ne va pas chez Tom et Sofia ?
W : non, ce soir on est chez nous, tous les trois, je crois que c’est important qu’on se retrouve...et ne t’inquiète pas, tout est prêt !
L : je n’ai pas peur de ça...je te fais confiance !

C'est bien. Went a tout prévu. Il sait que c'est important qu'ils soient réunis tous les 3 dans leur demeure parisienne. Ils ont besoin de se retrouver en famille, enfin.

Anna dort à poings fermés, ses petites mains serrées comme deux petites prunes tendues vers le ciel. Son petit bonnet sur sa tête est presque trop grand et elle semble perdue dans ce grand berceau tout froid.

W : tu es heureuse ?
L : j’ai l’air de te prouver le contraire ?
Went se rapproche et enserre doucement sa taille avant de venir mourir un baiser au creux de son cou. Lilie se laisse fondre dans ses bras, ils sont enfin seuls et peuvent sereinement partager leur bonheur en famille.
W : je t’aime...
Went laisse ses mains glisser le long de son corps, caressant ses fesses tout en embrassant avec délices les lèvres de Lilie. Elle sent bien vite le désir s’emparer de lui et tente doucement de le repousser.

Ils sont heureux et sereins tous les 2. Ils ont franchi ensemble une nouvelle étape très importante en devenant parents. ça a été dur et ils doivent d'autant plus l'apprécier.

L : je peux quand même m’occuper de toi si tu veux...
Went sourit à ces mots et frissonne de son souffle dans sa nuque. Il se dégage doucement et l’emprisonne dans ses bras et la soulève au dessus du sol.

W : pas question, c’est à moi de te chouchouter maintenant ! Tu vas prendre le temps de te déshabiller et je te fais couler un bain ! Et pendant ce temps là je prépare le déjeuner...
L : je t’ai déjà dit que tu étais parfait ?
W : rarement, mais je sais que tu es une ingrate...
L : salaud !
L : tu es sur que tu ne veux pas prendre ton bain avec moi ?
W : tu es cruelle...tu sais que si je reste, je ne pourrais pas me contrôler...c’est un peu tôt pour faire un petit frère à Anna...

Décidément, Lilie veut vraiment tenter à tout prix Wentworth mais il arrive à résister pour prendre soin d'elle.

W : tu es sûre d’être prête pour recommencer le parcours du combattant ?
L : tu seras là non ? Je t’aime et je veux un autre enfant...
Went lui sourit et caresse doucement son petit nez avec le bout du sien. Il embrasse se joues et sourie encore de plus belle, jamais il n’aurait cru pouvoir aimer autant.
W : on va peut-être s’entraîner alors...

18 mois après, ils sont, heureusement, toujours aussi unis et heureux avec leur petite puce Anna et semblent prêts à aggrandir leur famille. Lilie a pris confiance en elle et en eux. Elle est prête à se relancer dans une nouvelle grossesse. Elle sait qu'elle peut vraiment compter sur Went pour l'épauler.

L : tu crois que tu m’aimeras toujours quand je serais vieille et que j’aurais des rides ?
W : attends voir, il faut que je réfléchisse...

Tout finit bien et pourtant tout n'a pas été tout le temps rose, loin de là.
Merci pour cette belle histoire, parfois bien mouvementée, Soso_Burrows.
ça a vraiment été un réel plaisir de la suivre