Wentfan Storie (05/01/08) EPILOGUE

alors la wenth a tout plaqué pour etre avec lilie il a raison elle a besoin de lui !!!!

elle va etre toute contente je veux savoir ce qu'il va se passer !!!!!!!

j'en redemande encore!!!!!

A y est j'ai tout rattrapé ...


Je sais pas trop quoi dire pour varier des autres commentaires lol.

Ta fic est géniale, Went est adorable et JE VEUX LA SUITE !!!!!!!!!!!!!

ponou a écrit:A y est j'ai tout rattrapé ...


Je sais pas trop quoi dire pour varier des autres commentaires lol.

Ta fic est géniale, Went est adorable et JE VEUX LA SUITE !!!!!!!!!!!!!

Ba moi je dit pareil que Ponou,jveux la suite

Sophia m'a un peu énervé a reproché des choses a Went, c'est pas de sa faute quand même si il doit aller bosser le pauvre,et puis on voyait bien qu'il avait pas envie de repartir mais il était forcé en plus il téléphonait tous les jours a Lilie et le gros bouquet de fleurs? c'est pas beau ça? bon bien sur ça ne le remplace pas mais ça se voit qu'il pense a elle et en plus plus vite il aura fini de tourné plus vite il sera de retour mais SURPRISE ce beau goss a tout plaqué pour aller la retrouvé donc Sophia CHUT! elle va bien être contente Lilie,ils vont enfin pouvoir passé encore plus de temps ensemble et Went sera là quand le bébé viendra et se sera une fille

Voilà voilà...me revoilà ! Pas trop tôt je sais mais c'est çà la vie !

Un Rayon de lune

Lilie cligne plusieurs fois des yeux et se pince presque pour être sûre que le visage qui lui apparaît sous ce rayon de lune est bien celui qu’elle croit.
Après toutes ces heures, ces jours et ses semaines, il est de retour.
Malgré elle et malgré la colère qu’elle ressent d’être seule depuis trop longtemps, elle ne peut s’empêcher de laisser un sourire illuminer son visage.

L : Went ?

W : je suis là ma puce, je ne te laisserais pas...je reste avec toi

Lilie ne répond rien et se contente de laisser ses yeux rivés à lui de peur qu’en les fermant il disparaisse à nouveau.
Il approche sa main des siennes, posée sur le lit et lie ses doigts à ceux de Lilie qui les resserrent au creux des siens.
Elle ne relève pas ses dernières paroles et profite du moment, d’un moment qu’elle attend depuis trop longtemps. Elle ne veut pas rentrer dans les détails, pas ce soir. La journée de demain sera bien assez longue pour çà.

Went se rapproche de plus en plus et laisse la tête de Lilie se poser contre son torse alors qu’il caresse sa joue avec une infinie tendresse. Un sentiment de plénitude l’envahit instantanément et elle pourrait mourir en cet instant qu’elle ne serait plus heureuse.

Le plus naturellement du monde, Went s’assoit doucement près d’elle puis la berce dans ses bras. Il ne prononce aucune parole, il sait qu’il n’en a nul besoin. Tout ce qu’il attend est là, contre lui et il ne peut être plus heureux. Il se demande comment il a fait jusqu’à maintenant pour supporter de la laisser seule, ainsi et dans son état, comment a-t-il pu ? Comment cela a-t-il ne pu ne serait-ce que lui traverser l’esprit ?

Il sent la chaleur du corps de Lilie et sa plénitude, elle s’est endormie contre lui, enfin apaisée après de longues semaines de doutes.
Au bout d’une heure, il se laisse glisser doucement contre elle, une main sous ses reins et l’autre positionnée sur son ventre qu’il caresse amoureusement et protège. Il ne veut plus quitter cet univers de douceur qui l’entoure, elle a trop besoin de lui.


Le lendemain matin...

Lilie dort encore profondément alors qu’il est plus de dix heures du matin. Went s’est levé dès qu’il a entendu l’infirmière ouvrir la porte et lui a supplié de ne pas la réveiller. Il est resté un moment à contempler son visage reposé et apaisé. Il a écouté sa respiration régulière et senti sous ses doigts les mouvements de leur bébé dans son ventre.
Il ne peut s’empêcher de sourire, il imagine sa frimousse et la joie de Lilie ce jour là, pour leur merveille. A ce moment il se sent coupable, responsable du mal être qui n’à pas du beaucoup la quitter ces derniers temps.
« Comment ais-je pu être aussi égoïste, ses journées ont du lui paraître bien longue renfermée ici toute seule...

Il finit par se lever et aller trouver le médecin pour prendre de ses nouvelles. Les infirmières sont aux anges sur son passage mais restent très professionnelles. Le médecin chef finit sa ronde quand Went l’interpelle.

W : Docteur ?

- oui ?

W : je suis le mari de Lillie...je voulais savoir comment elle va ?

- ah...c’est vous qui faites de la résistance aux infirmières pour laisser dormir votre femme ?

W : oui...elle avait l’air si bien, si reposée...

- bon, pour ne rien vous cacher, votre femme va beaucoup mieux Monsieur, tout est rentré dans l’ordre pour le bébé qui se porte à merveille !

W : je suis heureux de vous l’entendre dire !

- oui...mais...je ne peux pas en dire autant de votre femme voyez-vous...

W : comment çà ? Qu’est-ce qui se passe ?

- et bien, votre femme souffre d’une dépression sévère...
Nous avons tout d’abord pensé qu’elle n’était pas assez soutenue, entourée, mais je dois bien avouer que vu le nombre de personnes qui venait chaque jour la voir, cela ne pouvait venir de çà...
Elle est suivie par notre psychologue qui est spécialisée dans les problèmes que peuvent rencontrer les futures mères et votre femme souffre énormément de son histoire personnelle.

W : excusez-moi, mais je ne comprends pas... ?

- votre femme a vécu des choses dures dans son enfance, des choses dont une petite fille de son âge ne devrait même pas se souvenir, mais les émotions et la grossesse, le fait d’être mère à son tour après avoir perdu la sienne font qu’elle se sent déstabilisée et perdue. Elle a besoin de votre soutien.

W : mais qu’est-ce que je peux faire ?

- la rassurer, lui redonner confiance en elle et en ses capacités, lui dire qu’elle sera une bonne mère et que vous serez là pour l’aider...
Son douloureux passé personnel, sa précédente fausse couche sont autant de souffrances que son courage a tenté d’effacer sans succès. Elle a réussi à refermer les plaies mais il restera toujours des cicatrices, et ces cicatrices peuvent se rouvrir si pour une raison ou pour une autre elle est fragilisée.

W : je pensais que tout çà était derrière nous...

- je pense qu’elle a besoin de sortir, de se changer les idées surtout !

W : ici, çà va être difficile !

- tenez...

Le médecin lui tend un papier et Went met quelques secondes avant de réaliser ce qui est écrit sous ses yeux.

W : c’est une blague ?

- pas du tout, elle serait de mauvais goût ! Votre femme ne peut en aucun cas prendre l’avion et les transports prolongés sont à proscrire, mais je crois que son séjour ici n’est plus nécessaire ! Elle sera aussi bien dans son environnement, entourée des personnes qu’elle aime...

W : elle est au courant ?

- pas encore, mais vous pourriez lui faire la surprise...

W : merci docteur, merci...

- de rien, je laisserai une liste de recommandations à l’infirmière pour son départ.


Went le quitte et part à pas précipités à l’extérieur de l’hôpital. Décidé, il en oublierait presque que son visage et son crâne rasé célèbre ne passent pas inaperçu et après quelques centaines de mètres parcourus, la jeune boulangère dont il vient de passer le pas de porte manque de tomber à la renverse en l’apercevant.

Son forfait accompli, il retourne d’un pas tout aussi décidé vers l’hôpital, un large sourire aux lèvres.


Au même moment, dans une chambre d’hôpital...

Le brouhaha de la journée commence et c’est les yeux encore collés de sommeil que Lilie se réveille. Elle se tourne vers la porte d’entrée et scrute machinalement la pièce qui l’entoure.

Rien, rien ne lui rappelle que ce qu’elle a vu hier ne peut-être un rêve...
Went était là, elle en est sûre.
Elle a de nombreuses fois rêvé de lui lorsque la solitude venait lui peser, mais là, hier soir, c’est son corps et sa chaleur qu’elle a sentie.
Alors où est t’il passé ?
Elle se redresse doucement et scrute à l’extérieur la cime des arbres dégarnis qui s’inclinent légèrement sous l’aplomb du vent d’hiver.

On frappe à la porte, et avant qu’elle ait pu dire ouf, le battant s’ouvre et le laisse apparaître tout sourire sous ses yeux. Il est magnifique, beau, simple et ténébreux. Il porte dans ses bras un plateau de petit déjeuner chargé de viennoiseries odorantes et appétissantes.

W : ravi de voir que tu es réveillée...

L : alors je n’ai pas rêvé, c’était bien toi hier soir...

W : et comment ! J’ai du faire du charme aux infirmières de nuit pour avoir le droit de te voir à cette heure là !

L : tu es resté toute la nuit ?

W : bien sûr...

L : quand je me suis réveillée, j’ai cru que j’avais rêvé...

W : non, je suis là, je ne bouge plus, je reste avec toi !

L : et Paul ? Et la série ?

W : je préfère qu’on en parle plus tard, tu as des forces à reprendre et un appartement qui nous attend !

L : mais comment çà ?

W : le médecin m’a signé ton autorisation de sortie !

L : non ? Je...je peut rentrer ?

W : oui donc après ce petit déjeuner je t’enlève !

Lilie reste un moment immobile, inexpressive, incapable de réagir à ces mots qu’elle a tant de fois espérer entendre.
Went se rapproche et laisse ses lèvres frôler les siennes. Elle se laisse docilement faire sous cette délicieuse approche. Ses lèvres cèdent et leurs langues trop longtemps séparées entament un ballet les privant du moindre souffle.




Alors ????

Alors ??

Alors super ( pour pas changer ) .

Remets nous vite une suite, moi je veux voir Went lui remonter le moral à Lilie

comme d'habitude super suite mais pauvre lilie qui nous fait une depression j'espere que ca iras mieux quand elle seras rentrer chez elle.

Allez went au boulot il faut lui remonter le moral a notre lilie

vivement la suite

Lilie fait une dépression ! Je suis sûre que Went sera au petit soin pour elle ! J’espère qu’elle pourra se remettre ! et le fait qu’elle rentre chez elle devrait beaucoup l’aider dans un premier temps !

L : Went ?
W : je suis là ma puce, je ne te laisserais pas...je reste avec toi
Lilie ne répond rien et se contente de laisser ses yeux rivés à lui de peur qu’en les fermant il disparaisse à nouveau.
Il approche sa main des siennes, posée sur le lit et lie ses doigts à ceux de Lilie qui les resserrent au creux des siens.
Elle ne relève pas ses dernières paroles et profite du moment, d’un moment qu’elle attend depuis trop longtemps. Elle ne veut pas rentrer dans les détails, pas ce soir.

Lilie a presque l'impression de rêver en voyant Wentworth qu'elle a si souvent espérer voir arriver.
Ils savent tous les 2 que les mots ne sont pas nécessaires pour exprimer le bien être et la joie qui les habitent en se retrouvant, en sentant le corps de l'autre si proche.

Au bout d’une heure, il se laisse glisser doucement contre elle, une main sous ses reins et l’autre positionnée sur son ventre qu’il caresse amoureusement et protège. Il ne veut plus quitter cet univers de douceur qui l’entoure, elle a trop besoin de lui.

Wentworth est très tendre. Lilie a enfin pu retrouver le sommeil facilement à ses côtés. Elle est apaisée.

Il ne peut s’empêcher de sourire, il imagine sa frimousse et la joie de Lilie ce jour là, pour leur merveille. A ce moment il se sent coupable, responsable du mal être qui n’à pas du beaucoup la quitter ces derniers temps.
« Comment ai-je pu être aussi égoïste, ses journées ont du lui paraître bien longue renfermée ici toute seule...

Wentworth s'en veut d'avoir laissé Lilie seule pendant si longtemps même s'il sait qu'il devait repartir tourner.
Il sait qu'il a fait souffrir Lilie, qui a dû se sentir bien seule, malgré la présence de ses amis. Wentworth a aussi souffert de cet éloignement forcé.

-votre femme a vécu des choses dures dans son enfance, des choses doit une petite fille de son âge ne devrait même pas se souvenir, mais les émotions et la grossesse, le fait d’être mère à son tour après avoir perdu la sienne font qu’elle se sent déstabilisée et perdue. Elle a besoin de votre soutien.

Wentworth connaît la fragilité de Lilie, son passé mais je crois que le fait d'entendre un médecin le mettre en garde doit lui faire prendre encore plus conscience de cette fragilité.
Je suis sûre qu'il saura faire le nécessaire pour l'entourée et la soutenir.

Went le quitte et part à pas précipités à l’extérieur de l’hôpital. Décidé, il en oublierait presque que son visage et son crâne rasé célèbre ne passent pas inaperçu et après quelques centaines de mètres parcourus, la jeune boulangère dont il vient de passer le pas de porte manque de tomber à la renverse en l’apercevant.

W : et comment ! J’ai dû faire du charme aux infirmières de nuit pour avoir le droit de te voir à cette heure là !
L : tu es resté toute la nuit ?
W : bien sûr...
L : quand je me suis réveillée, j’ai cru que j’avais rêvé...

On imagine les inquiétudes de Lilie lorsqu'elle a vu que la pièce était vide mais Went a vite montré le bout de son nez pour la rassurer.
Pas étonnant qu'il ait réussi à faire du charme aux infirmières pour qu'elles laissent Lilie se reposer un peu plus longtemps
Maintenant, ils vont enfin pouvoir se retrouver tous les 2, hors de cet hôpital

magnifique suite !!

enfin des bonnes nouvelles pour lilie et wenth!!

j'espere qu'on aura la suite bientot !!!!

tu cartonnes toujours autant et je suis toujours aussi fan de ta fic!!

ca fait deja une semaine et toujours pas de suite. j'espere que tu ne nous as pas oublier???.

UNE SUITE UNE SUITE UNE SUITE

[b]ou es tu miss ????


vite une suite stp!!!!

Je suis un peu amer Soso_Burrows, c’est pas toi qui disait que tu continuais à poster ici pour tes fidèles lectrices ? Ba je constate que tes lectrices sont là mais pas toi…

Soso-Burrows, tu ne nous oublies pas, n'est-ce pas ? On est impatients de connaître la suite des aventures de Went et Lillie

Désolée les filles entre tous les fofos je suis un peu perdue en ce moment...

Mais je suis impardonnable !

Demain je vous mets une suite c'est promis, sorry !

je suis contente de ton retour parmis nous miss et tu es deja toute pardonnée!!!

Salut les filles !

Comme promis...je pouvais pas vous lacher en si bon chemin d'autant que celle ci est presque terminée de poster...et oui, il ne reste que quelques chapitres !

Encore un grand merci de votre fidélité et désolée d'avoir tardé autant !

Retour à la maison

Lillie est sortie de l’hôpital depuis dix jours et ils ont rejoints avec Wentworth l’appartement de Sofia et Tom. Elle se sent entourée, choyée, mais le cœur n’y est pas. Elle aime son pays, la France, mais elle aurait aimé que tout soit près pour l’arrivée du bébé, chez eux, à Los Angeles.
Elle est heureuse que tout soit arrangé pour la santé de son bébé, heureuse que finalement tout aille bien mais elle ne peut s’empêcher de stresser, de s’imaginer qu’elle ne sera peut-être pas une bonne mère, qu’elle n’y arrivera pas.

Ce matin, il est dix heures quand elle arrive au salon, les yeux cernés et la mine fatiguée. Sofia est en train de refaire du café et l’appartement semble bien calme, plus rien ne laisse présager d’une présence masculine.

S : bonjour toi...bien dormi ?

L : pas vraiment mais je suppose que c’est normal à ce stade de la grossesse...

S : c’est vrai que tu n’as pas très bonne mine...le médecin est ok pour tout çà ?

L : Went est passé où ?

S : il est parti avec Tom ce matin, ils avaient des choses à régler...

L : des choses ?

S : oui, je ne peux pas t’en dire plus, c’est censé être une surprise !

L : hum hum...tu piques ma curiosité !


Pendant ce temps là...à peine à deux kilomètres...


W : tu penses que çà lui plaira ?

T : crois-moi, elle sera ravie !

W : bon...j’espère que je n’ai rien oublié et qu’elle ne sera pas fâchée que je ne l’ai pas attendu pour signer...

T : t’inquiètes, elle va approuver, il faudrait être dingue pour ne pas aimer...

W : oui mais quelquefois les femmes sont compliquées et Lilie est une femme, merveilleuse, certes, mais cela reste une femme !

Ils rient tous les deux puis referment une porte derrière eux, fiers de leur trouvaille.

Un petit quart d’heure plus tard, ils frappent à la porte de chez Sofia et entrent, un large sourire aux lèvres sous les yeux stupéfaits de Lilie et Sofia, épatées d’une telle complicité.

L : on peut savoir ce qui est drôle vous deux ?

W : je ne vois pas de quoi tu veux parler...

L : de ton sourire et de ton air satisfait...

T : je t’assure Lilie, tu te trompes, on est juste allé se promener !

L : c’est çà, prenez moi pour une bille !

Ils rient de la voir impatiente, curieuse et agacée, preuve qu’elle a encore envie.
Ils déjeunent tous ensemble, puis Went et Tom s’éclipsent à nouveau, prétextant une course urgente et imprévue.

Went s’approche de Lilie, allongée dans le canapé avant de l’embrasser. Il caresse doucement quelques mèches de ses cheveux puis se penche pour déposer un baiser dan son cou.
Si elle n’a pas beaucoup dormi cette nuit, elle se rattrape pense t’il.

Il rejoins Tom dans l’entrée puis préviens Sofia qu’il seront de retour vers 18h00.

W : par contre...si vous pouviez vous habillez ce soir...on a une petite surprise pour vous...

S : une surprise pour moi aussi ?

Sofia regarde Tom amusée et aguicheuse.

S : çà va me mettre de bonne humeur tout çà !

W : ok ? 18h00, je compte sur toi ?

S : mais Lilie, elle sera pas trop fatiguée pour tout çà ?

W : le médecin m’a dit qu’il fallait qu’elle sorte, qu’elle se change les idées, je compte bien lui redonner le sourire et je ne veux plus qu’il la quitte !

S : ok...alors compte sur moi !


Le même jour, à 17h50, heure de Paris...

Lillie a dormi plus de trois heures cet après midi après avoir fait la grasse matinée le matin. Sofia n’en reviens pas du sommeil qu’elle rattrape alors qu’on dit généralement qu’arrivé à ce terme les femmes enceintes dorment mal.
Sofia vient de lui annoncer qu’ils sont de sortie tous les quatre ce soir et çà n’a visiblement pas l’air de l’enchanter.

L : je ne sais pas où Went a la tête mais il sait très bien que je ne suis pas en état pour ses mondanités !

S : tu vas arrêter de râler oui ! Tu pourrais faire un effort quand même ! Tu ne les vois pas assez ces quatre murs ?!

L : c’est surtout que je ne voudrais pas accoucher dans la salle de restaurant tu vois !

S : arrêtes un peu Lilie ! Went a voulu te faire plaisir, te sortir pour fêter ton retour parmi nous et ta bonne santé ! Je ne comprends pas pourquoi tu es si négative, pourquoi tu essaies de lui gâcher ce beau moment ?

L : je ne veux rien gâcher, je suis juste prudente...

Le visage de Lilie se ternie et une ombre traverse ses yeux. Une ombre que Sofia connaît, elle l’a déjà aperçu à certains moments clés de la vie de Lilie. Elle comprend alors que c’est revenu, cette angoisse qui la tiraillait déjà, ce sentiment de ne pas être capable, ce manque affectif qui pâtissait sur sa confiance en elle-même.

S : Lilie ? Tu es sûre qu’il n’y a pas autre chose ? Je connais ce regard !

L : je....

Les larmes commencent à couler sans qu’elle puisse se retenir ou tenter quoi que ce soit pour l’empêcher.

S : ma puce...

Sofia se rapproche et la serre dans ses bras tout en frottant son dos pour l’aider à vider ce trop plein sur son cœur depuis trop longtemps.

S : chuuut....çà va aller...

L : je...je ...suis désolée...

S : ce n’est rien, c’est tes parents c’est çà ?

L : comment tu le sais ?

S : je t’ai déjà vu dans cet état là à d’autres moments, mais à chaque fois, c’était pour cette même raison !

Entre deux sanglots, Lilie tente d’expliquer à son amie les raisons de sa tristesse à ce moment précis de sa vie.

L : tu comprends...quand je me concentre, j’arrive quelquefois à me souvenir de leurs visages, mais plus le temps passe et plus cette image est floue et plus je me dis que mes souvenirs ne sont tirés que des photographies que j’ai pu voir d’eux.
J’aimerais tellement qu’ils soient là, qu’ils partagent mon bonheur, qu’ils soient fiers de moi !

S : je suis sûre qu’ils le sont Lilie, ils ne sont justes pas là pour te le dire...

L : tu comprends...du plus loin qu’il m’en souvienne, je n’ai pas eu de mère, pas eu d’exemple, j’ai peur d’être une mauvaise mère...

S : et ma maman à moi ?

L : oui, c’est vrai...mais çà ne remplacera jamais ce qu’aurait pu être ma vrai mère...

S : je sais, mais il faut que tu admettes une bonne fois pour toute que tu n’es pas toute seule, Went est là, il t’aime, il est déjà fou de ce bébé...encore deux mois Lilie, deux mois et tu connaîtras toi aussi ce bonheur indescriptible...

L : tu as raison...il est si doux et attentionné avec moi, je n’ai pas le droit e lui gâcher çà...

S : tu devrais lui en parler Lilie, lui faire partager tes peines et tes angoisses, c’est comme çà que vous avancerez tous les deux...

L : merci Sofia, merci...

Lilie serre son amie dans ses bras alors que la sonnerie de la porte d’entrée retentit.

S : je crois que nos princes charmants sont là...

L : alors ne les faisons pas attendre...




En plus c'est malgré tout une suite pas très gaie...

merci ma cherie!!!

pauvre lili elle est inquiete mais va en parler a wenth il comprendra!!

j'imagine bien lili accoucher en plein milieu du repas

pressée d'avoir une suite miss!!

Elle se sent entourée, choyée, mais le cœur n’y est pas. Elle aime son pays, la France, mais elle aurait aimé que tout soit près pour l’arrivée du bébé, chez eux, à Los Angeles.
Elle est heureuse que tout soit arrangé pour la santé de son bébé, heureuse que finalement tout aille bien mais elle ne peut s’empêcher de stresser, de s’imaginer qu’elle ne sera peut-être pas une bonne mère, qu’elle n’y arrivera pas.

Malgré tout, Lilie a toujours du mal à vivre pleinement. Elle a traversé des épreuves douloureuses, mais elle n'a pas encore totalement passé ce cap qui lui permettrait de prendre du recul et de voir qu'elle est heureuse. Elle a toujours un peu tendance à chercher ce qui ne va pas au lieu de se satisfaire de ce qu'elle a.

W : bon...j’espère que je n’ai rien oublié et qu’elle ne sera pas fâchée que je ne l’ai pas attendu pour signer...
T : t’inquiète, elle va approuver, il faudrait être dingue pour ne pas aimer...
W : oui mais quelquefois les femmes sont compliquées et Lilie est une femme, merveilleuse, certes, mais cela reste une femme !

Went aime Lilie plus que tout mais il sait aussi qu'elle est assez compliquée.
Je crois savoir ce qu'il lui réserve comme surprise et si c'est ça, je crois que, sans problème, elle sera ravie

Le visage de Lilie se ternit et une ombre traverse ses yeux. Une ombre que Sofia connaît, elle l’a déjà aperçue à certains moments clés de la vie de Lilie. Elle comprend alors que c’est revenu, cette angoisse qui la tiraillait déjà, ce sentiment de ne pas être capable, ce manque affectif qui pâtissait sur sa confiance en elle-même.

Sofia connaît parfaitement Lilie et sait que quelque chose la chagrine

L : tu comprends...quand je me concentre, j’arrive quelquefois à me souvenir de leur visage, mais plus le temps passe et plus cette image est floue et plus je me dis que mes souvenirs ne sont tirés que des photographies que j’ai pu voir d’eux.
J’aimerais tellement qu’ils soient là, qu’ils partagent mon bonheur, qu’ils soient fiers de moi !
S : je suis sûre qu’ils le sont Lilie, ils ne sont justes pas là pour te le dire...
L : tu comprends...du plus loin qu’il m’en souvienne, je n’ai pas eu de mère, pas eu d’exemple, j’ai peur d’être une mauvaise mère...

Lilie est à un stade de sa vie où ses parents lui manquent car, à son tour, elle va devenir mère. Elle a besoin de repères pour prendre confiance en elle dans cette "nouvelle fonction". Il ne faut pas qu'elle oublie qu'elle n'est pas seule. Wentworth va l'épauler et puis, la mère de Went sera là aussi. Lilie ne doit pas se faire trop de soucis, elle apprendra à devenir mère. Elle aime déjà cet enfant tant désiré et saura l'éduquer, avec Wentworth.

S : je sais, mais il faut que tu admettes une bonne fois pour toute que tu n’es pas toute seule, Went est là, il t’aime, il est déjà fou de ce bébé...encore deux mois Lilie, deux mois et tu connaîtras toi aussi ce bonheur indescriptible...
L : tu as raison...il est si doux et attentionné avec moi, je n’ai pas le droit de lui gâcher çà...

Heureusement que Sofia est là pour la rassurer, la soutenir et lui rappeler qu'elle n'est pas seule. Avec le temps, Lilie a tout de même réussi à se faire plus confiance, à lâcher un peu prise, à se laisser porter par l'amour de Wentworth.

Enfin une suite!!!!

je suis trop contente!!

Pauvre Lilie, moi je suis sûre qu'elle sera une mère parfaite!

Vivement la suite!!!!!!!!!!

Coucou ==DDDDDDDDD

Bon alors moi je suis un peu en retard par rapport a tout le monde, j'en suis qu'au chapitre 71 ( que tu as posté vers le 20 Juillet xD ) et j'avais pas mal de difficultés a lire en ce moment a cause des cours et tout le blabla XD.
Mais en bonne fan de ta fics qui se respecte, j'ai tous copié collé sur un fichier Word pour pouvoir le lire le soir dans mon lit ( vive les PCs portable ) XD tu dois me prendre pour une dingue ! Enfin tout ça pour dire, que j'adoooore ta fics, je suis contente de moi d'avoir eu cette brillante idée et surtout continue comme ça
Et en plus grâce à toi je risque de faire de beaux rêves

Bisous

C’est une suite très émouvante ! Lilie qui repense encore plus à ses parents du au fait qu’elle va devenir maman à son tour ! C’est dur pour elle mais elle est bien entourée, et elle retrouvera le sourire j’en suis sûre !

Merci les filles ! Voici le suite !



Sofia ouvre doucement la porte et Went et Tom apparaissent tout sourire, fiers de la surprise qu’ils réservent à leurs deux moitiés.

T : vous êtes déjà prêtes sans qu’on ai besoin d’attendre ? Non mais c’est un miracle ?!

Sofia lui donne une légère frappe dans le ventre pour calmer ses ardeurs de vieux macho.
Went se rapproche de Lilie qui a encore les yeux humides et la regarde d’un air interrogateur. Elle tente tant bien que mal de lui sourire mais il remarque que cette pointe de tristesse dans son regard a du mal à s’effacer.

Il la prends par la main et l’attire à l’écart.

W : tu ne te sens pas bien ?

L : si...ne t’inquiètes pas...çà va aller beaucoup mieux, j’ai eu une petite discussion avec Sofia et tu sais comme je suis émotive en ce moment avec ces foutues hormones, c’est juste çà...

W : juste çà ???

L : je te promets...et puis je suis si impatiente d’aller dîner à l’extérieur !

W : tu t’es reposée aujourd’hui ?

L : j’ai dormi comme un bébé plus de trois heures cet après midi, c’est dire...

Il se retourne vers Sofia et l’interroge.

W : c’est vrai çà ?

Lilie n’en crois pas ses yeux ni ses oreilles, il vérifie !

S : absolument chef ! J’ai presque été obligée de la réveiller pour qu’on se prépare !

L : j’hallucine ! La confiance règne !

Went se rapproche et la serre dans ses bras en tenant de chaque coté son ventre proéminent. Il dépose un baiser sur sa joue et sourie.

W : je t’aime...

L : c’est çà, on se rattrape comme on peut !

Tom et Sofia rient de les voir retrouver leurs taquineries habituelles.

T : bon, c’est pas tout çà, mais on a du boulot !

Sofia et Lilie se dévisagent, ne comprenant rien à ces paroles... « Du boulot ? », quel boulot ?

Elles les suivent docilement sans cesser de s’interroger du regard, comme si l’une était peut-être au courant au dépend de l’autre.

L : tu ne me caches rien ?

S : je te jure que je ne suis pas au courant !

En bas de la rue, un taxi les attend.
Went tend un papier au conducteur qui démarre et les conduis au lieu indiquer. Ils y accèdent à peine cinq minutes plus tard. Il se range sur le bas coté, accolé au trottoir et Went lui tend un billet avant de le remercier.

W : Mesdames...

Elles sortent et constatent, surprises qu’aucun restaurant ne les attends.
Went et Tom sont nerveux mais amusés par leur réaction.
Lilie se tient légèrement en retrait, anxieuse et à la fois excitée car elle sait très bien reconnaître le comportement de Went quand il lui cache quelque chose.

Tom prend la main de Sofia et Went fait de même avec Lilie. Ils entrent dans le grand bâtiment qui leur fait face et Sofia sourie à Tom, complice de cette machination.

Lilie, de plus en plus sceptique quant à leur présence ici fait la moue.

L : tu vas me dire ce qu’on fait là à la fin ?

W : tss tss, un peu de patience !

Il l’entraîne dans le spacieux ascenseur et appuie sur le bouton di dernier étage. Il sourie mais reste néanmoins nerveux à l’idée qu’elle puisse avoir une mauvaise réaction.
La sonnerie leur indique que l’ascenseur est arrivé à destination et les portes s’ouvrent sur un immense palier où une seule porte leur fait face.

W : maintenant j’ai juste une petite chose à faire...

Lilie hausse un sourcil, inquiète.

L : ?

W : ferme les yeux et promets moi de ne pas les ouvrir avant que je te l’ai dis...

L : mais...

W : promets-moi...s’il te plaît...

L : ok...

Lilie s’exécute tandis que Went sort un trousseau de clefs de sa poche.
Il les insèrent dans la serrure et prend Lilie par la main tandis que Tom et Sofia restent légèrement en retrait derrière eux.
Il s’avance sans lâcher sa main jusqu’à pénétrer au milieu de la pièce centrale puis s’arrête.

L : je peux ouvrir les yeux ?

W : juste un instant...

Il appuie sur deux boutons à quelques mètres et revient pendant que le bruit de machine qui s’ensuit la surprend.
Il reprend sa main et sourie.

W : tu peux ouvrir les yeux ma puce...

Lilie commence par ouvrir doucement une paupière avant d’ouvrir l’autre puis de ne plus pouvoir les fermer.

La pièce dans laquelle ils se trouvent est immense, magnifique.
Lilie ne dit mot, éberluée par ce qui l’entoure.
Les murs sont maculés d’un blanc cassé lumineux et la décoration laisse présager que l’appartement était habité il y a encore peu de temps. Elle tourne sur elle-même pour découvrir une immense baie vitrée donnant sur une terrasse immense et colorée ce qui est presque incroyable en plein Paris.

Went ne cesse de la regarder, fier de l’effet produit sur elle.
Elle tourne encore et se déplace lentement, laissant ses doigts courir sur le cuir doux et frais du canapé beige qui tranche avec le bois foncé du parquet. Le plafond est très haut, comme dans nombreux vieux appartements parisiens.
La lumière filtre doucement à travers les rideaux légers qui laisse passer la faible clarté du jour fuyant.
Lilie trouve tout cela magnifique mais ne semble pas comprendre, ni où elle est, ni pourquoi.

W : çà te plaît ?

L : c’est magnifique, mais...

W : mais ?

L : et bien j’aimerais savoir où nous sommes ?

W : chez nous...

Lilie manque de s’étouffer après l’instant qui suit ces mots. Comment est-ce possible ? Il aurait acheté cet appartement en moins de quinze jours et il serait déjà meublé et aussi parfait pour ses goûts ? A moins qu’il soit magicien, c’est à peine croyable pense t’elle.

L : chez...chez nous ? Mais...là, il faut que tu m’expliques !

W : c’est simple, quand on est revenus vivre chez Tom et Sofia il y a quinze jours, à ta sortie d’hôpital, j’ai bien senti que tu n’en pouvais plus, que l’idée de mettre notre enfant au monde si loin de chez nous, loin de tout ce que nous avions prévu et imaginé, çà te rendait triste.
Alors j’ai tout de suite entrepris de changer çà.
Avec l’aide de Tom, j’ai voulu que nous ayons notre propre pied à terre ici car je sais que tu voudras y revenir régulièrement, c’est ta vie, çà fait partie de toi et c’est aussi ce que j’aime en toi. Je sais que tu as peu de racine familiale alors je voulais te montrer que je crois en nous, en toi et dans notre future famille.
Cet appartement m’est presque tombé du ciel. Un couple de diplomate a du déménager dans l’urgence et voulait vendre dans l’état. C’était une aubaine et j’ai sauté dessus. Je te donne les clefs, c’est pour toi...

Lilie s’approche doucement de la main qu’il lui tend, les larmes aux yeux. Elle croyait que peut-être il ne pourrait plus la surprendre et bien elle s’est royalement trompée.

L : Went, je...je ne sais pas quoi te dire...je...

W : je n’ai besoin de rien d’autre que de te voir heureuse...

Elle s’approche et l’enlace de toutes ses forces, laissant cette fois ses larmes s’échouer sur son visage rougi.

L : je t’aime, je t’aime si fort...

W : moi aussi ma puce...

Tom et Sofia se regardent et se sourient, heureux de voir que leurs amis reviendront bien souvent grâce à la merveilleuse idée de Went.

Celui-ci se détache doucement de Lilie et reprend son air des plus sérieux.

W : il y aura juste une chose à faire nous même...

L : ?

Went attrape sa main et l’emmène plus loin. Il ouvre une pièce et se retourne tout sourire.

W : la chambre du bébé...je te laisse te l’imaginer et je ferais le reste...

L : c’est parfait Went, tout est si parfait...je...je ne mérite pas autant...

W : chuut ! Je ne veux plus de larmes Lilie, je veux ton sourire, je veux entendre ton rire, nous avons assez souffert par le passé, laissons çà derrière nous, s’il te plait...

Lilie secoue la tête en guise de réponse et l’embrasse de plus belle comme si le feu de la passion s’était emparé de son corps.

Seule la sonnerie de la porte d’entrée réussit à les séparer. Lilie se détache doucement, amusée.

L : décidément, les sonneries se seront chargées de nous déranger tous les deux !

W : oui, mais je crois que c’est encore pour toi...

L : mais ?

W : je sais que c’est pour toi mais je ne t’en dis pas plus !

L : ok...j’ai compris ? Il faut que j’y aille ?!

Elle se dirige d’un pas lourd et néanmoins pressé vers la porte d’entrée. Elle demande qui c’est et personne ne répond. Elle tente désespérément de regarder à travers le Juda mais celui semble obstrué.
Elle finit par se décider à ouvrir lorsque Went se positionne presque derrière elle.

Au moment où la porte s’ouvre à moitié, elle commence à distinguer un visage, puis deux, puis trois et encore d’autres avant de manquer de s’évanouir sous le coup de l’émotion.

Au
moment où la porte s’ouvre à moitié, elle commence à distinguer un
visage, puis deux, puis trois et encore d’autres avant de manquer de
s’évanouir sous le coup de l’émotion.

Je me demande qui ca peut être!!!

Spoiler:

Vivement la suite!!!!!!!!!!!!!

magnifique suite miss!!!!!

ils ont leur propre maison pauvre lilie et ses hormones ele pleur tout le temps!!

vivement la suite !!!

T : vous êtes déjà prêtes sans qu’on ait besoin d’attendre ? Non mais c’est un miracle ?!
Sofia lui donne une légère frappe dans le ventre pour calmer ses ardeurs de vieux macho.

Went se rapproche de Lilie qui a encore les yeux humides et la regarde d’un air interrogateur. Elle tente tant bien que mal de lui sourire mais il remarque que cette pointe de tristesse dans son regard a du mal à s’effacer.
Il la prend par la main et l’attire à l’écart.

Wentworth sait que Lilie est encore très fragile phsychologiquement comme lui a fait comprendre le médecin. Il veut l'entourer, la rassurer, être à l'écoute de ce qu'elle ressent

Il l’entraîne dans le spacieux ascenseur et appuie sur le bouton du dernier étage. Il sourit mais reste néanmoins nerveux à l’idée qu’elle puisse avoir une mauvaise réaction.

On sent que Wentworth reste inquiet face aux réactions de Lilie. Il a peur qu'elle souffre, qu'elle ne réagisse pas comme il l'aurait espéré. ça ne doit pas être facile à vivre pour lui, non plus. ça doit aussi lui gâcher un peu les petits plaisirs quotidiens, parfois. Il doit sûrement s'en vouloir, quelque part, de ne pas parvenir à lui ôter ce voile de doute, de tristesse

L : et bien j’aimerais savoir où nous sommes ?
W : chez nous...

C'est une magnifique surprise

W : c’est simple, quand on est revenus vivre chez Tom et Sofia il y a quinze jours, à ta sortie d’hôpital, j’ai bien senti que tu n’en pouvais plus, que l’idée de mettre notre enfant au monde si loin de chez nous, loin de tout ce que nous avions prévu et imaginé, çà te rendait triste.
Alors j’ai tout de suite entrepris de changer çà.
Avec l’aide de Tom, j’ai voulu que nous ayons notre propre pied à terre ici car je sais que tu voudras y revenir régulièrement, c’est ta vie, çà fait partie de toi et c’est aussi ce que j’aime en toi. Je sais que tu as peu de racine familiale alors je voulais te montrer que je crois en nous, en toi et dans notre future famille.

C'est une très belle preuve d'amour. Il veut rassurer Lilie, lui montrer qu'elle aura toujours une vie en France, auprès de ce qui est sa famille, en quelque sorte. Wentworth veut qu'ils aient 2 cocons : un en France et un aux USA

W : chuut ! Je ne veux plus de larmes Lilie, je veux ton sourire, je veux entendre ton rire, nous avons assez souffert par le passé, laissons çà derrière nous, s’il te plait...

Il voudrait tellement que Lilie soit heureuse, se libère

Au moment où la porte s’ouvre à moitié, elle commence à distinguer un visage, puis deux, puis trois et encore d’autres avant de manquer de s’évanouir sous le coup de l’émotion.

Je crois qu'une autre belle suprise attend Lilie.

J'espère que tu nous mettras vite la suite pour qu'on en sache plus...