PROPOSITION DE FICS DE DIFFERENTS AUTEURS SUR UN MEME SUJET.

D'accord , pas de soucis!^^

Je suis très impatiente de vous lire toutes les filles!!!

Mélina a écrit:je suis intéressée ! mais je comprend pas je croyais qu'on avait deux semaines et yen a qui ont fini ?

bon, premiére question : qu'est ce qu'une OS ?

Et c'est quoi en fait? Une sorte de concours !

Héhé dsl de faire ma Sucre hein

mais ca m'intéresse , je trouve que c'est une idée trés originale

OS = One Shot en fait c'est une histoire que t'écris en une fois, où ya q'une seule suite.

sinon on avait bien deux semaines, mais que veux tu quand l'inspiration nous prend... lol

sinon moi aussi j'ai bien fait chier laurams74 en faisant ma sucre... mais je pense pas qu se soit un concours ?? si???

bon sinon melina, mise à part ça, je vois que t es là, on est le week end donc je vais de ce pas voir si tu as posté sur ta fic... attention si c'est pas le cas

Pour répondre votre question les filles , c'est pas un concours! Je veux pas vous classer!^^

OKI merci pour les infos !

Donc on a jusqu'à quand ?

vous avez jusqu'au samedi 24 .Bien sur , si tout le monde a fini avant cette date , on postera avant..

moi j'ai commencé mais il memanque un peu d'inspiration mais je suis sur que ca va venir

mais oui ça va venir ...Je te fais confiance ! ^^

Bah j'ai déjà fini mon Os, je te l'envoie Laurams??

Je préfère te l'envoyer mainetnat car je ne suis aps sûre que je pourai être là la semaine prochaine!

oui si tu veux!

laurams74 a écrit:oui si tu veux!

C'est bon je te l'ai envoyé par Mp

Coucou!

Je peux pas revenir sur le forum avant vendredi (encore ces cours!!)...Si vous avez des questions vous pouvez toujours m'envoyer un mp .Dans tous les cas , je ne pourrai y répondre que vendredi!

Bisous a tous !

c'est juste pour signaler que je vais écrire ma OS avec ma meilleure amie, donc ce sera à deux c'est possible ?

Voilou

Je voudrais savoir combien de temps il reste là pour l'OS ?

Merci

Mélina a écrit:Je voudrais savoir combien de temps il reste là pour l'OS ?

Merci

jusqu'a samedi

c'st toujours ok pour samedi?

moi comme tu le sais mon OS est près et j'y ai rajouté de la musique comme tu me le conseillais!!!

dis nous comment on s'organise!!!

coucou!

Désolé de vous répondre que maintenant !^^

Bah pour demain , si tout le monde est prêt , il faudrait se mettre d'accord .Que telle personne poste a cette heure ,pour que les autres le sache ! ^^

Dites moi quand ça vous irait le mieux!

Bisous a toutes

moi je suis là toute la journée mais je peux venir en fin de matinée genre à partir de 11h ou vers midi!!! j'ai hate de voir les autres versions!!!

moi se serais plus l'aprem et le soir, mais bon je pourrais me debrouiller pour etre la le matin

coucou à toutes!!!

alors comment on fait??? (pour l'OSje eux dire)

et bah je sais pas plus qu'hier ! ^^

Je pense que chacun a qu'a poster quand il est là!

ok bin pour moi je relie une dernière fois et après je post!!!!

bah alors ?Et ton os ?^^ je veux savoir quelle chanson tu as mise moi !!!!!!

Bon voilà mon OS. C'est la toute première fois que j'ai écris quelque chose.
Donc juste quelques précisions avant de commencer, la scène débute par Mike qui pense à Sara parce que je n'ai pas trop aimé la façon dont a été traité la mort de Sara, et aussi la façon dont Michael l'a appris (en seulement 56 secondes il était plus triste )

Voilà, bonne lecture, dîtes moi sincerement ce que vous en pensez (je suis pas méchante donc vous pouvez tout me dire, genre si vous aimez pas la fin ou quoi, pas de problème!!!

voici l'OS ceux sont principalement les pensées de mike et à la fin celles de Gretchen!!!!



Musique : http://www.radioblogclub.fr/open/147590/lux_aeterna/Requiem%20For%20A%20Dream%20-%20Lux%20aeterna

Je suis seul, assis dans cette pièce exigüe. Voilà quelques heures que je suis là. Je ne saurais pas vraiment dire combien de temps. Je ressens comme un malaise. Je ne sais pas pourquoi, cette pièce, si petite et impersonnelle soit elle, me fait penser à Sara.
Depuis le jour où Linc m’a annoncé sa mort, je me suis empêché de penser à elle, de me laisser aller à ma peine. Il fallait que je me concentre, que je rassemble toutes mes forces, le peu de forces qu’il me restait pour sauver LJ. Je devais tout faire pour m’évader, le sortir de là et pouvoir venger Sara. Mais là, je ne sais pas pourquoi, je n’en peux plus. Cette pièce à un pouvoir étrange sur moi. Elle n’a pourtant rien de particulier, elle ne contient qu’un simple lit, rudimentaire et défait, une table et deux chaises.
Recroquevillé dans un coin de la pièce, les genoux contre mon torse, je ne sais faire qu’une chose, je ne pense qu’a elle. Je devrais me concentrer mais Sara me hante. Si seulement j’arrivai à réfléchir, comprendre où je suis, comment j’y suis arrivé et pourquoi. Mais je n’y arrive pas. Je ne peux pas. Je suis à bout, et finalement, Sara prend le control de mon esprit. Je fini par me dire que je peux me laisser aller, je suis seul, là où personne ne peut me voir. Je pars dans mes divagations, je sens les larmes monter, ma gorge se noue.

M (dans un murmure) : Oh Sara…

Cependant, dans une autre pièce de la maison, Michael est espionné, scruté, étudié. Le moindre de ses gestes est analysé. Un homme, tout en continuant de fixer l’écran sur lequel on peut voir Michael, dit d’un ton sec et froid à l’un de ses subalternes : « Aller la chercher ».

Je me sens partir, je délire. Je pense à Sara, les conversations que nous avions ensemble, les regards que nous échangions. Notre jeu de séduction dans cette prison terne et froide et ses mains tellement douces, qui me réchauffaient et qui me faisaient du bien. J’adorais le contact de sa peau sur la mienne. Elle me manque tellement.

M : Sara, tu me manques tellement…

Voilà que je me mets à parler tout seul. Mais elle était tout pour moi. L’amour de ma vie. Je n’arrive pas à croire que ce soit fini, qu’elle ne soit plus là. J’en veux tellement à ces personnes de me l’avoir enlevée, de me l’avoir arrachée. On avait tout pour être heureux, on était prêt à se découvrir, apprendre à se connaître. J’en veux aussi à Linc pour m’avoir caché sa mort, pour m’avoir mentis. Mais plus que tout, je m’en veux à moi-même pour ne pas avoir su la protéger, pour avoir encouragé Linc à aller les chercher, pour l’avoir entrainé dans cette histoire. Elle a tout perdu à cause de moi et pour moi et maintenant elle n’est plus là.
A cette pensée, je sens ma gorge se serrer davantage. J’essai de retenir en vain les larmes qui coulent sur mon visage. Je ne peux m’arrêter de penser à elle, de me dire qu’elle aurait été plus heureuse si elle ne m’avait pas rencontré dans cette infirmerie. Je lui avais promis que nous affronterions cette épreuve ensemble, mais je l’ai abandonné. Aujourd’hui elle n’est plus là, et cela par ma faute.
Concentre-toi Michael. Non, c’est impossible, je ne peux la sortir de mes pensées, je ne peux l’oublier. Cette pièce me rend fou. J’ai l’impression d’être enfermé avec mes angoisses, et la seule personne qui pourrait les apaiser n’est plus là.
Soudain, j’ai comme une sensation étrange. Je lève la tête, j’ouvre les yeux fixant un point dans le vide. Je deviens fou. L’isolement, mes émotions qui prennent le contrôle, le manque de Sara peut être, mais j’ai la vive impression que la femme de ma vie hante cette pièce. L’air y est pesant. Il y a quelque chose d’inquiétant ici et qui en même temps me fais penser à Sara.

Je me lève d’un bond. Je reste figé sur place et puis je scrute tout ce qui m’entoure. Je prends mon crâne entre mes mains. Je n’en peux plus de penser. J’ai l’impression que ma tête va exploser tellement tout se bouscule en moi. Mon visage est crispé… mais se détend soudainement. Les mains toujours sur mon crâne, j’ouvre les yeux.

M (dans un soupire) : Sara…

Je me retourne vers ce lit défait et je m’avance vers lui d’un pas décidé. Je m’assois et reste comme ça quelque seconde avant de prendre l’oreiller dans mes mains. Je le mets contre mon visage, celui-ci embaume le parfum de Sara. Je respire son odeur intensément. Je ne suis pas fou, je sais que c’est le sien. Voilà plus de deux semaines que l’on s’est quitté après un dernier baiser échangé dans cette cabane, mais je reconnaîtrai toujours son parfum.
J’ouvre les yeux et je fini par comprendre pourquoi cette pièce a un tel pouvoir sur moi. C’est ici que Sara était enfermée, qu’elle était retenue pendant que j’étais à Sona. Cette idée fait monter en mois un sentiment d’impuissance si fort. Je bous de l’intérieur. Mais yeux rougissent, commencent à s’embuer. Je sens des larmes, plus intenses que les précédentes, coulées sur mon visage. J’étouffe un cri de désespoir dans cet oreiller… celui de Sara.

Mes sanglots sont de plus en plus forts. Je n’en peux plus, je ne peux plus me contenir. Je ne souhaite qu’une seule chose, retrouver Sara, la prendre dans mes bras, lui dire que tout va bien, qu’elle est en sécurité avec moi. Je veux retrouver la chaleur de son corps, la douceur de sa voix, l’intensité de son regard, le goût de ses baisers.
Epuisé par cette sensation, je pose vivement l’oreiller à côté de moi, je me lève et frappe violemment dans la chaise qui se trouve face à moi et tombe sur le sol en poussant un véritable cri de haine.

Mon regard est soudain attiré vers la porte. Perdu dans mes pensées, je n’avais pas entendu quelqu’un arriver. Un homme ouvre la porte et pouce brusquement une femme ligotée qui tombe vivement à côté de la chaise. L’homme me regarde alors que je reste là sans bouger, immobile. Il me lance un revolver dans les mains et me dit sur un ton autoritaire : « Tue la !» avant de repartir en fermant la porte à clefs.

Chanson : Final fight
http://www.radioblogclub.fr/open/127969/final_fight/Rob%
ou
http://www.radioblogclub.fr/open/68266/final_fight/Theme%20-%20Robert%20Duncan%20-%20The%20Final%20Fight

Déboussolé je ne reconnais pas tout de suite cette femme. Et puis finalement, ma mémoire reprend le contrôle. Je me rappelle, s’est-elle que j’avais vu parler à Wistler quand nous étions toujours à Sona.

Elle se relève difficilement et une fois debout me dis sur un ton narquois : « Bonjour Michael ».

Elle se tient droit devant moi, avec un sourire hautain sur les lèvres. Elle a quelques hématomes sur le visage. Soudain, sa voix me sort de mes pensées.

… (d’un ton moqueur) : Vous avez pleurez !
M (d’un ton sec) : Qui êtes vous ?

Elle ne répond pas, mais elle affiche toujours sur son visage ce même sourire que je ne supporte plus. Je me répète, déliant toutes les syllabes pour qu’elle réponde à ma question.

M (en articulant exagérément) : Qui êtes vous ?

Après un moment de silence, elle me répond enfin.

G : Votre frère avait l’habitude de m’appeler Suzanne, mais mon vrai nom c’est Gretchen.
M (lui montrant le revolver) : Que veulent ils que je fasse de cette arme ?
G : Comme il l’a dit, ils veulent que vous me tuiez.
M (perplexe) : Pourquoi voudrait-il que je fasse ça ?

Je sais très bien qu’elle est liée à la compagnie. C’est elle qui donnait les ordres que Linc devait suivre, mais je tache de garder mon sang froid. Je veux en savoir plus.

G : Allons Michael, vous êtes un homme intelligent, vous nous l’avez montré à de nombreuses reprises. Avec la tournure que prennent les choses vous devriez savoir qu’ils étudient votre comportement.
M : Ca ne répond toujours pas à ma question.

J’ai une boule qui me monte à la gorge. Je me doute de ce qu’elle va me dire, je ne veux pas qu’elle le dise mais en même temps, j’ai besoin de l’entendre, d’exprimer toute ma colère.

G (sur un ton arrogant) : Pour venger la mort de Sara… Vous voulez devoir la venger, surement.

Les larmes me montent aux yeux, mon sang se glace quand je comprends ce qu’elle est sur le point de me dire.

G : J’ai tué Sara.

Avant même qu’elle n’ai pu prononcer une parole de plus, je sors de ma léthargie et je lui assène un coup violent à la joue avec la cross du revolver que j’ai entre les mains, poussé par une rage furieuse qui ne demande qu’a sortir.

M (hurlant) : La ferme !

Elle est toujours consciente. Elle continue de me fixer avec le même dédain depuis qu’elle est entrée dans la pièce. Sa joue est rougie, légèrement fendue par le coup que je lui ai donné. Elle se relève doucement avec un petit rictus sur les lèvres. Elle essuie le sang qui coule sur son visage. Elle continue son discours, je n’arrive pas à croire ce qu’elle me dit. Je recule de plus en plus vers le fond de la pièce, j’ai l’impression que le monde s’écroule autour de moi. Ma respiration s’accélère, je me sens vide, dévasté par les propos qu’elle a.

G : Oui Michael. S’est bien ici que Sara a attendu que vous et votre frère veniez la libérez en vous en tenant strictement au plan. Mais vous avez voulu jouer les héros. Vous avez voulu la sauvez mais vous n’avez abouti qu’a sa perte. C’est de votre faute Michael si Sara est morte.

Je ne peux plus supporter ses paroles. S’en est trop. Je suis adossé au mur et elle se tient devant moi. Je la hais, je la hais pour tout ce qu’elle vient de dire, mais je n’ai pas encore tout entendu, elle n’a pas fini.

G : Je ne suis qu’un soldat Michael dans cette histoire. Je ne voulais pas lui faire de mal. Sara était une femme intelligente et courageuse. Vous auriez pu passer votre vie ensemble, si seulement vous vous en étiez tenu au plan Michael. Mais vous avez voulu nous montrer que vous étiez plus forts que nous. Et bien vous avez échouez, et je n’ai pas eu d’autre choix que de venir dans cette même pièce, faire assoir Sara sur cette même chaise…

Stop ! Je veux qu’elle s’arrête, je veux que tout s’arrête. Je veux lui dire de se taire mais je n’y arrive pas je suis paralysé, muet. J’arrive finalement à prononcer quelques mots étouffés par mes larmes.

M (dans un murmure de supplication) : La ferme… Stop… arrêtez, s’il vous plait.

G : « S’il vous plait ? », voyons Michael, je vous croyez plus fort, plus courageux. Je vais finir par croire que vous ne méritiez pas Sara. Elle n’a pas réagie de la sorte alors que je lui plantais le couteau sous la gorge et que je lui ai dit qu’elle allait mourir pour son geste stupide.

Je ne peux me retenir de pleurer à ces paroles. Elle lui a annoncé sa mort. Sara a compris que tout était fini. Elle n’a pas cherché à lutter. Je la reconnais bien là, elle s’est sacrifiée pour nous, pour moi, encore.
Alors que je suis submergé par la douleur suite aux mots de cette femme, je sens mon bras se tendre, pointant l’arme que je tiens toujours dans la main sur le front de Gretchen. Un acte de désespoir, je ne crois plus en rien. J’ai gardé la Foix pendant toutes ses épreuves mais là je n’en ai plus, sans Sara je ne suis rien. Je veux que cette femme meure pour ce qu’elle a fait à Sara, pour m’avoir enlevé la meilleure chose que j’ai eu dans ma vie.

G : Elle a pu sentir la lame froide de mon couteau sur sa gorge. Lui tenant la tête en arrière, je lui ai tranché la gorge. J’ai ensuite envoyé sa tête à votre frère, un petit cadeau qu’il a eu pour lui faire comprendre ce qui arriverait à son fils s’il s’avisait de recommencer.

Poussé par la rage qui a dépassé la tristesse, je suis sur le point d’enclencher la gâchette alors qu’elle continue de parler.

G (sur un ton ironique) : Oh mais j’oubliais Michael, elle m’a chargée d’un dernier message à vous transmettre avant de mourir. Elle voulait vous dire qu’elle ne vous en veut pas, qu’elle vous aime et que vous êtes la meilleure chose qu’elle ai eu dans sa vie. Puis elle a fini en me disant qu’a la dernière question que vous lui avez posé dans cette infirmerie, elle répond qu’elle le fera, (en se moquant et reprenant les mots de Sara) « pour toujours ». J’avoue que cette femme que jusqu’alors je trouvais admirable a baissée dans mon estime avec ses discours romantiques…

M (hurlant) : La ferme !

Le message de Sara m’a redonné toute ma force. Je sais ce qu’elle a voulu me dire. Je la comprends.

Flashback :

Sara nettoie la blessure de Michael, elle se retourne et celui-ci l’embrasse. Elle se sépare de leur étreinte esquissant un sourire et soupire de soulagement.
S : Qu’est ce que tu attends de moi Michael ?
M : Sara, j’ai besoin que tu fasses quelque chose pour moi.
S : Quoi ?
M : Attends moi… (Passant sa main dans les cheveux de Sara) ça ne sera pas toujours comme ça… dans cette pièce… dans cette prison.

Fin du flash back

Mon visage se détend. Tout n’est pas fini, je comprends que tout n’ai pas fini. Elle m’attend et je veux la rejoindre. Un sourire se dessine sur mes lèvres effaçant toute la colère et la tristesse que j’ai en moi. Je retourne l’arme qui jusque alors était pointée vers Gretchen, contre moi.

M (dans un soupire de soulagement) : Sara, je suis là.

G (surprise par le geste de Mike) : Michael… ?

Un bruit sourd. Un corps qui tombe sur le sol.

(à partir de là, ce sont les pensées de Gretchen / Suzanne) :

Musique : In the house, in a heart beat
https://www.youtube.com/watch?v=agcKUzGvOSw
ou si ça marche pas:
https://www.youtube.com/watch?v=lAfbeCfMDS8

Je me recule. Je défais les liens de mes poignets sans difficulté et je sors de cette pièce. Je me dirige vers la salle de bain. J’ai les mains qui tremblent. Je ne sais pas encore comment j’ai pu faire ça. Comment j’ai pu avoir autant d’assurance, alors qu’être dans cette pièce avec cet homme, avec Michael me terrifiais.

Ce couple aurait tout donné l’un pour l’autre, ils ont tout donné. J’ai déjà tué beaucoup de monde, mais je n’ai encore jamais poussé quelqu’un assez loin pour qu’il retourne l’arme contre lui. Mes mains ne cessent de trembler. Je sais que ce que j’ai fait est bien. J’ai empêchée la compagnie d’achever cet homme éperdument amoureux, de l’étudier comme une bête de foire. Maintenant tout est fini. Je les ai réunis.

Je me regarde dans le miroir. Et je vois le reflet de James derrière moi.

J (lui parlant par le miroir) : Tu t’es sacrément amochée Gretchen.
G : Tu sais très bien que c’était essentiel si je voulais qu’il tombe dans le piège.
J : Oui, comme toi tu sais très bien que ceci ne devait pas être l’issue finale du piège.
G (évitant le regard de Whistler) : Vous ne pourrez plus leur faire de mal. J’ai fais trop de mal autour de moi, je devais réparer. Croyais tu réellement que vous vous débarrasseriez de moi si facilement ?

J’entends un bruit, celui d’une arme qu’on sort de son écrin.

J : Tu devais t’en tenir au plan. Il avait dit qu’il tuerait la personne qui a tué Sara. Tu savais très bien que tu n’étais là que pour ça. Le fait qu’il ait retourné l’arme contre lui ne te sauvera pas pour autant. Tu comprends mon geste j’espère.
G (le regardant à travers le miroir voyant l’arme se pointer vers elle) : Adieu James.

Je le regarde une dernière fois, puis je détourne mes yeux vers mon propre reflet. Je sourie, je comprends ce que Michael a ressenti à ce moment parce que je le ressens à mon tour. Je me sens libérée. Ils ne comprendront jamais que mon acte ma sauvé, il a sauvé mon âme, celle de Michael et Sara à jamais ensemble, pour l’éternité.


Voilà, alors alors des commentaires ???

voilà c'est posté j'ai mis des musisques sans paroles après avoir beaucoup hésité mais bon si yen a qui préfère ils peuvent changer, j'avais hésité avec creep (le version de korn je préfère), fix you donc voilà après c'est vous qui voyez!!!