SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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fanfiction prison break
une suite c tro bo
et non pas katie
et non pas katie
mariecuche- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Super belle suite, j'ai adoré, Sara qui apprend la mort de Katie de la bouche du père de Michael Waouh. La pauvre elle va se sentir coupable, parce qu'elle l'a mêlé à cette histoire en allant la voir au début
sosam66- Kellerman my friend!
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
il y a beaucoup d'adrénaline dans ta suite mais c'est finit, enfin avec Mahone et kellerman, parce qu'en ce qui concerne la police
met vite la suite stp
met vite la suite stp
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
O_o Pov' Katie.....
Et Sara qui tue Mahone...mais il le mérité!!
Une autre suite ce soir???
Et Sara qui tue Mahone...mais il le mérité!!
Une autre suite ce soir???
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
$acass a écrit:O_o Pov' Katie.....
Et Sara qui tue Mahone...mais il le mérité!!
Une autre suite ce soir???
ce soir non pas possible, j'ai encore rien ecrit lol sorry
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:$acass a écrit:O_o Pov' Katie.....
Et Sara qui tue Mahone...mais il le mérité!!
Une autre suite ce soir???
ce soir non pas possible, j'ai encore rien ecrit lol sorry
j'ai ecrit ma suite hier, manque plus qu'à la taper sur l'ordi.
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:Islemmedemars a écrit:$acass a écrit:O_o Pov' Katie.....
Et Sara qui tue Mahone...mais il le mérité!!
Une autre suite ce soir???
ce soir non pas possible, j'ai encore rien ecrit lol sorry
j'ai ecrit ma suite hier, manque plus qu'à la taper sur l'ordi.
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
La suite un peu courte et encore sans ban (c'est parce que je n'ai pas encore trouver toutes les captures que je veux)
EPISODE VI - C'EST ICI QU'ON SE QUITTE
Nos fugitifs couraient aussi vite que leurs jambes le leurs permettaient, après quelques minutes de sprint à semer la police, ils s’arrêtèrent un instant pour souffler.
Michael : (essoufflé) Il faut qu’on se sépare, ensemble on reste facilement repérable.
Sara : (d’une respiration entrecoupée) oh… Michael…
Michael (surprit de sa voix affaiblit) Que se passe-t-il ?
Sara : Michael… je…
Michael (comprit) Oh mon Dieu ! Sara, tu es blessée ?
Lincoln : On ne peut pas rester là Mike, j’entends des chiens, ils ont appelé des renforts.
Michael : Lincoln, Sucre partaient devant, je m’occupe de Sara.
Sucre : T’es sûre Mike ?
Michael : Oui allez-y.
Lincoln : (lui envoyant son portable) on reste en contact.
Michael : Ok. (Il prit Sara dans ses bras et là conduisit à l’abri derrière un composite de petits arbustes) Tiens bon Sara, tiens bon.
Sara : (d’une voix faible) Michael, je t’en prie vas t’en, s’ils te trouvent là, ils te tueront, Je t’en prie.
Michael : Non, il est hors de question que je te laisse seule ici.
Il posa Sara délicatement sur l’herbe fraîchement arrosée puis il déchira l’une des manches de sa chemise et l’entoura autour du haut de sa cuisse faisant un double noeud bien serré pour couper la circulation sanguine et ralentir l’écoulement de sang qui émané de sa blessure.
Sara : (fragilisée par sa blessure) Michael, je t’en prie part, tant qu’il est encore temps. Je ne suis qu’un fardeau pour toi à présent. Je ne ferais que te ralentir. De plus, ça leur donne une chance supplémentaire de te capturer.
Michael : Arrête de parler Sara, cela t’affaiblit et te fais délirer. Je ne te quitterais pas, plus jamais, je t’aime.
Sara : Si tu m’aime, alors tu dois partir… et sauver ta vie.
Michael : Ne me demande pas ça Sara, j’en suis incapable et tu le sais.
Sara : La meilleure chose que tu puisse faire pour moi, pour nous, c’est rester en vie pour que je puisse encore t’aimer de ton vivant et sauver notre histoire.
Michael : (entend ce qu’elle di me ne l’écoute pas) Je vais m’occuper de toi Sara, je vais te conduire à l’hôpital, quoique cela puisse me coûter. Je refuse de risquer de te perdre une seconde fois.
Sara : Non Michael, non ne fais pas ça, ils t’enverront croupir en prison (avec un trait d’humour pour détendre l’atmosphère) et je refuse de vivre notre histoire derrière les barreaux sous le regard vicieux des surveillants qui guettent.
Michael : (il sourit timidement) Sara… je t’aime tellement
Il se pencha sur elle approchant sa bouche de la sienne et y déposa un baiser sur ses lèvres. Sara mit sa main sur la nuque de Michael faisant des vas et vient jusque son visage pour accompagner ce geste et savourer pleinement ce baiser qui était sans doute le dernier avant longtemps. Les voix de quelques policiers se firent entendre et les chiens qui aboyaient pour prévenir leur maître qu’ils avaient trouvé quelque chose inquiétaient Sara.
Sara : Ils se rapprochent Michael, je t’en supplie vas t’en, pour l’amour du ciel vas t’en.
Michael : Sara, je ne peux pas te laisser ici, pas dans cet état.
Sara : Vas t’en Michael, vas t’en… je te promets de rester forte mais je t’implore Michael part, tu sais aussi bien que moi qu’ils n’hésiterons pas à tirer sur toi et je refuse de te perdre de cette façon.
Michael était complètement dépassé par les évènements, il savait que Sara avait pertinemment raison sur toute la ligne. Mais comment pouvait-il se résoudre à la laisser seule dans le but de sauver sa vie alors que le sienne était d’une part menacée par l’impact de la balle et d’autre part condamnée à endosser deux meurtres possibles dans un avenir proches. Les chiens se trouvaient à présent aux pieds des petits arbustes. Sara ferma les yeux pour ne rien paraître et dit à Dieu à Michael.
1er policier : Par ici, les chiens ont trouvé quelques chose… (Il s’en approcha) … ou plutôt quelqu’un.
2ème policier : Elle a plutôt l’ai mal en point, (aux autres policiers derrière lui) appelaient une ambulance.
3ème policier : (s’approcha de la victime - par radio) Centrale, ici unité 2, nous demandons une ambulance pour une blessure par balle.
La centrale…
3ème policier : Nous sommes au Parc Lancartia, du côté de l’entrée principale entre la 33ème et la 34ème. La jeune femme correspond au signalement du docteur Tancredi.
Michael : (déjà loin de sa bien aimé, il s’appuya contre un arbre. il ferma les yeux et se mordilla la lèvre inférieure) Je te demande pardon Sara, pardon. (Des larmes commencèrent à couler le long de ses joues).
EPISODE VI - C'EST ICI QU'ON SE QUITTE
Nos fugitifs couraient aussi vite que leurs jambes le leurs permettaient, après quelques minutes de sprint à semer la police, ils s’arrêtèrent un instant pour souffler.
Michael : (essoufflé) Il faut qu’on se sépare, ensemble on reste facilement repérable.
Sara : (d’une respiration entrecoupée) oh… Michael…
Michael (surprit de sa voix affaiblit) Que se passe-t-il ?
Sara : Michael… je…
Michael (comprit) Oh mon Dieu ! Sara, tu es blessée ?
Lincoln : On ne peut pas rester là Mike, j’entends des chiens, ils ont appelé des renforts.
Michael : Lincoln, Sucre partaient devant, je m’occupe de Sara.
Sucre : T’es sûre Mike ?
Michael : Oui allez-y.
Lincoln : (lui envoyant son portable) on reste en contact.
Michael : Ok. (Il prit Sara dans ses bras et là conduisit à l’abri derrière un composite de petits arbustes) Tiens bon Sara, tiens bon.
Sara : (d’une voix faible) Michael, je t’en prie vas t’en, s’ils te trouvent là, ils te tueront, Je t’en prie.
Michael : Non, il est hors de question que je te laisse seule ici.
Il posa Sara délicatement sur l’herbe fraîchement arrosée puis il déchira l’une des manches de sa chemise et l’entoura autour du haut de sa cuisse faisant un double noeud bien serré pour couper la circulation sanguine et ralentir l’écoulement de sang qui émané de sa blessure.
Sara : (fragilisée par sa blessure) Michael, je t’en prie part, tant qu’il est encore temps. Je ne suis qu’un fardeau pour toi à présent. Je ne ferais que te ralentir. De plus, ça leur donne une chance supplémentaire de te capturer.
Michael : Arrête de parler Sara, cela t’affaiblit et te fais délirer. Je ne te quitterais pas, plus jamais, je t’aime.
Sara : Si tu m’aime, alors tu dois partir… et sauver ta vie.
Michael : Ne me demande pas ça Sara, j’en suis incapable et tu le sais.
Sara : La meilleure chose que tu puisse faire pour moi, pour nous, c’est rester en vie pour que je puisse encore t’aimer de ton vivant et sauver notre histoire.
Michael : (entend ce qu’elle di me ne l’écoute pas) Je vais m’occuper de toi Sara, je vais te conduire à l’hôpital, quoique cela puisse me coûter. Je refuse de risquer de te perdre une seconde fois.
Sara : Non Michael, non ne fais pas ça, ils t’enverront croupir en prison (avec un trait d’humour pour détendre l’atmosphère) et je refuse de vivre notre histoire derrière les barreaux sous le regard vicieux des surveillants qui guettent.
Michael : (il sourit timidement) Sara… je t’aime tellement
Il se pencha sur elle approchant sa bouche de la sienne et y déposa un baiser sur ses lèvres. Sara mit sa main sur la nuque de Michael faisant des vas et vient jusque son visage pour accompagner ce geste et savourer pleinement ce baiser qui était sans doute le dernier avant longtemps. Les voix de quelques policiers se firent entendre et les chiens qui aboyaient pour prévenir leur maître qu’ils avaient trouvé quelque chose inquiétaient Sara.
Sara : Ils se rapprochent Michael, je t’en supplie vas t’en, pour l’amour du ciel vas t’en.
Michael : Sara, je ne peux pas te laisser ici, pas dans cet état.
Sara : Vas t’en Michael, vas t’en… je te promets de rester forte mais je t’implore Michael part, tu sais aussi bien que moi qu’ils n’hésiterons pas à tirer sur toi et je refuse de te perdre de cette façon.
Michael était complètement dépassé par les évènements, il savait que Sara avait pertinemment raison sur toute la ligne. Mais comment pouvait-il se résoudre à la laisser seule dans le but de sauver sa vie alors que le sienne était d’une part menacée par l’impact de la balle et d’autre part condamnée à endosser deux meurtres possibles dans un avenir proches. Les chiens se trouvaient à présent aux pieds des petits arbustes. Sara ferma les yeux pour ne rien paraître et dit à Dieu à Michael.
1er policier : Par ici, les chiens ont trouvé quelques chose… (Il s’en approcha) … ou plutôt quelqu’un.
2ème policier : Elle a plutôt l’ai mal en point, (aux autres policiers derrière lui) appelaient une ambulance.
3ème policier : (s’approcha de la victime - par radio) Centrale, ici unité 2, nous demandons une ambulance pour une blessure par balle.
La centrale…
3ème policier : Nous sommes au Parc Lancartia, du côté de l’entrée principale entre la 33ème et la 34ème. La jeune femme correspond au signalement du docteur Tancredi.
Michael : (déjà loin de sa bien aimé, il s’appuya contre un arbre. il ferma les yeux et se mordilla la lèvre inférieure) Je te demande pardon Sara, pardon. (Des larmes commencèrent à couler le long de ses joues).
Dernière édition par Islemmedemars le Jeu 1 Mai - 1:32, édité 2 fois
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
C'est quoi sa....j'ai les larmes aux yeux a cause de toi...méchante .....rien que le titre ne présagé rien de bon..........mais jveux quand mème la suite!!
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
$acass a écrit:C'est quoi sa....j'ai les larmes aux yeux a cause de toi...méchante .....rien que le titre ne présagé rien de bon..........mais jveux quand mème la suite!!
alors la je suis pas mais alors pas d'accord, il avait qu'à la porter, nnooooooooooonnnnnnnnnn, je veux pas qu'ils se quittent
JE VEUX LA SUITE ET TRES VITE SINON JE REPONDS PLUS DE MOI
je rigole mais je la veux quand même STP PLEASE
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
tinkerbel a écrit:$acass a écrit:C'est quoi sa....j'ai les larmes aux yeux a cause de toi...méchante .....rien que le titre ne présagé rien de bon..........mais jveux quand mème la suite!!
alors la je suis pas mais alors pas d'accord, il avait qu'à la porter, nnooooooooooonnnnnnnnnn, je veux pas qu'ils se quittent
JE VEUX LA SUITE ET TRES VITE SINON JE REPONDS PLUS DE MOI
je rigole mais je la veux quand même STP PLEASE
mais non ne vous inquietez pas c'est juste du suspense et c'est la seule chose que j'ai trouvé d'assez crédible pour les séparer et mieux les faire se rretrouver.
patienceeeee...
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
...mais non ne vous inquietez pas c'est juste du suspense et c'est la seule chose que j'ai trouvé d'assez crédible pour les séparer et mieux les faire se rretrouver.
patienceeeee
oufffffffffffff
qu'est ce que j'ai eut
la suite ce soir ????????????????
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
C'est trop triste la derniere suite !!!!
C 'est pas gentil et je suis presse de voir leur retrouvailles !!!
C 'est pas gentil et je suis presse de voir leur retrouvailles !!!
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
tinkerbel a écrit:...mais non ne vous inquietez pas c'est juste du suspense et c'est la seule chose que j'ai trouvé d'assez crédible pour les séparer et mieux les faire se rretrouver.
patienceeeee
oufffffffffffff
qu'est ce que j'ai eut
la suite ce soir ????????????????
je ne sais pas tout en faisant ce que je fais actuellement (des bans et des avatars animés, je réfléchis à une suite que j'ai déja entamé).
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:tinkerbel a écrit:...mais non ne vous inquietez pas c'est juste du suspense et c'est la seule chose que j'ai trouvé d'assez crédible pour les séparer et mieux les faire se rretrouver.
patienceeeee
oufffffffffffff
qu'est ce que j'ai eut
la suite ce soir ????????????????
je ne sais pas tout en faisant ce que je fais actuellement (des bans et des avatars animés, je réfléchis à une suite que j'ai déja entamé).
ok, pas de problèmes, je suis très patiente
et tes créas
faudrait que je mette des comms là bas aussi
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:tinkerbel a écrit:$acass a écrit:C'est quoi sa....j'ai les larmes aux yeux a cause de toi...méchante .....rien que le titre ne présagé rien de bon..........mais jveux quand mème la suite!!
alors la je suis pas mais alors pas d'accord, il avait qu'à la porter, nnooooooooooonnnnnnnnnn, je veux pas qu'ils se quittent
JE VEUX LA SUITE ET TRES VITE SINON JE REPONDS PLUS DE MOI
je rigole mais je la veux quand même STP PLEASE
mais non ne vous inquietez pas c'est juste du suspense et c'est la seule chose que j'ai trouvé d'assez crédible pour les séparer et mieux les faire se rretrouver.
patienceeeee...
ouf
jai eu la larme a loeil
je veut la suiiiiiite stp je tient plus en place
jai eu la larme a loeil
je veut la suiiiiiite stp je tient plus en place
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
je veins de ratraper miss!!!!!
tu cartonnes!!!!
vivement qu'ils se retrouvent !!!!
pauvre sara elle est blessée!!!
la suite miss
tu cartonnes!!!!
vivement qu'ils se retrouvent !!!!
pauvre sara elle est blessée!!!
la suite miss
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
voici la suite (surtout ne me tapez pas) par contre pour les bans c'est pas encore pour maintenant) en revanche je vais en ajoutait sur les précédentes partie.
Sara se réveilla enfin, après avoir dormi des heures durant. Combien, elle ne le savait pas et à dire vrai, ce n’était pas ça préoccupation première. Elle regrettait déjà à cause de la migraine qui s’était emparait d’elle. Elle était si inquiète pour Michael qu’elle ne se rendit même pas compte qu’on l’avait enchaîné par le poigné à la barre du lit. Elle était perdue dans ses pensées mais voila que cette migraine effroyable l’en sortait violemment. Sur le chevet, à côté de son lit, se trouvait un broc d’eau et une tasse. Elle voulut se servir un verre avec la seule main libre qui lui restait, quand soudain, le verre lui glissa des doigts. Non pas à cause de sa fragilité ou de la force qui l’avait complètement abandonné mais parce qu’elle vit un oiseau de papier posé sur ce même chevet.
Sara : Il est venu, il était là, oh mon Dieu, Michael !
Dans une des chambres voisines à celle de Sara, un homme a été admit suite à une blessure, trois coups de couteau, avait signalé l’ambulancier qui l’avait transporté jusqu’ici. Il était tout juste entrain de se réveiller, même pas le temps pour lui de se rendre compte où il se trouvait, qu’un homme grand, vêtu d’un costume noir, portant des lunettes noir, s’empara d’un oreiller, tentant de lui ôter la vie. Mais non, l’homme n’insista pas, ce n’était qu’un avertissement.
Mahone : (respirant difficilement) Pourquoi ?
L’homme : Il vous reste encore une petite chance, une toute petite.
Mahone : Et pourquoi cette fois ? A l’heure qui l’est, il déjà loin.
L’homme : Il ne s’agit pas de Scofield, mais du docteur Tancredi.
Mahone : Mais elle n’a aucun intérêt pour la compagnie ?
L’homme : Oui, en effet, ce n’est pas elle qui intéresse la compagnie, mais l’effet que produira sa mort sur Michael Scofield.
Mahone : Et ou vais-je la trouver ?
L’homme : En temps normal, je vous aurais dit de vous débrouiller, mais on peut dire que vous avez de la chance, car cette dernière se trouve à quelques mètres de vous. Chambre 213, tuez là. Aujourd’hui !
L’homme quitta la chambre
L’homme : Oh, j’allais oublier, si vous ne savez pas comment vous y prendre, prenez donc cet oreiller. (Il le lui lanca)
Mahone n’insista même pas, il savait qu’il devait exécuter les ordres sans quoi, il en perdrait sa famille. Bien sûr, il était inquiet pour sa femme, mais sa seule véritable source de vie était son fils, celui la même pour qui il ne se posait jamais de questions ou plus car on l’avait déjà mis à l’épreuve.
Quelque part prés d’un parking
Sucre et Lincoln ont fini par réussir à quitter le parc Lancartia. Ils avaient prit un petit chemin sans trop savoir où il menait. Ils tombèrent nez à nez avec un vieux grillage usé par le temps et certainement saccagé par des mains indélicates. Mais qu’importe c’était là leur ticket de sortie. Ils firent une petite pause bien méritée.
Sucre : qu’est ce qui se passe Lincoln, ça ne va pas ?
Lincoln : Je suis inquiet, on n’aurait jamais dû les laisser seuls.
Sucre : Ouais, surtout que Sara était mal en point, pas facile de courir quand on se fait tirer dessus.
Lincoln : Quoi, qu’est ce que tu dis ? Sara, Tirez dessus ?
Sucre : Attends, ne me dit pas que tu n’as rien vu ?
Lincoln : Non, mais sous le feu de l’action, je croyais qu’elle était épuisée par la cours. Si j’avais su je serais resté avec eux. Oh mon Dieu ! Michael doit être dans tous ses états.
Sucre : Qu’est ce qu’on fait, Où est ce qu’on va ?
Lincoln : Passe moi ton téléphone, il faut que je l’appelle.
Après avoir tenté de joindre Michael une dizaine de fois, Lincoln abdiqua.
Lincoln : Il nous faut une voiture.
Sucre : il y a un parking pas très loin d’ici, on ne devrait pas avoir de problème pour en trouver une.
Lincoln : Alors on y va.
Une fois de plus, Michael a dû laisser Sara livrée à elle-même, ou plutôt aux autorités, le cœur déchiré par la culpabilité. Il était venu pour la chercher et voila qu’il partait à nouveau sans elle, parce qu’ils l’avait enchaîné comme une criminelle. Mais lui il savait, il savait qu’elle n’avait pas commis ce crime. Si seulement il ne l’avait jamais rencontré, ou du moins pas dans ces conditions, rien de tout ça ne lui serait arrivé. Il s’en voulait tellement que ses idées s’emmêlaient les une aux autres, il n’arrivait plus à réfléchir. Il ne savait plus quoi faire, Sara hantait ses pensées.
A l’hôpital
Mahone faisait mine de se promenait dans ces longs couloirs froids. Il sentait la mort, oui parce que aujourd’hui, il allait tuer, encore. Combien de temps cela allait-il durer ? Combien de gens devrait-il tuer pour qu’enfin on le laisse vivre sa vie ? Plus il approchait de la chambre 213 et plus il se posait de question. Devant la porte, il hésita un instant, puis entra dans la pièce. Il tomba nez à nez avec le regard tétanisé de Sara, qui comprit à cet instant que cette fois, elle n’y échapperait pas, à moins d’un miracle, que Michael vienne la chercher.
Mahone : Il n’y a aucune raison d’avoir peur Sara.
Sara : Vous n’abandonnez jamais vous on dirait. J’espère qu’on vous paye bien pour faire tout ça.
Mahone : Vous ne savez pas de quoi vous parlez.
Sarah : Je ne suis pas idiote et je sais de quoi vous êtes capable.
Mahone : Taisez-vous ! Si vous saviez vraiment, vous n’auriez pas fait tout ça.
Sara : Tout ça quoi ?
Mahone : Ne me prenez pas pour un imbécile, vous savez très bien de quoi il en retourne.
Sara : Vous disiez le contraire, il n’y a pas deux minutes.
Mahone : N’essayez pas de m’embrouiller.
Sara : Oh ! Mais, vous n’avez pas besoin de moi pour ça, vu votre état. Je sais reconnaître un drogué, j’en étais aussi. Vous prenez quoi hein ? Des calmants. ?
Mahone : Vous… vous ne comprenez pas, non, vous ne pouvez pas comprendre… (Petite pause) Varactril.
Sara : Wouaw, c’est un puissant tranquillisant, vous en prenez souvent ?
Mahone : Assez pour retrouver le calme dont j’ai besoin.
Sara : Sauf que… maintenant, ce n’est plus pour ça que vous les prenez. Migraine, insomnie…
Mahone : STOP ! Je suis assez bien placé pour le savoir. Mais… ma présence ici n’à rien avoir avec mon état et ça, vous le savez Sara, vous le savez. Et vous savez aussi que je dois faire mon travail.
Sara : Et vous, vous savez qu’il encore tant de faire marche arrière.
Mahone : (un rire satirique lui glisse des lèvres) Vous aviez raison Sara quand vous disiez que votre esprit était emprisonné. Et par quoi ? Un amour aveuglant à l’égare d’un homme pour qui vous allez mourir et qui ne fera rien pour empêcher ça.
Il s’approcha d’avantage d’elle, il serra fortement l’oreiller qu’il avait dans ses mains, ce même oreiller qui précédemment aurait pu le tuer lui. Plus il s’approchait d’elle plus elle était terrorisée. Si seulement elle n’était pas enchaînée à ce lit.
Mahone : Ca ne servirait à rien de vous débattre Sara, alors si vous n’essayez pas, je vous promet une mort rapide et sans douleur.
Sara qui n’avait pas quittait l’oiseau de sa main tout le temps, ne faisait que penser à Michael. Malgré la peur qui s’emparait d’elle, elle savait à présent que c’était la fin. La seule chose qu’elle regrettait c’était de ne pas pouvoir voir Michael une dernière fois, lui dire à quel point elle l’aimait. Elle regrettait aussi le fait de ne pas s’être battue d’avantage, car elle savait que tout ce qu’elle avait fait à quelques exceptions, c’était pour la bonne cause. Mahone jeta l’oreiller sur le visage de Sara et le serra jusqu'à tenter l’étouffement.
Sara : hum, huuummm…
Mahone : Shuttt c’est presque fini.
Episode 7 : Tous ce que je ressens
Sara se réveilla enfin, après avoir dormi des heures durant. Combien, elle ne le savait pas et à dire vrai, ce n’était pas ça préoccupation première. Elle regrettait déjà à cause de la migraine qui s’était emparait d’elle. Elle était si inquiète pour Michael qu’elle ne se rendit même pas compte qu’on l’avait enchaîné par le poigné à la barre du lit. Elle était perdue dans ses pensées mais voila que cette migraine effroyable l’en sortait violemment. Sur le chevet, à côté de son lit, se trouvait un broc d’eau et une tasse. Elle voulut se servir un verre avec la seule main libre qui lui restait, quand soudain, le verre lui glissa des doigts. Non pas à cause de sa fragilité ou de la force qui l’avait complètement abandonné mais parce qu’elle vit un oiseau de papier posé sur ce même chevet.
Sara : Il est venu, il était là, oh mon Dieu, Michael !
Dans une des chambres voisines à celle de Sara, un homme a été admit suite à une blessure, trois coups de couteau, avait signalé l’ambulancier qui l’avait transporté jusqu’ici. Il était tout juste entrain de se réveiller, même pas le temps pour lui de se rendre compte où il se trouvait, qu’un homme grand, vêtu d’un costume noir, portant des lunettes noir, s’empara d’un oreiller, tentant de lui ôter la vie. Mais non, l’homme n’insista pas, ce n’était qu’un avertissement.
Mahone : (respirant difficilement) Pourquoi ?
L’homme : Il vous reste encore une petite chance, une toute petite.
Mahone : Et pourquoi cette fois ? A l’heure qui l’est, il déjà loin.
L’homme : Il ne s’agit pas de Scofield, mais du docteur Tancredi.
Mahone : Mais elle n’a aucun intérêt pour la compagnie ?
L’homme : Oui, en effet, ce n’est pas elle qui intéresse la compagnie, mais l’effet que produira sa mort sur Michael Scofield.
Mahone : Et ou vais-je la trouver ?
L’homme : En temps normal, je vous aurais dit de vous débrouiller, mais on peut dire que vous avez de la chance, car cette dernière se trouve à quelques mètres de vous. Chambre 213, tuez là. Aujourd’hui !
L’homme quitta la chambre
L’homme : Oh, j’allais oublier, si vous ne savez pas comment vous y prendre, prenez donc cet oreiller. (Il le lui lanca)
Mahone n’insista même pas, il savait qu’il devait exécuter les ordres sans quoi, il en perdrait sa famille. Bien sûr, il était inquiet pour sa femme, mais sa seule véritable source de vie était son fils, celui la même pour qui il ne se posait jamais de questions ou plus car on l’avait déjà mis à l’épreuve.
Quelque part prés d’un parking
Sucre et Lincoln ont fini par réussir à quitter le parc Lancartia. Ils avaient prit un petit chemin sans trop savoir où il menait. Ils tombèrent nez à nez avec un vieux grillage usé par le temps et certainement saccagé par des mains indélicates. Mais qu’importe c’était là leur ticket de sortie. Ils firent une petite pause bien méritée.
Sucre : qu’est ce qui se passe Lincoln, ça ne va pas ?
Lincoln : Je suis inquiet, on n’aurait jamais dû les laisser seuls.
Sucre : Ouais, surtout que Sara était mal en point, pas facile de courir quand on se fait tirer dessus.
Lincoln : Quoi, qu’est ce que tu dis ? Sara, Tirez dessus ?
Sucre : Attends, ne me dit pas que tu n’as rien vu ?
Lincoln : Non, mais sous le feu de l’action, je croyais qu’elle était épuisée par la cours. Si j’avais su je serais resté avec eux. Oh mon Dieu ! Michael doit être dans tous ses états.
Sucre : Qu’est ce qu’on fait, Où est ce qu’on va ?
Lincoln : Passe moi ton téléphone, il faut que je l’appelle.
Après avoir tenté de joindre Michael une dizaine de fois, Lincoln abdiqua.
Lincoln : Il nous faut une voiture.
Sucre : il y a un parking pas très loin d’ici, on ne devrait pas avoir de problème pour en trouver une.
Lincoln : Alors on y va.
Une fois de plus, Michael a dû laisser Sara livrée à elle-même, ou plutôt aux autorités, le cœur déchiré par la culpabilité. Il était venu pour la chercher et voila qu’il partait à nouveau sans elle, parce qu’ils l’avait enchaîné comme une criminelle. Mais lui il savait, il savait qu’elle n’avait pas commis ce crime. Si seulement il ne l’avait jamais rencontré, ou du moins pas dans ces conditions, rien de tout ça ne lui serait arrivé. Il s’en voulait tellement que ses idées s’emmêlaient les une aux autres, il n’arrivait plus à réfléchir. Il ne savait plus quoi faire, Sara hantait ses pensées.
A l’hôpital
Mahone faisait mine de se promenait dans ces longs couloirs froids. Il sentait la mort, oui parce que aujourd’hui, il allait tuer, encore. Combien de temps cela allait-il durer ? Combien de gens devrait-il tuer pour qu’enfin on le laisse vivre sa vie ? Plus il approchait de la chambre 213 et plus il se posait de question. Devant la porte, il hésita un instant, puis entra dans la pièce. Il tomba nez à nez avec le regard tétanisé de Sara, qui comprit à cet instant que cette fois, elle n’y échapperait pas, à moins d’un miracle, que Michael vienne la chercher.
Mahone : Il n’y a aucune raison d’avoir peur Sara.
Sara : Vous n’abandonnez jamais vous on dirait. J’espère qu’on vous paye bien pour faire tout ça.
Mahone : Vous ne savez pas de quoi vous parlez.
Sarah : Je ne suis pas idiote et je sais de quoi vous êtes capable.
Mahone : Taisez-vous ! Si vous saviez vraiment, vous n’auriez pas fait tout ça.
Sara : Tout ça quoi ?
Mahone : Ne me prenez pas pour un imbécile, vous savez très bien de quoi il en retourne.
Sara : Vous disiez le contraire, il n’y a pas deux minutes.
Mahone : N’essayez pas de m’embrouiller.
Sara : Oh ! Mais, vous n’avez pas besoin de moi pour ça, vu votre état. Je sais reconnaître un drogué, j’en étais aussi. Vous prenez quoi hein ? Des calmants. ?
Mahone : Vous… vous ne comprenez pas, non, vous ne pouvez pas comprendre… (Petite pause) Varactril.
Sara : Wouaw, c’est un puissant tranquillisant, vous en prenez souvent ?
Mahone : Assez pour retrouver le calme dont j’ai besoin.
Sara : Sauf que… maintenant, ce n’est plus pour ça que vous les prenez. Migraine, insomnie…
Mahone : STOP ! Je suis assez bien placé pour le savoir. Mais… ma présence ici n’à rien avoir avec mon état et ça, vous le savez Sara, vous le savez. Et vous savez aussi que je dois faire mon travail.
Sara : Et vous, vous savez qu’il encore tant de faire marche arrière.
Mahone : (un rire satirique lui glisse des lèvres) Vous aviez raison Sara quand vous disiez que votre esprit était emprisonné. Et par quoi ? Un amour aveuglant à l’égare d’un homme pour qui vous allez mourir et qui ne fera rien pour empêcher ça.
Il s’approcha d’avantage d’elle, il serra fortement l’oreiller qu’il avait dans ses mains, ce même oreiller qui précédemment aurait pu le tuer lui. Plus il s’approchait d’elle plus elle était terrorisée. Si seulement elle n’était pas enchaînée à ce lit.
Mahone : Ca ne servirait à rien de vous débattre Sara, alors si vous n’essayez pas, je vous promet une mort rapide et sans douleur.
Sara qui n’avait pas quittait l’oiseau de sa main tout le temps, ne faisait que penser à Michael. Malgré la peur qui s’emparait d’elle, elle savait à présent que c’était la fin. La seule chose qu’elle regrettait c’était de ne pas pouvoir voir Michael une dernière fois, lui dire à quel point elle l’aimait. Elle regrettait aussi le fait de ne pas s’être battue d’avantage, car elle savait que tout ce qu’elle avait fait à quelques exceptions, c’était pour la bonne cause. Mahone jeta l’oreiller sur le visage de Sara et le serra jusqu'à tenter l’étouffement.
Sara : hum, huuummm…
Mahone : Shuttt c’est presque fini.
Dernière édition par Islemmedemars le Jeu 1 Mai - 15:06, édité 1 fois
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Mahone
Non mais oh!!!!
J'espère que Mike va revenir a l'hopital pour la sauver!!!!!
La suite!!!
Non mais oh!!!!
J'espère que Mike va revenir a l'hopital pour la sauver!!!!!
La suite!!!
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
fait que quelqu'un arrive, Michaël de préférence
pauvre Sara mais elle a vraiment du caractère
la suite car je veux savoir comment elle va s'en sortir
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
tu peux pas couper commme sa miss!!!!
dis moi que mike va venir interompre sa massacre!!!!
tu cartonnes j'adore toujours autant!!!!
dis moi que mike va venir interompre sa massacre!!!!
tu cartonnes j'adore toujours autant!!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
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Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
vu que je ne dors pas je suis entrain de bosser sur la suite. mais je ne sais pas si c'est pour tout de suite.
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:vu que je ne dors pas je suis entrain de bosser sur la suite. mais je ne sais pas si c'est pour tout de suite.
et pour maintenant , tu crois que ce serait possible
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
tinkerbel a écrit:Islemmedemars a écrit:vu que je ne dors pas je suis entrain de bosser sur la suite. mais je ne sais pas si c'est pour tout de suite.
et pour maintenant , tu crois que ce serait possible
ben je l'ai presque fini, hier je me suis arrêtée et je suis finalement allée voir morphée. Donc je termine cette suite et j'envoie.
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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