SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:tinkerbel a écrit:Islemmedemars a écrit:vu que je ne dors pas je suis entrain de bosser sur la suite. mais je ne sais pas si c'est pour tout de suite.
et pour maintenant , tu crois que ce serait possible
ben je l'ai presque fini, hier je me suis arrêtée et je suis finalement allée voir morphée. Donc je termine cette suite et j'envoie.
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Episode 8 – Seule contre tous
Au même moment - Dans les couloirs de l’hôpital
Wheeler : Où est-ce qu’il est ?
Lang : Je ne sais pas. (A un médecin qui passait par là) Docteur, S’il vous plaît ?
Le docteur : Madame ?
Lang : Je suis l’agent de police Lang (elle lui montre son badge) et voici mon co-équipier, l’agent Wheeler.
Le docteur : Que puis-je faire pour vous ?
Lang : Nous recherchons un de vos patients, un certain Mahone, Il a été admit ici suite à une blessure.
Le docteur : Mahone vous dite ?
Wheeler : Oui, Alexander Mahone.
Le docteur : Ah oui, Chambre 211.
Wheeler : Merci docteur.
Les deux agents se dirigèrent en direction de la chambre 211 mais Mahone n’y était pas. En sortant de la chambre, l’agent Wheeler entendit ce que le docteur demanda à l’infirmière.
Le docteur : Jennifer, est-ce que le pansement de Madame Tancredi à été refait, Je dois aller l’examiner ?
L’infirmière : Non docteur, elle dormait quand je suis allée la voir toute à l’heure. Mais j’y retourne de suite.
Le docteur : Bien, prévenait moi, dès que ça sera fait.
L’infirmière : Bien docteur.
Lang : Bon, ben il n’est pas dans sa chambre, on repassera.
Wheeler : Attendez ! (Il alla voir l’infirmière) S’il vous plaît, la chambre de mademoiselle Tancredi ?
L’infirmière : c’est celle-ci, je m’y rendais justement.
Wheeler : Attendez ici, un instant.
L’infirmière : Mais je dois refaire le…
Wheeler : (l’interrompit) Shut, restez là, ne bougez pas.
Il sortie l’arme de son étui ce qui effraya la jeune infirmière. L’agent Lang s’approcha de lui.
Lang : (Surprise) Mais enfin Wheeler, qu’est-ce que vous faite ?
Wheeler : (levant le doigt à l’attention de l’agent Lang) Un instant.
Wheeler enjoua son arme prête à être utilisée en cas de nécessité. Il posa délicatement sa main sur la poignée, essayant de ne pas faire le moindre bruit. Il était presque sûr que Mahone préparait quelque chose, après ce qu’il avait fait endurer à Benjamin Miles Franckelin. Il était terrifié à l’idée de faire ce qu’il s’apprêtait à faire, mais il était tout aussi convaincu que c’était ce qu’il fallait faire. Il entra suivit de l’agent Lang.
Wheeler : Lâchez cet oreiller Mahone, reculez !
Lang : Alexander ? Mais… qu’est-ce que… qu’est ce que vous faite ? Qu’est-ce que ça veut dire ?
Wheeler : J’ai dit reculez, RECULEZ ! Ne m’obligez pas à tirer.
Prit la main dans le sac et dans un état second, Mahone ne savait pas quoi faire pour se dépêtrer de cette situation. Il se vit obligé d’obéir tant il y avait cet arme dirigeait contre lui.
Mahone : Elle… elle sait ou est Scofield. (criant) ELLE SAIT OU EST SCOFIELD
Sara : Non, je ne sais pas ou il est.
Mahone : VOUS MENTEZ !
Sara : NON, la seule chose que je sais, c’est qu’il a essayé de me tuer.
Lang : Je vous en prie Alex, éloignez vous d’elle.
L’infirmière : (elle sursauta) Oh mon Dieu ! Mais qu’est qu’il se passe ici ?
Lang : Veuillez quitter immédiatement cette pièce. (A Wheeler) raccompagnez Monsieur Mahone à sa chambre s’il vous plait.
Wheeler : Bien. (A Mahone) Venez avec moi.
Lang : A nous, mademoiselle Tancredi, Alors, est-ce que ça va ?
Sara : Eh bien, excepté le fait que je sois enchaînée à ce lit, (elle montra sa main liée pour avancer ses dire) que je sois accusée d’un meurtre que je n’ai pas commis et qu’en plus cet homme a essayé de me tuer, alors oui ça va.
Lang : Et votre jambe ?
Sara : Il me donne de la morphine alors je ne sans rien.
Lang : Bien, bien.
L’infirmière : (entrant dans la chambre ; à l’agent Lang) Pourriez vous me laisser, je dois faire le pansement de madame Tancredi.
Lang : Oui, bien sûr, mais avant je dois lui dire quelque chose.
Elle sortie une petite clef de sa poche et ouvrit les menottes qui enchaînait Sara à son lit.
Sara : (soulagée) Enfin, je croyais qu’on m’avait oublié avec ça.
Puis elle les lui remit mais cette fois à ses deux poignés.
Sara : Que faites vous ? Non, pourquoi ?
Lang : Sara Tancredi, vous êtes en état d’arrestation, pour le meurtre de Katie Welsh, vous avez le droit…
Sara : Non, non je ne l’ai pas tué, JE NE L’AI PAS TUE !
Lang : …le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra être et sera retenu contre vous…
Sara : (pleurant) Je n’ai rien fait, je n’ai rien fait.
Lang : (élevant un peu plus la voix) …Vous avez le droit à un avocat, si vous ne pouvez vous en procurer un, il vous en sera commis un d’office. (À l’infirmière) Allez-y. Je vous attends dans le couloir.
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
la fin
mais ouf l'agent Wheeler est arrivé à temps sinon plus de Sara
Mahone et Lang est pas gentille
t'as encore une suite
mais ouf l'agent Wheeler est arrivé à temps sinon plus de Sara
Mahone et Lang est pas gentille
t'as encore une suite
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Nooooooooooooooon non non non non noooonnnnn
Grrrrr pas contente pas contenteuuuuud du toutttt!!!!!
Met nous la suite.sinon
Grrrrr pas contente pas contenteuuuuud du toutttt!!!!!
Met nous la suite.sinon
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
ne dit-on pas aprés la pluie, ya le beau temps ( evidement vous avez le droit de me demander comment mais je vous dirais ca a prochain épi.
je vous donne le titre déja "faite entrer l'accusée"
je vous donne le titre déja "faite entrer l'accusée"
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:ne dit-on pas aprés la pluie, ya le beau temps ( evidement vous avez le droit de me demander comment mais je vous dirais ca a prochain épi.
je vous donne le titre déja "faite entrer l'accusée"
ok on vera, mais attention si tu nous fait des fausses joies
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
tinkerbel a écrit:Islemmedemars a écrit:ne dit-on pas aprés la pluie, ya le beau temps ( evidement vous avez le droit de me demander comment mais je vous dirais ca a prochain épi.
je vous donne le titre déja "faite entrer l'accusée"
ok on vera, mais attention si tu nous fait des fausses joies
disons que ca sera la derniere mauvaise expérience de sara avant de retrouver Mike. je vais aussi penser un peu à Sucre et sa maricruse , linc et aussi Mike BIEN SUR...
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:ne dit-on pas aprés la pluie, ya le beau temps ( evidement vous avez le droit de me demander comment mais je vous dirais ca a prochain épi.
je vous donne le titre déja "faite entrer l'accusée"
j'ai eu une autre idée pour la suite donc ce titre n'a plus lieu d'être.
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:Islemmedemars a écrit:ne dit-on pas aprés la pluie, ya le beau temps ( evidement vous avez le droit de me demander comment mais je vous dirais ca a prochain épi.
je vous donne le titre déja "faite entrer l'accusée"
j'ai eu une autre idée pour la suite donc ce titre n'a plus lieu d'être.
tant que le contenu ne nous fait pas pleurer, tu peux modifier le chapitre et le titre
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
@tikerbel : non je ne crois pas que ca te fera pleurer.
Après que L’agent Lang ait quitté la chambre, l’infirmière en fit de même quelques secondes plus tard.
Lang : (sur un ton de surprise) Vous avez déjà terminé ?
Jennifer : Oh non, j’ai oublié des compresses.
Une excuse crédible mais cependant bien mince, car en réalité l’infirmière allait chercher son chef. Elle trouvait cette situation étrange et étant nouvelle, il était hors de question qu’elle laisse passer cela pour une faute grave, le soin des patients passait avant tout. Cependant, elle ne savait pas du tout où elle était en train de mettre les pieds. Quant à l’agent Lang, elle attendait toujours dans le couloir d’une part que l’on s’occupe de Sara Tancredi et de l’autre que l’agent Wheeler la rejoigne.
Dans une voiture, Michael et Lincoln
Lincoln a finalement pu rejoindre Michael après avoir déposé Sucre au lieu de rendez-vous qu’il avait donné à Maricruz. Après un long moment de silence, Lincoln brisa la glace en bafouillant.
Lincoln : Michael je… je suis vraiment désolé pour… pour Sara… je…je n’avais pas vu qu’elle…
Michael : Ca va…
Lincoln : Tu sais… je ne serais pas parti si…
Michael : C’est bon, j’ai dit « ça va »… (Quelques secondes plus tard et après une inspiration sèche) Elle va bien.
Lincoln : (soulagé) Dieu merci.
Michael : Je vais aller la chercher Linc…
Lincoln : (choqué par la détermination du ton qu’il avait prit en disant cette phrase) Mais tu ne peux pas faire ça Michael, avec l’accusation qui pèse sur elle, ils l’ont sûrement déjà arrêtée…
Michael : Je ne partirais sans elle Linc…
Lincoln : Mais c’est du suicide Michael…
Michael : (il éleva la voix) Il est hors de question que je la laisse toute seule.
Lincoln : Mais enfin Mike, tu réalises ce que t’es entrain de dire ?
Michael : Je vais la chercher, point final.
Lincoln était dans l’incompréhension absolue face au comportement de son frère. Il était conscient du fait que Sara avait effectivement besoin d’aide, tout comme il l’était pour ce qu’elle avait fait pour eux, pour lui. Il était facile pour lui aussi d’imaginer ce que Sara pouvait endurer en ce moment même et il s’en voulait terriblement. Mais cette idée qui raisonnait dans sa tête depuis que Michael avait prononcé ces mots, le hantait au plus haut point. Comment Michael aussi ingénieux soit-il pouvait sortir Sara de la situation dans laquelle elle s’était engouffrée, sans ce soucier des conséquences que cela pouvait engendrer ? Il avait une totale confiance en son frère, cependant il ne pouvait s’empêcher d’imaginer le pire. Il savait bien qu’une fois déterminé, on ne pouvait pas faire entendre raison à Michael. Il lui restait alors un espoir ; leur père. Même si une certaine tension était prévisible entre Michael et ce dernier, il savait que c’était la seule chance que Michael y renonce, du moins il l’espérait. Retourner là-bas ne leur serait pas bénéfique, ni à eux ni même à Sara. Il était même persuadé qu’ils se serviraient d’elle comme appât.
Prés d’un motel
Sucre se trouvait à présent face à la seule femme qui compté pour lui désormais. Il était si heureux de la voir, qu’il la couvrit de tendres et doux baisers. Ces gestes qui jusqu’alors étaient anodins lui semblait être à présent un véritable miracle, ça l’avait tellement manquait. Tout ce temps qu’il avait passé en cavale loin de sa dulcinée que seule son imagination parvenait encore à faire apparaître. Elle se tenait debout face à lui, il pouvait la sentir, la toucher, et rendre plus concret que jamais ses rêves les plus fous. De son côté Maricruz était tout aussi excité d’être dans les bras de l’homme qui faisait battre son cœur à un rythme frénétique. Après ce long moment de séparation, durant lequel l’espoir avait obsessionnellement joué avec l’esprit craintif de sucre, tandis que le doute s’était peu à peu enraciné dans celui de Maricruz au point qu’elle faillit en épouser un autre, ils étaient enfin réunit pour le meilleur bien sûr mais aussi et surtout pour le pire. Ils se dirigèrent énergiquement vers le petit motel qui se trouvait à quelques mètres d’eux, allant chercher l’intimité dont ils avaient besoin pour se donner l’un à l’autre et rattraper le temps perdu, sans ce soucier du reste.
A l’hôpital
L’infirmière était revenue accompagnée de son chef. Elle avait prit le soin de tout lui expliquer afin qu’il puisse juger lui-même de la situation.
Lang : (d’un ton ironique) Je commençais à me demander si vous n’étiez pas entrain de les fabriquer vos compresses.
Le docteur : Ne vous méprenez pas sur son comportement, c’est tout à son honneur de m’avoir avisé de la situation.
Lang : Je n’en doute pas une seconde, mais, vous aviser de quoi au juste ?
Le docteur : Ecoute agent Lang, sauf le respect que je dois à votre profession, ici nous sommes dans un hôpital au cas ou vous ne l’auriez pas remarqué.
Lang : Cela ne m’a pas échappé.
Le docteur : Vous comprendrez alors aisément ma réticence qu’en à votre comportement vis-à-vis de ma patiente. Je ne saurais le tolérer d’avantage. Je vous demanderais donc deux choses : d’une de retirer immédiatement ces chaînes qui lient madame Tancredi, et de l’autre, que vous fassiez appel à une surveillance rapprochée si besoin est, mais en aucun cas, je vous laisserez traiter ma patiente de la sorte. Me suis-je bien fait comprendre agent Lang ?
Lang : Cette femme est une criminelle, elle a commis un meurtre et mon devoir est de l’arrêter.
Le docteur : (élevant un peu la voix) Cette femme à été blessé et mon devoir est de la soigner.
L’agent Lang était fermement décidée à faire entendre raison au médecin, qui de toute évidence n’était guerre disposé à écouter ses chimères. Quant un bruit sourd, en provenance de la chambre d’Alex Mahonne, attira son attention et stoppa net leur conversation, qui ne manquait pas de devenir épineuse. Sara qui n’avait pas échappée un seul mot des paroles que braillaient l’agent Lang et le médecin, en profita pour se lever. Elle avait l’infime l’espoir de quitter cet endroit avant que sa situation ne s’envenime pour de bon. Il y a encore quelques minutes, elle était persuadée que sa seule issue possible serait un miracle. Oui un miracle et pas des moindres, l’oiseau de papier toujours dans ses mains, elle avait espéré que Michael revienne la chercher. C’est alors, qu’elle vit posée sur une table, un manteau, un sac et un trousseau de clefs. Elle s’empara avec vivacité de l’objet avec toute la difficulté que ses deux mains liées lui prodiguaient, à la recherche de la clef de sa délivrance. Au nombre de clefs qui se trouvaient dans ce fichu trousseau, elle comprit rapidement que ça n’allait pas être tâche facile. Tandis qu’elle essayait chaque clef nerveusement, le temps commençait sérieusement à lui manquer. La panique l’habitait à présent au vu de l’exercice qui devenait de plus en plus difficile et éprouvant. Mais malgré tout, elle ne céda pas. Des pas se firent entendre dans le couloir, des talons, une femme approchait et s’apprêtait à entrer dans la pièce où elle se trouvait. Etait est-ce l’infirmière ou cette inspecteur qui venait la chercher ? Elle n’en savait rien et n’avait pas vraiment le temps, ni l’envie d’ailleurs de vérifier. C’est alors qu’une main franche s’était posée sur le loquet de la porte l’ouvrant, ce qui fit naître en elle un sentiment d’angoisse inéluctable.
Episode 9 - Ca ne se passera pas comme ça (partie 1)
Après que L’agent Lang ait quitté la chambre, l’infirmière en fit de même quelques secondes plus tard.
Lang : (sur un ton de surprise) Vous avez déjà terminé ?
Jennifer : Oh non, j’ai oublié des compresses.
Une excuse crédible mais cependant bien mince, car en réalité l’infirmière allait chercher son chef. Elle trouvait cette situation étrange et étant nouvelle, il était hors de question qu’elle laisse passer cela pour une faute grave, le soin des patients passait avant tout. Cependant, elle ne savait pas du tout où elle était en train de mettre les pieds. Quant à l’agent Lang, elle attendait toujours dans le couloir d’une part que l’on s’occupe de Sara Tancredi et de l’autre que l’agent Wheeler la rejoigne.
Dans une voiture, Michael et Lincoln
Lincoln a finalement pu rejoindre Michael après avoir déposé Sucre au lieu de rendez-vous qu’il avait donné à Maricruz. Après un long moment de silence, Lincoln brisa la glace en bafouillant.
Lincoln : Michael je… je suis vraiment désolé pour… pour Sara… je…je n’avais pas vu qu’elle…
Michael : Ca va…
Lincoln : Tu sais… je ne serais pas parti si…
Michael : C’est bon, j’ai dit « ça va »… (Quelques secondes plus tard et après une inspiration sèche) Elle va bien.
Lincoln : (soulagé) Dieu merci.
Michael : Je vais aller la chercher Linc…
Lincoln : (choqué par la détermination du ton qu’il avait prit en disant cette phrase) Mais tu ne peux pas faire ça Michael, avec l’accusation qui pèse sur elle, ils l’ont sûrement déjà arrêtée…
Michael : Je ne partirais sans elle Linc…
Lincoln : Mais c’est du suicide Michael…
Michael : (il éleva la voix) Il est hors de question que je la laisse toute seule.
Lincoln : Mais enfin Mike, tu réalises ce que t’es entrain de dire ?
Michael : Je vais la chercher, point final.
Lincoln était dans l’incompréhension absolue face au comportement de son frère. Il était conscient du fait que Sara avait effectivement besoin d’aide, tout comme il l’était pour ce qu’elle avait fait pour eux, pour lui. Il était facile pour lui aussi d’imaginer ce que Sara pouvait endurer en ce moment même et il s’en voulait terriblement. Mais cette idée qui raisonnait dans sa tête depuis que Michael avait prononcé ces mots, le hantait au plus haut point. Comment Michael aussi ingénieux soit-il pouvait sortir Sara de la situation dans laquelle elle s’était engouffrée, sans ce soucier des conséquences que cela pouvait engendrer ? Il avait une totale confiance en son frère, cependant il ne pouvait s’empêcher d’imaginer le pire. Il savait bien qu’une fois déterminé, on ne pouvait pas faire entendre raison à Michael. Il lui restait alors un espoir ; leur père. Même si une certaine tension était prévisible entre Michael et ce dernier, il savait que c’était la seule chance que Michael y renonce, du moins il l’espérait. Retourner là-bas ne leur serait pas bénéfique, ni à eux ni même à Sara. Il était même persuadé qu’ils se serviraient d’elle comme appât.
Prés d’un motel
Sucre se trouvait à présent face à la seule femme qui compté pour lui désormais. Il était si heureux de la voir, qu’il la couvrit de tendres et doux baisers. Ces gestes qui jusqu’alors étaient anodins lui semblait être à présent un véritable miracle, ça l’avait tellement manquait. Tout ce temps qu’il avait passé en cavale loin de sa dulcinée que seule son imagination parvenait encore à faire apparaître. Elle se tenait debout face à lui, il pouvait la sentir, la toucher, et rendre plus concret que jamais ses rêves les plus fous. De son côté Maricruz était tout aussi excité d’être dans les bras de l’homme qui faisait battre son cœur à un rythme frénétique. Après ce long moment de séparation, durant lequel l’espoir avait obsessionnellement joué avec l’esprit craintif de sucre, tandis que le doute s’était peu à peu enraciné dans celui de Maricruz au point qu’elle faillit en épouser un autre, ils étaient enfin réunit pour le meilleur bien sûr mais aussi et surtout pour le pire. Ils se dirigèrent énergiquement vers le petit motel qui se trouvait à quelques mètres d’eux, allant chercher l’intimité dont ils avaient besoin pour se donner l’un à l’autre et rattraper le temps perdu, sans ce soucier du reste.
A l’hôpital
L’infirmière était revenue accompagnée de son chef. Elle avait prit le soin de tout lui expliquer afin qu’il puisse juger lui-même de la situation.
Lang : (d’un ton ironique) Je commençais à me demander si vous n’étiez pas entrain de les fabriquer vos compresses.
Le docteur : Ne vous méprenez pas sur son comportement, c’est tout à son honneur de m’avoir avisé de la situation.
Lang : Je n’en doute pas une seconde, mais, vous aviser de quoi au juste ?
Le docteur : Ecoute agent Lang, sauf le respect que je dois à votre profession, ici nous sommes dans un hôpital au cas ou vous ne l’auriez pas remarqué.
Lang : Cela ne m’a pas échappé.
Le docteur : Vous comprendrez alors aisément ma réticence qu’en à votre comportement vis-à-vis de ma patiente. Je ne saurais le tolérer d’avantage. Je vous demanderais donc deux choses : d’une de retirer immédiatement ces chaînes qui lient madame Tancredi, et de l’autre, que vous fassiez appel à une surveillance rapprochée si besoin est, mais en aucun cas, je vous laisserez traiter ma patiente de la sorte. Me suis-je bien fait comprendre agent Lang ?
Lang : Cette femme est une criminelle, elle a commis un meurtre et mon devoir est de l’arrêter.
Le docteur : (élevant un peu la voix) Cette femme à été blessé et mon devoir est de la soigner.
L’agent Lang était fermement décidée à faire entendre raison au médecin, qui de toute évidence n’était guerre disposé à écouter ses chimères. Quant un bruit sourd, en provenance de la chambre d’Alex Mahonne, attira son attention et stoppa net leur conversation, qui ne manquait pas de devenir épineuse. Sara qui n’avait pas échappée un seul mot des paroles que braillaient l’agent Lang et le médecin, en profita pour se lever. Elle avait l’infime l’espoir de quitter cet endroit avant que sa situation ne s’envenime pour de bon. Il y a encore quelques minutes, elle était persuadée que sa seule issue possible serait un miracle. Oui un miracle et pas des moindres, l’oiseau de papier toujours dans ses mains, elle avait espéré que Michael revienne la chercher. C’est alors, qu’elle vit posée sur une table, un manteau, un sac et un trousseau de clefs. Elle s’empara avec vivacité de l’objet avec toute la difficulté que ses deux mains liées lui prodiguaient, à la recherche de la clef de sa délivrance. Au nombre de clefs qui se trouvaient dans ce fichu trousseau, elle comprit rapidement que ça n’allait pas être tâche facile. Tandis qu’elle essayait chaque clef nerveusement, le temps commençait sérieusement à lui manquer. La panique l’habitait à présent au vu de l’exercice qui devenait de plus en plus difficile et éprouvant. Mais malgré tout, elle ne céda pas. Des pas se firent entendre dans le couloir, des talons, une femme approchait et s’apprêtait à entrer dans la pièce où elle se trouvait. Etait est-ce l’infirmière ou cette inspecteur qui venait la chercher ? Elle n’en savait rien et n’avait pas vraiment le temps, ni l’envie d’ailleurs de vérifier. C’est alors qu’une main franche s’était posée sur le loquet de la porte l’ouvrant, ce qui fit naître en elle un sentiment d’angoisse inéluctable.
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Olalalala le suspennnnnnceeeeeeeeeee!!!
J'adore Mike déterminé
Alléééééé Saraaaaaaa échappe toiiiiiii!!!!!!!!
Vivement la suite!!!!!
J'adore Mike déterminé
Alléééééé Saraaaaaaa échappe toiiiiiii!!!!!!!!
Vivement la suite!!!!!
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
$acass a écrit:Olalalala le suspennnnnnceeeeeeeeeee!!!
J'adore Mike déterminé
Alléééééé Saraaaaaaa échappe toiiiiiii!!!!!!!!
Vivement la suite!!!!!
non heureusement je ne pleure pas car cette suite est très envoutante, waou le suspense
vite la suite
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
voila la suite les n'enfants lool j'espère que ça ira et que ca vous plaira toujours...
Une autre infirmière : Jenny attends !
Jennifer : Oui ?
Une autre infirmière : Tu peu aller voir le patient de la 214, je crois qu’il va nous faire une crise d’angoisse, si quelqu’un ne s’occupe pas de lui sur le champ.
Jennifer : (elle répondit avec une certaine langueur) J’y vais…
C’était à présent certain, Jennifer, ne s’occuperait pas du pansement de la chambre 213, elle ne pouvait pas discuter les ordres, même ceux d’une simple infirmière. Elle lâcha expressément la poignée de la porte, qu’elle avait entrouverte et qu’elle tenait fermement, avec un sentiment de lassitude. Elle aurait tellement voulu le faire ne serais que pour lui parler. Elle était tout aussi fascinait par le courage de cette femme que sidérée par l’acte qu’elle avait commis, sachant qu’elle, elle n’y aurait même pas songé. Elle s’en alla donc d’un pas lent vers la 214 le cœur lourd et l’esprit emprisonnaient de questions que seule Tancredi aurait contenté de réponses satisfaisantes. L’angoisse qui s’était emparée de Sara à ce moment là, à laquelle elle n’était pas préparée malgré toutes les épreuves qu’elle avait traversé jusque là et qui avait paralysé chaque petite parcelle de son corps endolori, avait stoppé net, aussi violement que la porte avait claquée en se refermant. Elle sentit son corps se glacer une demi fraction de seconde, puis reprit ses esprits, inspira un grand coup et replongea instantanément dans sa quête de libération. Mais voila, aucune clef ne voulait entrer dans cette fichue serrure, ce qui amplifia sa nervosité. Mais non, elle ne capitulera pas, pas cette fois, pas aussi facilement qu’elle avait fait face à Mahone et son oreiller. Elle arracha avec virulence une de ses épingles à cheveux qu’elle peinait à utiliser et qui coiffaient grossièrement sa chevelure indisciplinée. Qu’importe, ce n’était pas pour cela qu’elle s’en était accaparée. Son passé de junkie et de petite voleur avéré, qu’à l’époque elle cultivait au grand désarroi de son père, dont l’unique but était d’attirer l’attention de ce géniteur trop souvent absent et indigne, mais qui en réalité se révélaient être des appels de détresse, lui avait bien enseigné comment faire d’une simple épingle à cheveux un fervent allié. Elle redressa l’objet aussi raide qu’un bâton, qu’elle introduisit ensuite dans la minuscule serrure, et voila qu’en un clique, elle avait enfin les mains déliées et libres de pourvoir en faire tout ce qu’elle voulait. Elle se frotta énergiquement les poignées comme pour effacer la gêne occasionnée par ces bracelets de fer, qui mine de rien avaient marqué sa peau de petites entailles durant cette lutte éphémère.
A quelques mètres d’elle, dans la chambre qui avait accueillit Alexander Mahone, Wheeler était étendu sur le sol. A priori, il ne présentait aucune blessure suspecte et avait seulement été estourbit d’un coup de vase sur la tête dont les débris de verre jonchaient sur le sol tandis que les fleurs en recouvraient une partie en éventail. En voyant la scène, l’agent Lang était déconcertée et ne savait pas pourquoi Mahone avait agit ainsi, elle ne le comprenait pas ou plus. Ces derniers temps, il n’était plus lui-même, son attitude était des plus inquiétantes mais elle savait ce qu’elle devait faire. Elle tapota de sa main le visage de son co-équipier tout en prononçant son nom plusieurs fois afin de le stimuler à reprendre connaissance. Ce dernier fini par ouvrir les yeux, ramenant son bras légèrement courbé à sa tête, un rictus de douleur vint déformer son visage laissant exprimer la souffrance du coup porté. A peine eu-t-il reprit connaissance qu’il jargonner déjà quelques mots pour la plupart incompréhensibles voir inaudibles. Mais on pouvait tout de même reconnaître quelques termes comme « Mahone » ; « attaquer » ; « Rattraper ».
Le visage de Michael était tendu, les traits marquant sa quiétude, ne cessaient de s’accroître à mesure qu’ils approchaient de l’endroit où pour la première fois depuis son départ, il allait revoir son père. Il appréhendait ce moment car il n’avait toujours pas digéré le fait que cet homme les avait abandonné son frère et lui, et ce malgré le fait que Lincoln l’avait éclairé sur les intentions de ce dernier. Lincoln lui-même, ne savait pas exactement de quoi il était question, mais cette seule phrase : « nous avons le moyen de les arrêter, vous n’avez plus besoin de fuir » que son père lui avait dit au téléphone, raisonnait inlassablement dans sa tête et suffisait amplement à le convaincre de le retrouver et par la même occasion revoir son fils. Quant à Michael, son esprit étant régenté par les seules pensées de Sara à L’hôpital, l’empêchait de trouver la force de s’insurger contre ça. Il la revoyait allongée sur ce lit, inerte, s’approchant d’elle doucement, tendant sa main jusqu’à son doux visage, caressant sa joue tout en pressant délicatement son pouce contre ses lèvres. Il voulut lui prendre la main, mais la voyant enchaînée, il comprit que c’était sans elle, qu’il partirait. Mais il était décidé, il retournerait la chercher, et plutôt qu’il ne l’imaginait. Le moteur à présent arrêté, sortit Michael de ses pensées l’obligeant à faire face à la réalité que Lincoln venait de lui rappeler «On y ait Michael, il nous attend ». Ils sortirent de la voiture pour se diriger vers la maison. En plus de l’appréhension de cette rencontre qui régnait en lui, Michael sentit comme une tension lui glacer le sang, comme s’il allait se passer quelque chose d’inattendu. Toutes les épreuves qu’il avait traversé jusque là, l’avait naturellement poussé à être méfiant quelque soit la situation dans laquelle il se trouvait même s’il avait un plan tout tracé pour tout. Le voila à présent face à face avec l’homme qu’il redoutait de revoir. Le simple fait de l’avoir devant lui prodiguait en lui des sensations craintives. Aldo S’approcha d’un pas certain vers Michael comme si de rien n’était, ses traits expressifs d’une joie immense dont le sourire ne trompait pas, n’arrivaient pas à convaincre Michael, il fit quelques pas oppressés en arrière comme s’il ne pouvait pas faire autrement. C’était trop facile, cela ne pouvait pas se passer comme ça, il avait besoin d’explications même s’il savait que ce n’était pas le moment.
Aldo : Michael, je comprends ce que tu ressens, mais je ne…
Michael : Oh non, je ne crois pas.
Aldo : …mais je ne pouvais pas faire autrement.
Michael : le choix était pourtant simple : Ta famille ou ton travail.
Aldo : C’est beaucoup plus compliqué que ça.
Michael : C’est compliqué, parce que tu as décidé que ça devait l’être.
Lincoln : Ecoute Michael, Au point où on en est, cela ne sert à rien de réagir de la sorte, écoutons plutôt ce qu’il a à nous dire.
Michael : Rien de ce qu’il dira ou entreprendra ne viendra entraver mes plans.
Lincoln : Mais Mike…
Michael : C’est dit, et je ne reviendrais pas là dessus.
Michael avait du mal à garder son sang froid face à lui, il encaissait chacun de ses mots comme une attaque le visant personnellement. Mais Aldo n’avait pas fait tout ce chemin pour repartir bredouille, il décida donc face au comportement réticent de son fils de commencer par ce qu’il croyais être la fin de ses révélations.
Aldo : J’ai cru comprendre, au vu des évènements, que tu attachais une certaine importance au docteur Tancredi… mais sais tu qu’a l’heure où l’on parle, un danger imminent la guète ?
Lincoln : Oui ça on le sait déjà, et d’ailleurs j’ai bien peur qu’elle soit déjà entre les mains des autorités.
Michael (A bout) Laissez Sara où elle est, c’est déjà assez, tout ce qu’elle a dû subir par ma faute.
Aldo : Tu ne sembles pas entendre ce que je dis, je comprends ce que tu ressens vis-à-vis de moi et je savais qu’entre nous, il y aurait de l’électricité dans l’air, mais tu dois savoir ce qu’il en est.
Michael : J’en sais suffisamment et je n’ai guerre besoin de ton aide, jusqu’à présent je m’en suis toujours sortit impeccablement.
Aldo : Ecoute Michael, ce n’est pas un hasard, si elle se retrouve mêlée à tout ça, crois moi, son père y a bien contribué, alors même si tu ne l’avait jamais rencontrer…
Michael : (criant) Son père est mort à présent, encore une grossière erreur commise par ma faute et mon incessante envi de tout contrôler.
Aldo : Mais tu divague là mon fils…
Michael : (hurlant) Je ne suis pas ton fils ! Ton fils, tu l’as abandonné quand il était tout gamin.
Aldo : (criant à son tour) Michael ! Son père avait des contacts avec la compagnie et quand il s’est rendu compte comme moi que les profits dont-il usé librement avait un prix fort élevé, il voulut se rétracter mais c’était trop tard. Comment crois tu qu’il est devenu gouverneur, hein ?
Cette révélation avait sidéré les deux frères au point qu’aucun mot de parvenait à s’échapper de leurs bouches et laissant ainsi le silence maître de la situation. Puis Aldo repris.
Aldo : (D’un ton bien plus calme) La compagnie s’est débarrassée de lui parce qu’il était devenu gênant à force de fourrer son nez partout et non à cause de toi. Il avait une preuve irréfutable pour la faire tomber au grand jour, et vu l’acharnement qui se propage sur elle, je suis prêt à mettre ma main à couper qu’elle est en sa possession.
Michael : (forcé d’admettre que son père avait peut - être raison) De quoi s’agit-il exactement ?
Aldo : Une conversation entre la présidente Reynolds et son cher frère, plusieurs jours après l’annonce de sa mort.
Michael et Lincoln n’en revenaient pas de ce qu’ils venaient d’entendre. Il était à présent clair qu’ils devaient tout faire pour récupérer cet enregistrement afin d’innocenter Lincoln. Après ça Michael espérait que Sara trouve l’oiseau de papier mais aussi la force de croire encore en lui et le contacter. Mais une vague d’angoisse traversa tout son corps, il ne pouvait attendre que les choses se passe. Il demanda les clefs de la voiture à Lincoln que ce dernier lui remit, s’empara de l’arme qui était posé sur la petite table à côté d’eux et quitta la pièce d’un d’air décidé, il allait la chercher.
Aldo et Lincoln : (ensemble) Michael, reviens…
Sara récupéra dans l’armoire qui se située à coté du lit, ses vêtements, ses chaussures, ses affaires personnelles, comme son téléphone, qui avaient été déposé dans le tiroir du chevet. Elle ne manqua pas de récupérer l’oiseau de papier qu’elle avait laissé sur la table. Elle était presque prête à partir, il ne lui manqué qu’une chose avant de s’en aller. Elle entrouvrit la porte jeta un œil de chaque côté s’assurant qu’il n’y avait personne. La voie était libre, elle pouvait donc circuler comme bon lui semblait, mais cela ne l’empêchait pas de rester sur ses gardes. Pour la première fois depuis longtemps, elle était heureuse d’être médecin, elle ne connaissait pas cet hôpital, mais savait comment étaient à peu prés agencés les pièces et n’eu aucune difficulté à trouver celle où était rangée les remèdes. Elle se dirigeait toujours d’un pas incertain et maladroitement à cause de sa blessure vers la réserve, une fois à l’intérieur, elle chercha nerveusement de la morphine, elle en avait besoin, la douleur de sa jambe, la lançait terriblement et elle devait y mettre un terme immédiatement si elle ne voulait pas que cela perturbe son évasion. Après avoir trouvé ce qu’elle chercher et s’être administrée une première dose de calment, elle sortit de la réserve et se dirigea vers le hall ou se trouvaient les ascenseurs. Mais elle décida à la dernière minute de prendre les escaliers, même si sa blessure ne l’aiderai pas, elle se sentit obligé de descendre les sept étages à pieds, c’était plus sûr pensait-elle. Enfin arrivée au rez-de-chaussée, elle tomba nez à nez avec ce foutu agent corrompu.
Mahone : Vous vouliez aller quelques part peut-être ?
Episode 9 - Ca ne se passera pas comme ça (partie 2)
Une autre infirmière : Jenny attends !
Jennifer : Oui ?
Une autre infirmière : Tu peu aller voir le patient de la 214, je crois qu’il va nous faire une crise d’angoisse, si quelqu’un ne s’occupe pas de lui sur le champ.
Jennifer : (elle répondit avec une certaine langueur) J’y vais…
C’était à présent certain, Jennifer, ne s’occuperait pas du pansement de la chambre 213, elle ne pouvait pas discuter les ordres, même ceux d’une simple infirmière. Elle lâcha expressément la poignée de la porte, qu’elle avait entrouverte et qu’elle tenait fermement, avec un sentiment de lassitude. Elle aurait tellement voulu le faire ne serais que pour lui parler. Elle était tout aussi fascinait par le courage de cette femme que sidérée par l’acte qu’elle avait commis, sachant qu’elle, elle n’y aurait même pas songé. Elle s’en alla donc d’un pas lent vers la 214 le cœur lourd et l’esprit emprisonnaient de questions que seule Tancredi aurait contenté de réponses satisfaisantes. L’angoisse qui s’était emparée de Sara à ce moment là, à laquelle elle n’était pas préparée malgré toutes les épreuves qu’elle avait traversé jusque là et qui avait paralysé chaque petite parcelle de son corps endolori, avait stoppé net, aussi violement que la porte avait claquée en se refermant. Elle sentit son corps se glacer une demi fraction de seconde, puis reprit ses esprits, inspira un grand coup et replongea instantanément dans sa quête de libération. Mais voila, aucune clef ne voulait entrer dans cette fichue serrure, ce qui amplifia sa nervosité. Mais non, elle ne capitulera pas, pas cette fois, pas aussi facilement qu’elle avait fait face à Mahone et son oreiller. Elle arracha avec virulence une de ses épingles à cheveux qu’elle peinait à utiliser et qui coiffaient grossièrement sa chevelure indisciplinée. Qu’importe, ce n’était pas pour cela qu’elle s’en était accaparée. Son passé de junkie et de petite voleur avéré, qu’à l’époque elle cultivait au grand désarroi de son père, dont l’unique but était d’attirer l’attention de ce géniteur trop souvent absent et indigne, mais qui en réalité se révélaient être des appels de détresse, lui avait bien enseigné comment faire d’une simple épingle à cheveux un fervent allié. Elle redressa l’objet aussi raide qu’un bâton, qu’elle introduisit ensuite dans la minuscule serrure, et voila qu’en un clique, elle avait enfin les mains déliées et libres de pourvoir en faire tout ce qu’elle voulait. Elle se frotta énergiquement les poignées comme pour effacer la gêne occasionnée par ces bracelets de fer, qui mine de rien avaient marqué sa peau de petites entailles durant cette lutte éphémère.
A quelques mètres d’elle, dans la chambre qui avait accueillit Alexander Mahone, Wheeler était étendu sur le sol. A priori, il ne présentait aucune blessure suspecte et avait seulement été estourbit d’un coup de vase sur la tête dont les débris de verre jonchaient sur le sol tandis que les fleurs en recouvraient une partie en éventail. En voyant la scène, l’agent Lang était déconcertée et ne savait pas pourquoi Mahone avait agit ainsi, elle ne le comprenait pas ou plus. Ces derniers temps, il n’était plus lui-même, son attitude était des plus inquiétantes mais elle savait ce qu’elle devait faire. Elle tapota de sa main le visage de son co-équipier tout en prononçant son nom plusieurs fois afin de le stimuler à reprendre connaissance. Ce dernier fini par ouvrir les yeux, ramenant son bras légèrement courbé à sa tête, un rictus de douleur vint déformer son visage laissant exprimer la souffrance du coup porté. A peine eu-t-il reprit connaissance qu’il jargonner déjà quelques mots pour la plupart incompréhensibles voir inaudibles. Mais on pouvait tout de même reconnaître quelques termes comme « Mahone » ; « attaquer » ; « Rattraper ».
Le visage de Michael était tendu, les traits marquant sa quiétude, ne cessaient de s’accroître à mesure qu’ils approchaient de l’endroit où pour la première fois depuis son départ, il allait revoir son père. Il appréhendait ce moment car il n’avait toujours pas digéré le fait que cet homme les avait abandonné son frère et lui, et ce malgré le fait que Lincoln l’avait éclairé sur les intentions de ce dernier. Lincoln lui-même, ne savait pas exactement de quoi il était question, mais cette seule phrase : « nous avons le moyen de les arrêter, vous n’avez plus besoin de fuir » que son père lui avait dit au téléphone, raisonnait inlassablement dans sa tête et suffisait amplement à le convaincre de le retrouver et par la même occasion revoir son fils. Quant à Michael, son esprit étant régenté par les seules pensées de Sara à L’hôpital, l’empêchait de trouver la force de s’insurger contre ça. Il la revoyait allongée sur ce lit, inerte, s’approchant d’elle doucement, tendant sa main jusqu’à son doux visage, caressant sa joue tout en pressant délicatement son pouce contre ses lèvres. Il voulut lui prendre la main, mais la voyant enchaînée, il comprit que c’était sans elle, qu’il partirait. Mais il était décidé, il retournerait la chercher, et plutôt qu’il ne l’imaginait. Le moteur à présent arrêté, sortit Michael de ses pensées l’obligeant à faire face à la réalité que Lincoln venait de lui rappeler «On y ait Michael, il nous attend ». Ils sortirent de la voiture pour se diriger vers la maison. En plus de l’appréhension de cette rencontre qui régnait en lui, Michael sentit comme une tension lui glacer le sang, comme s’il allait se passer quelque chose d’inattendu. Toutes les épreuves qu’il avait traversé jusque là, l’avait naturellement poussé à être méfiant quelque soit la situation dans laquelle il se trouvait même s’il avait un plan tout tracé pour tout. Le voila à présent face à face avec l’homme qu’il redoutait de revoir. Le simple fait de l’avoir devant lui prodiguait en lui des sensations craintives. Aldo S’approcha d’un pas certain vers Michael comme si de rien n’était, ses traits expressifs d’une joie immense dont le sourire ne trompait pas, n’arrivaient pas à convaincre Michael, il fit quelques pas oppressés en arrière comme s’il ne pouvait pas faire autrement. C’était trop facile, cela ne pouvait pas se passer comme ça, il avait besoin d’explications même s’il savait que ce n’était pas le moment.
Aldo : Michael, je comprends ce que tu ressens, mais je ne…
Michael : Oh non, je ne crois pas.
Aldo : …mais je ne pouvais pas faire autrement.
Michael : le choix était pourtant simple : Ta famille ou ton travail.
Aldo : C’est beaucoup plus compliqué que ça.
Michael : C’est compliqué, parce que tu as décidé que ça devait l’être.
Lincoln : Ecoute Michael, Au point où on en est, cela ne sert à rien de réagir de la sorte, écoutons plutôt ce qu’il a à nous dire.
Michael : Rien de ce qu’il dira ou entreprendra ne viendra entraver mes plans.
Lincoln : Mais Mike…
Michael : C’est dit, et je ne reviendrais pas là dessus.
Michael avait du mal à garder son sang froid face à lui, il encaissait chacun de ses mots comme une attaque le visant personnellement. Mais Aldo n’avait pas fait tout ce chemin pour repartir bredouille, il décida donc face au comportement réticent de son fils de commencer par ce qu’il croyais être la fin de ses révélations.
Aldo : J’ai cru comprendre, au vu des évènements, que tu attachais une certaine importance au docteur Tancredi… mais sais tu qu’a l’heure où l’on parle, un danger imminent la guète ?
Lincoln : Oui ça on le sait déjà, et d’ailleurs j’ai bien peur qu’elle soit déjà entre les mains des autorités.
Michael (A bout) Laissez Sara où elle est, c’est déjà assez, tout ce qu’elle a dû subir par ma faute.
Aldo : Tu ne sembles pas entendre ce que je dis, je comprends ce que tu ressens vis-à-vis de moi et je savais qu’entre nous, il y aurait de l’électricité dans l’air, mais tu dois savoir ce qu’il en est.
Michael : J’en sais suffisamment et je n’ai guerre besoin de ton aide, jusqu’à présent je m’en suis toujours sortit impeccablement.
Aldo : Ecoute Michael, ce n’est pas un hasard, si elle se retrouve mêlée à tout ça, crois moi, son père y a bien contribué, alors même si tu ne l’avait jamais rencontrer…
Michael : (criant) Son père est mort à présent, encore une grossière erreur commise par ma faute et mon incessante envi de tout contrôler.
Aldo : Mais tu divague là mon fils…
Michael : (hurlant) Je ne suis pas ton fils ! Ton fils, tu l’as abandonné quand il était tout gamin.
Aldo : (criant à son tour) Michael ! Son père avait des contacts avec la compagnie et quand il s’est rendu compte comme moi que les profits dont-il usé librement avait un prix fort élevé, il voulut se rétracter mais c’était trop tard. Comment crois tu qu’il est devenu gouverneur, hein ?
Cette révélation avait sidéré les deux frères au point qu’aucun mot de parvenait à s’échapper de leurs bouches et laissant ainsi le silence maître de la situation. Puis Aldo repris.
Aldo : (D’un ton bien plus calme) La compagnie s’est débarrassée de lui parce qu’il était devenu gênant à force de fourrer son nez partout et non à cause de toi. Il avait une preuve irréfutable pour la faire tomber au grand jour, et vu l’acharnement qui se propage sur elle, je suis prêt à mettre ma main à couper qu’elle est en sa possession.
Michael : (forcé d’admettre que son père avait peut - être raison) De quoi s’agit-il exactement ?
Aldo : Une conversation entre la présidente Reynolds et son cher frère, plusieurs jours après l’annonce de sa mort.
Michael et Lincoln n’en revenaient pas de ce qu’ils venaient d’entendre. Il était à présent clair qu’ils devaient tout faire pour récupérer cet enregistrement afin d’innocenter Lincoln. Après ça Michael espérait que Sara trouve l’oiseau de papier mais aussi la force de croire encore en lui et le contacter. Mais une vague d’angoisse traversa tout son corps, il ne pouvait attendre que les choses se passe. Il demanda les clefs de la voiture à Lincoln que ce dernier lui remit, s’empara de l’arme qui était posé sur la petite table à côté d’eux et quitta la pièce d’un d’air décidé, il allait la chercher.
Aldo et Lincoln : (ensemble) Michael, reviens…
Sara récupéra dans l’armoire qui se située à coté du lit, ses vêtements, ses chaussures, ses affaires personnelles, comme son téléphone, qui avaient été déposé dans le tiroir du chevet. Elle ne manqua pas de récupérer l’oiseau de papier qu’elle avait laissé sur la table. Elle était presque prête à partir, il ne lui manqué qu’une chose avant de s’en aller. Elle entrouvrit la porte jeta un œil de chaque côté s’assurant qu’il n’y avait personne. La voie était libre, elle pouvait donc circuler comme bon lui semblait, mais cela ne l’empêchait pas de rester sur ses gardes. Pour la première fois depuis longtemps, elle était heureuse d’être médecin, elle ne connaissait pas cet hôpital, mais savait comment étaient à peu prés agencés les pièces et n’eu aucune difficulté à trouver celle où était rangée les remèdes. Elle se dirigeait toujours d’un pas incertain et maladroitement à cause de sa blessure vers la réserve, une fois à l’intérieur, elle chercha nerveusement de la morphine, elle en avait besoin, la douleur de sa jambe, la lançait terriblement et elle devait y mettre un terme immédiatement si elle ne voulait pas que cela perturbe son évasion. Après avoir trouvé ce qu’elle chercher et s’être administrée une première dose de calment, elle sortit de la réserve et se dirigea vers le hall ou se trouvaient les ascenseurs. Mais elle décida à la dernière minute de prendre les escaliers, même si sa blessure ne l’aiderai pas, elle se sentit obligé de descendre les sept étages à pieds, c’était plus sûr pensait-elle. Enfin arrivée au rez-de-chaussée, elle tomba nez à nez avec ce foutu agent corrompu.
Mahone : Vous vouliez aller quelques part peut-être ?
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
décidemment tu aimes nous faire ce genre de frayeur. On croit que c'est bon et ......
sara est vraiment débrouillarde mais malheureusement Mahone aussi
La confrontation père/fils ....waou
très belle suite et vite la prochaine
sara est vraiment débrouillarde mais malheureusement Mahone aussi
La confrontation père/fils ....waou
très belle suite et vite la prochaine
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
olala!!
je stress
la suiiiiiiiiiite stp!!!!
tu cartonnes
je stress
la suiiiiiiiiiite stp!!!!
tu cartonnes
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Episode 10 – Méli-mélo
Sara était en total état de panique face à l’homme qui avait manqué de la tuer quelques minutes auparavant. Mais elle se disait tout de même que la situation était différente. Cette fois ci, elle n’était pas attaché et avait une chance, toute petite soit-elle de se dépêtrer de cette situation. Elle remarqua rapidement que sa seule issue était de remonter les 7 étages. Ce qu’elle fit aussitôt que l’idée traversa son esprit, malgré que la morphine n’ait pas totalement fait effet et que la douleur lui faisait vivre une véritable torture. Heureusement pour elle, Mahone était dans un état bien plus achevé que le sien et avait encore plus de difficulté qu’elle à monter les marches. Sa petite altercation avec Wheeler lui avait coûté un coup porté sur son flanc gauche, intensifiant ainsi la gravité de sa blessure et provocant un petit écoulement de sang. Alors qu’elle escaladait les escaliers deux par deux, son poursuivant avait du mal à les gravir une à une, ce qui donnait une large avance à Sara. Cela dit, elle n’était pas au bout des ses peines. Mahone à bout de force, s’arrêta un instant, à la moitié du 4ème étage, prit son téléphone d’une main tremblante et incertaine puis pressa une touche sur son cellulaire. Deux sonneries plus tard…il informait son interlocuteur que la jeune femme tentait de s’enfuir, et que son état faiblard l’empêchait de la poursuivre. Il ajouta qu’il devait se hâter à monter au dernier étage pour l’intercepter, c’était de toute évidence la qu’elle se rendait.
Michael était enfin arrivé à l’hôpital, il se dirigea d’un pas accéléré là ou se trouvaient les ascenseurs. Il était à présent devant, attendant que l’un des deux appareils descendent. L’homme qui se tenait à côté de lui avait un air suspect et regardait Michael d’une étrange façon mais n’a pas pu reconnaître ce dernier, discrètement dissimulé derrière une casquette, une paire de lunettes et une parka auquel il avait relevait le col. Son état d’anxiété provoquait par l’attente qui semblait interminable le rendait un temps soit peu nerveux au point de s’en prendre au bouton d’appel de l’élévateur. Le pressentiment qui l’avait traversé peu de temps avant la rencontre d’avec son pro géniteur ne faisait que s’accroître, las d’attendre, il voulut monter par la cage d’escalier, mais se rétracta au dernier moment, quand l’ascenseur ouvrir enfin ses portes. L’homme voulut suivre Michael quand un signal retentit annonçant l’arrivée de la deuxième cabine qu’il prit. Une fois à l’intérieur Michael agita énergiquement son doigt sur la touche marquée d’un sept. En même temps que les portes se refermées, Aldo et Lincoln crièrent sont nom « Michael attends ». Ces derniers venaient inconsciemment de confirmer les doutes de Kim concernant l’homme qu’il scrutait devant les cages d’ascenseurs, il n’avait pas remarqué aux premiers abords qu’il s’agissait de Scofield, mais à présent il n’avait pas de doute là-dessus. Les portes s’étant refermé sur eux, Lincoln et son père décidèrent de prendre les escaliers après avoir demandé à l’accueil la chambre de Sara.
Sara était enfin arrivée au septième étage, elle ouvrit discrètement la porte, jeta un rapide coup d’œil de droit à gauche, la voie libre, elle prit le couloir de gauche, voila qu’une infirmière se dirigeait vers elle. Sara se posta sur le mur devant une affiche, baissa la tête et masqua son visage avec ses cheveux.
L’infirmière : Vous allez bien mademoiselle ?
Sara acquiesça d’un signe de la tête, se retourna de l’autre côté et partit finalement par le couloir de droit qui était l’opposé de son ancienne chambre. Au même moment, les couloirs de l’hôpital bourdonnaient de policiers, l’agent Lang avait appelé des renforts à la recherche de Mahone. Elle ne pouvait pas fermer les yeux sur ce qu’elle avait vu et même si c’était à contre cœur, elle allait faire un rapport. Elle avait encore du mal à accepter l’idée que Mahone n’était en faite qu’un agent corrompu, mais ce qu’elle ne comprenait pas, c’était les raisons qui l’avaient poussé à agir ainsi, et puis elle se demandait aussi pourquoi s’en était-il prit à Sara. En y pensant, elle eu comme un pressentiment et cria « Mer*** Tancredi » Elle se précipita vers la chambre 213 et croisa l’infirmière (Jennifer).
Lang : Mademoiselle, le pansement de la 213 est terminé ?
Jennifer : (elle répondit en bafouillant) eu... ben…c’est-à-dire… que… enfin
Lang : c'est-à-dire que quoi ?
Jennifer : Mademoiselle Tan…
Elle ne la laissa même pas terminer tant elle avait compris que la chambre 213 était à présent vide. Elle se précipita dans la pièce ne comprenant pas comment elle avait pu… jusqu'à ce qu’elle trouva l’épingle à cheveux « Et mer*** » Elle, appela sur son talkie walkie un de ses hommes l’avertissant que Tancredi était aussi en fuite. Elle ordonna sur le champ que ses hommes se postent à chaque sortie de l’hôpital. Au même moment, Michael et Kim sortirent simultanément de leurs cages d’ascenseurs et tombèrent nez à nez, Kim s’y attendait et avait déjà son arme régentée vers lui. Michael offusqué fit un pas incontrôlé en arrière.
Michael : Qui êtes vous ?
Kim : Aucune importance, où est-elle ?
Michael : De qui parlez vous ?
Kim : celle que vous êtes venu chercher…
Michael : Je ne suis venu chercher personne…
Kim : Ne me prenez pas pour une bille, je sais qu’elle est ici, mais qu’importe je vous tiens vous. On s’occupera d’elle plus tard.
Un bruit de pas vient interrompre leur petite conversation, Michael en profita pour éclaircir sa voix de manière exagérée afin d’attirer l’attention et forcé Kim à dissimuler l’arme. Mais ce dernier n’était pas dupe, il enjoua son arme plus violement en direction de Michael l’incitent ainsi à ne pas faire de vague. Il lui intima l’ordre d’avancer et de se diriger vers les 2 portes battantes de la cage d’escaliers, Michael s’exécuta. Sara qui parvient jusqu’au bout du couloir non sans peine, s’apprêtait à engager le pas et tourner à droite pour traverser ce couloir, dernier obstacle avant d’arriver vers la porte de sortie de l’étage. Mais elle révisa sa décision quand à sa grande surprise, elle vit l’homme qu’elle n’attendait plus. Michael était revenu pour elle. Elle ne pu s’empêcher d’esquisser un petit sourire aussitôt disparu qu’elle vit qu’il était dans une des situations des plus déplaisante. Elle était là, impuissante et désarmée, que pouvait-elle faire ? Elle scruta rapidement les lieux pour finalement s’arrêta sur un extincteur portatif, se rua dessus sans trop savoir qu’en faire, prenant son courage à deux mains, elle interpella Michael. Kim et lui se retournèrent aussitôt, elle engagea alors l’engin en direction de l’homme et l’aspergea de la substance blanche normalement constituée pour éteindre le feu et affaissa le brasier qui avait encerclé de ses flammes l’homme qu’elle aimait. Par la forte pression que dégageait le liquide blanc, Kim perdu l’équilibre, tomba à terre et perdu dans la foulée son arme, aussitôt interceptée par Michael. Ce dernier se jeta pressement dans les bras de Sara l’étreignant intensément ne voulant plus la quitter de peur qu’elle disparaisse. Il lui glissa mille excuses à l’oreille, puis relâcha l’étreinte pour se tenir devant elle et dans une passion incontrôlée déposa un baiser sur ses lèvres, auquel elle répondit avec fougue, ses mains posées de part et d’autre de son visage. A leur grand désespoir, ce petit moment d’excitation fût de courte durée, ils furent interrompus par Lincoln et Aldo qui dans la foulée furent surpris de la scène.
Lincoln : Mike, tu lui as demandé ?
Sara : (Se retournant vers Michael, surprise) Me demander quoi ?
Michael : Plus tard, il faut partir d’ici.
Sara : non, Michael, je veux savoir maintenant.
Michael : Sara, ce n’est pas important pour le moment, nous devons quitter cet endroit immédiatement.
Aldo : Comment ça ce n’est pas important…
Lincoln : Papa…plus tard…
Sara : (sur ton colérique) Je ne bougerais pas d’ici avant de savoir. (A Michael) Plus de mensonges ou de secrets, je suis de ton côté Michael, et que tu le veuille ou non, je suis à présent autant impliquée que toi. Souviens toi qu’ils ont tué mon père…
Michael : C’est… justement à son propos, ne t’aurait-il pas laissé quelque chose…
Sara : (réfléchissant) non il ne m’a rien donné, mais j’ai trouvé une clé dans son bureau, le jour ou il est m…
Michael : Peux tu me la remettre ?
Sara chercha inlassablement dans son sac la clé et dans un élan de stress incontrôlable, elle annonça à Michel qu’elle ne l’avait plus
Sara : Elle n’y ait pas, elle n’y ait plus, je ne comprends pas, je l’avais pourtant mise dans mon sac.
Aldo : Il nous la faut absolument…sans ça, impossible de démanteler la compagnie
Ne comprenant pas pourquoi la clef n’était pas dedans, elle s’accroupit au sol, posa son sac à terre et plongea ses mains à l’intérieur. L’état de panique dont elle faisait preuve, inquiétait d’avantage les trois hommes qui se tenaient debout devant elle, attendant cette fameuse clef. Soudain, elle se figea sur place, porta sa main à sa bouche grande ouverte, « c’était bien ça » se disait-elle, elle venait de se rappeler que son sac lui avait échappé des mains dans les escaliers lors de sa course folle contre Mahone. La clef avait sûrement dû tombée. Si cette clef était aussi importante que l’avait dit Aldo Burrows, alors, elle devait à tout prix la récupérer. Elle se leva brusquement, jeta un coup d’œil sur l’homme qu’elle avait aveuglé avec le dioxyde de carbone afin de s’assurer qu’il était bien hors d’état de nuire. Elle n’avait pas vraiment de quoi s’inquiéter, elle n’était plus seule à présent, mais ces derniers temps c’était devenu une seconde nature chez elle. Elle se retourna en direction du couloir qui menait aux escaliers par lesquels elle était arrivée. Quand Michael lui dit :
Michael : Ou vas-tu Sara ?
Sara : Je sais ou elle est, je vais la chercher.
A cet instant précis Mahone fit son apparition, leva une main en l’air montrant une clef, tandis qu’il pointait son arme de l’autre.
Mahone : C’est ça que vous cherchez peut-être ?
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
je suis stressée du début à la fin de ce chapitre, j'ai cru que Sara allait se faire attraper par Mahone, ensuite que c'était Michaël par Kim et ensuite la clé c'est Mahone qui l'a en sa possesssion
heureusement un tout petit moment misa avec des mini retrouvailles
olala va falloir la suite et vite avant que je fasse une attaque
heureusement un tout petit moment misa avec des mini retrouvailles
olala va falloir la suite et vite avant que je fasse une attaque
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
heureusement que tu es la pour lire toi, le jours ou tu ne viendras plus je saurais qu'il faut que j'arrete de poster mdrrrrr.tinkerbel a écrit: je suis stressée du début à la fin de ce chapitre, j'ai cru que Sara allait se faire attraper par Mahone, ensuite que c'était Michaël par Kim et ensuite la clé c'est Mahone qui l'a en sa possesssion
heureusement un tout petit moment misa avec des mini retrouvailles
olala va falloir la suite et vite avant que je fasse une attaque
fanfiction prison break
euhh je reclame une suite de toute urgence
mariecuche- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
mariecuche a écrit:euhh je reclame une suite de toute urgence
je la commence à peine alors je pense pas pouvoir la poster ce soir mais demain peut être si l'inspiration est au RDV. merci de suivre ma fic.
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:heureusement que tu es la pour lire toi, le jours ou tu ne viendras plus je saurais qu'il faut que j'arrete de poster mdrrrrr.tinkerbel a écrit: je suis stressée du début à la fin de ce chapitre, j'ai cru que Sara allait se faire attraper par Mahone, ensuite que c'était Michaël par Kim et ensuite la clé c'est Mahone qui l'a en sa possesssion
heureusement un tout petit moment misa avec des mini retrouvailles
olala va falloir la suite et vite avant que je fasse une attaque
surtout pas, je peux avoir un empêchement et quand je reviens PLUS TA FIC alors là oui je vais faire un arrêt cardiaque c'est sur
je la commence à peine alors je pense pas pouvoir la poster ce soir mais demain peut être si l'inspiration est au RDV. merci de suivre ma fic
donc, on a de la chance, on l'aura demain, car l'inspi à l'air d'être là
bonne soirée et gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
tinkerbel a écrit:surtout pas, je peux avoir un empêchement et quand je reviens PLUS TA FIC alors là oui je vais faire un arrêt cardiaque c'est sur
oui d'accord mais comme tu aurais surement prit le soin de me prévenir j'aurais juste fait une pause lool.
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:tinkerbel a écrit:surtout pas, je peux avoir un empêchement et quand je reviens PLUS TA FIC alors là oui je vais faire un arrêt cardiaque c'est sur
oui d'accord mais comme tu aurais surement prit le soin de me prévenir j'aurais juste fait une pause lool.
OUF
ok, je te préviendrai
LA SUITE
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
J'adore!!!!Cette suite était pleine de suspence!!!!!Kiffante!!
Vivement la suite!!!!
Vivement la suite!!!!
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Episode 11 – La clef de tous nos soucis
En même temps que Mahone dirigeait son arme contre eux, Michael engagea la sienne intimant à ce dernier de lâcher son révolver et de lui remettre la clef. Dans un rire caustique qui se transforma aussitôt en une colère démesurée et incompréhensible, il rétorqua à Michael de jeter la sienne sans quoi il n’hésiterait pas à mettre une balle en pleine tête de Sara. Médusée par l’arrivée subite et par les dernières paroles de Mahone, Sara aspira une bouffée d’air involontaire et incontrôlée à presque s’étouffer, qui la paralysa sur place. Ses yeux était écarquillés, presque sortie de leurs orbites, son visage pali par la peur, elle se retrouvait encore et toujours tétanisée face à cet homme et ses menaces. Michael ressentit son mal être, s’avança derrière elle, la saisie par les épaules, lui fit faire quelques pas rapide en arrière comme pour la protéger de cet homme qui braquait son arme à son encontre. Il était sur le point d’exécuter l’ordre donné par Mahone, quand la sonnerie d’alarme de l’hôpital retentit brusquement, déconcertant Mahone de l’emprise qu’il avait sur eux. Aldo en profita pour se jeter sur lui, l’entraînant dans sa chute et lui faisant perdre l’équilibre, quand soudain l’arme lui échappa des mains, après qu’un coup de feu est retentit. Interpellé par le bruit puis le cri sourd de son père, Michael se jeta à terre. Il passa sa main derrière la nuque d’Aldo, l’autre posée sur ça blessure. A cet instant, un sentiment de bouleversement se dessiné sur son visage, ses yeux s’embuaient à présent laissant échapper doucement deux perles instantanément suivit par une avalanche de sanglots. Il essayait de parler, il voulait dire à son père qu’il ne lui en voulait pas, qu’il devait se battre pour rester en vie et qu’il ferait tout pour rattraper le temps perdu, mais les mots ne vinrent pas. Est-ce la rancœur qui l’habitait depuis tout ce temps qui l’empêchait de s’exprimer ou bien le choque qu’il ressentait à cet instant devant le corps à présent inerte d’un homme quelconque ayant perdu la vie à cause de lui ? Il ne le savait pas et à dire vrai il était dans l’incapacité de penser, son esprit était ailleurs, mais où ? Il posa sa tête sur le corps inanimé de son père oubliant totalement la situation dans laquelle il se trouvait. Sara qui vit Mahonne se relever, ramassa d’un geste prompt l’extincteur, et lui balança l’objet en pleine figure. Elle le posa ensuite à terre et ramassa la clef tombée à côté d’elle. En se relevant, elle vit tout au bout du couloir deux hommes en uniforme. Elle dit à Michael de partir mais c’est comme si ce dernier n’entendait pas. Il ne voulait pas se résoudre à laisser son père dans cet état. Lincoln insista sur les dires de Sara.
Lincoln : Michael il y a des flics, il faut qu’on parte.
Michael : Pardon…pardon papa…
Sara : Michael, Michael, je t’en supplie, Michael ?
Lincoln : Michael viens…
Voyant que son frère ne réagissait pas et que les deux policiers approchaient à grand pas, il souleva son frère par le bras qui ne résista pas une seconde tant il était en état de choc. Lincoln, Sara et la loque qu’était devenu Michael à cet instant, quittèrent l’étage par la porte qui se située juste en face d’eux. Ils descendirent en trombe les marches de la cage d’escaliers, faisant battre leurs cœurs à une vitesse démesurée tant la peur s’était emparait d’eux et qui finalement requinqua Michael à bloque lui faisant reprendre conscience de la situation. Mais voila que deux autres policiers qui avançaient en sens inverse, leurs faisaient obstacle et leurs ordonnèrent de ne plus bouger engageant leurs armes contre eux. Ils firent volte face et remontèrent les quelques marches qui les séparaient des deux portes battantes du 5ème étage sous une pluie de coup de feu. Ils courraient aussi vite que leurs jambes le leurs permettaient bousculant tout ce qui se trouvait sur leur chemin, tout y passait, infirmières, médecins, chariots de soins, techniciens de surfaces et même quelques malades qui faisaient leur promenade quotidienne malgré que l’hôpital était en état d’alerte. Deux autres policiers étaient postés au bout du couloir, attendant leur passage ce qui obligea nos trois alliés a virevolter et se coltiner deux poursuivant de plus. Ils visitaient tout les couloirs de l’étage tournant tantôt à gauche, tantôt à droite ne sachant pas vraiment où aller ni comment se dépêtrer de ce problème, quand Michael comprit que toutes les issues était certainement bloquées part l’intervention de plusieurs policiers. Il s’arrêta devant une porte de réserve, entra à l’intérieur pour se cacher incitant les autres à faire de même, Il posa un instant sa main sur le mur pour se tenir et l’autre sur son torse comme pour s’aider à respirer.
Lincoln : On n’a pas le temps de s’arrêter Michael.
Michael : Ca ne sert à rien de courir Lincoln, ils ont encerclé tout l’hôpital, ou qu’on aille, ils attendent gentiment qu’on leur tombe dans les bras.
Sara : (respirant difficilement après la course) Alors, c’est fini, c’est ça ? On abandonne la partie ? Ou c’est peut-être à nous d’attendre qu’ils viennent nous chercher ? Je te signale quand même qu’il y a pas moins de quatre gorilles armés jusqu’aux dents. Michael Réagit !
Michael : (un petit sourire en coin) Il y a encore une issue… qu’ils n’ont pas condamnée.
Sara : Laquelle ?
Michael leva les yeux au plafond leur indiquant cette sortie. Sara et Lincoln comprirent aussitôt que c’était par le toit qu’ils devaient quitter l’hôpital mais aussi qu’ils n’avaient pas d’autres choix. Ils étaient tous d’accord, Michael entrouvrit donc la porte, jeta un œil de chaque côté, une fois assuré que personne, du moins que les gorilles comme les avait surnommé Sara, étaient enfin semés, ils sortirent à tour de rôle. Michael expliqua à Sara et Lincoln qu’ils devaient rebrousser chemin jusque l’endroit ou le corps d’Aldo gisait sur le sol autrement dit retourner au septième étage. C’était risqué, mais ils n’avaient encore une fois pas le choix, c’était le seul endroit ou il avait repéré une trappe donnant directement sur le toit. Ils repartirent donc sur leurs pas ou presque, ils avaient tellement tourné dans ses couloirs qui se ressemblaient tous, qu’ils avaient du mal à se repérer. Le moindre mouvement, le moindre bruit n’appartenant pas Michael, ni à Lincoln et encore moins à elle-même, faisait battre si fort le cœur de Sara qu’on pouvait l’entendre à des kilomètres. Sara était pétrifiée et ça, Michael le sentait. Il s’arrêta un instant, se retourna et lui tendit la main, elle hésita une fraction de seconde, puis entrelaça sa main à la sienne, un sentiment de sécurité grandit en elle aussitôt. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent au lieu dit. Michael qui avait emprunté une chaise dans une des pièces croisées sur leur chemin, la posa devant lui, monta dessus et retira d’un geste brusque le panneau qui recouvrait la trappe du plafond. Il fit signe à Sara de monter la première, elle posa un pied sur la chaise, puis l’autre tout en posant ses mains de part et d’autre du bassin de Michael. N’atteignant pas l’ouverture de la trappe, Michael, attrapa à son tour Sara au même endroit, elle le regarda une étrange façon, puis poussa sur ses bras aussi fort qu’elle le pouvait pour se retrouver dehors, enfin ! C’était au tour de Michael d’y aller quand son frère l’interrompu.
Lincoln : Michael ? Tu n’as rien remarqué d’étrange ?
Michael : Non, mais on n’a pas le temps Lincoln, grimpe !
Lincoln : Le boiteux et son acolyte de gringalet ne sont plus là (faisant référence à Mahone et Kim)
Michael : Monte !
Au moment ou Lincoln était presque passé de l’autre coté, une main franche et vive attrapa son pied.
Dernière édition par Islemmedemars le Ven 23 Mai - 20:02, édité 1 fois
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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