SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:tinkerbel a écrit:coucou
comment tu vas ?
alors moi qui pensait avoir LA suite ce matin
j'espère que tu vas poster aujourd'hui, tu vois que t'es sadique
avec toutes les questions que je me pose, je vais finir par devenir dingue si je n'ai pas de réponses
à tout à l'heure
oui pour aujourd'hui c'est trés possible lol, j'ai commençé hier mais vu l'heure qu'il l'était, j'ai préféré reporter à aujourd'hui, mais j'ai déja écrit une bonne partie.
cool alors ce soir, je vais probablement avoir LA suite
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Desolée Tink, demain lol
Et puis l’hésitation l’abandonna, il retira son sweat et plongea aussitôt dans l’eau. Il nagea de toutes ses forces pour se rapprocher le plus vite possible de Sara. Il était à présent prés d’elle. Il l’attrapa d’abord par les épaules retournant son corps dans le bon sens, puis passa ensuite derrière elle et l’entoura de son bras en haut de sa poitrine. Une fois en bonne position, il se mit à nager à l’aide de son bras libre jusqu’au bateau.
Il était très essoufflé par cet exercice périlleux qu’encore une fois la vie lui avait infligé et avait beaucoup de mal à la tenir hors de l’eau. Sa force physique comme mentale, l’avaient littéralement délaissé. Mais il ne capitula pas pour autant, il ferait n’importe quoi pour elle, en faite il était prés à mourir pour elle, même si elle, ne s’en était pas rendu totalement compte. Dans une prière qu’il accorda à son esprit où il implorait la divinité d’épargner, sa bien aimée, sans oublier de demander pardon pour tout les sacrifices qui ont coûté cher. Enfin il parvint non sans peine et sans mal à hisser le corps de Sara alourdit par ses vêtements trempés à bord de l’embarcation. Ils étaient à présent sur le planché du bateau, Sara dessous, lui dessus, elle inconsciente, lui terriblement en manque d’oxygène, il en avait pourtant besoin, il devait à tout prix la sauver. Maintenant qu’elle avait échappé à l’emprise de cette femme, ils pourraient alors partir, fini le Panama. Son frère, Sara et lui pourrait avoir à présent une fin heureuse.
Lincoln se réveilla difficilement, il devait probablement être 22 heures, un vacarme assourdissant provenant de sa porte, ne l’avait pas laissé finir sa sieste qu’il avait faite presque malgré lui. Il se leva marchant maladroitement dans la pièce manquant de se prendre le pied dans ses vêtements qu’il avait laissé trainer au sol. Il poussa un petit « j’arrive » mais l’autre derrière la porte ne l’entendit pas et continuait machinalement à frapper sur cette porte. Enfin, il pouvait voir celui qui l’avait presque dérangé dans son sommeil que ce dernier lui avait au préalable ordonné.
Mahone : Mais qu’est ce tu fous Lincoln, pourquoi tu n’es pas prêts ?
Lincoln : … (Surpris)
Mahone : Je t’avais pourtant dit qu’on partait à 22 heures précise, dépêche toi de te préparer.
Lincoln : (d’une voix fatiguée) J’arrive…
Lincoln se dirigea vers la salle de bain, passant sa main sur son visage comme pour effacer la fatigue qui se lisait facilement en lui. Mahone l’attendait pressé dans la pièce à côté le priant d’activer le pas, s’ils ne voulaient pas rater le seul vol direct qu’il avait réussit à obtenir pour le Panama. C’était un vol privé bien sûr, Mahone avait encore quelques connaissances qui étaient disposés à l’aider en cas de pépins et là ils en avaient un gros. A ce moment Précis, Kellerman fit son entrée.
Kellerman : Où est-il ?
Mahone : dans la douche, il arrive.
Kellerman : Merde, nous allons être en retard…
Lincoln : C’est bon je suis là…
Kellerman : Alors on y va, pressons !
Ils partirent donc tous les trois, ils avaient rendez-vous avec Owen Kleever, le propriétaire de l’avion. Ils ne leurs restaient qu’un quart d’heures avant que l’appareil ne quitte la piste ou il s’était posé sans autorisation. Dans la voiture, les trois hommes étaient remontés à bloc, Kellerman reprochait à Lincoln leur retard, Mahone hurlait après Kellerman pour qu’il se taise tandis que Lincoln essayait de se concentrer sur la route malgré le vacarme que ses passagers faisaient. Quand soudain, Mahone qui était installé à côté de Lincoln hurla « Attention » Lincoln braqua alors le volant aussi fort qu’il le put vers la droite et évita de peu le camion qui arrivé face à eux.
Kellerman : Mais t’es complètement malade, t’es conscient que t’as faillit nous tuer…
Lincoln : Je ne compte plus le nombre de fois ou tu as essayé, toi.
Kellerman : Je te signal que je fais ça pour vous, rien ne me retiens ici.
Lincoln : Oh si, ta vie…
Kellerman : Je pourrais te tuer en moins de temps qu’il faut pour le dire et…
Mahone : Fermez-la ! Vous n’en avez donc jamais assez.
Après l’intervention plus que surprenante de Mahone, le Silence était redevenu maître de la situation. Ils ne leur restaient plus que cinq malheureuses petites minutes avant le départ final et pourtant ils étaient encore loin du but.
Le bateau était à présent en plaine mer, pas un seul navire, cargo ou chalutier à l’horizon, c’était à présent le moment pour eux de prendre leur envole. Susan, alerta alors son interlocuteur via son talkie walkie, de leur position pour qu’il puisse venir les chercher. Quelques minutes plus tard, une quinzaine à peu prés, un hélicoptère survolait le bateau, Susan attrapa par le bras Veronica et lui intima l’ordre de monter à bord. Cette dernière s’exécuta sous l’emprise et la force que Susan exerçait sur elle. La faiblesse due au traitement qu’elle avait subit l’empêchait toute résistance.
Michael commençait à présent à reprendre son souffle, mais Sara elle était toujours inconsciente. Il l’allongea convenablement, bien à plat sur le dos, pour pratiquer les premiers soins de secours dans de bonnes conditions. Il connaissait les gestes à faire par cœur, Deux insufflations puis trente compressions thoraciques en alternance. Mais d’abord, il attrapa son poigné sur lequel il pressa lentement mais surement son index et son majeur droit pour essayer de sentir son pouls mais rien, non il ne sentait rien puis, il s’attaqua immédiatement à l’artère carotide mais la encore, il lui était impossible d’évaluer son rythme cardiaque.
Son Inquiétude le mettez alors vraiment mal à l’aise, toute en pratiquant c’est gestes pourtant simples, il tremblait de tout son être. Puis, sans réfléchir, il arracha virulemment son chemisier pour ne laisser sur sa peau froide et humide qu’un simple bout de tissu qui galbé sa poitrine. Il posa délicatement ses deux mains sur son thorax pour commencer Une Réanimation cardio-pulmonaire. Il se tenait en aplomb les bras bien tendus, le talon des mains posé sur la lame du sabre, ou la compression offrait une plus grande aisance. Il espérait qu’a chaque tentative, le corps de Sara se manifesterait mais il n’en fut rien. Après une dernière tentative, un dernier baiser, plus caractérisé par un Adieu, qu’une tentative de sauvetage, après des larmes chaudes qui noyaient son visage, le cœur, l’esprit et l’âme alourdit par la culpabilité, il posa sa tête contre son corps et ne pu qu’extérioriser sa peine en hurlant quelques mots accentués par les sanglots dans sa voix.
Michael : SARAAAAAAA, Oh mon dieu non, je t’en supplie, ne me quitte pas je t’aime.
Episode 27 – Et si c’était vrai (partie 1)
Et puis l’hésitation l’abandonna, il retira son sweat et plongea aussitôt dans l’eau. Il nagea de toutes ses forces pour se rapprocher le plus vite possible de Sara. Il était à présent prés d’elle. Il l’attrapa d’abord par les épaules retournant son corps dans le bon sens, puis passa ensuite derrière elle et l’entoura de son bras en haut de sa poitrine. Une fois en bonne position, il se mit à nager à l’aide de son bras libre jusqu’au bateau.
Il était très essoufflé par cet exercice périlleux qu’encore une fois la vie lui avait infligé et avait beaucoup de mal à la tenir hors de l’eau. Sa force physique comme mentale, l’avaient littéralement délaissé. Mais il ne capitula pas pour autant, il ferait n’importe quoi pour elle, en faite il était prés à mourir pour elle, même si elle, ne s’en était pas rendu totalement compte. Dans une prière qu’il accorda à son esprit où il implorait la divinité d’épargner, sa bien aimée, sans oublier de demander pardon pour tout les sacrifices qui ont coûté cher. Enfin il parvint non sans peine et sans mal à hisser le corps de Sara alourdit par ses vêtements trempés à bord de l’embarcation. Ils étaient à présent sur le planché du bateau, Sara dessous, lui dessus, elle inconsciente, lui terriblement en manque d’oxygène, il en avait pourtant besoin, il devait à tout prix la sauver. Maintenant qu’elle avait échappé à l’emprise de cette femme, ils pourraient alors partir, fini le Panama. Son frère, Sara et lui pourrait avoir à présent une fin heureuse.
Lincoln se réveilla difficilement, il devait probablement être 22 heures, un vacarme assourdissant provenant de sa porte, ne l’avait pas laissé finir sa sieste qu’il avait faite presque malgré lui. Il se leva marchant maladroitement dans la pièce manquant de se prendre le pied dans ses vêtements qu’il avait laissé trainer au sol. Il poussa un petit « j’arrive » mais l’autre derrière la porte ne l’entendit pas et continuait machinalement à frapper sur cette porte. Enfin, il pouvait voir celui qui l’avait presque dérangé dans son sommeil que ce dernier lui avait au préalable ordonné.
Mahone : Mais qu’est ce tu fous Lincoln, pourquoi tu n’es pas prêts ?
Lincoln : … (Surpris)
Mahone : Je t’avais pourtant dit qu’on partait à 22 heures précise, dépêche toi de te préparer.
Lincoln : (d’une voix fatiguée) J’arrive…
Lincoln se dirigea vers la salle de bain, passant sa main sur son visage comme pour effacer la fatigue qui se lisait facilement en lui. Mahone l’attendait pressé dans la pièce à côté le priant d’activer le pas, s’ils ne voulaient pas rater le seul vol direct qu’il avait réussit à obtenir pour le Panama. C’était un vol privé bien sûr, Mahone avait encore quelques connaissances qui étaient disposés à l’aider en cas de pépins et là ils en avaient un gros. A ce moment Précis, Kellerman fit son entrée.
Kellerman : Où est-il ?
Mahone : dans la douche, il arrive.
Kellerman : Merde, nous allons être en retard…
Lincoln : C’est bon je suis là…
Kellerman : Alors on y va, pressons !
Ils partirent donc tous les trois, ils avaient rendez-vous avec Owen Kleever, le propriétaire de l’avion. Ils ne leurs restaient qu’un quart d’heures avant que l’appareil ne quitte la piste ou il s’était posé sans autorisation. Dans la voiture, les trois hommes étaient remontés à bloc, Kellerman reprochait à Lincoln leur retard, Mahone hurlait après Kellerman pour qu’il se taise tandis que Lincoln essayait de se concentrer sur la route malgré le vacarme que ses passagers faisaient. Quand soudain, Mahone qui était installé à côté de Lincoln hurla « Attention » Lincoln braqua alors le volant aussi fort qu’il le put vers la droite et évita de peu le camion qui arrivé face à eux.
Kellerman : Mais t’es complètement malade, t’es conscient que t’as faillit nous tuer…
Lincoln : Je ne compte plus le nombre de fois ou tu as essayé, toi.
Kellerman : Je te signal que je fais ça pour vous, rien ne me retiens ici.
Lincoln : Oh si, ta vie…
Kellerman : Je pourrais te tuer en moins de temps qu’il faut pour le dire et…
Mahone : Fermez-la ! Vous n’en avez donc jamais assez.
Après l’intervention plus que surprenante de Mahone, le Silence était redevenu maître de la situation. Ils ne leur restaient plus que cinq malheureuses petites minutes avant le départ final et pourtant ils étaient encore loin du but.
Le bateau était à présent en plaine mer, pas un seul navire, cargo ou chalutier à l’horizon, c’était à présent le moment pour eux de prendre leur envole. Susan, alerta alors son interlocuteur via son talkie walkie, de leur position pour qu’il puisse venir les chercher. Quelques minutes plus tard, une quinzaine à peu prés, un hélicoptère survolait le bateau, Susan attrapa par le bras Veronica et lui intima l’ordre de monter à bord. Cette dernière s’exécuta sous l’emprise et la force que Susan exerçait sur elle. La faiblesse due au traitement qu’elle avait subit l’empêchait toute résistance.
Michael commençait à présent à reprendre son souffle, mais Sara elle était toujours inconsciente. Il l’allongea convenablement, bien à plat sur le dos, pour pratiquer les premiers soins de secours dans de bonnes conditions. Il connaissait les gestes à faire par cœur, Deux insufflations puis trente compressions thoraciques en alternance. Mais d’abord, il attrapa son poigné sur lequel il pressa lentement mais surement son index et son majeur droit pour essayer de sentir son pouls mais rien, non il ne sentait rien puis, il s’attaqua immédiatement à l’artère carotide mais la encore, il lui était impossible d’évaluer son rythme cardiaque.
Son Inquiétude le mettez alors vraiment mal à l’aise, toute en pratiquant c’est gestes pourtant simples, il tremblait de tout son être. Puis, sans réfléchir, il arracha virulemment son chemisier pour ne laisser sur sa peau froide et humide qu’un simple bout de tissu qui galbé sa poitrine. Il posa délicatement ses deux mains sur son thorax pour commencer Une Réanimation cardio-pulmonaire. Il se tenait en aplomb les bras bien tendus, le talon des mains posé sur la lame du sabre, ou la compression offrait une plus grande aisance. Il espérait qu’a chaque tentative, le corps de Sara se manifesterait mais il n’en fut rien. Après une dernière tentative, un dernier baiser, plus caractérisé par un Adieu, qu’une tentative de sauvetage, après des larmes chaudes qui noyaient son visage, le cœur, l’esprit et l’âme alourdit par la culpabilité, il posa sa tête contre son corps et ne pu qu’extérioriser sa peine en hurlant quelques mots accentués par les sanglots dans sa voix.
Michael : SARAAAAAAA, Oh mon dieu non, je t’en supplie, ne me quitte pas je t’aime.
Dernière édition par Islemmedemars le Mar 17 Juin - 12:16, édité 1 fois
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Waou tu ma foutu les larmes aux yeux en 2 secondes...........Nonnnn Sara peut pas mourir
Vivement la suite!!!
Vivement la suite!!!
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
trop bien ta fic, et cette suite
il faut que sara se réveille, il faut qu'elle lui dise que Veronica est vivante, ne nous laisse pase dans ce grand suspens
la suite
il faut que sara se réveille, il faut qu'elle lui dise que Veronica est vivante, ne nous laisse pase dans ce grand suspens
la suite
orilimi- Rendez vous avec le Coyote...
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
c'est moi qui vait avoir besoin d'une réanimation si tu continues à jouer avec mon coeur
Michaël a donc réussit à ramener Sara sur le bâteau mais elle n'est pas consciente et après une tentative de réanimation il abandonne et s'effondre sur elle ET BAH MOI JE SUIS PAS D'ACCORD, elle va se réveiller vite fait sinon elle va m'entendre
et Kellerman et Lincoln qui se disputent comme des gamins heureusement que Mahon les remet à leur place car ils doivent partir et faut qu'ils se grouillent car dans 5 min l'avion va partir sans eux
Sinon Susan a prévu un hélicoptère pour s'enfuir avec Véronica qui est mal au point, elle s'est fait droguer? mais elle pourrait aperçevoir le bâteau de Michaël de là haut??
bon je pense pas que je vais pouvoir attendre demain pour la suite donc
Michaël a donc réussit à ramener Sara sur le bâteau mais elle n'est pas consciente et après une tentative de réanimation il abandonne et s'effondre sur elle ET BAH MOI JE SUIS PAS D'ACCORD, elle va se réveiller vite fait sinon elle va m'entendre
et Kellerman et Lincoln qui se disputent comme des gamins heureusement que Mahon les remet à leur place car ils doivent partir et faut qu'ils se grouillent car dans 5 min l'avion va partir sans eux
Sinon Susan a prévu un hélicoptère pour s'enfuir avec Véronica qui est mal au point, elle s'est fait droguer? mais elle pourrait aperçevoir le bâteau de Michaël de là haut??
bon je pense pas que je vais pouvoir attendre demain pour la suite donc
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
voila la suite, désolée aujourd'hui j'ai fait des tas de trucs, je n'ai pu l'ecrire que maintenant.
Lincoln, Mahone et Kellerman sont enfin arrivés au lieu de rendez-vous ; A l’heure. La vitesse à laquelle ils roulaient, leur avaient même fait gagné une minute. Ils se trouvaient à présent devant Owen Kleever. Avant de monter à bord, il leur fallait revoir quelques formalités, comme le lieu exact de l’atterrissage et bien sur le payement. L’expression qui se dessinée sur le visage de l’homme ne prophétisait rien de bien rassurant, il exigeait à présent que la moitié de la somme lui soit versée sur le champ, ce qui ne manqua pas de rendre Kellerman encore plus furieux qu’il ne l’était déjà. Il ne pouvait pas leur dire oui et puis à la dernière seconde leur poser un ultimatum. Kellerman s’approcha alors de l’homme, l’attrapa pas sa chemise et lui expliqua en essayant de gérer sa colère au mieux qu’il avait intérêt à accomplir sa part du marché ou alors il ne répondrait plus de rien. Et puis Lincoln intervint.
Lincoln : Lâche le Paul !
Kellerman : Quoi, que le je lâche, ce mec se joue de nous et je…
Lincoln : Non tu ne feras rien… c’est à moi que revient cette tâche.
Voyant que Lincoln ne plaisantait pas et sentant son regard lourd de haine se poser sur lui, il balbutia quelques mots d’abord inaudibles, puis finit par leur dire de monter. Mais faut croire qu’il n’avait pas l’intention d’en rester là, il avait en réalité tout prévu, sauf peut-être leurs réactions. Mahone et Kellerman s’apprêtait à monter tandis que Lincoln alla dans un coin chercher une certaine intimité pour appeler son frère. L’homme n’avait pas vu Lincoln s'était éclipsé, pensant que tous était à présent dans l’hélicoptère, il sortit une arme à feu et la braqua contre eux, exigeant toujours son du, mais cette fois sous la menace et un ton de voix beaucoup plus élevé.
Kellerman : Ne faites pas le con Kleever, ce n’est vraiment pas le moment de m’énerver.
Owen : Vous fermez la ! Je ne vous ai rien demandais.
Mahonne : Owen S’il vous plaît, nous avons fait un…
Owen : (A Mahonne) Donnez-moi le fric… (Criant) Maintenant !
Kellerman : Owen ne M’obligez pas à…
Owen Dirigea alors son arme contre Kellerman, l’obligeant à nouveau à se taire. Mais Kellerman avait déjà la main derrière son dos, prés à prendre son arme. Il était hors de question, qu’un avorton comme ce Kleever, les empêchent d’aller jusqu'à leur destination. Il s’accapara vivement de son arme et tira, une balle logeait droit sur son cœur.
L’hélicoptère dans lequel on avait emmené Veronica avait déjà prit une certain avance et était arrivé au deuxième lieu de rendez-vous ou un jet privé les attendaient pour le mener directement au Panama, c’était la dernière ligne droite du voyage. Tandis que Susan se pavanait sur un siège confortable de l’appareil sirotant un verre de champagne en compagnie d’un des pilotes à jouer la séductrice, Veronica, elle était assise dans un coin au fond de l’avion, elle avait les points et pieds liés. Elle ne supportait vraiment plus cette captivité mais, au fond d’elle, elle savait que Sara ne l’abandonnerait pas. Elle espérait de tout son cœur qu’elle s’en soit sortit seine et sauve. Connaissant Michael, il ne le supporterait pas et cela ne ferait qu’accroissait la rancœur qu’il ressentait vis-à-vis de la compagnie. Toutes ces pensées qui traversaient son esprit, lui faisaient oublier l’envie d’en finir définitivement avec cette chienne de vie.
Sara était toujours allongée, le corps inanimé, Michael n’en pouvait plus de cette situation mais, son désir de sauver Sara reprit le dessus. Il réitéra ces gestes de premiers secours et insuffla à nouveau une bouffée d’oxygène espérant comme à chaque tentative qu’elle parvienne jusqu'à sa cage thoracique. Dans cet exercice, les mêmes mots s’échappaient en boucle de sa bouche « Je t’en supplie Sara, ne me quitte pas, je t’aime… » Mais rien, rien de tous ce qu’il avait tenté jusque là ne venait à bout de cette noyage qui de toute évidence avait emportait Sara loin de lui, loin de leur amour mort né, de ce désir qu’il avait de la découvrir d’avantage. A bout nerfs, il se leva et se dirigea vers l’un des bords du bateau, posa violemment ses mains sur la barre, se pencha en avant tout en baissant la tête et se mit à hurler toute la peine et la colère qu’il pouvait ressentir à ce moment précis. Les larmes avaient à présent masqué son visage sous une pluie de sanglots échouant sur le planché comme une cascade d’eau. Et puis son corps ressentit un dégout, il se mit à dégobiller tout ce qu’il y avait dans son estomac.
Devant cette scène atroce, oui parce que c’est comme cela que Mahonne percevait les choses à présent, il ne pu s’empêcher d’hurler « NON ». Ce cri, alerta Lincoln qui se dépêcha de retourner prés de l’hélicoptère. Il était déjà bien embêté de n’avoir pas réussit à joindre Michael mais c’était vraiment trop. Encore un coup foireux de Kellerman, c’était certain.
Lincoln : C’était quoi ça ? (constatant le cadavre) Merde, qu’est-ce… qu’est-ce qui s’est passé ?
Mahone : C’est finit, il l’a tué.
Lincoln se passa les mains derrière la tête avec une expression de colère qui ornait son visage, et puis ce sentiment était mêlé à un ras le bol. Quelque soit la chose qu’il entreprenait, il aurait à coût sur quelqu’un pour se mettre en travers de son chemin. Et puis il repensait à son frère seul en mer, Sara captive, la mort de Veronica, les gens innocents. Toutes ces pensées ont émergé en lui comme une puissante montée de lave prête à jaillir, et sa colère ne le pria guère d’avantage, il se lança alors en direction de Kellerman, lui sauta au cou et lui accorda enfin le coup de point qu’il mérité et qui le démangeait depuis leur départ.
Lincoln : (Hurlant) Pourquoi tu as fait ça ?
Kellerman : (criant à son tour) Je n’avais pas le choix, il avait son arme braqué contre nous. J’ai fais ce que ma conscience m’a dicté. Tu devrais me remercier, je viens de te sauver la vie, ce mec travail pour la compagnie.
Mahone : Comment tu sais ça ?
Kellerman : (lui montrant une croix accrochée à une chaine) J’avais la même quand j’ai commencé.
Mahone : Je n’ai jamais reçu une babiole pareille.
Kellerman : Petit cadeau de notre ancienne présidente. Pour être sur qu’on lui sera totalement dévoué par la suite.
Lincoln : Ce qui veut dire qu’on ne serait jamais partit alors… et on fait quoi maintenant.
Mahone et Lincoln croisèrent leurs regards ampli de lassitude, il leur fallait agir et vite mais dans l’instant présent aucune solution ne voulaient pointer le bout de son nez.
Kellerman : Moi je peux…
Lincoln : Quoi, tu sais faire marcher ce truc ?
Kellerman : Oui, quand j’étais plus jeune, j’avais pris des…
Lincoln : (le coupant) Qu’est ce que tu attends alors, grouille.
Les voila montés à bord de l’appareil prêt à s’envoler des les airs. Kellerman avait dit vrai et heureusement, sinon Dieu seul sait comment tout cela se serait terminé.
Une petite inspiration s’’échappa de sa bouche, elle avait du mal à bouger, elle avait froid, elle voulait crier à l’aide à qui l’entendrait, mais aucun son ne parvenait à sortir de sa bouche. Elle essaya tant bien que mal de soulever ses mains dans le but de faire un signe et dans l’espoir que quelqu’un s’aperçoive de sa présence mais Michael était loin…
Episode 28 – Et si c’était vrai (partie 2)
Lincoln, Mahone et Kellerman sont enfin arrivés au lieu de rendez-vous ; A l’heure. La vitesse à laquelle ils roulaient, leur avaient même fait gagné une minute. Ils se trouvaient à présent devant Owen Kleever. Avant de monter à bord, il leur fallait revoir quelques formalités, comme le lieu exact de l’atterrissage et bien sur le payement. L’expression qui se dessinée sur le visage de l’homme ne prophétisait rien de bien rassurant, il exigeait à présent que la moitié de la somme lui soit versée sur le champ, ce qui ne manqua pas de rendre Kellerman encore plus furieux qu’il ne l’était déjà. Il ne pouvait pas leur dire oui et puis à la dernière seconde leur poser un ultimatum. Kellerman s’approcha alors de l’homme, l’attrapa pas sa chemise et lui expliqua en essayant de gérer sa colère au mieux qu’il avait intérêt à accomplir sa part du marché ou alors il ne répondrait plus de rien. Et puis Lincoln intervint.
Lincoln : Lâche le Paul !
Kellerman : Quoi, que le je lâche, ce mec se joue de nous et je…
Lincoln : Non tu ne feras rien… c’est à moi que revient cette tâche.
Voyant que Lincoln ne plaisantait pas et sentant son regard lourd de haine se poser sur lui, il balbutia quelques mots d’abord inaudibles, puis finit par leur dire de monter. Mais faut croire qu’il n’avait pas l’intention d’en rester là, il avait en réalité tout prévu, sauf peut-être leurs réactions. Mahone et Kellerman s’apprêtait à monter tandis que Lincoln alla dans un coin chercher une certaine intimité pour appeler son frère. L’homme n’avait pas vu Lincoln s'était éclipsé, pensant que tous était à présent dans l’hélicoptère, il sortit une arme à feu et la braqua contre eux, exigeant toujours son du, mais cette fois sous la menace et un ton de voix beaucoup plus élevé.
Kellerman : Ne faites pas le con Kleever, ce n’est vraiment pas le moment de m’énerver.
Owen : Vous fermez la ! Je ne vous ai rien demandais.
Mahonne : Owen S’il vous plaît, nous avons fait un…
Owen : (A Mahonne) Donnez-moi le fric… (Criant) Maintenant !
Kellerman : Owen ne M’obligez pas à…
Owen Dirigea alors son arme contre Kellerman, l’obligeant à nouveau à se taire. Mais Kellerman avait déjà la main derrière son dos, prés à prendre son arme. Il était hors de question, qu’un avorton comme ce Kleever, les empêchent d’aller jusqu'à leur destination. Il s’accapara vivement de son arme et tira, une balle logeait droit sur son cœur.
L’hélicoptère dans lequel on avait emmené Veronica avait déjà prit une certain avance et était arrivé au deuxième lieu de rendez-vous ou un jet privé les attendaient pour le mener directement au Panama, c’était la dernière ligne droite du voyage. Tandis que Susan se pavanait sur un siège confortable de l’appareil sirotant un verre de champagne en compagnie d’un des pilotes à jouer la séductrice, Veronica, elle était assise dans un coin au fond de l’avion, elle avait les points et pieds liés. Elle ne supportait vraiment plus cette captivité mais, au fond d’elle, elle savait que Sara ne l’abandonnerait pas. Elle espérait de tout son cœur qu’elle s’en soit sortit seine et sauve. Connaissant Michael, il ne le supporterait pas et cela ne ferait qu’accroissait la rancœur qu’il ressentait vis-à-vis de la compagnie. Toutes ces pensées qui traversaient son esprit, lui faisaient oublier l’envie d’en finir définitivement avec cette chienne de vie.
Sara était toujours allongée, le corps inanimé, Michael n’en pouvait plus de cette situation mais, son désir de sauver Sara reprit le dessus. Il réitéra ces gestes de premiers secours et insuffla à nouveau une bouffée d’oxygène espérant comme à chaque tentative qu’elle parvienne jusqu'à sa cage thoracique. Dans cet exercice, les mêmes mots s’échappaient en boucle de sa bouche « Je t’en supplie Sara, ne me quitte pas, je t’aime… » Mais rien, rien de tous ce qu’il avait tenté jusque là ne venait à bout de cette noyage qui de toute évidence avait emportait Sara loin de lui, loin de leur amour mort né, de ce désir qu’il avait de la découvrir d’avantage. A bout nerfs, il se leva et se dirigea vers l’un des bords du bateau, posa violemment ses mains sur la barre, se pencha en avant tout en baissant la tête et se mit à hurler toute la peine et la colère qu’il pouvait ressentir à ce moment précis. Les larmes avaient à présent masqué son visage sous une pluie de sanglots échouant sur le planché comme une cascade d’eau. Et puis son corps ressentit un dégout, il se mit à dégobiller tout ce qu’il y avait dans son estomac.
Devant cette scène atroce, oui parce que c’est comme cela que Mahonne percevait les choses à présent, il ne pu s’empêcher d’hurler « NON ». Ce cri, alerta Lincoln qui se dépêcha de retourner prés de l’hélicoptère. Il était déjà bien embêté de n’avoir pas réussit à joindre Michael mais c’était vraiment trop. Encore un coup foireux de Kellerman, c’était certain.
Lincoln : C’était quoi ça ? (constatant le cadavre) Merde, qu’est-ce… qu’est-ce qui s’est passé ?
Mahone : C’est finit, il l’a tué.
Lincoln se passa les mains derrière la tête avec une expression de colère qui ornait son visage, et puis ce sentiment était mêlé à un ras le bol. Quelque soit la chose qu’il entreprenait, il aurait à coût sur quelqu’un pour se mettre en travers de son chemin. Et puis il repensait à son frère seul en mer, Sara captive, la mort de Veronica, les gens innocents. Toutes ces pensées ont émergé en lui comme une puissante montée de lave prête à jaillir, et sa colère ne le pria guère d’avantage, il se lança alors en direction de Kellerman, lui sauta au cou et lui accorda enfin le coup de point qu’il mérité et qui le démangeait depuis leur départ.
Lincoln : (Hurlant) Pourquoi tu as fait ça ?
Kellerman : (criant à son tour) Je n’avais pas le choix, il avait son arme braqué contre nous. J’ai fais ce que ma conscience m’a dicté. Tu devrais me remercier, je viens de te sauver la vie, ce mec travail pour la compagnie.
Mahone : Comment tu sais ça ?
Kellerman : (lui montrant une croix accrochée à une chaine) J’avais la même quand j’ai commencé.
Mahone : Je n’ai jamais reçu une babiole pareille.
Kellerman : Petit cadeau de notre ancienne présidente. Pour être sur qu’on lui sera totalement dévoué par la suite.
Lincoln : Ce qui veut dire qu’on ne serait jamais partit alors… et on fait quoi maintenant.
Mahone et Lincoln croisèrent leurs regards ampli de lassitude, il leur fallait agir et vite mais dans l’instant présent aucune solution ne voulaient pointer le bout de son nez.
Kellerman : Moi je peux…
Lincoln : Quoi, tu sais faire marcher ce truc ?
Kellerman : Oui, quand j’étais plus jeune, j’avais pris des…
Lincoln : (le coupant) Qu’est ce que tu attends alors, grouille.
Les voila montés à bord de l’appareil prêt à s’envoler des les airs. Kellerman avait dit vrai et heureusement, sinon Dieu seul sait comment tout cela se serait terminé.
Une petite inspiration s’’échappa de sa bouche, elle avait du mal à bouger, elle avait froid, elle voulait crier à l’aide à qui l’entendrait, mais aucun son ne parvenait à sortir de sa bouche. Elle essaya tant bien que mal de soulever ses mains dans le but de faire un signe et dans l’espoir que quelqu’un s’aperçoive de sa présence mais Michael était loin…
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
si tu n'arrêtes pas ton sadisme dans les prochaines suites, je sais pas si je pourrais lire les suivantes , car j'aurai fait une attaque
Donc Michaël recommence sa réanimation, mais ça ne fonctionne toujours pas
je me souviens plus très bien, mais c'est pas 8 min sans oxygène avant qu'ils y ait des séquelles cérébrales (oui je te dit ça pour qu'à la prochaine suite, tu sois obligée de la réveiller )
Michaël qui vomit
sinon le gars a essayé de doubler Mahone, Kellerman et Lincoln et maintenant voilà il est mort il y a une solution de rechange, c'est Kellerman qui va piloter l'hélicoptère
et le dernier paragraphe c'est Sara qui se réveille ou bien c'est quand elle est entrain de mourir, tu sais quand on voit la lumière au bout du tunnel et qu'on doit choisir entre vivre ou partir
aujourd'hui, je sais pas si tu fais ton ménage mais j'aimerai bien la suite, je suis trop angoissée
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
tinkerbel a écrit:
si tu n'arrêtes pas ton sadisme dans les prochaines suites, je sais pas si je pourrais lire les suivantes , car j'aurai fait une attaque
Donc Michaël recommence sa réanimation, mais ça ne fonctionne toujours pas
je me souviens plus très bien, mais c'est pas 8 min sans oxygène avant qu'ils y ait des séquelles cérébrales (oui je te dit ça pour qu'à la prochaine suite, tu sois obligée de la réveiller )
Michaël qui vomit
sinon le gars a essayé de doubler Mahone, Kellerman et Lincoln et maintenant voilà il est mort il y a une solution de rechange, c'est Kellerman qui va piloter l'hélicoptère
et le dernier paragraphe c'est Sara qui se réveille ou bien c'est quand elle est entrain de mourir, tu sais quand on voit la lumière au bout du tunnel et qu'on doit choisir entre vivre ou partir
aujourd'hui, je sais pas si tu fais ton ménage mais j'aimerai bien la suite, je suis trop angoissée
Rien de spess a ajouter a par peut ètre:LA SUITE!!!!!!!!!!!
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
$acass a écrit:tinkerbel a écrit:
si tu n'arrêtes pas ton sadisme dans les prochaines suites, je sais pas si je pourrais lire les suivantes , car j'aurai fait une attaque
Donc Michaël recommence sa réanimation, mais ça ne fonctionne toujours pas
je me souviens plus très bien, mais c'est pas 8 min sans oxygène avant qu'ils y ait des séquelles cérébrales (oui je te dit ça pour qu'à la prochaine suite, tu sois obligée de la réveiller )
Michaël qui vomit
sinon le gars a essayé de doubler Mahone, Kellerman et Lincoln et maintenant voilà il est mort il y a une solution de rechange, c'est Kellerman qui va piloter l'hélicoptère
et le dernier paragraphe c'est Sara qui se réveille ou bien c'est quand elle est entrain de mourir, tu sais quand on voit la lumière au bout du tunnel et qu'on doit choisir entre vivre ou partir
aujourd'hui, je sais pas si tu fais ton ménage mais j'aimerai bien la suite, je suis trop angoissée
Rien de spess a ajouter a par peut ètre:LA SUITE!!!!!!!!!!!
idem!!!
vite la suite et please arrete de faire ta sadique
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
tinkerbel a écrit:
si tu n'arrêtes pas ton sadisme dans les prochaines suites, je sais pas si je pourrais lire les suivantes , car j'aurai fait une attaque
ne te casse pas la tête pour ca, je dirais à Mike qu'il vienne de réanimer lol
tinkerbel a écrit:Donc Michaël recommence sa réanimation, mais ça ne fonctionne toujours pas
je me souviens plus très bien, mais c'est pas 8 min sans oxygène avant qu'ils y ait des séquelles cérébrales (oui je te dit ça pour qu'à la prochaine suite, tu sois obligée de la réveiller ):
mdrrr, je vais essayer, mais peut-être qu'elle va rechuter mdrrrr
Ben vit le pauvre, il était tellement écoeuré par cette idée de savoir Sara morte et ne pas l'avoir sauvé qu'il à dégueulé le pauv' loltinkerbel a écrit: Michaël qui vomit
Heuresement que Kellou est la mdrrrtinkerbel a écrit:sinon le gars a essayé de doubler Mahone, Kellerman et Lincoln et maintenant voilà il est mort il y a une solution de rechange, c'est Kellerman qui va piloter l'hélicoptère
Tu verras dans la suiteeeeuuhhh...tinkerbel a écrit:et le dernier paragraphe c'est Sara qui se réveille ou bien c'est quand elle est entrain de mourir, tu sais quand on voit la lumière au bout du tunnel et qu'on doit choisir entre vivre ou partir
j'y travaille, je viens de commencer..tinkerbel a écrit:aujourd'hui, je sais pas si tu fais ton ménage mais j'aimerai bien la suite, je suis trop angoissée
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
je veux bien que ce soit Went plutôt qui vienne me réanimer
sinon elle va rechuter c'est vraiment trop
donc ce soir ou demain tu vas nous poster la suite
ps j'adore ta nouvelle bann, celle avec Went et son fils (je croyais que Keala c'était une fille )
sinon elle va rechuter c'est vraiment trop
donc ce soir ou demain tu vas nous poster la suite
ps j'adore ta nouvelle bann, celle avec Went et son fils (je croyais que Keala c'était une fille )
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
tinkerbel a écrit: je veux bien que ce soit Went plutôt qui vienne me réanimer
sinon elle va rechuter c'est vraiment trop
donc ce soir ou demain tu vas nous poster la suite
ps j'adore ta nouvelle bann, celle avec Went et son fils (je croyais que Keala c'était une fille )
Mdrrr, c'est pas keala, hihihi, elle c'est la fille de Sarah mdrr
et pour la suite je vais essayer ce soir... quand à Sara, elle ne va pas... oup's je ne sais plus..
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:tinkerbel a écrit: je veux bien que ce soit Went plutôt qui vienne me réanimer
sinon elle va rechuter c'est vraiment trop
donc ce soir ou demain tu vas nous poster la suite
ps j'adore ta nouvelle bann, celle avec Went et son fils (je croyais que Keala c'était une fille )
Mdrrr, c'est pas keala, hihihi, elle c'est la fille de Sarah mdrr
et pour la suite je vais essayer ce soir... quand à Sara, elle ne va pas... oup's je ne sais plus..
je sais que c'est la fille de Sarah et de Went (bah quoi j'ai le droit de rêver, je suis gaga du WESA ), d'accord je
et quoi Sara SADIQUE
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
voila ma chuitee lol
Michael était loin dans ses pensées, perdu à jamais. Sans Sara, sa vie ne valait plus rien, il n’avait même plus la force de penser à son frère. Son cœur lui faisait mal, il était déchiré par cette perte. Il était assis sur le lit, en bas dans la cabine, il avait dans les mains une photo de Sara. Il l’a contemplait les yeux d’abord embués, puis suivit par une averse de larmes qui échouèrent sur le visage angélique de Sara qu’offrait cette photo, la dernière chose que Michael possédait d’elle.
Sara essaya avec le peu de force qu’il lui était accordé, de passer sa main dans la poche de son jean, pour récupérer la grue que Michael lui avait laissé à l’hôpital, la dernière chose qu’elle possédait de lui. Elle allait peut-être quitter ce monde sans pouvoir une dernière fois, revoir ce regard, ce sourire qui l’avait tant séduite. Elle parvient après une certaine difficulté à attraper le bout de papier, mais à peine l’avait-elle sortit de sa poche, que le vent, qui s’était levé, l’emporta sans lui laisser la moindre chance de le rattraper. Elle poussa alors un petit cri de désolation et réussit tant bien que mal à faire échapper quelques mots de sa bouche « Oh non, Michael ! »
De chaudes larmes coulaient toujours à flot sur son visage, il était terrassé, il n’en pouvait plus et malheureusement, il savait qu’il allait devoir supporter cela le restant de ses jours. Mais comment parviendrait-il à supporter cela ? Et puis, il eu comme une révélation, il releva la tête, le regard plus déterminé que jamais, il essuya d’un geste vive ses larmes à l’aide de l’une de ses manches, puis se leva d’un bon, tout était clair dans sa tête, c’était à cause d’elle que Sara n’était plus. Il ne savait pas qui elle était vraiment, mais il la retrouverait, et lui ferait payer cher. Il sortit de la cabine d’un pas très rapide et déterminé, il avait l’intention de retourner sur ses pas, mais cette fois c’était sûr, il rejoindrait cette femme au Panama, comme si de rien était, même si cela allait être un vrai supplice pour lui de jouer un rôle impossible, mais il était fermement décidé à venger son amour perdu et la femme qui le représentait.
L’avion qui transportait Susan et sa prisonnière, arriva enfin à destination, le Panama. Le moment de vérité était arrivé, elle ne savait pas trop comment elle allait annoncer cela à son supérieur, mais de toute façon elle n’avait pas le choix, elle devait l’affronter et assumer ses erreurs. Elle était très anxieuse, elle connaissait bien Pedro, il ne plaisantait jamais avec ce genre de situation. Elle n’échapperait certainement pas à une leçon de moral sur l’art et la manière de la captive, mais elle avait néanmoins un argument pour le calmer, s’il décidait d’en venir aux mains. C’était mal, elle le savait surtout par rapport à Gary, mais dans le cas présent, elle n’avait pas vraiment le choix.
Sucre était arrivé dans l’Utah, il avait en main toutes les données. Michael lui en avait donné une copie au cas ou les choses devaient se passer autrement. En faite chacun avait son petit trousseau, un plan de la ville, l’itinéraire à emprunter ainsi que des explications bien détaillées de l’endroit exact ou se trouvait ce fameux silo. Le bus qu’il avait prit, s’arrêta, annonçant son dernier arrêt. Sucre descendit et commença à examiner le plan, mais quelque chose le dérangeait, une odeur, une présence qui lui était familière. Il releva alors la tête et tomba nez à nez avec Bellick et T-bag. L’expression qui ornait son visage démontrait clairement que cela, ne lui occasionnerait que des ennuis.
T-bag : (d’un ton malicieux) Le portoricain est là, je te l’avais dit qu’il viendrait.
Sucre : Comment, Comment tu as su ?
T-bag : La prochaine fois, tu te souviendras que les murs ont des oreilles, hein Papy.
Bellick : Où est la carte ?
Sucre (éberlué) Quelle… quelle carte ?
Bellick : Te fou pas de moi, je sais que Scofield t’as donné le nécessaire pour retrouver l’argent de Westmorland.
Sucre : Je suis désolé, mais je…je… je ne vois pas du tout de quoi tu parles.
Bellick était un peu con sur les bords mais apparemment pas à ce point la. Il regarda d’un air malicieux Sucre qui paressait toujours en état de surprise devant les deux hommes et sortit alors une arme à feu qu'il pointa en sa direction et lui dit :
Bellick : Et la, tu vois de quoi je parle ?
Sucre : Eh ! Eh ! Eh ! Eh ! Ce n’est pas un jouet, rangez ça, vous êtes complètement fou.
Bellick : La carte !
Sucre fouilla tout tremblotant, ses poches à la recherche de son petit sachet qui valait cinq million de dollars. Ne trouvant pas ce qu’il cherchait, son visage se crispa, et la peur, face à cette arme qui n’appelait qu’à tirer, se logea dans tout son être. Il vit alors défiler tout sa vie devant lui comme un film qu’on avait mit sur avance rapide.
Sucre : Je ne l’ai plus, put*in j’ai du l’oublier dans…
T-Bag : (en colère) Quoi ?
Sucre : (voyant le bus partir) Merde le bus…
Susan entra dans la maison, elle tenait vivement par le bras Veronica qui marchait maladroitement, du à la fatigue et tout ce qu’elle avait subit ces derniers jours. Susan n’y était pas allait de main morte, elle l’avait battu presque à mort. Veronica ne sentait plus son corps martyrisait, et malheureusement tout cela semblait n’être que le début d’une longue bataille que seul le plus fort gagnerait. L’état de conscience dans lequel elle se trouvait ne lui permettait pas de se rendre compte qu’elles étaient arrivées à destination. Susan la poussa alors violemment sur le lit de cette chambre exigüe, sombre, sale, dont l’odeur dégelasse de la pièce et du matelas ainsi que la saleté des murs ne donnaient que l’envie de fuir. Susan quitta alors la pièce et tomba nez à nez avec Pedro.
Michael était remonté sur le pont du bateau, il se dirigea droit vers la barre, et vira à droite toute, à nouveau en direction du Panama quand soudain il vit volait dans les airs, juste au dessus de sa tête, une grue, il se retourna avec vivacité, vers le corps qu’il avait laissé tantôt et instinctivement, un mot ou plutôt un nom s’échappa de sa bouche.
Michael : Sara…
Episode 29 – Et si c’était vrai (partie 3)
Michael était loin dans ses pensées, perdu à jamais. Sans Sara, sa vie ne valait plus rien, il n’avait même plus la force de penser à son frère. Son cœur lui faisait mal, il était déchiré par cette perte. Il était assis sur le lit, en bas dans la cabine, il avait dans les mains une photo de Sara. Il l’a contemplait les yeux d’abord embués, puis suivit par une averse de larmes qui échouèrent sur le visage angélique de Sara qu’offrait cette photo, la dernière chose que Michael possédait d’elle.
Sara essaya avec le peu de force qu’il lui était accordé, de passer sa main dans la poche de son jean, pour récupérer la grue que Michael lui avait laissé à l’hôpital, la dernière chose qu’elle possédait de lui. Elle allait peut-être quitter ce monde sans pouvoir une dernière fois, revoir ce regard, ce sourire qui l’avait tant séduite. Elle parvient après une certaine difficulté à attraper le bout de papier, mais à peine l’avait-elle sortit de sa poche, que le vent, qui s’était levé, l’emporta sans lui laisser la moindre chance de le rattraper. Elle poussa alors un petit cri de désolation et réussit tant bien que mal à faire échapper quelques mots de sa bouche « Oh non, Michael ! »
De chaudes larmes coulaient toujours à flot sur son visage, il était terrassé, il n’en pouvait plus et malheureusement, il savait qu’il allait devoir supporter cela le restant de ses jours. Mais comment parviendrait-il à supporter cela ? Et puis, il eu comme une révélation, il releva la tête, le regard plus déterminé que jamais, il essuya d’un geste vive ses larmes à l’aide de l’une de ses manches, puis se leva d’un bon, tout était clair dans sa tête, c’était à cause d’elle que Sara n’était plus. Il ne savait pas qui elle était vraiment, mais il la retrouverait, et lui ferait payer cher. Il sortit de la cabine d’un pas très rapide et déterminé, il avait l’intention de retourner sur ses pas, mais cette fois c’était sûr, il rejoindrait cette femme au Panama, comme si de rien était, même si cela allait être un vrai supplice pour lui de jouer un rôle impossible, mais il était fermement décidé à venger son amour perdu et la femme qui le représentait.
L’avion qui transportait Susan et sa prisonnière, arriva enfin à destination, le Panama. Le moment de vérité était arrivé, elle ne savait pas trop comment elle allait annoncer cela à son supérieur, mais de toute façon elle n’avait pas le choix, elle devait l’affronter et assumer ses erreurs. Elle était très anxieuse, elle connaissait bien Pedro, il ne plaisantait jamais avec ce genre de situation. Elle n’échapperait certainement pas à une leçon de moral sur l’art et la manière de la captive, mais elle avait néanmoins un argument pour le calmer, s’il décidait d’en venir aux mains. C’était mal, elle le savait surtout par rapport à Gary, mais dans le cas présent, elle n’avait pas vraiment le choix.
Sucre était arrivé dans l’Utah, il avait en main toutes les données. Michael lui en avait donné une copie au cas ou les choses devaient se passer autrement. En faite chacun avait son petit trousseau, un plan de la ville, l’itinéraire à emprunter ainsi que des explications bien détaillées de l’endroit exact ou se trouvait ce fameux silo. Le bus qu’il avait prit, s’arrêta, annonçant son dernier arrêt. Sucre descendit et commença à examiner le plan, mais quelque chose le dérangeait, une odeur, une présence qui lui était familière. Il releva alors la tête et tomba nez à nez avec Bellick et T-bag. L’expression qui ornait son visage démontrait clairement que cela, ne lui occasionnerait que des ennuis.
T-bag : (d’un ton malicieux) Le portoricain est là, je te l’avais dit qu’il viendrait.
Sucre : Comment, Comment tu as su ?
T-bag : La prochaine fois, tu te souviendras que les murs ont des oreilles, hein Papy.
Bellick : Où est la carte ?
Sucre (éberlué) Quelle… quelle carte ?
Bellick : Te fou pas de moi, je sais que Scofield t’as donné le nécessaire pour retrouver l’argent de Westmorland.
Sucre : Je suis désolé, mais je…je… je ne vois pas du tout de quoi tu parles.
Bellick était un peu con sur les bords mais apparemment pas à ce point la. Il regarda d’un air malicieux Sucre qui paressait toujours en état de surprise devant les deux hommes et sortit alors une arme à feu qu'il pointa en sa direction et lui dit :
Bellick : Et la, tu vois de quoi je parle ?
Sucre : Eh ! Eh ! Eh ! Eh ! Ce n’est pas un jouet, rangez ça, vous êtes complètement fou.
Bellick : La carte !
Sucre fouilla tout tremblotant, ses poches à la recherche de son petit sachet qui valait cinq million de dollars. Ne trouvant pas ce qu’il cherchait, son visage se crispa, et la peur, face à cette arme qui n’appelait qu’à tirer, se logea dans tout son être. Il vit alors défiler tout sa vie devant lui comme un film qu’on avait mit sur avance rapide.
Sucre : Je ne l’ai plus, put*in j’ai du l’oublier dans…
T-Bag : (en colère) Quoi ?
Sucre : (voyant le bus partir) Merde le bus…
Susan entra dans la maison, elle tenait vivement par le bras Veronica qui marchait maladroitement, du à la fatigue et tout ce qu’elle avait subit ces derniers jours. Susan n’y était pas allait de main morte, elle l’avait battu presque à mort. Veronica ne sentait plus son corps martyrisait, et malheureusement tout cela semblait n’être que le début d’une longue bataille que seul le plus fort gagnerait. L’état de conscience dans lequel elle se trouvait ne lui permettait pas de se rendre compte qu’elles étaient arrivées à destination. Susan la poussa alors violemment sur le lit de cette chambre exigüe, sombre, sale, dont l’odeur dégelasse de la pièce et du matelas ainsi que la saleté des murs ne donnaient que l’envie de fuir. Susan quitta alors la pièce et tomba nez à nez avec Pedro.
Michael était remonté sur le pont du bateau, il se dirigea droit vers la barre, et vira à droite toute, à nouveau en direction du Panama quand soudain il vit volait dans les airs, juste au dessus de sa tête, une grue, il se retourna avec vivacité, vers le corps qu’il avait laissé tantôt et instinctivement, un mot ou plutôt un nom s’échappa de sa bouche.
Michael : Sara…
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
alors désolé je viens de revenir donc je n'avais pas lu cette suite et après pardonne moi mais j'ai lu que les moments où il y avait Michaël et Sara, je voulais savoir ce que tu leur réservais et
promis je lirai la suite en entier après mais là je suis complètement paniquée
et pourquoi Michaël est descendu en laissant "le corps" de Sara seul sur le pont
ce soir je veux bien une suite
promis je lirai la suite en entier après mais là je suis complètement paniquée
et pourquoi Michaël est descendu en laissant "le corps" de Sara seul sur le pont
ce soir je veux bien une suite
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Ya pas de soucis pour ça..tinkerbel a écrit:alors désolé je viens de revenir donc je n'avais pas lu cette suite et après pardonne moi mais j'ai lu que les moments où il y avait Michaël et Sara, je voulais savoir ce que tu leur réservais et
pour ça non plus loltinkerbel a écrit:promis je lirai la suite en entier après mais là je suis complètement paniquée
tinkerbel a écrit:et pourquoi Michaël est descendu en laissant "le corps" de Sara seul sur le pont
- Spoiler:
- Il était persuadé qu'elle était morte, à partir de la on peut supposer plusieurs chose...mais disons que c'était utile à la suite
Je suis entrain d'écrire.tinkerbel a écrit:ce soir je veux bien une suite
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
cool alors vivement que je la lise et que je rattrape celle là
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Une suite 0% SADISME lool
Michael se dépêcha de la rejoindre, il se jeta à terre et encercla de ses mains le Visage de Sara, les larmes qui n’avaient pas cessait de couler jusqu’alors avait un autre sens à présent. Sara était en vie, oui elle était vivante, malgré son état encore très faible, Michael esquissa un petit sourire expriment son soulagement.
Sara : Oh ! Mais que c’est-il passé et où suis-je ?
Michael : Chute Sara, c’est moi Michael…
Sara : Michael, c’est bien toi ?
Michael : Oui, ça va aller maintenant, je suis là.
Il l’a prend dans ses bras et la conduit lentement vers la cabine. À l’intérieur, il la déposa doucement sur le matelas qui faisait office de lit et s’assit à côté d’elle, puis entreprit de lui retirer son jean tout trempé, pour qu’elle se sente mieux, faisant très attention, n’oubliant pas sa blessure. Il attrapa une serviette et essuya son corps puis la recouvrit d’un drap pour préserver son intimité. Il la voyait tremblante de froid, il aurait voulut faire plus mais à cet endroit, il n’y avait rien pour la soulager. Il passa ensuite sa main sur son front et se rendit rapidement compte qu’elle avait de la fièvre. Il se leva précipitamment vers le petit coin cuisine de la cabine, retira son sweat qu’il arrosa d’eau fraîche, la froissa pour en faire une sorte de boule, retourna prés de Sara et déposa l’habille froid sur ses pieds espérant que cela suffirait à faire tomber la fièvre. Il était très inquiet, cela pouvait facilement se lire sur son visage et à ses mains tremblante de peur.
Susan se trouvait à présent face à Pedro, le regard qu’il posait sur elle réclamait clairement un rapport sur la situation. Elle ne savait pas vraiment comment le lui dire, ni comment il réagirait en apprenant que Sara s’était échappée, puis elle se dit qu’elle rattrapera le coup en le convainquant que la mort n’a pu que l’emportait dans une eau aussi froide.
Pedro : Te voyant ici, je suppose qu’elles sont là ?
Susan : Eh bien… il y eu… comment dire…
Pedro : Quoi ?
Susan (terrifiée) … Un petit changement de dernière minute…
Pedro : C'est-à-dire ?
Susan : (dit d’une voix très faible) Sara n’est pas là…
Pedro avait très bien entendu ce que Susan venait de dire, il ne la laissa même pas continuer que son visage vira à gauche quand il lui lança sa main en pleine face. Elle posa alors sa main sur la joue touchée, retournant son visage pour affronter le regard colérique de Pedro.
Susan : (hurlant) Elle s’est échappée, mais je n’ai rien pu faire…
Pedro : (Hurlant à son tour) Mais tu es complètement inconsciente, comment va-t-on faire maintenant pour que Scofield nous rejoigne ?
Susan : Il viendra, ne t’en fait pas pour ça.
Pedro l’attrapa par les cheveux lui expliquant clairement qu’il valait mieux pour elle que Michael se pointe au rendez-vous puis la relâcha. Elle connaissait parfaitement les conséquences que ce genre d’erreur pouvait engendrer.
Pedro : (Dit d’un ton sarcastique) Mais dis moi, comment est-ce que tu peux être sur qu’il viendra, si tu n’es même pas capable de garder un prisonnier ?
Susan : Si elle meurt, Michael ne le saura pas et si elle parvient, par je ne sais quelle miracle à le retrouver, elle lui dira pour l’autre prisonnière, donc dans n’importe quel cas, il sera la.
Pedro : vaudrait mieux pour ton petit cul que ça se passe comme ça.
Pedro se dirigea vers la pièce ou était enfermée Veronica, il ouvrit la porte et quand il entra, il constata qu’elle dormait. Il n’était pas aussi brutal que Susan, il sortit donc de la chambre la laissant dormir. Il aurait tout le temps de lui expliquer comment les choses devront se dérouler. Quand elle entendit la porte se refermer, Veronica tourna la tête, comme si elle voulait s’assurer que la personne qui avait fait intrusion ait bien quitté la pièce. Des larmes commençaient à perler son visage, qu’elle ne parvenait pas à ralentir.
T-bag et Bellick se trouvaient tout deux de chaque côté de sucre, le tenant avec vivacité par les bras. Les deux hommes étaient persuadés que Sucre mentait à propos de la documentation. T-bag intima l’ordre à Sucre de les conduire jusqu’au silo, ce que ce dernier s’empressa de faire, sous la pression de l’arme que Bellick pointait dans son dos.
Sucre : Je vous jure que je ne sais pas ou il se trouve.
Bellick : avance !
Sucre : Ecoutez, sans ces papiers, je serais incapable de le trouver.
T-bag : Réfléchit un moment. Scofield t’as parlé d’un ranch, de deux initiales, un double K, qu’est ce que ça veux dire ?
Sucre : J’en sais rien moi.
Bellick : Laisse tomber T-bag, tu vois bien qu’il sert à rien, débarrassons nous de lui.
T-bag : Allons dans un coin plus tranquille…
Sucre : Eh ! Mais qu’est ce que vous faite ?
TB et B :…
Sucre : Eh les gars, je vous cause… attendez… attendez, je crois que je me rappel de quelque chose.
TB : On t’écoute !
Sucre : le double K, je crois que ça veux dire Karl Kokosing…
Bellick : T’es bien sur de toi ?
T-bag qui vient de remarquer un panneau, dont l’inscription correspondait à ce que Sucre venez de dire, remarqua aussi un petit plan qui désignait l’endroit exact. Il donna l’ordre à Bellick et Sucre de le suivre et dit :
TB : C’est le Ranch Karl Kokosing.
T-bag monta une petite colline, suivit des deux autres. Sucre était très inquiet, il savait que même s’il les aidait à retrouver l’argent de Westmorland, les deux autres le tuerait quand même, il devait à tout prit trouver une solution.
La fièvre avait pratiquement quitté le corps encore endolori de Sara, elle s’était à présent endormi, la fatigue avait vite fait de l’emporter. Michael la regardait dormir, il était si heureux de la voir, juste la devant lui. Ce n’était pas un rêve, il pouvait la toucher, sentir son odeur. Il s’allongea doucement prés d’elle, essayant de ne pas la réveiller. Il passa ensuite son bras autour d’elle et posa sa tête, tout prêt de la sienne. A présent plus rien n’avait d’importance, l’essentiel était la.
Michael : Je t’aime Sara.
Même en dormant, Sara parvient à faire échapper quelques mots de sa bouche « Moi aussi ».
Episode 30 – un nouveau départ
Michael se dépêcha de la rejoindre, il se jeta à terre et encercla de ses mains le Visage de Sara, les larmes qui n’avaient pas cessait de couler jusqu’alors avait un autre sens à présent. Sara était en vie, oui elle était vivante, malgré son état encore très faible, Michael esquissa un petit sourire expriment son soulagement.
Sara : Oh ! Mais que c’est-il passé et où suis-je ?
Michael : Chute Sara, c’est moi Michael…
Sara : Michael, c’est bien toi ?
Michael : Oui, ça va aller maintenant, je suis là.
Il l’a prend dans ses bras et la conduit lentement vers la cabine. À l’intérieur, il la déposa doucement sur le matelas qui faisait office de lit et s’assit à côté d’elle, puis entreprit de lui retirer son jean tout trempé, pour qu’elle se sente mieux, faisant très attention, n’oubliant pas sa blessure. Il attrapa une serviette et essuya son corps puis la recouvrit d’un drap pour préserver son intimité. Il la voyait tremblante de froid, il aurait voulut faire plus mais à cet endroit, il n’y avait rien pour la soulager. Il passa ensuite sa main sur son front et se rendit rapidement compte qu’elle avait de la fièvre. Il se leva précipitamment vers le petit coin cuisine de la cabine, retira son sweat qu’il arrosa d’eau fraîche, la froissa pour en faire une sorte de boule, retourna prés de Sara et déposa l’habille froid sur ses pieds espérant que cela suffirait à faire tomber la fièvre. Il était très inquiet, cela pouvait facilement se lire sur son visage et à ses mains tremblante de peur.
Susan se trouvait à présent face à Pedro, le regard qu’il posait sur elle réclamait clairement un rapport sur la situation. Elle ne savait pas vraiment comment le lui dire, ni comment il réagirait en apprenant que Sara s’était échappée, puis elle se dit qu’elle rattrapera le coup en le convainquant que la mort n’a pu que l’emportait dans une eau aussi froide.
Pedro : Te voyant ici, je suppose qu’elles sont là ?
Susan : Eh bien… il y eu… comment dire…
Pedro : Quoi ?
Susan (terrifiée) … Un petit changement de dernière minute…
Pedro : C'est-à-dire ?
Susan : (dit d’une voix très faible) Sara n’est pas là…
Pedro avait très bien entendu ce que Susan venait de dire, il ne la laissa même pas continuer que son visage vira à gauche quand il lui lança sa main en pleine face. Elle posa alors sa main sur la joue touchée, retournant son visage pour affronter le regard colérique de Pedro.
Susan : (hurlant) Elle s’est échappée, mais je n’ai rien pu faire…
Pedro : (Hurlant à son tour) Mais tu es complètement inconsciente, comment va-t-on faire maintenant pour que Scofield nous rejoigne ?
Susan : Il viendra, ne t’en fait pas pour ça.
Pedro l’attrapa par les cheveux lui expliquant clairement qu’il valait mieux pour elle que Michael se pointe au rendez-vous puis la relâcha. Elle connaissait parfaitement les conséquences que ce genre d’erreur pouvait engendrer.
Pedro : (Dit d’un ton sarcastique) Mais dis moi, comment est-ce que tu peux être sur qu’il viendra, si tu n’es même pas capable de garder un prisonnier ?
Susan : Si elle meurt, Michael ne le saura pas et si elle parvient, par je ne sais quelle miracle à le retrouver, elle lui dira pour l’autre prisonnière, donc dans n’importe quel cas, il sera la.
Pedro : vaudrait mieux pour ton petit cul que ça se passe comme ça.
Pedro se dirigea vers la pièce ou était enfermée Veronica, il ouvrit la porte et quand il entra, il constata qu’elle dormait. Il n’était pas aussi brutal que Susan, il sortit donc de la chambre la laissant dormir. Il aurait tout le temps de lui expliquer comment les choses devront se dérouler. Quand elle entendit la porte se refermer, Veronica tourna la tête, comme si elle voulait s’assurer que la personne qui avait fait intrusion ait bien quitté la pièce. Des larmes commençaient à perler son visage, qu’elle ne parvenait pas à ralentir.
T-bag et Bellick se trouvaient tout deux de chaque côté de sucre, le tenant avec vivacité par les bras. Les deux hommes étaient persuadés que Sucre mentait à propos de la documentation. T-bag intima l’ordre à Sucre de les conduire jusqu’au silo, ce que ce dernier s’empressa de faire, sous la pression de l’arme que Bellick pointait dans son dos.
Sucre : Je vous jure que je ne sais pas ou il se trouve.
Bellick : avance !
Sucre : Ecoutez, sans ces papiers, je serais incapable de le trouver.
T-bag : Réfléchit un moment. Scofield t’as parlé d’un ranch, de deux initiales, un double K, qu’est ce que ça veux dire ?
Sucre : J’en sais rien moi.
Bellick : Laisse tomber T-bag, tu vois bien qu’il sert à rien, débarrassons nous de lui.
T-bag : Allons dans un coin plus tranquille…
Sucre : Eh ! Mais qu’est ce que vous faite ?
TB et B :…
Sucre : Eh les gars, je vous cause… attendez… attendez, je crois que je me rappel de quelque chose.
TB : On t’écoute !
Sucre : le double K, je crois que ça veux dire Karl Kokosing…
Bellick : T’es bien sur de toi ?
T-bag qui vient de remarquer un panneau, dont l’inscription correspondait à ce que Sucre venez de dire, remarqua aussi un petit plan qui désignait l’endroit exact. Il donna l’ordre à Bellick et Sucre de le suivre et dit :
TB : C’est le Ranch Karl Kokosing.
T-bag monta une petite colline, suivit des deux autres. Sucre était très inquiet, il savait que même s’il les aidait à retrouver l’argent de Westmorland, les deux autres le tuerait quand même, il devait à tout prit trouver une solution.
La fièvre avait pratiquement quitté le corps encore endolori de Sara, elle s’était à présent endormi, la fatigue avait vite fait de l’emporter. Michael la regardait dormir, il était si heureux de la voir, juste la devant lui. Ce n’était pas un rêve, il pouvait la toucher, sentir son odeur. Il s’allongea doucement prés d’elle, essayant de ne pas la réveiller. Il passa ensuite son bras autour d’elle et posa sa tête, tout prêt de la sienne. A présent plus rien n’avait d’importance, l’essentiel était la.
Michael : Je t’aime Sara.
Même en dormant, Sara parvient à faire échapper quelques mots de sa bouche « Moi aussi ».
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
0% sadisme ah ouais c'est toi qui le dit
et Sucre, comment il va s'en sortir avec ces nazes qui le retiennent
Susan qui en prend plein la tête, ça change, c'est bien fait
Michaël qui est au petit soin pour Sara même si elle est encore mal au point, elle est en vie (pour le moment je me souviens de la réponse sur celui où je t'ai dit pour les 8 min sans oxygène )
superbe suite et vraiment dommage que sur ce fofo tu n'es pas autant de comms d'encouragements
alors je sais pas ce que je pourrais te demander ah oui LA SUITE
et Sucre, comment il va s'en sortir avec ces nazes qui le retiennent
Susan qui en prend plein la tête, ça change, c'est bien fait
Michaël qui est au petit soin pour Sara même si elle est encore mal au point, elle est en vie (pour le moment je me souviens de la réponse sur celui où je t'ai dit pour les 8 min sans oxygène )
superbe suite et vraiment dommage que sur ce fofo tu n'es pas autant de comms d'encouragements
alors je sais pas ce que je pourrais te demander ah oui LA SUITE
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
tinkerbel a écrit:0% sadisme ah ouais c'est toi qui le dit
et Sucre, comment il va s'en sortir avec ces nazes qui le retiennent
Susan qui en prend plein la tête, ça change, c'est bien fait
Michaël qui est au petit soin pour Sara même si elle est encore mal au point, elle est en vie (pour le moment je me souviens de la réponse sur celui où je t'ai dit pour les 8 min sans oxygène )
superbe suite et vraiment dommage que sur ce fofo tu n'es pas autant de comms d'encouragements
alors je sais pas ce que je pourrais te demander ah oui LA SUITE
Attends pour le 0% je parlais de MISA lol
et je n'ai pas mis de phrase à la fin
et en plus j'ai emmerdé Susan
c'est pas mal non, et à mon avis prochaine suite ou au pire la suivante (jspr) THE SCENE...
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:tinkerbel a écrit:0% sadisme ah ouais c'est toi qui le dit
et Sucre, comment il va s'en sortir avec ces nazes qui le retiennent
Susan qui en prend plein la tête, ça change, c'est bien fait
Michaël qui est au petit soin pour Sara même si elle est encore mal au point, elle est en vie (pour le moment je me souviens de la réponse sur celui où je t'ai dit pour les 8 min sans oxygène )
superbe suite et vraiment dommage que sur ce fofo tu n'es pas autant de comms d'encouragements
alors je sais pas ce que je pourrais te demander ah oui LA SUITE
Attends pour le 0% je parlais de MISA lol
et je n'ai pas mis de phrase à la fin
et en plus j'ai emmerdé Susan
c'est pas mal non, et à mon avis prochaine suite ou au pire la suivante (jspr) THE SCENE...
alors que Sara ne va pas encore très bien, c'est une technique pour faire baisser la température Michaël exagère il pourrait attendre
sinon tu penses que demain pour la suite, ce sera bon
bonne nuit et gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
demain oui c'est possible.
Et qui te dit que c'est lui qui va faire CA lol...
Et qui te dit que c'est lui qui va faire CA lol...
Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Islemmedemars a écrit:demain oui c'est possible.
Et qui te dit que c'est lui qui va faire CA lol...
alors c'est Sara, c'est vrai que ce n'est pas une gentille fille, elle va profiter de Michaël
peu importe ils seront tous les deux consentents
à demain alors
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
tinkerbel a écrit:Islemmedemars a écrit:demain oui c'est possible.
Et qui te dit que c'est lui qui va faire CA lol...
alors c'est Sara, c'est vrai que ce n'est pas une gentille fille, elle va profiter de Michaël
peu importe ils seront tous les deux consentents
à demain alors
alors la suite est où, demain est passé depuis 12 min
à tout à l'heure
gros
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: SAVE YOUR BROTHER AND RUN...
Je fais une pause la, je réfléchit à une bonne suite bien sadique mdrrrr
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