confrontation...
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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continue ou pas ?
Re: confrontation...
tinkerbel a écrit: Sara la pauvre, qui croit qu'il la trompe, enfin Michaël a fait exprès de prendre Véro dans ses bras
non c'est Véro qui prend Michael dans ses bras pour rendre jalouse Sara pas le contraire
Bon alors rassurer que Véro ne soit que sa soeur ? En tout cas merci pour vos com's
Sinon Sosam contente de découvre ton OS, il m'intrigue hâte de lire la suite
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Re: confrontation...
sarascofield a écrit:tinkerbel a écrit: Sara la pauvre, qui croit qu'il la trompe, enfin Michaël a fait exprès de prendre Véro dans ses bras
non c'est Véro qui prend Michael dans ses bras pour rendre jalouse Sara pas le contraire
Bon alors rassurer que Véro ne soit que sa soeur ? En tout cas merci pour vos com's
Sinon Sosam contente de découvre ton OS, il m'intrigue hâte de lire la suite
Oui à quand la suite sarascofield
Je veux voir ce qu'il va se passer pour MISA Cette véro je l'aime pas c'est pas gentil ce qu'elle a fait et je comprends Sara La pauvre qui a même peur de l'orage
Viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite une suite STP
sarah-scofield- Assistant(e) du Dr Tancredi
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Re: confrontation...
le gars, Vins, il va la violer
Susan
Sosam66, tu sais ce qu'il te reste à faire
La suite stp
et la suite aussi pour toi Sarascofield
Susan
Sosam66, tu sais ce qu'il te reste à faire
La suite stp
et la suite aussi pour toi Sarascofield
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Re: confrontation...
Voici la suite
Gretchen: Admire le spectacle en plus on a le son, Sara et Vins ont une altercation on dirait! Il est tellement beau et d'une telle fougue quand il est énervé, j'ai déjà testé et j'en ai des frissons.
Michael regarde l'écran du téléphone
Sara: Vous n'êtes qu'une ordure! Pourquoi faites vous subir ça aux femmes?
Vins: Disons que je trouve une femme très belle lorsqu'elle est malmenée un peu et voir le sang qui coule sur leur peau si blanche sa me met dans tout mes états.
Sara: Vous êtes cinglé! Elle attend un peu et lui demande Pourquoi j'ai entendus des cris tout à l'heure?
Vins: Tu n'es pas la seule ici, il y a plusieurs jeunes femmes toute d'une beauté incomparable.
Sara: Vous me répugnez vous n'êtes qu'un malade.
Michael ne quitte pas l'écran et il serre fort son poing.
Vins s'approche d'elle : Ce soir nous souhaitons ta venu parmis nous, c'est pourquoi je dois te préparer, tu dois faire bonne impression, les autres filles ne t'on pas encore vu.
Sara crie: Ne me touchez pas!
Vins la frappe : Règle n°3 Ne me repousse pas.
Michael devient fou à la vu de ce geste, il regarde Gretchen et s'approche d'elle pour la frapper.
Gretchen: Oh regardez Sara n'a vraiment pas froid aux yeux!
Michael regarde a nouveau le portable
Sara: Vous n'êtes qu'un lâche!
Vins met son doigt sur ses lèvres: Chut, chut
Sara: Sa vous excite de frapper les femmes, je suis sure que quand vous étiez petit à la récré les garçons vous frappez. Et vous pleuriez en disant je veux ma maman. Les filles se moquaient alors de vous, vous traitant de faible de lache. Et maintenant vous vous vengez.
Vins crie: Sa suffit et il la refrappe avec plus de force.
A première vu Vins vient de fracturer le nez de Sara elle saigne et à les yeux en pleurs
Michael sent son coeur battre la chamade il veut pouvoir faire souffrir ce salaud, il voit Sara qui a mal et qui se bat contre cette homme avec des paroles alors que celui-ci riposte en donnant des violents coups au visage.
Sara: Espèce de salaud
Il l'a refrappe avec une matraque à la tête.
Michael crie: Non, Sara, ma Sara. Il se retourne vers Gretchen la prend par le cou et la plaque contre le mur l'étouffant de plus en plus il lui dit: Je vais le tuer et si vous ne m'emmenez pas à lui je vous tuerai aussi.
Gretchen suffoque et fait signe que oui
Il dessere sa main juste assez pour qu'elle puisse parler: Je vais vous emmenez.
Gretchen est curieuse de voir le duel Vins/Michael.
Michael grimpe dans la voiture de Gretchen et dit: Si vous me tendez un piège je vous tue. C'est compris!
Gretchen hoche la tête
Dans la voiture Michael ne lache pas Sara des yeux, elle est inconsciente et Vins en a profité pour lui enfiler la robe verte de bienvenue. Il dessine ses courbes de ses mains et Michael veut lui tordre le cou et lui casser tout ses doigts.
La voiture s'arrête et Michael descend en trombe vers la maison...
La suite vous la voulez???
SVP J'attends vos coms, ne m'oubliez pas merci
Gretchen: Admire le spectacle en plus on a le son, Sara et Vins ont une altercation on dirait! Il est tellement beau et d'une telle fougue quand il est énervé, j'ai déjà testé et j'en ai des frissons.
Michael regarde l'écran du téléphone
Sara: Vous n'êtes qu'une ordure! Pourquoi faites vous subir ça aux femmes?
Vins: Disons que je trouve une femme très belle lorsqu'elle est malmenée un peu et voir le sang qui coule sur leur peau si blanche sa me met dans tout mes états.
Sara: Vous êtes cinglé! Elle attend un peu et lui demande Pourquoi j'ai entendus des cris tout à l'heure?
Vins: Tu n'es pas la seule ici, il y a plusieurs jeunes femmes toute d'une beauté incomparable.
Sara: Vous me répugnez vous n'êtes qu'un malade.
Michael ne quitte pas l'écran et il serre fort son poing.
Vins s'approche d'elle : Ce soir nous souhaitons ta venu parmis nous, c'est pourquoi je dois te préparer, tu dois faire bonne impression, les autres filles ne t'on pas encore vu.
Sara crie: Ne me touchez pas!
Vins la frappe : Règle n°3 Ne me repousse pas.
Michael devient fou à la vu de ce geste, il regarde Gretchen et s'approche d'elle pour la frapper.
Gretchen: Oh regardez Sara n'a vraiment pas froid aux yeux!
Michael regarde a nouveau le portable
Sara: Vous n'êtes qu'un lâche!
Vins met son doigt sur ses lèvres: Chut, chut
Sara: Sa vous excite de frapper les femmes, je suis sure que quand vous étiez petit à la récré les garçons vous frappez. Et vous pleuriez en disant je veux ma maman. Les filles se moquaient alors de vous, vous traitant de faible de lache. Et maintenant vous vous vengez.
Vins crie: Sa suffit et il la refrappe avec plus de force.
A première vu Vins vient de fracturer le nez de Sara elle saigne et à les yeux en pleurs
Michael sent son coeur battre la chamade il veut pouvoir faire souffrir ce salaud, il voit Sara qui a mal et qui se bat contre cette homme avec des paroles alors que celui-ci riposte en donnant des violents coups au visage.
Sara: Espèce de salaud
Il l'a refrappe avec une matraque à la tête.
Michael crie: Non, Sara, ma Sara. Il se retourne vers Gretchen la prend par le cou et la plaque contre le mur l'étouffant de plus en plus il lui dit: Je vais le tuer et si vous ne m'emmenez pas à lui je vous tuerai aussi.
Gretchen suffoque et fait signe que oui
Il dessere sa main juste assez pour qu'elle puisse parler: Je vais vous emmenez.
Gretchen est curieuse de voir le duel Vins/Michael.
Michael grimpe dans la voiture de Gretchen et dit: Si vous me tendez un piège je vous tue. C'est compris!
Gretchen hoche la tête
Dans la voiture Michael ne lache pas Sara des yeux, elle est inconsciente et Vins en a profité pour lui enfiler la robe verte de bienvenue. Il dessine ses courbes de ses mains et Michael veut lui tordre le cou et lui casser tout ses doigts.
La voiture s'arrête et Michael descend en trombe vers la maison...
La suite vous la voulez???
SVP J'attends vos coms, ne m'oubliez pas merci
sosam66- Kellerman my friend!
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Re: confrontation...
si c'est pas Michaël qui le tue, c'est moi
super suite et Sara waou quelle femme courageuse
vite la suite
super suite et Sara waou quelle femme courageuse
vite la suite
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
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Re: confrontation...
Ok, je me lance aussi. C'est un OS (dun seul volet) à la différence que le thème de Bed Break m'inspire tout autant, donc j'ai osé déroger à la consigne et faire un mix des deux thèmes. J'espère que vous aimerez le résultat.
Je soulève légèrement une paupière, puis l’autre. Il fait encore nuit. Je soupire. Je referme les yeux, tentant vainement de me rendormir. Je tourne et me retourne sans cesse dans le lit. Rien à faire, je ne trouve plus le sommeil. Je me redresse pour regarder l’heure. Le réveil posé nonchalamment sur ma table de nuit, située à côté de mon lit, indique 4 : 00 am. Je soupire de nouveau, constatant avec lassitude, que je n’ai dormi que deux heures. Je me mets sur le dos et observe cette pièce qui m’entoure, comme à la recherche d’un détail changé. Rien, rien n’a changé. Pourquoi serait-ce le cas ?
Je me mets, par la suite, à fixer longuement le plafond, ce plafond blanc, tout blanc…tiens, une toile d’araignée, il faudrait que je songe à l’épousseter ce mur.
Je jette de nouveau un coup d’œil au réveil. 4 : 01 am.
Je me sens éreintée et pourtant je n’arrive pas à dormir. Pourquoi ?
Je passe énergiquement mes mains sur mon visage et réalise que les larmes que j’ai versé inlassablement durant ces dernières heures, jusqu’à m’endormir d’épuisement, ont séché. Mon cœur et ma gorge se serrent à cette pensée.
« Tel père, telle fille. » Ces mots qu’il a prononcés raisonnent alors à mon esprit. En repensant à notre dispute, les larmes me montent aux yeux, je tente de me raisonner et de chasser non sans peine, la colère mais surtout l’imposante peine qui me ressaisissent. Tous ces mots que nous nous sommes dit sans vraiment les penser…
Flash back
Il est 22 heures, les portes de l’hôpital s’ouvrent sous mon passage. Mon tour de garde est enfin terminé. Après 48h non-stop, je vais enfin pouvoir regagner mon appartement, ma salle de bain puis mon lit pour une bonne nuit de sommeil, bien mérité. Je lève la tête et constate que le ciel est chargé de nuages gris. Il ne va certainement pas tarder à pleuvoir des cordes, d’ailleurs la température extérieure s’en ressent déjà, je grelotte. Je m’empresse alors de bien refermer les pans de mon manteau sur ma poitrine et me dirige jusqu’à ma voiture, où je me hâte d’enclencher le chauffage. Après quelques minutes pendant lesquelles je m’évertue à chercher une station de radio qui diffuse une mélodie assez rythmée pour me maintenir éveillée le temps du circuit, je finis par en trouver une bonne. Une station qui diffuse une chanson que j’adore, bien qu’elle ne soit pas des plus récentes.
( https://www.youtube.com/watch?v=pnkvhi1XOR8 - Vanessa Carlton / A thousand miles)
Je ne peux m’empêcher de sourire en entendant les premières notes se jouer. Je démarre alors et prends la route en direction de chez moi, en m’obligeant à chantonner et garder les yeux bien ouverts. Et tandis que une demi-heure plus tard, je pénètre enfin le parking sous terrain de mon immeuble, je soupire à l’idée que dans quelques minutes, je vais pouvoir m’affaler devant la télé, bien au chaud, autour d’une pizza merguez et pepperoni. J’enlève la clé du contact et m’apprête à descendre de voiture quand la sonnerie de mon téléphone parvint, du fond de mon sac, à mon oreille. Je le saisis avec une légère torpeur mais ne peut m’empêcher de sourire en voyant le nom qui s’affiche à l’écran.
Sara, en souriant : Scofield…
Michael : Bonsoir docteur.
Sara : Ah, ça me fait du bien de t’entendre. Tu passes me voir ce soir ?
Michael : Bien sûr qu’on se voit.
Sara, soupirant : Tant mieux parce que j’aurais bien besoin d’un bon massage.
Michael, souriant : Dure journée ?
Sara : Ben, disons que je ne suis pas mécontente de pouvoir rentrer à la maison.
Michael : Je vois. Pour le massage, on verra au retour, si tu veux.
Sara, tout en fermant sa voiture et en se dirigeant vers l’ascenseur : Au retour de quoi?
Michael : Non, tu plaisantes ?
Sara, embarrassée : Je…euh…non, désolée.
Michael : Mais enfin, Sara, c’est ce soir le meeting inter entreprise organisée par ma boîte.
Sara, dans l’ascenseur : Oh désolée. Tu sais, avec ces deux longues et dures journées que j’ai eu, ça m’est complètement sorti de la tête.
Michael : Bon, alors je vais devoir te laisser un peu plus de temps que prévu pour te refaire et te préparer alors. Vas-y, file sous la douche, fais toi la plus belle et je passe te prendre dans une demi-heure.
Sara, tout en ouvrant la porte de son appartement, soupira bruyamment.
Michael : Sara ? Qu’est-ce qu’il y a ?
Sara : Je… je ne sais pas si… je suis vraiment fatiguée, Michael.
Michael : Ok, je prends quelques contacts parmi les collaborateurs, on prend quelques verres avec mes collègues et on rentre.
Sara, soupirant : Michael, ça m’ennuie réellement mais je ne crois pas avoir la force de t’accompagner ce soir.
Michael : Sara…
Michael : Comprends-moi Michael, je n’ai pas fermé l’œil depuis deux jours, j’ai du voir une centaine de patients, assister un confrère sur une intervention lourde en chirurgie qui ne s’est pas bien terminée, j’ai du assurer une intervention dans la cellule universitaire de l’hôpital pour les étudiants en 2e année, batailler pour la présentation de mon projet d’ouverture d’un mini dispensaire pédiatrique accolé dans une aile déserte du CHU et gérer la crise avec les infirmières, qui estiment que l’équipe des médecins ne leur accorde pas assez d’égards. Et c’est à peine si j’ai pris le temps de manger un morceau. Donc ça m’embête sincèrement mais je n’aurai pas la force, ni l’envie à vrai dire, de sortir ce soir et faire bonne figure devant tes collègues.
Michael : Sara, je comprends tout ça, mais tu sais combien je tiens à ce que tu sois présente. Ca fait des mois que je prépare ce meeting, ça va certainement être un grand coup pour la boîte et mes futurs collaborateurs tiennent vraiment à te rencontrer.
Sara, sur un ton légèrement agacé : Me rencontrer moi ou la fille du gouverneur ?
Michael : Sara…
Sara, lasse : Michael, je suis trop fatiguée, je ne serai pas de bonne compagnie et en plus, je suis certaine que tu sauras très bien t’en sortir sans moi.
Michael, agacé : Tsss, je me souviendrai de cette excuse lors de tes prochaines soirées.
Sara, agacée à son tour : Arrête, Michael, tu sais que ce n’est pas une excuse.
Michael, élevant le ton : Non, je ne sais rien, Sara. Tout ce que je vois, c’est que pour une fois qu’il ne s’agit pas de toi ou de tes soi disantes soirées caritatives, eh bien, tu es trop fatiguée pour m’accompagner.
Sara : « Moi ou mes soi disantes soirées caritatives» ?? Tu m’excuseras de ne pas vouloir me forcer à passer une soirée entière avec des inconnus intellos tout aussi hypocrites les uns que les autres, qui se sourient et se serrent la main dans l’unique but de mieux entuber l’autre.
Michael : Des intellos hypocrites ? C’est donc ainsi que tu me décris ?
Sara : Oh, arrête Michael, ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit.
Michael : Mais ça ne t’empêche pas de le penser, hein Sara ?
Sara : Michael, je crois qu’on devrait s’arrêter avant de dire des choses qu’on pourrait regretter.
Je pénètre dans l’appartement sans prendre la peine d’allumer la lumière…non, bizarrement, je n’en ai pas envie. Je balance mes affaires sur le divan, en bougonnant puis me dirige vers la cuisine, plongée dans le noir, maintenant tant bien que mal le téléphone collé à mon oreille.
Michael : Tu veux que je te dise ce que je pense réellement de tout ça ?
Sara : Tout ça, quoi ?
Michael : De ton travail, Sara !
Sara : Ben, voyons, tu vas me reprocher de travailler, c’est ça ?
Michael : Non, Sara, le problème, c’est que depuis quelques mois, tu fais passer ton travail avant tout et tout le monde. Remarque, en y réfléchissant bien, j’aurais du m’y attendre…
Sara, sur la défensive : Que veux-tu dire ?
Michael : C’est pourtant évident, tel père telle fille. Quoiqu’on en dise, bon sang ne peut mentir.
Sara, choquée : Michael !!!!
Michael : Oui, Sara, la vérité, c’est que tu as beau avoir essayer de te distinguer de lui, tu es aussi égoïste que ton père.
Sara : Et c’est l’homme qui est arrivé là où il en est grâce à de l’argent sal, qui dit ça ?
Michael : Sara… tu sais très bien que je ne l’ai pas voulu, cette situation.
Sara, haussant le ton : Moi non plus ! Bonne soirée Michael.
La colère parlant pour moi, sans même lui laisser le temps de répondre quoique ce soit, je lui raccroche dessus et referme le frigo, d’un geste de rage. Le bruit raisonne dans tout l’appartement tel une détonation. Est-ce la colère, la culpabilité, la honte ou la peine qui fait que mes jambes flageolent, que toutes forces semblent m’abandonner ?
Je me laisse lentement glisser le long de la porte froide du réfrigérateur, laissant couler des larmes sur mes joues. Les poings fermés cachant mon visage baigné de larmes, je me mets à le frapper encore et encore, rageant contre lui, contre mon père, mais surtout contre moi-même.
Fin du flash back.
En y repensant, je ne saurais dire combien de temps je suis restée ainsi, assise par terre, à pleurer toutes les larmes de mon corps. Je ne sais non plus où j’ai trouvé la force de me porter lourdement jusqu’à mon lit, où épuisée de toutes ces larmes versées, j’ai fini par m’endormir.
Je soupire. S’il savait combien je m’en veux. C’est vrai quoi, pourquoi avoir refuser de l’accompagner à cette soirée ? Pendant des années j’y ai été contrainte et forcée d’y accompagner mon père, une fois de plus ou de moins n’y aurait rien changé. Et puis oubliées ces heures, appuyée gentiment contre le mur, m’ennuyant, adressant un vague sourire de pure politesse à quelques hommes défilant tout autour de moi. Non, ce soir, j’aurais été au bras de l’homme le plus adorable qui soit. Et tous ces hommes qui ne demandaient qu’à me rencontrer, Michael se serait certainement montrer d’autant plus fier d’être celui qui m’accompagne, car je sais qu’au fond, il n’appartient pas à ce monde, il n’est pas de ces hommes. Lui est sincère, loyal, honnête et accepte avec abnégation toute responsabilité qu’il lui est accordée… y compris celle de m’accompagner à tous les galas de charité qu’organisent l’hôpital. Il a raison ! Pour une fois, qu’il me le demandait, j’aurais du faire l’effort, pour toutes les fois où il s’est investi corps et âme pour moi et toutes les causes que j’ai défendu jusqu’alors. Je… peut-être que je devrais l’appeler ? Quelle heure est-il ? Je tourne la tête vers le réveil, il est 4 :45 am. Il doit probablement être rentré et endormi, à l’heure qu’il est. Je le sais pourtant je me surprends à saisir mon téléphone et à composer son numéro. Après tout ce qu’on s’est dit, je comprendrais qu’il refuse de décrocher. Oh… ça sonne. S’il décroche, que vais-je lui dire ?
Michael, la voix rauque : Allo ?
Sara, gênée : Michael… hum, c’est moi !
Michael : …
Sara : Tu dormais ?
Michael : Non. Ca fait deux heures que j’essaie, mais que je n’arrive pas à trouver le sommeil.
Alors, lui non plus, n’arrivait pas à dormir. Je ne répondis rien, mais un sourire timide s’afficha malgré moi sur mon visage.
Michael, soupirant : Sara… concernant ce qu’on s’est dit ce soir…
Je sens bien à l’émotion dans sa voix, qu’il s’en veut et qu’il éprouve des difficultés à rassembler ses idées. Ca me fait mal car je ressens à ce moment même le même sentiment de culpabilité et de profonde tristesse que lui.
Michael : Je … euh… écoute, tant pis pour ma déveine, trop de sentiments en moi se déchaînent. J’ai beaucoup réfléchi et je sais que je t’ai fait mille fois plus de peine ce soir, que de part le passé. Je voulais que tu saches que je ne pense pas ce que je t’ai dit et je comprendrais que ton amour se soit changé en haine. Mais … sans toi, ma vie est un enfer, je ne peux pas t'oublier. Comment t’oublier alors que je ne suis même pas capable de m’endormir, si je ne t’ai pas à mes côtés ? Pour mon plus grand malheur, et ça, je le porterai quoique je fasse toute ma vie, dans mes veines s'écoule un sang empoisonné, par nombre d’erreurs qui t'ont tourmentés. Je sais qu'il est trop tard maintenant pour …
Il prend une profonde respiration.
Michael : Je regrette ! [après une seconde d’hésitation] et…cette soirée était ennuyante, sans toi.
Un silence s’installe alors entre nous, nous permettant l’un comme l’autre, de rassembler nos idées. Je réfléchis à tout ce qu’il vient de me dire et je suis … comment dire ? Plus que touchée ! Je ne peux m’empêcher de rougir et de sourire. Alors je me décide à briser le silence en lui disant la seule chose qui me vient à l’esprit…
Michael/Sara, d’une même voix : Je t’aime.
« Pardonne-moi »
Je soulève légèrement une paupière, puis l’autre. Il fait encore nuit. Je soupire. Je referme les yeux, tentant vainement de me rendormir. Je tourne et me retourne sans cesse dans le lit. Rien à faire, je ne trouve plus le sommeil. Je me redresse pour regarder l’heure. Le réveil posé nonchalamment sur ma table de nuit, située à côté de mon lit, indique 4 : 00 am. Je soupire de nouveau, constatant avec lassitude, que je n’ai dormi que deux heures. Je me mets sur le dos et observe cette pièce qui m’entoure, comme à la recherche d’un détail changé. Rien, rien n’a changé. Pourquoi serait-ce le cas ?
Je me mets, par la suite, à fixer longuement le plafond, ce plafond blanc, tout blanc…tiens, une toile d’araignée, il faudrait que je songe à l’épousseter ce mur.
Je jette de nouveau un coup d’œil au réveil. 4 : 01 am.
Je me sens éreintée et pourtant je n’arrive pas à dormir. Pourquoi ?
Je passe énergiquement mes mains sur mon visage et réalise que les larmes que j’ai versé inlassablement durant ces dernières heures, jusqu’à m’endormir d’épuisement, ont séché. Mon cœur et ma gorge se serrent à cette pensée.
« Tel père, telle fille. » Ces mots qu’il a prononcés raisonnent alors à mon esprit. En repensant à notre dispute, les larmes me montent aux yeux, je tente de me raisonner et de chasser non sans peine, la colère mais surtout l’imposante peine qui me ressaisissent. Tous ces mots que nous nous sommes dit sans vraiment les penser…
Flash back
Il est 22 heures, les portes de l’hôpital s’ouvrent sous mon passage. Mon tour de garde est enfin terminé. Après 48h non-stop, je vais enfin pouvoir regagner mon appartement, ma salle de bain puis mon lit pour une bonne nuit de sommeil, bien mérité. Je lève la tête et constate que le ciel est chargé de nuages gris. Il ne va certainement pas tarder à pleuvoir des cordes, d’ailleurs la température extérieure s’en ressent déjà, je grelotte. Je m’empresse alors de bien refermer les pans de mon manteau sur ma poitrine et me dirige jusqu’à ma voiture, où je me hâte d’enclencher le chauffage. Après quelques minutes pendant lesquelles je m’évertue à chercher une station de radio qui diffuse une mélodie assez rythmée pour me maintenir éveillée le temps du circuit, je finis par en trouver une bonne. Une station qui diffuse une chanson que j’adore, bien qu’elle ne soit pas des plus récentes.
( https://www.youtube.com/watch?v=pnkvhi1XOR8 - Vanessa Carlton / A thousand miles)
Je ne peux m’empêcher de sourire en entendant les premières notes se jouer. Je démarre alors et prends la route en direction de chez moi, en m’obligeant à chantonner et garder les yeux bien ouverts. Et tandis que une demi-heure plus tard, je pénètre enfin le parking sous terrain de mon immeuble, je soupire à l’idée que dans quelques minutes, je vais pouvoir m’affaler devant la télé, bien au chaud, autour d’une pizza merguez et pepperoni. J’enlève la clé du contact et m’apprête à descendre de voiture quand la sonnerie de mon téléphone parvint, du fond de mon sac, à mon oreille. Je le saisis avec une légère torpeur mais ne peut m’empêcher de sourire en voyant le nom qui s’affiche à l’écran.
Sara, en souriant : Scofield…
Michael : Bonsoir docteur.
Sara : Ah, ça me fait du bien de t’entendre. Tu passes me voir ce soir ?
Michael : Bien sûr qu’on se voit.
Sara, soupirant : Tant mieux parce que j’aurais bien besoin d’un bon massage.
Michael, souriant : Dure journée ?
Sara : Ben, disons que je ne suis pas mécontente de pouvoir rentrer à la maison.
Michael : Je vois. Pour le massage, on verra au retour, si tu veux.
Sara, tout en fermant sa voiture et en se dirigeant vers l’ascenseur : Au retour de quoi?
Michael : Non, tu plaisantes ?
Sara, embarrassée : Je…euh…non, désolée.
Michael : Mais enfin, Sara, c’est ce soir le meeting inter entreprise organisée par ma boîte.
Sara, dans l’ascenseur : Oh désolée. Tu sais, avec ces deux longues et dures journées que j’ai eu, ça m’est complètement sorti de la tête.
Michael : Bon, alors je vais devoir te laisser un peu plus de temps que prévu pour te refaire et te préparer alors. Vas-y, file sous la douche, fais toi la plus belle et je passe te prendre dans une demi-heure.
Sara, tout en ouvrant la porte de son appartement, soupira bruyamment.
Michael : Sara ? Qu’est-ce qu’il y a ?
Sara : Je… je ne sais pas si… je suis vraiment fatiguée, Michael.
Michael : Ok, je prends quelques contacts parmi les collaborateurs, on prend quelques verres avec mes collègues et on rentre.
Sara, soupirant : Michael, ça m’ennuie réellement mais je ne crois pas avoir la force de t’accompagner ce soir.
Michael : Sara…
Michael : Comprends-moi Michael, je n’ai pas fermé l’œil depuis deux jours, j’ai du voir une centaine de patients, assister un confrère sur une intervention lourde en chirurgie qui ne s’est pas bien terminée, j’ai du assurer une intervention dans la cellule universitaire de l’hôpital pour les étudiants en 2e année, batailler pour la présentation de mon projet d’ouverture d’un mini dispensaire pédiatrique accolé dans une aile déserte du CHU et gérer la crise avec les infirmières, qui estiment que l’équipe des médecins ne leur accorde pas assez d’égards. Et c’est à peine si j’ai pris le temps de manger un morceau. Donc ça m’embête sincèrement mais je n’aurai pas la force, ni l’envie à vrai dire, de sortir ce soir et faire bonne figure devant tes collègues.
Michael : Sara, je comprends tout ça, mais tu sais combien je tiens à ce que tu sois présente. Ca fait des mois que je prépare ce meeting, ça va certainement être un grand coup pour la boîte et mes futurs collaborateurs tiennent vraiment à te rencontrer.
Sara, sur un ton légèrement agacé : Me rencontrer moi ou la fille du gouverneur ?
Michael : Sara…
Sara, lasse : Michael, je suis trop fatiguée, je ne serai pas de bonne compagnie et en plus, je suis certaine que tu sauras très bien t’en sortir sans moi.
Michael, agacé : Tsss, je me souviendrai de cette excuse lors de tes prochaines soirées.
Sara, agacée à son tour : Arrête, Michael, tu sais que ce n’est pas une excuse.
Michael, élevant le ton : Non, je ne sais rien, Sara. Tout ce que je vois, c’est que pour une fois qu’il ne s’agit pas de toi ou de tes soi disantes soirées caritatives, eh bien, tu es trop fatiguée pour m’accompagner.
Sara : « Moi ou mes soi disantes soirées caritatives» ?? Tu m’excuseras de ne pas vouloir me forcer à passer une soirée entière avec des inconnus intellos tout aussi hypocrites les uns que les autres, qui se sourient et se serrent la main dans l’unique but de mieux entuber l’autre.
Michael : Des intellos hypocrites ? C’est donc ainsi que tu me décris ?
Sara : Oh, arrête Michael, ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit.
Michael : Mais ça ne t’empêche pas de le penser, hein Sara ?
Sara : Michael, je crois qu’on devrait s’arrêter avant de dire des choses qu’on pourrait regretter.
Je pénètre dans l’appartement sans prendre la peine d’allumer la lumière…non, bizarrement, je n’en ai pas envie. Je balance mes affaires sur le divan, en bougonnant puis me dirige vers la cuisine, plongée dans le noir, maintenant tant bien que mal le téléphone collé à mon oreille.
Michael : Tu veux que je te dise ce que je pense réellement de tout ça ?
Sara : Tout ça, quoi ?
Michael : De ton travail, Sara !
Sara : Ben, voyons, tu vas me reprocher de travailler, c’est ça ?
Michael : Non, Sara, le problème, c’est que depuis quelques mois, tu fais passer ton travail avant tout et tout le monde. Remarque, en y réfléchissant bien, j’aurais du m’y attendre…
Sara, sur la défensive : Que veux-tu dire ?
Michael : C’est pourtant évident, tel père telle fille. Quoiqu’on en dise, bon sang ne peut mentir.
Sara, choquée : Michael !!!!
Michael : Oui, Sara, la vérité, c’est que tu as beau avoir essayer de te distinguer de lui, tu es aussi égoïste que ton père.
Sara : Et c’est l’homme qui est arrivé là où il en est grâce à de l’argent sal, qui dit ça ?
Michael : Sara… tu sais très bien que je ne l’ai pas voulu, cette situation.
Sara, haussant le ton : Moi non plus ! Bonne soirée Michael.
La colère parlant pour moi, sans même lui laisser le temps de répondre quoique ce soit, je lui raccroche dessus et referme le frigo, d’un geste de rage. Le bruit raisonne dans tout l’appartement tel une détonation. Est-ce la colère, la culpabilité, la honte ou la peine qui fait que mes jambes flageolent, que toutes forces semblent m’abandonner ?
Je me laisse lentement glisser le long de la porte froide du réfrigérateur, laissant couler des larmes sur mes joues. Les poings fermés cachant mon visage baigné de larmes, je me mets à le frapper encore et encore, rageant contre lui, contre mon père, mais surtout contre moi-même.
Fin du flash back.
En y repensant, je ne saurais dire combien de temps je suis restée ainsi, assise par terre, à pleurer toutes les larmes de mon corps. Je ne sais non plus où j’ai trouvé la force de me porter lourdement jusqu’à mon lit, où épuisée de toutes ces larmes versées, j’ai fini par m’endormir.
Je soupire. S’il savait combien je m’en veux. C’est vrai quoi, pourquoi avoir refuser de l’accompagner à cette soirée ? Pendant des années j’y ai été contrainte et forcée d’y accompagner mon père, une fois de plus ou de moins n’y aurait rien changé. Et puis oubliées ces heures, appuyée gentiment contre le mur, m’ennuyant, adressant un vague sourire de pure politesse à quelques hommes défilant tout autour de moi. Non, ce soir, j’aurais été au bras de l’homme le plus adorable qui soit. Et tous ces hommes qui ne demandaient qu’à me rencontrer, Michael se serait certainement montrer d’autant plus fier d’être celui qui m’accompagne, car je sais qu’au fond, il n’appartient pas à ce monde, il n’est pas de ces hommes. Lui est sincère, loyal, honnête et accepte avec abnégation toute responsabilité qu’il lui est accordée… y compris celle de m’accompagner à tous les galas de charité qu’organisent l’hôpital. Il a raison ! Pour une fois, qu’il me le demandait, j’aurais du faire l’effort, pour toutes les fois où il s’est investi corps et âme pour moi et toutes les causes que j’ai défendu jusqu’alors. Je… peut-être que je devrais l’appeler ? Quelle heure est-il ? Je tourne la tête vers le réveil, il est 4 :45 am. Il doit probablement être rentré et endormi, à l’heure qu’il est. Je le sais pourtant je me surprends à saisir mon téléphone et à composer son numéro. Après tout ce qu’on s’est dit, je comprendrais qu’il refuse de décrocher. Oh… ça sonne. S’il décroche, que vais-je lui dire ?
Michael, la voix rauque : Allo ?
Sara, gênée : Michael… hum, c’est moi !
Michael : …
Sara : Tu dormais ?
Michael : Non. Ca fait deux heures que j’essaie, mais que je n’arrive pas à trouver le sommeil.
Alors, lui non plus, n’arrivait pas à dormir. Je ne répondis rien, mais un sourire timide s’afficha malgré moi sur mon visage.
Michael, soupirant : Sara… concernant ce qu’on s’est dit ce soir…
Je sens bien à l’émotion dans sa voix, qu’il s’en veut et qu’il éprouve des difficultés à rassembler ses idées. Ca me fait mal car je ressens à ce moment même le même sentiment de culpabilité et de profonde tristesse que lui.
Michael : Je … euh… écoute, tant pis pour ma déveine, trop de sentiments en moi se déchaînent. J’ai beaucoup réfléchi et je sais que je t’ai fait mille fois plus de peine ce soir, que de part le passé. Je voulais que tu saches que je ne pense pas ce que je t’ai dit et je comprendrais que ton amour se soit changé en haine. Mais … sans toi, ma vie est un enfer, je ne peux pas t'oublier. Comment t’oublier alors que je ne suis même pas capable de m’endormir, si je ne t’ai pas à mes côtés ? Pour mon plus grand malheur, et ça, je le porterai quoique je fasse toute ma vie, dans mes veines s'écoule un sang empoisonné, par nombre d’erreurs qui t'ont tourmentés. Je sais qu'il est trop tard maintenant pour …
Il prend une profonde respiration.
Michael : Je regrette ! [après une seconde d’hésitation] et…cette soirée était ennuyante, sans toi.
Un silence s’installe alors entre nous, nous permettant l’un comme l’autre, de rassembler nos idées. Je réfléchis à tout ce qu’il vient de me dire et je suis … comment dire ? Plus que touchée ! Je ne peux m’empêcher de rougir et de sourire. Alors je me décide à briser le silence en lui disant la seule chose qui me vient à l’esprit…
Michael/Sara, d’une même voix : Je t’aime.
Savannah Scofield- Membre de la thérapie avec Sara
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Localisation : Sous le soleil des Antilles
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Re: confrontation...
OUlala franchement super ton OS j'avais trop l'impression d'y ètre=D
Et puis la fin Y sont obligé de ce réconcilié ces 2 là!!
Et puis la fin Y sont obligé de ce réconcilié ces 2 là!!
Re: confrontation...
sosam : trés bien cette suite Sara tente de se défendre c'est bien ! moi aussi hâte de lire le duel Vins/Michael !
la suite stp
Savannah Scofield :
poulette comment j'adore ton OS t'assure grave ! 'ai tout d'abord adoré le passage ou elle est dans son lit et qu'elle se réveille...puis le début du flash-back comence la conversation s'annonçait bien avec un petit massage mais la dispute est malheureusement survenue !
Mais après il y'a enfin la réconciliation
trop bien ce OS bravo !!!!!!!!
la suite stp
Savannah Scofield :
poulette comment j'adore ton OS t'assure grave ! 'ai tout d'abord adoré le passage ou elle est dans son lit et qu'elle se réveille...puis le début du flash-back comence la conversation s'annonçait bien avec un petit massage mais la dispute est malheureusement survenue !
Mais après il y'a enfin la réconciliation
Michael/Sara, d’une même voix : Je t’aime.
trop bien ce OS bravo !!!!!!!!
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: confrontation...
Sérieux j'ai lu toutes les OS et vraiment c'est génial !!! Vous avez tous du talents !!!
Et j'ai pris un réel plaisir a lire vos fics !!
J'ai adoré !!!!!
Vraiment je suis préssé de lire les suites notament celle de la confrontation entre Vins et Mike !! Et aussi bien sur celle de Mike et Sara avec Vero que j'ai trouvé vraiment super !!!!!
BRAVO A VOUS TOUS §!!!!!
Et j'ai pris un réel plaisir a lire vos fics !!
J'ai adoré !!!!!
Vraiment je suis préssé de lire les suites notament celle de la confrontation entre Vins et Mike !! Et aussi bien sur celle de Mike et Sara avec Vero que j'ai trouvé vraiment super !!!!!
BRAVO A VOUS TOUS §!!!!!
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
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Age : 32
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: confrontation...
Savannah Scofield
super ton os, il commence avec un agréable moment, massage en prévision mais juste après, la dispute avec des mots assez dur mais ils finissent par 'je t'aime"
super ton os, il commence avec un agréable moment, massage en prévision mais juste après, la dispute avec des mots assez dur mais ils finissent par 'je t'aime"
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: confrontation...
J'ai bien aimée la dispute entre Michael et Sara, même si Michael a été très dur juste pour un diner d'affaire et Sara qui traite ses collègues d'intellos hypocrite c'était drôle!!
Les filles voici la suite de Ne touche pas à celle que j'aime, voici le moment tant attendu:
La confrontation Vins/Michael
Gretchen se retouve face à la maison ou se trouvait Sara et VIns. Michael l'a devance et il court faire un acte qui ne pourra jamais s'éffacer.
Michael est a l'intérieur de la maison et il voit plusieurs chambres ressemblant à des cellules. Il jette un coup d'oeil dans chacune d'elle mais il ne trouve pas Sara quand il tombe nez à nez avec Vins.
Vins: Oh voici le célèbre Michael!
Michael: Tu vas regretter ce que tu lui à fait!
Vins: J'ai peur, dit il d'un air sarcastique.
Michael se rut sur lui et le plaque au sol, il le frappe au visage a de nombreuses reprises.
Vins se débat mais Michael est prit d'une force surprenante presque irréelle. Et il sort la seringue qu'il avait dans sa poche, il la réservait pour Sara. Il la plante dans le bras de Michael.
Michael tombe au sol et retire la seringue de son bras en criant: Qu'est-ce que tu m'as mis salaud.
Vins: C'était pour Sara, parce qu'elle est agitée. Elle ne me laisse pas la toucher, et je ne supporte pas d'entendre des cris.
Michael voit flou il semble très affecté par cette injection.Mais il se lève et sort son arme et là il tire sur Vins. Du sang coule le long du torse de ce dernier. Michael se rapproche et Vins s'écroule dans ses bras. Réalisant que Vins est mort, Michael pose de dernier au sol en lui refermant les paupières.
Gretchen applaudi: Félicitation Michael, vous venez de tuer un homme. Finalement vous êtes comme moi. On pourrait s'entendre si vous le vouliez!
Michael: Fermez là, ou je vous tue aussi! Sara, Sara où est tu? Il arrive vers la dernière chambre et la voit allongée sur le lit et inconsciente, il avance en titubant. Mais la porte est fermée. Alors il fait demi-tour pour chercher les clefs. Il fouille le cadavre encore chaud de Vins et lui prend les clefs. Il accoure vers la chambre de Sara et ouvre la porte. Il s'approche d'elle et la réveille en douceur.
Sara se réveille: Michael c'est bien toi?
Michael: Oui, c'est bien moi c'est fini! Tous va bien s'arranger.
Michael la détache et la relève: Tu peux marcher?
Sara: Je crois que oui, elle se sert contre lui, je suis contente que tu m'aies trouvé je commençait à croire que je ne te reverrai plus.
Michael: Tant que je serai en vie je ne laisserai pas sa arriver! Je te le jure.
Sara: Oh tu m'as tellement manqué!
Michael l'embrasse: Je t'aime
Pendant que Michael et Sara se retrouve Gretchen en profite pour s'enfuir elle prend la voiture et appel la police.
Michael prend Sara dans ses bras: On ne devrait pas rester là! Viens on s'en va!
Sara découvre le corps de Vins et regarde Michael avec stupéfaction.
Michael: Je l'ai tué Sara, ne le regarde pas.
Sara: Tu as les clefs!
Michael: Oui tiens.
Sara: Il ne m'a pas sequestré qu'a moi, on était 5 femmes. Elle leur ouvre et leur dit de partir. Aucune d'elle n'était blessée. Maintenant on peut y aller.
Michael: Sa va?
Sara: Oui, sa va très bien maintenant.
Les sirènes de police approchèrent mais Michael et Sara était déjà partis!
Gretchen appèle un homme: Il l'a retrouvé, annulez tout!
Michael et Sara sont dans un motel.
MIchael: J'ai tué un homme!
Sara: Je l'ai fait aussi, je sais c'est dure. Mais tu n'avais pas le choix!
Michael: Je sais.... mais........... sa ne m'empêche pas d'avoir de remorts.
Sara lui sourit et l'embrasse tendrement, est-ce un baiser qui veut dire merci, je t'aime, ou je suis folle de toi. Il se le demande mais il l'embrasse à nouveau pour ne pas trop réfléchir.
FIN
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Les filles voici la suite de Ne touche pas à celle que j'aime, voici le moment tant attendu:
La confrontation Vins/Michael
Gretchen se retouve face à la maison ou se trouvait Sara et VIns. Michael l'a devance et il court faire un acte qui ne pourra jamais s'éffacer.
Michael est a l'intérieur de la maison et il voit plusieurs chambres ressemblant à des cellules. Il jette un coup d'oeil dans chacune d'elle mais il ne trouve pas Sara quand il tombe nez à nez avec Vins.
Vins: Oh voici le célèbre Michael!
Michael: Tu vas regretter ce que tu lui à fait!
Vins: J'ai peur, dit il d'un air sarcastique.
Michael se rut sur lui et le plaque au sol, il le frappe au visage a de nombreuses reprises.
Vins se débat mais Michael est prit d'une force surprenante presque irréelle. Et il sort la seringue qu'il avait dans sa poche, il la réservait pour Sara. Il la plante dans le bras de Michael.
Michael tombe au sol et retire la seringue de son bras en criant: Qu'est-ce que tu m'as mis salaud.
Vins: C'était pour Sara, parce qu'elle est agitée. Elle ne me laisse pas la toucher, et je ne supporte pas d'entendre des cris.
Michael voit flou il semble très affecté par cette injection.Mais il se lève et sort son arme et là il tire sur Vins. Du sang coule le long du torse de ce dernier. Michael se rapproche et Vins s'écroule dans ses bras. Réalisant que Vins est mort, Michael pose de dernier au sol en lui refermant les paupières.
Gretchen applaudi: Félicitation Michael, vous venez de tuer un homme. Finalement vous êtes comme moi. On pourrait s'entendre si vous le vouliez!
Michael: Fermez là, ou je vous tue aussi! Sara, Sara où est tu? Il arrive vers la dernière chambre et la voit allongée sur le lit et inconsciente, il avance en titubant. Mais la porte est fermée. Alors il fait demi-tour pour chercher les clefs. Il fouille le cadavre encore chaud de Vins et lui prend les clefs. Il accoure vers la chambre de Sara et ouvre la porte. Il s'approche d'elle et la réveille en douceur.
Sara se réveille: Michael c'est bien toi?
Michael: Oui, c'est bien moi c'est fini! Tous va bien s'arranger.
Michael la détache et la relève: Tu peux marcher?
Sara: Je crois que oui, elle se sert contre lui, je suis contente que tu m'aies trouvé je commençait à croire que je ne te reverrai plus.
Michael: Tant que je serai en vie je ne laisserai pas sa arriver! Je te le jure.
Sara: Oh tu m'as tellement manqué!
Michael l'embrasse: Je t'aime
Pendant que Michael et Sara se retrouve Gretchen en profite pour s'enfuir elle prend la voiture et appel la police.
Michael prend Sara dans ses bras: On ne devrait pas rester là! Viens on s'en va!
Sara découvre le corps de Vins et regarde Michael avec stupéfaction.
Michael: Je l'ai tué Sara, ne le regarde pas.
Sara: Tu as les clefs!
Michael: Oui tiens.
Sara: Il ne m'a pas sequestré qu'a moi, on était 5 femmes. Elle leur ouvre et leur dit de partir. Aucune d'elle n'était blessée. Maintenant on peut y aller.
Michael: Sa va?
Sara: Oui, sa va très bien maintenant.
Les sirènes de police approchèrent mais Michael et Sara était déjà partis!
Gretchen appèle un homme: Il l'a retrouvé, annulez tout!
Michael et Sara sont dans un motel.
MIchael: J'ai tué un homme!
Sara: Je l'ai fait aussi, je sais c'est dure. Mais tu n'avais pas le choix!
Michael: Je sais.... mais........... sa ne m'empêche pas d'avoir de remorts.
Sara lui sourit et l'embrasse tendrement, est-ce un baiser qui veut dire merci, je t'aime, ou je suis folle de toi. Il se le demande mais il l'embrasse à nouveau pour ne pas trop réfléchir.
FIN
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sosam66- Kellerman my friend!
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Age : 35
Date d'inscription : 18/02/2007
Re: confrontation...
Belle fin !!!!
Gretchen qui est obligé de tout annuler tant mieux !!!!
C'était vraiment super !!!!
Gretchen qui est obligé de tout annuler tant mieux !!!!
C'était vraiment super !!!!
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 451
Age : 32
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: confrontation...
T'es sure que c'est la fin parce que je sais que tu peux en écrire encore
en tout cas
en tout cas
tinkerbel- Dr Tancredi you are free
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Age : 46
Localisation : Dans mes rêves les + fous
Date d'inscription : 02/12/2007
Re: confrontation...
Michael qui tut un homme sa fait bizarre même si vins était une pourriture ! j'ai bien aimer la petite phrase de fin !
merci d'avoir poster tes OS
ma troisième partie devrait arriver demain !
merci d'avoir poster tes OS
ma troisième partie devrait arriver demain !
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
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Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: confrontation...
Je suis impatiente de lira suite sarascofiels !!!! ^^
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 451
Age : 32
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: confrontation...
J'aime bien la fin !
Puis aussi le rhytme, je trouve que ça s'enchaine bien,il la trouve, ils libèrent les autres femmes, etc... je visualise assez bien la scène
Bravo !
Puis aussi le rhytme, je trouve que ça s'enchaine bien,il la trouve, ils libèrent les autres femmes, etc... je visualise assez bien la scène
Bravo !
Invité- Invité
Re: confrontation...
voilà ma troisième et dernière partie...
PART 3
http://fr.youtube.com/watch?v=2cRrJcQ8i9c
Je me tourne dans tous les sens ne trouvant aucune position confortable mais je sais pertinemment pourquoi je n’arrive pas à dormir…Je reste bêtement ici à attendre alors que je sais qu’elle a peur et qu’elle est triste, qu’elle aimerait que quelqu’un la prenne dans ses bras pour la réconforter…Mais je sais aussi que sa ne sert à rien si elle n’est pas prête et quand elle le sera elle viendra me voir, je ne veux pas la brusquer…
J’ouvre doucement la porte et je rentre dans son appartement, je fais sûrement une erreur mais j’ai besoin qu’il m’explique, je ne pouvais plus rester seule dans mon appartement à me morfondre et à laisser cogiter mon esprit dans tous les sens car sa ne m’apporte rien de bon…Je marche sur la pointe des pieds et j’entrouvre la porte de sa chambre en essayant de faire le moins de bruit possible, je me faufile dans la pièce mais j’arrête je ne veux pas en voir plus, elle est là, à côté de lui à la place où je dors habituellement, la mauvaise idée c’était de venir ici, je repars en direction du salon mais voilà que je me cogne contre sa table basse et que je renverse ses clés par terre.
Mais comment il peut me tromper ! Non il ne peut pas ! Si il peut c’est un homme ! Tout ce temps où j’étais seule il était avec elle ! J’avais placé tellement d’espoir dans nous, dans lui…
Je sursaute par le bruit provoqué et instinctivement j’allume la lumière, je me précipite dans le salon mais elle n’est plus là elle est déjà dans l’ascenseur alors je descend à toute allure les escaliers pour tenter d’arriver en bas en même temps qu’elle mais elle est déjà sortit dehors, il pleut des cordes et en moins de 5 secondes je suis littéralement trempé, je cours dans la rue en bousculant les gens autour de moi, je suis en pyjama et en plus pied nu, j’arrive enfin vers elle et je pose ma main sur son épaule pour l’arrêter.
S : Lâche moi salopard !
Elle se retourne et me gifle avec violence.
M : Sara écoute moi.
S : Je ne veux pas entendre tes conneries.
M : Arrête c’est ridicule.
S : Ah sa oui tu peux le dire j’ai été ridicule de tomber dans le panneau avec toi, tu m’as fait croire que tu m’aimais, je t’ai tout confié, tout dis, mes craintes, mes peurs, mes joies, mes angoisses, tu sais tout de moi, de ma vie, tu m’as fait l’amour en me regardant droit dans les yeux et en me disant je t’aime mais j’étais loin de me douter que je n’étais pas la seule à qui tu faisais sa !
M : As tu confiance en moi ?
S : Oui malheureusement j’avais confiance en toi, tu m’avais promis que jamais tu ne me ferais souffrir et tu viens de briser cette promesse et en même temps tu as brisé la confiance que j’avais en toi. Tu sais pertinemment que j’ai toujours eut du mal à faire confiance mais avec toi la question ne s’était même pas posée et pourtant elle aurait dût ! je me rend compte que je n’est pas été assez prudente ! J’ai été complètement aveuglé par toi…
Typiquement elle, avec toutes les épreuves qu’elle a enduré elle c’était forger une carapace que j’ai réussit à transpercer et maintenant elle se sent complètement démunit…
M : Ecoute ce que j’ai à te dire et arrête de crier sur moi !
S : Quoi tu as peur que tous le monde entende que Michael Scofield est un beau connard !
M : Ne dis pas sa.
S : C’est tout ce que tu mérites. Tu m’as regarder droit dans les yeux et tu m’as dit je t’aime Sara…il faut croire que chez toi les mots sont sans importance car aujourd’hui je t’ai trouvé dans ton lit avec une autre femme, j’ai été stupide de croire que tu pouvais être l’homme de ma vie, j’ai été stupide de croire que j’étais la femme de ta vie parce que je n’étais qu’une petite greluche que tu sautais parmi d’autres !
M : Répond moi : Tu crois réellement que tu es stupide ? Et tu crois réellement que je t’ai trompé ?
S : Oui tu m’a trompé, j’aimerait que ce ne soit qu’un mauvais rêve et me réveiller maintenant mais c’est bien la réalité, je t’ai vu avec une autre femme de mes propres yeux et tu ne pas renier le contraire et oui je dois être réellement stupide pour tomber amoureuse du mauvais mec une fois de plus !
Je m’approche de lui et je tape de mes poings contre son torse, je libère toute cette colère qui me ronge…Pourtant lui je le croyait différents des autres…
S : Et pourquoi toi tu ne cris pas, pourquoi tu ne m’as pas rappelé, pourquoi je suis comme sa et pourquoi je suis destinée à être seule ! hein pourquoi !?
Je haïrais éternellement son père de l’avoir rendue si fragile, à cause de lui Sara a finit par se détester elle-même…
M : Si tu m’avais laissé m’expliquer plus tôt tu saurais que la femme avec qui tu m’a vu n’était que ma sœur Véronica donc par conséquent tu saurais aussi que tu n’es pas stupide, car tu n’es pas tombé amoureuse du mauvais mec, tu n’es pas une petite greluche que je me tape parmi d’autres, tu es Sara Tancredi la seule femme à qui je fais l’amour, la seule femme que j’aime, tu as besoin que je te dise pourquoi c’est toi que j’aime, parfait, on est trempé on risque d’attrapé une pneumonie mais si tu as besoin d’entendre pourquoi je t’aime alors on peut rester ici toute la nuit…
Je fais un pas en arrière puis un deuxième. Je reste muette, sa sœur ? Moi qui m’étais imaginer tous les scénarios possible je n’avais absolument pas penser à celui là, cela ne m’avait même pas effleuré l’esprit et pourtant sa sœur il m’en a parlé, tout comme son frère et son neveu, j’ai même l’impression de les connaître alors que je ne les aient jamais rencontrés. Il me regarde fixement, alors que je me rend compte de la stupidité de ma scène, je n’ai pas la force de supporter son regard plus longtemps alors je baisse les yeux…Mais quelques secondes plus tard je sens ses bras m’enserrer alors je pose ma tête contre son torse et je pleure en silence, laissant mes larmes se déverser se mêlant ainsi aux gouttes de pluie…
S : Là je peux enfin me sentir stupide…J’ai…j’ai juste peur de me sentir encore vulnérable car j’avais peur des sentiments que tu faisais naître en moi…car je n’avais encore jamais ressentit sa avant de te rencontrer, tu es la plus belle chose qui me soit jamais arrivé Michael et quand je t’ai surpris avec une autre femme alors oui j’ai eu peur d’être abandonner encore une fois… Je m’en veux Michael…
M : Je ne suis pas là pour te rendre malheureuse et je sais que c’est un sujet sensible mais je ne t’abandonnerais pas…
S : Tu es le seul en qui je peux avoir réellement confiance…Je te promet de ne plus jamais douter de toi…Je t’aime Michael…
Il me relève la tête et essuie une larme qui coule le long de ma joue…Il colle enfin son front contre le mien et je me noie dans ses yeux bleus…
M : Je t’aime aussi…Et je t’aiderais comme je le pourrais mais il faut que tu apprennes à faire confiance et surtout à te faire confiance aussi tu ne peux pas continuer à vivre en te sous-estimant comme tu le fais…Si tu pouvais te voir comme moi je te vois…
C’est effarant il me connaît mieux que je ne me connais…
Je ferme les yeux et je savoure le goût de ses baisers, de ses lèvres contre les miennes, de sa peau contre ma peau…
M : Viens…
S : Je vais…je vais rentrer chez moi, je ne veux pas te déranger avec ta sœur…
M : Ce qui me dérangerait c’est que tu rentres chez toi…Et quand à ma sœur j’aurais aimé te la présenter mais je pense que se sera pour une prochaine fois…
S : ???
M : Ma sœur sait qu’elle a eut tort…alors elle voudra recommencer à zéro. Donc certainement que je ne sais pas d’ici une à deux semaines, peut-être moins, peut-être plus, elle débarquera chez toi ou alors peut-être à ton travail et là elle te sortira quelque chose du genre : « Je suis la sœur de Michael il m’a chargé de passé te chercher car il n’avait pas le temps » Elle voudra juste s’excuser et faire ta connaissance sans que personne n’y mette son grain de sel, juste elle et toi.
Nous retournons dans son appartement, se mettre au sec pendant que Michael lit la lettre que sa sœur lui a laissé, je pars chercher une serviette.
Comme je suis sur que tu t’en doutais déjà je repars comme je suis venue, j’avais besoin de passer ce week-end avec toi et je suis contente que nous aillons parler, je te promet désormais de faire des efforts mais c’est pas pour autant que tu dois m’oublier ( de toute façon je sais très bien que tu ne peux pas te passer de moi…) Profite de ta nouvelle vie ici…Et tu veux savoir malgré les kilomètres qui nous séparent je n’ai jamais été aussi sereine car ici avec Sara je te sais enfin heureux ,épanoui et en sécurité.
Je t’aime Michael et je suis sûr qu’on se reverra bientôt…
Bisous à toi et à Sara
Ta grande sœur qui t’aime
PS : Oublier pas de vous protéger !!
Sara revient dans le salon uniquement vêtu d’une de mes chemises enfin je devrais dire de sa chemise puisqu’elle se l’ai approprié et ne me la jamais rendue c’est devenue en quelque sorte son pyjama officiel ! Il paraît que mon odeur l’apaise… Elle passe derrière moi et me pose une serviette sur la tête alors qu’elle entreprend de m’enlever mon t-shirt dégoulinant d’eau.
Je me lève et je l’entraîne dans la chambre, les heures qui suivent ne sont plus que baisers langoureux, tendres caresses, frissons, passion, douceur…Nous ne sommes plus que deux corps avides de plaisir…
Comme je fais à chaque fois pour m’endormir je pose ma tête contre son torse et je me laisse bercer par les battements de son cœur…
PART 3
http://fr.youtube.com/watch?v=2cRrJcQ8i9c
Je me tourne dans tous les sens ne trouvant aucune position confortable mais je sais pertinemment pourquoi je n’arrive pas à dormir…Je reste bêtement ici à attendre alors que je sais qu’elle a peur et qu’elle est triste, qu’elle aimerait que quelqu’un la prenne dans ses bras pour la réconforter…Mais je sais aussi que sa ne sert à rien si elle n’est pas prête et quand elle le sera elle viendra me voir, je ne veux pas la brusquer…
J’ouvre doucement la porte et je rentre dans son appartement, je fais sûrement une erreur mais j’ai besoin qu’il m’explique, je ne pouvais plus rester seule dans mon appartement à me morfondre et à laisser cogiter mon esprit dans tous les sens car sa ne m’apporte rien de bon…Je marche sur la pointe des pieds et j’entrouvre la porte de sa chambre en essayant de faire le moins de bruit possible, je me faufile dans la pièce mais j’arrête je ne veux pas en voir plus, elle est là, à côté de lui à la place où je dors habituellement, la mauvaise idée c’était de venir ici, je repars en direction du salon mais voilà que je me cogne contre sa table basse et que je renverse ses clés par terre.
Mais comment il peut me tromper ! Non il ne peut pas ! Si il peut c’est un homme ! Tout ce temps où j’étais seule il était avec elle ! J’avais placé tellement d’espoir dans nous, dans lui…
Je sursaute par le bruit provoqué et instinctivement j’allume la lumière, je me précipite dans le salon mais elle n’est plus là elle est déjà dans l’ascenseur alors je descend à toute allure les escaliers pour tenter d’arriver en bas en même temps qu’elle mais elle est déjà sortit dehors, il pleut des cordes et en moins de 5 secondes je suis littéralement trempé, je cours dans la rue en bousculant les gens autour de moi, je suis en pyjama et en plus pied nu, j’arrive enfin vers elle et je pose ma main sur son épaule pour l’arrêter.
S : Lâche moi salopard !
Elle se retourne et me gifle avec violence.
M : Sara écoute moi.
S : Je ne veux pas entendre tes conneries.
M : Arrête c’est ridicule.
S : Ah sa oui tu peux le dire j’ai été ridicule de tomber dans le panneau avec toi, tu m’as fait croire que tu m’aimais, je t’ai tout confié, tout dis, mes craintes, mes peurs, mes joies, mes angoisses, tu sais tout de moi, de ma vie, tu m’as fait l’amour en me regardant droit dans les yeux et en me disant je t’aime mais j’étais loin de me douter que je n’étais pas la seule à qui tu faisais sa !
M : As tu confiance en moi ?
S : Oui malheureusement j’avais confiance en toi, tu m’avais promis que jamais tu ne me ferais souffrir et tu viens de briser cette promesse et en même temps tu as brisé la confiance que j’avais en toi. Tu sais pertinemment que j’ai toujours eut du mal à faire confiance mais avec toi la question ne s’était même pas posée et pourtant elle aurait dût ! je me rend compte que je n’est pas été assez prudente ! J’ai été complètement aveuglé par toi…
Typiquement elle, avec toutes les épreuves qu’elle a enduré elle c’était forger une carapace que j’ai réussit à transpercer et maintenant elle se sent complètement démunit…
M : Ecoute ce que j’ai à te dire et arrête de crier sur moi !
S : Quoi tu as peur que tous le monde entende que Michael Scofield est un beau connard !
M : Ne dis pas sa.
S : C’est tout ce que tu mérites. Tu m’as regarder droit dans les yeux et tu m’as dit je t’aime Sara…il faut croire que chez toi les mots sont sans importance car aujourd’hui je t’ai trouvé dans ton lit avec une autre femme, j’ai été stupide de croire que tu pouvais être l’homme de ma vie, j’ai été stupide de croire que j’étais la femme de ta vie parce que je n’étais qu’une petite greluche que tu sautais parmi d’autres !
M : Répond moi : Tu crois réellement que tu es stupide ? Et tu crois réellement que je t’ai trompé ?
S : Oui tu m’a trompé, j’aimerait que ce ne soit qu’un mauvais rêve et me réveiller maintenant mais c’est bien la réalité, je t’ai vu avec une autre femme de mes propres yeux et tu ne pas renier le contraire et oui je dois être réellement stupide pour tomber amoureuse du mauvais mec une fois de plus !
Je m’approche de lui et je tape de mes poings contre son torse, je libère toute cette colère qui me ronge…Pourtant lui je le croyait différents des autres…
S : Et pourquoi toi tu ne cris pas, pourquoi tu ne m’as pas rappelé, pourquoi je suis comme sa et pourquoi je suis destinée à être seule ! hein pourquoi !?
Je haïrais éternellement son père de l’avoir rendue si fragile, à cause de lui Sara a finit par se détester elle-même…
M : Si tu m’avais laissé m’expliquer plus tôt tu saurais que la femme avec qui tu m’a vu n’était que ma sœur Véronica donc par conséquent tu saurais aussi que tu n’es pas stupide, car tu n’es pas tombé amoureuse du mauvais mec, tu n’es pas une petite greluche que je me tape parmi d’autres, tu es Sara Tancredi la seule femme à qui je fais l’amour, la seule femme que j’aime, tu as besoin que je te dise pourquoi c’est toi que j’aime, parfait, on est trempé on risque d’attrapé une pneumonie mais si tu as besoin d’entendre pourquoi je t’aime alors on peut rester ici toute la nuit…
Je fais un pas en arrière puis un deuxième. Je reste muette, sa sœur ? Moi qui m’étais imaginer tous les scénarios possible je n’avais absolument pas penser à celui là, cela ne m’avait même pas effleuré l’esprit et pourtant sa sœur il m’en a parlé, tout comme son frère et son neveu, j’ai même l’impression de les connaître alors que je ne les aient jamais rencontrés. Il me regarde fixement, alors que je me rend compte de la stupidité de ma scène, je n’ai pas la force de supporter son regard plus longtemps alors je baisse les yeux…Mais quelques secondes plus tard je sens ses bras m’enserrer alors je pose ma tête contre son torse et je pleure en silence, laissant mes larmes se déverser se mêlant ainsi aux gouttes de pluie…
S : Là je peux enfin me sentir stupide…J’ai…j’ai juste peur de me sentir encore vulnérable car j’avais peur des sentiments que tu faisais naître en moi…car je n’avais encore jamais ressentit sa avant de te rencontrer, tu es la plus belle chose qui me soit jamais arrivé Michael et quand je t’ai surpris avec une autre femme alors oui j’ai eu peur d’être abandonner encore une fois… Je m’en veux Michael…
M : Je ne suis pas là pour te rendre malheureuse et je sais que c’est un sujet sensible mais je ne t’abandonnerais pas…
S : Tu es le seul en qui je peux avoir réellement confiance…Je te promet de ne plus jamais douter de toi…Je t’aime Michael…
Il me relève la tête et essuie une larme qui coule le long de ma joue…Il colle enfin son front contre le mien et je me noie dans ses yeux bleus…
M : Je t’aime aussi…Et je t’aiderais comme je le pourrais mais il faut que tu apprennes à faire confiance et surtout à te faire confiance aussi tu ne peux pas continuer à vivre en te sous-estimant comme tu le fais…Si tu pouvais te voir comme moi je te vois…
C’est effarant il me connaît mieux que je ne me connais…
Je ferme les yeux et je savoure le goût de ses baisers, de ses lèvres contre les miennes, de sa peau contre ma peau…
M : Viens…
S : Je vais…je vais rentrer chez moi, je ne veux pas te déranger avec ta sœur…
M : Ce qui me dérangerait c’est que tu rentres chez toi…Et quand à ma sœur j’aurais aimé te la présenter mais je pense que se sera pour une prochaine fois…
S : ???
M : Ma sœur sait qu’elle a eut tort…alors elle voudra recommencer à zéro. Donc certainement que je ne sais pas d’ici une à deux semaines, peut-être moins, peut-être plus, elle débarquera chez toi ou alors peut-être à ton travail et là elle te sortira quelque chose du genre : « Je suis la sœur de Michael il m’a chargé de passé te chercher car il n’avait pas le temps » Elle voudra juste s’excuser et faire ta connaissance sans que personne n’y mette son grain de sel, juste elle et toi.
Nous retournons dans son appartement, se mettre au sec pendant que Michael lit la lettre que sa sœur lui a laissé, je pars chercher une serviette.
Mon cher petit frère…
Comme je suis sur que tu t’en doutais déjà je repars comme je suis venue, j’avais besoin de passer ce week-end avec toi et je suis contente que nous aillons parler, je te promet désormais de faire des efforts mais c’est pas pour autant que tu dois m’oublier ( de toute façon je sais très bien que tu ne peux pas te passer de moi…) Profite de ta nouvelle vie ici…Et tu veux savoir malgré les kilomètres qui nous séparent je n’ai jamais été aussi sereine car ici avec Sara je te sais enfin heureux ,épanoui et en sécurité.
Je t’aime Michael et je suis sûr qu’on se reverra bientôt…
Bisous à toi et à Sara
Ta grande sœur qui t’aime
PS : Oublier pas de vous protéger !!
Sara revient dans le salon uniquement vêtu d’une de mes chemises enfin je devrais dire de sa chemise puisqu’elle se l’ai approprié et ne me la jamais rendue c’est devenue en quelque sorte son pyjama officiel ! Il paraît que mon odeur l’apaise… Elle passe derrière moi et me pose une serviette sur la tête alors qu’elle entreprend de m’enlever mon t-shirt dégoulinant d’eau.
Je me lève et je l’entraîne dans la chambre, les heures qui suivent ne sont plus que baisers langoureux, tendres caresses, frissons, passion, douceur…Nous ne sommes plus que deux corps avides de plaisir…
Comme je fais à chaque fois pour m’endormir je pose ma tête contre son torse et je me laisse bercer par les battements de son cœur…
sarascofield- Subi un intérrogatoire musclé à sona
- Nombre de messages : 6508
Age : 32
Localisation : dans les bras de Michael
Date d'inscription : 20/01/2007
Re: confrontation...
Ohhh pov' Sara elle a été toute chamboulé pour rien!!!Mais tout va mieux!!
Et la fin
Et la fin
Re: confrontation...
wouhaouuuuu
c'était super!!
tu cartonnes
c'était super!!
tu cartonnes
choupine- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 492
Age : 34
Date d'inscription : 26/12/2007
Re: confrontation...
GENIAL
c domage que se soi termine mai enfin cetai super !!!
c domage que se soi termine mai enfin cetai super !!!
sabrina- Enlevé(e) par Kellerman et Mahone
- Nombre de messages : 451
Age : 32
Date d'inscription : 10/02/2008
Re: confrontation...
domage que se soit deja la fin mais quelle fin
tu cartonnes miss!!!
tu cartonnes miss!!!
JulieScofield- Retrouve Steadman
- Nombre de messages : 1442
Age : 35
Date d'inscription : 01/01/2007
Re: confrontation...
Ah la la, la pauvre, elle s'est mis dans un état pas possible, pour pas grand chose finalment! Mais Dieu seul sait à quel point je la comprends. Il n'y a qu'une personne raide dingue amoureuse (ET éternelle blessée) pour douter et se rendre si malade en cas de doute sur la sincérité des sentiments de l'autre. Michael a vraiment l'attitude et les mots qu'il fallait pour la rassurer. C'était exactement ce qu'elle avait besoin. Beaucoup de bougres devraient en prendre de la graine.. tiens, ça me fait penser que je devrais faire lire cet os à un certain jeune homme.. merci du coup de main, sarascofield. Ah oui et j'adore l'idée du coup de la chemise appropriée, surtout qu'elle ne semble porter que cela, j'ai toujours trouvé cela très sexy! j'adore!
tout à fait! encore bravo sarasco, pour cette passionante trilogie.JulieScofield a écrit:domage que se soit deja la fin
Savannah Scofield- Membre de la thérapie avec Sara
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Age : 40
Localisation : Sous le soleil des Antilles
Date d'inscription : 14/01/2008
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Undeniable Attraction @ Your Biggest Ressource about Michael & Sara :: Sara & Michael / Wentworth & Sarah :: Fanfiction
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